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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe]

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Jamie Skyrunner
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Jamie Skyrunner

| Avatar : Garrett Hedlund

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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 Fr45
- Bon les gars ... Vous arrêtez maintenant avec vos histoires de mariage avec Ava ! Vous allez lui faire peur ...
- Okay okay Jayjay ! *se tourne vers Axel* Lançons l'opération les ninjas de l'amour !
- Maiiiis moi je veux être votre témoin !



Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 Xhz0
- Et là ... l'autre kassos ... qui veut me caser avec ma cliente ! Non mais c'est comme cette manie de prôner l'amour à tout va !
- Hahah toi aussi tu as eu affaire aux ninjas de l'amour ?



| Conte : La Planète au Trésor
| Dans le monde des contes, je suis : : Jim Hawkins

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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-02-06, 22:58

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C’était bien pour ça que Jamie ne leur demandait jamais rien : les Dieux étaient des foutus égoïstes. Pire que ça, des égoïstes sans principes ! Non seulement en général ils n’agissaient que pour leur tronche, mais en plus, ils le faisaient au dernier moment ! Sans rire, il avait attendu pour le plaisir de stopper les parois broyeuses, ou c’était juste pour se faire mousser ? Et l’avoir laisser à moitié crever dans l’eau des toilettes de l’Empire, ça aussi ça avait été pour le fun ? Bon, pour cette question, et au vu de leur relation, Jamie se doutait vaguement de la réponse, mais tout de même !

Le regard de Luke était probablement le plus explicite de tous, aussi grand ouvert que profondément abasourdi par cette démonstration de force divine. Jamie en leva quasiment les yeux au ciel, secouant la tête quand les mèches trempés lui retombèrent dans les yeux. Il eue un sorte de soupir, avant d’aviser le ruban fushia -quoi que moins fushia désormais- accroché à son poignet, lâchant un autre soupir avant de ramener ses cheveux en arrière, commençant à les attacher en une espèce de chignon en se trainant jusqu’à la porte ouverte par le Dieu.

-Est-il un Jedi lui aussi ? Utilise-t-il la force comme v…

-C’est juste un crétin, le coupa aussitôt Jamie, dépassant Luke avec un haussement d’épaule.

Il crut entendre une sorte de rire soupiré, soupçonnant fortement Leia d’en être à l’origine, alors qu’il grimaçait, sentant l’eau s’infiltrer dans ses chaussures. Absolument dégoutant. Jamais de sa vie Jamie ne s’était senti aussi pouilleux de son existence, et pourtant il sortait d’une demi-année de dépression. Si l’étape douche avait toujours fais partie de sa routine, emploi oblige, ce n’était pas toujours le cas de l’étape ‘se rendre présentable’. Mais là, clairement, il explosait tous les reccords.

Le son d’une porte claquant lui fit relever la tête, les yeux ahuris. Il avait quand même pas fait ça ?! Si jamais il avait refermer la porte pour les laisser ici… Il avait pas vu les films suivant ou quoi ?! Si ils ne sortaient pas de là, jamais ils ne pourraient vaincre Dark Vador, ou même tombé amoureux -dans le cas des deux bruns tête de mule à la traine ! D’un autre côté si ils ne sortaient pas, Ben Kenobi survivrait. Et étant un immense fan d’Obiwan…

-Dîtes moi qu’elle n’est pas verrouillée ! s’exclama Leia, à quelques mètres de lui, alors que Jamie faisait jouer la poignée, qui ne tenta même pas de résister.

-Non c’est boooo- !

Son pied glissa à demi dans le vide, se retenant de justesse au cadran de la porte. Son coeur se mit à pulser jusque dans ses oreilles, balayant l’espace du regard, redécouvrant avec un plaisir très relatif l’usine des Monstres, et sa charmante…

-A.D.E ! Plus un geste !

Même Chewie fut surpris par l’injonction soudaine, se mettant à brayer si fort que Jamie fût à peu près certain de perdre quarante pourcent de sa capacité auditive. Grimaçant, il sentit soudain une brusque douleur, comme un pincement dans son cou, étouffant un petit cri surpris, plongeant sa main dans son col.

-Aïeuh mais qu’est-ce que tu fiches !

-EXTERMINATE EXTERMINATE

La poivrière de poche avait pincé la peau de son cou en tentant de ‘rouler’ hors de la combinaison de Stormtrooper, brusquement ranimée. Et bruyante. Provoquant à nouveau un cri de la part de Chewie, et des interrogations de la part d’Han, vaguement étouffé par le son des portes défilant devant la plate-forme en face d’eux. Jamie eue à peine le temps de relever les yeux que brusquement, le monstre en combinaison jaune se jeta sur lui, le forçant à reculer d’un pas avec une rapide maladresse… Qui eue pour effet de faire tomber le petit Dalek de sa paume.

-Oh merde !

Le petit Dalek eue une réaction aussi logique que possible : il fila tout droit vers la sortie. Oubliant allégrement le fait que leur porte se trouvait à au moins trente mètres du sol ! Jamie tendit aussitôt la main, tentant de le rattraper, mais le monstre de l’A.D.E venait littéralement de sauter sur la porte, y entrant de force malgré les hurlements de préventions et de menace de Chewbacca, ce qui l’empêcha de finir son geste, se redressant de justesse, se tordant le cou pour essayer d’apercevoir la petite poivrière. Mine de rien, il l’aimait bien cette petite bestiole, même si la peau rougit et pulsante de son cou affirmant le contraire pour l’instant. Se prenant visiblement pour un patineur de haut niveau, la petite boite de métal fit une espèce d’arabesque, rebondissant sur une des portes qui le propulsa sur une autre qui, sous le coup d’un tournant un peu sec, s’ouvrit en grand, permettant à la poivrière de s’y réfugier sans cesser son insupportable litanie. Provoquant un soupir de soulagement chez Jamie, détournant le regard de la porte bleue nuit pour se focaliser sur son problème le plus urgents.

Merde. La police.

- Ne bougez plus ! Vous êtes en état d’arrestation !!

La réaction fût groupé : tous levèrent les mains d’un seul et commun accord tacite. Le monstre se mit donc à tous les viser, tour à tour, dans le doute probablement.

-Autorisation 49-3 alinéa 7 de la convention monstrueuse, asséna le monstre en combinaison, finissant par abattre son bras sur l’épaule de Jamie, sans cesser de tourner son arme vers les autres autres consciences présentes. Veuillez me suivre jusqu’à la plate-forme ! Ajouta-t-il, en le tirant vers lui, le faisant tituber.

Les petits cris de menaces de Chewie lui firent chaud au coeur. Celle de Han beaucoup moins.

-Chewie recule ! T’en mêle pas !

-Vous n’êtes qu’un lâche ! Explosa Leia, s’approchant vers le monstre en combinaison. Relâchez ce jeune homme !

-Reculez ! s’énerva le Monstre, relâchant l’espace d’une seconde Jamie, l’obligeant à se tourner… Dos à la porte.

-De quel droit l’emmenez vous ?!

-Autorisation 49-3 alinéa 7 de la Convention Monstrueuse vous dis-je !

-Princesse ! Intervint Jamie, pas exactement à l’aise avec l’arme de type lance-flamme que le monstre pointait vers elle, ni avec l’idée de ruiner son ship favoris, même si Han était un sombre opportuniste crétin aux faux airs de Connor. Arrêtez. Ne vous mettez pas en danger pour moi, la Rébellion à besoin de vous.

Jamais de son existence Jamie ne s’était sentit plus chevaleresque qu’à cet instant très précis et le fait de ne plus subir la présence gênante de Connor lui permit de savourer pleinement le pur plaisir de la situation. Leia le fixa d’ailleurs avec un regard que Jamie ne connaissait que trop, au moment où Luke posait sa main sur son épaule, le fixant lui aussi avec un regard empli de… Fierté.

Merde. Si un jour on lui avait dit que Luke Skywalker le regarderait avec fierté….

-Reculez, reculez ! Brailla le monstre, ruinant un tout petit peu son instant de gloire.

Luke et Leia reculèrent lentement vers le fond de la cuve, Leia en profitant pour marcher allégrement sur le pied de Han qui se mit à vociférer contre la princesse. Détournant son attention d’eux, le monstre revint vers Jamie, son arme en l’air, faisant relever ses mains à Jamie.

-Ecoutez je veux pas vous faire de mal, d’accord, donc si vous baissiez ce truc, hein ? Proposa-t-il, faisant déjà un pas en arrière.

-Ne bougez pas ! s’égosilla le monstre, revenant saisir son bras. Suivez moi jusqu’à la plate-forme ! Ajouta-t-il, le traînant vers la porte.

Jamie se laissa faire, réfléchissant déjà à vive allure, en fixant les portes qui défilaient au bord de la leur, qui avançait paresseusement vers la plate-forme en question.

-Vous m’emmenez où ?

-Vous êtes toxique, nous devons vous passer sous la douche afin de faire baisser vos taux de radiation et décider ou non si nous devons vous exterminer.

Malgré lui, Jamie eue une moue presque pédante.

- Parce qu'une douche va vous permettre de déterminer ça ? Railla-t-il, bien que l’idée d’une bonne douche ne soit pas de refus à cet instant précis. Ecoutez on est pas toxique. Vous auriez déjà perdu votre bras si c'était le cas.

-Je possède une combinaison de sécurité, affirma le monstre, mais Jamie sentit très clairement sa poigne se resserrer, comme pas très rassuré soudain, je n’ai rien à craindre de vous !A présent, redescendons jusqu’à la plate-forme !

Les yeux de Jamie se fixèrent sur une porte, à peine plus loin, avisant la plate-forme et son régiment de monstre en combi l’attendant sagement, lance-flamme en l’air.

-Je n’ai pas spécialement envie de vous suivre, marmonna-t-il d’un ton abrupte, son regard se fixant sur ladite porte rose.

-Je ne crois pas vous avoir laissé le choix !... Je ne vous l’ai pas laissé, n’est-ce pas ?

Cette fois, Jamie leva très ostensiblement les yeux au ciel, se dégageant d’un mouvement sec de la poigne du monstre.

-Bande d’incompétents…

- Que ! Revenez ici ! Alerte !! Il s’enfuit !!

C’était précisément l’idée, et Jamie n’eut pas plus d’une demi seconde pour choisir quelle porte viser… Changeant d’avis à la toute dernière seconde. Car à l’instant où il s’appuyait sur le rebord du sol, prenant le maximum d’élan pour atteindre cette fichue porte rose, un son, devenu familier, lui fit dévier le regard, un poil plus vers la gauche.

-Exterminaaaaaaaaaate, exterminaaaaaaate !

A croire que la poivrière aussi était devenu attachée à lui. La porte bleue ouverte à demi fût donc sa nouvelle cible, se tordant à moitié la cheville pour sauter assez loin, échappant de peu à la poigne du monstre de l’A.D.E. Sa tenue de plastique n’aidant pas vraiment à la souplesse, Jamie se demanda par quel miracle il finit par être propulser à l’intérieur… D’il ne savait où, la porte se claquant juste derrière lui. Et sa joue entamant le carrelage mais bon, ça… On ne pouvait pas tout avoir ! Il venait d’échapper aux autorités et l’ancien délinquant en lui s’en félicitait allégrement ! D’autant qu’il avait atterrit dans un endroit…. Plutôt sécurisé ?

Avec un grognement sourd, Jamie se redressa sur ses paumes, observant tout ce qui l’entourait d’un œil rapide. Etrangement, à nouveau, l’endroit lui sembla…. Familier. Elles réagissaient aux pensées des gens ces portes ou…. ? Elles analysaient de quel fandom les humains faisaient partie ou bien ? Se remettant à genoux, Jamie jeta un regard circulaire autour de lui. L’ensemble était assez sombre et lumineux à la fois. Un peu comme dans l’univers de T.R.O.N. Des lumières crues, assez vives, sur fond plus sombre. Bleu marine en l’occurrence. Un peu bleu comme…

Les yeux de Jamie s’écarquillèrent en grand, sa bouche s’ouvrant à demi. Ce n’était pas l’univers de T.R.O.N. Et même dans Daft Punk, c’était clairement super cool.

-Docteur ? Lança-t-il avec une sorte d’hésitation. Docteur Eighth ? À peine plus fort, presque comme si il s’était trouvé dans une église ou un musée et que l’idée de parler trop fort lui semblait irrespectueuse. Ninth ?… Tenth ?

-Y a quelqu’un ?

La voix étouffée le remit aussitôt sur pied, se retournant pour faire face à la porte par laquelle il était entré.

-Oh, quelqu’un dedans alors que je suis… dehors ! Intéressant !

Aussitôt, Jamie s’avança vers la porte, essayant de trouver la poignée.

-Où êtes vous ?

-Et bien, fit la voix de l’autre côté, il semblerait que je sois de l’autre côté !  Mais restez à l’intérieur, vous êtes en sécurité ! 

-Vous êtes en danger ?

Où se trouvait donc cette foutue poignée ?!

-Eh bien…. Non pas du tout ! Fit la voix, presque légère. Enfin, pas tant que ça, se ravisa-t-elle, avant de reprendre. Non, mais vous êtes en sécurité !

Il y eue un son métallique, et Jamie dût presque faire un bond en arrière pour éviter de prendre le battant du Tardis en pleine face. Un homme au visage marqué, au nœud papillon rouge et à la mèche si particulière pour avoir rendu folle dingue sa colocataire, apparut sur le seuil, l’observant lui aussi avec curiosité avant de le pointer de l’index :

… Restez là ! Et surtout, n’éteignez pas la lumière ! Fit-il, se retournant comme pour partir avant de lui refaire face. C’est important. D’accord ? Dites moi si ça s’éteint ! Acheva-t-il, refermant la porte cette fois.

-Eleventh, fit Jamie, d’une voix blanche. Et j’ai pas fini la saison…

-C’est toujours allumé ? Interrogea aussitôt le Docteur, le coupant dans son début de crise de fangirlism aigüe.

-Euh je… balbutia-t-il, retournant vers les consoles. Oui. Oui oui ! C’est toujours… Allumé ?

-Tournez les boutons si jamais ça s’éteint mais ne tapez pas dessus où le Tardis va se vexer ! 

Jamie allait répondre quand soudain, derrière lui, un son semblable à celui d’un vieux poste de télévision se fit entendre. Persuadé d’avoir grillé l’un des circuits, et paniquant déjà à l’idée, sacrilège, d’avoir déréglé le Tardis, Jamie se retourna, en proie à une vive angoisse… Qui ne fit que redoubler, voir même tripler. L’un des écrans du Tardis s’était bel et bien mit à grésiller, mais Jamie aurait vraiment préféré en être à l’origine soudain. Parce que ce qui s’affichait à l’écran n’avait rien, mais alors, rien du tout de rassurant. Ni même de charmant. En fait, c’était littéralement la pire chose qui pouvait s’afficher en de telles circonstances.

-Oh merde !

Quoi ? s’exclama Eleventh à l’extérieur. Ca s’est éteint ?!

-Non, ça c’est… ça s’est pas éteint ! s’exclama Jamie, baissant aussitôt les yeux de l’écran. C’est juste… Putain les Anges !

Callio lui en avait parler rapidement. Et clairement, ce n’était pas une bonne nouvelle. Du tout.

- Oh, comment vous avez su ?! s’étonna la voix du Docteur. Ne vous inquiétez pas, on ne les quitte pas des yeux, tout va bien pour vous !  C’est quoi votre nom déjà ?

-Jamie, répondit-il, en refaisant quelques pas vers la porte. Vous êtes sûr de pas vouloir rentrer ?!

-Okay, Jamie ! Original ça ! J’ai connu quelqu’un s’appellait comme ça une fois… Pourquoi ?! Un souci ?

-A part votre vie en danger, moi ça va! Railla Jamie, s’appuyant sur l’une des rambardes présentes dans le Tardis, se mettant à tripoter les rebords de son armure en plastique.

Niveau souplesse, y avait mieux, aussi décida-t-il de retirer au moins le plastron blanc.

-Tout va bien ne vous en faites pas ! Assura Eleventh d’une voix si assuré que si Jamie ne l’avait pas vaguement connu par le prisme de sa télé, il l’aurait presque cru. J’ai déjà eu affaire à ce genre de choses… Vous êtes mieux à l’intérieur ! Le tardis est inviolable, c’est la classe non ?!

Malgré lui, Jamie eue un immense sourire, faisant passer le plastron par-dessus sa tête, resserrant le ruban fushia autour de ses mèches.

-Oh oui.... Vous auriez pas vu un mini Dalek d'ailleurs? Fit-il, jetant à nouveau un regard circulaire alentour.

-Des Dalek ?! Geronimo, où donc ?!

Jamie n’eut pas le temps de répondre. Les écrans se remirent à grésiller, beaucoup plus fort cette fois. Presque…. Menaçant. Peut-être était-ce juste son imagination que son inconscient biaisé par son fandom rendait méfiant, mais Jamie eue rapidement confirmation du contraire. Parce que lorsque l’image se remit en route, partiellement et à peine quelques secondes… L’image avait clairement changé. Et l’Ange était clairement plus proche.

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Quelques soupirs pires qu'un désir
His laugh, echoes down the hallway. Carved into my hollow chest, spreads over the emptiness. It’s bliss. He started to smile. Her heart is set ablaze like the starry night.
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Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »

Dyson R. Parr

|  Crédits : Eilyam
|  Avatar : Tom Holland

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|  Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois

|  Conte : Les Indestructibles
|  Dans le monde des contes, je suis : Dashiell Robert "Dash" Parr

La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
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|  Statut Social : Célibataire

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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-02-07, 20:44 « Cours Dydy, cours ! »






Monstres et Compagnie !

Everybody Scream !






'tention je spoile Walking Dead, allez jusqu'aux étoiles pour pas lire les vilains spoils si vous regardez la série.

C'était si étrange d'être soulagé à la vu de personnes qu'on ne connait même pas, qui ne font pas parti de nos vies.
Et pourtant, lorsque Dyson vit Glenn, il fut si heureux ! Il était là, avec sa tête encore sur ses épaules, avec ses yeux là où ils sont supposés être ! Il aurait presque pu verser une petite larme tant il en était heureux.

C'était un énorme travail qu'il faisait, que de prendre sur lui pour ne pas montrer toute la joie qu'il avait, rencontrer les personnages de Walking Dead, c'était génial ! Mais il savait que s'il laissait sa joie se manifester, il recevrait un couteau dans le cerveau, considéré comme menace. Ce qui serait facheux.

Il sera la main de Kayla, se baissa à son niveau pour lui dire quelques mots.

Ne t'inquiète pas, c'est comme Jurrassic Park, c'est un film si tu veux, que je connais très bien. C'est dur comme ça, mais tout va bien se passer, ce sont les gentils eux.

Et les méchants les plus horribles n'étaient pas encore arrivés. Lorsque Dyson vit Rick sortir avec Deanna qui elle aussit se portait très bien, il en eut la confirmation. Il y avait tellement de malheur qui allait leur tomber dessus, rien du pire n'était encore là.
Dyson vit qu'ils tombaient mal : Deanna et Rick venaient de se disputer. La chef des lieux venait de donner son point de vue au chef du groupe principal de la série. Ca ne se passait pas très bien. Rick nous avait toisé de haut en bas en nous voyant. Seigneur. C'était bête, puisque c'était le personnage principal de la série, mais Dyson n'aimait pas toujours Rick. La plupart du temps, il ne l'aimait pas en fait. Sauf dans le futur de cet instant.

Ce n’est pas à moi de décider. Nous ne sommes pas les bienvenues ici ! Fit-il à Deanna.
N’exagérez rien, Rick. Je ne vous chasse pas d’Alexandria.
C’est tout comme. Vous nous demandez de vous faire confiance, mais vous ne faites pas de même !
Allons...

Glenn et Carole essayèrent de l’interpeller quand il tourna les talons vers les habitations, sans succès. C'est finalement Daryl qui le suivit.

La propriétaire des lieux regarda la petite et le psy, après les explications de Glenn. Entrez donc, vous avez l’air… En bonne santé mais épuisés. Elle regarda Kayla. Et effrayés.

Ils la suivirent alors au bâtiment principal d'Alexandria. Dyson était fasciné, il y était vraiment ! Deanna l'invita à ouvrir la porte, mais il ne vit que du noir à l'ouverture de celle-ci. Il comprit alors que c'était le moment où Kayla et lui partent de Walking Dead.

Oh noon, pas déjà !

Il se retourna vers le groupe. Ecoutez moi très attentivement et ne m'interrompez pas. Je viens du futur. Ca va être dur à croire mais quand vous nous verrez disparaitre par magie derrière cette porte vous me croirez peut être. Dans un fossé plus loin, il y a peut être plusieurs centaines de zombies, temporairement bloqués mais qui vont être libérés bientôt. Vous aurez un super plan pour les éloigner, mais c'est là que des tarés vont s'attaquer à Alexandria.

Il montra le vieux batiment, juste derrière le mur de la petite ville. Ils vont foncer avec un camion la dedans, ça va bloquer le klaxon, et attirer une grande partie des zombies. Enfin, rôdeurs vous les appelez. Ces tarés vont tuer des gens, mais vous allez les arrêtez. Quelques jours plus tard, la tour endommagés va s'éffondrer sur le mur, et les zombies vont rentrer. Vous les arrêterez aussi mais y aura des morts, Carl va perdre un oeil, stylé mais dommage. Deanna, tu vas mourir, franchement dommage, je t'appréciais à ce moment là.

Il regarda Glenn avec attention. Vous allez trouver des gens à une Colline, c'est important, y a un docteur pour le futur bébé. Mais quand ils vont vous dire qu'ils se font persécuter, NE LES AIDEZ PAS ! Vous allez penser que vous les avez tous tué dans une petite base, mais y en a des centaines de plus, qui vont mettre une dictature, et leur chef va tuer d'eux d'entre vous avec sa batte de tarés. Restez discret, c'est tout. Si quelqu'un dit être Negan, vous les éviter et les laissez en vie, c'est tout. Voilà, débrouillez vous pour assurez votre futur parce que j'taime bien toi. Tchao !

Il fit avancer Kayla et la suivit, refermant la porte derrière lui.

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y a plus de spoil ici petits effrayés de la vie. J'ai juste tenté de sauver le futur et ait traversé une porte.

Lorsqu'il se retourna pour fermer la porte, ce fut une porte qu'il connaissait très très bien qu'il avait refermé.

Par tous les misérables de l'univers ! C'est trop GENIAL !

Il se demandait quel karma avait pu le frappé pour qu'il vive tant de choses formidable. Jurrassic Park, Walking Dead. Il touchait désormais le Tardis, en vrai ! Et du Tardis il pouvait entendre la célèbre voix du...

Jay ?

Il tourna la tête, et vit le Docteur, qui était dehors, Jay probablement seul dedans. Quel Docteur ! L'un de ses docteurs préférés de l'univers ! Un grand sourire se dessina sur son visage (plus besoin de se cacher maintenant !), alors qu'il le vit, avec la fameuse River !
Il tourna sur lui même, pour admirer tout ça. C'était vraiment fabuleux ! River, le docteur, le tardis, la grotte avec...

Putain d'merde faut que je sorte de là maintenant.

Il venait d'apercevoir ce qui était gravé dans les parois rocheuses au loin. Evidemment, son karma ne pouvait pas être aussi bon ! Après tout ce qu'il avait fait il y a quelques semaines, vivre une aventure formidable ne pouvait pas être possible.

Foutu karma. J'suis presque sur que t'es quand même un peu trop violent pour une punition là, n'abuse pas trop.

Il se retourna vers River et son acolyte, qui était concentré sur un générateur, cette première passablement agacée.

Docteur ? Il serait peut-être temps d’accélérer les choses ? Demanda-t-elle.
Un peu de patience, ce n’est pas comme réparer un grille-pain ! Et encore, même eux sont compliqués…

Dyson s'approcha d'eux. Bonjour, je suis un ami de Jamie, qui est à l'intérieur. Avec tout le sincère respect que je porte pour vous dans mon coeur, quand va-t-on pouvoir se bouger le cul et sortir de là PAR PITIE ? Demanda-t-il trèès courtoisement avec une pointe d'angoisse. C'était sans doute ironique que se retrouver au milieu des anges le stressait davantage que se retrouver au milieu des zombies, mais si vous vous y connaissez, vous pouvez comprendre. C'est vachement facile de survivre avec des zombies, à côté de ça.

Le docteur fouilla dans sa poche mais ne trouva pas ce qu'il cherchait, restant tout de même concentré sur son travail.

Docteur...
Quoi, encore ? Ne voyez vous pas que je suis concentré ?!
Utilisez votre tournevis !
Justement, je ne l’ai pas sur moi !

Dyson soupira. Vraiment ?! Jamie, le tournevis de notre cher ami commun ici présent est-il avec toi ? Fit-il à la paroi du Tardis.

Docteur, j’ai l’impression qu’ils se rapprochent.
Damnit, damnit damnit, une mort plus horrible que la noyade. C'est honorable, quand même, qui ne voudrait pas finir ses jours dans Doctor Who... A PART MOI !? Docteur !!
Ne me dites pas que vous les avez réveillés !
Moi ? Mais c’est vous qui faites du boucan !
A peine, le boucan est relatif de toute manière… Tenez moi ça. Il tendit à Dyson une sorte de manette qu'il prit dans sa main libre.

River, un peu inquiète, s'approcha de Dyson, alors que les deux fixaient les statues d'anges qui avaient désormais leurs têtes tournées vers eux.

Oh mon dieu c'est un million de fois plus effrayant en vrai. Déjà que c'était bien flippant à la télé... River ne comprenait rien, évidemment.
Jay ? J'ai juste un tournevis plein de cerveau de zombie. Si tu pouvais faire un truc, pour me sauver une seconde fois aujourd'hui, je t'en serai éternellement reconnaissant.

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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 Signature-Dyson
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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-02-08, 02:06



Monstres et compagnie


Approchez, n’ayez pas peur… Et venez découvrir notre Palais des Glaces !

The Walking Dead, une série dans laquelle on suivait le périple de survivants de l’apocalypse qui luttaient contre des morts vivants. Des morts vivants, vous avez entendu ça ? Heureusement qu’elle ne connaissait pas cette série et qu’elle n’en avait jamais vu le moindre extrait, sinon Kayla serait traumatisée… Enfin, elle venait littéralement de vivre un moment de la série, donc elle devrait l’être. Et si toutes les portes qui ramenaient à Monstropolis se refermaient, hein ? Et si Kayla était obligée de rester pour toujours dans ce monde plein de mangeurs de cervelles ? Etrangement, même si elle avait failli être le repas d’un mort, même si elle avait du sang partout sur son t-shirt, elle allait plutôt bien. Certes, elle avait peur que les membres du groupe de survivants les remettent dehors avec Dyson, elle avait peur de ne jamais rentrer chez elle, mais elle faisait confiance en son ami et se disait qu’au pire des cas, si la situation virait au cauchemar, ils trouveraient quand même une solution, comme toujours.

« Ne t’inquiète pas, c’est comme Jurassic Park. C’est un film si tu veux, que je connais très bien. C’est dur comme ça, mais tout va bien se passer. Ce sont les gentils, eux. » Ces paroles, ces mots qui pourraient n’avoir aucun sens pour certaines personnes mais qui pourtant réussirent à réchauffer le cœur de la petite Bouh. Elle était comme ça, elle avait toujours le besoin d’être rassurée. Elle ne fit qu’acquiescer d’un simple hochement de tête. Elle lui faisait confiance, s’il disait qu’eux, c’était les gentils, il devait avoir raison, même si ça ne lui sautait pas aux yeux puisque la plupart semblaient froids et ne faisaient que la dévisager. Il y avait probablement une explication à tout ça, à ces rôdeurs qui traînaient à l’extérieur du camp, à la méfiance de ces inconnus. Ils en avaient sûrement vu de toutes les couleurs, hein… Mais Kayla ne comprenait toujours pas pourquoi certains pourraient vouloir la mettre dehors. Elle n’était pas armée, elle n’était pas dangereuse… elle était juste inoffensive, effrayée, paniquée.

Puis alors qu’ils s’approchaient de cette grande maison, deux personnes en sortirent, semblant de mauvaise humeur. Peut-être s’étaient-ils disputés ? Ça n’allait pas aider… L’homme les avait déshabillés du regard, comme s’ils n’avaient pas été assez dévisagés depuis leur arrivée… Puis lorsque l’homme, Rick ouvrit la bouche pour s’adresser à la rouquine, on put comprendre qu’ils s’étaient effectivement disputés. Aïe.

En tout cas, tout alla pour le mieux lorsque Rick décida de quitter le groupe pour aller se calmer dans un coin… Celle qui dirigeait l’endroit invita gentiment l’homme et l’enfant à entrer dans ce grand bâtiment pour se reposer. Mais surprise, lorsque Dyson ouvrit la porte, ils n’y virent pas de chambre, pas de canapé ni quoi que ce soit. La seule chose qu’ils voyaient, c’était un vide intersidérale. Un fond noir. Cette porte était magique, c’était confirmé, et ils allaient peut-être enfin pouvoir rentrer chez eux ! « Si, déjà… ‘Faut qu’on y aille ! », Kayla tira un peu sur la main de Dyson comme pour lui faire comprendre qu’il était temps de partir lorsque celui-ci sembla un peu déçu de quitter cet endroit. Quoi, il voulait rester là-bas et perdre la vie, c’est ça ? Pas question.
Alexandria. Un camion, des zombies, Deanna, la Colline, Negan. Qu’est-ce qu’il était en train de raconter, lui ? Est-ce qu’il devenait fou, ou est-ce qu’il connaissait par cœur la série dans laquelle ils s’étaient retrouvés, là ? Kayla n’y comprenait rien, mais elle s’était faite sa petite idée sur le sujet. « Au revoir ! », un petit signe de la main puis elle passa la porte qui ne la ramena malheureusement pas à Storybrooke, non… Au contraire. Mais au moins, cette fois-ci, elle se retrouvait dans un univers qu’elle connaissait plutôt bien, même si elle ne s’en rendait pas encore compte.

Un dessin-animé. Elle se retrouvait littéralement dans un dessin-animé. Bon, peut-être pas son préféré, mais c’était le cas. Ses fringues avaient changé et elle ne se retrouvait plus dans ce t-shirt et ce jeans trempés et plein de boue mais dans une jolie robe blanche et légèrement rouge. Comme… « Mary est là ! Mary qui fait se lever le soleil ! » Elle venait de se rendre compte qu’elle était entourée d’un tas d’animaux. Des lapins, des faons, des moutons… c’était impressionnant. Elle aurait pu se retrouver dans une ferme, mais non, elle était juste dans l’univers de Mary Poppins. C’était certainement l’univers qu’elle préférait le plus jusqu’à maintenant. Jurassic Park et Alexandria ne vendaient pas du rêve… Bien décidée à peut-être rencontrer la star de l’œuvre cinématographique, Kayla se mit à suivre le troupeau d’animaux dans la forêt, faisant bien attention à ne pas tomber et à ne pas salir sa jolie tenue jusqu’à ce qu’enfin, elle croisa le chemin de Mary. Oui, Mary Poppins. Elle était assise là, en plein milieu de la forêt à table, en train de lire un menu. Et elle n’était pas seule, puisqu’Alexis était lui aussi là. Surprise ! « Alexis ! », la petite s’approcha directement de lui, et bien sûr, les deux venaient d’attirer l’attention de la femme qui se rendait enfin compte qu’ils étaient là. « Mary. Mary Poppins ! » répondit-elle à la question posée par Alexis quelques secondes plus tôt. « Qu’attendez-vous pour prendre place à table ? » Il n’en fallut pas plus, pas moins pour que Kayla saisisse l’une des chaises et s’assit face à la dame, en pleine admiration. Des pingouins s’approchèrent et vinrent servir une tasse de thé à chacun d’entre eux. Le thé n’était pas la boisson préférée de la petite, mais elle pouvait bien faire un effort.



Connor Williams
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Connor Williams

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YOU WERE MY FAVORITE HELLO
AND MY HARDEST GOODBYE.


| Conte : Intrigue Divine.
| Dans le monde des contes, je suis : : Arès, dieu de la Guerre et de la Destruction.

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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-02-08, 18:09



Monstres et compagnie


EENY, MEENY, MINY, MOE. CATCH A TIGER BY HIS TOE. IF HE HOLLERS,
LET HIM GO. MY MOTHER TOLD ME TO PICK THE VERY BEST ON AND YOU… ARE…… IT.

Je n’aimais pas les tortues. C’était mignon tout plein dans un univers parallèle, mais là accessoirement c’était plutôt casse-pied et franchement bancale comme animal…

« Mais tu vas tenir droit bordel ? »
« C’est plus droit que droit là ! C’est la carapace qui est un peu ronde, mais faut pas m’en vouloir je suis né comme ça. Oh, regarde si j’aligne mes deux nageoires avant ça fait comme un avion ! »

J’en avais conduit des avions. Des tas d’avions. Mais aucun n’était aussi débile ! Passant une main sur mon visage, exaspéré, je commençais à me dire que nager seul dans le courant valait mieux que d’être agrippé à cette bestiole qui ne savait pas comment connecter ses deux neurones ! Si tant était qu’elle en ait au moins deux… Visiblement, même les autres tortues l’évitaient vu les brusques embardées qu’elle s’octroyait de manière aussi aléatoire que décapante. Heureusement que j’affectionnait le bull riding depuis quelques semaines, ça permettait de s’entraîner pour les cas comme celui-là. Si on m’avait dit un jour que je ferais du rodéo au fond de l’océan, je n’aurais pas cru ce débile de devin.

« Si tu pouvais nager droit devant toi, ça m’arrangerait ! »
« Le paramétrage est pas toujours très efficace mais je me soigne ! J’ai pris des cours de natation quand j’étais à l’école primaire, c’est très difficile la natation ! Vous saviez que la danse synchronisée nécessitait de rester parfois plus de 4 minutes sous l’eau ? Je me demande comment elles font pour retenir leur souffle à ce point ! Vous avez déjà vu des spectacles ? Il paraît que c’est très à la mode dans l’hémisphère nord… »

Mais faites-le taire, faites-le taire, FAITES. LE. TAIRE ! Et puis c’était une tortue, une putain de tortue, ça n’avait pas besoin de retenir sa respiration une fois sous l’eau ! Sinon, l’intégralité des spécimens présents autour de nous serait déjà clamsé à l’heure qu’il était. Mon salut vint de la demoiselle qui était finalement réapparue, un peu plus loin, et qui eu au moins le mérite de me lancer dans autre chose que l’explication des figures acrobatiques dans les jeux aquatiques de 2006. Me penchant en avant, je soufflais à l’animal qui me servait de monture :

« Eyh, une course ça te dit ? »
« Volontiers, encore faut-il ne pas dépasser les limitations de vitesse et faire attention à ne pas dépasser par la droite ! »
« La ferme et nage, j’ai besoin de rattraper la p’tite là-bas ! »

Je lui désignai la brunette qui filait droit. La tortue hocha la tête et battit des nageoires pour accélérer sa route tranquille, percutant une de ses compatriotes qui s’éloigna dans un grommellement désapprobateur. Soit il était aveugle, soit il était stupide, même si à ce rythme les deux réponses me paraissaient probables. Coup de chance, ou maladresse contrôlée, nous parvînmes à hauteur de miss mauvaise humeur en boîte. Pourquoi est-ce qu’elle avait hérité d’une bestiole docile ? Elle l’avait soudoyé avec les deux poissons ? Paix à leurs âmes…

« Allez, en avant ! » M’exclamai-je, en appuyant de mon pied sur la tortue tranquille. « Ca vous déridera peut-être un peu plus ! »

Je ne les attendis pas, trop occupé à attraper la tête de mon imbécile de monture pour qu’elle évite de sortir du courant ! Je ne su par quel miracle nous réussîmes à arriver jusqu’au bout, même si au moment où la jeune fille bifurqua ma tortue continua son petit bonhomme de chemin. Levant les yeux au ciel, je lui souhaitai bonne chance avant de bondir hors du courant. Enfin un peu de calme ! Et de la nage… J’avais les bras et les jambes engourdis sous la tension mais je nageai quand même rapidement pour espérer aller choper la donzelle avant qu’elle ne s’enfuit à nouveau.

Je sortis de l’eau à côté du petit groupe de poissons, posant mes yeux sur la gamine… Que je n’avais jamais vu de ma vie. Raté. Bon en soit, si Lily aurait filé comme elle venait de le faire je me serais vexé. Mais même, ce n’était pas une raison !

« Ca vous arrive souvent de vous enfuir quand on vous appelle ?! »

Les deux poissons me fixèrent, puis la demoiselle, puis de nouveau moi.

« Elle sait où est ce qu’on cherche ! » S’exclama la bleutée, même si je doutais qu’elle sache encore ce qu’elle cherchait.
« Oui, dépêchons-nous ! » Renchéri le poisson clown. « Mais… Vous n’étiez pas deux tout à l’heure ? »

Hmm ? Ah, je leur désignai Deborah du menton qui venait d’apparaître un peu plus loin. Le look trempé ne lui allait véritablement pas…

« Alors, on a flingué son brushing ? »
« Il est certain que vous, contrairement à moi, ne risquiez pas de "flinguer"… » Elle mima des guillemets. « … quoi que ce soit dans votre... look étant donné que tout est à jeter. »
« Oh, on se vexe parce qu’on est arrivée dernière ? Ca arrive à tout le monde, pleurez pas ça va faire couler le reste du maquillage. »

J’eu la très nette impression qu’elle m’en voulait, vu son regard, mais comme il se mélangeait aussi du fard à paupière je lui accordai le bénéfice du doute. Le poisson clown se mit à éclabousser autour de lui, exaspéré.

« Ne perdons pas de temps ! Si Nemo est là-bas, je dois le retrouver ! »

Cela sembla faire percuter la gamine :

« P.SHERMAN 42 WALLABY SYDNEY ! » S’exclama-t-elle.

C’était quoi ça ? Le nom de son animal de compagnie ? Un peu trop long pour un chien bien dans sa tête… Mais cela sembla parler aux deux poiscailles qui s’agitèrent à la surface.

« C’est là-bas, c’est ça ! Je l’ai lu dans le… »
« Le masque. On l’a lu dans le masque ! »
« Oh oui un masque ! Où est-il d’ailleurs ? »
« On l’a laissé avec les requins. Tu ne te rappelles... Pas. C'est vrai. »
« Oh, j’aime beaucoup les requins ! »


Je n’écoutai pas la suite, me contentant de fixer la demoiselle d’un air un peu méfiant.

« Comment tu es arrivée ici ? » Questionnai-je. « Par quelle porte ? »

Ce n’était pas comme si nous on en cherchait une depuis des plombes pour rentrer chez nous ! Pendant qu’elle réfléchissait, je tentais de ne pas l’attraper pour la secouer dans un sens puis dans l’autre.

« Peut-être que lui il sait ?! »

Je me tournai pour tomber nez à nez avec une… otarie qui tenait un seau. Elle était sérieuse ? Ce truc n’avait même pas l’air d’avoir les deux yeux dans la même direction ?! S’il parvenait à aligner deux mots, ça aurait pu être le miracle du siècle. Mon air blasé du être parlant à lui seul puisqu’elle n’insista pas sur cette idée stupide, laissant voguer l’animal à côté de nous sans qu’il n’ai l’air de percuter notre présence. C’était sans compter sur le poisson bleu qui l’interpella en agitant sa nageoire jaune.

« Eho ! Vous connaîtriez pas un poisson orange nommé… »
« Nemo ! »
Intervint son compatriote. « Mais merci, on va se débrouiller seuls ! »

Il posa ses nageoires sur les siennes pour la faire reculer.

« Nemo ? Eyh ce nom me dit quelque chose ! Pas toi ? »
« Oui, et Sherman aussi ! C’est pas un film ça, Nemo & Sherman ? »
« Eyh, vous cherchez quelqu’un ? »


Pourquoi est-ce qu’on avait deux autres otaries en train de nous taper la causette exactement ? On avait atterri dans Bambi ou Blanche-neige avec une communion nouvelle envers la nature ? Les animaux qui parlent c’était la spécialité d’Artémis à la fin !

« On cherche mon fils, Nemo ! »
« Grand comme ça ? »


L’otarie leva ses pattes pour faire un petit espace entre celles-ci.

« Oui, avec une nageoire atrophiée ! »
« Pas vu depuis le petit-dej… »
Il se tourna vers son compère. « Peut-être que Hank le sait, lui ? »
« C’est un poulpe, il sait tout ! »
« Oh, vous savez qu’un poulpe à deux cœurs et huit tentacules ? »


On allait se faire tout le safari aquatique ou bien ?

« Hep, reviens-là toi ! » M'exclamai-je en attrapant la demoiselle qui essayait de filer en douce. Ma patience était en train de s'user sérieusement en fait...


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« Wake up, it’s time to die. »


Avez-vous déjà désactivé un humain par erreur ? † Je déteste les guerriers. Ils ont l’esprit étroit et n’ont aucune finesse. Pire, ils se battent pour des causes perdues, pour l’honneur. L’honneur a fait des millions de morts mais n’a jamais sauvé qui que ce soit !



Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

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- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-02-08, 23:25 « Sarcasm: punching people with words. »

Etais-je en mesure physiquement de tuer Connor ? Pas définitivement, certes, puis que les divinités avaient ce pouvoir bien pratique de se régénérer... mais pouvais-je néanmoins essayer ? A défaut, j'étais volontaire pour le tuer une fois chaque jour pendant le restant de ma vie. Peut-être qu'à la longue, il serait mort pour du vrai. Ca m'aurait plu. Tout, plutôt que de revoir cet air goguenard sur son visage suite à notre balade aquatique.
J'avais heureusement pu essuyer le maquillage qui avait coulé et repeigné mes cheveux de manière correcte. Quant à faire la course... oui c'était bien un truc de mâle, ça. Quand on ne peut pas mesurer qui a la plus longue, on trouve toujours quelque chose d'autre pour prouver sa soi-disant supériorité.
J'observai la scène : Connor, l'autre fille, les otaries océanographes, le reste, sans prendre part, bras croisés sur ma poitrine. Connor avait rattrapé la demoiselle inconnue et c'était sans doute une bonne idée. Lui aussi était excédé, mais probablement pas par sa propre personne. Ca, c'eut été lui en demander trop.
Un poulpe avait donc deux cœurs et huit tentacules. Peut-être que l'information me servirait au prochain Trivial Pursuit.
Marin commençait aussi à perdre patience. Et je le comprenais. Si Riley avait disparu, ou disons s'il y avait encore eu de l'espoir pour elle, j'aurais remué ciel et terre pour elle et empaler ceux qui me ralentissaient dans mon entreprise.
- Bien. Pouvez-vous nous dire où se trouve se Hank ? demanda-t-il, à bout de nerf.
- Là-bas, vers l’aquarium, indiqua l'otarie. Mais vous risquez d’avoir besoin d’aide pour entrer… C’est dangereux pour des poissons ! prévint-il tandis que mon regard se posait sur un bâtiment en bord de mer.
- Tu nous as bien regardé ou tu as manqué ton dernier rendez-vous chez l'ophtalmo ? m'enquis-je, ravie de pouvoir me défouler sur quelque chose. J'ai l'air d'un poisson. Non, pas vous, Connor, je ne vous ai pas demandé votre appréciation physique. Nous je pense qu'on peut entrer sans crainte.
Connor esquissa un sourire en coin que j'ignorai délibérément, contente d'avoir paré à sa potentielle intervention.
L'otarie, pour sa part, me toisait des pieds à la tête quand soudain elle reçut un coup de nageoire à l’arrière du crâne de la part d'un congénère qui n'avait pas l'air spécialement futé.
- Me touche pas toi ! aboya-t-il pour chasser Gérard, dont le nom me revenait à présent. Comment allez vous transporter les poissons ? demanda-t-il ensuite en reportant son attention sur moi.
- Oh je sais pas, on est en bord de mer, y a peut-être moyen de voler un seau à un bambin et de les y laisser faire trempette ? suggérai-je, sarcastique.
Mes quelques mots avaient mis en branle la réflexion de notre amie bleutée qui, apercevant elle aussi Gérard, agita sa nageoire :
- Moi je sais, moi je sais !! s'écria-t-elle, surexcitée.
Elle devait sans doute prendre le Trivial Pursuit très à cœur...
- Dory… Tais-toi voyons ! la rabroua Marin.
Puis la brune inconnue désigna le seau que l'otarie avait dans sa bouche.
- Comme quoi tu n'es pas si stupide que tu veux bien le laisser croire, commentai-je à l'attention de la bleutée, en observant le seau vert fluo.
La couleur, c'était pas ça, mais on s'en accommoderait. Pas vrai ?
Satisfaites par mon idée, les otaries interpellèrent Gérard qui s'approcha du rocher, trop content d'enfin faire partie de la bande. Du moins, c'était ce que son expression semblait signifier. Mais alors qu'il allait les rejoindre, elles ne purent s'empêcher de le chasser.
S'apercevant de leur erreur, les otaries l'interpellèrent de nouveau... pour un résultat en tout point pareil. A croire que c'était plus fort qu'elle, comme Tristesse et ses larmes, Peur et ses palpitations ou Colère et ses coups de poings ou de journaux. Sans. Déconner. Alors il fallait tout faire soi-même toujours ?
Je roulai des yeux, exaspérée, mais décidée à garder mon calme. Ce n'était certainement pas la présence du dieu de la guerre qui me rendrait belliqueuse.
- Très bien, commentai-je, résolue. On va jouer à un jeu. Uniquement les otaries du rocher et Gérard sinon on va jamais s'en sortir. Désolée, Dory, on te trouvera une activité plus tard. Bien. Qui connaît le jeu Deborah a dit ? C'est comme Jacques a dit mais c'est mieux, précisai-je en arpentant l'espace à ma disposition pour plus de théâtralité.
Les otaries buvaient mes paroles. Je n'aurais pas cru dire ça un jour mais leur dévotion me plaisait. Ca avait quelque chose de grisant. Peut-être allions nous nous en sortir, en fin de compte.
- On commence quand ??? s'égosilla l'une d'elle.
- On commence maintenant, répondis-je tranquillement, l'air de ne pas me pressée alors qu'en fait je n'avais pas la journée.
Elles auraient donc droit à une version simplifiée du jeu, sans piège, parce que ma patience avait tout de même des limites.
- Deborah a dit que les otaries du rocher doivent rester parfaitement immobiles, annonçai-je en ayant le plaisir de les voir s'exécuter. Deborah a dit que Gérard peut monter sur le rocher pendant que les autres otaries ne bougent pas, continuai-je, le cœur battant et l'espoir au bord des lèvres.
Gérard exultait de bonheur. En revanche, les autres otaries étaient mal à l'aise et nerveuses quant à la proximité de Gérard et son seau fluo vert. Quant à moi, j'avais atteint le point de non retour. Le suspense était à son comble et dieu merci Colère n'était pas là pour m'encourager.
Bien. Le moment de vérité.
- Deborah a dit Gérard donne le seau, annonçai-je, la main tendu vers l'intéressé...
...
suspense
....
encore un peu de suspense
....
cliffhanger, vous êtes suspendus à mes mots
....
OK, Miss Brocoli arrête le suspense.
... qui déposa gentiment le seau entre mes doigts diaphanes et soulagés [notez ce joli zeugme, j'adore les zeugmes].
- Eh oui, commentai-je, faussement nonchalante. Deborah a encore sauvé la situation avec panache et subtilité. Bravo, vous avez gagné, décrétai-je à l'attention des otaries qui s'empressèrent alors de chasser Gérard du rocher.
Elles n'en perdaient pas une.
- Vu qu’on a été sympa, on pourrait pas avoir une petite récomp… commença l'une d'elle avant d'être coupée par sa congénère.
- Dites à Hank que vous venez de notre part et qu’il nous devra un service ! coupa la deuxième, au soulagement général.
- C'est noté, répondis-je simplement en proposant leur moyen de locomotion à Marin et Dory. Si ces messieurs dames veulent bien se donner la peine...
Les poissons ne se le refirent pas dire.
Je posai alors le seau sur le ponton avant de m'y hisser, suivie par un Connor sec en un claquement de doigts - littéralement - et la fille. Me tournant vers lui, je demandai - ou exigeai, prenez ça comme vous le sentez :
- Bon, j'ai fait tout le travail comme toujours, maintenant j'aimerais bien des vêtements secs.
N'allez pas me dire que je n'étais pas dans mon bon droit.
- Vraiment ? s'étonna la divinité en haussant un sourcil. D'accord.
C'était... un brin trop facile comme négociation. Mais j'en avais vraiment marre des habits mouillés. J'étais parée. Connor n'avait aucun goût en mode et j'allais en payer les frais mais... j'avais horreur du rhume et je tenais à ma santé. Un peu.
Il claqua des doigts et fit apparaître une nouvelle tenue moins pire que ce que j'imaginais.
- Mouais... commentai-je la bouche pincée. Ca aurait pu être trente fois pire vous connaissant. Merci, seigneur Arès.
Nous nous mîmes alors en route, Connor, la fille, le seau, les poissons et moi et pouvions admirer quantité de mouettes qui nous observaient. Ou plutôt : qui observaient le seau entre mes doigts.
- A moi ? s'enquit l'une d'elle.
- Je le sens vraiment pas cette histoire, entendis-je Marin trembler alors que nous continuions notre route. On aurait jamais dû aller dans ce seau c'est trop petit, y a pas d'échappatoire et maintenant on va se faire BOUFFER par des mouettes et je reverrai pas mon fils !
- He ! relax, Max, tenta de le rassurer Dory. Te fais pas de bile, c'est l'aventure, on est presque arrivés, y a absolument aucune raison que.... Oh tiens, un seau. Et un poisson clown.... Qu'est-ce que je disais moi déjà ?
Bien que je ne regardais pas le seau mais devant moi, je pouvais aisément imaginer la tête de Marin et son degré de patience qui s'amoindrissait de minute en minute.
- Tu disais que c'était l'aventure et moi je dis que personne ne va se faire bouffer aujourd'hui. Vos gueules les mouettes, la marée est basse et ça, ce sont MES poissons, sifflai-je en leur adressant un regard incendiaire qui les dissuada bien vite de tenter quoi que ce soit.
La tête haute, j'accélérai fièrement le pas en prenant la tête de notre convoi.
Quelques instants plus tard, nous étions arrivés à bon port, sains et saufs.

Deborah : 90 %

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I'm sorry I offended you with common sense


Alexis Rice
«Les Gaulois boivent…Et les Romains trinquent ! »

Alexis Rice

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| Conte : Astérix le gaulois
| Dans le monde des contes, je suis : : Astérix

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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-02-09, 22:10 «Les Gaulois boivent…Et les Romains trinquent ! »


Mission Monstres et Compagnie
ft. Alexis & Kayla et consorts



« PETITE CITATION »
Alexis avait atterri dans un nouveau film. Il ne savait pas encore lequel mais il avait suivi des animaux jusqu'à une table avec des animaux. Il y avait au moins un avantage à ça: il n'avait plus la femme désagréable avec lui et c'était parfait (même si, oui, il faut l'avouer, elle lui manquait un peu car elle ne l'aimait pas trop et c'était rare que les gens ne l'aiment pas).

Il était finalement arrivé près d'une table avec quelques chaises et une femme assisse sur l'une d'elle en train de lire un menu. Il s'était approché et lui avait demandé si elle était Mary après s'être approché. Tandis qu'il attendait une réponse, il vit que Kayla venait d'arriver à ses côtés. Au moins, il aurait une meilleure compagnie pour ce film que pour Titanic. Elle s'écria:


« Alexis ! »

Puis elle s'approcha de lui. Cela attira l'attention de la femme qui se rendit compte de leur présence et se présenta enfin à eux:

« Mary. Mary Poppins ! »

C'était donc elle la fameuse Mary dont tout le monde parlait. Cette fois, le jeune Gaulois n'avait pas vu le film mais il en avait évidemment entendu parler. La femme ajouta:

« Qu’attendez-vous pour prendre place à table ? »

Alexis s'assit aussi à table. Tandis que des pingouins les servait, Alexis commença à demander à Kayla:

-Dis-moi, tu avais atterri où? Moi, j'étais dans Titanic et j'étais avec la seule femme de notre groupe. C'était déjà une galère mais elle a été insupportable avec moi. Et toi, t'étais avec qui? T'étais dans quoi?

Il attendit la réponse tandis que les pingouins continuaient de leur servir du thé. En face d'eux, Mary Poppins les écoutait et finit par demander:

"D'où venez vous jeunes gens ?"

Alexis commença alors à raconter:

-On vient d'une ville appelée Storybrooke. On était dans un palais des glaces à la fête foraine puis on a atterri dans l'usine de Monstres et Compagnie avant de tous se retrouver dans le film Jurassic Park via une porte. Mais on est revenu à l'usine. Où nous attendait des monstres de l'ADE. Du coup, chacun d'entre nous a pris une porte et nous avons atterri dans des lieux différents. Comme je le disais, j'étais dans Titanic et, en passant une porte posée sur l'eau, j'ai atterri ici. Mais je ne sais pas où était la petite, d'où le fait que je lui ai demandé.

Lorsqu'il parlait, Mary avait hoché régulièrement la tête. Pendant ce temps, les pingouins continuaient à servir le thé et leur avait offert une glace chacun. Mary les remercia ainsi:

"Oh, c'est vraiment très gentil !"

Un pingouin répondit:

" Pour Mary, c'est un honneur... !"

Finalement, tous s'inclinèrent avant de repartir pour la plupart. Mais un de ceux qui restaient demanda:

"Souhaitez vous un spectacle ? "

Mary répondit:

"Oh, pourquoi pas ?! "

Elle attendait l'avis d'Alexis et de Kayla. Alexis hocha la tête et laissa la petite réagir. Puis les pingouins se mirent à chanter. Autour d'eux, les animaux présents écoutaient et se mettaient à bouger la tête au rythme de la chanson. Mary tapa dans ses mains et souriait. Lorsque ce fut fini, elle regarda ses deux invités et dit:

"Vous êtes donc des invités... arrivés par une porte. Il doit bien y en avoir une quelque part ici."

Elle se leva et les invita d'un signe de main à la suivre sur le petite chemin. Mais ils firent à peine deux pas. En effet, ils tombèrent nez à nez avec deux agents de l'ADE qui les virent et coururent vers eux, armés. Le premier dit:

"Plus un geste !"

Ce à quoi le deuxième répondit:

"Oh regarde c'est Mary Poppins ! "
"Qui? "

[color:8331=000000]L'autre lui donna un coup de coude avant de dire:

"Mary Poppins !

Il se pencha vers elle et ajouta:

"Je suis un fan, pouvez vous me dédicacer ma combinaison ?!"

Alexis trouvait la situation cocasse. Des monstres qui adoraient un personnage fictif? Comment était-ce possible??? Il les regarda faire, incrédule, trouvant la situation étrange. Mary se mit à glousser avant de sourire et de prendre le stylo tendu par l'agent de l'ADE. Avant de signer sur sa combinaison, elle chuchota au jeune Gaulois et à la gamine:

"Profitez en, suivez le chemin Il vous mènera à la sortie."

Alexis lui chuchota un:

-Merci!

Il avait compris qu'elle voulait s'occuper d'eux pour les laisser filer. Alexis prit la main de Kayla et l'entraîna sur le chemin, espérant trouver une porte vite, même s'il n'avait rien contre l'aventure...
(c) made by panic!attack


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Alexias Who cares baby, I think I wanna marry you.


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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-02-11, 00:36

Unforgettable, that's what you are

Just keep swimming


Cette rouquine avait du fil à revendre. A retordre. Ou une peau d'ours, je ne savais plus, toutes les expressions s'emmêlaient si bien qu'elles se dénouaient de tout sens, tant pis. Les otaries aux semblants abrutis lui obéissaient sans que cela n'attaque leur logique. Tout était normal, et si ça ne l'était pas, nous faisions tous tout comme. Je me hissai hors de l'eau, pour rejoindre les autres devant un large aquarium. Je ne pus réprimer une timide exclamation. La surprise m'enrobait, mais aussitôt que je battais des cils, elle revenait glisser une certaine excitation dans mon coeur qui palpitait. Une nouvelle aventure, et étrangement, j'en avais déjà oublié le début. Cela m'embêtait car la raconter ne serait pas une mince affaire, mais je préférais faire de grands yeux devant les poissons qui tournaient en rond. D'ailleurs, ils ne tournaient pas en rond, et les trouver stupides pour cette prétendue rumeur me submergeait de colère. Ils visitaient les lieux, point. Et à force de voir toujours les mêmes lieux, il était bien normal de les oublier. Non, les poissons n'étaient pas stupides juste submergés d'idées qui leur faisaient oublier le principal, soit ne pas tourner en rond pour avoir l'air intelligent. Je pouvais regarder autour de moi, le grincheux humain, le grincheux poisson, la pragmatique rouquine, très certainement dompteuse d'otaries (ou de grincheux, vu comme elle le menait à la bagatelle), et un poisson chirurgien très mignon. Ah oui, décidément. Et quand je regardais devant moi, un large aquarium. Avec des poissons qui n'avaient pas l'air très intelligent mais qui l'étaient! Enfin, pour couronner le tout, la terrible sensation d'être trempée car si respirer sous l'eau n'avait choqué personne, l'air marin collait ma maigre robe noire à ma peau frissonnante. Et là, grincheux se changeait. Non, je ne l'avais pas vu nu, ou du moins j'étais heureuse d'avoir oublié cette scène si elle avait eu lieu, mais en un rien de temps, lui et la rouquine s'étaient revêtus pour être secs comme des sous neufs. Ou propres comme des dessous neufs. Je ne savais plus.

« Hé, monsieur grincheux, tu peux me sécher moi aussi? Je risque de mourir d'hypothermie! Vous savez que l'hypothermie, c'est très grave! Un coup d'air frais, et on peut en MOURIR! Vous savez qu'on peut mourir de ça?! »

Il massa nerveusement son front sur lequel s'était formé une ride soucieuse. Comme si je lui causais des soucis. J'étais adorable, rien à me reprocher, non, non! Surtout après notre course poursuite, j'étais sûre qu'il cachait notre amitié en tant que gros timide. Mais ça nous avait bien rapproché, il n'osait juste pas le montrer. C'était ce dont je persuadais Dory en le lui désignant du doigt. D'ailleurs, je me permettais de trouver le prénom du poisson très joli. Après tout, Dory, c'était joli. Court, adorable. Et surtout, je m'appelais aussi comme ça. Comme quoi? Ah oui, Dory. Ah, cette fichue mémoire. Elle n'était même pas sélective. La preuve, je n'oubliais pas à quel point c'était terrible de tout oublier. Peut-être qu'un jour, je me souviendrais. Je relevais le regard, en lui faisant une moue attristée. Pas des yeux de merlan frit, le regard mignon auquel il ne pourrait résister. Il rétorqua quelque chose. Il voulait quelque chose en échange. Mais, quoi? Je me grattai la tête, il venait de me le dire. Je devais m'en souvenir tout de même! Il voulait... Ah, c'était pas vrai! Ma mémoire me lâchait comme ça, pour me donner l'air idiot des planctons. Grelottant sous ma robe mouillée, j'hochais tout de même de la tête en affichant une expression sereine, presque fière:

« Bien sûr, bien sûr! Bon d'abord, sèche-moi et je te le donnerais après.
- Me donner quoi déjà? J'ai oublié ce que je t'avais demandé... , demanda-t-il d'un sourire arrogant. Il savait très bien que j'avais oublié, l'insolent.
Ben-tu sais, le truc! Enfin, ça ne s'oublie pas ça! »

Je levais les yeux au ciel. Jouer le jeu, Dory, et j'avançai d'un pas prétentieux, en relevant le nez pour ne plus croiser le regard de ce grincheux. Les hommes, franchement. Vraiment pas drôles, ceux d'aujourd'hui. J'aurais même pu dire impertinents. Ce n'était vraiment pas sympathique de se moquer d'un handicap, je croisais les brais d'un air boudeur. J'approchai donc de l'aquarium, suivie de grincheux n°1 et 2, Poil de Carotte, et Dory bis. Quel groupe d'exception, aurais-je pu ironiser. Mais aussitôt que la vanne m'était venue qu'elle s'était échappée de mon esprit en un clin d'oeil. En m'avançant, j'approchai alors d'une entrée avec des tonnes d'enfants. DES ENFANTS! Peut-être Roméo? A quoi il ressemblait déjà? Petit, nageoire déformée, et j'espérai plus souriant que son père. Grincheux, l'humain toujours derrière sans que je ne lui adresse un regard. Ah, il allait le regretter monsieur le nudiste je me change devant des dames et des otaries. Les otaries avaient l'esprit sensible, en plus. Elles auraient dû lui coller un procès. On pouvait voir un couloir, mais pas de grand bassin pour l'y noyer. A gauche, du côté des caisses bondées, une large affiche plaquée sur le mur, devant les yeux émerveillés de quelques enfants rêveurs. Si les poissons étaient stupides, ils restaient admirés. Il y était écrit d'une encre noire, et d'un style neutre en de grandes lettres imposantes "Aquarium P. Sherman", suivie de l'adresse du lieu "42 Wallaby Way, SYDNEY". Ca me rappelait quelque chose. Sydney... L'opéra de Sydney était beau dans mes souvenirs. Ca faisait longtemps que je n'y étais pas allée. Et alors que je m'approchai de l'affiche pour en admirer les détails, l'un me frappa. Les yeux de poulpe devant, ils clignaient. Ah oui, je ne rêvais pas! Même moi qui clignai des yeux pour vérifier, je pouvais affirmer qu'ils clignaient. Ses yeux se plissaient, à moitié, avec méfiance. Une expression qui m'était familière, et que je ne pouvais m'empêcher d'affectionner. Comme si elle me rappelait celle d'un proche. Un proche lointain, car ça m'était très très vague. Je saisissais le sceau que Deborah me tendait avec les poissons, et m'avançant toujours plus près, j'entendis finalement une voix grave, fluette à cause du stress me râlait dans le dos:

« Eh, où tu vas ?! Les autres sont par-là !
- Ooooh, une affiche avec moi dessus ! » se réjouit Dory.

Je plaçais le sceau à côté de l'affiche pour les comparer. Il y avait une vraie ressemblance. Peut-être une cousine. Qu'importait, le poulpe de l'affiche continuait de cligner des yeux pour ma plus grande panique. Vivant, mort, jeu, illusion, farce? Je devais être sûre de mon coup, j'approchai alors mon indexe pour que celui-ci vienne timidement se coller à une surface humide, flasque. Je reculai aussitôt avec dégoût:

« Yerk! Ah pardon! »

Je baissais les yeux pour ne pas affronter le regard offensé du poulpe. Ah non, j'étais vraiment désolée. Désolée de quoi déjà? Oh tiens, l'affiche clignait des yeux. Et si le poulpe était un vrai? Je rapprochai mon doigt pour vérifier, au cas où, et pour notifier une seconde fois que le poulpe était bien vrai. Je retenais cette fois ci mon cri écoeuré.

« Yerk! Oh pardon! C'est marrant, vous me rappelez quelqu'un. , finissant par s'agacer, le poulpe se mit lui aussi à grogner.
Mais... ça suffit. Stop. J'ai dis stop !
- Vous me rappelez quelqu'un..., expliqua Dory, songeuse. Je l'étais tout autant, à la recherche d'un visage pour ces prunelles méfiantes.
- Sûrement pas, on se connait pas, tu m'as jamais vu... Fais moi sortir d'ici ! »

Observant autour de lui avec panique, il reporta finalement son attention vers moi. Il jetait un coup d'oeil au sceau. Un bien meilleur endroit pour un poulpe que cette affiche. Quelle idée! Désignant le récipient fébrile de l'une de ses tentacules pâteuse, il se glissa lourdement jusqu'à mes chevilles. Et dire que grincheux venait de me sécher. Il s'agrippait comme... Un poulpe, enroulant ses larges tentacules autour de mes jambes qui semblaient alors si fines. Finalement, on s'habituait à la situation. Et d'un mouvement rapide, à l'aise, il plaça avec soin ses tentacules, se collant à mes chevilles que je tenais droite en sa faveur. Je lui accordais un regard qu'il voulut capter en relevant les yeux mais... Il regardait mon derrière, là? Un poulpe qui lorgnait mon derrière, on avait tout vu. Enfin, c'était lui qui voyait tout. J'aplatissais les pans de ma robe avec prudence.

« Jolie vue... Bref, la sortie c'est par là ! , m'écria-t-il en désignant l'endroit d'où l'on venait.
- Non, mon fils est de l'autre côté!
- Et ma famille! , renchérit le poisson bleuté. »

Je raffermis ma poigne sur le sceau, comme une trouvaille de laquelle me vanter. Je le brandissais dans tout les sens si bien que j'en faisais couler un peu d'eau, précédant les râlements immédiatement du clown pas drôle. Je replongeai le sceau dans un des bassins, et le montrant fièrement à grincheux dont je n'avais pas reconnu les traits, je demandai d'un sourire poli:

« Excusez-moi, monsieur c'est à vous? Oh, un poulpe!, m'exclamai-je en remarquant une surface orangée flasque, comme un poulpe. Mais il faut sauver Timéo, vous avez raison! Et puis, il faut retrouver ma famille! Non, votre famille! ... D'ailleurs c'est à vous? Où est ce qu'on va alors? »

Je tendais le sceau à Connor qui me répondit par un simple regard épuisé. Ah, celui là. Complètement dépassé, dépité même. Et il osait râler, je faisais tout dans l'équipe et il osait se plaindre! Notre enquête prenait enfin son sens, et il était muet comme une carpe! Je ramenai le sceau contre mes hanches, comprenant très bien qu'il ne le prendrait pas. Hank brisa alors le silence, et après sa simple question, il vint s'enrouler dans mes bras pour me chuchoter:

« Plait-il ?Faites moi sortir d'ici et je vous dirais où mater un bon film !
- ... On va dans un bassin les balancer et ils trouveront bien leur route tous seuls, non ? » proposa finalement grincheux.

Hank remonta son étreinte, pour s'accrocher à mes épaules qui frémirent d'étonnement. La première fois que j'avais un poulpe sur les épaules en même temps. Quelle responsabilité, encore pire qu'Atlas! Me désignant d'un bout de tentacule, il répondit de grincheux à grincheux:

« Vous êtes tout petits vu d'ici... Mais vous n'avez pas ce qui m'intéresse. Elle, si. Elle a des jambes pour me conduire dehors ! Allez hop, par ici la sortie ! , en me tournant la tête vers la vitre, et l'extérieur qui lui manquait tant. Marche tout droit jusqu'à la flotte !
- ... Ce poulpe est fou.
- Un poulpe à 2 coeurs et 8 tentacules, vous le saviez ?!
- Oui. On le sait. » conclut Connor.

Me saisissant une nouvelle fois par le bras comme une enfant, ce qui eut le don de m'irriter, grincheux me poussait jusqu'à l'intérieur de l'aquarium, en compagnie de Poil de Carotte, pour l'instant relativement calme.

« Jettez les n'importe où mais débarrassez nous de ces poissons avant que je les file à bouffer aux otaries !
- Des otaries ?! Jackie et Michel ?, Connor ricana. Je fronçai un sourcil, sans en demander davantage. Une référence de grincheux, très certainement.
- Ils nous ont dit de venir vous voir et que vous aurez une dette envers eux. On cherche... Mais pourquoi je m'emmerde à expliquer ?!
- Parce que t'aimes ça, grincheux. »

Levant les yeux au ciel, il nous intima à le suivre néanmoins jusqu'à un immense bassin, rempli de plein de poissons. Il devait certainement y avoir Enzo, et la famille de Dory! C'était presque sûr, désormais. Vu le nombre de poissons, les statistiques le promettaient. D'ailleurs, il fallait absolument retrouver Pierrot, nous y étions presque, je le sentais! Le poisson grincheux déglutit tout en déclarant:

« J'ai l'impression d'être... Dans un zoo... Très glauque.
- Oh regarde, une baleine !
- Non, Dory, il n'y a pas de baleines dans les aquariums !
- Qu'est-ce que tu en sais ? Quand j'étais petite j'avais une correspondante baleine !
- Vous savez que je sais parler baleine? Vous voulez entendre?
- Non!
- C'est vrai? Moi aussi! Regarde! Hum, hum... Bonjouuuuuuuuuur, je m'appelle Doooryyyyyyyyyy!
- Whaouh, tu parles vachement bien le baleine! Vous saviez que je sais parler baleine?
- C'est dingue, moi aussi! Tu veux que je te montres?
- Oh mon dieu... » annonça Marin en se cachant les yeux de ce qui semblait être pour lui un massacre.

Vraiment bizarre ce poisson. Y avait pas de mal à parler baleine, surtout que je le parlais excellemment bien!



.
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- Bon les gars ... Vous arrêtez maintenant avec vos histoires de mariage avec Ava ! Vous allez lui faire peur ...
- Okay okay Jayjay ! *se tourne vers Axel* Lançons l'opération les ninjas de l'amour !
- Maiiiis moi je veux être votre témoin !



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- Et là ... l'autre kassos ... qui veut me caser avec ma cliente ! Non mais c'est comme cette manie de prôner l'amour à tout va !
- Hahah toi aussi tu as eu affaire aux ninjas de l'amour ?



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Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-02-11, 01:14

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Je crois qu'on est foutus.....

Entendre la voix de Dyson n’avait rien de réconfortant ou de rassurant. Bon déjà, c’était pas Connor, ce qui aurait eue le don non négligeable de très, très vite le détourner de sa tâche principale, à savoir ne surtout pas détourner les yeux de l’Ange à l’écran, tant sa présence divine avait tendance à très vite focaliser toute son attention. Donc, en soit, c’était pas si mal. Mais pas hyper cool non plus. Enfin, si, quand même, parce qu’il aurait pu tomber sur bien pire puisqu’apparemment, Dyson s’y connaissait un petit peu en fandom Docteur Who. Donc si, au final, c’était pas si mal que ça. Non ? Si. Enfin, en gros, c’était pas trop mal, mais c’était pas rassurant.

Jamie en était à peu près là dans son dédale de pensée quand la question de Dyson a propos du tournevis lui ravagea littéralement la cervelle. Le faisant pâlir comme le plus mort des cadavres. Il avait eue le tournevis. Il l’avait utilisé le tournevis pour ouvrir la porte secrète dans l’usine. Il l’avait ensuite rangé, soigneusement, avec son mini Dalek, dans l’une des poches de la combinaison de cosmonaute. Et il avait par la suite allégrement abandonné ladite combinaison dans l’un des innombrables couloirs de cette fichue prison intergalactique, au côté de trois Stormtroopers inconscient.

-M... Merde! s’exclama-t-il à haute voix, ses yeux s’écarquillant pour fixer l’écran qui lui faisait face. Je... je l'avais! Je l'ai plus! Il est resté... là -bas! Acheva-t-il, ne se sentant ni la patience, ni le temps d’expliquer ce que là-bas signifiait en réalité.

-Plait-il ? s’enquit alors la voix, un peu outrée, du Docteur. Vous aviez mon tournevis et l’avez laissé n’importe où ?!

-Pas n’importe où ! s’énerva-t-il, les yeux rivés sur l’écran, lançant malgré tout les mains au ciel, sachant pertinemment qu’il ne pouvait pas expliquer la situation clairement. J'avais aucune idée que ça servirait! Je sais toujours pas! Putain!

Son poing manqua de s’abattre sur l’espace de console devant lui, se rappelant de justesse qu’il s’agissait du Tardis, et qu’il n’avait aucun intérêt à le vexer, d’une quelconque manière.

-Fort bien, fort bien, nargua le Docteur à travers la porte. Donc vous avez un tournevis sonique et vous ne savez pas à quoi ça sert… Voilà pourquoi c’est à un docteur de s’en occuper !

Cette fois, Jamie du faire un effort extrême pour ne pas lever tout bonnement les yeux au ciel. Non mais c’était quand même pas sa faute si il n’avait pas eue le temps de terminer cette saison-ci, non ?! Il pouvait pas toujours s’affaler devant la télévision, lui, entre son boulot et ses colocataires fan de Gilmore Girls et de Pretty Little Liar ! Pas que Jamie ai quoi que ce soit à l’encontre de ces séries, mais très franchement, pour l’heure, c’était un poil handicapant…

-Je vous rappelle que vous l’avez aussi perdu ! Le réprimanda une voix, que Jamie ne reconnu pas immédiatement, tant son esprit bouillonnait de frustration, mais il finit par claquer des doigts en retrouvant l’information.

River ! Bon au moins, il avait un super compagnon à la rescousse. C’était déjà ça.

-Je ne perd jamais rien ! J’égare et je retrouve, là est la nuance.

-Plutôt que de nuancer, railla River, pouvez-vous faire quelque chose ?!

Et malgré lui, Jamie hocha la tête.

-Jamie ? Les lumières sont-elles toujours bien à l’intérieur ?

Il allait répondre quand soudain, à sa gauche, résonna un petit son que Jamie avait failli finir par oublier.

-Exterminate, exterminate !

-Toi ! s’écria Jamie, détournant les yeux pour fixer la petite machine, se reprenant aussitôt pour fixer à nouveau l’écran en face de lui. Merde! Oui! Oui il y a toujours les Lumières mais l'Ange avance bordel!

Oui, il était vulgaire, mais sincèrement, il avait aussi une sacrée trouille. Cette silhouette dans la télé avait réellement quelque chose d’extrêmement flippant. Et la voir se mouvoir comment ça… Non vraiment, ce n’était pas sa vulgarité le problème premier de Jamie à cet instant.

-Avance ? Ce n’est qu’une vidéo ! Comment voulez-vous qu’elle avance ?! AIE !

Le cri du Docteur coïncida de façon beaucoup trop parfaite avec le grésillement qui empli le Tardis pour être rassurant, d’une quelconque manière. De toute manière, voir des lumières clignotées sans raison n’avait jamais rien de rassurant, c’était un code établi dans le cinéma depuis longtemps mais alors voir celle du Tardis clignotées n’avait rien, mais alors rien de rassurant. Du tout.

Et l’étrange son de boite à musique remontée manuellement qui emplit soudain la pièce non plus.

Quoi que le fait d’avoir brusquement la tronche de pierre de cet Ange en plein écran n’avait rien non plus de rassurant.

En fait, rien n’était rassurant dans cette foutue situation.

-Oui ça avance et ça avance beaucoup, je l'ai sous le nez là!! s’exclama-t-il avec humeur, avant de serrer les poings et les muscles de tout son corps par la même occasion. C'est quoi ce bruit? Y a un bruit de jouet mécanique, là, c'est normal?!

La réponse était évidente pourtant.

-Toi ! s’exclama-t-il en pointant, sans le regarder, le petit Dalek de l’index, fais quelque chose ! Sert à quelque chose !

Il entendit un faible ‘exterminate’ en guise de réponse, le petit engin se mettant à tournoyer autour de lui comme pour attirer son attention. Ce qu’il finit par obtenir. L’espace d’une seconde. Probablement une seconde de trop. Ses yeux fixèrent la petite machine, réalisant qu’il tenait entre ses bras et la tige que Jamie avait toujours pris pour le nez des Dalek -bien qu’il était probablement d’un ridicule consommé que de croire que ces choses avaient besoin d’un odorat, un objet de forme allongé, aux couleurs cuivrés et pourvu d’une lumière verte à son extrémité. Pas assez pour analyser l’objet. Mais bien assez visiblement pour permettre à l’Ange de passer littéralement ses bras hors de l’écran.

-Sous le nez ? Genre il vous gratte les naseaux ?!

-Oh putain, s’effraya Jamie, reculant malgré lui, les yeux rivés sur l’écran et les bras de pierre qui en sortaient, oui genre y a ses foutus bras qui sortent de l'écran!!

-Ne perdez pas votre calme ! Pas de panique ! … Ah, voilà !

Cette fois, les lumières ne se contentèrent pas de clignoter, mais Jamie cru, l’espace d’un instant d’intense appréhension, qu’elles allaient tout bonnement s’éteindre. Ce qu’elles ne firent pas, heureusement, mais la lueur baissa au point de n’être plus qu’utile à apercevoir plutôt que voir.

-Il semblerait que vous ne soyez plus vraiment en sécurité, non ?

-Si l'intensité des lumières est garanti de sécurité, non, je ne suis plus en sécurité là!

A tâtons, Jamie se mit à reculer, tentant de mettre le maximum de distance entre lui et la sale bête qui s’échappait de sa cage, manquant de fermer les yeux sous le coup de l’angoisse, quand il entendit très clairement le son d’une porte que l’on verrouille dans son dos. Si il avait une bonne oreille, cela signifiait qu’il était désormais seul avec un ange pleureru, tueur, ascendant psychotique, dans un Tardis mal éclairé et verrouillé.

Il avait déjà dit que la situation avait rien de rassurant ?…

-Arrête de me tourner autour, marmonna-t-il soudain, en sentant le petit Dalek lui entrer une fois de plus dans la cheville, passant sa main dans le vide comme pour le saisir, mais ses doigts ne se ressérèrent que sur la forme étrange qu’il avait entrevue l’espace d’un instant, tu vas me faire tomber.

-Exterminate, exterminate, exterminaaaaaaaate !

Visiblement, se faire piquer son bien eue tendance à fortement vexer la petite machine, qui se mit à lui tambouriner les chevilles avec plus d’attention encore, exaspérant Jamie qui reculait toujours à l’aveugle. L’idée de lui administrer un bon coup de pied lui traversa l’esprit, mais elle passa vite.

- Fâcheux… Moi qui vous disait l’être ! Et comme ça ?

Cette fois, la lumière s’éteignit purement et simplement. Ce qui eue deux effets plutôt ‘fâcheux’. Tout d’abord, il y eue un fracas métallique quand Jamie finit par tomber sur le sol, le mini Dalek en furie étant venu rouler entre ses pieds. L’angoisse lui rongea le sang comme de l’acide, se redressant aussitôt sur les coudes prêt à affronter le visage de l’Ange. Qu’il eue cru beaucoup plus proche, en réalité, lorsque la lumière revient. Parce que oui, le second effet ‘fâcheux’ fut que l’Ange était enfin tout à fait sorti de l’écran. Mais encore à une distance…. Sécuritaire. Ou du moins, le plus possible -autant dire deux mètres au plus.

- Essayez d’ouvrir la porte !

-Y a un de vos putains d'anges dans le Tardis là!

- Docteur, cessez de jouer et faites quelque chose d’intelligent !

-Je fais toujours des choses intelligentes ! Ah, ce maudit tournevis…. Et comme ça…

Peu importait à Jamie ce qu’était en train de faire le Docteur, derrière la porte. Appuyant sur ses mains, son seul but sur l’instant était de reculer au maximum de ce fichu ange, jurant quand il sentant les roues du petit Dalek lui rouler sur les doigts qu’il avait serrer autour de la chose qu’il lui avait prise.

-Toi, fous moi la paix! Lui hurla-t-il, relevant sa main pour la secouer sous le coup de la douleur, avant de capter l’éclat vert qui se dégageait de l’espèce de…. Bâton de métal cuivré.

Il ne fallut pas très longtemps à son cerveau, bien que terrifié à cet instant, pour faire le lien.

-J'AI UN TOURNEVIS !!

Jamais de sa vie il n’aurait cru qu’une telle phrase puisse le soulager à ce point.

-Ne dites pas de…. TOURNEVIS ?! s’étonna la voix, suivit de pas précipités derrière la porte. Ouvrez la porte !

-Et comment je fais, à reculons?! Ironisa Jamie, se relevant péniblement, sans ciller. Dîtes moi ce que je peux vraiment faire bordel!

-Vous avez un tournevis, utilisez le !

A nouveau, Jamie manqua de lever les yeux au ciel, surtout lorsqu’il entendit le petit Dalek couiner, comme pour appuyer les dires du Docteur de l’autre côté du Tardis.

-EXTERMINATE !!!!

-… Est-ce que je viens réellement d’entendre ce que je viens d’entendre ?

-MAIS COMMENT PUTAIN?! COMMENT J'UTILISE CE MACHIN?!

De colère et d’impuissance, Jamie se mit à secouer ledit tournevis, quittant des yeux l’Ange une seconde. Encore une erreur. Car ce fût un temps suffisant pour que la statue franchisse plusieurs mètres, faisant sursauter Jamie. Autant de surprise, que de crainte à la vision du visage, soudain agressif, de l’Ange.

-Toi ! s’exclama-t-il à nouveau, une pointe d’angoisse lui transperçant la voix, pointant son index vers la machine à ses pieds. Fais quelque chose d'autre que hurler 'Exterminate' toi! Exterminate le lui là! Ajouta-t-il en secouant le tournevis vers la statue.

-Pointez le vers la serrure ! Comment fonctionne un tournevis… Allez, essayez !

La litanie de juron qui s’échappèrent de sa bouche furent autant destiné à l’Ange qu’au Docteur à cet instant, continuant de reculer, à l’aveugle, cherchant les contours des choses dans son dos, finissant par trouver sous ses doigts la forme d’un renfort, que Jamie se surprit à prier être une porte. Rapidement, il appliqua le tournevis contre la porte, attendant un temps. Un temps qui lui parut incroyablement long, tandis que la poivrière s’égosillait entre ses pieds, à mesure que Jamie détaillait l’Ange exterminateur.

-Docteur !

-Mon garçon, n’oubliez pas d’appuyer sur le bouton pour que le tournevis fonctionne !

-Pour la postérité, s’énerva Jamie avec ironie, fournissez le mode d’emploi avec ces choses là !

Il n’eut pas longtemps pour se décidé, et comme à l’accoutumé, Jamie se surprit à faire une chose incroyable stupide. Serrant les dents, laissant échapper un juron, il finit par baisser les yeux vers le tournevis, cherchant avec rapidité la forme d’un quelconque bouton, priant pour être assez rapide pour le trouver et appuyer dessus. Les choses furent assez rapide après qu’il eue baisser les yeux. Dès qu’il appuya sur le bouton, un cliquetis de métal se fit entendre dans son dos et il bascula tout simplement en arrière, tomba à même le sol. Ses yeux clignèrent plusieurs fois, s’étonnant de découvrir la silhouette du Docteur au-dessus de lui, avant de revenir à celle de l’Ange…. Dont les bras semblaient s’être refermés à la place qu’occupait Jamie, une demi-seconde plus tôt.

- …. Effrayant, commenta le Docteur, alors que Jamie reculait à l’aide de ses coudes à nouveau


-Le tournevis ! Docteur, veuillez vous dépêcher !

-Ah oui ! Fit-il distraitement, avant de simplement tapoter l’épaule de Jamie. Puis-je ? Ajouta-t-il, et Jamie lui fourra littéralement le tournevis entre les doigts. Comment le faire sortir du Tardis…

Jamie n’en avait pas la moindre idée, aussi se garda-t-il de faire le moindre commentaire. Contrairement à la poivrière, qui se sentit obligé de coasser, roulant près du coude de Jamie.

-Geronimo ! Un Dalek !

Toujours proche de Jamie, le Docteur se pencha, attrapant au vol la petite machine, avant d’avoir un léger sourire.

-Exterminate, marmonna-t-il, comme absent, affichant une mine dégoûtée, c’est très bien ça, exterminate ! Mon cher Jamie, reculez. Je vais l’attirer à l’extérieur du Tardis… Ne le regardez pas.

Il aurait aimé désobéir, mais ses yeux le brûlaient terriblement. Malgré lui, il baissa la tête, ses paupières battant furieusement, alors que soudain, le sol d’une pierre tournant sur son socle lui parvint aux oreilles. Proche… Tellement proche.

-Docteur ?

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Quelques soupirs pires qu'un désir
His laugh, echoes down the hallway. Carved into my hollow chest, spreads over the emptiness. It’s bliss. He started to smile. Her heart is set ablaze like the starry night.
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Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

Deborah Gust

| Avatar : Catherine Tate

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- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

| Conte : Inside Out
| Dans le monde des contes, je suis : : Disgust

| Cadavres : 4325



Évènement #74 : Monstres... Et compagnie ? [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-02-11, 21:41 « Sarcasm: punching people with words. »

Ma patience avait ses limites. Comme la patience de tout le monde, d'ailleurs. Si je pouvais supporter cette tenue, la présence de Connor ou encore les jeux stupides adressés à des otaries à qui il manquait clairement un quart d'heure de cuisson, je sentais que les interactions entre Dory poisson et Dory humaine allaient me faire virer chèvre. J'avais bien envie de parler baleine pour leur dire de la fermer. Nul doute que Marin m'aurait remerciée. Connor aussi, à tous les coups.
Pourquoi était-on toujours entourés de bons à rien et de mauvais en tout ?
Deux Dory qui parlaient baleine. Un Marin au bord de la crise de nerf. Un Hank prêt à prendre le large. Un Connor fidèle à lui-même et sa subtilité.
- … J’ai une idée. On les laisse ici et on se casse avant qu’on en prenne un pour taper sur les autres, proposa-t-il justement.
Et, une fois n'est pas coutume, j'appréciais assez la perspective.
- D'accord, me surpris-je à répondre. Je vous suis. Tout plutôt que de parler baleine avec des amnésiques.
- Pour une fois qu’on est d’accord… ne put-il s'empêcher de commenter.
- Comme quoi tout arrive... renchéris-je en battant farouchement des cils, mielleuse.
Connor fit volte-face pour repartir en direction de la sortie. Mais Hank, probablement le moins stupide de la bande des dégénérés, ne l'entendait pas de cette oreille. Ou de cette tentacule, ou peu importe.
- Hep là !! »
Sans attendre que nous ne nous retournâmes - parce que nous n'en avions pas l'intention, il faut bien le dire - il descendit de la Dory humaine pour...
... Sans. Déconner. Alors il n'avait rien trouvé de mieux que de m'attraper le mollet pour me retenir ? Pathétique. C'était bien les hommes ça.
- Partez pas sans moi ! Je veux pas rester avec ces tarés ! implora-t-il, ce que je pouvais parfaitement comprendre.
Aucune personne saine d'esprit ne voudrait rester avec Dory et Dory. Même Marin, dans son seau, devait rêver de se barrer.
- Bat les pattes, poulpe gluant ! m'écriai-je en secouant la jambe.
Mais rien à faire. Ces machins là, c'est apparemment pire que la super glu. J'y penserai la prochaine fois que Peur casse un vase. On le recollera avec des morceaux de poulpe.
Tandis que je me faisais cette réflexion, Hank avait grimpé sur ma hanche. Su-per. Merveilleux. Le bonheur absolu. Deborah Gust, émotion classe, attaquée par un poulpe en quête de grand air.
- Hors de question ! Je veux quitter cet endroit ! 
C'est qu'il avait l'air décidé, dites donc !
- Y a pas marqué "taxi" et je suis pas assez charitable pour t'aider ! m'écriai-je, dégoûtée. Dites moi, Connor, il faut que je négocie quoi pour que vous me débarrassiez de cette sangsue ? Parce que si vous demandez quelque chose de déplacé, j'aime autant qu'on l'embarque. Il a de toute façon déjà bousillé cette tenue...
Que je n'aimais pas, tenez le vous pour dit. Mais c'était quand même cruel de faire du mal aux vêtements, même laids, qui n'avaient rien demandé.
- Laissez moi sortir et je vous lâche ! jura Hank sous mon regard méfiant. Le grand large, l’horizon, l’océan… A moi la liberté ! reprit-il, rêveur mais toujours vissé à mes hanches.
Que je sais parfaites, mais quand même. Et les bonnes manières, alors ?
Connor, qui avançait quelques pas devant "nous", se retourna finalement, narquois :
- Il y aurait quelque chose dans cet univers qui résisterait à vos attaques ?! 
Oh le lui aurait fait avaler ses dents et son sourire par la même occasion si j'avais pu.
- … Mettez le dans un des bassins au pire ! reprit-il en désignant les bassins où des enfants plongeaient allègrement leurs mains sales pour caresser les poissons.
Mon dieu ce que ça ne donnait pas envie d'être une créature marine...
Un coup d'œil à Hank m'apprit qu'il pensait la même chose, au détail près que lui, contrairement à moi, était une de ces créatures.
- Vous êtes tellement aimable et serviable, Seigneur Arès, raillai-je, furieuse, tous cils battant.
Comme si c'était facile de le décoller ! Il avait qu'à le faire, lui et sa force herculéenne ! C'était un coup à se retourner un ongle. Hors de question que je prenne le risque.
- Si je passe cette porte et que je m'approche de l'eau tu me lâches la grappe ? m'enquis-je, les yeux plissés, en fixant le poulpe.
Autant essayer une autre approche, pas vrai ? La négociation, il n'y a que ça de vrai. C'est beaucoup plus subtile que la force. Mais la subtilité, manifestement, Connor ne connaissait pas. On ne peut sans doute pas être à la fois le dieu de la guerre sanguinolente et le dieu de la subtilité. Lui et Athéna avaient dû tirer leur rôle à la courte paille et il avait probablement perdu. Je l'aurais presque plaint, tiens. Presque.
- Je veux sortir. Passez par où vous voulez mais on ferait mieux de se tirer d’ici avant qu’on ne vous accuse de vol de poulpe.
Il marquait un point, concédai-je mentalement, en avisant ma hanche recouverte par sa personne gluante.
C'est alors qu'une idée diabolique qui ne plairait sans doute pas à Connor - mais ça, à la rigueur, on s'en fiche, non ? - naquit dans mon esprit génial.
- D'accord. Mais tu la joues discret, intimai-je à Hank, sans appel.
Il opina tandis que je m'avançai d'un pas résolu vers Connor, enroulant ma main dans la sienne et collant ma hanche gluante à la sienne, histoire de dissimuler Hank de la meilleure façon qui soit. Il savait se rendre invisible, pas vrai ? Alors il n'avait qu'à activer sa magie poulpesque dans le peu d'espace entre Connor et moi.
Brr. Rien que d'y penser, j'en frissonnais de déplaisir. Mais les grands maux appellent les grands remèdes.
- Discutez pas, intimai-je à Connor en l'entraînant vers la sortie, je vous lâche dès qu'on a passé la porte et après je vous touche plus jamais de ma vie.
C'était le genre de situation dans lequel je portais particulièrement bien mon vrai nom : Dégoût. La simple idée de me tenir contre lui me révulsait mais mon visage demeurait impassible. Il était peut-être un peu séduisant mais jamais ô grand jamais de la vie je n'aurais voulu que nous... ou que nous... ou encore que... Non. Ja-Mais. Plutôt crever d'une overdose de brocolis.
- … Je crois que je si vous me faites une seule réflexion, je le répète à tout le monde, répondit-il avec un sourire entendu, ayant apparemment décidé d'être utile et de jouer le jeu.
Comme quoi, on a de bonnes surprises tous les jours.
- Moi ? Te faire des réflexions ? m'outrai-je faussement. Enfin mon Connor d'amour... soupirai-je, alanguie, en calant ma tête contre son épaule (j'allais devoir me laver les cheveux à la javel). C'est pas du tout mon genre... Et si on marchait droit devant nous vers la sortie ? susurrai-je en tournant la tête pour battre des cils en sa direction. Il fait tellement beau dehors, allons nous promener main dans la main au bord de l'eau et profiter comme il se doit de notre liberté retrouvée.
Ca devait renvoyer une image de couple crédible, non ? Y avait intérêt, parce que j'étais au maximum de mes compétences d'actrice.
Connor esquissa un sourire :
- Bonne idée. Comme ça tu pourras parfaire ce bronzage déjà bien commencé… Sous le soleil de Sydney ! 
Lui, par contre, était réellement mauvais acteur. Mais bon. Encore une fois, le dieu de la guerre ne peut pas aussi être celui des arts. On ferait avec, songeai-je en le sentant se pencher à mon oreille.
S'il m'embrassait, je le tuais.
- Appelez moi encore une fois « Connor d’amour » et je vous fais quelque chose que vous ne serez pas prête d’oublier, susurra-t-il, menaçant comme je ne le connaissais pas encore.
Là, tout de suite, il était plus crédible, bizarrement. Je pris note, mais ne le montrai pas, gardant une expression de marbre sur ma peau diaphane.
- Des menaces ? soufflai-je, tout aussi bas, mes yeux rivés au sien, mimant les confidences murmurées au creux de l'oreille par les tourtereaux. C'est tellement digne de vous... Seigneur Arès, raillai-je à voix basse.
Il est clair qu'il n'avait pas une tête de Connor d'amour. Mais c'était le seul surnom auquel j'avais pensé sur le coup. Et je m'étais trompée. L'amour, il devait pas connaître. Il aurait cependant dû s'estimer heureux que ma langue n'ait pas fourché. Connor. Connard. Un lapsus est si vite arrivé...
- Soyez tout aussi digne, mademoiselle Deborah.
Nous marchions vers le hall, la tête droite, l'air de n'avoir rien à nous reprocher.
Du coin de l'oeil, j'aperçus le vigile qui nous fixait d'un air méfiant tandis que Hank s'agitait entre nos deux corps, apparemment très curieux quant à la tête du vigile… Il se baissa cependant très vite, sentant sans doute que ce n'était effectivement pas une bonne idée.
Mais pas assez vite. Evidemment.
- Euh vous là ! s'écria le vigile, tous les sens en alerte. Et vous ! Arrêtez ! 
Parce qu'il espérait qu'on le fasse ?
 … Plan B. On court ! s'écria Connor, ce que je ne pus que valider.
- Par là ! Prenez la porte pour couper par le parking ! suggéra Hank d'un mouvement de tentacule sur le côté.
Comme nous n'étions plus à ça près, je pris la main de Connor pour l'entraîner aussi vite que possible. Quand on porte des chaussures de ville et un poulpe, ce n'est pas si facile que ça, figurez vous.
Tout à notre course, nous ouvrîmes la porte sans réellement y prêter attention. Mais de l'autre côté, point de parking. Nous venions de percuter quelque chose de dur et de très lourd. Donc de douloureux. Cela avait au moins eu le mérite de forcer Hank à me lâcher avant de rebondir derrière nous pour franchir la porte dans l’autre sens… Byebye, la sangsue.
Yeux rivés sur la porte, je la vis bientôt être refermé par le 11e docteur.
Sans. Déconner. Encore un autre univers. On allait tous se les faire, c'est ça ? Encore heureux que nous ayons atterri dans une série télévisée que j'appréciais. Surtout la saison 4 du reboot, d'ailleurs. N'allez pas me demander pourquoi...
- GERONIMO ! En voilà une surprise ! s'écria Eleven en nous découvrant.
Mon regard bifurqua pour se poser nonchalamment sur les débris d'ange pleurer épars un peu partout. Puis je le regardai, lui, d'un air incrédule.
- Oui, je fais souvent cet effet-là, articulai-je en retrouvant de ma superbe.
Lui, par contre, la superbe, ce n'était pas son fort. On aurait dit un enfant.
- La mariée ! C’est la mariée ! s'écria-t-il en me pointant du doigt.
M'écartant de Connor, je répondis :
- J'ai l'air d'être mariée ? J'espère que vous n'allez pas dire que c'est lui le marié parce que sinon je vous colle mon poing dans la face, homme de l'espace ! sifflai-je, furieuse.
La comédie avait assez duré.
Le Docteur me regarda. Puis il le regarda. Puis il me regarda. Et il le regarda de nouveau. Finalement, il me tendit la main :
- Puis-je ? 
-Vous pouvez, confirmai-je en lui donnant ma main avant de me relever avec grâce pendant que Connor s'occupait d'aider Jamie alors que j'aurais cru qu'eux aussi ne pouvaient pas de voir en peinture.
Une fois que j'eus retrouvé la station debout, il reprit :
- C’est étonnant de vous revoir ici ! Est-ce votre nouveau… Mari ? Compagnon ? Ou bien ai-je compris que ce n’est pas le cas ?! voulut-il savoir en désignant Connor.
- C'est mon nouveau rien du tout, coupai-je, bras croisés sur la poitrine, agacée par ses suppositions grotesques. On se tolère, c'est tout.
C'était largement suffisant, non ?
- Parlez pour vous ! commenta Connor, mécontent tout en époussetant de l’encre lâché par Hank sous l’émotion.
Bien fait. Il ne méritait que ça : des taches et encore des taches. Ca allait bien avoir son faciès. J'ignorai naturellement sa remarque, pour me concentrer sur le Docteur :
- Quoi qu’il en soit, je suis ravi de vous revoir !
Il souriait de toutes ses dents en me serrant bêtement la main plusieurs fois et vivement. Sans aucune classe, donc. Oui, un vrai gamin.
- Comme vous pouvez le constater, je...
Le Docteur ne put jamais finir sa petite explication qui promettait d'être passionnante car River Song venait de l'interrompre :
- Vous ferez la cour plus tard, Docteur ! Nous sommes cernés et dans de beaux draps, alors cessez de faire les yeux doux et dépêchez vous de nous sortir d’ici !
A ces mots, je balayai les lieux du regard : nous étions cernés par des anges pleureurs et la lumière du générateur était vraiment trop faible.
- River... J'aime votre façon de penser, commentai-je simplement.

Brocoli : 90 %

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I'm sorry I offended you with common sense


Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »

Dyson R. Parr

|  Crédits : Eilyam
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|  Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois

|  Conte : Les Indestructibles
|  Dans le monde des contes, je suis : Dashiell Robert "Dash" Parr

La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
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________________________________________ 2017-02-12, 21:42 « Cours Dydy, cours ! »






Monstres et Compagnie !

Everybody Scream !






C'est pas très glorieux, mais Dyson devait bien se l'avouer : il transpirait. Doctor Who était une série vachement bien écrite, et dans le genre flippant, les anges pleureurs étaient un des meilleurs éléments scénaristiques. Ce qui n'était pas une bonne chose, actuellement. Tous ces moments où il avait rêvé rencontrer le docteur, il avait fallut que ça soit au seul instant qu'il ne préférait pas vivre.

Bien que Deborah et Connor, partenaires éternels de râlage qui, paradoxalement, ne s'appréciaient pas (gâchis de point commun !), n'étaient pas les figures les plus joyeuses qu'il avait rencontré, il avait été certes rassurant de voir deux nouvelles paires d'yeux qui aideront à répartir les regards sur la horde extraterrestres de l'horreur qui les entouraient.

Et pourtant, les voici encerclés, condamnés à devoir regarder autour d'eux, pas dans les yeux, et sans cligner, sans sortie en vue, et avec le souvenir que ces anges étaient doués pour éteindre la lumière et devenir invisibles et manger.

Docteur ? Vous voulez pas parler ? Quand vous ouvrez votre bouche généralement ça mène à un plan, siffla-t-il, alors qu'il était persuadé que ses yeux finiraient par le brûler.
Je me rappelle que si deux anges se regardaient, ils étaient morts, figés pour l'éternité. Il faudrait réussir à les répartir en cercle parfait autour de nous et laisser leurs regards se croiser.

Il y eut un silence.

Je vous l'accorde, l'idée était moins tordue dans mon esprit.

Connor-l'utilité invoqua de nouveau son ton ironique. L’ennui… C’est que ça c’est quand il y en a genre… Deux, non ?
River leva la main vers la marée d'anges devant elle. Mais quand il y en a des centaines… Comment voulez vous faire ?

Alors, tout d'abord... Vous connaissez Doctor Who, Connor ! C'est épatant, vous connaissez quelque chose de fictif !
Le regard sombre que lui lança le dieu laissait paraitre plutot un grand enfant vexé qui boudait.
Mais vous avez raison, ça ne sera pas simple de gérer des centaines de ces aliens démoniaques. Connor, à quoi ça sert d'être un dieu si vous etes pas tout puissant ?
Dieu qui boude.

Vous êtes un dieu ? Fit le Docteur.
Tout puissant ? Renchérit River.
Apparemment non.

Je n’ai jamais dis que j’étais coincé, personnellement. 
Vous pouvez vous téléporter ! Vous voulez bien les attirer ailleurs que nous puissions courir trouver une porte quelque part, si vous voyez ce que je veux dire ? Si vous vous éloignez du groupe, pour ensuite fermer les yeux, ils devraient profiter pour vous attaquer non ? Quoi ? Vous êtes pas immortel ?
Il se croit drôle l’abruti au lapin ?
Dieu qui boude croisa les bras, alors que Dyson fut amusé d'entendre que le maquillage, malgré la boue et la pluie de Jurrassic Park, avait tenu.
Si tu veux te sacrifier, vas’y mon gard. On te regarde.

River soupira. Messieurs, votre combat de coq pourra-t-il attendre ? Elle regarda tour à tour le dieu et le toon. Si l’un de vous a une idée, nous sommes tous preneurs !
Connor demanda au docteur : Et votre boite ?
Le tardis n’a plus de batterie. D’où notre arrêt sur cette planète et… Notre étrange rencontre. Le tardis n’a plus de batterie. D’où notre arrêt sur cette planète et… Notre étrange rencontre, dit-il en tapotant le Tardis de la main.

Ce qui serait génial, ce serait de retrouver mon pote le dinosaure. Il faut trouver un moyen d'avoir une ouverture pour pouvoir courir.
Utilisons le dinosaure !
Et comment diable voulez-vous amener un dinosaure ici ?
Ce dinosaure !

Quoi ?
Ils s'accordèrent une seconde pour détourner le regard, et observer, au fond de la caverne, un groupe encore trop éloigné pour les voir : un dinosaure qu'ils connaissaient bien maintenant, spécialement Dyson, avec des monstres de l'ADE avec des torches dont un tenant des rennes, le... chevauchant ?!

C'est pas du jeu, Rex c'est mon pote !
Il fit de grands gestes. Fossile à pattes !! T'as pas réussi à me manger la dernière fois, ça te dit de retenter ? La viande de lapin, c'est super tendre !

Connor-l'utilité : Mais quel...

River et le docteur se penchèrent pour mieux voir, avant de reporter leur attention sur les anges. Que voulez vous qu’on fasse d’un… Oh ?! … Vous êtes sûr ? River avait manifestement compris le plan du docteur.
Jamais. Mais c’est ce qui est excitant, non ?! Il se dirigea de nouveau vers son générateur.

Le T-Rex, remarquant enfin Dyson, rugit. Les voilà ! Ils sont là !! Crièrent les agents monstrueux en jaune de l'ADE, qui les avaient enfin vu.

Dyson reporta son attention sur River et le Docteur. Et je serai donc Amy qui demandera encore et encore de quoi vous parlez, pouvant toujours m'enfoncer le doigt dans l'œil pour comprendre. Mais soit, allez-y. Qu'est-ce que vous attendez de nous au juste ? Je vous promets que cette chose a faim.

Le sol trembla sous les pas du T-Rex quand... le monstre qui le chevauchait l'arrêta brusquement, le grondant même en lui tapant sur le nez.
Nooon, attaque saleté de dinosaure. Docteur, qu'est-ce que vous faites ?

Il hurla à l'attention des monstres : ATTENTION, IL FAUT FERMER LES YEUX SINON LES STATUES VOUS ATTAQUERONT !

Vous allez voir ! Fit(il sous le regard blasé de Connor-l'utilité qui s'adossait simplement au Tardis.
Il échangea un regard complice avec Deborah. Comment se faisait-il qu'il la connaissait ?

Le T-Rex étrangement resté sagement plus loin, les agents de l'ADE s'approchaient en courant, éclairant les anges, figés sous le poids des regard.

Le Docteur se releva soudainement. Dyson ! Avez vous de quoi… Sustenter un dinosaure ?!

Euuh... J'ai... vidé tout le fromage dans ses yeux, j'ai plus qu'une bouteille d'eau.
PARFAIT !
Ha, d'accord.

River recula soigneusement jusqu'au Tardis, en faisant signe à Jamie et Deborah, les invitant à faire de même.

Donnez ! Fit le Docteur en tendant la main vers le psy, qui lui sortit la bouteille pour la lui donner.
Je ne vois toujours pas ce que vous comptez faire avec ça !
Vous allez voir.
Oui, j'ai cru comprendre.

Il retira le bouchon avec les dents, et se servit de l'eau pour trifouiller dans son générateur, redonnant finalement à Dyson une bouteille vide.
Alors il prit le générateur dans ses bras, pour le secouer et... faire s'éteindre la lumière, pendant une seconde, après laquelle les anges reparurent tous, bras levés vers eux.
DOCTEUR !!
Si c’est pour faire l’intéressant, autant se tirer d’ici.
Docteur ?!
Attendez, ça va devenir intéressant !

Il saisit la poignée du générateur pour la faire tourner, provoquant un son aigu, trop aigu, strident, déchirant.
Plus bas, le T-Rex, qui n'avait pas l'air d'aimer du tout, s'agita, commençant à s'énerver.

Docteur, si ça recommence, les anges se rapprochent, et le T-Rex se gênera pas non plus, mais pour nous sauter dessus, pas eux.
Justement !
Pardon ?!

Il répéta le processus, le son déchirant revint alors, les lumières grésillantes menaçaient de s'éteindre. Le T-Rex, sensible au son, commença à s'enrager.

Ah ! Docteur, vous gardez toujours vos surprises jusqu'au bout ? Fit Dyson qui venait de comprendre.
Toujours ! Sinon ce n’est pas drôle !

Le son horrible s'intensifia, et la créature perdit toute patience. Se libérant de l'emprise des monstres, il se mit à courir si fort que toute la grotte s'ébranla. Mais que… Eh ! Eh non, couché !!
La violence s'accentua, et la roche commença à se fissurer.

Oulaaaa ! Docteur, c'est dans votre plan, n'est-ce pas ?

En hochant la tête, le Docteur se mit à sourire. Tout n’y est pas toujours mais là…
Les fissures détruisaient les statues. Une par une, elles disparaissaient. Docteur, vous êtes un génie !!

Le dinosaure continuait sa course, achevant les anges, coursant les monstres de l'ADE, effrayés à l'idée de se faire dévorer.
Vas-y Rex !
Seulement voilà, la course emmenait Rex sur eux, justement.
Maintenant, Docteur, dans l’intérêt de ces personnes que vous venez de rencontrer, on a besoin d'une porte qui puisse s'ouvrir sur... autre chose. Maintenant.
 … Excellent. 

Le regard illuminé, il soutint celui de Dyson en souriant.  … N’est-ce pas un tardis derrière nous ?

Le dinosaure, prêt à les dévorer, était vraiment très proche. Le Docteur commença à s'effrayer, mais riait tout de même, en reculant.

Docteur !!! Hurla River qui était déjà entré dans le Tardis depuis un petit moment, alors que Connor, Deborah et Jamie étaient à l'entrée. Le dinosaure lui, écrasait sous ses pattes les statues qui tentaient de "fuir", plus ou moins, sans succès.

Dyson ne se fit pas prier, et se précipita vers la porte en espérant qu'elle s'ouvre sur un autre monde, de préférence celui où se trouvait Alexis et Kayla.
Il ouvrit donc la porte, priant également pour que ça ne les sépare pas de nouveau, et percutant quelque chose de petit. De sphérique. De vert. Qui faisait du bruit. Et qui... bougeait.

Bob !
 Mais lâche moi bon sang d’humain de… Ahhh ! Tu m’as mis les doigts dans l’oeil !!!!
Oh, excuse moi. Bob !! C'est moi ! Wow, c'était... mouvementé. Et y a un dinosaure dans Doctor Who.

De retour à l'usine ! C'était une bonne chose ? Il se tenait sur la plateforme de départ, essoufflé. Aucun père de famille ne pourra raconter ce genre d'histoire, vraie, à leurs enfants.

Toi, t’es tombé sur la tête en étant bercé trop près du mur, c’est ça ? 
Haha ! Heureux de te revoir, Bob !
 .. Oui oui, moi aussi ! mais si tu pouvais baisser d’un ton avant qu’on ne nous repère !
Il montra du doigt les monstres de l'ADE, plus haut, sur les portes. Eux étaient coincés sur la plateforme, mais hors de vue, c'était déjà ça.

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