« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Panique sur le Campus [Fe]

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Anatole Cassini
« Maîïîtreuuuh !!! »

Anatole Cassini

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Panique sur le Campus [Fe] Jvi6

« Il existe 175.000
espèces de papillons... »


Panique sur le Campus [Fe] Hi6b

« Le papillon ne compte pas
les mois, mais les moments.
Ce qui lui confère suffisamment
de Temps pour vivre, ressentir, aimer. »



| Conte : ➹ Intrigue Divine
| Dans le monde des contes, je suis : : ✲ Le Titan Hyperion, un papillon étoilé.

Panique sur le Campus [Fe] Nono12

| Cadavres : 2617



Panique sur le Campus [Fe] _



________________________________________ 2017-01-07, 16:46 « Maîïîtreuuuh !!! »



« Panique...

...sur le Campus ! »




    « Il était une fois trois ours qui vivaient dans une jolie maison au fond d'un bois. Il y avait Grand Papa Ours, Moyenne Maman Ours et Petit Bébé Ours. » dis-je en laissant transparaître un petit sourire à la commissure de mes lèvres. « Chacun possédait un bol : un grand bol pour Papa Ours, un moyen bol pour Maman Ours et un Petit bol pour Bébé Ours. Et chacun avait une chaise pour s'asseoir. »

    J'avais observé les jeunes personnes assises sur les banquettes tout autour de moi. Pour la plupart, elles avaient les yeux rivés dans ma direction - principalement les jeunes demoiselles. Quand aux autres, ils observaient les gens passer autour et les différents livres entreposés sur les étagères. Pour certains jeunes garçons, je sentais que l'envie se faisait pressante de se lever pour foncer vers le rayon manga exposé un peu plus loin.

    « Il y avait une grande chaise pour Papa Ours, une moyenne pour Maman Ours et une Petite chaise pour Bébé Ours. Dans la chambre, il y avait trois lits pour dormir : un grand lit pour Papa Ours, un moyen lit pour Maman Ours et un Petit lit pour Bébé Ours. »

    L'histoire avait continué un petit moment jusqu'à ce qu'on arrive à mon passage préféré. C'était celui où les ours étaient partit cuieillir des baies et qu'à ce moment là, une petite fille avait débouché dans le sentier à proximité de la maison et était arrivée devant la porte d'entrée.

    « Comme personne ne répondait à la petite fille, elle entra. Elle avait très faim, aussi lorsqu'elle vit les trois bols remplis de bonne bouillie sur la table, elle eut très envie d'y goûter. »

    Une jeune fille blonde sur la banquette juste en face de moi, avait hoché plusieurs fois la tête, car elle aussi elle aurait bien aimée goûter à cette bouillie. Les estomacs des personnes présentes n'allaient pas tarder à crier famine vue qu'on approchait de midi.

    « Après le repas, la petite fille, fatiguée, monta à l'étage. Elle vit un tout grand lit appartenant à Grand Papa Ours et Moyenne Maman Ours, et un tout petit lit, appartenant à Bébé Ours. Elle s’allongea dans le plus petit des lits et s’endormit. »

    Les ours n'allaient pas tarder à rentrer et découvrir qu'on avait mangé leur bouillie et qu'on avait dormi dans leur lit. Ils tenteront de trouver une solution pour faire partir le visiteur indésirable. C'est à ce moment là que la sonnerie avait choisie de retentir. Les garçons s'étaient levés rapidement pour fuir cet espace de lecture. Quand aux filles, certaines étaient parties, d'autres prenaient leur temps. Et une seule s'approcha de moi afin de me poser une question.

    « Comment s'appelait-elle ? »

    « Boucle d'or. » répondis-je avec un magnifique sourire.

    Boucle d'or n'était que joie de vivre et douceur. Jamais une once de cruauté dans ses actions, nulle trace d'égoïsme ou de méchanceté. Elle était l'incarnation de la pureté. C'était mon conte préféré et la petite fille me faisait beaucoup penser à celle qui se tenait juste devant moi.

    « Ils ne vont rien te laisser à la cantine si tu ne t'y précipites pas. » lui dis-je en refermant le recueil de contes et en me dirigeant vers l'étagère juste derrière moi, afin de poser précautionneusement le livre.

    La jeune fille était toujours là, quand les autres étaient déjà partis. Je lui avais adressé un petit regard surpris et elle avait tendue la main dans ma direction.

    « Tu ne crois pas qu'on va finir par se moquer de toi, si on te voit tenir la main d'un employé de l'école ? Ca risque de devenir très gênant pour vous, jeune fille. Et puis, qui te dit que je comptais également me rendre à la cantine ? »

    Son sourire était capable de faire fondre n'importe quel mortel. Elle venait d'un monde presque irrél, créé par Elliot, dont les rêves étaient ses amis les plus fidèles. Sa voix d'ange était capable de calmer tous les maux, mais également de remuer les enfers. Elle était parfaite en tout point. Un bien précieux que l'on devait préserver.

    « Allons manger. » conclus-je en prenant sa main.

    Au moment où on quitta la bibliothèque de l'école, quelque chose se passa. Les lumières s'éteignirent toutes en même temps, et les portes se verrouillèrent tout autour de nous. Le couloir était plongé dans le noir, jusqu'à ce que le générateur de secours se mette en position : marche. J'avais toujours la main de la jeune demoiselle dans la mienne, la serrant un peu plus fort.

    « Ce n'est qu'une coupure de courant, pas de quoi s'inquiéter. On va suivre le couloir jusqu'à la porte de sortie. »

    Autour de nous, il y avait quelques élèves qui trainaient ici au lieu de se rendre vers le réfectoire. Certains d'entre eux semblaient anxieux par la coupure de courant, tandis que d'autres pianotaient sur leur portable. Mais tous se regardèrent, quand certains répétèrent en coeur.

    « Putain, j'ai plus de réseau ! »

    J'avais jeté un coup d'oeil dans leur direction, puis au bout du couloir. Il y avait des jeunes à divers endroits, mais rien de particulier à signaler.

    « On va aller vers la porte principale. Venez avec, c'est plus prudent. »




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Dans la Nature, rien n'est parfait et tout est parfait. Les Arbres peuvent être déformés, pliés de façon bizarre, et ils sont toujours beaux.

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Panique sur le Campus [Fe] _



________________________________________ 2017-01-08, 19:27

Rien ne peut nous arrêter
Tant que nous sommes ensemble

Piégés au lycée !

Anatole était le meilleur pour lire les histoires. D'ailleurs, je n'étais pas la seule à le penser car tout le monde l'écoutait en buvant ses paroles. Bon, les garçons avaient l'air de trouver le temps long, mais les filles l'adoraient. Depuis qu'il travaillait au lycée, la fréquentation de la bibliothèque avait explosé. Il n'y avait rien d'étonnant là-dedans. J'étais particulièrement fière de le connaître très bien, car j'avais gagné l'admiration des pom-pom girls qui le convoitaient. En me voyant lui parler très souvent, elles avaient compris que j'étais leur seule chance d'obtenir son numéro de téléphone -que jamais je ne donnerai. Je souhaitais le garder rien que pour moi. Déjà que je devais le partager avec Ellie (pas le numéro, Anatole).

Lorsqu'il eut fini de lire le conte, je me levai d'un bond pour aller le rejoindre, alors que les filles gloussaient dans mon dos ou faisaient des messes basses. Curieusement, depuis que j'avais gagné leur admiration, elles ne se moquaient plus de mon style vestimentaire un peu trop "rock" et branché.

Je lui tendis la main et après qu'il eut fait une petite remarque à laquelle je souris, désinvolte, il la prit. Pour rien au monde je ne serais allée déjeuner sans lui. De toutes façons, ce n'était pas comme si j'avais des tas d'amis, et j'appréciais sa présence. Ca me faisait encore souffrir parfois, car j'avais souvent le coeur qui faisait des pirouettes même si j'obligeais mes rêves à ne plus décoller du sol. Je savais qu'il ne m'aimerait jamais de la même façon que moi. Ca ne rendait pas les choses plus faciles, bien au contraire.

Nous quittâmes la bibliothèque et à cet instant, les lumières s'éteignirent dans le couloirs. Heureusement, à cette heure de la journée, la lumière naturelle filtrait à travers quelques vitres. De plus, le générateur se mit en marche, nous procurant davantage de clarté. J'entendis le cliquetis signifiant que les portes s'étaient verrouillées, ce qui était loin d'être rassurant. Je tournai la tête de tous côtés, remarquant que les lycéens autour de nous s'étaient rivés sur leurs téléphones sans doute pour filmer l'évènement -réflexe de base complètement stupide. Bientôt, j'appris qu'il n'y avait plus de réseau.

Curieusement, je me sentais très calme. Après tout, j'avais vécu des choses bien pires qu'une panne de courant et de réseau. Je pourrais y survivre, contrairement à une majorité de mes camarades qui allaient sûrement mourir d'asphyxie s'ils découvraient qu'en plus la Wi-fi n'était plus disponible. Effectivement, j'avais vérifié rapidement l'écran de mon téléphone et la petite balise en haut à droite était en rouge. Je le rangeai dans ma poche et adressai un sourire à Anatole, qui semblait aussi calme que moi. On formait une équipe parfaite, tous les deux.

« On va aller vers la porte principale. Venez avec, c'est plus prudent. »

Je hochai la tête et fis un geste de la main pour inciter mes camarades à nous suivre. Nous étions cinq en tout. Je marchai à la hauteur d'Anatole, gardant fermement sa main serrée dans la mienne. Dans mon dos, j'entendais les trois autres parler entre eux. Kimberley, une pom-pom girl, demanda d'un ton angoissé :

"On devrait sonner l'alarme non ?"

"Y a pas le feu."
rétorquai-je en passant effectivement devant l'alarme à incendie, collée contre le mur.

"Oui mais il se passe quelque chose." insista la brune à la chevelure lisse comme de la soie. "Si on sonne l'alarme, les pompiers viendront ! Ou les flics ! D'ailleurs, ton père il est shérif, non ? Tu n'as pas un bipeur spécial pour le prévenir s'il t'arrive un truc ?"

Je me stoppai et me retournai pour la dévisager.

"Non, j'ai rien de tout ça. Pas de bracelet autour de la cheville non plus."

Joignant le geste à la parole, je tirai sur le bas de mon jean savamment troué aux genoux pour montrer ma cheville. Kimberley loucha dessus et croisa les bras. Ses yeux outrageusement maquillés étaient fébriles. Elle avait carrément la trouille. J'aurais pu me sentir supérieure mais j'avais plutôt envie de compatir. C'était une première pour elle, la pauvre.

"Tout va bien se passer." dis-je en m'avançant vers elle avec un sourire.

"Tu n'en sais rien !" protesta-t-elle. "Arrête un peu avec tes grands airs ! C'est pas parce que tu sors avec M. Cassini que tu dois te prendre pour notre chef !"

"Je... je ne veux pas... Quoi ?"
fis-je, déconcertée.

Je lâchai la main d'Anatole et sentant sans doute que nous avions besoin de parler entre filles, il s'éloigna de quelques mètres avec les deux garçons, un dénommé Steve et l'autre Tadashi (les autres le surnommaient "tamagochi" même si ce n'était pas drôle). Ils étaient avec moi en cours d'anglais.

Kimberley remit une mèche derrière son oreille et soupira en fixant ses pieds. Après quelques secondes, elle renversa la tête en arrière avec un nouveau soupir et déclara, un peu abruptement :

"Je suis désolée, je voulais pas... C'est juste que ça me stresse tout ça. On est à Storybrooke, c'est une ville de dingues ! J'ai demandé à mes parents de m'envoyer en pension ailleurs."

"Ah bon ?" fis-je, étonnée.

Elle n'ajouta rien d'autre, se contentant de se mordre les lèvres. Un petit silence tomba entre nous et je déclarai d'un ton engageant :

"On devrait aller les rejoindre, et essayer de mettre tout ça au clair."

Je me retournai et elle me demanda alors avec curiosité, d'une voix pas aussi basse que je l'aurais voulu :

"T'as couché avec lui ?"

Mes joues prirent une teinte cramoisie et je gardai les yeux rivés au sol, le visage caché par mes cheveux. Je rejoignis les garçons, espérant qu'ils n'avaient rien entendu, mais en percevant le rire goguenard de Steve et Tadashi, j'eus l'impression de prendre feu tellement j'avais chaud. Je passai à côté d'Anatole sans lui adresser un regard, fonçant vers la porte principale.

En chemin, à travers quelques mèches blondes, je remarquai le professeur de sciences naturelles qui avait ouvert la porte de sa classe et qui m'observait fixement à travers les verres de ses lunettes rondes. Je rêvais où il me suivait des yeux ? Brusquement, il rentra à l'intérieur et claqua la porte. Le lycée, ça rendait dingue. Rien à voir avec Storybrooke. J'en avais la confirmation, maintenant.

J'aurais dû répondre à sa question. songeai-je, alors que mon coeur partait en vrille. Là du coup elle va penser que oui, ou alors que non. Dans les deux cas, elle va se dire que je suis une gamine qui pique un fard pour rien. Et si jamais Anatole a entendu ? Il a entendu ? Non, sûrement pas. Ou alors... si ? Oh la la. Je fais quoi ? Rien. Mieux vaut que je fasse comme s'il n'y avait rien eu. Oui, c'est mieux comme ça. Ou alors... Oh, ça craint...

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Poussière vivante, je cherche en vain ma voie lactée.
Et je divague, j'ai peur du vide. Mais mon dieu de quoi j'ai l'air ? Je sers à rien du tout. Et qui peut dire dans cet enfer ce qu'on attend de nous ?
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Panique sur le Campus [Fe] T81n

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du Temps... ? »


Panique sur le Campus [Fe] Lnn2

« Qu'importe, vue qu'on l'est
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Panique sur le Campus [Fe] Mermai11

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Panique sur le Campus [Fe] _



________________________________________ 2017-01-09, 09:45



« Il me faudra au moins ça...

...pour supporter son caractère ! »




    « Vous avez travaillé dans la police ? »

    « Ouais. » répondis-je à la douzième question que me posait l'homme assis sur la chaise en face de moi.

    Il était derrière son bureau, et de derrière ses grosses lunettes, il observait différentes fiches posées sur sa table, avec un air des plus septiques.

    « Vous avez arrêté pour raisons personnelles. »

    « Ouais. »

    Encore une nouvelle minute qui allait s'écouler avant la question suivante.

    « Et vous n'avez mis ni agent de sécurité, ni contrôleur dans votre dossier. »

    « Ouais. » répondis-je une nouvelle fois, d'une voix claire, posée et sans vouloir en dire plus.

    « Vous savez que ce que nous recherchons principalement à Storybrooke, ce sont des agents de sécurité ? »

    « Je n'ai pas envie que des gens dépendent de moi. » précisais-je une nouvelle fois.

    Cette fois ci, l'homme eu un petit sourire aux coins des lèvres, avant de me tendre une feuille qui trainait sur son bureau.

    « Je pense que cela fera l'affaire pour commencer. C'est du huit heures par jour pendant six jours. Un contrat d'une semaine. Ils peuvent le renouveler. »

    Et voilà comment je m'étais retrouvé à la cantine de Storybrooke pour la semaine en cours. Chaque jour, je me pointais le matin et je repartais le soir. Les gens étaient plutôt sympa, mais je n'avais pas envie de me faire de nouveaux amis. J'étais venu dans cette ville pour tenter de comprendre certaines choses et le seul moyen d'y arriver, était de m'intégrer. Mais je pensais plus à m'intégrer lors de fêtes ou grands rassemblements, plutôt qu'à une cantine scolaire. En tout cas il fallait ça pour payer le loyer. Ce matin, je devais remettre des caisses de nourriture à un employé du zoo qui viendrait les chercher en fin de matinée. Bien entendu, cet employé avait du retard et ça ne m'avait pas du tout surpris, quand j'avais vue la tête de ce fameux employé.

    « Tu vas manger tout ça ? » dis-je en arrivant avec des caisses de nourriture plein les mains.

    Devant moi se tenait une jeune femme que j'avais déjà croisé auparavant : Melody Blackstorm. Elle était habillée avec un leggins noir, des bottes et un pull qui ne semblait pas trop épais. En me reconnaissant, elle me dévisagea d'un air perplexe.

    « Encore toi ? »

    « Salut, toi aussi. » lui répondis-je avec la même absence de sourire qu'elle.

    « Qu'est ce que tu fais là ? Tu me suis, c'est pas possible. »

    J'avais hésité un petit instant sur la réponse que je devais lui donner. Puis, elle me paru comme une évidence.

    « Comme tu le vois, je m'assure que toutes les sirènes que je connais ne meurent pas de faim. J'ai aussi mis une bouteille d'eau afin de t'asperger pour que tu ne dessèches pas. Mais sinon, oui je te suis. C'est évident. Je me suis fait embaucher ici uniquement parce que je savais que tu y viendrai à midi moins quart aujourd'hui. Je vois l'avenir. On ne t'avait pas prévenue ? »

    « Ah ah... » dit-elle sans joie.

    « Et toi ? Tu travailles au zoo, maintenant ? Pensionnaire ou employée ? » précisai-je avec un petit sourire.

    « Va te faire foutre. »
    dit-elle en voulant me prendre les caisses des mains mais j'eu un mouvement de recul.

    « C'est pas pour toi ça. Ces caisses je dois les ranger dans le frigo. Les tiennes se trouvent là bas. » Je me mis en marche, passant devant la sirène. « J'ai rien contre que tu viennes avec. J'ai besoin de quelqu'un pour ouvrir la porte. »

    Elle me dépassa en marchant à grand pas, énervée. Elle attendit que j'arrive devant la porte menant au frigo principal, pour l'ouvrir si brusquement que je manquais de me la prendre en pleine tête.

    « Toujours aussi sympa. »
    dis-je en faisant une grimace.

    Une fois à l'intérieur, je lui avais mis les caisses dans les bras, le temps de faire de la place. Puis, je les avais reprises et mises sur une étagère. Une fois fait, j'avais cherché les caisses réservées au zoo. Elles étaient trois, alignées sur une étagère. Je les avais indiqués à la sirène.

    « On n'a pas eu le temps de faire de papier cadeau, désolé. »

    « T'es obligé de faire des vannes de merde. »

    « T'es obligée de te montrer toujours aussi agréable ? » lui répondis-je avec un grand sourire.

    Elle me regarda d'un air fulminant, pas contente du tout.

    « Je ne crois pas au hasard ou au destin, ou à ces conneries là ! Je suis sûre que t'es à Storybrooke dans un but précis. »

    J'avais fait un pas vers elle, retirant mon sourire.

    « Tu veux que je te dise ? »

    « Ouais, quoi ? »

    « Tes caisses, tu te les prends, et tu t'en vas. »

    Elle me fixa d'un air à la fois surpris et dérouté, comme si elle s'attendait à ce que j'en dise plus.

    « Tu croyais quoi ? Oh oui attends... tu pensais que j'allais te plaquer contre la paroi du frigo et t'embrasser sauvagement, comme ferai tout détraqué comme moi, qui poursuis une sirène même dans les frigo de la cantine d'un campus de Storybrooke ? »

    Elle soupira et elle souleva les caisses pour s'en aller. A ce moment là, la porte du frigo se referma et la lumière s'éteignit. Qu'est ce qui se passait ?

    « C'est quoi cette blague ? »

    « C'est là que je suis censé te plaquer contre la paroi du frigo. » dis-je en regardant autour de moi tandis que la lumière de sécurité s'enclenchait.

    « Essaye un peu et je t'explose. »

    J'avais secoué la tête.

    « Ca doit être une simple coupure de courant. Ca va revenir et la porte s'ouvrira. »

    Juste par précaution, je m'étais approché de la porte et j'avais tenté de l'ouvrir par moi même. Mais sans poignée à l'intérieur, c'était pas si évident que cela.



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L’âme humaine puise sa substance dans des expériences inédites.
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❝ Eau trouble ne fait pas de miroir...
Alors pourquoi je me reflète si bien en toi ? ❞


Panique sur le Campus [Fe] Mermai11

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Panique sur le Campus [Fe] 974834boite

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Panique sur le Campus [Fe] _



________________________________________ 2017-01-11, 16:40


Frozen Time !

Une sardine et un grizzli dans un frigo

Cette journée s'annonçait comme une bonne blague. Ce matin, je m'étais réveillée dans la piscine de Lily et j'avais été contrainte de me battre avec la bâche qu'Elliot avait "malencontreusement" mise sur le bassin sans voir que j'étais dedans. A mon avis, il avait surtout voulu m'asphyxier. Manque de bol, j'étais toujours là. Il avait prétexté que ce n'était plus une saison pour se baigner, ce à quoi je lui avais répondu avec un magnifique doigt d'honneur. Il n'avait pas à me donner d'ordre. Je n'allais pas arrêter de me dégourdir les nageoires pour son bon plaisir. Peu m'importait que la surface soit gelée quand je me réveillais, il suffisait d'un coup de poing pour la briser. Les jointures de mes doigts saignaient souvent sous la violence de l'impact, mais j'en avais vu d'autres. Le sel de la mer soignait tout, de toutes façons.

Et maintenant, je me retrouvais piégée dans un frigo avec le grizzli de service, j'ai nommé Emmet Miller. Comment faisait-il pour se retrouver toujours dans les parages ? Je ne croyais pas au hasard. C'était impossible qu'un type aussi "normal" que lui ait décidé sur un coup de tête de venir bosser à Storybrooke, la ville de détraqués par excellence. Il me cachait quelque chose. Il y avait même anguille sous roche.

Je savais que j'aurais dû refuser quand Lily m'avait demandée de prendre les caisses de nourriture destinées aux animaux du zoo. D'ordinaire, elle le faisait elle-même, mais comme elle était malade, elle était dans l'incapacité de se rendre au lycée. Comme son idiot de mari ne servait à rien, c'était la sirène qui s'y collait. Autant dire que je regrettais carrément.

« Ca doit être une simple coupure de courant. Ca va revenir et la porte s'ouvrira. »

"Ca aussi c'est ton ami le hasard qui te l'a dit ?"
grommelai-je.

Emmet m'ignora et entreprit d'ouvrir la porte. Je roulai des yeux et le poussai pour me poster devant la sortie bloquée.

"J'ai plus de force que toi."
expliquai-je simplement.

Dans la pénombre, je cherchai la poignée sans la trouver. Quel était le débile qui avait confectionné ce frigo ? Agacée, je tapai contre la porte plusieurs fois, avant de finalement y mettre toute ma force pour la pousser. Je réussis seulement à bomber le métal, mais la porte resta résolument close.

"Bordel !"
m'écriai-je en donnant un violent coup de pied dedans, en désespoir de cause.

Je plaçai les mains sur les hanches et pivotai vers Emmet qui m'observait.

"Qu'est-ce que tu regardes ? T'aurais réussi à faire mieux, peut-être ?"

Je poussai un soupir agacé et me dirigeai à grands pas vers le fond du frigo pour m'asseoir sur les caisses que j'étais venue prendre.

"Je devrais même pas être là. C'est Elliot qui aurait dû se geler les bulots à ma place !"
fis-je, la tête dans les mains. "Faut que je déménage de chez eux. Ca craint trop là-bas. Pire qu'une gare. Tiens, tant qu'on y est, on pourrait devenir colocs ! Comme ça tu arrêteras de trouver des idées à la con pour qu'on se revoit !"

Je lançai un regard perçant à Emmet, puis réalisant ce que je venais de dire, j'ajoutai :

"Non en fait, oublie. Je voudrais pas t'encourager dans ton délire."

Passant une main sur mon front, je me redressai tout en restant assise. Puis je frissonnai, car il commençait à faire sacrément froid là-dedans ! J'avais beau être insensible aux changements de température, il me semblait plus facile de supporter le froid quand j'étais dans l'eau. Je frottai mes mains contre mes bras, maudissant le pull trop léger que j'avais enfilé avant de venir.

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« L'ivresse des profondeurs », est un phénomène naturel, due à un excès d'azote qui, par conséquent, agit sur le système nerveux et provoque des troubles comportementaux. Tomber amoureux ou mourir noyé, c'est la même chose.
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Panique sur le Campus [Fe] _



________________________________________ 2017-01-11, 20:26 « Maîïîtreuuuh !!! »



« Panique...

...sur le Campus ! »




    « On y voit plus clair dans cette partie du couloir. Steve, tu peux me dire quelle heure tu as ? »

    La première chose que j'avais faite, était de demander aux deux jeunes garçons qui nous accompagnaient, quel était leur nom. Le premier disant s'appeler Steve. Quand au second c'était Tadashi. Le premier était blond et le second asiatique. Quand à la jeune fille qui était avec nous, elle était restée en retrait avec Apple. A plusieurs reprises, j'avais tourné la tête pour les observer, histoire de m'assurer qu'elles n'allaient pas s'éloigner.

    « Il est midi cinq. »

    « Super ! Tu regarderas de temps en temps pour voir l'heure. »

    Jusqu'à présent, à chaque fois qu'on avait rencontré un soucis majeur, on était privé de tout. De pensées, de communications, de pouvoirs... les portables ne captaient plus, ce qui indiquait que la coupure pouvait venir de tout autre chose que d'un disjoncteur. Mieux valait être prudent et vérifier diverses choses, tel que les montres.

    « On arrive près de la porte qui mène au dernier couloir avant le réfectoire. Vous savez quoi ? On va... »

    J'eus une absence de quelques secondes en entendant un murmure au loin. J'avais tourné la tête en direction des filles. D'ici je pouvais voir le visage d'Apple devenir toute rouge. Puis pendant qu'elles nous rejoignaient, quelqu'un avait ouvert une porte au loin et passé sa tête au travers. Il ressemblait à un professeur avec ses lunettes rondes et sa blouse blanche qui dépassait. Je m'étais mordu les lèvres en observant les jeunes gens être bientôt au complet autour de moi. Quand au professeur, il avait refermé sa porte. Mon regard s'était porté sur Apple.

    « Reste à côté et ne t'éloigne pas cette fois ci. » dis-je sur un ton sans laisser transparaître la moindre émotion.

    Quand j'avais tourné la tête pour me diriger vers la porte, quelqu'un se trouvait là. J'avais eu un petit mouvement de recul. Les enfants le fixaient, comme pour se demander ce que cet homme faisait en plein milieu du couloir, sans bouger, au lieu de rejoindre la sortie.

    « C'est monsieur Dickens. Il n'a pas l'air d'aller bien... » nous fit remarquer Steve.

    J'observais attentivement l'homme quand il se décida enfin à parler. Son regard s'était figé sur celui d'Apolline.

    « Venez avec moi, je vais vous conduire à l'extérieur du bâtiment et vous mettre en sécurité. »

    « On va tous se rendre à l'extérieur pour tirer tout ça au clair. » répondis-je sans la moindre hésitation.

    Quand à Kimberley, elle avait pris Apple par le bras. Mais ça ne semblait pas plaire au professeur qui s'approcha rapidement vers la jeune femme, afin de la tirer vers lui et que Kimberley lâche prise. Cette dernière poussa un petit cri, tandis qu'Apple avait le bras maintenu fermement par le professeur.

    « Lâchez là, vous lui faites mal ! » ordonnais-je en posant à mon tour une main sur le bras du professeur.

    Il m'observa quelques secondes, le regard vide, avant de lâcher Apple et de se tourner vers moi. Je fis de même, en le lâchant.

    « Je vais vous escorter jusqu'à la sortie. » conclu t'il.

    C'est à ce moment là qu'une lumière nous aveugla et que de la fumée s'engouffra dans le couloir. Steve et Tadashi se mirent à tousser. Je pouvais entendre d'ici Kimberley dire au professeur de la lâcher, qu'elle n'était pas Apple. Quand à Apple... Je ne l'entendais plus... Mais au loin, le bruit d'une porte qu'on fermait se fit entendre...


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________________________________________ 2017-01-22, 21:42

Rien ne peut nous arrêter
Tant que nous sommes ensemble

Piégés au lycée !

"Monsieur... Monsieur Stevenson ?" fis-je d'un ton incertain.

Un nuage de fumée m'avait aveuglée. J'avais senti qu'on m'agrippait par le bras et qu'on m'entraînait quelque part ailleurs. J'avais tenté de me débattre mais c'était comme si la fumée m'avait légèrement endormie. Je me sentais encore toute molle. Je reconnus M. Stevenson, le professeur de mathématiques, qui venait de fermer la porte derrière lui. Nous nous trouvions dans une salle de classe.

"Je vous ai mise en sécurité." annonça-t-il d'un ton mécanique en plaçant ses mains dans son dos.

J'écarquillai les yeux, nullement rassurée. Déjà que je n'aimais pas les maths, mais se retrouver enfermée avec ce prof, ça avait tout d'un cauchemar.

"Pourquoi... pourquoi vous...?"

Le reste de ma phrase mourut sur mes lèvres quand je vis M. Stevenson ouvrir grand la bouche, déposer la clé de la porte sur sa langue et... l'avaler. Tout ceci en me fixant d'un air tout à fait naturel. Je me reculai de plusieurs pas, butant sur les tables et cherchant à tâtons une sortie. Mon dos rencontra l'une des fenêtres et je me mordis les lèvres.

"Vous êtes en sécurité." répéta le prof de maths d'une voix calme.

Pourquoi avais-je l'impression que c'était TOUT le contraire ? J'avais envie de hurler mais est-ce que ça pouvait m'aider à m'en sortir ? Je n'en étais pas sûre. Avec un peu de chance, les autres m'avaient vus me faire kidnapper par le prof et ils étaient en train d'élaborer un plan pour me secourir... Même s'il y avait eu beaucoup de fumée dans le couloir. Non, il fallait se rendre à l'évidence : personne n'avait rien vu.

"Euh... merci !" dis-je, espérant que lui parler me ferait gagner du temps. "Fallait pas, vraiment c'est... Mais pourquoi vouliez-vous que je sois en sécurité ? Il y avait d'autres élèves dans le couloir."

"Vous êtes la priorité absolue." articula-t-il en me fixant.

Ce n'était pas du tout flippant. S'agissait-il d'un robot ? D'un cyborg qui avait reçu des ordres ? Pourquoi devait-il me protéger ? De quoi ? Toutes ces questions furent balayées par une seule, de loin la plus importante : si j'étais une priorité absolue, pourquoi ne me mettait-il que de mauvaises notes ?

Je réfléchis à toute allure, cherchant un moyen de m'enfuir.

"J'ai... j'ai envie d'aller aux toilettes."
dis-je en désespoir de cause.

Allait-il me laisser sortir ? J'en doutais fort. Cependant, à ma grande surprise, le professeur Stevenson se décala de devant la porte, attrapa la poignée et l'abaissa si fortement qu'il l'arracha. Il ouvrit tranquillement le panneau de bois comme si cela ne lui avait demandé aucun effort, puis me désigna le couloir encore un peu enfumé.

"Faites vite. Je vous attends."

Sans demander mon reste, je me précipitai au dehors, passant près de lui en me plaquant contre la porte. Je courus jusqu'à Anatole et mes camarades qui avaient l'air de me chercher.

"Le prof de maths est un taré !" dis-je en me stoppant face à eux.

"Ca, on le sait depuis longtemps."
fit remarquer Kimberley. "T'as pas fini de faire ton intéressante en disparaissant ?"

L'ignorant, je me tournai vers Anatole et glissai ma main dans la sienne.

"Il faut me croire ! Il a essayé de me kidnapper ! Il a dit que j'étais une priorité ou je-ne-sais-pas-quoi ! Il est très bizarre ! On doit s'éloigner au plus vite sinon je suis sûre qu'il va revenir me chercher !"

Kimberley émit un soupir exaspéré. Sans attendre, je me mis à courir, entraînant Anatole avec moi. J'espérais que les autres nous suivaient. Je nous emmenais jusqu'au réfectoire qui était totalement vide. Là, je me stoppais et repris mon souffle. Anatole avait lâché ma main. Je me rendis compte avec un pincement au coeur. Comme les autres tardaient à nous rejoindre, j'en profitai pour lever la tête vers lui et déclarer :

"Je... je sais pas ce que tu as entendu exactement, avant, mais... c'est pas ce que tu crois. D'ailleurs, j'ai rien répondu à Kimberley ! On est amis toi et moi, je le sais. Et c'est bien comme ça."

Je tentai un sourire qui s'effaça très vite. Je ne voulais pas qu'il m'en veuille. Ca serait bien trop difficile à supporter.

"J'aurais dû lui dire que non comme ça... ça aurait été clair." marmonnai-je, mal à l'aise.

Je sentis mes joues s'empourprer et j'évitai le jeune homme des yeux, trop honteuse.

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Panique sur le Campus [Fe] _



________________________________________ 2017-01-23, 18:50 « Maîïîtreuuuh !!! »



« Panique...

...sur le Campus ! »




    On venait de franchir les portes du réfectoire. J'avais lâché la main de la jeune fille, vue qu'on ne craignait plus grand chose. Du moins, c'était ce que j'espérais. Le professeur de math qu'elle avait traité de cinglé devant ses camarades, n'était pas à notre poursuite. Quand à Kimberley, elle reprenait son souffle avant de sortir sa lime à ongle. Ce qui montrait qu'elle récupérait vite. Tadashi avait sortit son portable, tentant tant bien que mal de chopper du réseau. Quand à Steve, il était resté près de moi, ne loupant pas un mot de ce qu'Apple était en train de me dire.

    « Ce n'est pas le moment, Apple. On en discutera tout à l'heure. »

    Je ne voulais pas être trop direct avec la jeune femme, mais discuter de ce qu'elle avait dit ou non à son amie, n'était pas à l'ordre du jour pour le moment.

    « Steve, tu peux... »

    « Attention !!! » me coupa t'il en indiquant un cuistot qui venait de sortir de la cuisine avec une couteau à hachoir.

    Il s'était dirigé droit sur nous, d'un pas assuré. J'avais repris la main d'Apple, la faisant reculer et le cuistot c'était arrêté une fois à proximité de la jeune femme.

    « Vous ne devez pas rester ici, c'est dangereux ! Je vais vous conduire dans un endroit plus sécurisé ! »

    « Mais qu'est ce qu'ils ont tous avec elle ? Et nous alors ? »
    s'exclama Kimberley en pointant sa lime à ongle en direction du cuistot. « Je vous préviens ! Si il m'arrive quoi que ce soit parce que vous préférez vous occuper de la copine du bibliothécaire vous entendrez parler de mon père ! Il est haut placé dans la chaîne alimentaire. Très haut ! »

    Elle faisait des gestes avec sa lime à ongle pour indiquer jusqu'à qu'elle hauteur, son père devait sans doute être placé. Ce qui eu pour effet d'énerver le cuistot, qui s'approcha d'elle d'un air menaçant. Je lui prit rapidement la lime à ongle des mains pour éviter tout mal entendu.

    « Doucement. Elle n'est pas armée, juste un peu stressée. »

    Elle hocha la tête pour approuver mes dires, avant de me prendre le bras et de se serrer contre, en prenant un air innocent.

    « Ne me faites pas de mal monsieur le cuistot psychopathe. Papa ne vous fera rien du moment que tout se passe bien. »

    Je levais les yeux au ciel, avant de me détacher de Kimberley et de prendre instinctivement la main d'Apple.

    « On va sortir de là ! »
    dis-je catégorique, tout en jetant un oeil en direction des sorties accessibles par la cafétéria.

    « Vous devez être mise en sécurité au plus vite ! »

    « Elle le sera ! » m'exclamais-je à l'intention du cuistot, qui me fixa quelques instants, tandis que je venais de remarquer une sortie qui semblait totalement dégagée.

    « Euh... il fait quoi là ? » s'inquiéta Steve en me secouant légèrement le bras et en indiquant le cuistot qui me regardait sans ciller.

    Ce dernier fini par ouvrir la bouche.

    « Dois-je retourner en cuisine ? »

    Je l'observais quelques instants.

    « On dirait qu'il attend qu'on lui donne un ordre. C'est comme si c'était une goule sans cervelle, qui était commandée à distance. » en déduisit Tadashi.

    On le regarda tous sans réellement comprendre de quoi il parlait. Elliot saurait sans doute, mais il n'était pas là. Et il était inutile de l'inquiéter tant qu'on ne savait pas à quoi on avait à faire.

    « Restez avec nous. On sait jamais. »

    Le cuistot hocha la tête. On se dirigea tous vers la sortie. Jusque là, il n'y avait pas eu le moindre incident. Une fois devant la porte battante, je l'avais poussé et on était sortit. La cours de récréation ressemblait à celle d'ordinaire. Il n'y avait juste pas âme qui vive. Où étaient passés tous les élèves ? Pourquoi il n'y avait que nous ? J'allais formuler la question à voix haute, quand quelque chose fonça sur le cuistot, qui tomba à terre, se dandinant dans tous les sens.

    Kimberley poussa un cri, tandis que Tadashi était sur le point de sortir une nouvelle référence à l'un de ses films préférés ou jeux vidéos. Steve, fixa un point au loin et nous le montra au dos. Il y avait un homme vêtu tout de noir et un autre juste derrière lui qui tenaient un appareil en main. Sans doute celui qui avait envoyé ces trois petits points sur le cuistot et qui était en train de lui provoquer des décharges en continue.

    « Mettez vous à couvert ! » hurlais-je à l'intention de chacun, tout en m'approchant du cuistot, pour voir si il allait bien.

    Ses yeux étaient grands ouverts et il convulsait. Mais il y avait aussi de la fumée qui s'échappait de ses oreilles, comme ça le faisait parfois dans les dessins animés. A la différence que là c'était ni Bip Bip, ni Vil Coyotte. Apple était venue à côté de moi et je m'étais relevé pour la mettre à l'abri. Cependant, elle ne bougea pas. Quelque chose attirait son attention chez le cuistot. Je m'étais tourné pour le regarder. Ses yeux étaient devenus deux écrans sur lesquels s'affichaient deux mots.

    « Apple ! » dis-je à la jeune femme en la tournant vers moi et en la prenant par les épaules. « Tu me suis sans poser de questions, c'est d'accord ? »

    Sans lui laisser le temps de répondre, je lui avais pris la main et on s'était précipité vers le réfectoire. Je ne savais pas où étaient Tadashi, Steve et Kimberley, mais ma priorité était Apple. Et puis, j'avais la sensation qu'ils étaient là uniquement pour elle. On était en train de reprendre notre souffle quelques instants, mais il n'allait pas falloir traîner ici très longtemps.

    [b]« On va trouver une autre issue et tenter de comprendre ce qui se passe ici. Surtout, ne panique pas. Tout va bien aller, je te le promet. Tu as confiance en moi, n'est ce pas ? » ajoutais-je en serrant bien fort sa main, tandis que son regard fixa quelque chose au loin.

    A l'autre bout du réfectoire, le professeur de math venait de faire son apparition, accompagné d'un assistant de labo, un prof de sport qu'Apple n'aimait pas particulièrement et l'infirmière de l'école. Ca aurait pu nous rassurer si leurs yeux n'affichaient pas chez eux aussi, un écran noir. Deux mots s'étaient inscrits dessus, avant que leurs yeux reviennent à la normale. Les même mots que chez le cuistot qu'on avait laissé dehors...





Brume Rose

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________________________________________ 2017-01-25, 23:06

Rien ne peut nous arrêter
Tant que nous sommes ensemble

Piégés au lycée !

Ils étaient tous fous dans cette école ou quoi ? Quelque chose ne tournait vraiment pas rond. Le personnel du lycée s'était mis en tête de nous découper en rondelles ou de nous séquestrer à l'intérieur.

"Ca veut dire quoi 'Brume rose' ?"
glapis-je en serrant si fort la main d'Anatole dans la mienne que mes ongles s'y enfoncèrent. "Ca veut dire quoi ? Ca me rappelle un épisode de Grey's Anatomy mais... ça craint à fond ! Parce que c'est quand les gens explosent à cause d'une bombe mal désamorcée ! Je veux pas mourir comme ça ! Je... je veux pas mourir du tout, d'ailleurs ! ET POURQUOI ILS S'AVANCENT VERS NOUS COMME DES ZOMBIES ?!"

J'avais presque hurlé la dernière phrase tellement j'étais stressée. Jusqu'à maintenant, j'avais fait preuve d'un calme exemplaire. Mais mes nerfs commençaient à être mis à rude épreuve. Voir le prof de maths et celui de sport, un assistant de labo et l'infirmière nous barrer la route, c'était un peu trop. Surtout que leurs yeux étaient devenus noirs avec l'inscription "brume rose", avant que tout ne redevienne normal. Ca ne les empêcha pas de marcher droit sur nous.

Sans attendre, j'entraînai Anatole en arrière. Le cuistot arrivait déjà au loin. Je laissai échapper un couinement anxieux et me précipitai vers la première porte venue. Il faisait plutôt sombre à l'intérieur. Je fermai la porte et renversai une étagère devant afin d'empêcher les autres d'entrer. Puis, je me rendis compte que je me trouvais dans les toilettes des filles. Qu'est-ce qu'une étagère fichait dans cet endroit ? On aurait dit qu'elle avait été placée là exprès pour les besoins du scénario.

Je me reculai vers Anatole et glissai de nouveau ma main dans la sienne. Fixant la porte, je déglutis avec peine et demandai d'un ton angoissé :

"Tu crois que ça va les empêcher d'entrer ?"

J'avisai la pièce recouverte de carrelage et de graffitis avant d'ajouter :

"Suis-moi !"

Je le tirai vers moi pour l'emmener dans une cabine de toilettes. Après quoi je fermai la porte sur nous et la verrouillai. J'émis une exclamation triomphante.

"On est en sécurité ici !"

Je voulus me tourner vers Anatole mais constatai -un peu tard- que c'était très serré là-dedans. Je parvins tout de même à me placer face à lui. Nous étions très proches. Son corps se pressait contre le mien. Son souffle caressait mon front. Mes paupières papillonnèrent et j'expirai longuement.

"Tu... tu crois que les autres ont réussi à s'échapper ?" demandai-je d'une toute petite voix.

Je levai la tête et croisai son regard. Oh, j'aurais eu tellement envie de passer mes bras autour de lui et de le serrer très fort. Cela m'aurait rassuré... mais m'aurait fait très mal, aussi. Rien que le fait de le sentir si près et si inaccessible à la fois... j'étais presque sur le point de défaillir. Il sentait beaucoup trop bon. Il était beaucoup trop beau. Est-ce qu'il se rendait compte à quel point c'était difficile ?

Dans les films ou les séries, ça aurait été à ce moment-là que le héros aurait embrassé la fille qui a le premier rôle. Sauf que je savais très bien ce qui se passait quand j'essayais ce genre de rebondissement romantique : il se reculait. Je me souvenais encore de ma seule et unique tentative...

Je t'aime. songeai-je brusquement.

J'évitai aussitôt son regard, craignant qu'il ait entendu. Même si c'était impossible. Il avait eu une ombre étrange dans les yeux, pourtant. Je devais me faire trop de films. Il fallait que j'arrête de l'aimer. C'était de plus en plus douloureux, surtout quand il était tellement près.

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