« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe]

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Eternalys N. Dystopia
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Eternalys N. Dystopia

| Avatar : Nina Dobrev

Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 2pw4


Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 Humanity-free-elena-the-vampire-diaries

I'VE TASTED BLOOD AND IT IS SWEET
I'VE HAD THE RUG PULLED BENEATH MY FEET
I'VE TRUSTED LIES AND TRUSTED MEN
BROKE DOWN AND PUT MYSELF BACK TOGETHER AGAIN
STARED IN THE MIRROR AND PUNCHED IT TO SHATTERS
COLLECTED THE PIECES AND PICKED OUT A DAGGER
I'VE PINCHED MY SKIN IN BETWEEN MY TO FINGERS
AND WISHED I COULD CUT SOME PARTS OFF WITH SOME SCISSORS

« ... »



| Conte : Ha ha ha..
| Dans le monde des contes, je suis : : Celle qui vous donne envie de prendre un cachet d'aspirine. T'inquiètes, tu peux toujours m'appeler Mina

| Cadavres : 2124



Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-22, 22:31



WHEN LOGIC AND PROPORTION HAVE FALLEN SLOPPY DEAD
Remember what the dormouse said : feed your head, feed your head.

Feat. Des rêveurs fous. Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 2852471132

.


Pas mal de gens aimeraient être à ma place.
Voler parmi les oiseaux, traverser les nuages, se sentir libre… ça vous donne envie à vous aussi hein ?
Bein vous savez quoi ? Si ça vous fait vraiment envie, j’vous donne ma place. Pas d’entourloupe, c’est gratuit ! A vous les oiseaux en pleine tête, l’impression que la clim à été monté à fond, la perte de vos fringues et plus important encore, la crise cardiaque parce que vous n’avez pas de parachute et que bien sur, votre queue vous déteste !
Enfin, ça c’est dans l’optique ou vous en auriez une hein ? Si vous n’en avez pas, vous êtes juste un suicidaire sur le point de mourir.

Sinon… On échange quand ?

J’VEUX PAS MOURIR, J’VEUX MOURIR.. J’hurle de toutes mes forces pendant ma chute, cherchant désespérément quelque chose à ouvrir ou à quoi me raccrocher, comme si un parachute ou un rebord allait apparaître par magie. SI J’MEURS, J’REVIENDRAIS TE HANTER TU M’ENTENDS ? J’BALANCERAIS TOUTE TA COLLECTION DE MAILLET AU FEU, ET TON POTE LE POISSON ROUGE FINIRA DANS MON ESTOMAC. NON NON NON NON… NOOOOON ATTEEEEEND RENVIEEEEENS !!!

Et voilà ! Mon soutif vient de se faire la malle ! L’enfoiré ! Il pouvait pas attendre que je m’écrase au sol comme tout le monde hein ? Nooooon fallait qu’il se la joue solo parce que c’est un sale égoïste, et qu’il voulait pas que je me serve de lui comme d’un parachute de fortune ! Non mais quel sale petit… argh ! Si je survie à cette chute et que je le retrouve, j’vais lui faire la peau. Quoi que… non, j’ai mieux. D’abord je le torture, ensuite je l’opère et enfin, j’utilise ce qui reste pour un truc bien biiiiien dégeu. J’vais lui pourrir la vie moi, vous allez voir !
Le salaud, on verra bien qui rira le dernier…

5 minutes plus tard :

Pourquoi tu me détestes hein ? POURQUOIIIII ???? Qu’est-ce que je t’ai fait pour mériter ça hein ? Moi qui t’ai tout donné, qui t’ai toujours bien traité… je comprends pas ! C’est à cause de la lessive, c’est ça ? Elle était pas assez bien pour toi ? Et l’adoucissant, j’croyais que c’était ton préféré ?!! C’était pas le cas ? Pourquoi tu veux que je meurs sans toi, pourquoi ????

Quoi ? Parce que vous voudriez mourir la poitrine à l’air vous peut-être ? Sachant que n’importe qui pourrait tomber sur votre cadavre ? Même une reine ??? Eh bein moi non. Quitte à mourir écrasée comme une crêpe sur le sol, autant l’être un minimum habillé histoire de garder un semblant de dignité. Sauf que même ça, je l’aurais pas parce que mon soutif, à décidé que j’y avais pas droit. Non mais vous y croyez vous ??? Quel monstre !

10 minutes plus tard :

Oh t’as vu ? J’ai la tête dans les nuages ! Et là, je nage dans les nuages !! Attend, je crois que j’ai mieux. Là je… Aïe ! Mais arrête !!Pfffff t'es pas drôle..

15 minutes plus tard :

Cher journal intérieur :

Je te débute alors je ne t’ai pas encore trouvé de nom. De toute façon on s’en fou vu que personne ne te liras jamais. Donc, je te commence parce que j’ai plein de truc en tête, là, maintenant, et aussi parce que je me fais royalement chier.
Sinooon… l’information importante du jour, c’est que je vais mourir. Quand ? Je l’ignore. Tout ce que je sais, c’est qu’à un moment donné, je vais si tout va bien, m’écraser sur le sol sans soutif. Parce que oui je ne te l’ai pas encore dit, mais j’ai perdu mon soutif en chemin. Je sais, c’est dur. Mais de toi à moi, je crois qu’il n’a pas supporté la pression. Ou alors il avait peur de me survivre..
En tout cas, il m’a lâché. Le traître !
A part ça, je m’ennuie. Alors je sais, je te l’ai déjà dit. Le truc, c’est que je n’imaginais pas que ce soit possible un jour, tu vois ? Parce que je suis le genre de personne qui trouve toujours quelque chose pour s’occuper. Et quand je trouve pas d’idée, je prends de l’herbe à chat hallucinogène pour… tu sais, rendre les choses un peu plus distrayante ? Un peu plus WTF ? Sauf que là, je peux pas. Je suis en chute libre depuis… pfff je sais même pas. Des heures ? Des jours ? Des semaines ? J’en sais foutrement rien ! En tout cas, tous les trucs amusants, je peux pas les faire parce que ma queue est pas d’humeur.
Je peux pas fumer les nuages parce que c’est pas drôle, je peux utiliser ma queue comme bouclier pour me protéger des oiseaux parce que c’est pas drôle et je peux pas jouer avec elle, parce qu’elle EST pas DRÔLE ! Vous imaginez un peu le calvaire ? En plus, j’ai pas de livre, pas de télé, pas de musique, pas d’herbe hallucinogène, RIEN !
Donc je m’ennuie. Et le sol qui n’arrive pas… Mais pourquoi est-ce que ça prend aussi longtemps hein ? En plus, j’ai froid. Puis je commence à avoir faim et je veux prendre une douche moi !!! J’en ai marre !!! Alors si quelqu’un m’entend, descendez moi qu’on en finiss… ah merde ! Si je le dis dans ma tête, on va pas m’entendre.

Que quelqu’un m'achèèèèèèève, j’en ai maaaaarre !!

Voilà, ça c’est fait. Si tout va bien, un oiseau bourré me verra pas et me flinguera en plein vole. Je ne sais pas si c’est possible, mais je veux espérer que ça l’es, alors merci de ne pas briser mes rêves ok ?

***

Une éternité plus tard :

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! J’hurle avant de m’écraser comme une crêpe sur le sol, derrière des buissons. Enfin douce mort libératrice… Non attendez ! C’est bizarre mais*craquement* aïe, on dirait que *craquement*aïe, je suis toujours *craquement* aï… Ah non, ça va, j’ai pas mal. C’était pas mes os mais ceux de euh… je sais pas. J'le connais pas ce type. Mais qu'est-ce que... Mais il regarde ma... espèce de sale pervers ! Je m'exclame indignée avant de lui donner un coup de poing en pleine figure. C'est privé ça, on mate pas !

Bon maintenant, il est temps de passer aux choses sérieuses.
De retour dans les jardins où l’on a rencontré la reine tout à l’heure, je me rends compte que l’ambiance a complètement changé. La reine à disparut et là ou se trouvait mes camarade prisonniers un peu plus tôt, se trouve tout un groupe de gens entrain de jouer à un jeu qui m’est totalement inconnu. Cool, vous croyez qu’ils accepteraient de m’apprendre à jouer avant de me buter ?

En mode espion bourré (autrement dit avec une discrétion inexistante), j’entreprends de sortir de derrière les buissons pour rejoindre le groupe au drôle de jeu à base de flamant rose et de hérissons lorsque ma queue m’attrape par l’oreille et me tire violemment en arrière pour m’obliger à me cacher.
Mais quoi à la fin, qu’est-ce qu’elle à encore !

Mais quoi encore ? Qu’est-ce que tu… Mais aïe ! Ah… d’accord. Merde !

Si j’étais une espionne je serais… déjà morte. Ou alors, je serais comme Johnny English. Parce que lui et moi, niveau discrétion, on est pareil C’est-à-dire, complètement nul. Ce qui me fait dire ça ? Eh bien, le lapin arrive dans ma direction. Oui oui, vous avez bien entendu. On parle bien du lapin qui c’est débarrassé de nous à l’aide d’un ventilateur géant. A ce propos, comment ça ce fait que m’a chute ai duré plus longtemps cette fois ? Bonne question.

Qu’est-ce que vous voulez ? Je demande à l’animal lorsqu’il se place devant les buissons. Vous voyez pas que je suis en planque là ? Vous pourriez pas aller voir ailleurs si j’y suis ?

Pour éviter de me laisser distraire une nouvelle fois par l’étrange jeu qui se déroule un peu plus loin, je ferme les yeux puis me répétè à plusieurs reprise, que je dois resté concentré sur la libération de mes nouveaux compagnons. Aussi, lorsque j’entends le lapin qui parle encore et encore, je sens la moutarde qui me monte doucement au nez. Ce qu’il dit ? Je n’en sais rien. Je n’écoute pas vraiment, ce que j’entends moi c’est du bruit. Et blablablabla… bla. Il ne s’arrête donc jamais ? Il n’y a pas de pile comme dans la pub là… avec le lapin ? Comment ça s’appelle déjà ? Oh.. on s’en fou !
Ni vu ni connu, j’attrape le lapin par derrière et l’embarque derrière les buissons avec moi, ou j’examine son dos pour voir s’il n’y a pas un espace pour une pile ou quelque chose comme ça. Peut-être qu’il à un bouton sous les pattes ? Un interrupteur dans une oreille ? Ou qu’il faut faire comme certaine peluche et tâter un peu partout pour trouver une commande interne ?

Mais arrête de bouger ! J’ordonne à l’animal qui s’agite dans tous les sens et qui balance des coups de pattes dans le vide pour que j’arrête de le chatouiller. Et non, tu te détaches pas. Je lance à ma queue qui à présent, me sert de sous vêtement de fortune. Je t’interdis de frapper le lapin tu m’entends ? Quand à vous, je dépose le lapin sur le côté et termine, pas de bêtise hein ? Et plus de blabla non plus. Parce j’arrive pas à réfléchir avec tout ce bruit que vous faite avec votre bouche…

Je crois qu’il l’a mal prit. En tout cas c’est ce que je suppose puisque j’entends encore plus de blabla. Blablabla blablabla bla… blablabla bla. Ca ne s’arrête jamais, un vrai cauchemar.

Oui oui, désolé pour ça aussi. Je réponds au hasard, espérant qu’il me foute la paix. Hm hm… Oui oui, c’est ça.. Attend, qu’est-ce que c’est ça ? Des trompettes ?

Les trompettes, c’est pas pour annoncer un truc habituellement ?
Délaissant le lapin blabla pour découvrir ce qui se passe, je m’approche sur la pointe des pieds (oui oui on sait, très discret) d’un petit groupe de personne en pleine discussion et tend discrètement l’oreille pour écouter ce qu’ils disent. Apparemment, il est question d’un procès et… c’est tout. Après, le petit groupe à repris sa route et je me suis planquée derrière un arbre taillé (en faite, je me suis jeté par terre et peu de temps après, un idiot à eu la bonne idée de me marcher dessus mais chuuuut !) pour ne pas être repérée. Un procès, un procès… C’est mauvais signe ça non ? Qu’est-ce que je fais ?

« Tu suis les gens idiote ! Quand bien même tu arriverais par miracle à retrouver les autres, tu serais incapable de retrouver ton chemin pour fuir avec eux. Si ça se trouve, tu les emmènerait direct dans l’arène sans que les soldats de la vieille folle qui gueule tout le temps, aient besoin de venir les chercher grosse débile ! »

Attend hein ? Quoi ?? Mais hein ??? Attend mais tu…

« oui je parle et alors ? Bon tu te bouges oui ? Ou c’est moi qui doit tout faire ? Parce que pour l’instant tu te plains, tu te plains, mais tu fais rien d’autre hein ? Alors boooouge, ou on va louper le spectacle ! »

C’est pas un spectacle, c’est un procès. Et je te rappelle, qu’ils voulaient nous chopper tout à l’heure et que ceux qui seront à la barre des accusés, se seront peut-être…

« Mais on s’en fout… Aller ramène toi merde ! A moins que tu préfères que je te traine la-bas de force ? C’est toi qui voit… »

Bon bein... je sais ce qu'il me reste à faire. Direction le procès !

.



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Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-23, 22:30

Enfermés… Ils avaient été tout bonnement enfermés. En tout cas, mieux valait cela que l’autre option qui impliquait la perte d’une tête. Autant dire que Wyatt préféra cela… D’autant qu’en plus, une fois enfermés, ils réussirent à convaincre Skip de les aider et que la serrure fit apparaître des griffons ! Des superbes créatures qui lui rappelèrent beaucoup le couple qu’il formait avec Amelia. D’ailleurs, sa femme ne perdit pas un instant et le lui fit remarquer et qu’ils se mirent à imaginer leurs noms et leurs vies de griffons pendant que les griffons imaginaient leurs vies d’humains ! Non vraiment, ils étaient faits pour s’entendre !

Et puisque la serrure prenait son temps, eh bien, il fallait s’occuper. Faire connaissance. Et pour ça, rien de mieux qu’un jeu ! Wyatt était bien d’accord et quand Amelia proposa des charades, il acquiesça, content de la diversion. Tout le monde se mit à jouer et ils ne virent pas le temps passé. Ceci dit, le lion entendait les soldats-cartes qui se rapprochaient alors que la serrure prenait son temps et se mettait à bailler. Le temps semblait ralenti, comme si… Comme s’il était dans un ascenseur tiens ! D’ailleurs, le publiciste avait la musique en tête.

Puis soudain, la porte s’ouvrit dans un grincement alors que les soldats-cartes étaient tous prêts. Les griffons continuaient de discuter comme si de rien n’était et le lion décida qu’il était temps d’agir. Il essaya de convaincre les griffons d’étendre leurs ailes pour les cacher, mais il était déjà trop tard. Ils étaient là.

Le chaos s’éleva. Tout le monde hurla, tenta de fuir, s’élançaient partout pour échapper aux soldats-cartes. Mais ils ne réussirent pas. Et soudainement, alors que Wyatt entendit un « ATCHOUM » sonore, puis un nuage de plumes envahi la pièce, lui bouchant la vue. Le lion avait beau essayer, il ne parvenait pas à retrouver sa femme et ça, c’était inquiétant ! Soudain, il remarqua que le décor avait changé !

- Mais qu’est-ce que… ? S’étrangla-t-il alors qu’il se retrouva en hauteur.

Même très en hauteur. Dans le ciel. Avec Amelia. L’un et l’autre était sur un griffon. À croire que leurs alter-ego avaient décidé de les sauver de là. C’était gentil non ? Très dommage pour les autres, mais bon… Ils allaient sans doute s’en sortir, après tout, ils avaient le Chapelier avec eux. Puis le couple Peters avait autre chose à faire. Comme aller danser avec les griffons !


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Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-24, 22:02

Maudite reine rouge à la noix, enfin bon pour le moment, mon père et moi, nous n'avions pas retrouvé notre taille normale comme Wyatt le mari d’Amélia, nous étions encore en taille de souris enfin je crois. Mais nous avons un nouveau petit souci, nous étions dans une cellule, moi en prison !! c’est inacceptable !!En plus nous n’étions pas seules, il y a un couple de magnifiques griffons qui ont l’air d’être heureux de rencontré le couple d’anciens lions. Alors que j’essaye de trouver un moyen de nous nous échapper, qu’il se passe mille choses en même temps. J’ai juste eu le temps de dire « jambon de thé noirci » que les deux couples s’étaient volatilisé et que les cartes soldats se ramenaient. 

-Oh non non non non non .. Comment est-ce qu’on fait faire…les bouts de papiers cartonnés vont nous capturée. Dans la pièce, il nous reste que Figue Papa et moi ainsi que Skipette, elle était partie dans un trou de souris. Quelque chose se passe dans mon dos. Je me retourne mais rien du tout, mais il y avait quelque chose dans mon dos qui papillonnait.
-Des ailes !! j’ai des ailes , m’exclamai-je toute contente et émerveiller d’avoir des magnifiques d’ailes mi papillon et mi fée, elles sont magnifique. !! enfin passons nous devons nous tirer. Les cartes ne vont pas tardé à rentrer-enfin si ils viennent de rentrer. Je décide de prendre papa pour partir , je ne peux rien faire pour Figue malheureusement qui s’est fait attraper. Jusqu’à ce Skip se ramène avec son armée de souris . Je décide de me barrer d’ici avec papa.
-Accroche toi papa on va retrouver les couples de tourtereaux mais si dans le lot, il y a des lions. Et il faudrait que tu arrêtes d’abuser du thé, tu es un peu trop lourd quand même lui dis-je tout naturellement ( :adios : ), après quelques battements d’ailes de fées, je réussis à les rejoindre, tout en espérant que figue ai profité de s’échapper de ces maudites cartes. Je ne peux pas prendre deux personnes vu ma morphologie. 


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Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-25, 23:09








Welcome in Wonderland !

« We're all Alice here »


Abandonnée, délaissée, comme une vieille chaussette. L’histoire de ma vie. Je finis toujours seule et abandonnée. Tout le monde s’en fiche et me laisse toute seule. Comme un chat de gouttière puant et blessé. Parce qu’on aime pas les chats de gouttière qui puent. Et qui sont blessé en plus. Le cœur serré et la mine boudeuse, je reste assise par terre, regardant les cartes approchées. Je retiens mes larmes, en levant les yeux vers eux. Peut être qu’eux voudront bien m’adopter. Après tout, si personne veut de moi, qu’ils me laissent tranquille.

- Dites, si je me peins un cœur sur la joue et que je m’habille en mode carte, vous m’adoptez ?

Bon... Ils n’ont pas trop l’air d’être dans le genre mère ou père aimant, mais c’est pas grave, après Emily, je peux avoir tout le monde. Et puis je suis mignonne, hein ? Je vous assure, et je suis toute petite ! Je fais pas de bruit, je suis sage comme une image et... Je veux pas finir toute seuuuuuuleuh !

Alors que les cartes s’apprêtent à attaquer, Skip et ses amis surgissent de nulle part, arme à la main, pour mettre un bon coup de pied aux fesses des cartes ! Attendez... Je dois rêver. Tout le monde m’abandonne, les cartes veulent ma mort... Et ce sont des souris qui me sauvent. Des souris. Rien ne vous choque ?! Je regarde Skip, incrédule. Mais, avant de me carapater, je saute sur la petite souris qui se met à crier.

- Mais arrêteuh j’essaye d’être gentille !

Je la serre contre ma joue avant d’embrasser le haut de sa tête, non sans une petite grimace de par son goût. Non, vraiment, je ne sais pas où elle se traîne, mais l’arrière goût terreux, c’es pas top top. Mais je lui pardonne, parce que c’est la seule gentille pour le moment. Je me carapate donc rapidement hors de la pièce, laissant les souris soldat se charger des cartes. Après tout, les souris n’étaient, certes, pas très intelligentes, mais comparé au carte, il serait difficile de faire pire.

LIBRE ! Libertéééé ! Je me rue dans les couloirs du château pour m’éloigner le plus rapidement possible de ces prisons. Non mais oh, une Figue en prison, qu’elle idée. Le truc maintenant, c’est d’être discret comme un plume ! Comme un chat ! Comme un...

- Qu’est-ce que vous faites ?

Pas comme ça ! Alerte !! Replis, replis !! Alerte rouge ! Rouge ! Je me retourne, sur mes gardes. Bon, je pense qu’elle m’a vu. Vous pensez que si je tente une disparition, là, comme ça, elle n’y verra que du feu ? Genre, POUF ! Plus de Figue ?! Bon, soyons honnête, je n’ai pas beaucoup d’espoir. Mais... Faites place à mes talents d’actrice !

- Laissez passer chaud devant ! Je suis la... Teinturière de madame la gros... Reine ! Je repeins tous ses habits en rouge ! Et contrairement à vous, je n’ai pas le temps de discuter ! Je suis très appliquée dans mon travaille. Je teins, je reteins, je déteins...

Je me perd, non ? La femme me regarde avec un air peu convaincue. Quoi ? Comment ça tu restes dubitative devant cette démonstration de perfection de jeu d’acteur ?! Attend un peu, je vais te faire le final du feu de jeu, tu vas pas en revenir ! Tiens toi prête ! Je m’avance, écartant la femme d’un coup de bras.

- Si vous ne voulez pas que ses robes virent... Verte ? ... Verte ! Vous feriez mieux de vous pousser ! Du balais, du balais !

- Des habits rouges susceptibles de devenir vert ?

Bah quoi ? Elle est raciste du vert ? Ou du rouge ? Haaaan ! Je vais aller le dire à la reine tiens ! Et je dirais même qu’elle l’a insulté ! De grosse tête ! Comme ça, elle s’attirera vraiment sa fureur et je pourrais teindre ses vêtements tranquilles. Non mais, on ne laisse même plus les honnêtes gens travailler. C’est inadmissible.

- Bien sur ! Et vous n’allez pas m’apprendre mon métier ! Allez, on déblaye !

J’étais partie en quatrième vitesse, visant une porte au fond du couloir pour éviter de me faire intercepter de nouveau. C’est qu’ils sont chiant dans ce château à tous vouloir me parler ou me capturer. Je sais que ma compagnie vaut de l’or, mais tout de même, il va falloir se calmer sur l’admiration, ça commence à m’effrayer ! Une fois devant la porte, je m’empresse de tourner la poignée pour rentrer dedans et m’y enfermer.

- Faîtes entrez l'accusé !

Hein ? Non vous déconnez là ? Je viens de me sortir magnifiquement bien d’une situation en tout point horrible, et vous m’accusez encore ? Alors là, je refuse ! Je proteste et je me déclare non coupable votre honneur. Y’en a ras la casquette de vos jeux à la noix, moi, je veux jouer à Figue la reine, alors jouez avec moi bande de minable !

Une bruit sourd de chute me fait sursauter. Je n’ai pas le temps de lever le museau qu’une cage m’est déjà tombée dessus, m’enfermant de nouveau. Ah non ! C’est une blague j’espère ? Quand on réussit à s’échapper, on revient pas à la case prison, j’ai pas fais de 1 ou de 6, ou je ne sais quoi d’autre ! Je me suis débrouillée comme une chef, laissez moi sortir !

Autour de moi, la salle est immense et ressemble à un grand tribunal. Bah voyons. Ca m’aurait étonné. J’aurais préféré une chambre avec des peintures de moi partout, mais enfin, j’ai mon public dira-t-on.

- Je plaide non coupable votre laideur. Je ne suis pas responsable de l’amour que vous portez pour moi. Par contre, vous faites légèrement psychopathe à toujours vouloir m’enfermer. Attention, sinon, je vais.. Je vais... Bouder ! Et pleurer ! Et vous aurez ça sur la conscience, c’est pas beau à voir !



Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

| Avatar : Alyssa Milano

Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !

Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 Sans_t21


| Conte : Le Roi Lion
| Dans le monde des contes, je suis : : Diku

| Cadavres : 3376



Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-26, 16:59 « La vie c'est pas de la tarte ! »

S'échapper d'une prison n'était pas si aisé. Telle était la conclusion à laquelle Amelia était arrivée tandis qu'elle fermait les yeux, prête à se faire arrêter. Pourtant, rien. Pas de menottes autour de ses poignets délicats. Pas d'autorité supérieure pour lui lire ses droits avant le procès. Rien, si ce n'est un courant d'air frais qui la convainquit de rouvrir les yeux. Amelia réalisa alors qu'elle était sur le dos de Dulcinée, bien loin de la cellule et de ses autres habitants. Si elle regrettait de ne pas avoir pu emmener le petit chaton avec elle, elle constatait cependant une chose : il n'est effectivement pas aisé de s'échapper d'une prison... sauf si vous avez des amis griffons. Ce qui était son cas. Et elle ne voulait pas perdre l'amitié naissante qui l'unissait, elle et son mari, à Dulcinée et Griffith en faisant remarquer qu'ils auraient pu être un peu plus courtois envers les autres.
D'autant que le vol était vraiment agréable.
Il était indéniable que Dulcinée, qui portait Amelia, et Griffith qui portait Wyatt, savaient ce qu'ils faisaient. Ils n'en étaient pas à leur première heure de vol et s'il avait été existé un permis de vol pour les griffons, ils l'auraient sans doute décroché haut la main.
- C'est romantique, non ?? s'écria Amelia à l'attention de son mari tandis que Dulcinée amorçait un virage parfaitement contrôlé.
L'instant d'après, elle et Griffith descendaient aux abords d'une plage magnifique sur laquelle n'importe quel couple aurait rêvé de se retrouver en solitaire : le soleil couchait parait le ciel de traînées oranges et rouges, les vagues tranquilles venaient se briser sur un sable aussi blanc que fin et les cocotiers offraient un abri bienvenu contre la bise du soir. "Plus cliché, tu meurs", auraient songé bon nombre d'entre vous. Mais pas Amelia. L'ancienne lionne était aux anges, étourdie par sa balade à dos de griffon, grisée par la majesté des lieux, sa petite main serrée dans la paume chaude de celle de son mari.
- Et si on dansait ? lança Dulcinée, un regard complice en direction de Griffith.
- Oh ! En voilà une merveilleuse idée ! s'écria Griffith de sa voix grave et profonde.
Amelia battit des mains, sautillant légèrement dans le sable qui étouffait son trépignement impatient.
- Mais on va danser quelle danse ? s'enquit-elle finalement.
Le sourire de Dulcinée s'élargit :
- Tu vas voir Amy, c'est très simple. Deux pas en avant, prends ton partenaire dans tes bras, recule et recommence.
Amelia se répéta mentalement les instructions de Dulcinée avant d'acquiescer joyeusement. Ca n'avait pas l'air sorcier et se serait sans doute une excellente répétition pour leur mariage qui approchait à grands pas.
Wyatt et elle se mirent en position. Deux pas en avant, prends ton partenaire dans tes bras, recule et recommencer. Deux pas en avant, prends ton partenaire dans tes bras, recule et avance. Deux pas en avant...
Il ne fallut pas bien longtemps au couple pour trouver son rythme. Les deux amoureux s'enfonçaient joyeusement dans la mer tiède, insouciants. C'était tellement amusant et facile de danser dans de l'eau ! Pourquoi personne n'y avait pensé avant ? C'était tellement romantique et tranquille...
Du moins jusqu'à ce qu'un joyeux quadrille de crabes dansants ne viennent se joindre à la fête, deux par deux également. Et tout ce beau monde tourbillonnait, vite, toujours plus vite, encore plus vite, à en perdre la tête.
La mer avait commencé à s'agiter, d'abord subtilement puis de plus en plus vite elle aussi, jusqu'à former un tourbillon d'eau salée qui ne dérangeait absolument pas Amelia et sa danse de plus en plus précise. L'eau grondait, montait, bouillait et les engloutit finalement. Quand elle se retira, Wyatt et Amelia étaient à nouveau dans les jardins royaux.
- Quelle balade ! s'écria Amelia en reprenant doucement ses esprits.
Les crabes aussi avaient cessé de tournoyaient. Ils formaient à présent une haie d'honneur qui lui indiquait le chemin à suivre. Sans se poser davantage de questions, Amelia glissa de nouveau des doigts dans ceux de Wyatt et suivit la direction indiquée. Quelques instants plus tard, le couple d'anciens lions se retrouvaient dans un tribunal où un procès royal n'allait pas tarder à commencer.
Oh.
Ca c'était un curieux enchaînement de situation, nota Amelia, impressionnée par la solennité des lieux.
Le petit chaton était enfermé dans une cage, le couple royal en face d'elle. Le jury siégeait d'un côté de la salle. Quant au couple, il se trouvait de l'autre côté, avec le reste du public.
- On aurait dû embarquer le chaton avec nous, glissa Amelia à l'oreille de Wyatt en coulant un regard en direction de la cage.
Amelia était vraiment désolée de n'avoir eu le temps de le faire. Elle était cependant soulagée de voir que personne ne semblait se soucier de leur évasion. C'était sans doute leur chance.
- On devrait aller s'asseoir, reprit-elle, toujours plus bas, en tirant la manche de Wyatt.
Une fois sur l'un des bancs, elle reprit une nouvelle fois :
- On peut sans doute trouver un moyen de l'aider. On sera peut-être appelé à la barre ! Ou alors on pourra demander à l'être et là on leur dira que tout ceci n'est qu'un horrible malentendu.
http://www.ouat-storybrooke-rpg.com/t12266-c-est-l-histoi http://www.ouat-storybrooke-rpg.com/f78-la-pelle-a-tarte


Jefferson Hyde
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Jefferson Hyde

| Cadavres : 191



Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-26, 23:30


Welcome to Wonderland !

Des fous, des tarés et des cinglés


Plus rien n'était vraiment clair dans l'esprit de Jefferson ; et à vrai dire, il commençait à se demander si ça n'était pas là la clé de l'affaire. Pendant que ses pauvres compagnons d'infortune continuaient de subir cet environnement étrange et absurde qu'était Wonderland, il était bien conscient que tout cela n'était pas réel ; ou tout du moins, partiellement conscient, mais il avait de plus en plus l'impression de retomber dans un état presque comateux, au point qu'il mit du temps à capter le changement entre la cage des cachots et le fait de voler dans les airs grâce à la force de Grace. Oh, sa fille était si forte ! C'était si doux et beau à voir ! Non, non, non. Il devait continuer de se répéter « c'est un rêve ». Et la sensation de vol dans ce genre de contexte était plus qu'étrange ; même si Grace le portait plus qu'il ne volait, il avait l'impression d'évoluer dans une piscine, comme s'il se battait contre une pesanteur différente de celle dont il avait l'habitude.

Ainsi, il se laissa porter ; et peu à peu, c'était comme si son fil de pensée s'embrumait, pour reprendre cette impression de surréalité pourtant bien réaliste à ses yeux, tandis qu'il observait le paysage en contrebas. C'était joli ; les forêts de couleurs arc-en-ciel, le château de coeur, au loin les griffons sur la plage, les animaux sur l'autre plage, la maison du lapin blanc… en fait, il voyait l'intégralité de la « map » depuis là où il était, et pourtant tout avait l'air très proche de lui, comme si Grace n'avait pas volé si haut. Il cligna des yeux ; se rappelant que rien de tout cela n'était réel, ou que peut-être si, il n'en avait plus la moindre idée…

« Voyons Grace ! Tu sais bien que l'on ne boit jamais assez de thé ! »

À vrai dire c'était sorti tout seul, comme ces mots que l'on prononce sans vraiment y réfléchir, et sans être parfaitement sûre que nous en étions l'origine ; mais il se sentit progressivement redescendre, comme si son poids conséquent affectait le vol de Grace, et un instant plus tard, il se retrouva assis dans la foule du public, dans la salle du tribunal. Ils avaient traversé le plafond ? Il n'en était pas certain. Dans tous les cas, Grace voletait à côté de lui, jusqu'à ce qu'un soldat carte ne la rabroue en lui disant que le vol était punissable par la loi ; et Jefferson lui attrapa doucement la main pour la faire redescendre, lui lançant un petit sourire malicieux.

« On ira voler encore un peu plus tard. Des tartes, ma petite, des tartes... »

Le Roi -devenu le… juge ? Du procès, apparemment- intima le silence en frappant avec un marteau, faisant se demander à Jeff si des procès faisaient vraiment parti d'une monarchie. Ce n'était pas le roi -ou la reine- qui décidait tout bonnement de la sentence ? Oh, mais puisque le roi était juge et que le juge donnait la sentence finale c'était bien normal. En tout cas, il allait falloir qu'il reprenne ses livres d'histoire. Quoiqu'il en soit, le silence tomba sur la salle, et la Reine de Coeur avait l'air plus furieuse que jamais, au point qu'on ne savait pas où son visage commençait et où sa robe plus rouge que le rouge des rouges finissait, et son mari semblait particulièrement apeuré par l'expression de sa dulcinée -ah non, ça c'était la griffonne. Le Lapin Blanc entra en scène, déroulant à parchemin et lisant à voix haute ce qu'il pouvait lire dessus :

« La Reine de Coeur a fait des tartes
Un beau jour d'été
Le Valet de Coeur, censé être accusé
Mais les soldats-carte
Nous révèle que ce chaton est
La réelle coupable. »


Était-ce une pauvre tentative de poésie ? Jefferson leva les yeux au ciel devant une telle pauvreté dans la recherche de l'art parlé, s'adossant sur son… siège ? En croisant les bras d'un air profondément ennuyé.

« Verdict ! » « Mais non Votre Majesté, hum… il est bien trop tôt pour cela. » « Oh alors… Euh… Appelez le premier témoin à la barre ? » Le Lapin Blanc s'inclina. « J'appelle donc : la femme à l'excroissance indépendante ! »


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« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

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Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 Humanity-free-elena-the-vampire-diaries

I'VE TASTED BLOOD AND IT IS SWEET
I'VE HAD THE RUG PULLED BENEATH MY FEET
I'VE TRUSTED LIES AND TRUSTED MEN
BROKE DOWN AND PUT MYSELF BACK TOGETHER AGAIN
STARED IN THE MIRROR AND PUNCHED IT TO SHATTERS
COLLECTED THE PIECES AND PICKED OUT A DAGGER
I'VE PINCHED MY SKIN IN BETWEEN MY TO FINGERS
AND WISHED I COULD CUT SOME PARTS OFF WITH SOME SCISSORS

« ... »



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| Dans le monde des contes, je suis : : Celle qui vous donne envie de prendre un cachet d'aspirine. T'inquiètes, tu peux toujours m'appeler Mina

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Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-27, 22:53



WHEN LOGIC AND PROPORTION HAVE FALLEN SLOPPY DEAD
Remember what the dormouse said : feed your head, feed your head.

Feat. Des rêveurs fous. Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 2852471132

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Encore sous le choc de ma récente découverte (à savoir que ma queue parle), je suis discrètement la foule jusqu’à l’endroit où se déroule le fameux procès en silence.
Partagée entre la peur, la culpabilité et le soulagement, j’essaie de me persuader intérieurement que tout va bien se passer. Pour moi, comme pour les autres. Car après tout, rien ne dit que mes nouveaux compagnons seront sur le banc des accusées hein ? C’est vrai ! Avec un peu de chance, la reine se sera prit la tête avec quelqu’un d’autre entre-temps et c’est à cette personne qu’elle voudra…

Oh noooon… mais c’est carrément horrible ! Dire que j’espère que quelqu’un d’autre perde la tête à leurs place, parce qu’intérieurement, je culpabilise pour les avoir laisser tomber, c’est affreux ! D’accord, c’est décidé ! Que ce soit eux ou non, je dois faire quelque chose. Enfin, surtout si c’est eux. Parce qu’après tout, s’ils n’avaient pas était là pour…

« Arrête t’es chiante là.. Pour commencer, c’est moi qui tes sortie du pétrin tu te rappelle ? Et puis à part se faire choper comme des débutants par les cartes de la folle qui coupe des têtes, je vois pas ce qu’il ont fait pour toi. Alors oui, ils on servie de diversion pour que j’ai le temps de nous sortir de là et alors ? C’était eux ou moi. Et tu m’excuseras, mais ça sera toujours moi. Et par extension toi aussi, puisque j’ai pas le choix. Bon maintenant que c’est réglé, tu la fermes ? Parce que ça va commencer et contrairement à toi, j’ai envie de le suivre, moi ce procès ! »

Qu’est-ce que… Eeeeh !!! Ça va pas de me parler comme ça? C’est toi qui la fermes d’abord !! Et puis j’te rappelle que c’est moi qui porte la culotte ici, hein ? C’est pas toi. Alors tu…

« Oui oui, on s’en fou. Ça y est, ça commence… »

Et là, douche froide. Je me rends compte que personne ne me respecte, je n’ai AUCUNE autorité. Bon, vous me direz, c’est pas comme si c’était une nouveauté car après tout, ma queue ne me respecte pas. En faite, il me semble qu’elle ne m’a jamais respectée. Mais bon, c’est ma queue bon sang ! Alors que là, on parle d’un truc plus général… personne ne me respecte !! Ça veut dire que si j’avais un chat, il me pisserait dessus au lieu d’aller à la litière et que si j’avais un môme, il regarderait la télé au lieu de faire ses devoirs ! Et que si j’avais un mari, il…

« J'appelle donc : la femme à l'excroissance indépendante ! »

Hein ? Quoi ? Qui ça ???

Sortie de mes pensées, je commence à chercher la personne du regard lorsque la voix de ma queue résonne dans ma tête.

« Toi idiote ! C’est toi la femme à l’excroissance indépendante que le civet sur patte appelle à la barre ! Mais tu le fais exprès ou quoi ?! Allez bouge !! Putain, on est foutus… »

Merci pour le vote de confiance. Je rétorque vexé avant de rejoindre ma place à la barre, la gorge sèche.

« Madame, jurez vous de dire la vérité et uniquement la vérité quoique soit l'idée que chacun se fait de la vérité puisque dans la vie tout n'est affaire que de perceptions » Le roi tousse pour rappeler le Lapin Blanc à l'ordre et celui-ci après s'être éclaircie la voix reprends. « Jurez vous de dire la vérité et uniquement la vérité ? »

On ne peut pas dire que je sois le genre timide. Pourtant, à cet instant précis, c’est le trou noir. Je suis incapable d’aligner deux mots correctement.
Ce n’est pas tant à cause des regards rivés sur moi, ou parce que la vie d’une personne est entre mes mains, mais plutôt, parce qu’être témoin dans un tribunal, ça m’intimide. Je me sens minuscule, insignifiante et ça me stress. En plus, savoir que ma queue peut à tout moment péter un plomb n'arrange en rien la situation, bien au contraire.

Euh je euh... oui oui je le jure ! Enfin je crois.. Je termine à voix basse, hésitante.

Blasé, le Lapin Blanc acquiesce d'un signe de la tête avant de reprendre :

« Et disciplinez votre queue s'il vous plaît, il serait fort dommage d'avoir un second incident. »

Oh non le con !

J'ai a peine le temps de réalisé ce qu'il vient de dire, que m'a queue à déjà quitté son poste, révélant ma poitrine au grand jour. Gênée comme jamais avant, je me couvre la poitrine avec mes bras, suppliant ma queue pour qu'elle récupère sa place d'elle-même. Malheureusement, ça ne suffit pas. Celle-ci trop occupée à attaquer le Lapin Blanc (apparemment trop vieux pour ces conneries) ne m'écoute même pas ! Au final, je me retrouve à devoir cacher ma poitrine avec seulement un bras, utilisant l'autre pour la ramener tant bien que mal, vers moi. Et après avoir bataillé pour l'enrouler autour de ma poitrine une énième fois (faut dire qu'elle n'est pas le genre à se laisser faire, surtout si elle à quelqu'un dans le nez) je la bloque à l'aide de ma main et serre de toute mes forces pour l'empêcher de bouger à nouveau. Ça fait mal, mais c'est tout ce que je peux faire actuellement. Par contre, si ça continue, je ne vais plus sentir ma queue. C'est grave vous croyez ?

« Très bien ! Commençons. Où étiez-vous juste avant l'arrivée de sa Majesté la Reine de Coeur dans le jardin ?»

J'étais dans le jardin, en pleine conversation avec euh... mon soutif. Et ma queue aussi ! Mais surtout avec mon soutif. Parce qu’on n’était pas d'accord sur certains... trucs. Voilà.

Génial, maintenant tout le monde va savoir que je parle avec mes sous-vêtements ! La honte.

« Et pendant que vous conversiez avec votre... sous-tif -c'est un truc pour les cheveux ?- et votre queue, vous étiez en présence de la demoiselle dans la cage là-bas ?»

Attendez un truc pour.. oh non non ! Je reprends confuse. Ce n'est pas un accessoire pour les cheveux, c'est pour... Je montre ma poitrine à présent camouflée par ma queue avant de reprendre, maintenir vous savez... Mais pour répondre avec votre question, oui j'étais avec la demoiselle là-bas.

J'adresse un regard désolé à l'autre féline du groupe, avant de reporter difficilement mon attention sur le Lapin Blanc, incapable de le regarder dans les yeux ,tant je suis gênée par ce qui c'est passé un peu plus tôt.

« Très bien ! Et vous pouvez donc certifier que vous étiez avec cette jeune femme depuis le moment où l'on s'est malheureusement croisé chez moi, jusqu'à ce moment précis maintenant où vous me parlez ? »

Oh non, oh non... Qu'est-ce que je fais ? QU'EST-CE QUE JE FAIS ? Paniquée, mon regard passe de la féline au Lapin Blanc. J'aimerai dire que j'étais avec elle tout ce temps. Le problème... c'est que ce n'est pas entièrement vrai ! Il y a eu ce trou de mémoire et puis je l'ai perdue de vue à cause de ma queue aussi, mais ça n'a pas duré longtemps ! Non non non... Qu'est-ce que je vais faire ? Oh mon dieu !!!

Eh bien euh.. Je répond nerveuse, me tortillant sur place. Non pas toujours. (j'adresse un autre regard désolé à la féline en cage avant de reprendre, maladroitement) C'est vrai que je ne me souviens pas de grand chose après l’épisode du ventilateur géant et qu'a un moment donné je l'ai perdue de vu aussi... Une où deux fois, a cause de ma queue surtout ! Et puis aussi, comme elle a été faite prisonnière avec les autres et que moi non... j'étais pas avec elle, mais hé ! C'est tout j'vous assure ! Ça n'a pas duré longtemps.. Je termine l’air abattue, avec l'impression d'avoir fait une énorme connerie.

Satisfait de ma réponse, le Lapin Blanc esquisse un sourire sournois avant de dire à son tour.

« OOOOOOOOOOOOOOOOOOH intéressant tout cela. Très bien, très bien ! Messieurs-dames-animaux les jurés, vous l'avez entendu ici et maintenant, mais la demoiselle féline a bien disparu durant quelques instants à plusieurs reprises. Merci euh... vous. Vous pouvez aller vous rhabiller. »

Mais non je... Paniquée, j'essaie de rattraper mon erreur mais il est déjà trop tard.

Au final, je me retrouve obligée de fuir la barre à cause de ma queue, qui menace de libérer une nouvelle fois ses prisonniers. Aussi, je déglutie difficilement et adresse un dernier regard désolé à la prisonnière avant de partir en courant, retenant à grand peine ma queue qui déjà s'échappe de sa place pour attaquer le Lapin Blanc.


« La fille qui n'existe pas ! » Appel le roi à la barre, après avoir utilisé son marteau pour faire revenir le silence dans la pièce.

Mon dieu, mais qu'est-ce que j'ai fais ?!!


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Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-28, 19:32








Welcome in Wonderland !

« We're all Alice here »


Non mais vous êtes sérieux là ? Vous m’abandonnez, comme une vieille chaussette sale qui pue le fromage, et maintenant, personne ne vient me délivrer ? Non... En fait, vous m’aimez vraiment pas ? Vous êtes tous méchant ou vous vous fichez que je sois accusée à tort... MOI ! La personne la plus INNOCENTE du MONDE ! Vous allez me laisser croupir ici, toute seule ? Je vous déteste tous. Assise au milieu de ma cage, les bras et les jambes croisées, je fixe le sol les épaules basses. C’était pas qu’une impression. Entre ceux qui foutent rien et qui me regarde comme une bête en cage... Et la fausse chatte qui m’enfonce... Tout le monde m’en veut !

Alors que la fausse chatte continue de m’enfoncer, comme si j’avais pas assez creuser ma tombe toute seule... Elle appuie sur le fait qu’elle m’a perdu de vue quelques instants. Ni une ni deux, les accusations reprennent de plus belle, m’assénant un coup de pelle sur la tête pour me faire rentrer dans mon troue plus vite. Frustrée, je me relève avant de me précipiter aux barreaux pour protester. Je suis l’INNOCENCE ! Bande de naze, vous savez ce que c’est l’INNOCENCE ?! Alors je suis aussi innocente que l’innocence si elle avait été innocente dans son innocente jeunesse ?! C’est bon ou j’en rajoute.

- JE PROT...

Les hommes cartes se précipitèrent vers moi pour me repousser avec leur pic en fer. Non mais ça va pas bien la tête, c’est piquant ce truc ils veulent me faire mal ou quoi ?! Abimer ma si jolie peau, non mais je vous jure, la jalousie, ça rend malade.

- ELOIGNE TON TRUC POINTU DE MOI OU JE VAIS TE LE PLANTER DANS L’ARRIERE TRAIN POUR ÊTRE POLIE PARCE QUE OUI JE SUIS UNE FILLE POLIE, DISTINGUEE ET MESUREE, COMPRIS LA CARPETTE ?!

Je le fusille du regard les cartes, les défiants d’approcher. Attention, qu’est-ce qui peut être plus inquiétant qu’une fille en colère ? Une Figue hors de contrôle. Alors tous au salut militaire si vous voulez pas vous asseoir sur des coussins pour les prochaines années de votre vie. Attrapant les barreaux entre mes mains, je me mets à protester et ronchonner.

- Mais je suis INNOCENTE ! INNOCENTE ! Vous comprenez ça ?! Je suis la plus innocente des innocentes ! Et puis...

Tout le monde parle. Attendez. Non attendez. Je rêve où ils ne m’écoutent pas ? Ils sont en train de parler en même temps que moi là ? Ils parlent sur ma voix ? Ils sont méchants, ils me laissent pas me défendre. Ok. Vous pensez avoir plus de voix que Figue ? Vous pensez pouvoir me surpasser. Bande de mollacons, vous allez voir comment je vais vous exploser les tympans ! 22 ans d’expérience, préparez vous à entendre ce que vous n’avez jamais entendu de votre vie. Prenant une profonde respiration, j’ouvris la bouche pour hurler aussi fort que je pouvais :

- FEEEEERRRRMMMMMMMEEEEEZ LAAAAAAA !!! ECOUTEZ TOUS FIGUE LA MEILLEURE ET LA PLUS INNOCENTE DES INNOCENTES !! Même si j’suis belle, je sais, être aussi belle, ça fait des jaloux et puis... Ah. Je me perd, non ?

Eh. Eh ! Mattez un peu la classe interplanétaire. Même le gros du fond il a fermer sa grande bouche. Héhé, quand j’vous dis que j’suis plus autoritaire qu’une armoire à glace. Eux ils ont rien dans l’slip, moi j’suis une vrai terreur. J’fais peur. J’fais paniquer les autres. Pas besoin d’être un bouledog, juste d’avoir du charisme et de la prestance. Comme moi !

L’un des hommes au premier rang se penche vers a voisine pour lui passer un petit mot. Fronçant les sourcils, je me baisse pour attraper un petit cailloux et l’armer à ma joue pour lui envoyer dessus.

- EN PLEIN DANS LE MILE ! ALORS ! C’est qui qui se la ferme et qui écoute la plus belle ?! Merci ! Un peu d’attention et de respect pour ma personne, vous serez gentils, bande de petits paysans.

Et hop, une souplesse vers le bas pour éviter le caillou se dirigeant droit sur moi. Un cri de protestation juste derrière m’indiqua que le caillou était apparemment rentrer avec la tête d’œuf d’une des cartes.

- C’est épatant.. Je m’épate moi même... Même en ne faisant rien, j’arrive à avoir la classe... C’est quand même... Prodigieux ! Des petits applaudissements ? Non ? Bon tant pis, vous êtes tous sur les fesses, je comprend. Reprenons, pourquoi je suis innocente ! Alors... Euh...

Pourquoi je suis innocente ? Bah c’est vrai ça ? Pourquoi je serais innocente ? Ils m’accusent bien d’être beaucoup trop belle et trop parfaite pour eux, c’est ça ? Du coup, je fais de l’ombre à leur reine ? Forcément, je suis tellement... Moi ! Ils ne doivent pas m’en vouloir, ce n’est pas de ma faute ! Jamais elle ne pourrait rivaliser. Mais bon, on va être gentille, on va essayer de trouver des mots flatteurs pour mademoiselle la laideur. Ce qui risque d’être... Compliqué.

- Bon.. Je sais que c’est difficile et très complexant de se retrouver face à une femme comme moi. Belle, charismatique, imposante (pas dans le sens négatif, attention à vos miches !), et parfaite. Mais.. Je ne peux qu’être innocente ! Regardez moi ce visage ! Outre le fait d’être le plus beau que vous n’avez jamais vu.. Vous comprenez bien qu’il est parfaitement innocent ! Comment voulez-vous que la détentrice de ce visage (moi pour les moins fournis en neurones), puisse être jugé coupable ? Hein ? Vous voyez bien le problème, je suis innocente par nature, je ne peux pas être accusée. C’est tout simple. Comprendo ?

Ouais. Ouiiii ! Bon, j’suis un peu fatiguée. J’suis pas super en forme là, j’ai fais mieux. Je m’attend bien sur à n’avoir convaincu personne mais... Pourtant... Tout le monde m’écoute. Et semble subjugué par mes paroles. Bon, en temps normal, ça ne m’aurait pas étonné, je suis une excellente oratrice, les hommes politiques peuvent aller se rhabiller... Ca me fait penser qu’il faudrait que je me présente à la prochaine élection de la personne qui dirige le monde. Les autres candidats risquent d’être déçu, mais le monde sera tellement meilleur avec moi au pouvoir.

Je m’égare. Mais tout le monde boit mes paroles et me regarde, comme s’ils avaient retrouver la sainte Vierge. Oui, c’est moi, c’est vrai. Légèrement sur les fesses, je murmure malgré moi.

- Noooon.. Sérieux, vous y croyez ?

Les quelques mots s’égarent dans ma barbe et le lapin blanc sort de sa torpeur pour me demander, visiblement incertain de mes paroles.

- Plait-il ?

Me reprenant immédiatement, je lui renvoie un magnifique sourire en bombant la poitrine tout en prenant l’air le plus angélique et innocent possible.

- Je disais : Conclusion : Je suis trop belle pour être coupable. Je suis d’une beauté innocente et absolue. Donc, ça ne peut pas être moi, argument irréfutable !

Mon regard se perd dans la foule... Ah ! Qu’est-ce que j’aime être adulée comme ça. C’est... Vivifiant ! Je sais pas ce que ça veut dire, mais j’ai entendu quelqu’un le dire, et comme il avait des lunettes, il était forcément intelligent. Mais... Oui, j’apprécie ce respect, cette admiration et ce... C’est quoi cette tronche de cake dans le fond là ? Ah pour avoir une tête pareille, il ne peut y avoir qu’une seule personne ! D’ailleurs, je n’ai toujours pas eu ma vengeance.

- Par contre ! Je pense avoir votre coupable. Avec une tête pareille, il ne peut QUE être coupable. Et puis il déteste le rouge, il me l’a dit. Et il déteste la reine aussi. Enfin pas moi, l’autre là. Moi il m’adore. Et il a dit que votre fourrure blanche vous grossissait aussi, si j’étais vous, je l’emprisonnerais tout de suite !

Pointant le doigt vers Jefferson, je déclarais haut et fort. Mouhahahaha, vengeance !

- Jefferson ! L’homme aux chapeaux chelous !



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Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-28, 23:34

Je ne sais même plus comment nous avons fait pour atterrir dans cette salle d’audience, ce qu’il m’a quand même choqué c’est que Figue se retrouve dans cette cage. Alors que quelques temps auparavant elle fut aidée par les souris dirigé par Skip. Enfin bon, les personnes de notre groupe du moins quelques une passent devant le lapin blanc. Donc je n’écoutais que vaguement car je voulais admirer mes magnifiques ailes jusqu’à ce que j’entende qu’elle accuse mon père . Non mais là c’est quoi ce bordel. Je suis outrée de cette situation et heureusement que c’est à mon tour, car je serais comme une cocotte-minute qui attend qu’à exploser de cette injustice. Alors que je voulais demander quelque chose à mon père qu’il était plus là. Je hausse les épaules, ce n’est pas grave, je décide de virevolter jusqu’à la barre pendant que le roi essaye de rétablir le calme dans cette salle. Je trouve ça injuste qu’on désigne mon père comme coupable alors qu’il n’a rien fait. Monsieur pinpin blanc se tourne donc vers moi.
"Mademoiselle qui n'existe pas ! Nous sommes donc réunis pour prouver la culpabilité ou l'innocence de la pseudo-majesté. Mais elle s'est défendue, et de ce fait nous nous devons de vous demander... Pouvez-vous nous dire qui est ce "Jefferson aux chapeaux chelous" dont elle parle avec une telle vigueur ?"
‘Comment osez-vous dire que c'est mon père qui est coupable de toute cette imagination. Ce Jefferson aux chapeaux chelous comme vous le dites si bien est mon père. Et s'il vous plait est-ce que vous quelque chose pour me redonner ma taille de petite fille de 14 ans très cher lapin blanc quand vous aurez fini toutes ces bêtises, oui des bêtises aussi grosses que des montgolfières, je vois bien que le lapin a l’air déconfis à mes propos, c’est ce que je voulais, surtout que d’accuser une personne ce n’est pas très malin, il décide de sortir une fiole pour que je puisse reprendre ma taille après avoir lâché un « ah oui » surpris. Eh bien voilà on y arrive doucement, je retrouve ma taille normale, ce qui est kiffinant c’est que j’ai toujours mes ailes de fée ( Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 242150264 ), génial, donc revenons à nos lapins, je l’écoute.
"Oh, alors ce Jefferson est votre père ? Celui qui avait un chapeau lors de notre précédente rencontre à ma modeste maison ? Voyons madame, nous n'accusons personne nous essayons simplement de comprendre les faits... Mais si vous clamez son innocence, alors avez-vous des informations qui confirment que mademoiselle Pseudo Majesté est coupable ?" 
Merchi beaucoup. Et vous savez que de dans mon monde vous êtes une femmes lapin blanc ?? lui demandai-je comme si de rien n'était avant de me reprendre. 
Oui c'est bien mon père, c'est bien lui que vous avez vu et sinon vous savez pourquoi une colombe ressemble à votre gant qu'on a recherché partout quand on s'est vu à votre petite maison. D'ailleurs vous avez une magnifique maisonnette qu'elle est votre secret pour la sublissime de votre maison lui demandais-je vous en m'installant sur les barreaux à ses côtés. 
Mais une question, est-ce que vous, noble lapin blanc est-ce que vous pensez que Figue alias la pseudo reine est-elle coupable lui demandais-je toute en chantonnant en remarque la confusion du lapin blanc ce qui me fait rire intérieurement. 
"Une... femme ? Qu'est-ce donc que cette espèce animale ? Un cousin de l'émeu ?"  Il se reprend, essayant de décrypter tout ce que tu as dit mais lui (comme le reste de l'assistance) a l'air complètement hébété » La maison se transmet dans ma famille depuis des générations mais ce n'est pas la question..." Il secoue la tête, reprenant un air sérieux. "Oui, je clame même haut et fort que Figue est coupable ! Ou alors c'est la précédente qui n'avait pas l'air sûre de son témoignage."
Mais si si tout est une question d'importance très cher lapin blanc, est-ce que vous voulez apprendre à voler, lui demandai-je avec un grand sourire qui ressemble à celui du Chat du Cheshire. Sans attendre sa réponse, je le prends et m'envole tout en haut de la pièce.
-Ne paniquez pas petit civet de lapin je vais vous reposer mais profiter de l'altitude, regardez ne voyez-vous pas qu’ils ressemblent à des petites fourmis. 
Après mettre amuser je le repose tout en chantant la chanson du chat du Cheshire. Et non elle n'est pas coupable vu qu'elle est resté avec nous durant notre voyage ici. Et vous êtes magnifique oh reine rouge pour terminer ma plaidoirie. Je fis la révérence tout en espérant qu'elle n'allait pas le prendre mal comme d'habitude. Et oui les grosses dames ainsi il faut les peigner au sens du poils ? Faut pas abuser non plus la lapine a le tournis, je n’ai pas fait des grands huit non plus. Il a du mal à tenir debout, les jambes qui tremblent et tout... Quand la Reine se lève, folle de colère : "IL SUFFIT ! Appelez le prochain témoin, vous voyez bien que cette petite fille n'a pas toute sa tête ! Et je vais couper le reste si elle continue de mentir de la sorte !" Sa grosse voix ampli la pièce et laisse tout le monde muet de surprise et de peur, et le roi frappe avec son marteau, appelant le prochain témoin : "Nous appelons à la barre... Charlotte et sa maman !" 
Je décide de m'envoler jusqu'à sa position, ‘’vous pensez que je n'ai pas ma tête c'est peut-être un peu normal vu que je suis la fille du chapelier et que vous ne savez pas ce que je sais ce que vous ne voulais pas savoir et je sais peut-être. Enfin passons, continuez votre procès oh grande majesté de cet magnifique contrée lui annonçai-je avant d'aller me percher très haut pour pas qu'on m'attrape, mais je vois que la reine devient encore plus rouge que d’habitude, comme si une cerise avait trop pris le soleil, elle a l’air flatté de ce que je lui ai dit, mon dieu qu’est-ce qu’il ne faut pas faire pour faire plaisir aux gens. Je décide de me poser au-dessus des animaux jurés comme ça je verrais mieux.


Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !

Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 Sans_t21


| Conte : Le Roi Lion
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Événement #76 : la Véritable Histoire d'Alice au Pays des Merveilles [Fe] - Page 5 _



________________________________________ 2017-03-29, 17:53 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia n'avait jamais assisté à un procès. Elle n'avait donc aucune base de comparaison pour déterminer si oui ou non le déroulement de celui de Figue était normal. Assurément, les fées qui s'envolent et les excroissances qui parlent ce n'était pas banal. Mais quid du reste ? La pâtissière n'était même pas certaine d'être apprêtée pour la circonstance, mais ce n'était rien en comparaison de la jeune fille à l'excroissance indépendante qui, non contente d'avoir un peu gaffé (mais Amelia ne pouvait pas lui en tenir rigueur : elle aussi, après tout, était la reine des gaffes) avait perdu une bonne partie de ses vêtements. Aussi, quand cette dernière avait quitté la barre en courant, la pâtissière s'était discrètement relevée pour retirer sa veste en jean et la lui tendre en silence avant de reprendre sa place. Un peu de pudeur ne serait pas malvenu, n'est-ce pas ?
Après que Figue ait clairement et de manière convaincante exposé sa défense tout en accusant Jefferson (c'était culotté, pour ne pas dire méchant), cela avait alors été au tour de Grace de s'envoler à la barre pour défendre son père et retrouver sa taille normale, entre autres choses. Il avait aussi été question d'un autre lapin aux abonnés absents, de cours de vol et de colombe. Amelia n'avait pas tout suivi, se tournant plusieurs fois vers son mari, interloquée.
Et à présent, voilà que c'était à son tour de se prononcer !
Serrant Charlotte dans sa main droite, Amelia se leva, un peu raide et intimidée, pour venir à la barre, elle aussi.
- Bonjour tout le monde, commença-t-elle, nerveuse mais polie.
Amelia adressa un franc sourire au lapin confus puis à la reine qui semblait flattée par les dernières paroles de Grace. C'était sans doute une bonne chose si la reine parvenait à se détendre, se dit la pâtissière. Le roi, en revanche, avait l'air de s'ennuyer, la tête appuyée dans l'une de ses mains ouvertes. Il était sans doute fatigué par le procès, c'est pourquoi Amelia lui sourit aussi, avant d'adresser un autre sourire au jury puis au reste de l'assistance. La politesse, c'était important.
Un grommellement exaspéré plus tard, le Lapin Blanc s'était pourtant repris et retourné vers Amelia pour s'adresser... à Charlotte, fermement tenue dans la main droite de sa propriétaire :
- Bien mademoiselle Charlotte, nous avons donc deux témoignages se contredisant, l'un confirmant que mademoiselle Pseudo Majesté a disparu durant quelques moments disparates, et l'autre infirmant cela en disant que vous étiez ensemble jusqu'à l'arrivée de sa majesté la Reine dans ses jardins de roses. Eh bien, éclairez notre lanterne ! Pouvez-vous confirmer l'un de ces deux témoignages ?
Amelia déglutit, jetant un regard interloqué à Charlotte qui, bien entendu, demeurait silencieuse.
- Si vous me le permettez, je vais répondre à sa place, hasarda l'ancienne lionne en tâchant de maîtriser son stress du mieux qu'elle pouvait. La pauvre Charlotte est muette. C'est de naissance. Mais nous avons mis au point un moyen de communication particulièrement efficace. Attendez, je vais voir ce qu'elle a à nous dire puis je vous traduis tout ça !
Nerveuse, Amelia se mordit la lèvre. Elle n'aimait pas mentir. C'était contre sa nature. Mais elle ne voyait que ça à faire dans pareilles circonstances, préférant ne pas expliquer à ces drôles de personnages que les pelles à tarte ne parlent pas.
Après une gesticulation saugrenue, la jeune femme se racla la gorge et dit :
- Charlotte me dit qu'elle n'a pas vu la pseudo majesté disparaître. Elle se rappelle très bien qu'Amelia - c'est à dire moi, j'aurais peut-être dû le préciser d'entrée de jeu - l'a portée et sauvée des eaux et elle se rappelle aussi que la pseudo majesté était avec nous aux cuisines avant que nous nous mettions en route vers le palais avec la soupe et juste avant la procession royale où Charlotte se rappelle aussi avoir vu la pseudo majesté. Et Jefferson. Il était là aussi. C'est Charlotte qui le dit, ajouta Amelia.
La pâtissière avait rejoué les différentes scènes dans sa tête aussi précisément que possible, ce qui n'avait pas été évident. Accessoirement, elle ne connaissait pas les chefs d'accusation qui pesaient sur le chaton. En fait, elle ne savait pas pourquoi ils étaient là et questionnait de plus en plus le sens de cette drôle d'histoire.
Devant elle, l'assistance semblait contente d'apprendre tous ces détails supplémentaires. Apparemment, le chaton leur avait vraiment fait son petit effet. C'était assez incroyable qu'une oratrice aussi ... unique en son genre obtienne d'aussi bons résultats. Seul le Lapin Blanc, en fin de compte, ne semblait pas satisfait. Il en vint à une nouvelle question qu'il posa fièrement :
- Vous pouvez donc certifier que la demoiselle avec la queue désaxée est une menteuse ?
Amelia ouvrit la bouche, stupéfaite. Ce lapin allait bien vite en besognes ! Mais l'ancienne lionne n'avait pas dit son dernier mot. Loin de là. Demandez à Wyatt si vous ne me croyez pas ! La jeune femme se pencha vers Charlotte, l'agita une nouvelle fois, puis reprit :
- Charlotte dit que la demoiselle à la queue désaxée n'est pas une menteuse. Elle me certifie que la demoiselle à la queue désaxée n'a effectivement pas toujours regardé la pseudo majesté - et c'est pour ça qu'elle ne pouvait pas vous certifier l'avoir toujours vue - parce que la demoiselle à la queue désaxée a eu quelques ennuis avec son excroissance indépendante qui l'ont empêchée de regarder le chaton à certains moments. Vous savez, les contretemps, ça arrive à tout le monde. Mais Charlotte dit qu'elle a tout vu ! Et à aucun moment Charlotte n'a vu le chaton ou l'autre demoiselle faire de bêtise. Je vous rappelle que Charlotte est une pelle à tarte. C'est fiable, les pelles à tarte.
Amelia observait attentivement chaque réaction du Lapin Blanc qui semblait étrangement frustrée par la vérité qu'elle exposait par l'intermédiaire de Charlotte. Alors l'animal décida de changer de stratégie, relevant les yeux vers Amelia, un éclat malsain dans la pupille :
- Et vous, vous vous êtes fait passer pour Mary Ann pour venir voler mon ventilateur, n'est-ce pas ? Une pelle à tarte n'a qu'une parole, c'est le cuisinier qui me l'a dit ; mais vous, vous me semblez bien suspecte. Ce serait donc vous la réelle coupable de cette affaire, n'est-ce pas ? Ne répondez pas ! Mesdames et messieurs, nous avons trouvé la coupable, et voici l'arme du crime !
La foule retint son souffle pendant qu'Amelia blêmissait. Ce lapin avait décidément bien des ennuis avec la cohérence. Mais pour l'heure, ceux d'Amelia, d'ennuis, étaient on ne peut plus importants et le marteau frénétique du roi ne l'aidait pas à se concentrer.
Vite, une réplique. Quelque chose. N'importe quoi. Le cœur battant Amelia réfléchit à toute vitesse, posant finalement Charlotte devant elle pour joindre humblement les mains. Elle allait tout de même répondre, bien contente de pouvoir, cette fois, être totalement honnête et parler pour elle-même :
- Je n'ai, c'est vrai, pas voulu vous détrompez quand vous m'avez confondue avec Mary-Ann. Vous aviez l'air tellement pressé de retrouver vos affaires que j'ai voulu vous aider et si pour ce faire je devais vous laissez m'appeler de la sorte, ce n'était que peu de sacrifice pour résoudre votre problème. J'ai pensé que d'abord vous expliquez que vous faisiez erreur serait une perte de temps et que vous n'aviez pas besoin de cela en plus. A présent... oui, je regrette de n'avoir fourni cette explication au vu des insinuations que vous faites quant à mes intentions qui étaient nobles, conclut la pâtissière, le menton relevé avec panache même si elle n'en menait plus large.
Le lapin, pour sa part, se trouva décontenancé face à ce nouveau rebondissement que jamais Les Feux de l'amour ne saurait égaler. Et en colère, nota Amelia en l'observant de plus près.
- Qu'est-ce donc que vous n'avez pas compris dans "ne répondez pas" ? Allons bon ! Vous avez bien besoin d'un lavage d'oreilles ma petite dame. Dans tous les cas, mesdames et messieurs les jurés, retenez ceci : l'un d'eux est coupable et je compte bien trouver lequel. Retournez donc vous asseoir, nous n'avons pas de temps à perdre avec vos blablas incessants...
Etant donné que le lapin avait l'air en colère qu'elle ait osé parler alors qu'il avait stipulé qu'elle ne devait pas parlé, Amelia ne pipa mot. Ce n'était pas la première fois qu'on lui faisait remarquer qu'elle parlait trop mais elle était fière de savoir que ses oreilles fonctionnaient bien. Même si elle ne le lui dit pas, le regardant s'agiter.
Le Lapin Blanc lui tournait à présent le dos, théâtral et la patte sur le front quand il s'adressa au couple royal :
- Vos Majestés le Roi et la Reine, nous trouverons bientôt qui est donc l'importun qui a commis ce crime horrible...
Quel dommage, nota Amelia, que le lapin n'ait obtenu l'effet escompté... Le roi semblait à deux doigts de s'endormir tandis que la reine fixait le plafond. Il aurait tout aussi bien pu ne rien dire que les choses auraient été les mêmes. Le Lapin revint alors vers Amelia qui avait commencé à quitter le devant de la scène pour la lui laisser :
- Et envoyez votre mari, c'est notre prochain et dernier témoin. Allez, vite vite Mary Ann ! s'écria-t-il, de mauvais poil.
L'intéressée ouvrit la bouche pour protester mais se ravisa, autrement ils allaient tourner en rond pendant des siècles. Elle se contenta de regagner sa place en s'adressant à Wyatt :
- Je crois que c'est ton tour. Bon courage même si tu t'en as pas besoin. Tu vas tous les épater, c'est certain.
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