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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
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 Les amitiés sont souvent dût au hasard ✔ Amélia

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Les amitiés sont souvent dût au hasard ✔ Amélia _



________________________________________ 2016-07-24, 18:52


Les Amitiés sont souvent Dût au Hasard

Mais rien ne les vaut

Parfois, il était dure d'être mère. Je m'en rendais compte un peu plus chaque jour. Toulouse particulièrement m'inquiétait. Je savais, que je ne pouvais pas rester comme ça, les bras croisés et fermer les yeux indéfiniment. Il allait falloir que j'agisse. Et le plus tôt serait le mieux. C'est pourquoi, j'avais décidé d'être ferme et était rentré en contact avec le docteur Dyson afin de lui expliquer la situation et de lui demander de prendre en charge le cas d'Adrien. Nous n'avions pas encore réellement discuté des modalités de prise en charge, aussi pour l'instant tout ceci n'était pas à ébruiter. Je souhaitais en discuter moi même tranquillement avec mon fils. Tôt ou tard, je savais qu'il allait falloir que je lève le pied, que je me repose un peu. Mais pas tout de suite. J'avais encore bien trop de choses à régler avant de pouvoir pleinement, m'accorder une pause.

Je sortais tout juste d'une opération, un chat s'était fait percuté par une voiture. Heureusement, plus de peur que de mal. L'animal, s'en était plutôt bien tiré, et d'ici trois semaines il pourrait à nouveau gambader joyeusement en espérant que ça lui ai servit de leçon et qu'il se montre plus prudent à l'avenir. Parfois, cela me rappelait ce que j'avais été dans une autre vie et les leçons que je tentais d'inculquer à mes chatons. Je n'y avais pas renoncé même en tant qu'humaine. Mais, j'admettais, que c'était parfois bien plus dure que lorsque nous n'étions encore que des chats. Et j'admettais bien souvent, que ces derniers temps en particulier mon ancienne vie me manquait. J'ignorais où était Thomas, ou bien même madame ainsi que Froufrou et Roquefort. Mes amis me manquaient, et je ne cessais de me demander si eux aussi, avaient bien subi cette malédiction, ou bien s'ils étaient resté chez nous.

A vrai dire, je ne saurais dire, laquelle des deux options était la mieux. Quelque part, j'espérais sans doute un peu des deux. Je me disais que comme ça, ils n'auraient pas à subir les tracas de notre vie d'humain. Mais en même temps, j'aurais réellement aimé les revoir. Aussi, étais-je quelque peu partagée. Rien que pour aujourd'hui, j'aurais aimé laisser mes soucis au placard. Louis, avait reçut une réponse positive quant à son admission dans la filière qu'il souhaitait à l'université de la ville. J'avais donc décidé de faire une surprise aux enfants, et de fêter ça. Marie était à son cours de chant, Adrien avec des amis et Louis sortie. J'avais donc le champ libre pour faire ce que je voulais. Fort heureusement, j'avais déjà acheté l'essentiel durant la semaine. Ne me restait que le gâteau.

J'avais prit des renseignements au prêt de mes clients, pour l'endroit où l'acheter et l'on m'avait donné une adresse que j'avais noté sur un bout de papier. Ne me restait qu'à m'y rendre. Le bout de papier, glissé dans l'espace juste en dessous du lecteur cd intégré à la voiture, je manœuvrais dans les rues de Storybrooke jusqu'à trouver la fameuse boutique. Satisfaite, je garais ma voiture un peu plus loin et poursuivit à pied. En franchissant la porte, un léger carillon tinta annonçant ma visite. J'appréciais ce système qui se faisait de plus en plus rare. Cela permettait au tenancier d'être informé de l'arrivé de clients. J'y avais songé un moment, mais au final je m'étais dit qu'un accueil pour la clinique était peut-être un peu mieux.

Quoi qu'il en soit l'intérieur de la boutique était chaleureux. L'on s'y sentait tout de suite bien. En évidence sur le comptoir sous des cloches transparentes, se trouvaient divers gâteaux. Sans doute étaient-ils vendu à la découpe. Une pratique qui se faisait de plus, en plus et que j'appréciais grandement car au moins l'on pouvait se faire une vrai idée du gâteau. Dans la vitrine, étaient entreposés d'un côté plusieurs mignardises et de l'autre des ballotins de chocolat. De ce que je supposais être l'arrière boutique, surgit une femme brune d'à peu prêt mon âge a l'air joviale. Immédiatement je me mit à sourire en retour :

- Bonjour, vous devez être la propriétaire je suppose. Votre boutique, est très chaleureuse est-ce vous qui l'avez décorée ?

Me rendant compte que je m'étais peut-être montré un peu trop intrusive je décidais de me corriger :

- Je vous demande pardon pour ma curiosité, à vrai dire je suis ici pour passer commande. Plusieurs de mes clients à la clinique vétérinaire ont vanté vos mérites, alors j'ai décidé de venir voir moi même. J'ai une demande un peu spéciale

J'espérais réellement, qu'elle pourrait la réaliser. Je ne me faisais pas trop d'inquiétude à ce sujet, car au vu de sa boutique, elle semblait avoir plusieurs cordes à son arc.


Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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________________________________________ 2016-07-24, 21:57 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Qu'on se le dise, pâtisser en été est autrement plus crevant que pâtisser en hiver. Pourtant, Amelia Peters mettait toujours autant de cœur à l'ouvrage, même en plein mois de juillet. Elle avait depuis longtemps investi dans un système de climatisation - hygiène oblige - afin de maintenir en toute saison son antre à la même température, plus ou moins quelques degrés. Néanmoins, parce que l'ancienne lionne courait toujours partout, elle ressentait bien la chaleur, clim ou pas. Et cela ne l'arrêtait pas le moins du monde.
Elle venait d'enfourner une série de tartes aux noix de pécan quand le carillon lui indiqua la présence d'un nouveau gourmand. Aussitôt, Amelia retira son tablier et se dirigea à pas vif vers la partie publique de son établissement pour bientôt faire face à une femme autrement plus élégante qu'elle et d'environ son âge.
La dame, car elle en avait tout l'air, lui retourna son sourire - un plus appréciable, parole de commerçant - et complimenta la décoration. Elle n'était pas la première. Jillian, sa plus jeune sœur, et elle avaient effectivement trouvé le ton juste pour faire de cet endroit un cocon chaleureux et ergonomique dont la vitrine changeait au gré des saisons.
- Bonjour ! Merci, s'écria la pâtissière en souriant d'avantage. C'est ma petite sœur qui m'a aidée à décorer, à trouver le ton que je voulais, les bonnes couleurs etc etc. On change les accessoires au fil des saisons et des fêtes mais pas la peinture. C'est vrai que moi aussi j'aime bien. Ca vaudrait mieux, en même temps, hein ?
Par chance pour la cliente, Amelia n'était pas entré plus en détails dans la généalogie complexe de sa grande famille. Puis la dame, car c'en était décidément une au vu de ses manières au sommet de la courtoisie et de la bienséance, expliqua la raison de sa visite, déclenchant l'une des autres caractéristiques d'Amelia : la curiosité. Et rehaussant son amour propre. Amelie était peut-être humble, elle n'avait rien contre un compliment. Et savoir que les clients vantaient ses mérites à leur vétérinaire était une bonne chose. Même s'il eut été encore mieux de savoir qu'ils les vantaient à leur médecin généraliste pour disculper Amelia en cas de crise de foie. Mais bon.
- Une demande un peu spéciale, vous dites ? reprit Amelia en attrapant calepin et stylo au cas où. Dites moi tout, on va sûrement trouver de quoi la réaliser ! J'aime bien les défis et j'adore les demandes spéciales !
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________________________________________ 2016-08-03, 20:25


Les Amitiés sont souvent Dût au Hasard

Mais rien ne les vaut

Je ne m'étais pas attendue à un tel contact, la plupart des gens m'avaient dit qu'elle était accueillante, mais je ne l'imaginais pas à ce point. C'était presque comme si nous étions amies. Non que cela me déplaise bien au contraire. Les commerçant devraient en prendre un peu plus de la graine. Non seulement, la boutique mais la personne qui la tenait était chaleureuse. Cela donnait immédiatement, l'envie de revenir. La rouquine qui s'occupait de l’accueil à la chocolaterie était adorable mais son supérieur était affreusement rustre. Aussi, n'y étais-je allé qu'une seule fois, et n'avait pas souhaité y revenir. Même si l'on vantait les mérites de leurs chocolats. Et il était vrai, que je ne pouvais nullement leur enlever cela. En effet, ils étaient délicieux. Mais, je n'avais nul doute, concernant la qualité des produits que l'on pouvait trouver ici :

- En tout cas c'est charmant et très agréable
répondis-je avec un sourire aimable à la tenancière.

Mais déjà, la voilà qui se mettait au travail, me demandant ce que je souhaitais pour ma commande spéciale. Un nouveau sourire naquit sur mes lèvres, j'avais eu raison de ne pas m'en faire. Elle semblait prête à réaliser n'importe lequel de nos souhaits en matière de pâtisserie.

- J'espère ne pas vous demander l'impossible dis-je tout de même. Voyez vous, mon fils cadet a eu son diplôme et sa réponse pour la faculté. Il est admit avec l'option qu'il souhaitait. J'organise une petite fête pour cela ce week end et j'aurais souhaité qu'il y ai un gâteau pour conclure.

J'avais du mal à dissimuler la pointe de fierté dans ma voix. Mes enfants grandissait, ça me faisait chaud au cœur. Même si par moment, je regrettais notre vie d'avant je ne pouvais nier, que j'avais tout de même le privilège d'avoir pu garder mes enfants avec moi, et de pouvoir les voir grandir. Je savais que tout le monde n'avait pas cette chance. Alors, oui nos amis et Thomas me manquaient mais, j'avais je ne pouvais le nié eu beaucoup de chance en pouvant conserver ma famille quasiment intacte.

Je regardais la pâtissière, noter sur son calepin ce que je venais de lui dire. Je me doutais bien, qu'elle me demanderais ce que je souhaiterais et j'y avais déjà réfléchit à l'avance. Ça devait avant tout faire plaisir à Louis, mais à Adrien et Marie également. Hors, je savais parfaitement, ce qui leur plairait à tous, pour qu'il n'y ai pas de dispute ce soir là. Je souhaitais que tout soit parfait. Comme, lorsque nous avions fêté l'entrée en faculté d'Adrien l'an dernier. Et l'an prochain ce serait le tour de Marie déjà. Toute à mes pensées, je laissais mon regard dévié sur le restant de la boutique, notamment une affichette indiquant que l'endroit fournissait le restaurant gastronomique de la ville :

- Pardonnez moi si vous jugez ma curiosité mal placée mais je n'a pas pu m’empêcher de voire votre étiquette de fournisseur. Vous fournissez le restaurant de la famille Flemming ?

J'y mangeais souvent, les propriétaires étaient des gens tout à fait charmant. J'y emmenais souvent les enfants pour les grandes occasions d'ailleurs. Ils étaient des adolescents, les restaurants où il faut attendre pour que les plats arrivent ce n'était pas vraiment ce qu'ils aimaient le plus. Pour eux, il fallait que ça aille plus vite.


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________________________________________ 2016-08-03, 21:34 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Elle était mignonne, cette madame. Demander l'impossible ? A Amelia ? Mais même si elle l'avait fait, l'ancienne lionne y aurait mis tout son cœur pour rendre cet impossible possible. La cliente n'avait aucun souci à se faire, aucun. Vraiment. Ses désirs étaient et seraient des ordres, ni plus, ni moins !
- Vous êtes mignonne, répondit-elle machinalement. C'est de la pâtisserie, tout est possible en pâtisserie. C'est... du rêve éveillé, voilà ce que c'est ! Mais allez y, je vous écoute, reprit Amelia plus sérieusement, le stylo prêt à déverser son encre sur le calepin.
Et la cliente poursuivit effectivement, expliquant qu'elle voulait organiser une fête pour le diplôme de son fils. Et ça, c'était typiquement le genre d'idées qu'aimait Amelia qui ne pouvait s'empêcher de sourire de plus belle, se retenant de battre des mains sous le coup de l'excitation.
- Oh mais c'est génial ! laissa t-elle tout de même échapper. Vous êtes une super maman ! Moi à votre place c'est exactement ce que j'aurais fait. D'ailleurs... c'est ce que j'ai fait en fête. Rien n'est jamais trop beau pour faire une petite fête pour ses enfants ou plus généralement sa famille... Enfin, je m'égare...
Amelia sourit et releva la tête vers sa cliente qui, elle, se concentrait sur l'affiche indiquant qu'elle était partenaire du restaurant gastronomique de la ville.
- Eh oui, je fais leurs desserts depuis quelques mois ! s'exclama Amelia, pas peu fière de s'être vue accorder pareil honneur. Vous connaissez ? Je dois avouer que je n'ai pas encore eu l'occasion d'y manger... Mais qui sait, mon gentil petit mari m’emmènera peut-être y manger pour mon anniversaire ! Ou pour autre chose. Alors. Et si on en revenait à notre gâteau ? C'est une belle occasion à fêter que vous avez là, il faut qu'on soit bien d'accord sur les saveurs, déjà, et la forme voire le glaçage si vous avez une idée... On est pas obligées de s'affoler, bien sûr, sauf si votre fête c'est demain, auquel cas, si il va falloir se décider. Enfin. La parole est à vous !
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________________________________________ 2016-08-19, 21:43


Les Amitiés sont souvent Dût au Hasard

Mais rien ne les vaut

C'était amusant. La pâtissière en face de moi, ne ressemblait en rien à la plupart des gens exerçant ce métier. Non, que j'en connaisse personnellement, mais Madame nous amenait souvent avec elle, lorsqu'elle sortait, et il nous était arrivé plusieurs fois de nous rendre chez des Pâtissier. La plupart faisaient la moue en nous voyant. Des chats ici, ce n'était sûrement pas dans leurs habitudes. Ils pensaient sûrement que nous allions courir et grimper partout, au point de saccager leurs précieuses boutiques. Et d'une manière général, ils n'accordaient que très peu de temps aux clients. Ici au contraire, elle prenait le temps d'engager la conversation, de discuter avec son client. Comme je l'avais déjà dit, j'avais presque l'impression que nous étions amies depuis toujours. Et si certes, elle parlait beaucoup, ce n'était nullement dérangeant bien au contraire, je trouvais cela extrêmement agréable. L'on voyait qu'elle aimait son métier, et qu'elle le faisait vraiment par passion :

- Oui, il nous arrive souvent d'y manger. Nous connaissons bien Elizabeth l'hôtesse, qui est pour ainsi dire une amie de la famille. Nous, nous sommes rencontré la première fois, où nous sommes allé y manger, et depuis il est fréquent que nous passions du temps libre ensemble.

Quand je ne travaillait pas, j'aimais particulièrement l'inviter l'après midi afin de boire un thé ensemble. Nous partagions le même goût pour cette boisson, là où d'autres préfèrent le café. Notamment mon aîné, Adrien. Il ne jurait que par ça au petit déjeuner. Et il ne fallait, surtout pas lui parler avant qu'il l'ai bu. Mon fils, n'était vraiment pas du matin et avait une petite tendance à devenir grincheux si l'un de nous lui adressait la parole dès qu'il passait le pas de la porte de la cuisine. Aussi, d'une manière général, autant Louis, Marie que moi nous en abstenions. J'ai bien dit d'une manière général. Parce que hélas, les chipotages en frères et sœurs, même maintenant qu'ils sont grands ce n'est pas finit. Je supposais que ça se calmerait quand Adrien partirait de la maison.

- Tentez de glisser le mot à votre mari, sait-on jamais il comprendra peut-être l'allusion et vous y emmènera

Rien n'empêchait de donner un petit coup de pouce de temps en temps, si l'on souhaitais quelque chose. Les hommes avaient parfois un petit peu de mal à comprendre certaines choses. J'en avais fait l'expérience avec Thomas quand nous, nous étions rencontré.

- A vrai dire, je pensais plus à une mousse qu'à un gâteau traditionnel
dis-je pour en revenir au sujet principal

Non pas que j'ai quelque chose contre, mais je voulais vraiment faire original pour une fois. Et une mousse, convenait parfaitement à l'idée de fête que j'avais en tête. Bien sur, il n'était pas question que les enfants soient mit au courant. Déjà, parce qu'aucun d'eux ne savaient tenir sa langue quand il s'agissait d'une surprise. Je me souviendrais toujours de l'anniversaire surprise de Marie il y a deux ans, que j'avais dût reporter parce que Louis avait vendu la mèche quant au jour. C'est pourquoi, d'une manière général, je préférais éviter de leur en parler. Si ça devait être une surprise, j'étais la seule au courant et c'était bien mieux ainsi.

- J'aurais souhaité une mousse trois chocolat, vous comprenez c'est pour leur faire plaisir à tous les trois, et le fait amusant c'est qu'ils aiment tous les trois un chocolat différent.

Cette petite facétie de la vie, m'avait toujours fait sourire. Ils étaient aussi différents, que les chocolats qu'ils aimaient mais en même temps, comme le chocolat en lui même ils étaient pareils.


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________________________________________ 2016-08-19, 23:39 « La vie c'est pas de la tarte ! »

- Ah moi je connais Selena Hope, pas Elizabeth, commenta Amelia quand sa cliente lui en eut dit plus sur sa connaissance du restaurant gastronomique de la ville. Mais je ne doute pas qu'Elizabeth soit aussi sympathique que Selena qui est une vraie dame ! Comme vous, en fait.
La pâtissière s'en tint à ce qu'elle voulait être un compliment, ne souhaitant pas se montre trop curieuse. Elle sourit à la suggestion de jouer la subtilité pour aller au restaurant avec Wyatt. Ca se tentait. Et Wyatt était un homme intelligent - qui avait fait quelques erreurs dans sa vie mais c'était en partie la faute de Regina donc il restait un homme intelligent - donc totalement capable de comprendre la subtilité, d'autant que sa femme n'en avait pas plus que ça. Elle était bien trop excitée pour être réellement subtile. Dès qu'elle faisait une suggestion, elle ne pouvait s'empêcher de sourire de toutes ses dents. Néanmoins, elle ajouta :
- Si ça marche je vous raconterais. Enfin, si on se revoit. La ville est petite, ça ne doit pas être trop compliqué.
Amelia sourit une nouvelle fois, laissant le soin à sa cliente de ramener le sujet principal de la conversation sur le devant de la scène. Toujours armée de son calepin, la pâtissière nota consciencieusement le mot "mousse" avant de l'entourer deux fois. Puis elle marqua une pause, observant sa cliente qui poursuivit :
- J'aurais souhaité une mousse trois chocolats, vous comprenez c'est pour leur faire plaisir à tous les trois, et le fait amusant c'est qu'ils aiment tous les trois un chocolat différent.
Amelia sourit de plus belle tant l'anecdote était mignonne.
- C'est vraiment génial comme idée ! s'écria t-elle finalement. Les mousses au trois chocolats traditionnelles sont un empilement de couches : le chocolat noir en dessous puis le lait puis le blanc ou l'inverse. Mais bien sûr je ne vous apprends rien. Bref, toujours est-il que ce n'est pas très pratique si l'un n'aime que le chocolat noir, l'autre le blanc et le dernier celui au lait. Donc, au lieu de faire une mousse horizontale et classique on pourrait la faire verticale. A gauche le noir, au milieu le chocolat au lait et à droite le blanc - ou l'inverse, hein. Ca ne doit pas être trop compliqué de faire un montage, ce serait même très amusant ! Tenez, je vous le dessine ce sera plus clair.
Joignant le geste à la parole, Amelia se tut et crayonna rapidement sur une nouvelle feuille de son calepin. Quand elle eut terminé, elle s'approcha et tendit le dessin.
- Bon c'est un croquis, évidemment en vrai ce serait plus joli, commenta t-elle pour la rassurer des fois que ses talents de dessinatrices ne soient pas convaincants.
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________________________________________ 2016-09-15, 19:22


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Mais rien ne les vaut

Il était agréablement amusant de se rendre compte, que nous connaissions le restaurant par deux personnes différentes. Je savais que Selena, était la sœur d'Elizabeth, pour en avoir discuté plusieurs fois ensemble. Je l'avais croisé brièvement, ne s'occupant pas du service en salle, mais elle m'avait effectivement fait l'effet d'une femme distinguée. Elizabeth disait d'ailleurs souvent, que nous, nous entendrions bien toutes les deux. Sans doute, aurons nous le temps de faire plus ample connaissance, par la suite. En tout cas je souris et acceptait bien volontiers le compliment de la gérante, qui d'ailleurs me proposa une idée concernant ma demande de mousse trois chocolats.

Pendant, qu'elle dessinait, j'attendis patiemment, regardant à nouveau la boutique un peu comme pour n’imprégner de cette ambiance, et des détails que je n'aurais pas remarqué. C'est ainsi que je remarquais, qu'il y avait des chocolats à la dégustation, sans doute pour que les clients puissent se faire une idée des produits. Ainsi que de jolies boites, qui devaient très certainement servir pour les ballotins. Quoi qu'il en soit, je trouvais tout ceci véritablement ravissant.

Jetant un œil au croquis, que m'avait fait madame Peters, je laissais un large sourire prendre sa place sur mon visage. Assurément, tout ceci leur plairait grandement. Chacun aurait droit à ce qu'il aime. Ainsi, ce que je souhaitais à savoir que le gâteau soit pour tout le monde, serait réussit. Je ne doutais étrangement pas de ma fidélité à cette boutique. Non seulement, la tenancière était aimable, la boutique en elle même était tout à fait charmante, et l'on s'y sentait directement bien, mais en plus sa propriétaire se trouvait doué d'un talent non négligeable concernant la créativité :

- Si vraiment vous pouviez réaliser cela, j'en serais ravis. C'est tout à fait ce que je souhaitais.

Un clin d'oeil à cette petite facétie de la vie dont je parlais juste avant. Et la surprise, pour mes enfants, n'en serait que plus réussit. Je voulais que le temps de cette soirée, tous les soucis des uns et des autres soient relégués au second voir même troisième plan, pour ne se focaliser uniquement que sur un bon moment à passer en famille.

- Et n'hésitez pas à me dire si cela a marché avec votre époux, je serais heureuse de savoir le dénouement de toute cette histoire.


Oui, parce qu'il était amusant, de savoir si oui ou non au final, elle avait réussit à avoir gain de causes. Il fallait parfois, savoir faire preuve d'inventivité face aux hommes, qui ne comprenaient pas toujours, ce que nous souhaitions. Je me souviens, que Madame était particulièrement douée pour ce genre de choses. Elle me manquait, sans doute plus qu'aux enfants, même s'ils me demandaient souvent, si je l'avais retrouvé. J'aimerais que ce soit le cas. Moi aussi, je devrais sans doute relégué, mes soucis au second ou troisième rang maintenant que j'y pensais. Je n'en étais nullement, dispensé. Si Marie, Louis et Adrien y mettaient du leur alors, à moi aussi de le faire.

- En réalité, je me rends compte que je ne me suis même pas présentée. Veuillez me pardonner, cette impolitesse. Je vous passe commande, et vous ignorez même jusqu'à mon nom. Je me nomme Olympe De Clos-Renault enchantée

J'avais dit être vétérinaire, mais je ne m'étais pas présenté. Comment avais-je pu être aussi grossière ? Mes soucis, ne devraient jamais prendre le pas sur la politesse envers les autres. Ils s'agissait d'une règle d'or chez moi. Pourtant, je me rendais compte que je l'avais en quelque sorte enfreinte aujourd'hui.


Amelia Peters
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Amelia Peters

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________________________________________ 2016-09-15, 21:30 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Bingo ! songea la pâtissière, satisfaite. Elle était toujours ravie de voir qu'elle avait misé juste quant aux désirs de ses clients, non pas parce qu'elle était particulièrement imbue d'elle-même parce que son but premier était de leur faire plaisir. D'autant plus s'il y avait des enfants en jeu. Les enfants, c'était tout bonnement ses clients préférés - même s'ils étaient aussi les plus exigeants. Amelia n'avait pas peur des challenges, surtout pas en cuisine. En l'occurrence, elle avait déjà fait la moitié du chemin : le schéma plaisait à la cliente. Ne restait qu'à la réaliser en y mettant toute la technique, la passion et le goût dont elle était capable. Cette fête resterait dans les mémoires de toute la famille pour avait été délicieusement géniale, Amelia y mettrait un point d'honneur. On ne plaisante pas avec les fêtes. Jamais.
- Challenge accepted ! déclara simplement la jeune femme en lui lançant un clin d'œil. Je vous raconterai, promis ! ajouta t-elle un peu après que la cliente lui ait demandé de la tenir informée de leur plan "diabolique" pour aller essayer le restaurant gastronomique de la ville.
Amelia avait presque tout pour finaliser la commande : elle connaissait l'occasion, le dessert, avait établi le croquis et l'avait validé, dans la foulée, avec sa cliente. Il ne manquait qu'un nom auquel mettre ladite commande et une date, ce qui était sans doute le plus important pour qu'Amelia s'organise. Accessoirement, elle devrait penser à se faire payer mais c'était toujours ce qu'elle demandait en dernier.
Amelia n'aimait pas parler argent. Elle n'aimait pas avoir à le demander aux clients même si elle en avait besoin pour que ses affaires prospèrent. Ce qu'elle aimait, c'était la cuisine, pas le profit. Elle se demandait parfois si ce plaisir se ressentait auprès des clients et s'il contribuait paradoxalement à faire revenir les clients et donc à lui donner leur argent. Puis elle trouvait le raisonnement tordu et l'occultait pour se concentrer là où était sa passion, trop heureuse de pouvoir en vivre, contrairement à d'autres.
Et l'une des informations manquantes arriva sans qu'Amelia n'ait besoin de la demander. Elle n'en sourit que plus, le stylo toujours en main pour noter.
- En réalité, je me rends compte que je ne me suis même pas présentée. Veuillez me pardonner, cette impolitesse. Je vous passe commande, et vous ignorez même jusqu'à mon nom. Je me nomme Olympe De Clos-Renault, enchantée, déclara donc la vétérinaire qui s'appelait Olympe.
Amelia sourit. Olympe se formalisait un peu pour rien mais c'était gentil de sa part. La politesse, c'était quelque chose d'important aux yeux de l'ancienne lionne aussi.
- Mais vous en faites pas, voyons ! Je vous l'aurais demandé, votre nom de toute façon ! J'en ai besoin pour la commande, faut que je sache à qui je facture voire à qui je livre et surtout, surtout pour qui c'est ! Donc je note, Olympe De Clos-Renault, dit-elle en joignant le geste à la parole. C'est français, non ? Vous avez de la chance si vous venez de là bas, ça a l'air tellement romantique et prestigieux ! En tout cas Olympe c'est un sacré prénom ! Très.. très comme vous, ça vous va bien. Moi c'est juste Amelia Peters, pas de quoi fouetter un chat. Accessoirement vous avez dû noter que la boutique porte mon nom donc je ne vous apprends rien, commenta t-elle plus pour elle. Bref. On a presque tout. Il me faudrait la date pour laquelle vous voulez le gâteau et me dire si vous souhaitez être livrée ou passer le prendre.
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________________________________________ 2016-10-09, 15:10


Les Amitiés sont souvent Dût au Hasard

Mais rien ne les vaut

Les gens comme Amelia étaient rares, et de manière positive en réalité. Elle donnait envie de discuter, pas seulement de passer simplement commande et ne plus donner signe de vie. Je m'étonnais d'ailleurs que sa boutique ne soit pas plus remplie. De mon point de vue les clients, auraient dût affluer. Enfin peut-être n'était-ce pas l'heure de pointe, et que les gens avaient plutôt tendance à venir à d'autres heures. Je l'ignorais et ne poserait pas la question. J'estimais que c'était de la curiosité mal placé, et il n'était pas question d'avoir de telles manières. Je ne pu m'empêcher un petit rire en revanche lorsqu'elle utilisa l'expression « fouetter un chat », c'était plus fort que moi, je ne pouvais m'empêcher de saisir l'ironie de la situation en quelque sorte. Devant son air interrogateur je repris toutefois contenance et effectuais un petit sourire :

- Je suis navrée c'est juste que...Eh bien c'est très amusant car en réalité je suis un chat, je veux dire là d'où je viens. Duchesse c'était mon prénom et vous avez mit dans le mille, je suis belle et bien Française

Je n'aurais pas confié ma « vie » en règle général, mais Amelia...Eh bien elle avait ce petit quelque chose qui me donnait envie de pousser un petit peu plus la confidence. Comme un don pour mettre à l'aise les gens même ceux comme moi, enfermés dans leurs principes. Oh je l'admettais bien volontiers que j'étais très à cheval sur la politesse et les bonnes manières mais à vrai dire, je n'avais en quelque sorte jamais rien connus d'autres. C'est d'ailleurs également pour cela que j'avais souhaité l’inculqué à mes enfants.

- La malédiction, a apparemment, quelque part voulu me rappeler qui j'étais repris-je avec un sourire amusée, puisque j'ai toujours pensé venir d'une vieille famille Aristocratique, j'en ai d'ailleurs tous les principes je pense que cela se remarque

Je remit une mèche brune en place, derrière mon oreille avant de poursuivre, sur ce qu'elle m'avait demandé et lui donner la date pour laquelle je souhaitais le gâteau. Je n'en eus malheureusement, jamais le temps, puisque des cris attirèrent mon attention, je me retournais reconnaissant parfaitement, les voix. Étonnée, je pu voir Louis ainsi que Marie franchir le pas de la boutique d'Amelia. Ils semblaient essoufflés, et en pleine dispute pour ne pas changer. Miséricorde, je m'en voulais d'imposer un tel tapage à la pâtissière, qui devait avoir bien d'autres choses plus importantes que d'assister à un tel spectacle. D'ailleurs, le tapage sembla s’intensifier dès que mes deux enfants m'eurent aperçus

Moi d'abord !
S'exclama Marie

Et pourquoi toi d'abord ?

Parce que je suis une dame rétorqua ma fille d'un air hautain voilà pourquoi

- T'es pas une Dame Marie ricana Louis, t'es rien qu'une sœur

Allons bon, la vieille dispute, du « moi d'abord ». Ils avaient l'air d'avoir une importante nouvelle à me communiquer au vu de leur agitation, cela m'inquiéta quelque peu, mais comme ils n'avaient nullement l'air décidé à éclairer ma lanterne je me décidais à prendre les choses en main. Aussi, me raclais-je la gorge pour signaler ma présence avant de me décider à faire mon devoir de mère

- Berlioz, je vous prierais à l'avenir d'être un peu plus courtois lorsque vous, vous adressez à votre sœur en publique

Le vouvoiement, et l'utilisation de son vrai nom sans doute, surprirent totalement mon fils, qui ouvrit deux grands yeux ronds, avant de faire de même avec sa bouche certainement pour répondre quelque chose. Mais hélas, cette dernière resta totalement muette. Lui donnant à vrai dire, plus l'air d'un poisson rouge que l'on aurait tout droit sortie de son bocal, qu'un jeune homme de dix huit ans. Ce que bien évidemment, sa sœur ne manqua pas de souligner par un ricanement moqueur auquel je répondis par une réprimande du même type que celle faite à son frère :

- Quant à vous Marie, les Dame ne se moquent pas ainsi des gens quand ils se font réprimander


Je vie ma fille s’empourprer, et si son frère ne fit aucun commentaire, ce n'est dût uniquement qu'au fait que je lui fis les gros yeux, en le voyant prêt à faire preuve d'aucune charité. Allaient-ils finir par s'entendre un jour ou à un autre ? J'admettais me poser bien souvent la question, mais n'avoir toujours pas trouvé la réponse. J'adressais un regard d'excuse à Amelia, pour tout le désordre et la gêne occasionné. Ils n'étaient pas méchant, ils étaient je suppose comme tous les adolescents, un peu agité. Mais quand on les connaissait bien, ils étaient vraiment des Les amitiés sont souvent dût au hasard ✔ Amélia 675216545 quoi qu'il en soit ils avaient tous les deux l’air penaud aussi mon visage s’adoucit. Je n'étais pas réellement fâche de toute façon, j'avais juste dût me montrer un peu sévère. Après tout, c'était mon devoir de mère de leur dire où étaient les limites à ne pas dépasser. Mais, je ne leur en tenais jamais vraiment rigueur.

Bien maintenant dites moi ce qu'il se passe et de manière calme je vous prie :

- C'est Adrien dit Louis, il est aux urgences

Toute couleur sembla quitter mon visage. Toulouse, aux urgences ? Mais que diable lui était-il arrivé ? Mon imagination sembla s'emballer de même que mon inquiétude imaginant déjà le pire. Et bien évidemment, à tout cela s'ajoutait la culpabilité. Oh Grand Dieu, je n'avais peut-être pas réagit assez rapidement. Ces dernier temps, cela semblait être pire que les autres fois. Il refusait, toute communication, et les sachets que j'avais retrouvé sous son lit, m'indiquait qu'il avait semble-t-il augmenté sa consommation. Cela ne pouvait plus durer. Lutant avec tout mon courage, et toute ma dignité pour ne pas laisser mes yeux s'embuer, je me tournais vers mon cadet et ma benjamine, qui m'observaient avec inquiétude, pour leur faire un Les amitiés sont souvent dût au hasard ✔ Amélia 3047629014 les Les amitiés sont souvent dût au hasard ✔ Amélia 283248815 dans mes bras :

Ça va allé, merci de m'avoir prévenu tous les deux

- Je voulais le faire plus tôt mais Louis m'en a empêché
rétorqua Marie

- Cafard maugréa-t-il

Un pâle sourire se dessina sur mes lèvres, tandis-que je tentais du mieux que je le pouvais de reprendre contenance. Je ne pouvais me laisser allé, je n'avais pas le droit de chancelé. J'allais être forte, et allé voir mon aîné aux urgences, m’enquérir de son état, et mettre clairement les point sur les i avec lui :

- Amelia, pardonnez moi de vous demander cela mais, pourriez vous venir avec et vous occupé d'eux, pendant que je vois ce qu'il en est. Je comprendrais si vous refusiez, moi même je me trouve stupide, de vous demandé cela alors que nous venions de nous rencontrer admis-je nerveusement

L'inquiétude était décidément, en train de me faire perdre tous mes moyens


Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !

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________________________________________ 2016-10-09, 16:21 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia ouvrit de grands yeux surpris et émerveillés. Alors elle parlait à un chat français ! Ca pour le coup, c'était effectivement "cocasse", comme le soulignait Olympe.
- C'est dingue ! s'écria t-elle joyeusement. Puisque nous en somme aux confidences, il se trouve que j'étais une lionne donc... un très gros chat, en quelque sorte. Je viens de la savane, ça explique peut-être mes manières un peu... brutes de décoffrage ? En tout cas, vous êtes mon premier chat ! Enfin, je crois. Les gens racontent de moins en moins ce qu'ils faisaient dans leur ancienne vie.
Tout en disant cela, la pâtissière haussa les épaules. Elle était certes curieuse mais elle ne se permettait pas ce genre de questions avec ses clients. S'ils amenaient le sujet, elle en était la première ravie. S'ils préféraient commenter la météo, cela lui convenait également.
- Duchesse, c'est vraiment un sacré nom, en tout cas ! Et vous le portez bien ! C'est vrai, ça se voit un peu à votre façon d'être mais c'est vraiment une chouette façon d'être. Moi je m'appelle Diku. C'est du swahili, ça veut dire ferraille. Je vous avoue que je ne sais pas trop comment le prendre mais j'aime bien la façon dont ça sonne.
Amelia rit de bon cœur. Puis elle dégaina une nouvelle fois son stylo, prête à finaliser la commande, quand deux adolescents, une jeune fille blonde et un garçon brun, entrèrent à grand renfort de cris et de grands gestes, dans la boutique. Manifestement ils se disputaient et rappelèrent aussitôt Velma et Declan à leur mère. Tout comme ces jeunes gens qui arrivaient, ils étaient très différents l'un de l'autre et se chamaillaient parfois tout en s'aimant profondément.
Olympe, en grande dame qu'elle était, mit bientôt fin à la dispute des deux jeunes gens - Marie et Berlioz, apparemment - et de la manière la plus classe qu'il soit, si bien qu'Amelia se demanda pourquoi elle n'avait jamais pensé au vouvoiement quand elle cherchait à faire preuve d'autorité. Peut-être aurait-elle gagné en crédibilité... ou perdu le peu qu'elle avait quand elle se fâchait.
Cependant, Olympe semblait gênée par l'incident et adressa un regard contrit à la pâtissière, regard qu'elle chassa d'un revers de la main.
- J'ai des enfants, vous en faites pas je sais ce que c'est ! assura t-elle.
Mais la bonne humeur fut de courte durée. Amelia n'avait même pas eu le temps d'offrir des chocolats à Marie et son frère que ceux-ci annoncèrent une terrible nouvelle : Adrien, le troisième enfant d'Olympe à n'en pas douter, était à l'hôpital.
Bien qu'il s'agissait là d'une affaire privée, Amelia n'avait pu qu'entendre cette terrible nouvelle et voir blêmir Olympe en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Quant à elle, elle avait porté sa main à sa bouche et ouvrait de grands yeux choqués. Elle ne connaissait pas Adrien mais se sentait concernée comme jamais par cette affaire. Tout ce qui se produisait dans sa boutique la concernait de près.
Il fallait qu'Olympe court aux urgences et vite, son petit garçon (qui devait sans doute être adolescent voire jeune adulte, en fait) était à l'hôpital, c'était peut-être grave et Amelia l'aurait poussée dehors sur le champ si Olympe ne s'était pas tournée vers elle pour lui demander confusément de venir avec eux pour s'occuper des deux autres.
- Evidemment que je viens ! s'écria t-elle. Bougez pas, je vais chercher les clés de la voiture. Hors de question que vous conduisiez dans votre état.
Joignant le geste à la parole, la pâtissière disparut dans l'arrière-boutique où elle attrapa son sac à main et un sachet de cookies pour la route, des fois que quelqu'un aurait un petit creux. Le sucre, ça fait toujours du bien dans les moments d'émotion. D'ailleurs, alors qu'elle retournait auprès d'Olympe et de ses enfants, elle tendit une coupelle de chocolat à la duchesse :
- Tenez, ça va vous requinquer. Vous avez besoin de sucres rapides et je ne connais que le chocolat comme remède. Ensuite, en route. Naturellement, vous pouvez aussi en avoir, les enfants, ajouta t-elle en souriant à Marie et Berlioz. J'ai pris des cookies pour la route, reprit-elle quand tout le monde fut servi. On ne sait jamais, on aura peut-être besoin de prendre des forces et les friandises dans les distributeurs sont vraiment beurk, si vous voulez mon avis.
Reposant la coupelle de chocolats, Amelia prit la direction de l'entrée et tint la porte à ses clients. Elle verrouilla ensuite son magasin et les emmena vers sa voiture, garée à deux pas. L'instant d'après, le convoi exceptionnel prenait la route de l'hôpital. Exceptionnellement, Amelia avait coupé le CD de Céline Dion qui tournait. Ils roulaient en silence. Amelia se concentrait sur la route pour éviter de poser des questions gênantes mais jetait de temps en temps quelques regards vers Olympe pour s'assurer qu'elle tenait le coup.
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