« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Événement #71 : Zootopie, la Chamelle à Trois Bosses [Fe]

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Événement #71 : Zootopie, la Chamelle à Trois Bosses [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2016-11-30, 14:31






Attends quoi ?!

VOUS SAVEZ QU'ON EST DE LA POLICE NOUS ? NON MAIS !





    Derek et Duncan avaient suivi Amelia avec joie, se précipitant tout autant qu'elle, excité à l'idée d'aider Nick, mais en plus à l'idée d'un donut d'anniversaire. Rien que l'idée, ça leur semblait génial. Courant les quelques pas vers la boutique peu commune, ils purent s'imaginer à quoi allait ressembler ce fameux donut d'anniversaire.
Rouge ? Orange ? Bleu ? Multicolore ! De la taille de Nick, ou des jumeaux eux-même ! (1m91 quand même, à l'échelle de Nick, c'était encore plus énorme que cela pouvait semblait pour tout humain !)

Lorsqu'Amelia eut à s'adresser au vendeur à la tête peu commune, les jumeaux savaient que c'était un personnage du film, et qu'il y avait un détail peu commun à propos de lui, mais impossible de remettre la main dessus.
Etant un détail anodin pour les humains qu'ils étaient, ils ne remarquèrent donc pas sa nudité qui révélait ce détail peu commun qui était le club naturiste qu'il tenait dans lequel ils se trouvaient actuellement, et suivirent le vendeur de donut d'anniversaire dans cet étrange couloir à la seule commande de ne pas toucher les marches, et arriver devant un gouffre avec uniquement une corde pour s'y engouffrer.

La pâtissière hésita, relevant l'étrange de la situation, et si les jumeaux pouvaient peut-être comprendre, ils partagèrent tout de même une part de sa septicité.
Cependant, descendre fut l'option choisie, et les rouquins n'y eurent aucune objection.

TAYOOOO !

Non, ce qui s'annonçait, dans l'esprit des jumeaux, comme une descente périlleuse (mais stylée) sur fond de musique de James Bond, avec éventuellement du danger à éviter fut raccourci à une chute sans grâce de 15 seconde sur un tas de foin.

Mais c'est nul ce James Bond !

Un animal de la même espèce (espèce dont la nature était la question à un million, sans doute, les jumeaux n'ayant aucune idée du type monstrueux d'animal étrange étaient-ils issus) que le vendeur, fourche à la main afin de remettre le foin en place s'approchèrent d'eux en pointant le fond de la salle assez sombre.

Par là m'ssieurs, dirent-ils avec un cheveux sur la langue remarquable.
Et bien évidemment, Derek et Duncan ne purent s'empêcher d'imiter ce petit défaut fort amusant.

En fait y a aussi une missss
Une mifffff
Une mizzzz
Une patiffffffière !

Ils arrivèrent devant une porte ouverte sur laquelle brillaient les lettres "ICI ! LE GROOVE EST LA !"
Ces mots firent sourire les jumeaux, amusés. Amusés toutefois pour quelques secondes uniquement lorsqu'une horrible odeur de joint vinrent les attaquer.

Baaaah ! Firent-ils aussitôt, aussi phobiques des joints qu'un chat phobique d'un concombre.

Ils entrèrent ensuite dans une salle... peu commune.

(si l'image de Zootopie rempli votre coeur d'enfant de joie, arrêtez vous là)

Des centaines de tables s'alignaient, sur lesquelles se dressaient de grandes plantes. L'odeur de joint s'accentua encore plus.

Il ne serait pas étonnant à cet instant de découvrir que "donut d'anniversaire" n'était qu'un code secret.
L'animal d'en haut (tiens, téléportation ?) se trouvait là, joint à la main.
Venez ! Entrez les amis, c'est par ici. Y'a tout ce que vous voulez. N'hésitez pas, promotion sur les plantations sur votre gauche.

Il les conduisit vers un tout petit arbuste sur lequel étaient accrochés plusieurs joins déjà préparés. Il en prendre un pour le tendre à l'un des jumeaux, avant de sortir un sifflet d'anniversaire en plastique qui se déplient quand on soufflait dedans, ce qu'il fit.

Bon anniversaire ! C'est pour qui ? Pour toi ? Pour toi ? Ou pour toi ? S'écria-t-il tout content désignant les trois compagnons un par un. Ca va être votre meilleur anniversaire. C'est de la bonne !

Ils eurent d'abord un air blasé, ne comprenant pas pourquoi le nudiste lui tendait ce truc alors qu'ils voulaient un donut multicolore d'1m91.
Sourire. Air blasé. Sourire. Air blasé. Sourire. Air blasé.
Le vendeur allait finir par se décourager ne comprenant pas ce qu'il se passait.

Puis Derek & Duncan comprirent.

KEUWA ?! AFFRONT ! BLASPHEME ! SCANDALE !

Alors déjà ! Vous êtes un peu bêtes, ça s'appelle pas un donut ça ! C'est de l'herbe !
Et pas de la jolie herbe qui est trop géniale parce qu'on peut sauter et se rouler dedans ! Non, de la mauvaise herbe de SATAN !

Et c'est ILLEGAL MONSIEUR !
Et ça PUE !
Vous savez qu'on est de la police nous ? Non mais ! (Bon mini, mais Pascal à de bons espoirs sur nous)
On a des pelles à tarte de guerre en plus ! Vilains méchants !


C'est un donut d'anniversaire. Vous avez employé le mot secret pour... QUOI ? De la police ? Où ça ?
Il fit un bond affolé (mais amusant), pour regarder dans tous les sens avant de reporter son attention sur le trio.

Vous ? de la police ?? Je savais que c'était des déguisements ! Bob ? BOB ?
Il hurla en cachant son joint derrière lui (oui, le cacher sera très utile, entouré de cannabis, si c'en était).

ET LA, LE DRAME

Événement #71 : Zootopie, la Chamelle à Trois Bosses [Fe] - Page 2 Evil_panda_2_copy_2

Bob était un GROS PANDA ! Un ENORME PANDA !

Derek et Duncan ouvrirent les bras, admiratifs, grands sourires et étoiles dans les yeux. Dans mes bras Booooob !
Bob, ATTAQUE !

La définition de nonchalance.
Ledit Bob bailla d'abord, puis, lentement, il regarda Derek.
Puis, lentement, il regarda Duncan.
Puis, leeeentement, il regarda Amelia.

C'est là que ses yeux devinrent rouges. Non bah oublie le calin, parce que... j'pense que notre soeur sera jalouse et tout. Vaut mieux pas.

Pour ajouter à la terreur de la situation, le panda bomba le torse, et, EEET... ABOYA !
Aboya ?

T'as aboyé là ? Attends, mais t'es pas fini comme panda toi !

Bob commença à avancer vers eux, ce qui finit par les convaincre d'agir.
Attaque ? Fuite ? L'une des options gagna sans difficulté.

COURS AMELIA !

Se dirigeant vers la porte du fond, contournant le plus loin possible Bob le panda-chelou, courant aussi vite qu'ils purent.

Bon tenta des les suivre, et d'un pas lourd, il réussit à attraper Derek.

LACHE MOI JE PEUX PAS MOURIR J'AI PAS VU LA FIN DE GAME OF THRONE !

Derek eut son calin. Serré dans les bras de Bob, le panda-mutant réduisit l'espace sous ses bras, ratatinant Derek qui commença à étouffer.

MEME PAS EN REVE ! VAS RENIFLER LES FESSES D'UN AUTRE PANDA ESPECE DE CHIEN PAUME !

Duncan revint sur ses pas, et sauta sur la panda pour la taper fort jusqu'à ce que Bob lacha son frère, ce qu'il finit par faire.
Le panda tomba assis sur le sol, un peu abruti.

L'étrange vendeur de drogue s'approcha de l'animal pour lui tendre un joint. Tiens, prend ça, ça va te détendre.
Le panda se mit à pleurer très très fort, ce qui fendit le coeur des jumeaux malgré ce qu'il venait de se passer.

Faut pas te mettre dans un état pareil. Ca arrive à tout le monde de ne pas être à son maximum.
Je sais ! Mais ça fait mal... répondit le panda tout triste.

Ooh, on désolé mon p'tit Bob, dit Derek. Les jumeaux s'approchèrent de lui pour lui faire un bisou sur le front.
Mais pleure encore un peu qu'on puisse fuir s'il te plait. C'était un bisou magique, tu vas guérir !

Le trio continua alors le course, réussisant à atteindre l'arrière boutique, pour finalement sortir, soulagés.

Soulagés, mais pas pour longtemps.

Une voiture noire s'arrêta devant eux, de laquelle deux grands ours blancs sortirent.
Les jumeaux déglutirent. Oh oh... Amelia, c'est pas les ours du Big Boss ça ?

Les ours ne leur laissèrent pas le temps de courir davantage, les empoignant pour les faire monter de force dans la voiture qui s'enfonça dans les rues de Zootopie.




Antropy Tiger
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Antropy Tiger

| Avatar : Ed Sheerαn.

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We at a party we don't wanna be at.
Tryna talk, but we can't hear ourselves.
Read your lips, I'd rather kiss 'em right back...


YOU KNOW WHAT ?

It's kinda crazy 'cause I really don't mind
And you make it better like that


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| Conte : Winnie l'ourson.
| Dans le monde des contes, je suis : : Tigrou.

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Événement #71 : Zootopie, la Chamelle à Trois Bosses [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2016-12-01, 01:58


La chamelle à trois bosses


Comment est-ce qu’on disait déjà ? Je me tapotai le menton, serré comme une sardine entre la brunette et l’ours polaire, à la recherche du terme exact. C’était un truc assez dramatique dans mes souvenirs, à dire au moment opportun et à ne surtout pas manquer… Mince, ça avait l’air important ce truc en plus ! J’étais sûr de l’avoir entendu, sinon la tronche de ma camarade licorne l’affichait sans qu’elle n’ai besoin de le dire. Un truc qui ressemblait à une mauvaise nouvelle mais en vraiment pire, comme on conclurait un roman dramatique pour plonger le lecteur dans les méandres de sa peur et de ses angoisses. Le genre de truc inquiétant et tout… Bordel, mais les scénaristes ne pouvaient pas me filer un coup de main là ? Parce que pour me mettre dans des situations cocaces ils étaient forts, mais pour inscrire des bonnes répliques il y avait encore du travail. Ah moins que…

« Ah j’ai trouvé ! » M’exclamai-je en me tournant vers la brunette à ma droite. « On va mourir ! »

C’était ça qu’il fallait dire ! Je lui adressai un large sourire, fier d’avoir retrouvé ma réplique ! Ah, c’était compliqué quand même, fallait pas rater le coche ni rien ou tout le reste de la scène était foutu. Ca aurait été dommage de devoir la refaire – même si je n’avais jamais vu personne débarquer avec un clap de cinéma et me demander de répéter pour avoir un meilleur angle de vue… Fallait croire que je n’avais pas un profil suffisant pour ça. Tant pis, je me contenterais du rôle de figurant. Je faisais bonne figure généralement en plus !

Pas la même qu’Alexis en train de se liquéfier sur son siège, m’adressant un regard à la fois effaré et angoissé. Quoi, elle n’avait jamais été attrapée puis balancée à l’arrière d’une voiture comme ça ? J’avais presque envie de lui dire de ne pas s’inquiéter, quelqu’un qui écoute une musique aussi has been que « Boogie Wonderland » n’allait sûrement pas nous faire le moindre mal. J’avais connu des grand-mères qui faisaient plus peur que ça quand même : déjà, il leur manquait des dents ! Ensuite elles sentaient le parfum ou très mauvais – l’un pouvait se lier à l’autre, on est d’accord – et elle avait cette manie de vous taper sur les pieds ou le système à longueur de temps. Je le savais, ma proprio avait dépassé l’âge légal d’existence et je la soupçonnais d’avoir avalé un filtre de jouvence tellement elle était increvable. Elle, s’était sûre, elle avait été une mauvaise herbe dans le monde des contes !

« T’inquiètes, j’ai déjà vécu pire. » Chuchotai-je, désignant du menton la cicatrice qui traversait ma main du dos à la paume à peine remise de son traitement. « Enfin, on va probablement se faire torturer, ils vont nous suspendre par les pieds ou bien nous mettre un sac sur la tête et nous plonger dans l’eau, puis ils vont nous tuer. Ca, c’est le schéma classique. Mais c’était bien tenté comme technique d’intimidation, vraiment ! »

Je pouvais quand même la complimenter face au petit Fenneck à la voix grave, non ? Et j’ajoutai en la voyant toujours me dévisager :

« Je plaisante. On va s’en sortir, ce ne serait pas drôle sinon. Promis. »

Mon regard se posa sur l’ours à côté de moi, qui m’ignora délibérément en continuant de fixer le vide devant lui. Bon, peut-être qu’il était en discussion avec lui-même à l’intérieur de son crâne ? C’était important de se mettre en accord avec toutes les parties de notre cerveau, sinon on se mettait à faire n’importe quoi et les gens nous prenaient pour des tarés. Ou des abrutis. Ou les deux, j’avais déjà eu les deux en même temps même si ce n’était pas très logique. Enfin bon, je fis mine de lever la main pour l’agiter devant ses yeux, mais je me ravisai devant son coup d’œil sévère. Tiens, on aurait dit Carlisle quand il était mal luné… A la place, je me mis à tapoter en rythme sur mes genoux en attendant que le temps passe. Je devinai assez rapidement que ça commençait à leur taper sur le système mais je n’arrêtai pas pour autant, trouvant plutôt que ça détendait l’atmosphère.

Ma copine licorne était rudement silencieuse pour le coup, accrochée à son siège sans oser bouger. On n’allait pas faire le test du fauteuil éjectable, pas que je sache. Ca aurait été écrit dans le contrat… Après un long moment, je remarquai soudain que la luminosité avait diminuée au point de devenir sombre et obscure. La nuit, ça s’appelait. Non, il faisait nuit ? sérieusement ? Pourtant j’avais encore le goût du dentifrice dans la bouche, c’est qu’il était encore le matin ! Je donnai un coup de coude à Alexis et désignai la fenêtre, hésitant entre l’étonnement et la consternation. Comment pouvait-on cacher le soleil comme ça ?! Vitres teintées peut-être ?

« C’est pour l’ambiance. Ca fait plus classe de nuit. »

L’ours venait de parler en tournant brièvement le museau vers nous. J’ouvris la bouche dans un « oh » effarée, avant de secouer la tête pour me remettre les neurones dans le bon sens. D’accord, la nuit, la mise en scène, toussa toussa… Ils y allaient vraiment fort dans le budget photographie et effets spéciaux dans cet endroit !

« Vous pourrez m’apprendre à faire ça ?! » Osai-je demander, me demandant comment réagirait mon colocataire si la nuit tombait en un claquement de doigt. « Il ne vous manque que la petite musique dramatique… Je dois en avoir une ou deux sur mon portable, attendez. »

Je devais bien avoir laissé mon téléphone quelque part dans mon jean ! Me tortillant un peu je fini par mettre la main à l’intérieur de ma tenue de tigre et l’en extirpait, parcourant la playlist rapidement pour choisir un morceau dramatique qui collait bien avec l’ambiance de la voiture. Voilà, comme ça, on se sentait encore plus oppressé ! Et on pouvait élégamment croire qu’un meurtrier allait nous sauter à la gorge pour nous tuer au prochain tour de volant. Bon dans une voiture ça allait être compliqué mais pourquoi pas… Le véhicule fini d’ailleurs par s’immobiliser et les deux ours à l’avant coupèrent le contact.

Celui à ma gauche s’était tourné vers moi et semblait écouter mon téléphone, hochant la tête d’un air entendu. Visiblement, ça lui plaisait ! Super, j’avais peut-être décroché un job pour être le monteur de son ou quelque chose du genre dans le projet ? Je ne su pas la réponse puisque le conducteur se retourna pour taper l’épaule de son acolyte, lequel fini par ouvrir la portière.

« Le boss nous attend. C’est pas le moment d’écouter de la musique. »

Coupant la mélodie et rendant alors l’ambiance bien moins lourde, je suivi le nounours des neiges à l’extérieur. La licorne fit de même assez rapidement, restant près de moi comme si elle craignait quelque chose. Pas d’inquiétude ! J’étais un tigre bondisseur, il ne pouvait rien arriver de grave. Sinon, au pire, on improviserait. Face à nous, une colline. Et en haut de cette colline, une maison au style assez lugubre d’où émanait une lumière diffuse. Chouette, on se refaisait la maison hantée ? je n’avais pourtant pas vu le panneau de Disneyland… Ils avaient privatisé le parc pour nous ou bien ? Mince, j’espère qu’ils n’allaient pas me demander mon billet parce que j’en avais aucun !

Sur le petit chemin qui menait à la bicoque sortie tout droit de Nospheratu, six autres ours polaires faisaient des va-et-vient en costume et lunette de soleil. Des lunettes. De soleil. La nuit. On en avait d’autres des illogismes de ce genre ou bien ? Je levai la main pour leur signaler mais Alexis secoua vivement la tête de droite à gauche en me voyant amorcer le mouvement. Quoi, il ne fallait rien dire ? Pourquoi il fallait rien dire ? C’était pourtant connu que plus tu parlais et en dévoilait sur ta vie ou la leur, les tueurs en série étaient moins enclin à te tuer. Bon on n’en était pas à ce stade, mais c’était une donnée intéressante à prendre en compte, non ?

Les ours nous poussèrent en avant pour nous mettre en route, s’engageant dans le chemin tout tracé. Après quelques pas, le teddy qui nous avait tenu compagnie à l’arrière se pencha vers moi :

« T'en as pas une de Barry White ? Je suis fan de Barry White. »

Je remarquai que le chauffeur lui asséna un coup dans les côtes pour le réprimander, mais j’esquissai un sourire amusé.

« Si, j’ai ! »

Pianotant déjà sur mon téléphone portable pour faire rapidement résonner YOU ARE MY FIRST, MY LAST, MY EVERYTHING dans tout le petit patelin. AH là, ça changeait carrément d’ambiance ! On se serait cru à attendre un rendez-vous romantique avec un boss de la mafia. Ou un millionnaire. Comme dans Pretty Woman mais avec un poil moins de classe. (et de prostituées) L’ours polaire paru ravi d’entendre la voix grave du chanteur, j’eu même l’impression qu’il souriait puisqu’on pouvait voir désormais ses crocs. Il leva ses index en rythme autour de lui ce qui lui valu un regard acide de son collègue. Il les baissa rapidement en fixant ailleurs. Dommage, il était plus sympa quand il se détendait du string celui-là !

Comme Alexis. Elle était une licorne, les licornes ça sautait dans les fleurs et ça pétait des arc-en-ciels ! Ou des cacas papillons, je me rappelais plus très bien… Mais dans tous les cas, ça répandait des paillettes et l’allégresse autour d’elle. Aller, avec un peu de chance c’était sa bouille qui allait nous sauver la vie, ne l’oublions pas ! Le moment venu, je lui dirais de faire des grands yeux de chat potté, peut-être que ça marcherait pour de bon cette fois. La dernière avait failli nous coûter la vie dans l’espace, mais chut, elle n’était pas obligée de le savoir.

« On se croirait dans Men in Black… Mais version polaire. Bear in Black ! Vous avez un QG secret et tout ? On va rencontrer votre chef ? »

Autant demander directement pour pas avoir trop de surprises. J’aimais bien ça d’habitude mais saviat-on jamais qu’un autre petit accroc scénaristique ne se soit glissé entre les lignes… Ne manquerait plus qu’on se retrouve avec des tongs sur des skis ! Déjà, il n’y avait pas de niege donc ça risquait pas. Mais il n’y avait pas de plage non plus, hors c’était essentiel pour se promener en tongue ! Eux ils étaient prêts avec leurs lunettes au moins… Enfin, très singulier pour des ours POLAIRE. Ils risquaient peut-être de fondre sous le soleil ?

« On va voir le Boss. C'est lui qui vous a fait venir ici et qui… »

Il fut interrompu par une nouvelle frappe sur sa tête, émettant un grognement proche du couinement en portant une patte sur son crâne.

« Tu ne peux pas te taire ?! »

Bon, y’avait le gentil flic et le méchant flic dans l’histoire. Barry White faisait fondre des cœurs mais le conducteur en avait encore une sacrée couche… C’était peut-être un cœur de pierre ? J’avais jamais compris comment on pouvait avoir de la roche dans le torse, les gens n’en mourraient pas d’habitude ? Faudrait que je lui demande. Les licornes avaient bien une corne sur le front après tout et personne ne leur demandait si c’était de naissance ou suite à un accident.

Un bruit de moteur se fit entendre, nous faisant tous nous retourner pour découvrir une nouvelle voiture s’arrêter juste en bas de la colline. Deux nouveaux nounours en sortir puis une, non deux, têtes rousses et… Une jeune femme. Des roux ! Il y avait des roux ! Okay, on allait s’entendre, en tant que frères capillaires ! J’adorais les roux, c’était une couleur trop peu portée et assumée. Alors en rencontrer deux d’un coup me laissait l’espoir de les voir un jour revenir dans la population. C’était dur d’être une espèce en danger.

« Oh, une licorne ! Vous avez vu les jumeaux, c'est une licorne ! C’est vraiment un très beau costume… » S’exclama la femme quand ils arrivèrent à notre niveau. Elle s’extasia avant de se tourner sur moi pour m’observer des pieds à la tête. « Mais ta tenue est tout à fait sensationnelle aussi, hein ! Vous les avez eus où ? Vous venez aussi de Storybrooke ? Nous oui, en tout cas mais c'est assez fou comme aventure et long et... personnellement ça m'a donné faim. Quelqu'un veut un brownie ? »

Oh, une humaine qui parlait de nourriture ! Je l’aimais déjà ! Je hochai vivement la tête dans un large sourire, tendant la main quand elle fouilla dans son sac pour me tendre un morceau de gâteau. Mordant dedans à pleines dents, je vis l’un des nouveaux ourson sortir une clope et l’allumer tranquillement. Il fumait ? Genre, vraiment ? Fallait pas s’étonner de la fonte des glaces dans ce cas…

« Fait froid ici. Qui a activé la nuit ? »

Notre chauffeur le toisa avant de montrer la maison du doigts. Aussitôt tous tournèrent la tête vers la concernée d’un air un peu inquiet – enfin, comme un ours en costume peut l’être ; et l’autre fit tomber sa cigarette parterre avant de l’écraser. Bien, dans les lieux publics on ne fumait pas ! C’était pénible mais c’était comme ça. Etouffant la voix de Barry White en le remettant dans ma poche, je me léchai les doigts encore plein de morceaux de chocolat – ce que c’était bon ! – et demandai-je d’un ton détaché :

« Et si on remettait le soleil ? C’est plus fun le soleil ! Là, tout de suite, on se croirait dans un thriller… Non pas que je n'aime pas ça mais quand même, c'est plus cool quand il fait beau. Y'a jamais de lumière dans les films policiers, c'est un peu trop too much maintenant, tout le monde le connait le coup du cliffangher à la fin ! Vous n’avez pas des petits éclairs en stock avec de la pluie et du tonnerre, par hasard ?" »

Je n’aimais pas me mêler d’un scénario que je n’avais pas écris, mais quand même il fallait arrêter de se baser uniquement sur des classiques du siècle dernier. On était dans le troisième millénaire, ça y était, même si ce qui était vieux restait parfois bien conservé, ce n’était pas le cas de tout le monde. Ou de n’importe quoi. Tapotant du pied avant de bondir de l’un sur l’autre, je vis mon nounours fan de Barry hésiter avant de me répondre.

« Je ne sais pas… »

Bon bah au moins, il le reconnaissait ! Un point pour le teddy ! Et pour ne pas changer, il se prit une enième tape par son accolyte.

« Ca fait mal quand tu me frappes… » Couina-t-il d’un air tout triste, massant son bras.

Il me faisait de la peine. Un peu… Le pauvre. Je lui disais que chez moi j’avais un ours en peluche et que c’était pour les calins, pas pour les coups ? Peut-être qu’en lui faisant un calin magique il allait aller mieux ? Ca marchait sur les enfants ou sur moi alors, sur un autre animal pourquoi pas ?

« Allez, on y va. Il ne faut pas le faire attendre. »

Bon, pour le câlin on repasserait. J’adressai un regard compatissant à l’ours polaire puis suivi le reste de notre petite procession pour arriver devant une grande porte en bois gravé. Là, le conducteur leva la main et… Se pencha pour appuyer sur la sonnette. A cinquante centimètres du sol. D’accord, d’accord… Là, les accessoiristes s’étaient complètement foirés. A mon avis, y’en avait un ou deux qui allaient pas tarder à être viré…

http://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t22925-fini-i-see-fire-antro


Alexis E. Child
« Allez dans la Lumière.
C'est au détour d'une Ombre
que nous attends le Mal. »


Alexis E. Child

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Tu es comme tu es... mais malgré les erreurs, tu me rends parfois la vie de maman célibataire plus douce...


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Edition Octobre-Novembre 2020

Événement #71 : Zootopie, la Chamelle à Trois Bosses [Fe] - Page 2 21op

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________________________________________ 2016-12-01, 19:37 « Allez dans la Lumière. C'est au détour d'une Ombre que nous attends le Mal. »




Try Everything


Petit conseil à toute personne susceptible de me lire… si vous devez choisir un compagnon d’emmerde, surtout ne choisissez pas Antropy ! Franchement, j’étais déjà pas très très bien quand on nous avait balancé dans la voiture, mais alors quand il avait commencé à me parlait de torture physique et moral j’avais eu envie de vomir… et de lui arracher les yeux. Non mais sérieux, qui essayez de rassurer les gens comme ça à part lui ? Il avait encore trop forcé sur la cocaïne ma parole… Et je parlais même pas de l’interlude Barry White avec l’ours hein ! Enfin bref, on avait fini par se faire rejoindre par deux jumeaux rouquins qui se ressemblaient comme deux gouttes d’eaux et par une brunette qui semblait avoir des pâtisseries sur elle… je me demandais si c’était pas l’une des autres pâtissières de la ville, une des concurrente de Robyn, ça m’avait l’air fort possible. Moi je m’en foutais hein, je faisais pas de business. Et puis elle avait l’air tout à fait sympathique. Mais malgré tout ça je savais pas si j’étais heureuse de les voir ou non… Pourquoi ? Parce qu’ils venaient visiblement de Storybrooke, qu’ils s’étaient fait chopper comme nous et qu’ils semblaient aussi inquiet que le tigre bondissant, c’est-à-dire… pas des masses. C’était pas ma guerre !

J’avais eu un faible sourire et j’avais bredouillé un « merci » au compliment de la jeune femme. Vu l’état dans flippe dans lequel j’étais, je faisais franchement de mon mieux pour rester sympathique, j’étais même à mon summum. Elle nous avais proposé du brownie et je l’avais englouti dans mon coin en espérant que le chocolat me redonnerait de la force et de l’espoir tout en regardant autour de moi avec les sourcils froncés. Y’avait quand même un truc qui clochait ici… même si je devais plus craindre pour ma vie que pour Zootopie, y’avait un truc pas net. J’avais rien dit cependant et j’avais suivi les autres à l’intérieur tout en regardant tout autour de moi. Fallait que je trouve un moyen de sortir de là.

- Bienvenue chers amis. Entrez. Retirez vos chaussures dans le hall et rejoignez-moi dans le grand salon.

Putain c’était une fouine, enfin une souris, un rat ou je sais pas trop comment on appelait ce rongeur au long nez, j’étais pas très calée en animaux. Mais une chose était sûre, on était chez le Big Boss… j’aurais dû m’en douter à la sonnette et à la petite porte et j’émis un petit gémissement tandis que tout le monde retirait ses chaussures, les ours les premiers, à ma plus grande surprise. L’un c’était approché de moi.

- Euuuh désolée mais je porte pas de chaussure, c’est… c’est mes sabots de licorne !

J’avais levé le pied pour lui montrer qu’il était enveloppé entièrement dans le déguisement. De toute façon j’étais pied nue, j’étais arrivée ici en pyjama.

- Attention ! Faut pas marcher là-dessus. Ça n'a pas encore totalement séché.

L’ours à qui j’avais montré mon sabot m’avait attrapé par le bras pour ne pas me faire perdre l’équilibre tout en me montrant la tâche. Mon cœur se mit à battre toujours plus fort et un mal de ventre me ris quand je vis qu’elle était rouge, très rouge.

- C’est… C’est quoi ça ? C’est du sang ? Pitié me dîtes pas que c’est du sang…
- C'est pas du sang.
- Ben si

L’autre ours se mêlait de la conversation et mes yeux passaient alternativement de l’un à l’autre.

- Elle ne veut pas qu'on lui dise que c'est du sang.
- Ah ouais... Ben c'est quand même du sang.
- … Maman vient me chercher…

On était vraiment mal là. Pourquoi y’avait jamais un dieu pour venir nous aider quand y’avait besoin ?! Peut-être parce qu’on l’appelait pas non plus mais honnêtement, c’était pas spécialement le moment de tenter d’ouvrir la bouche, j’avais juste envie de vomir. Mais fallait que je me calme, c’était peut-être pas ce que je croyais…

- Ok... Et il est arrivé comment là ? Quelqu'un s'est blessé ou vous avez massacré quelqu'un ? Pourquoi faut le laisser sécher ?
- C'est rien, c'est Mario.
- Donald.
- Non, Mario.

L'ours se mit à réfléchir.

- Ah oui, Donald c'était dans la cuisine.

Une autre espèce de souris arriva en trottinant en nous précisant :

- Il vous attend dans le salon.

Et les ours se placèrent de telle sorte qu’on ne pouvait plus faire en sorte que d’avancer dans la direction que la petite bestiole nous montraient, eux nous fermant la marche. J’attrapais le poignet de la fille qui était avec nous. Elle semblait la plus saine des gens avec qui j’étais et je tentais de lui chuchoter :

- Faut qu’on sorte de là…

Je lui faisais signe de tenter de passer le message aux autres pendant que je faisais diversion avec une autre conversation. Un truc qui me tenait aussi à cœur et qui m’avait choqué tout à l’heure sur le perron. C’était le bon moment, j’en étais certaine.

- Dîtes… On est bien à Toundraville ? Non parce que normalement Toundraville est sous la neige, non ? Comment ça se fait que vous en avez pas ?
- De la quoi ? Ah oui, j'en ai vue à la télé une fois. On est à ZOOTOPIE ici ! Vous êtes pas du coin ?
- Ben non idiot ! Sinon pourquoi ils seraient là ?
- Ah oui, c'est vrai... Entrez dans le salon. Moi je les aimais bien.
- Oué, ben ne t’attache pas trop à eux.

Le salon était sublime. Il était pour une grande partie vitrée et ça c’était cool, un coup de chaise là-dedans et hop on pouvait s’enfuir par là. Il était richement décoré, cosy, chaleureux et un magnifique sapin de Noël tronaît dans un coin de la pièce. Mais malgré la beauté du lieu, je ne pouvais m’’empêchais d’avoir le regard épouvanté par ce que je venais d’entendre. On allait tous crever dans ce salon. Et les petites cookies et les verres de lait sur la table basse n’allaient rien n’y changer… Je tentais de faire demi-tour mais je me cognais dans un des ours qui me souleva du sol et tenta de me remettre dans la bonne position :

- Arrête de gigoter, ça ne sera pas très long !

Ooooh mais en voilà une bonne nouvelle, j’allais mourir rapidement ! La souris truc-muche pris le plateau et nous présenta les cookies.

- Prenez ils sont tout chaud !
- C'est les meilleurs gâteaux de toute la région. Bien mieux que chez Robyn !

Ben voyons c’est ça, et ils étai… Attendez QUOI ?!

- Tiens prends, n’aie pas peur !

Il m’en colla deux dans les mains tandis qu’il se prenait un verre de lait et que je réfléchissais à toute vitesse.

- Vous connaissez Robyn ?

L’ours se tourna vers son chef avec une mine un peu déconfite et celui-ci tourna la tête de gauche à droite avec un regard qui voulait vraiment dire « alors toi, t’es vraiment le roi des cons ». Le gaffeur tenta alors vainement de se rattraper :

- C'est euh... Une Robyn chez nous. Elle est pâtissière aussi. Mais elle n'a pas de Lucile !

Il semblait tout fier de lui, ne se rendant même pas compte de ce qu’il venait de me dire tandis que son chef lui donnait un coup de patte derrière la tête. Trop c’était trop.

- Bon ça suffit les conneries maintenant hein ! Vous allez nous dire la vérité et fissa sinon je m’énerve et je vous jure que ça fait mal. Et mes copains c’est des vrais caïds aussi hein faut pas se fier à noter apparence. Alors maintenant vous nous dîtes comment on est arrivé ici, pourquoi on est là, et comment vous connaissez Robyn et Storybrooke.

J’avais compté sur mes doigts pour être sûre de ne pas oublier une question importance et je les fusillais maintenant du regard, les poings sur les hanches.

- Diego... Diego... Regarde... Tu as énervé nos invités.

Ça, ça sentait pas bon vu la petite voix de mafieux qui s’élevait du fond de la salle. Il avait visiblement emprunté une porte qui menait à la cuisine et le boss trottinait maintenant vers nous calmement.

- Diego... Excuse-toi auprès de la demoiselle.

Diego se retourna vers moi avec un regard piteux. Moi je perdais contenance… j’avais quand même pas demandé son arrêt de mort… si ?

- Pardonnez-moi de vous avoir offensé. Je promets de faire pénitence.

Comment qu’il me causé là ? Il croyait que j’étais une licorne divine ou ça se passait comment ? Je le regardais avec des yeux quand ouvert tandis qu’il se tournait vers son boss :

- Je ne me soumettrai plus à la tentation monsieur le boss.
- La tentation ?! Quelle tentation ? Et après quoi il va vous libérer du mal amen ?
- Tu connais la prière sacrée ?

Punaise cette conversation n’allait nulle part… Je me tournais vers le boss affolée :

- Monsieur le boss ! Je suis désolée d'avoir prononcé votre nom, vraiment, je suis désolée mais... je veux comprendre parce qu'il y a bien trop de choses qui me semblent improbable ! Vous connaissez notre monde ? Et pourquoi on est là ?
- On ne s'adresse pas au boss sans qu'il nous donne la parole !

C’était papa ours qui s’en mêlait, le chef, j’allais répliqué mais Vito Corléone version souris fut plus rapide que moi :

- Laisse Serge. Tout va bien. Ils sont nos invités et non le repas de ce soir.

Ben voilà enfin des paroles rassurantes ! Surtout que Serge il avait sorti ses dents en me parlant donc c’était pas top. Mais bon… « invités » ça voulait dire quoi d’abord ? Dans Harry Potter, Charity Burbage et Ollivander avaient étaient les « invités » de Voldemort, ça leur avait pas empêché de se prendre la misère par le mage noir… La souris qui nous avait filé les cookies jugea bon d’intervenir en parlant directement avec Serge :

- Le repas de ce soir est dans le frigo. Il bougeait encore quand il est arrivé.

Mais Vito (je savais pas comment il s’appelait le Boss donc c’est Vito, ok ?) le fit taire d’un geste avant de se faire hisser sur son siège grâce à Serge. Il commença à se masser les tempes tout en précisant :

- Je suis fatigué aujourd'hui et pourtant il faut que je sois en forme. C'est le grand jour. Nous devons les habiller. Le moment est presque arrivé.

Il avait regardé papa ours en disant cela et celui-ci lui avait fait un hochement de tête entendu avant de sortir un gilet de signalisation et de commencer à nous faire la circulation :

- Pour les essayages c'est à l'étage. L'escalier se trouve sur votre droite. Quant aux hommes c'est au rez de chaussé, la porte après la cuisine. Merci de vous diriger vers le lieu indiqué.

Essayage de quoi ? Mais bordel on pouvait pas nous dire « bonjour, vous êtes là pour faire la teuf avec nous et après on vous ramènera chez vous » plutôt que de nous faire tous ces mystères ? On pouvait pas être un peu précis sur le but de notre visite, NON ?! Je regardais mes coéquipiers avec un regard perplexe et me collait un peu plus à Amélia tandis qu’on nous escortait vers un grand escalier pour nous mener à l’étage.





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Événement #71 : Zootopie, la Chamelle à Trois Bosses [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2016-12-01, 22:55


La Chamelle a trois bosses

Maxine & plein de monde


"Bellisimo ! Ma chérie, tu es bellisima !"

Maxine tourna la tête dans la direction de la voix, baissant les yeux sur la musaraigne qui s’avançait vers elle. A ses cotés, de grosses oursonnes blanches essayaient d’ajuster quelques détails a la robe blanche qu'elle portait a présent, armées de quelques épingles et d'un certain sens de l'esthétique. Heureusement pour elles, Maxine était un modèle obéissant, bien que la robe méritât quelques retouches. Leurs pattes griffues passaient a coté du visage de l'adolescente sans que cela ne la perturbe le moins du monde et, jusqu'à l'entrée du Big Boss, la pièce avait été emplie de discutions joyeuses et animées.

«  Tu trouves ? »
Maxine baissa les yeux sur sa tenues, un air interrogatif sur le visage. « Comme je ne ressemble pas aux autres musaraignes, je ne sais pas si je rentre dans les critères de beautés habituels, mais tu dois dire ca parce que tu es mon papa non ? Les papas trouvent tout le temps leurs enfants jolies tu sais, je ne sais pas pourquoi. Pourquoi a ton avis ? Tu crois que quand on a un enfant, tous les autres gens nous paraissent moins beaux d'un coup ? Ce serait comme de la magie alors non ? Mais les bébés ne savent pas faire de magie, si ? Enfin si il y en a qui savent en faire mais pas tous non ? Moi je ne sais pas faire de magie donc tu n'as pas pu avoir ca si ? Ou alors ca viens pas du bébé.... »

Elle s'arreta pour reprendre sa respiration, laissant ses pensées reprendre le fil de son discourt dans l'attente d'une explication peut être. Avec un peu de chance, la réponse serait dans « Se faire des amis pour les Nuls ! ». Tranquillement, elle attrapa les jupons de la robe et tourna sur elle même pour montrer a son père l'effet total de l'ensemble.

"Merci pour la robe, elle est très jolie je trouves, enfin moi je l'aime bien dans mes critères a moi ! J'aime bien comme elle tourne ! Mais pourquoi tu me donne une robe comme ca ? Tu sais, la ou j'ai été élevée elle ressemblerai a une robe de mariée, mais je ne sais pas si c'est le cas ici, c'est le cas ? Pourquoi tu me donne une robe de mariée, je vais me marier ?"


Excellent question si il en étit une. Mais elle ne se souvenait pas avoir été demandé en mariage.

"Doucement ma chérie, doucement. Prend ton temps pour parler. Diego n'arrivera avec les invités que dans deux petites heures. On n'est pas pressé. Viens sur les genoux de papa."


La musaraigne s'arreta un instant et tapota tranquillement ses genoux, alors que Maxine s'approchait et s'installait sur le fauteuil a coté. La première fois qu'il avait fait ce geste, elle avait réélement essayé de s'installer sur ses genoux mais le gros ours qui suivait son père partout l'en avait empêché, lui indiquant silencieusement le siège a coté. Elle avait finit par en déduire que lorsque son père lui disait de « venir sur ses genoux », elle devait le prendre sur les siens. Le langage Zootopien ressemblait beaucoup a celui des humains mais visiblement, certaines nuances variaient.

"Alors mon enfant, dit moi ce qui te ferait plaisir pour ce grand jour ? Je t'ai réservé plein de surprises. Et ton mari a été sélectionné parmi les meilleurs de Zootopie."


C'était gentil ca. Ceci dit, il y avait comme un détail, une bagatelle qui l'ennuyait un peu. Une incompréhension …

"Bah tu sais, je ne sais même pas qui c'est mon mari tu sais ? Donc j'aimerai bien savoir, et puis aussi j'aimerai bien aussi ne pas me marier parce que je suis jeune et puis tu sais, dans Se faire des amis pour les Nuls ils disent que pour se marier il faut aimer son mari comme un amoureux mais moi je ne le connais pas donc je ne peux pas l'aimer comme une amoureuse tu vois ?"


D'un geste, elle sortit Se faire des amis pour les nuls, libre dont la couverture jaune fluo la suivait partout depuis quelques années, avant de feuilleter le livre pour lui montrer le passage accompagné de dessins explicatifs. Il devait comprendre, après tout il n'avait pas de livre comme celui la, lui !

"L'amour viendra ma fille. Ne t'en fais pas pour ça. Regarde ta mère et moi. On ne nous a pas demandé si on s'aimait. L'amour est venu ensuite. Puis, on l'a enterrée."


"Mais tu as gardé ses yeux ."
déclra elle immédiatement d'un ton très sérieux et concerné, en désignant le petit bocal posé sur la commode non loin, dans lequel flottaient lentement deux yeux bruns qui tournaient sur eux même, alors que son père essuyait une petite larme qui coulait au coin de son œil a l'évocation de sa défunte femme.

"Je pensais que ca se faisait dans l'autre sens tu sais ? Mais toi tu es marié, enfin tu es veuf donc ca veux dire que tu as déja été marié donc tu dois mieux connaître que moi je crois... Mais tu sais, j'aimerai bien inviter mon autre papa pour le mariage, et puis aussi mon autre maman, tu sais, ceux qui m'ont adoptés a Storybrooke, et puis aussi Zach, c'est mon copain ! Et puis il y a Adam et Belle, et Amélia qui fait de bon gâteaux elle pourrait faire celui du mariage, et puis Jack il peut faire la sculpture de glace ! Et Leigh, et Alice aussi parce qu'elle a dit qu'on était amies finalement, et puis..."


Comme ca, peut être qu'elle pourrait faire un double mariage avec Adam et Belle puisqu'elle n'avait pas été là durant le leur Ah mais si ils l'avaient déjà fait, ca risquait d'être compliqué a faire. Mais elle était sure que le « roi » serait content d’être a son mariage et puis c'était son ami après tout ! Et puis elle voulait vraiment voir Tempérence et Terrence, d'ailleurs, qui l'accompagnerai a l'autel au final ?

"Non, non, non... Oh ma petite fille..."
Il se mit soudainement a pleurer, aisant revenir Maxine au présent. Pleurer ? Mais elle ne voulait pas lui faire de peine elle voulait simplement revoir... "Pourquoi tu me fais tellement de mal en parlant de ton ancienne famille ? Ces monstres qui ont essayé de te priver de ta véritable famille ? Ils t'ont pris dans mes bras quand tu étais encore toute petite... Tu n'imagines pas tout le mal que ça m'a fait. Et tu ne t'en souviens même pas vue que tu étais encore qu'un bébé, pas plus grand que ça."

Elle ouvrit la bouche pour répliquer mais la referma aussitôt, en voyant l'espace qu'il faisait avec ses mains. Un tout petit espace. Elle avait été aussi petite ? C'était vraiment minuscule les bébés...

"Ma chérie, tu vas être heureuse en ménage. Et tu vivras dans notre maison à la mer. Ca va être merveilleux. Ta famille désormais, c'est nous. Serre moi... serre moi dans tes bras."

L'adolescente obéit, serrant la petite musaraigne contre elle en sentant comme une sorte de douleur dans son cœur, comme un bobo.


* * *

La longue limousine blanche s'arreta en douceur devant la pâtisserie et quelques instants plus tard, un énorme ours blanc en descendit, et, se redressant, il tira d'un coup sec sur le col de son costume pour le tendre et ne laisser aucuns plis, jetant un regard scrutateur sur la rue a travers ses lunettes de soleil. Puis l'ours s'approcha de la portière arrière de la voiture et l'ouvrit tranquillement avant de la tirer vers lui pour libérer le passage a une demoiselle blonde et assez excitée, suivit d'un nouvel ours auquel le costume noir et les lunettes de soleil associés a des oreillettes a moitié transparentes qu'ils portaient, donnaient un air d'agents secret.

« Merci ! »
S'exclama Maxine en s'approchant de la pâtisserie devant laquelle ils c'étaient arrêtes jusqu'à ce qu'un blaireau assez agé n'en sorte soudainement, l'air passablement agité. Il s'inclina plusieurs fois devant Maxine en lui souhaitant la bienvenue avant de lui tenir la porte ouverte.

« Mademoiselle ! C'est un tel plaisir de vous voir.. la commande que vous aviez passé est prete, nous avons fait plusieurs modèles pour vous afin que vous puissiez choisir... »


Ses petites mains se tordaient et sa voix tremblait visiblement, bien qu'un sourire commerciale soit accroché a son visage.

« Oh c'est vrai ! Merci beaucoup ! Vous savez, papa m'a dit de choisir le gateau que je préférais alors je ne veux pas le décevoir ! Je vais devoir le comparer a un gateau que j'aime bien, le flan j'aime bien ca ! Même si j'ai du mal a le faire cuire. Vous savez qu'une fois j'ai fait un gateau avec une vrai pâtissière mais on l'a cramé, c'est dure pour vous d'être pâtissier ? Parce que moi je trouve que oui mais si vous en avez fait votre métier ce doit vouloir dire que vous aimez ca, sauf si on vous y a forcer. On vous y a forcer ? Mais vous savez sinon j'en fait des gateaux, je met toujours des choses dedans, comme des petits poids et du thon et des tas d'autres choses pour goûter, et papa, enfin mon autre papa vous savez, il mange tout ! Mais moi je n'aime pas tout le temps mais je me force a manger ma part parce qu'il ne faut pas gaspiller.  »

Elle avait hoché la tête d'un air sur d'elle. Ca, elle en était sure, a l'école on le lui avait dit pleins de fois, donc si on l'avait dit a l'école c'était que c'était forcément vrai !

Le blaireau quand a lui se contentait d'hocher la tête en la laissant parler, trop angoissé a l'idée de passer ce qu'il avait nommé « l'épreuve de sa vie ». Il entraîna Maxine et ses garde du corps dans l'arrière boutique, pour leur dévoiler une sélection de gâteaux de mariage tous plus impressionnants les uns que les autres.

« Alors voilà, nous avons essayé de suivre vos indications la derniere fois, vous aviez dit qu'il fallait que ce soit « bon ». Donc nous nous sommes basés sur ca pour créer cette sélection, en esperant qu'elle vous plaise... »

Doucement, Maxine fouilla dans son sac et en tira un petit mouchoir blanc qu'elle tendit au blaireau.

« Tenez Monsieur Meles, vous avez l'air d'avoir très chaud vous êtes en sueur ! Vous savez, si vous etes malade je peux revenir plus tard, je dirais a papa que vous ne vous sentiez pas bien et qu'on a du.."


"NON !"
s'écria il brusquement d'un air paniqué avant de se reprendre. "Non, ne vous en faites pas j'ai juste... chaud, c'est simplement cela. Ne vous en faites pas... tenez goutez donc ce gateau.." fit il en lui tendant une asiette dans laquelle une part du premier gateau se trouvait.

L'un des ours tendit la patte et jeta au pauvre patissier un regard menaçant avant d'attraper une fourchette et de prendre un bout du gateau. Quelques instants plus tard, il tendit l’assiette a Maxine qui fit joyeusement de même.

Au bout d'une petite heure, durant laquelle ils goutèrent tranquillement les gateaus ( et durant laquelle Mr Meles manqua de faire une dizaines de crises cardiaque ) le petit groupe quitta tranquillement la patisserie, Maxine en tête qui avait demandé a porter elle même le gateau a la voiture. Elle n'avait pas fait trois pas a l'extérieur que quelque chose de très rapide la bouscula brutalement, lui faisant perdre l'équilibre. La boite a gateau chuta et s'écrasa sur le sol dans un sploch significatif, alors que le bolide s'arretait brutalement. Le bolide ?

"Oh ! Mais tu es la dame qui était dans la pokéball !"
S'exclama Maxine en désignant une jeune femme brune, tendis que ses ours garde du corps la menacaient avec des pistolets – chocolat.

Dans leurs dos Mr Meles c'était évanouis en voyant le désastre, et le gateau comencait a fondre sur le trotoir, vestige de nombreuses heures de labeur et de travail.




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Événement #71 : Zootopie, la Chamelle à Trois Bosses [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2016-12-02, 18:20


La chamelle à trois bosse
Ah tata la la afro circus Attendez comment ca je viens avec vous ?


Bon, elle était partie ou la moutonne ? J'étais certaine qu'avec ca coupe, on ne pouvait pas la manqué ! Je pris la mains – ou la griffe- de Flash, et l'entrainait de nouveau avec moi dans mon tourbillions de lumière. C'est pas qu'il allait clamser ...mais presque. Je repérais au loin une tignasse blanche qui semblait bien être ma moutonne ! Un sourire illumina mes traits, et en quelque seconde, alors que je me croyais vraiment proche du but, je sentis un arrêt brusque me faire perdre l'equilibre. Je lachais un cris de surprise avant de culbuter quelque chose et de tomber par terre. Une douleur ce projeta dans ma tête, alors que je mis quelque instant avant à me remettre les idées en place. Ohhh, je saigne ! Je saigne ! Je..oh mais attendez. C'est plutot bon comme sang ...ca avait le goût du chocolat ! Pourquoi ca avait le goût du chocolat ? Un visage ce pencha au dessus de ma tête. Un gros pif comme l'ours du commissariat, avec des poils blanc tout doux tout doux ! Quoi que, j'ne avais aucune idée en fait si c'était tout doux ...Ah si, mes doigts s'amusaient à caresser ses patounes alors qu'un sourire béat immergeais sur mon visage.

▬ « Y'a pas à dire, les tout blanc sont les plus moelleux ! » M'exclamais-je en ricanant, avant qu'un coup de mains sec ne me relève de force pour me faire tenir lamentablement sur mes jambes. «  Eh, bat les pattes ! » lachais-je en battant les bras dans sa direction. Non mais j'étais pas une marionnettes, wouah l'autre, comment il me relève !
"Oh ! Mais tu es la dame qui était dans la pokéball !"
Oui ? Pardon ? Je détachais mon regard du nounours pour le poser sur une petite blondinette. Pas de poils, pas de museau, juste une personne bien normal ! Je lui pinçais les joues en les agitant avec un gros sourire psychopathe. Normal ! Un peau toute douce et fragile ! « Ohhhh, mais je te connais toi ! » m'exclamais-je, avant de me rendre compte que je pinçais toujours ses joues. Oups, mal aise ! Je la relachais, parce que les gros gardes du corps là bas il me jetait des regards tellement noirs qu'en fait, je me demandais si il cachait pas une mitraillette derrière ses pupilles. «  Ahhhh mais je me souviens de toi ! C'est toi qui nous a emmener dans le monde des pokémons ! Contente de revoir une tête connu, je suis pas sortis de l'auberge avec lui ! » fis-je tout bas en passant ma mains contre ma bouche et glissant ses quelque mots dans son oreille. Je pointais Flash du doigt. Il avait une tête de défoncé. Ah non, c'était sa tronche normal, veuillez m'excusez. Je sentis une grosse mains me choper l'epaule et me retourner avec brutalité. Je fis face au gros museau du nounours.

▬ « Ahhh !! Bonjour ? La vache, vous êtes grand ! Attendez, pourquoi vous avez des tronches de mafieux ? » Dis-je en plissant les yeux. Même si le costard cravate, c'était quand même mega cool. « Eh ! Je sais aussi faire la mafieuse, attendez ! » m'ecriais-je en agitant les bras dans leur direction. Je pris un air sadique – ca, c'était facile, il fallait juste regarder la personne comme si elle vous avait piqué votre starbuck- et plongeais des yeux menaçants dans ceux des ours. «  Mah qué, Louis ! Debaralsse toi dou corlps, il tâche la moquette ! » je fis des mouvements de bras vers eux, les yeux plissé, avant de reprendre un visage souriant et d'ecarter les bras avec theatralité. Tadaaaa ! C'était marrant les mafieux, ils avaient des accents soviétique presque. Ils veulent nous effrayer avec ca alors qu'en réalité ils ont juste l'air de pauvre abrutie ! Le nounours sembla pas vraiment apprécier ma démonstration. Pfff, ils connaissent pas mes talents d'actrices, c'est tout. Pourtant l'autre semblait presque vouloir applaudir. Je le pointais du doigt en lui faisant un clin d'oeil complice. «  Toi, jt'aime bien amigo ! » raillais-je.

« L'auberge ? Tu n'es pas dans une auberge... tu t'appelle comment ? Moi c'est Maxine Big ! Tu veux être mon amie ? Et toi aussi ? » Big ? Ah ca c'était petit ...Oui bon ca va, vous êtes pas obligé de rigolé hein ! Je vous tord pas les lèvres non plus ! N'empêche que c'était gentil ca, de vouloir être mon amie.

▬ « Nan, j'en sors ! Ahh une copine ! Avec plaisir, moi c'est Jezabel ! Attend, ta bien dit Maxine big ? Genre comme big boss ? » Déclarais-je. Ahhhhh nan me dite pas que c'était les ours en peluche de la musaraigne ? Hahaha, même pas impressionnée tiens ! Flash commença à répliquer quelque chose. « Ah fais pas attention, il est d'accord ! » renchéris-je. Même les nounours avaient commencé à désespérée à son premier mot. Cependant, les ours avaient réagit quand j'avais prononcer le nom du boss. Oh. OHHHHHHHHHHH ! Le vous savez qui, c'était lui ? Mais quel bande de troulliard c'est pas possible !

« Oui mais toi tu as pas le droit de le dire parce que tu ne fais pas partie de la famille, c'est une regle ! »

« WHAT? » m'ecriais-je en decroisant mes bras. Pourquoi ? Moi je suis pas en accord avec les règles. J'aime pas les règles, j'ai pas de règles, personne à ses ...à des règles  au dessus de moi ! Elle leva le doigt, comme pour m'interrompre dans ma protestation. « A ouais ? Ça craint comme règle ! N'importe qui a le droit de dire ce qu'il veut ! » Non mais oh ! Depuis quand on pouvait plus parler librement ? Heion ? HEIN ? C'était encore françois Hollande ca. Ah les flambi, je vous jure !

« Papa m'a envoyé cherché un gateau pour le mariage, mais tu l'as fait tomber... mais il y en a d'autres a l'intérieur on peut aller en chercher si tu veux ! » Ah le gâteau...le truc qui m'avait et me tâchait encore le visage. Il était bon quand même comme gâteau ! Je baissais les yeux pour effectuer une mine désolé. Il était tout amoché le pauvre. Attendez. Temps mort. COMMENT CA PAPA ? GENRE LA SOURIS LA C'EST SON PERE ? Nan, scientifiquement pas possible ! Sauf si il avait décidé d'adopter. Là oui je veux bien.

▬ « Ah oui je suis désolé pour ton gâteau ! Si tu veux je peu t'en faire un en même pas une seconde ! » répondit-je, les yeux brillant. Je peu ? J'adore faire des gâteaux à vitesse grand J ! Allez s'teuplait dit oui ! Je la regardais avec des yeux suppliant, ayant ramener mes mains contre ma poitrine en forme de prière.

« Oh je ne crois pas que tu puisse en refaire un pareille en une seule seconde tu sais ? Il faut le temps que ca cuise, et puis c'était MR Meles il est très fort en patisserie et la patisserie c'est difficile ! » pffff, c'était même pas un obstacle ca ! La patisserie y'avais rien de plus facile ! On faisait des drôles de mélange et pouf dans le four ! Et pis d'abords si que c'était possible ! Une boule de feu pour le faire cuir est c'est bon ! Même pas le temps de dire ouf que je l'aurais dans les mains !

▬ « Ah ! On fait un parie ? J'adore les parie ! Je suis super rapide, tu vas voir tu me verra même pas revenir avec ! » fis-je d'un clin d'oeil en ricanant. J'adore les parie. Je résiste jamais à un petit défie. De toute façon je les gagnes tout le temps ! Pourquoi elle avait une tête qui voulait dire non ?

« Mais le temps que ca cuise ca prendra plus d'une seule seconde ! Et puis les ingrédients ne seront pas exactement les même et puis les mouvements que tu fera ne seront pas les même et ce ne sera pas le même gateau parce que ce ne sera pas Mr Meles qui l'aura fait. Il lui ressemblera seulement... Mais c'est pas grave on peut en prendre un autre je crois ! En tout cas je suis contente d'avoire une amie pour le mariage. Est ce que tu sais si d'autres gens sont la ? » Je me suis déconnecter pendant une micro seconde. Non mais parce que je croyais pas ca possible qu'un blaireau puisse être meilleur que moi en cuisine déjà. Moi, je laisse pas trainer des poils dans le gâteau ! Et pis c'était pas juste, j'avais envie de prouver ma valeur moi. Cependant, mon cerveau c'est très vite reconnecter à la dernière phrase. Si y'avais Maxine ici, ca voulait dire que y'avais peu être des gens ailleurs ?

▬ « Attend c'est pas bête ce que tu viens de dire ! Plus on sera nombreux, mieux on rentrera à la maison ! » M'exclamais-je en l'ayant attrapé par les epaules. «  Faut trouver les autres ! Encore faut t-il qu'il y'es des autres ... » dis-je en grimaçant. « Mais avant on va aller chercher ton gâteau ! C'est qui qui ce marie ? » Voulu-je savoir. C'était elle apparemment. La vache, ca ce mariait super tot à Zootopie ! « Tu vas quand même pas épousé un animal ? Non mais parce que c'est vachement zoophile quand même, pis les poils ...Bahhhhh ! » je chassais les poils imaginaire qui aurait pu ce pointer devant mon visage, alors qu'on revenait dans sa boutique. Le blaireau était en train de tout ranger. Je tournais un visage contrarié vers les flingues. Non mais parce que depuis le debut je les vois là, pointer sur moi comme une biche proie à un chasseur ! «  Dit, ca te dirait pas de dire à tes ours en peluche de baisser ca ? Ils vont ce faire mal les pauvres. » je leur balançais un sourire provocateur, alors que Maxine leur demanda de les baisser, sinon ils allaient ce tâcher de chocolat. L'ours me lança un regard noir que je répondit par un regard narquois. Bah ouai. De toute façon ta aucune chance, je suis super rapide j'aurais le temps de voir la balle venir ! Je m'arrêtais devant trois gâteaux. Les seules qu'ils restaient. J'eu envie de toucher, mais l'une des grosses pattes blanches me jarta le doigt de la crème fouetter. Je lachais un cris de frustration.

▬ «  Ca va...ca va ...De toute façon je suis moins enrobé que toi, MOI ! » Je lui tirais la langue, alors que mon regard parcourait les trois petites derniers. Fraise, chocolat, et le tout clair ...noisette ? Je penchais la tête, m'interrogeant. «  Alors, y'a quoi au dessert M. Meles ? » parlais-je toute seule. Je pris le gâteau au noisette. Moi, je l'aurais choisis en tout cas. Je me tournais vers l'ours avec un grand sourire niais, le plateau dans les mains. «  Tadaaa ! Avec les compliments de la maison ! » déclarais-je en ayant l'attention de lui remettre dans les mains. Ou dans les pattes. Il ce mit à toussoter, très mauvaise imitation d'ailleurs ! Je le prendrais qu'en figurant, vue qu'il est doué qu'a ca apparemment.

« Mauvaise idée... » Je le fixais avec lassitude, posant le gâteau – bon c'est limite si je l'avais pas jeter, mais ils en voulaient pas, alors on s'en fichait non?- ah, la fraise ! Tout le monde aime la fraise ! Ca devrait le faire ! Je le pris entre mes mains , tout sourire, mater mes dents blanches ! Bah non, l'autre pinouf secoua negativement la tête. Je fis un visage irrité en son attention. Croisant les bras sur ma poitrine.

▬ «  Wouuuuah l'autre comment il est relou ! » M'exclamais-je. «  Chocolat alors ? » C'était le dernier. Il avait intêret à dire oui ! De toute façon il avait pas le choix !

« Hmmmmmmmmmm.... » Ah non, noooooon ! D'accord en fait il me déclarait la guerre petit ours brun ? Attend deux secondes !

▬ «  Si t'es si malin ta qu'a le choisir toi le gâteau ! » protestais-je en posant mes mains sur les hanches, les yeux plissé. J'avais levé la tête pour le toiser, mais vue qu'il était haut comme une montagne, on aurait dit une mauvaise comédie hilarante !

« Le boss n'aime pas le chocolat... »
▬ « Tout le monde aime le chocolat ! »
«La noisette lui donne mal au ventre. »
▬ «  Pfff petite nature ! »
« Et la fraise il en est allergique. »

▬ « Cool, ta qu'a faire un gâteau alors ! Ca sert à ca les majordome non ? » Vous le voyez le gros sourire moqueur sur mon visage là ? J'avais pointer mon doigt contre son gros museau, et j'appuyais dessus. Je me demandais si ca couinait comme un jouet pour chien …
« Je suis pas majordome. Je suis un garde du corps ! Catégorie A en plus ! » Dit t-il d'un ton fière. Ah pardon, il avait vraiment une tête de majordome.

▬ « Ah ca veut dire quoi ? C'est la meilleur catégorie ? Ton copain aussi il y est ? » j'avais aucune attention malicieuse, c'est pas vrai ! Ce n'était même pas dans mes projets de provoquer une discorde entre ses deux là ! N'empêche, j'aimais bien ca quand même. Une envie sournoise d'être des plus irritantes.

« Non lui c'est un B. »
Oh. Ohhhhhhhhh. Le pauvre. Je fis une mine triste en son attention.
« C'est pas ma faute si j'ai rater l'examen final ... » répondit son B. Ah mais c'est pas grave, ca ce rattrape ! Enfin, ca depandait de l'examen. C'était quoi ? Je leur fis une tête interrogatif. Me demandais si il devait liquider une personne pour être en première catégorie. C'était glauque !

▬ « Donc ca veut dire qu'à toi, on te confira pas de grande mission ? C'est dommage ... » fis-je en secouant negativement la tête, le ton moqueur. B haussa les epaules d'un air triste. Il me faisait quand même pitié. C'était jamais facile de vivre dans l'ombre des meilleurs !

« On doit trouver un autre gâteau et rentrer avant la tombée de la nuit. » fit A. Si je leur dégote leur gâteau, ils me ficheront la paix ? Non mais parce que si c'était ca, je pouvais exaucer leur vœux en quelque seconde hein !

▬ « Ah pas de problème ! Je peu vous trouver ça en une seconde ! » Declarais-je d'un sourire cordiale. Il me regarda et attendit. Vous croyez que ca veut dire oui ? Non mais parce qu'il répondait pas, c'était quand mêm contrariant. «  Ca veut dire oui ? Je crois que ca veut dire oui ... »glissais-je à Flash à l'aide de ma mains. Il commença à hocher la tête, et je disparu dans un tourbillions de lumière. Je passais à travers la porte d'une patisserie, attrapant un gâteau au hasard. «  Scusez je vous emprunte ca ! » Lançais-je. Le boulanger releva la tête, cherchant l'origine de la voix, avant de replonger son nez dans sa galette. Je revins lorsque Flash finit de hocher la tête. Je tendais le gâteau à l'ours d'un air fière. Il hésita, avançant le doigt pour goûter, mais B lui tapa sur le doigt.

« CA devrait être bon. » conclu A. Vanille avec un lit de mangue ! Un peu oui que c'était bon ! Ayez ? J'étais libre ? Je pouvais partir ? Genre pour de vrai ?

▬ « Bon bah question réglée, Salut ! » criais-je. J'allais filer avec ma super vitesse, mais une poigne m'attrapa le col de la nuque et mes pieds quittèrent le sol. Je crois que ca voulait dire non ... « Ah, je viens avec vous ? » Dis-je, désespérée. Son visage poilu ce retrouva en face du mien. Je repoussais son museau en ecartant ma tête. «  Excuse, tu veux pas me reposer ? Non mais parce que les poils dans le pif ca va pas être possible ... » protestais-je. Le regard qui me lança me laissait un froid glaciale soudainement. «  D'accord, vue les muscles, on va peu être pas shipoté et ...aie ! » je venais de voir subitement la banquette arrière de très très prêt. Je lui avais déjà dit que le lancer de Jezabel c'était la bon pour la santé ? Que genre, je m'appelais pas pinocchio ? Non ? Faudrais peu être considéré à le faire alors ...je me frottais le visage, alors que Maxine ce glissa à coté de moi. Je me demandais ou on allait. Bien que j'avais une petite idée. A prit le volant, alors que B alluma la musique qui me fit hurler de rire sur la banquette.

▬ « Naaaaaaaaaan sérieux ? » fis-je, genre, des nounours mafieux qui mettait du Kesha ? Ah non mais c'était trop pour moi, bonjour la virilité. Ils me lancèrent des regard acérée et tout noirs. «  Ah nan mais je juge pas ! Regardez ... » je me mis à imité la batterie, bougeant la tête de gauche à droite. «  Don't stop, make it pop DJ, blow my speakers up Tonight, I'm-a fight Till we see the sunlight Tick-tock on the clock ! » Pour un peu, j'en verrais presque la scène et la foule m'acclamer ! Je me permis de passer la tête devant, mais la grosse pattes de l'ours me repoussa en arrière. «  Outch. Mais attend, je veux juste remettre vos goût musicaux à jour ! » protestais-je en agitant les bras alors que sa mains était toujours coincé sur mon visage. Mais pourquoi il voulait pas ? Alors qu'il continuait d'appuyer, je passais la tête à travers sa mains et attégnit la radio. B poussa un cris de surprise qui ce repercuta dans mes tympans. Une nouvelle musique passa dans l'air.

▬ « Gotcha ! AHAHAHHAHA ! » je reculais en bougeant sur mon siège. Les ours ce regardèrent pendant quelque seconde, alors que B semblait adhéré à la musique. « Bah quoi ? Si je me fais enlever, autant ce faire enlever avec classe !» me défendis-je. Pour un peu j'aurais bien danser un jive moi ! Je m'approchais du Nounours A conducteur. « Tu permet ?» j'attrapais sa casquette et la fourrais sur ma tête, imitant la guitare. Je me sentais tellement classe pour le coup. Et ils tiraient des têtes totalement effaré. Je voulais l'avais dis qu'il fallait pas me kidnapper !Je pouvais être une otage vraiment horrible parfois !


Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !

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________________________________________ 2016-12-02, 19:33 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Tout c'était enchaîné tellement rapidement qu'Amelia en avait encore la tête qui tournait et les nerfs à vif. Ce Nick, aussi charmeur qu'il puisse paraître, aurait de ses nouvelles. Comment OSAIT-il faire passer de la drogue pour des pâtisseries ? La jeune femme n'avait guère eu le temps d'y songer suite à l'arrivée du panda, à la course qui s'en était suivie puis à l'arrestation de tout ce beau monde. A moins que ce ne soit pas une arrestation ?
Amelia était restée calme, intériorisant ses craintes et laissant les jumeaux parlaient - de toute façon, ils alimentaient déjà bien assez la conversation. Elle s'en était néanmoins voulue de les avoir entraînés dans cette affaire de pâtisserie. Pourquoi fallait-il toujours que les personnes bien intentionnées aient des ennuis ? La pâtisserie n'eut pas réellement le temps de mener à bien sa réflexion, non pas parce qu'ils avaient été tués par la mafia locale mais parce qu'ils avaient rejoint de nouveaux amis.
Les avoir accepter ses brownies mit du baume au cœur de l'ancienne lionne qui, accessoirement, était bien contente de ne pas manger toute seule comme une morfale qu'elle était pourtant.
Comme eux, elle avait suivi le mouvement, retirant ses chaussures quand cela avait été demandé, pour faire plaisir à leur hôte. Même si elle n'était pas certain qu'il leur veuille du bien. Et cette affaire de sang sur le parquet n'était pas pour lui plaire.
Néanmoins, pendant que la licorne - qui n'en était pas réellement une, ça se voyait quand même - parlementait avec Diego, Roberto et tous les autres italiens du coin dont Amelia n'avait pas retenu les noms, la pâtissière accepta les cookies. Parce qu'il s'agissait de cookies, quand même. On ne peut pas refuser un cookie, ce serait grossier. Et s'il s'agit du dernier en-cas de leur vie, au moins était-il bon.
Une chose était sûre : Amelia n'avait pas compris pourquoi ils étaient là et se contentait d'obéir pour ne vexer personne. Surtout pas des ours blancs. Aussi, quand ils les escortèrent vers un escalier qui menait à l'étage, la jeune femme ne se fit pas prier, attrapant cependant la main de la licorne apeurée pour la presser gentiment.
- Si tu as trop peur je veux bien te prêter ma pelle à tartes de défense, chuchota-t-elle à son attention. Je ne sais pas ce qu'elle vaut réellement mais si ça peut te dépanner...
Amelia lui adressa un sourire encourageant, la pelle à tartes sortie de son sac à main. La jeune fille sembla réfléchir un moment avant de déclarer :
- T'as de quoi te défendre toi au besoin ? Si oui je veux bien, si non... garde là une patissière armée d'une pelle à tarte est toujours plus utile qu'une licorne avec le même objet.
- C'est pas faux. C'est même très futé !admit ladite pâtissière avant que la jeune fille ne se rapproche d'elle pour chuchoter :
- Normalement j'ai des pouvoirs... je ...je contrôle la foudre et l'électricité - ça me fait toujours bizarre de dire ça ! - mais ici ça marche pas et je comprends pas pourquoi !
- Waouh ! Mais c'est trop cool, dis donc ! Moi j'étais une ancienne lionne mais je ne peux pas me transformer à volonté. Viens, on va faire ce qu'ils ont demandé c'est plus prudent et on avisera ensuite, déclara-t-elle d'un ton sérieux avant de reprendre plus enthousiaste : Au fait, moi c'est Amelia !
- Sérieux ? Punaise c'est dommage, j'aurais bien aimé que tu nous la croque la souris-là ! s'écria Alexis ce qui ne manqua pas de faire sourire Amelia. Note à elle même : ne pas gâcher son rêve en avouant qu'elle était la pire lionne au monde. Je suis d'accord avec toi... Enchantée Amélia, moi c'est Alexis ! reprit la jeune fille. Navrée qu'on se rencontre dans des circonstances aussi bizarre...
Amelia lui adressa un sourire contrit. En dépit des circonstances, elle était heureuse de toutes ces nouvelles rencontres.
Une fois en haut, elles purent s'apercevoir que plusieurs femelles musaraignes qui s'affairaient çà et là, auprès de quantité de robes plus belles les unes que les autres. L'étage avait clairement été aménagé pour des essayages. Shoppeuse dans l'âme, Amelia n'avait que pu s'en apercevoir. Bientôt, une femme s'approcha d'elle et dit :
- Ah vous, la rose vous ira à ravir !
Puis, sceptique, elle s'approcha d'Alexis qu'elle observa un moment avant de déclarer :
- Vous êtes sûre que vous ne deviez pas rester au rez de chaussée ?
Amelia ouvrit des yeux ronds.
- Mais elle est toute mignonne ma copine licorne ! La robe rose aussi, hein, je suis sûre que vous avez raison, elle a l'air divine !
La musaraigne ne releva pas et se contenta de lui donner la robe rose avant de lui indiquer un paravent derrière lequel se changer.
Quand Amelia en sortit, le petit rongeur lui fit signe de tourner sur elle-même pour admirer comment la robe tombait sur et si des ajustements étaient nécessaires. Elle décréta que oui et sortit fil, ciseaux et aiguilles.
Amelia tâcha alors de tenir en place mais il y avait bien trop de choses à voir partout pour qu'elle parvienne à rester immobile si bien qu'elle sentit l'aiguille dans sa chair une ou deux fois. Ce qui la décida à prendre sur elle pour ne pas trop regarder alentours. N'en restant pas moins bavarde, elle demanda :
- Dites moi, elles sont vraiment sympa toutes ces robes... C'est du fait main ? Je gage que oui, c'est trop beau pour être industriel. Et c'est pour quoi qu'on nous habille aussi joliment ?
Autant essayer de glaner quelques informations car les musaraignes du bas n'avaient pas été spécialement bavardes. Elles ne parlaient que par énigmes si bien qu'Amelia avait simplement deviné qu'ils célébraient quelque chose et que le repas était au frigo alors qu'il était encore en vie quelques heures plus tard.
- C'est nous même qu'on les tricote, répondit la couturière qu'on devinait fière de son travail. On a que ça à faire de nos journées. Et c'est pour le grand jour. Ca se prépare un grand jour ! Ca se prépare même très à l'avance ! Ce n'est pas la première fois que le Boss tente de marier notre fille à quelqu'un ou du moins l'une de ses filles. Mais ça fini toujours mal.
- Ooooh ! Un mariage ! J'adore les mariages, les belles histoires d'amour, le prince charmant et les bons repas ! Je suis totalement de votre avis, ça se prépare et ça se prépare bien, affirma Amelia avec conviction. D'ailleurs, figurez vous que je suis en train de préparer mon second mariage. Toujours avec le même mari, hein, parce que c'est lui et lui seul le grand amour de ma vie. On a décidé de renouveler nos vœux. Je suis tellement impatiente ! conclut-elle, guillerette en se retenant pour ne pas trépigner.
- Et il est ici ? voulut savoir la couturière. On pourrait vous marier tous ensemble aujourd'hui !
L'idée était assez excitante même si Amelia avait commencé ses propres préparatifs, menu inclus et qu'il manquait, en plus du mari, tout le reste de la famille. De son côté, la musaraigne sembla hésiter mais ajouta finalement :
- Il ne doit pas être ici, mais ce n'est pas grave, on va vous trouver quelqu'un ! Eglantine ? Apporte le catalogue !
Le catalogue ? Amelia n'eut même pas le temps de demander de quoi on lui parlait que la fameuse Eglantine arriva avec un catalogue proposant divers animaux bien habillés sur les photos. Ladite Eglantine tourna les pages en donnant ses avis. Amelia était sciée mais se prêta au jeu, pour faire plaisir aux musaraignes et pour qu'Eglantine n'ait pas sorti le catalogue pour des prunes :
- Le tigre a un certain charme, nota-t-elle. J'aime beaucoup les félins, ils ont... ah je ne sais pas comment dire, un truc, vous voyez ?
- Alors ça sera le tigre ! décréta la musaraigne en fermant le catalogue d'un geste décidé. On va passer commande, tu l'auras ce soir ma grande ! Ne t'en fais pas pour les formalités on s'occupe de tout !
Amelia lui adressa un sourire radieux et opina du chef.
Au moins elles en savaient plus quant à l'endroit où elles étaient tombées : le boss mariait sa fille. Finalement ce serait peut-être sympa. Amelia adorait les mariages et sa robe était splendide. A présent, c'était à Alexis d'être parée et de choisir son compagnon d'un soir. Eglantine s'était déjà approchée d'elle, d'ailleurs.
C'est le moment que choisit une masse blanche et poilue pour apparaître à l'étage, suscitant l'attention de toutes les couturière. L'une d'elle, armée d'une aiguille, s'approcha de lui l'air mécontente. Agitant son outil de travail au son de ses mots, elle ordonna d'une voix menaçante :
- Dehors.
- Mais je... voulut protester l'ours.
- J'ai dit dehors, c'est pour les dames ici, espèce de malotru ! s'emporta le rongeur en approchant son aiguille du pelage blanc de l'ours.
Il écarquilla les yeux et recula. L'instant d'après, on entendait son pas lourd dans l'escalier.
- Je voulais juste savoir si tout se passait bien avec les dames, d'abord ! C'est du sexisme et du racisme envers les ours ! moi j'avais rien fait de mal, j'essaye d'obéir aux ordres et voilà comment on me remercie ! C'est toujours pareil et en plus on a même pas de RTT pour compenser... Fichues couturières ! En plus je suis sûr qu'il a cafté et leur a dit que j'aimais pas les aiguilles...
L'ours semblait avoir un gros chagrin et besoin d'un câlin. Mais Amelia préféra ne pas contrarier les couturières en partant à sa suite et resta là sagement.
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Alexis E. Child
« Allez dans la Lumière.
C'est au détour d'une Ombre
que nous attends le Mal. »


Alexis E. Child

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Tu es comme tu es... mais malgré les erreurs, tu me rends parfois la vie de maman célibataire plus douce...


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________________________________________ 2016-12-03, 18:33 « Allez dans la Lumière. C'est au détour d'une Ombre que nous attends le Mal. »




Try Everything


Amelia venait de finir d’essayer sa robe et elle venait de récupérer son cavalier pour la soirée. Un tigre… C’était vraiment légal ça ? Le croisement d’espèce entre une humaine et un tigre ? C’était pas de la zoopholie ? Sans compter qu’elle était une lionne au départ donc là pareil, c’était pas tout à fait la même espèce… Cette réflexion en cadre, l’une incrustée dans l’autre me faisait mal à la tête et comme c’était pas la seule chose qui me donnait la migraine, je préférais restée silencieuse et sourire comme une idiote. J’étais monté sur le podium lorsqu’on avait chassé l’ours de la pièce, ma nouvelle compagnon de route avait insisté pour que je termine avec la même robe qu’elle, c’était très gentil de sa part mais bon… le rose n’était pas trop ma tasse de thé… les mariages non plus d’ailleurs et j’étais désormais à un mariage de souris, toute de rose vêtue…

- Dîtes… je me demande… mais vous pouvez peut-être me renseigner… pourquoi…pourquoi monsieur le boss nous a fait venir de chez nous pour insister à un mariage ?
- Quelle question voyons ! On ne demande pas à monsieur le boss pourquoi il nous offre une chance d'être au mariage de sa fille. On se contente de saisir sa chance.

J’acquiesçais de la tête d’un air perplexe en continuant de regarder le catalogue qu’elle me montrait. Mouais… elle avait pas l’air d’en savoir plus que moi… Super je me demandais vraiment comment cela allait tout finir… est-ce qu’on retournait chez nous à la fin ou on se faisait refroidir ?! Mais la couturière me sorti de mes pensées.

- Et vous ma chère, vous êtes mariée ?

C’était vrai que la question devait se poser vu que je réagissais pas aux animaux qu’elle me montrait… en même temps, choisir un mec dans un catalogue c’était pas trop ma came, j’avais l’impression d’être au supermarché du coin et malgré ma vie de serveuse au Rabbit Hole c’était pas un truc qui me plaisait, sans compter que c’était des animaux. J’avais eu un petit rire nerveux.

- Oh grand dieu non ! Merci bien mais non merci !!

Je riais de plus belle mais m’arrêtait soudain en voyant que la couturière et Amelia me suivaient pas dans mon délire. Je me raclais la gorge d’un air gêné.

- Enfin… disons que … pas maintenant quoi… j’ai pas encore trouvé le bon mari… On va dire ça comme ça… Et… je crois que je trouverais pas mon bonheur dans votre catalogue désolée.
- Même pas dans les dernières pages ?

Elle me montrait désormais d’énooooorme Orang Outan et je refermais le catalogue d’un air paniqué.

- Oulaaa non c’est trop gros ça !

- Elle va finir vieille fille toute sa vie, elle ne sait pas ce qu’elle veut.

Ben super c’est gentil, fait comme si j’étais pas là surtout hein je te dirais rien !

- Euuuh sinon… la mariée est déjà là ?
- Elle est allée chercher le gâteau. C'est un rituel très important !

Cherché le gâteau ? Cherché où ? Dans la cuisine ?! Avec la baraque qu’ils avaient ils pouvaient pas faire ça chez le pâtissier, si ? Bon il fallait que j’aille dans la cuisine avoir le cœur net. Je savais pas comment l’expliquer mais j’avais l’impression que les mariés sauraient nous donner une piste… Après tout, on invitait souvent la famille de la mariée et du marié non ? Imaginons que la mariée soit la fille du big boss comme dans le film… ben alors le marié devez venir de Storybrooke, ce qui expliquait le pourquoi on était là… Vous avez dit « glauque » ? Je suis entièrement d’accord ! Une chose était sure, je voulais pas rester là à m’habiller tranquillou alors qu’on était à des kilomètres de chez nous sans aucune raison et que je ne savais pas comment on rentrait… et pourquoi que j’étais la seule à m’inquiéter d’abord ? Tout le monde semblait ravi de s’habiller ! J’avais continué à penser à tout ça tout en me prenant des coup d’aiguille de manière habituelle mais j’étais tellement flippé que je m’en rendait presque pas compte.

- Parfait ! Superbes toutes les deux ! Il ne reste plus qu'à inviter le tigre et... pour vous rien du tout. Mais du coup ça me donne une idée ! Il nous manque quelqu'un pour s'occuper du buffet. Vous passerez un tablier pour ne pas abîmer votre robe.
- Euuuuh oui mais non… C’est très gentille mais… je suis une invitée vous savez, je suis pas là pour travailler…

J’avais fait un sourire et sans crier gare, j’étais sortie à toute blinde de la salle d’essayage en espérant qu’Amelia continuerait à lui parler pour la retenir de venir me chercher. Je sauter les 4 dernières marches ce qui n’était pas spécialement simple avec ma robe et trouvait enfin les garçons qui semblaient être aussi heureux qu’Amelia de ce mariage. Y’avait vraiment que moi qui me sentait pas à ma place ?

- Pssst les garçons si jamais quelqu’un me demande, dîtes-leur que vous m’avez pas vu et essayer de les retenir, j’essaye de nous faire sortir d’ici !

Sans attendre une quelconque réponse, je courais droit vers le salon et empruntait la porte de la cuisine vers laquelle le Big Boss était entré. Et j’étais à présent dans les cuisines… les souris s’affairaient devant moi sans vraiment me prêter d’attention… et il n’y avait aucune trace de la mariée… super…


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Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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________________________________________ 2016-12-05, 15:43 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Manifestement, Alexis ne partageait pas la passion d'Amelia et des musaraignes pour le mariage. Ce qui était son droit le plus total, après tout. Elle était encore jeune, elle avait le temps - même si Amelia, à son âge, était déjà mariée. Amelia se savait un peu vieux jeu, voire hors de son époque sur certains aspects. Les femmes modernes, totalement ancrées dans leur époque, ne pensait sans doute pas comme elle. Le mariage n'était plus une nécessité et ne faisait plus autant rêvé même si les princesses Disney avaient encore la côte.
Et maintenant Alexis s'en était allée dieu sait où. Peut-être avait-elle pris peur face à tout cet engouement ? La pâtissière ne put que la regarder s'en aller avant de constater que personne en dehors d'elle avait remarqué son absence.Heureusement que la musaraigne couturière avait commencé à parler de buffet, cela avait remis du baume au cœur de l'ancienne lionne, prête à aider, comme toujours et malgré son expérience précédente avec ce coquin de Nick. Et le tablier ne serait qu'une formalité.
Mais Amelia ne dit rien afin de ne pas s'exciter à nouveau et finir avec une aiguille plantée dans la taille. Elle ne s'était jamais résolue à essayer l'acupuncture et n'en avait pas spécialement envie. Bien que la musaraigne eut à présent fini ses retouches, elle ne préférait prendre aucun risque et l'observait, souriante, pendant que cette dernière continuait sur sa lancée :
- Les mariages c'est ce que je préfère. Les préparatifs, la fête, le sacrifice, les cris de joie, de bonheur, le riz qu'on jette sur les corps, c'est toujours émouvant.
Amelia opina vivement du chef. Les mariages, c'était aussi ce qu'elle préférait. Avec Noël et les anniversaires. Elle s'assit elle aussi sur un tabouret, prenant bien soin de ne pas froisser sa jolie robe et soupirant d'aise, rêveuse.
- A qui le dites vous... Les mariages, c'est la concrétisation de l'amour entre deux âmes sœurs qui ne sont que la moitié d'un tout... Je suis pressée de recommencer. J'ai déjà commencé mes préparatifs, vous savez. Mais... si je peux me permettre, vous parlez de "corps", ne faudrait-il pas plutôt parler de "mariés" ou de "tourtereaux" ? Corps c'est un peu... glauque... non ? demanda-t-elle d'une petite voix mal assurée en ricanant. Ceci dit, j'ai eu une cliente - parce que je suis pâtissière, vous savez - qui voulait un gâteau avec des asticots et de la sauce égout. Qui suis-je pour juger les goûts ou la conception des uns ou des autres ? Personne, exactement.
La musaraigne releva la tête, surprise et regarda Amelia avec des yeux ronds et reprit :
- Non non, corps évidemment. Mais ne vous en faites pas, vous, vous serez mariée, tout ira bien.
Voilà qui est rassurant, songea Amelia. Alexis ?... Viens me chercher...
La pâtissière déglutit avec difficulté, se trouvant bien naïve pour son âge. Mais il était hors de question de partir en courant, cela aurait éveillé les soupçons de la couturière qui lui assurait que tout irait bien. C'était peut-être vrai. Pour elle. Mais les autres ? Amelia était de celles qui pensent aux autres avant elle-même. Elle ne pourrait pas permettre de se marier pendant qu'on enterrait ses nouveaux amis. Alexis était la licorne la plus adorable du monde. Les jumeaux étaient de sacrés énergumènes qui l'amusaient. Et le tigre dont elle ne connaissait pas le nom avait l'air tout aussi survolté qu'elle. Elle ne pouvait que les aimer.
- Ici pas d'asticots, ajouta la musaraigne en tirant Amelia de ses pensées. Mais on peut vous faire un gâteau sur demande. Rendons nous à la cuisine pour voir ça.
Ces dernières paroles lui permirent de reprendre du poil de la bête. La couturière, bien que de plus en plus étrange, restait courtoise et aimable avec elle. Et elle avait prononcé le mot magique - cuisine, pour ceux qui dormiraient - qui représentait aussi, peut-être, une échappatoire bienvenue et le moyen de revoir ses amis.
- Allons y ! approuva Amelia en se levant. Je suis curieuse de voir votre cuisine, c'est toujours ma pièce préférée dans une maison.
Et, accessoirement, on y trouve des couteaux que je sais manier, ajouta mentalement la jeune femme.
Elle suivit ainsi la couturière jusqu'aux cuisines où d'autres rongeurs entourés Alexis à qui ils essayaient visiblement de faire goûter toutes sortes d'aliments, mets et autres préparations maison. Où qu'elle posait les yeux, Amelia pouvait voir des plats en train de mijoter, des sauces, des soupes - ou des ragoûts ? - encore et toujours plus de nourriture. Bien plus que dans sa cuisine à elle voire peut-être que dans sa boutique. La lionne était à la fois émerveillée de pénétrer dans pareil endroit mais continuait de s'interrogeait de plus en plus sur ce qui se tramait ou se cachait derrière tout ceci. Tout le monde, y compris d'autres ours, goûtait, touillait. Il régnait en cuisine une effervescence qui plaisait à Amelia.
Mais son enthousiasme retomba vite en voyant la tête d'Alexis à qui on tendait une cuillère et un toast pour une dégustation imminente. La pâtissière lui adressa un sourire contrit, ne sachant pas quoi faire de plus. Elle se dégagea du passage pour s'approcher d'une marmite, curieuse. Comme elle ne supportait pas de voir les autres travailler quand elle était oisive - et d'autant plus en cuisine - elle déclara en se tournant vers une musaraigne toquée (littéralement : avec une toque une la tête) :
- Si vous avez besoin d'aide, je suis pâtissière et traiteur à domicile ! Je sais touiller, surveiller une cuisson, mixer, mélanger, doser et un tas d'autres trucs !
Pour un peu elle aurait sorti sa pelle à tartes afin de prouver qu'elle s'y connaissait mais elle préférait garder l'effet de surprise au cas où elle et Alexis devraient, d'une manière ou d'une autre, faire partie des corps et autres cadavres couverts de riz. Ce que la jeune femme avait cru comprendre en lisant entre les lignes de la couturière n'était pas pour la rassurer outre mesure, même si elle était dans une cuisine absolument fascinante et entourée de passionnés comme elle.
Elle avait à peine prononcer ces mots qu'une musaraigne enthousiaste frappa dans ses pattes en disant :
- Chouette ! Venez ici mon enfant, vous allez pouvoir vous occuper de ça !
La musaraigne lui indiqua alors un immense chaudron où cuisait différentes choses qui sentaient décidément très bon puis elle ajouta :
- Il vous suffit de touiller, goûter et modérer les épices !
A priori rien de sorcier, donc. Amelia sourit, manqua de faire un salut militaire et s'empara d'un tablier afin de protéger sa jolie robe rose. La couturière s'était décidément donné trop de mal pour qu'on abîme son travail, même si le repas sentait divinement bon.
La musaraigne, quant à elle, indiqua ensuite six pots d'épices à utiliser : figues de bois sauvages aux aigres douces, aspérule d'hiver, curry de caribou mariné, écorce de roseau, ciboulette rose du Népal et hibiscus andaloux sauvage, autant d'épices qu'Amelia ne connaissait pas. Elle décida alors en premier lieu de s'en faire une meilleure idée en examinant les flacons et leur contenu, humant leur parfum, analysant leur force, leur couleur, leur grain.
Puis elle touilla la mixture, la goûta et l'analysa à sa tour pour déterminer de quoi elle manquait. Après quelques instants, tenant compte de ses premières analysés des épices fascinantes qu'elle avait à disposition, Amelia déduisit qu'une pincée de curry de caribou ne serait pas de trop. Elle s'exécuta sans attendre, touilla à nouveau, goûta et reprit son examen, jetant de temps en temps des regards vers Alexis pour s'assurer qu'elle allait toujours bien.
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We at a party we don't wanna be at.
Tryna talk, but we can't hear ourselves.
Read your lips, I'd rather kiss 'em right back...


YOU KNOW WHAT ?

It's kinda crazy 'cause I really don't mind
And you make it better like that


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Événement #71 : Zootopie, la Chamelle à Trois Bosses [Fe] - Page 2 _



________________________________________ 2016-12-05, 22:38


La chamelle à trois bosses


Pourquoi est-ce qu’on se tapait le rez-de-chaussée nous ? Genre les deux jeunes femmes avaient le droit de monter à l’étage explorer les chambres et autres pièces privées, mais nous on devait se contenter de suivre le plancher ou de ratisser les carreaux ? Ah, elle était belle l’égalité homme-femme américaine ! Franchement, et après on se plaignait de vouloir être tous égaux… Si déjà on nous séparait de base pour des choses aussi futiles que s’habiller, on n’était pas sorti de l’auberge pour une égalisation des genres. Bon, je pouvais concevoir que certains n’aimais pas se déshabiller ou faire quoi que ce soit – comme aller aux toilettes – en compagnie de la gente féminine, mais c’était des détails. On n’était juste pas habitués, voilà tout ! Moi je m’en moquais éperdument, après tout je travaillai avec des strip-teaseuses au bar et je n’avais jamais compris l’engouement pour les corps qu’elles exhibaient… Certes elle étaient jolies, sans doute, mais alors ça ne m’intéressait pas du tout. En revanche, j’en connaissais un qui avait juste à tirer sur le col de sa chemise pour me donner chaud. Chercher l’erreur ! Peut-être que je devais me résoudre à me changer dans le vestiaire des filles pour être tranquille ? A méditer.

Je poussai la porte à côté de la cuisine – c’était ça les odeurs ? – et nous nous retrouvâmes, bande de rouquins que nous étions, au milieu d’une pièce… Enfumée. Littéralement. Ça puait le cigare à plein nez au point que je fus pris d’une quinte de toux atroce. Me pliant en deux pour espérer retrouver un peu d’air, je frottai mes yeux qui s’étaient mis à pleurer en essayant de réguler un peu mes poumons en asphyxie. Comment est-ce qu’on pouvait supporter ce genre d’horreur ? Je fumais des cigarettes de temps en temps mais là, on était dans le niveau au-dessus de l’empoisonnement clairement. C’était comme si quelqu’un avait réduit un pot d’échappement de remorqueur dans un cylindre d’une quinzaine de centimètres… On avait vu mieux pour s’aérer l’esprit.

Cela ne semblait pas perturber les musaraignes dans la salle qui, après un regard dans notre direction, reprirent tranquillement leurs activités : boire du scotch (j’avais jamais compris comment on faisait pour avaler un rouleau pareil… Sans doute qu’il y avait une technique pour ne pas se coincer le côté collant dans l’œsophage ?), jouer aux cartes, fumer comme des pompiers et marmonner sous leur long nez à moustaches. On se serait cru dans les sims en version animalière ! Ou un repère clandestin de mafieux joueurs, au choix. Mon regard balaya la salle, s’attendant sans doute à voir apparaître une machine à sous dans un coin, puis j’échangeai un regard avec les deux jumeaux à mes côtés. Okay… On était tombé où exactement ? Une sorte de barmitsva pour blaireaux ? Pourvu que la mode des sacrifices humains soit passée, j’avais encore un peu de beaux jours devant moi pour finir rôti à la broche.

Un air amusé et je suivis les jumeaux jusqu’à une petite salle située au fond de la pièce. A l’intérieur s’étalèrent alors des costumes de toutes tailles, impeccablement anthracite, parfaitement ajustés, incroyablement identiques et fatalement ternes. Qu’est-ce que c’était que tout ça ? Ils comptaient créer une armée de clones ou bien ? Et si certains faisaient la taille d’un mouchoir de poche – je ne voudrais même pas me moucher là-dedans, ça devait valoir plus que mon appartement ! – d’autres à droite dépassaient les mensurations normales d’un être humain. Comment est-ce que c’était possible d’être aussi grand et gros ? Un éléphant pouvait entrer là-dedans ! Ah, mais c’était peut-être pour eux ? Je levai l’index pour poser la question quant la musaraigne posée à la porte se contenta de me désigner nonchalamment les vêtements. Question d’habitude sans doute.

« Je peux en prendre un ? Vraiment ? Genre vous n’allez rien me faire si je le décroche du cintre comme ça… » Je joignis le geste à la parole, attrapant la première veste noire venue pour la défaire. « … Et que je l’essaye ? »

Je jetai la veste sur mon épaule, attendant une réaction de la musaraigne mais celle-ci se contenta de m’ignorer. Fort bien… Bon, et bien, il ne restait plus qu’à ! Voyant que les deux jumeaux s’y mettaient déjà – exhibitionnistes ! – je me débarrassai de mon déguisement de tigre et de mon tee-shirt pour passer une chemise. Oh, un veston ! Ca j’en avais déjà vu, ça devait s’attacher comme… Par contre, pas question que je mette leur pantalon à pinces là ! J’avais trop peur que ça me coince un poil ou la peau des jambes et que je ne puisse plus bouger ! Et puis mon jean était sombre, ça passerait non ? Remontant les manches de la chemise jusqu’au coude, j’eu droit à un regard en biais quand mes tatouages apparurent à la faible lumière. Quoi ? Ils étaient raciste des couleurs en plus de ne pas autoriser les filles dans leur petite garçonnière ? Tout était un peu trop gris ici ! Heureusement que nous étions trois roux pour relever le niveau…

« … Bon on ressemble à des pingouins comme ça, c'est plus le genre de mon professeur d’ailleurs, mais... Il le faut je crois ? On célèbre un mariage ou quelque chose comme ça ? Ou bien… » Je tournai sur moi-même une dernière fois. « … un enterrement ? »

Ca restait lugubre comme ambiance. Toussant à nouveau derrière mon poing, j’attendis que les deux garçons avec qui j’étais ne daigne finir de se préparer puis j’attrapai ma veste sur l’épaule, mon déguisement de tigre sous le bras, et ressorti de la petite salle. Pile le timing idéal pour qu’un nounours blanc débarque auprès des joueurs et ne lance :

« C’est un mariage ! Faut se presser, ça va bientôt débuter. »

Très bien, très bien, mais j’étais prêt moi ! Promis, j’étais habillé ! Mes yeux clairs vagabondèrent sur une des petites tables installées à mes pieds, ou deux musaraignes s’affrontaient à ce qui ressemblait au Black Jack vu ta tenue du croupier. Ce dernier distribuait et faisait tourner les cartes pendant qu’ils pariaient des jetons ou passaient leur tour. J’avais déjà vu un documentaire sur ce genre de jeux… Un truc sur internet qui vous expliquait les techniques pour vous approcher de 21 sans jamais le dépasser, sinon c’était perdu. Je m’accroupi à leur niveau pour les observer de plus près, laissant un tour, puis deux et trois passer.

La musaraigne juste devant moi était dans une impasse, elle avait sortie un roi et il ne lui manquait que peu de points pour atteindre le plus haut score… Le croupier retourna la carte de son joueur de gauche : un cinq. Perdu. C’était donc à lui. Il avança la main mais je levai la mienne, soudain très impliqué dans leur jeu.

« Non, pas celle-là ! Gardez celle que vous avez ou vous allez dépasser. »

Si je suivais la logique de distribution, c’était un neuf qui suivait et c’était bien trop pour lui. Les tours d’avant il n’y avait eu aucun roi et ils risquaient donc aussi de ressortir même s’il faisait changer la carte. La probabilité d’obtenir un deux ou un trois étaient faibles, pas impossibles mais il y en avait déjà plusieurs de sortis et compter sur la chance n’était pas une donnée à prendre en compte au Black Jack. La table avait pris un pli et vu le nombre de grains de maïs posés devant les joueurs et au centre, y’en a un qui risquait de s’empocher un sacré champ de récolte s’il gardait la main !

La musaraigne que je venais d’aider leva les yeux vers moi, interrogatif au point de laisser tomber son cigare jusqu’au sol, puis sembla hésiter. Il passa sa petite patte sur son menton, tapotant jusqu’à ce que son voisin s’impatiente :

« Tu joues ? » Agacé.

Ils perdaient du temps et, visiblement, le temps c’était du maïs – chacun son trip. Le premier marqua une dernière hésitation face à la carte en suspens du croupier et finalement… Suivi mon conseil : il secoua la tête pour passer son tour. Aussitôt le croupier dévia sa main et révéla la carte : un neuf ! Oh bordel j’étais trop fort, j’aurais jamais cru que ces trucs marcheraient en vrai ! Comme quoi, ça payait de regarder des tutos sur youtube ou des séries débiles… J’esquissai un sourire satisfait devant l’air surpris de la musaraigne, voyant brusquement son adversaire se lever et frapper sur la table. Fouillant dans sa veste, il en extirpa une arme à feu taille barbie et la pointa dans ma direction !

« T'es qui toi ? » Demanda-t-il, se tournant vers l’ours blanc resté à l’entrée. « C’est qui lui, Luigi ? »

Ce dernier haussa les épaules. Euh, j'avais une langue ! Ca servait à répondre ! Bon à pleins d'autres trucs aussi mais, pour le coup, le plus intéressant était qu'elle me servait à parler !

« Ceux sont des invités. »

On aurait dit un vendeur de fromages sur un marché… En moins motivé. La musaraigne eu des petits soubresauts, agitant son revolver dans l’air.

« Et alors ? Je me fou que ce soient des invités. Qui va me rendre mon argent maintenant ? Allez, vide tes poches... »

Ah oui parce qu’entre temps, moi j’avais levé les bras mais mon accolyte souris s’était empressé de fourrer tous les grains dans sa chemise ! Ca donnait une bestiole boursouflée de partout qui venait d’essayer de se carapater discrètos pour me laisser dans la mouise. Sympa, aucune lâcheté, vraiment ! L’esprit d’équipe, l’honneur, tout ça ? Je fronçai les sourcils en désignant le perdant du menton. C’était lui qui jouait, non ? A lui de rembourser ou de laisser la part des gains !

« Vous jouiez réellement de l’argent ? » Du maïs ? J’aurais cru à des pigeons pour s’échanger ce genre de trucs, mais les rongeurs aussi pourquoi pas… « C’est possible ça ? C’est pas interdit ?! »

Je manquai de rajouter « par la police » mais quelque chose me disait que dans les milieux mafieux, ils avaient leurs propres règles. Déglutissant en gardant mes paumes en l’air, j’essayai de me rappeler de l’équivalent du pourparlers chez eux… Mais ça n’existait pas il me semblait. C’était ou tu coopérais ou tu crevais, c’était ça ? Et même si son revolver était minuscule et ne ferai sans doute pas trop de dégâts, je n’avais pas envie de me le prendre dans l’oreille ou la main. J’avais déjà donné pour les mains, je commençais à peine à pouvoir m’en resservir pour jouer alors on n’allait pas tenter le diable.

« On peut vous payer en oranges ? »

Au pire je le rembourserai quand il sera derrière les barreaux comme ça… Oui ? Non ? Sans opinion fixe ? Ca ne sembla pas lui plaire en tout cas, à la musaraigne, qui prit un air sombre. Un air sombre sur une souris… très crédible, admettons-le.

« Je ne pense pas que ce soit possible. Non. Ca ne l’est pas. Luigi ? Tient le bonhomme ! »

Eh minute papillon, j’avais pas signé pour ça moi ! Et en plus j’avais bien lu les petits caractères du contrat cette fois ! Essayant de m’esquiver, je sentis les lourdes pattes de l’ours polaire s’abattre sur mes épaules pour me retenir. Non, non et non, on ne bloquait pas un tigre bondisseur ! Ca ne se faisait pas ! Sinon j’allais le dire à leur maman et elle serait très mécontente !

« Je sais jouer du Barry White au piano ! » Hasardai-je, au cas où il était lui aussi fan de ce chanteur… « Et je sais préparer des mojitos ! »

Franchement, si un jour mes talents de barman / serveur me servaient à quelque chose… Je promettais de me taire pendant une heure. Entière.

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________________________________________ 2016-12-07, 02:49


La Chamelle a trois bosses

Maxine & plein de monde


Jezabel avait l'air de bien s'entendre avec les ours, c’était bien ! Elle arrivait a se faire des amis même sans livre pour lui dire comment faire ! Et puis Maxine n'avait pas tellement l'habitude de voir d'autres gens ou animaux bien s'entendre avec ses garde du corps. Habituellement, ils s'en tenaient loin et ne leur adressaient pas la parole. Tranquillement, Maxine s'installa a l’arrière de la voiture, prés de la fenêtre et les mains sur les genoux en attendant que le voyage du retour se fasse. Et puis comme a, Jezabel pouvait s'amuser sans être gênée

Le voyage dura dix minutes, trois chansons durant lesquels Jezabel se déhancha et prouva au monde qu'elle n'était pas faite pour être chanteuse. La voiture s’arrêta doucement devant la maison et l'un des ours ouvrit la porte de la limousine afin de permettre a Maxine d'en sortir. La nuit était tombée, profonde et sombre et on voyait les étoiles briller dans le ciel. Elle fronça les sourcils. Il avait encore changé ? Papa aimait bien faire ça, on lui avait dit que c'était une affaire d'ambiance mais elle n'avait pas bien compris. L'adolescente pénétra dans la grande demeure et se dirigea vers le salon pour finir par pousser la porte qui y menait et s’arrêter, juste devant le grand bureau en acajou sur lequel était installé le fauteuil de Mr Big.

"Ma chérie ! Viens, viens voir ton papa !


Maxine s'approcha, toute joyeuse et lui fit un petit bisou sur le front avant de reculer.

"Regarde on a ramené le gâteau et puis j'ai aussi trouvé une amie !"


L'un des ours s'approcha et fit passer le gâteau prés de Mr Big qui en huma l'odeur avec une mine réjouie.

"Papa ? Tu peux remettre le soleil s'il te plais ? Pourquoi tu l'as éteint ? Il fait tout nuit dehors !"


"Tu préfère le soleil ? Diego, remet le soleil."


Derrière Mr Big, l'ours en question se leva de son fauteuil et se dirigea vers la cheminée avant de glisser sa patte dans un coin pour appuyer sur un bouton. Instantanément, l'obscurité de la nuit laissa place a la lueur éclatante du soleil.

"Merci !"
s'exclama Maxine en plissant es yeux qui piquaient a cause du changement brutal de luminosité. "Tu sais les plantes elles ont besoin de soleil pour vivre bien et les humains aussi ! Et puis tu sais quand ça dérègle comme ça les choses et bien les plantes elles ne sont plus ou elles en sont parce que le jour, elles produisent de l’Oxygène mais la nuit elles produisent du dioxyde de carbone donc ça doit être compliqué pour elles si ça change tout le temps, et puis tu sais, le jour on est réveillé, sauf quand on est la sieste, mais c'est la nuit qu'on dort, alors si tu met la nuit le jour, ça va être compliqué pour nous de savoir quand dormir tu sais, et puis c'est difficile de dormir avec la lumière je trouve ! Et puis on y vois mieux comme ça pour préparer le mariage !"

Son père se massa la tempe durant tout son monologue, laissant sa petite voix aiguë emplir l'air.

"D'ailleurs tu aimes le gâteau ? C'est Jezabel qui l'a choisit, c'est une amie ! Elle avait fait tomber le gâteau que je voulais alors elle est allée en cherché un autre très vite ! Jezabel, je te présente papa ! Papa, c'est Jezabel, tu sais qu'elle est allée dans une Pokéball une fois ?"


"Un Pokéball ?"
Mr Big leva son regard vers Jezabel et lui tendit sa minuscule patte. Après tout les amis de sa fille étaient ses amis non ?

"Tu as amenée une amie, c'est bien ça"
Son cou se tendit doucement vers l'arrière pour parler a son ours de du corps. "Diego, amène le gâteau a la cuisine tu veux bien ?" Son regard dévia a nouveau pour revenir a Maxine. "Les invités sont arrivés, on va pouvoir commencer, la réception aura lieu dans le jardin a la tombée de la nuit."

"On a remis le soleil."


"A la tombée du soleil"
reprit la musaraigne de sa voix cassée.

"D'accord ! Mais il faudra faire attention a ce qu'il tombe dans un endroit ou il n'y aura pas de gens !"
Qu'ils ne se blessent pas, un soleil c'était sûrement difficile a rattraper ! "Tu veux que je fasse autre chose en attendant ? Ou je peux aller reprendre mon nounours a dos ?"

"Vas ma petite. Va."


Maxine s'approcha une dernière fois de la musaraigne et lui fit un câlin, avant de quitter le salon. Quatre a quatre, elle monta les marches de la grande battisse, Jezabel sur ses talons, pour entrer dans sa chambre et récupérer... un ours en peluche qui était là, posé sur son lit avec soin. Sans hésiter, Maxine le pris dans ses bras et soigneusement, transvasa "se faire des amis pour les nuls" de son sac a main au nounours a dos. On lui avait conseillé de ne pas le porter en dehors de la maison, après tout cela pourrait mettre certains animaux mal a l'aise lorsqu'elle quittait la maison ! Elle ne l'avait pourtant que peu fait, ou alors toujours dans des lieux bien choisis et accompagné par des gardes du corps.

D'un geste, elle le mis sur son dos et le montra a Jezabel avec un grand sourire.

"Tadaaaam !! Tu le trouve jolie ? C'est une amie, Alice qui me l'a donné ! Je l'aime beaucoup tu sais ? Et puis dedans je peux mettre plein de choses !"

Elle referma tranquillement la porte de sa chambre et descendit les marches du grand escalier, croisant en chemins deux ours dont les bras étaient chargés de fleures. Tranquillement elle les salua de la main avant de poursuivre sa route pour aller vers la cuisine, en ayant hâte de voir son gâteau de mariage. Maxine entra dans la cuisine d'un pas tranquille et se stoppa presqu'immédiatement, la bouche entre ouverte et le cœur a mille a l'heure.

"A.... Amélia ?"
elle avait murmurée, comme si elle ne croyait pas vraiment ses paroles. "AMELIA !"

Elle traversa la cuisine en courant et se jeta dans les bras de la pâtissière qui c'était retournée en entendant son nom. Maxine s'accrocha a elle de toutes ses forces comme si cela pouvait l’empêcher de s'éloigner.

"Tu es venue pour mon mariage ? Je suis tellement contente de te voir ! Est ce que papa et maman sont là ? Et Zach ? Et pourquoi tu ne m'as pas dit que tu venais ?"

Les questions se bousculaient dans son esprit, et elle avait l'impression que ses sentiments commençaient a se faire entendre a nouveau, c'était étrange, indescriptible. De la joie mais aussi autre chose, sur laquelle elle ne parvenait pas a mettre le doigts. Lentement, elle tourna les yeux vers une autre fille qu'elle ne conaissait pas, et se détacha de l'ancienne lionne pour se mettre face a elle.

« Bonjour ! Je m'appelle Maxine Big ! Tu veux être mon amie ? tu t'appelle comment ? Tu es aussi invitée au mariage ?  »
demanda elle avec un sourire en lui tendant la main, comme ils disaient de le faire dans « se faire des amis pour les nuls ».



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