« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe]

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2017-09-24, 23:29



Too much royal

Greg avait bien cerné la situation dans ce monde, vis-à-vis des princesses, de leur dictature et privation des libertés du peuple. Il comprenait Malfalia, pleine de rêves, bercées par les grandes histoires de princesses, avec un désir si fort d'avoir une vie aussi belle que le décrivent les contes... mais elle lui semblait très inconsciente, ou très innocente peut-être. Car la principauté dans ce monde n'avait rien d'envieux.
Et ce qu'il venait de se passer, ce que Greg avait suivi silencieusement, à la fois perplexe, inquiet et méfiant, venait de le prouver. Il n'était d'ailleurs pas très serein pour Kida qui s'était faite enlever par les trois sorcières. Mais son attention était bien trop centrée sur Malfalia pour s'en soucier davantage pour le moment. Celle-ci venait de s'effondrer au sol, inconsciente. Il eut aussitôt le réflexe de s'approcher d'elle, afin de vérifier son état. Il ne s'était pas soucié de ce que les autres pourraient en penser, il ne semblait pas être très apprécié (quoique Hazel semblait préférer Greg qu'Ali) et encore moins par Malfalia, mais qu'importait. Il était médecin et aimait l'être.

Il lui prit la main, afin de vérifier à son poignée son pouls pour analyser sa respiration. Elle allait bien, elle était simplement évanouie. Cependant, une lumière à son cou attira le regard de tous. C'était la marque des réprimés (car c'étaient ce qu'étaient les Muselés, dans cette dictature), qui irradiait d'une lumière inquiétante. Ca ne semblait pas du tout être bénéfique pour elle : sa peau était rouge, très irritée. Hazel en fut aussi étonnée que lui : J'ai jamais vu ça. Et pourtant c'est pas la première fois qu'elle essaye de chanter.
Et bien, je ne peux pas expliquer pourquoi ça lui arrive. En revanche, ça à l'air de la blesser, de la brûler. Sa peau réagit très mal, avez vous de l'eau et un morceau de tissu ? Je peux tenter d'apaiser les effets. Pour l'instant, il n'était pas capable de grand chose, ce monde n'avait pas l'air d'avoir beaucoup de ressources pour pouvoir la soigner. Du moins pas de côté du monde.
J'ai une thermos de café ça irait ? Et j'ai ça... Elle lui tendit un paquet de mouchoirs de poche, ce genre de paquet que Greg avait découvert en arrivant à Storybrooke (innovation simple mais efficace, il fallait y penser). Il les prit, en hochant négativement la tête cependant pour ce qu'il en était du café. Si le café est chaud, ça ne l'aidera pas, je le crains.
Tant pis on va la ramener chez nous. C'est plus très loin. Tu la portes. Son ton était autoritaire et l'ordre non-négociable puisqu'elle avait déjà tourné les talons pour se mettre en route.

Le trajet ne fut pas désagréable, bien qu'il dut porter quelqu'un tout le long. Mais Malfalia n'était pas spécialement lourde et la marche n'avait même pas duré 5 minutes. Le groupe était arrivé devant une maison sombre et sinistre. L'intérieur n'avait rien de luxueux mais peu importait, tout le confort dont on pouvait avoir besoin y était.
Greg était entré, posant son regard sur chaque détail de la maison devant lesquels il passait, avant de poser délicatement le corps de la jeune femme sur le canapé rouge qu'Hazel lui indiqua.
Des mouchoirs mouillés d'eau fraiche, ou même froide si vous en avez, feront largement l'affaire. Et si elle se réveille, il serait bon de lui donner un verre d'eau.
Bah... fais comme chez toi, coco. La cuisine est par là, lui dit-elle simplement, visiblement peu encline à aider son amie.

Il se dirigea donc dans la pièce afin de chercher de l'eau, mais s'arrêta en sursautant presque devant la silhouette qui 'il vit de suite. Une grande femme, fine mais imposante, aux cheveux de jais se trouvait là, dos à lui, n'ayant pas encore remarqué la présence du médecin. Bonjour ? Fit Greg, voulait être aimable. Excusez moi, on m'a dit de me servir, je n'ai besoin que d'eau pour aider la jeune femme souffrante qui est allongée dans le salon.

Elle se retourna aussitôt qu'il avait parlé. Si elle fut surprise de l'intrusion, cela n'avait duré que quelques fractions de secondes, puisqu'une autre expression prit aussitôt place sur son visage.
Bonjour beau brun... Sa voix cachait peu ses intentions de charme, alors qu'elle s'avançait vers lui en roulant des hanches sensuellement, alors qu'il commençait déjà à être mal à l'aise.
Tu es sûr de ne pas préférer un verre de quelque chose de plus corsé en ma compagnie ?
Sans lui laisser le temps de répondre, elle le plaqua au mur près de la porte, portant ses mains sur le torse de Greg, rapprochant son visage très (très) près de celui du médecin.
Hum... pour le moment je crois qu'il serait raisonnable de l'aider... répondit-il simplement, gêné.
Tu parles trop pour un homme, d'habitude ils sont beaucoup plus conciliants.
Et sans en dire davantage, ou sans prendre la peine de le prévenir, elle l'embrassa à pleine bouche, Greg s'étant cogné la tête contre le mur au recul, surpris.
Au bout de deux secondes, il la repoussa délicatement, sans être brusque pour ne pas prendre le risque de l'énerver. Je crains fort qu'elle ait besoin de soins d'urgence...

Elle s'éloigna de lui, soupirant de colère, le foudroyant du regard, les mains sur les hanches. C'est quoi le souci ? T'es marié ? Pacsé ? Fiancé ? Veuf ? Gay ?
Asexuel ?

Rien de tout ça, et je ne mets pas votre charme en question, loin de là... je m'inquiète juste, elle semble souffrir.
Et la souffrance pseudo affective de la Matrone Noire ? Sais tu ce qu'elle fait aux vilains garçons comme toi qui ne veulent pas lui obéir, fit-elle en s'étant rapproché de lui pour la murmurer doucement à son oreille. Sa phrase achevée, elle en mordilla le bord, qui avait surpris Greg de nouveau, un frisson l'ayant envahi de la tête au pied, les épaules levés par la surprise.
Oh et bien... si j'ai bien compris, c'est votre fille qui a besoin de soin. Une fois réveillée, vous pourrez retrouver votre chère enfant, n'est-ce pas ?
Il fut soulagé d'avoir reconnu le terme "Matrone Noire" qui avait été utilisé pour nommer la mère de Malfalia. Car il avait manifestement bien choisi ses mots.
Ma fille ? Comment ça "ma fille" ? Qu'est ce qu'elle a ENCORE fait ? Elle a chanté c'est ça ? Si elle a chanté c'est bien fait pour elle.

Un silence s'installa, dans lequel aucun des deux n'osa parler. Ce fut elle qui reprit la parole finalement, pour dire quelque chose qui soulagea le médecin : Maintenant j'ai plus envie beau brun. Vas y, fais ce que tu as à faire mais ne m'y mêle pas.
Elle contourna Grigori, quittant la pièce, mais s'arrêtant juste pour se rapprocher une nouvelle fois de son oreille pour rajouter en un murmure : Ce n'est que partie remise.
Lui s'était contenté de déglutir, sans rien rajouter, laissant la Matronne partir.

Il se contenta de prendre l'eau, oubliant ces quelques images, pour revenir dans le salon pour s'approcher du canapé. T'es pas rapide, dis ! Lui lança Hazel sur un ton de reproche, un regard noir plongé vers lui.
J'ai fait une rencontre... inattendue. Excusez-moi.
Hazel et Hobo s'étaient regardés, interloqués par ce qu'il venait de dire. Grigori n'en rajouta pas davantage, appliquant deux mouchoirs mouillés sur la marque brûlante de Malfalia.

Finalement, après avoir rencontré la mère, il était presque content que la fille ne le porte pas dans son cœur.



Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

| Avatar : Ashley Clements

Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 Sans_t20

Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 210704080453538741

| Conte : Anastasia
| Dans le monde des contes, je suis : : Anastasia Romanov

| Cadavres : 7142



Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2017-09-25, 08:30 « Men are such babies »

Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 667537bannsingon2

Anastasia s'était demandée, l'espace d'un instant, si elle ne perdait pas le sens des priorités. Puis elle s'était dit que, de toute façon, il fallait attendre que Princesse Ambrosia rentre au château et que, pour combler cette attente, il n'était sans doute pas interdit de s'amuser. Alors elle avait suivi l'enthousiasme contagieux de Thalia jusqu'à sur la scène pour attraper un micro et reprendre une chanson de Sia sans ressentir de gêne.
Ou presque.
Anya était certes une princesse mais, contrairement à ce que le cliché voulait, elle ne passait pas son temps à chanter avec les petits oiseaux et les écureuils. Elle chantait, certes, car elle aimait cela, mais s'y adonnait en principe en privé, pour Abigaëlle, sous la douche ou en travaillant (ce qui, en fait, était un cliché). A la vérité, elle n'était même pas certaine que Dimitri ait déjà entendu le son de sa voix. Ou peut-être que si mais il n'avait rien dit.
Et pourtant, sur cette scène, elle s'était sentie grisée et n'avait pas prêté attention à l'air sceptique de Carlisle. Il était leur seul spectateur et aussi un inconnu mais l'amusement et la bonne humeur contagieuse de Thalia l'avaient emporté.
- On devrait faire ça plus souvent, commenta-t-elle en descendant de la scène après avoir salué le "public". Le karaoké, je veux dire. Pas la disparition soudaine dans un autre monde quand on avait rien demandé à personne, précisa la rouquine, sans doute inutilement.
Thalia sembla de cet avis mais sembla aussi très intéressée par la fontaine à champagne. Alors Anastasia en profita pour faire quelques pas en direction de Carlisle, se demandant ce qu'elle pourrait bien lui dire une fois à sa hauteur et regrettant que la salle ne soit pas plus grande pour rallonger sa réflexion.
Mais la rouquine n'eut finalement pas à se creuser les méninges car la porte à doubles battants de la salle s'ouvrit sur deux princesses : l'une blonde à la chevelure ornée d'une couronne avec une corne de licorne (ou de narval, allez savoir) et l'autre brune.
Anastasia ne reconnut pas la première mais se rappela immédiatement le visage de Princesse Ambrosia et l'accueillit avec un large sourire. Elle n'avait aucune idée de la personnalité de cette jeune femme, tout comme elle ne connaissait pas ses intentions. Mais elle savait une chose : Ambrosia était l'hôte de ces lieux, ce qui faisait d'elle la personne la plus à même à les renvoyer chez eux. Et c'était tout ce qui comptait, en dépit du bassin à loutres et des mignardises.
- Princesse Ambrosia, je suis absolument ravie de vous rencontrer enfin, déclara-t-elle, le port de tête royal et la diction claire, exactement comme on le lui avait appris quand elle n'était alors qu'une orpheline en quête d'identité.
Ambrosia sembla ravie de susciter autant d'attention. C'était, du moins, ce que son expression hautaine laissait croire.
- Nous vous attendions, déclara-t-elle finalement. Puis-je me permettre de vous présenter Princesse Allegro ?
D'un geste élégant de sa main fine et pâle, Ambrosia désigna la jeune femme blonde qui se fendit d'une révérence et d'un sourire. Anya répondit à ce salut d'un hochement de tête poli mais plus discret.
- J'attendais effectivement du beau monde pour la commémoration du 30e anniversaire de notre victoire lors de la Guerre de la Musique, poursuivit Ambrosia en déambulant dans la salle pour attraper une flûte de champagne vide, et j'ai envoyé des invitations un peu partout mais je ne pensais pas que la Grande Duchesse Anastasia ferait le déplacement. Et que dire de la fameuse Princesse Jasmine ? Je suis une très grande fan. De chacune des deux. Je pense que nous allons nous entendre, sourit Ambrosia, satisfaite.
Anya lui rendit son sourire tout en enregistrant la moindre des informations qu'elle recevait, tâchant d'assembler les pièces du puzzle. Elle en était à un point où il semblait qu'Ambrosia les ait amenés ici, pourtant ça ne collait pas : si elle voulait des princesses, pourquoi aurait-elle inviter Carlisle qui était muselé ?
L'air de rien, la jeune femme poursuivit son enquête.
- J'avoue que je ne connaissais pas le Royaume d'Or, veuillez m'en excuser. Mais mes amis et moi-même étions très intéressés par votre Histoire. Cette... Guerre de la Musique... c'est fascinant. Je n'ai malheureusement rien trouvé à ce propos dans mon royaume. Pouvez-vous nous conter cette histoire ?
Ambrosia ne semblait pas très difficile à convaincre. On devinait à son air satisfait qu'elle était absolument ravie de susciter de l'intérêt et, en effet, ne se fit pas prier pour conter l'histoire de son royaume.
- Oh vous savez, c'est trois fois rien. Il y a trente ans mon papa et la Matrone Noire ont formé une armée pour se combattre et décider qui aurait le pouvoir de la musique. Evidemment, c'est mon papa qui a gagné et depuis les autres - ceux qui ne sont pas nobles comme nous - portent d'horribles muselières qui les empêche de chanter. Enfin... ils peuvent toujours essayer mais c'est très douloureux. Nous en revanche, nous avons le pouvoir des rimes. Vous avez déjà essayé ? Je suis sûre qu'avec Jasmine et Allegro nous pourrions faire de grandes choses, laissa entendre la princesse.
Ambrosia prit la main d'Anastasia pour l'emmener à sa suite. Elle allait prendre celle de Thalia pour faire de même quand son regard snob se posa sur Carlisle. Aussitôt, la princesse se figea et relâcha la main d'Anya.
- Tiens, commenta-t-elle. Et vous êtes ? Je n'ai pas souvenir de vous avoir vu dans l'ABCDaire. Ni ailleurs.

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 TZhEXCT
• Franchement Slo', on a pas besoin de se retrouver dans un parking glauque pour que tu m'annonces que tu me prends comme ton témoin de mariage !
• Ssssssh discrétion Al' discrétion !

♨️

Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 CEitjtJ
• Sloan ? Tu m'écoutes ? Lui là ... je peux le tuer quand tu veux !
• Hum oui oui Dew' ... oui oui


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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2017-09-25, 22:02

Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 GiphyEvénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 Giphy
Impossible n'est pas une déclaration; c'est un défi.


Sans même prendre le temps d’échafauder un plan digne de ce nom, Carlisle s’approcha de la jeune femme, avant de se courber en une élégante et profonde révérence. Il fallait agir, vite, et de préférence en allant dans le sens de la maîtresse de ces lieux.

-Je me nomme Carlisle, je suis le 'jouet' de Mademoiselle Anastasia. Ainsi que son maître à danser.

Les yeux de la jeune femme s’écarquillèrent de surprise dans le dos de la souveraine, ses paupières se mettant à battre frénétiquement, tandis qu’Ambrosia le détaillait de la tête aux pieds avec un air à la fois choqué et surpris. Carlisle était plutôt de leur avis : il n’avait clairement pas l’allure d’un esclave, encore moins d’un esclave soumis comme la pauvre âme qu’ils avaient découvert sagement installé dans son lit. Mais il n’avait guère eue le temps de réfléchir plus avant. De plus, il serait plus facile d’expliquer sa présence sur le plateau de cette maudite émission télévisée, si jamais la princesse avait pu la voir. Mieux valait être prudent….

La princesse Ambrosia changea cependant rapidement d’attitude, se permettant de tourner autour de lui tel un marchand s’apprêtant à acheter une jument. C’était tout à fait dégradant et Carlisle fit de son mieux pour ne pas se dérober ni s’insurger de manières trop visible. Il ne connaissait que trop ce genre d’univers et si lui avait bannit l’aspect sexualisant que pouvait avoir les puissants, il ne demeurait pas moins au courant de ces habitudes. Il dût cependant avouer que la manière qu’elle eut de venir poser sa main sur son torse, s’amusant avec le jabot blanc de sa chemise, lui sembla terriblement déplacé.

-Hm... Tu as bon goût, fit-elle, d’un ton appréciateur, sans cependant se retourner vers Anya, du moins, pas immédiatement.

-Je vous remercie Altesse, répondit-il d’un ton à la fois simple et précieux, humble au demeurant, comme il devait en être du ton d’un esclave.

Visiblement ravie, la princesse se tourna vers Anya, qui eue un sourire, auquel Carlisle répondit d’un regard explicite. Qui ne tentait rien n’avait rien, il fallait jouer le jeux. Fort heureusement, la jeune brune acquiesça, et Carlisle sentit les muscles de ses épaules se détendrent. A peine. Cela demeurait un plan risqué. Le moindre faux pas serait découvert et ils étaient nombreux à pouvoir être commis. Ils ignoraient toujours où ils se trouvaient. Quelles étaient les mœurs de ce pays. Quel rapport entretenait la haute société avec ses égaux. Ses inférieurs. Carlisle ignorait même si les maîtres à danser existaient en un tel lieu ! Peut-être aurait-il du parler de maître musicien, cela aurait été un mensonge encore plus simple à maintenir. Bien que Carlisle soit au demeurant un excellent danseur, ce qui, en l’occurrence, se révéla être une aptitude salvatrice, car à peine eut-elle reposer son regard sur lui que la Princesse Ambrosia, après l’avoir à nouveau longuement étudier, fit une moue extatique.

-Dansons!

-Avec plaisir, répondit-il d’un ton guindé, avant d’effectuer une rapide révérence. Quel type de danse ma Dame souhaite danser?

Ambrosia eue une sorte de moue, sa main se portant à son visage, dont elle se mit à tapoter le menton avec une attitude quelque peu enfantine, voir même adolescente, qui fit songer à Carlisle à ces jeunes filles de bonne et grande famille qui avaient toujours eue à leur service une personne pour réfléchir à leur place.

-Une danse, finit-elle par décréter, peu importe.

Malgré lui, Carlisle eue un rictus, qu’il adoucit en un sourire.

-Puis-je suggérer une valse? proposa-t-il, en conservant son ton à la pefection.

-La valse, c'est très bien acquiesça-t-elle, avant de lever la main, faisant claquer ses doigts, qui résonnèrent dans la pièce. Orchestre. Une valise. Maintenant.

Cette fois encore, Carlisle eue une sorte de rictus, s’approchant de la souveraine avec déférence, mais en commençant une fois de plus à douter du quotient intellectuel des personnes l’entourant….

-Puis suggérer la Valse n°2 de Shostakovich? suggéra-t-il, assez fort pour que les membres de l’orchestre l’entende, et Carlisle jura voir plusieurs regards se tourner vers lui, avec un éclair de soulagement.

La Princesse eue une moue, tournant sur regard vers Anastasia.

-Il exige un peu beaucoup pour un jouet.

La simple mention humiliante de son nouveau ‘titre’ manqua de tirer une grimace à Carlisle, tant il se sentait honteux de s’abaisser à une telle prestation. Rarement dans sa vie il avait autorisé à ce qu’on l’insulte de la sorte, et il venait d’en donner l’idée lui même ! C’était d’un ridicule consommé, un affront sans borne ! A croire que s’être humilié en acceptant de reprendre Antropy dans sa vie ne lui avait guère suffit…

-J'aime les fortes personnalités, justifia la jeune brune, en haussant les épaules.Vous devriez l'écouter.

La souveraine eut une autre moue, avant de retourner son regard vers Carlisle. Avec autant de préciosité que son ‘rang’ le lui permettait, il s’approcha de la jeune femme, venant prendre sa main dans la sienne, avant de les lever à hauteur d’épaule.

-Je ne veux que le meilleur pour Ma Dame, dit-il, avec délicatesse avant de passer sa main sur le contour de sa taille, avec toute la décence que la bienséance demandait.

La Princesse eue un sourire, allant même jusqu’à se mordiller la lèvre. Si elle eue put, Carlisle aurait jurer qu’elle se serait mise à trépigner d’un pied sur l’autre, telle une enfant à qui l’on offre la nouveauté. Ses soupçons se confirmèrent lorsque, appuyant légèrement sur sa main pour la guider, il la vit baisser les yeux vers leurs pieds un instant. Visiblement, la jeune princesse avait du manquer les leçons de valse durant son éducation… Avec la plus grande patience du monde, Carlisle s’évertua cependant à valser avec elle, à l’européenne, pour ne pas faire affront au rang de la jeune femme. Même dans un monde de fou, Carlisle demeurait beaucoup trop respectueux des codes et des règles que la haute société appréciait.

-Mouais, asséna cependant Ambrosia, un peu essoufflée, c'est pas très rythmé tout ça.

La moue boudeuse tira un énième rictus à Carlisle, qui s’écarta doucement d’elle. Ce qui provoqua chez elle une nouvelle moue, presque déçue cette fois…

-Préféreriez-vous une danse moins classique, plus moderne? s’empressa-t-il de demander, conscient qu’il ne fallait jamais mécontenter un souverain, surtout lorsque l’on n’était que domestique.

Après tout, il l’avait été lui aussi, en son temps…

-Je suis sûr que si Princesse Anastasia et Jasmine choisissaient une chanson, nous pourrions danser avec plus de.... Spontanéité.

A la mention de son prénom, Thalia releva la tête, le fixant avec une sorte d’incompréhension dans le regard mais Ambrosia choisit visiblement Anastasia comme valeur sûre pour un tel choix, la prenant visiblement au dépourvu l’espace d’un instant.

-Euh... Shut Up And Dance? De Walk the Monn?

Carlisle n’avait absolument aucune idée de ce qui pouvait se cacher derrière un tel titre- bien qu’il émit quelques craintes, justifiées, il le découvrirait bien assez tôt, mais cela illumina une étincelle dans le regard de la Princesse, qui manqua une fois de plus de trépigner sur place.

-OUAIS ça ça swingue ! s’exclama-t-elle, avant de saisir sans plus de procès Carlisle par le col, en l’entrainant au centre de ce qui s’avéra bien vite être une piste de danse.

La musique éclata tout autour d’eux, envahissant la pièce d’un flot de notes aussi bien instrumentales que vocales, et avant même que Carlisle n’ai pu comprendre par quel espèce de miracle étrange toute la populace habitant le palais entendit ladite musique démarrer, une foule de princesses s’engouffra par les doubles portes d’entrée, et la pièce devint une immense discothèque.

Il aurait très bien pu prétendre que sa place, en tant que jouet n’était pas aux côtés d’une telle figure de prestige, mais dans l’immense bruit de la cohue environnante, il était à peu près sûr que la princesse n’entendrait rien de ses arguments. De plus, le regard vraiment insistant qu’elle posa sur lui, ourlé d’une forme beaucoup trop reconnaissable de fantasme, lui intima de s’exécuter. Carlisle n’eut donc pas d’autre choix que de faire ce que l’on attendait de lui. Danser. Sur de la musique pop-rock.

Grands Dieux.

Il eut cependant le loisir de balayer rapidement la foule, constatant avec étonnement qu’aucune forme de protection n’était à l’oeuvre. Nul arme, pas le moindre garde, encore moins d’hommes en tenue spécifique. A dire vrai, il y avait même très peu d’hommes… A peine une poignée, rassemblée, à quelques mètres de lui. Peut-être eut-il du se mêler à eux, mais son statut de ‘jouet’ ne lui permettait pas, il en avait conscience. De plus, Ambrosia n’avait de cesse de l’observer bouger, ce qui le convainc de plutôt s’intéresser à elle.

-Combien de princesses comptent ce palais, ma Dame? cria-t-il à demi, pour couvrir le trop grand bruit alentour.

Si il devait s’humilier, que cela ai au moins la décence de servir.

-Moi et mes copines qui sont venues en vacances pendant la quête du dragon et la tournée de dédicaces de papa, plus Anastasia, Jasmine, Kida, les autres invités.... En tout ça fait beaucoup !

-Une telle popularité inspire le respect!

De nouveau, il eue une sorte de courbette, qui provoqua chez la jeune femme un immense sourire.

-Il est bien élevé pour un jouet fit-elle à l’intention d’Anastasia, restée non loin d’eux. Bravo. J'espère que vous vous amusez bien au lit aussi.

Une telle réflexion fit pâlir Anastasia, qui se mit à bredouiller.

-Euh... en fait on... non. On fait rien. Pas mon genre, conclut-elle, sans oser regarder Carlisle.

Ce qui ne manqua pas d’évoquer à Ambrosia un sourire des plus explicites.

-Oh bah dans ce cas, minauda-t-elle, en le détaillant à nouveau de la tête aux pieds.

Malgré le frisson qui parcourut sa colonne vertébrale, Carlisle lui rendit le même sourire, consciente que cela devait constituer un ‘honneur’ pour un jouet d’être ainsi remarqué par une princesse. Elle eue l’air d’apprécier, puis elle agita rapidement la main, avant de fendre la foule pour rejoindre son amie blonde.

Aussitôt, Carlisle perdit tout masque, redevenant des plus sérieux.

-Mêlez vous à la foule, posez des questions. Nous devons comprendre dans quel monde nous sommes. Vous aussi, ajouta-t-il, à l’intention de Thalia.

La jeune brune acquiesça derechef, commençant à s’éloigner, avant de soudain pivoter, et revenir vers lui.

-C'était bien pensé votre plan, fit-elle, en souriant avec une réelle douceur dans la voix.

-… Merci. Restez sur vos gardes, reprit-il, à l’intention des deux princesses. Je ne vois pas de garde. Mais nous ne pouvons être sûr de rien.

-Très juste.

Et si il le pouvait, Carlisle espérait bien ne pas être assassiné sur une piste de danse de discothèque, aussi prestigieuse eut-elle été !

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Que les apparences soient belles car on ne juge que par elles.
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Ali Nacer
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Ali Nacer

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| Conte : Aladdin
| Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2017-09-26, 22:49

Alors que Malfalia était inconsciente dans le canapé du salon. Et que j'essayais de convaincre Hazel et Hobo de laisser leur amie entre les mains de son chevalier et de partir à l'aventure pour aller délivrer mon amie la sirène, des vilaines princesses. Mon amie, oui je la considérais comme telle, car elle s'était soucier de moi. Je me sentais redevable et j'étais toujours prêt à aider ceux que je considérais comme mes amis.  Ce fût un échec ! 

 D'un coup , Malfalia se réveillait avec un regard noir. Qui voulait sans doute dire : Réparez-vous au pire ! Elle bondissait du canapé en me bousculant .  Je reculais de quelques secondes, la laissant passer. Je n'allais quand même riposter à son attitude. Parce que je connais quelqu'un qui m'a déjà dit : Une femme c'était pire que les enfers.  Mais je pouvais remarquer que la demoiselle amoureuse des princesses avait disparue, se cachant derrière la frustration. Compréhensif car, même moi je commençais en avoir ras-bol de ces princesses, qui font ce qu'ils veulent à mon égard.  Que c'est toujours moi qui en souffre le plus.  

Mais un jour, je trouverais peut-être une princesse parfaite et différente de celles que je connaissais. Une princesse qui découvrira l'homme sous le costume du Prince.  Sous cette couverture invisible, se cachait cet homme que les bouquins parlaient : le héros qui faisait preuve d' héroïsme et aussi celui qui souriait à la vie.  Pourquoi ? Parce que le rêve bleu n'existait plus.  Parce qu'il a besoin d'une main pour le soutenir, parce que le va-nu-pied est un garçon peu confiant. Il avait trouver cette main, mais celle- ci la lâchée.. Alors si vous êtes déçu par lui, sachez qu'il est redevenu l'Orphelin qui errait dans les rues, survivant du mieux qu'il pouvait.  Parce que comment être heureux, alors qu'il avait du mal a se remettre de la réalité que la fin de son conte n'était qu'un rêve.  
 
Malfalia  était   au centre de la pièce qu' elle commençait  à chanter avec toute sa hargne ,un chant très dur, que tout le monde présent pouvait ressentir  qu'elle avait  perdue  toute sa naïveté d'un coup et qu'elle était prête à la vengeance.  Elle chantait ses paroles : Chanson Je chanterai à en crever, c'est pas du pipeau .Et je brûlerai tout, même votre château. Je ne crains plus rien, pas même cette muselière  Hazel, Hobo, voilà mon cri de guerreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

Moi est-ce que je voulais participer à cette guerre ? J'y participerais à ma manière et simplement parce que je la comprenais. Se faire humilier de la sorte c'était vraiment inacceptable. Ça me rappelait même quelques souvenirs de mon aventure avec Jafar. Et ça me permettait par la même occasion d'aller au secours de Kida.  Alors qu'elle continuait de chanter à tut tête sa rancune. Elle me faisait signe de la suivre.  Je m'exécutais, parce qu'elle semblait avoir un plan dans la tête. À cet instant, elle me rappelait l'homme ingénieux que j'avais été. Celui qu'il pouvait se sortir de n'importe quel trouble, en élaborant rapidement des solutions, parfois farfelues.  Mais depuis quelques temps, ma seule solution était de me terrer dans la solitude, la peine et dans chaque échappatoire qu'il s'offrait à moi .  

Je la suivais de près à travers plusieurs pièces de la demeure.  Elle me tendait pleins de trucs sans ma permission . À ce moment là, elle me rappelait Lena qui faisait les magasins. Et moi qui prenait la responsabilité des paquets. Mais aussi, parce que je le faisais parce que j'étais un homme galant. Et par la même occasion, j'avais le droit à des petites séances d'essayages. Et je pouvais admirer la beauté de la fée.  Lena était d'une beauté à faire baver . Parce que je me sentais bien en sa présence , je pouvais passer qu'au moment présent, sans me soucier du futur. Certes  elle était différente de mon coup de foudre, physiquement. Mais est-ce que le physique était si important pour moi ?  Non ! C'était le feeling qu'elles m'apportaient que j'avais besoin.  Mais je ne rentrais pas dans les détails de mes pensées.  Mais le physique irrésistible de mes princesses était un bonus.   

Alors que je commençais a avoir les bras pleins. Que j' avançais à pas de tortues, parce que ça commençait a devenir lourd et encombrait.  Que quelques objets tombaient sur le plancher. J'avais même du mal à voir Malfalia, parce qu'elle empilait dans une montagne,  tous les accessoires qu'elle avait besoin.  Tout en faisant ses emplettes dans la maison , elle continuait de chanter à haute voix . Il faut croire que je suis bien la fille de ma mère. En tout cas j'ai pris goût à ma colère. On ira au château en infiltration . Pour les mener à la destruction.  Elle était en train de me dévoiler notre plan de guerre. Je ne pouvais pas m'empêcher de faire apparaître un rictus amusé et enthousiasme. Parce que ça me rappelait mon propre plan, quand j'avais voulue introduire le palace du Sultan, avec mon déguisement de Prince pour me rapprocher de la Princesse.  Donc l'idée d' infiltration me plaisait. Détruire par contre ? C'était une autre histoire. J'étais pas vraiment pour la destruction.  Parce que ça me rappelait Jafar, qui avait détruit Agrabah. Heureusement j'avais pu arranger la boulette du sorcier avec un vœu.  

Soudainement, la demoiselle  poussait  un gémissement à cause de sa muselière qui irradiait  mais elle l'ignorait et continuait  de chantonner  en se baladant dans la maison. Je pouvais voir  que la muselière semblait avoir de moins en moins d'effets comme si elle était immunisée. À moins que la mademoiselle avait un taux de résistance à la douleur très élevée.  Puis elle terminait sa chanson, sur une finale digne des chansons des vilains de Disney. Et tant qu'à faire . Leur déclarer la guerre !!!!!!!!!!!!!!!!!


 Elle semblait un peu  essoufflée mais elle avait  l'air contente d'elle. Ça se comprenait , préparer  un plan de vengeance, ou même un plan pour sauver un royaume. C'était épuisant , mais est-ce que ça en valait le coup ? Elle repart dans une autre pièce, revient et te tend un nécessaire à couture. Elle demande : - Tu sais coudre ?

Si je savais coudre ? Vous allez peut-être croire que c'est un mensonge. Mais oui je savais coudre. Peut-être pas comme un professionnel, mais je fréquentais quand même une des meilleures créatrices de Storybrooke: Lena. J'étais même son mannequin de ses créations masculines.   Donc elle m'avait appris quelques techniques.  Et en l'observant travailler sur ses tissus, ça pouvait s'avérer utile, comme en ce moment.  En plus, croyez le ou pas, mais j'aimais bien la mode. La preuve, je suis un homme qui aime porter des bijoux. Et pour les femmes j'aime un peu tout, mais si un jour je devrais voir mes princesses en robe, ça serait une sorte de paradis. Mais je l'avoue aussi la lingerie féminine, surtout celle ou il a du voile et de belles couleurs pastels.  Je répondis donc à la demoiselle :  Je me débrouille, dans mon monde , j'ai une copine qui est créatrice de mode.   Puis quand elle retournait au salon,  je me rendis a mon tour dans le  salon, ou tout le monde était , déposant tout  dans le canapé . Elle me donnait l'ordre de lui coudre une robe  : Parfait, alors tu couds des paillettes sur cette robe et tu fais ça BIEN. On a une guerre à mener, ça déconne plus là, capiche ?  Je n'aimais pas de la façon qu'elle m'abordait. Parce que je commençais en avoir marre des princesses qui me mènent par le bout du nez.  Mais j'allais garder mon sang froid. Je lui répondis : Oui je te fais ça volontiers, parce que moi aussi j'ai un problème de princesses .  Je voulais bien l'aider avec son problème de princesses, parce que moi même j'avais des soucis avec des demoiselles. Je compatissais.  Je m'assis dans le canapé, prenant la robe qu'elle m'avait tendue. Le tissus en paillette que je découpais avec la paire de ciseaux, pour ensuite commencer à coudre. Mais cette histoire de vouloir se faire une robe de conte de fées, m'intriguait. Parce que j'avais toujours rêver me rendre à un bal. A une réception princière. Parce qu'aujourd'hui la mode  et les fêtes n'avaient plus vraiment rien de magique.  Je lui répondis :  - Je peux en savoir plus sur le plan ? On va se déguiser ..? Tout excité à l'idée de se déguiser, s' infiltrer dans un château, délivrée Princesse Kida.  Je la regardais d'un air très intéressé avec des yeux pétillants d' enthousiasme à l'idée de porter un déguisement . Mais Malfalia me regardait de travers.  Je ne comprenais pas, parce que moi l'idée de jouer un rôle me plaisait. Par la suite Malfalia  arquait  un sourcil suite à ma question et elle répondait :  Tu crois qu'on va au bal masqué ohé ohé ? Non mais là c'est la GUERRE ! Par contre ouais, tu vas te couvrir un peu plus parce que j'aime pas les nudistes.

Je lui répondis en ricanant: Un bal masqué, ça serait super pour vrai. C'est pas le genre d'événements qui a chez moi.  Puis je soupirais quand elle me parlait de guerre. Toujours la guerre, les baffes et la vengeance avec ses femmes.  Elle voulait que je me couvre, elle m'aimait pas les nudistes. Tant pis pour elle, je monterais mon corps a une femme qui va m'aider réellement pour ce que je suis. Mais j'avoue que j'aimais bien me sentir à mon aise. Mais là c'était pas le moment de se mettre tout nu.  Et j'en avais pas envie parce qu'il a aucune princesse intéressante dans le coin.    Parce que mes princesses je les choisis par coup de foudre.  Et je fantasme toujours un peu. Et là je fantasmais pas du tout. 

Pendant je continuais à coudre ses petites paillettes. Malfalia farfouillait dans la pile de fringues que j'avais mis sur le canapé avant de sortir une tenue : Tenue 

Puis Hobo qui avait été silencieux jusqu'à ce moment là. Reconnu ses vêtements et commençait à râler : Eh mais c'est mes fringues ! Il ne rajoutait rien par la suite me laissant  les prendre. Je mettais la robe sur mes genoux, pour je pris les fringues du petit gars pacifique, avec dégoût. Quoi elle me faisait porter encore des vieux vêtements qui avait une ressemblance avec ma tenue de Va-Nu-Pied. Pourquoi je devais toujours finir comme un pauvre. Je pouvais m'amuser pour une fois, et avoir droit à un déguisement de Prince ? Non il faut tout le temps qu'on décide pour moi. Qu'on prenne le contrôle, même le contrôle sur mes envies.  Pas question que je porte ça ! Je préfère garder ma tenue de va-Nu-pied que des fringues usés d'Hobo. Malfalia venait de me démotiver à la suivre dans cette guerre. Parce qu'elle allait porter sa sublime robe que j'étais en train de lui fabriquer, parce que je m'y connais moi aussi en princesses. Et en tenue de femmes.  Puis elle venait rajouter une couche à ma frustration quand elle se tournait vers le vieux.  Décidément la demoiselle avait des étranges goûts, mais bon chacun son truc. C'était peut-être de famille d'aimer les vieux sorciers.  Elle lui disait : Toi, Ra-Ra-Raspoutine, c'est ça ? Tu vas être mon prince. J'ai décidé que je serai une princesse couguar. C'est pas négociable et t'as déjà la tenue pour.. Découragé par la situation. Je me taisais un moment pour les laisser vivre leur petit moment intime ou il se courtisait. "Pourquoi devez-vous vous habiller en félin ? Ce royaume est important par ici ?" lui disait le Papy. Je fis une grimace quand elle disait couguar. Une princesse couguar c'est quoi ? Elle voulait que je rajoute de la fourrure en plus des paillettes ?  Il me fallait des précisions sur ce qu'elle voulait dire par là, mais j'étais pas d'humeur, je jetais vaguement un coup d'oeil à ma future nouvelle tenue.  Si j'étais obligé de porter ça. J'espère que j'aurais un lot de consolation dans le genre, faire la connaissance d'une magnifique princesse. Ou me trouver des vêtements beaucoup mieux en fouillant dans le château. Parce que moi détruire non merci .  Moi je suis un sauveur, pas un destructeur Mais finalement si elle voulait un thème couguar, ça collait bien avec le vieux.  

Malfalia regardait son '' Prince'' d'un air de se demander si il était  pas bébête en fait et  elle lui disait  OK donc je serai une princesse couguar qui aime les crétins. Pourquoi pas.  Elle aimait les crétins, tant mieux ! Ça prouvait juste que j'en étais pas un. Et toute façon, après tout elle était peut-être mieux avec son sauveur. Je jetais un regard rapide  à Hazel. Toute façon j'aimais mieux être  avec la sauvage rouquine qui me donnait du fil à retordre. Au moins avec elle, c'était torride et dangereux.  Et j'aimais bien les femmes coriaces qui donnait des baffes. Et en plus une princesse rebelle c'est tout à fait mon genre. Mais je voulais quand même mon costume. Oui j'étais têtu. Ça vous étonne? C'est parce que je suis seulement soumis aux femmes qui me plaisent et à personne à d'autres.  Je m'arrêtais de coudre parce que c'était toujours les autres qui avaient tout. Et moi j'avais quoi ? Rien du tout ! J'avais tout perdu .  À ce moment là , que Papy n'allait rien rajouter à la réplique de sa  féline, car il ne comprenait pas ou elle voulait en venir avec cela. Mais il comprenait qu'il ne valait mieux rien dire. 

Hazel venait de me jeter un regard remarquant que j'avais arrêter ma tache et commençait à me râler après: Comme toutes les femmes de ma vie.  Décidément le Royaume d'Or n'était pas si différent de Storybrooke. Il avait toujours des princesses pour me radoter après. Elle me disait d'un ton sec : Oh Soldat ! On s'arrête pas en aussi bon chemin! On a qu'une nuit pour tout préparer !  Une nuit , je sentais que la nuit allait être longue. Qu'on me prenait déjà la tête.  Et en plus elle venait me provoquer en plus.  

Un moment  donné il faut me lâcher, surtout quand je suis en train de bouder et surtout quand je suis une mauvaise phase.  Je lui répondis :  Excuse moi la croqueuse de princesses , mais le soldat doit se taper tout le boulot , le soldat mérite mieux que les vêtements de ton petit ami docile.  Je parlais de sa relation avec Hobo. Une relation qui me rappelait un peu la mienne, celle que j' entretenais  avec ma colocataire. J'étais le Hobo et elle était la Hazel.  J'ai eu un mini sourire à ce moment là. Pourquoi ? Parce que même si j'étais en froid avec Mina. La seule qui pouvait réellement me faire souffrir c'était elle. À cause de mon commentaire hobo avait l'air outré et ripostait: OH JE SUIS PAS SON PETIT OK ? Il  reprenait par la suite d'une manière  plus calme : On est juste potes.  Hazel et Hobo avait le même problème que moi et ma colocataire. Il avait du mal a communiquer. Parce que je suis convaincu que le garçon avait des sentiments pour la croqueuse de princesses.  Sinon pourquoi il serait toujours avec elle, à faire ses moindres petits désirs. Surement parce qu'elle était parfaite à ses yeux.  Mais bon j'aimerais bien l'aider mais j'ai été du mal à gérer ma liaison semblable . Je ne serais pas de bons conseils .

 Puis je lui disais : Moi je ne suis pas convaincu de ça, le seul conseil que je peux te donner c'est ne lui dis pas que tu l'aimes.  Parce que les femmes dans leur genre, ont peur de ce mot .  Par contre revenons à mon problème : moi si je dois vous suivre dans votre guerre je réclame un costume aussi cool que le papy

Puis Greg décidait de se mêler de tout ça en toussant  pour pouvoir dire quelque chose. Quoi c'était si difficile de me donner la chance de me déguiser en Prince.  Puis il disait : Lorsque..." Puis il  soupirait , en disant dire quelque chose qu'il n'allait  pas aimer, car cela lui rappellerait un  mauvais souvenir . "Lorsque Raspoutine a massacré la Russie, Anastasia n'avait pas réellement le temps d'aller chercher ses robes impériales. Elle s'est contentée de vêtements ordinaires et à vrai dire, c'est un détail qui n'a aucune importance dans l'histoire" 

Il me parlait d'Anastasia. C'est qui elle ? Ah oui ! La rouquine super brillante que j'ai rencontré en Russie pour la mission conquête à la Princesse. Une mission suicide pour ma part. Et je m'étais toujours pas remis de cette aventure. J'avais gardé des séquelles physiques et mentales.  Mais pourquoi ? Il me parlait d'elle. Ce n'était pas d'elle qui était question, mais de moi .  Je suis vraiment loin de penser de la même manière que la Princesse.  Donc pour moi cette petite histoire n'allait pas me raisonner. Malfalia allait opiner et ajouter à la réplique de son amant : - Bien parlé, Ra-ra-raspoutine, lover of the Russian queen. Mais moi je dois être une princesse sinon on pourra jamais s'infiltrer et faire chuter la monarchie.

Elle pouvait être une princesse, si elle voulait. C'était pas ça le problème. Le problème c'était que toujours les même qui s'amusent. Et en plus elle ne prenait même pas en compte que c'était moi le pro du déguisement.  Puis Papy nous sortais encore sa morale pour me raisonner en disant: - Je me suis occupé de toute une famille impériale qui n'avait pas autant de prétention, jeune homme. Etre prince, ce n'est pas une question d'apparence. Si c'est tout ce qui compte pour vous, cela justifie le fait que vous ne pouvez justement pas en être un.  


Je n'avais pas le gout d'être spécialement un Prince. D'épouser une princesse. Parce que Mina était une Princesse ? Non pas du tout ! Et pourtant j'avais envie d'une fin heureuse avec elle et d'avoir tout ce que j'avais désiré avec Jasmine : Une famille, un mariage. Tout ce que je voulais c'était avoir un peu de plaisir. M'amuser en jouant un rôle. M'inventer une vie. Ça je le faisais déjà mais c'est encore mieux déguiser en Prince.  Mais la réalité n'avait rien d'amusant, parce que c'est toujours les même qui s'amusent.  Puis Malfalia va rien dire pendant un moment, elle reprenait le tissus et le nécessaire à couture et elle avait les mains qui tremblaient.  Je me disais : - Je croyais que le Prince Ali ce fichait de son apparence, et acceptait d'être celui qu'il était ! Je suis déçue. 

Je rajoutais à sa réplique :  -Le prince Ali se fiche de son apparence , c'est les autres qui n'acceptent celui que je suis. Le rêve bleu à deux a anéanti le Prince Ali.  Puis  Malfalia  tournait  les talons .  Je me levais d'un bond me précipitant vers elle, pourquoi ? Parce que simplement parce que je pensais à un souvenir , celui de la plage. Je renvoyais le visage de ma Princesse dans ma tête.  Ce qui me donnait un espoir. L'espoir que je devais agir en Héros, parce que après tout je suis un sauveur de Royaume. Un sauveur de Princesses en Détresse. Et parce que je crois que celle que j'aimais aurait aimer que je vienne en aide a Malfalia et sa petite clique.  Une Princesse pour me motiver ? Oui il me faut une princesse pour me motiver à me bouger. -  Je veux bien t'aider..

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 Jnve
C'est pitoyable! Le fameux  Sauveur d'Agrabah qui se cache . 
Regarder ce qu'est devenu le grand Aladdin, dire que tu aurais pu échapper a ce destin. 
 C est quand tu es devenu un héros que tu as commencé a décliner. 
Et c est toujours ce qui arrive au héro . C est le sort qui leur réserver. 
Tu donnes et donne.  Et pourquoi ?  Il cueille les fruits, il coupe les branches.  
Et tout ce qui reste c est cette source tremblante. 
 C est pour ca que l histoire d un héro ne se termine jamais par cette formule.
  Et ainsi ils vécurent heureux pour toujours , fait attention a toi Aladdin ! 


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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2017-09-27, 01:12


A heart full of love

La salle si calme était devenue une sorte boîte de nuit de luxe où seuls les clients VIP auraient le droit d'entrer. Partout, des princesses dansaient, chantaient, remuaient leurs longs cheveux et poussaient des cris de joie à chaque changement de musique. Et j'arrivai à comprendre pourquoi. Il y avait dans l'atmosphère quelque chose qui donnait envie de se déhancher, de se laisser aller. Mon pied tapait le sol en rythme, tandis que je devais me retenir pour ne pas rejoindre la masse humaine qui levait les bras vers le ciel en sautant sur place dans un même mouvement. Le karaoké avec Anya avait aidé à mettre dans l'ambiance, aussi. Le temps était à la fête. Il fallait être franchement rabat-joie pour ne pas apprécier au moins un tout petit peu cette "princess party".

Je vais aller faire un tour prêt de ce qui doit être le mini-bar. Les esprits alcoolisés ont tendance à avoir la langue bien pendue.

J'adressais un clin d'oeil complice à Anya et Carlisle, avant de tourner les talons et de me frayer un passage entre les danseurs et danseuses pour rejoindre enfin la table drapée d'une nappe rose pailletée sur laquelle trônait la fameuse fontaine à champagne.

Tendant la main vers une coupe encore vide, que je m'apprêtais à remplir, je fus soudainement coupée dans mon élan quand des doigts se refermèrent avec douceur mais fermement sur mon poignet. Surprise, je croisais le regard de Princesse Allegro, qui m'adressa un sourire amical. Que je lui rendis, bien entendu. Cette femme portait une couronne armée d'une corne. Je préférai m'en faire une amie qu'une ennemie. Allez savoir pourquoi.

- Voyons Jasmine, les efforts physiques, c'est pour les faibles. Ici, on fait tout en chantant, c'est bien plus marrant! Regarde, je te montre!

Sous mes yeux ébahis, elle vida son verre de cocktail au liquide bleu d'une traite et le leva nonchalamment, une fois qu'il fut vide, en chantant des vocalises dignes d'une princesse. Le verre se remplit alors tout seul. Pouf! Comme par magie. Allegro le porta alors à ses lèvres, sans se départir de son petit sourire qui semblait satisfait de l'effet que son tour me faisait.

J'étais désormais dans l'obligation d'essayer. C'était bien trop tentant. Levant à mon tour ma flûte de champagne toujours désespérément vide, je me raclais la gorge et laissais échapper quelques notes aiguës, copiant celles qu'avait chantonné l'autre princesse. À ma grande surprise, du champagne à la belle couleur dorée apparu dans mon verre. Honnêtement, je n'aurai jamais pensé que j'allais y arriver du premier coup!

- Tu as ça dans le sang ! Viens on va draguer!

Le sourire aux lèvres, je me laissais entraîner par Allegro qui avait attrapé ma main et qui remuait déjà tout son corps au rythme de la musique pop qui passait, son verre levé au dessus de sa tête. Je fini rapidement le mien pour m'en débarrasser et me mit à mon tour à danser. Je me secouais dans tout les sens, faisant voler mes cheveux dans les airs et me déhanchant comme une danseuse du ventre. J'en profitais tout de même pour me rapprocher de la blonde, afin qu'elle m'entende malgré la musique. Même si on s'amusait bien, j'avais quelques questions qui attendaient avec impatience une réponse.

- Chanter est tellement magique ici! Il a d'autres tours comme celui du cocktail à connaître?

La musique n'avait jamais eu autant d'utilité qu'ici. Et pourtant, j'étais une princesse Disney. Je chantais mes émotions. Pour de vrai. Et j'avais toujours pensé que c'était un peu trop exagéré.

- Oh mais y en a plein ici! Tu peux faire tout ce que tu veux avec tes cordes vocales ! Pourquoi est-ce que tu crois qu'on a muselé tous les sbires de la Matrone Noire et leurs descendants ? Ils ont perdu la Guerre de la Musique, faut qu'ils assument ! La classe, on l'a ou on l'a pas !

Elle me fit un clin d'oeil, auquel je répondu par un sourire complice. J'approuvais le coup de la classe qu'on a ou pas. Concernant la guerre et les dégâts qu'elle avait causé... j'étais moins fan, par contre.

Je me retrouvais tout à coup à tourner, bras tendus, les mains d'Allegro tenant les miennes tandis qu'elle nous faisait danser d'une manière qui donnait très légèrement mal au coeur et qu'elle se remettait à chanter.

"Une robe assassine
Des talons trop grands
Sur ma bouche dessine
Tous mes désirs en chantant

Un parfum me vole
Mon autre, troublant
Cette envie qui me colle
A la folie comme un gant

Moi je suis une princesse
La reine de ma rue
Oui je suis une princesse
Ennemie du temps perdu
Une femme à la recherche
A la recherche d'un aimant
Pour ma peau
Pour danser mille et un tango"


Quand elle prononça le dernier mot du couplet, elle me lâcha alors que nous prenions de la vitesse, ce qui me fit attérir dans les bras d'un parfait inconnu, tandis qu'elle même tombait dans ceux de Carlisle, avec un sourire qui voulait tout à dire.

Dès que je retrouvais mes repères, je m'écartais aussitôt de l'inconnu, passait une main dans mes longs cheveux bruns et lançais un regard à Allegro rehaussé d'un haussement de sourcils pour répondre à son sourire. La princesse avait des plans un peu extrêmes, mais je l'appréciais. Elle était peut être un peu trop superficielle à mon goût. Mais je m'en serai bien fait une amie, pour le coup.

Laissant Allegro dans les bras du soit disant jouet d'Anya, je reportais toute mon attention sur l'homme qui m'avait rattrapé pour lui adresser mes plus plates excuses. La politesse était quelque chose qui me tenait à coeur. Surtout quand la personne se trouvait être charmante au possible et au sourire éclatant comme on en fait rarement.

- Excusez-moi, je ne voulais pas finir dans vos bras. Même si vous étiez là au bon moment. Merci de m'avoir empêché de tomber de manière ridicule devant tout le monde. Je peux vous remplir un verre en chantant pour vous remercier comme il se doit?

Avec un battement de cils, ma marque de fabrique pour jouer les princesses à l'apparence ingénue mais qui en fait a une idée de la batte, je lui adressais mon plus beau et charmant sourire. Il fallait que je récolte quelques informations. La princesse à corne étant occupée ailleurs, Monsieur était tout désigné pour m'informer. Et quoi de mieux que quelques verres pour le mettre à l'aise?

Même si, apparemment, il n'en avait pas tellement besoin pour se prendre au jeu.

- Princesse, tu peux faire tout ce que tu veux avec moi. Un verre, deux verres,... je suis ton homme.

Eh bien... C'était du rapide. J'avais à peine eu besoin de faire ma tête de niaise pour qu'il se mette à baiser galamment ma main en faisant une courbette. Ah. Et à chanter, aussi. Parce qu'après tout, pourquoi pas?

- "Le coeur au bonheur, le coeur aux chimères,
J'ai peur de la mettre en colère.
Mon dieu! Pardon!
Je ne sais même pas votre nom,
Chère mademoiselle.
Je suis fou! Qu'elle est belle!"


Il me faisait des compliments. Et en plus, il me chantait un morceau des Misérables. L'homme parfait existait peut être, finalement. Comment résister à l'envie de suivre son exemple et de me laisser aller à quelques envolées lyriques?

- "Ne dites rien!
Votre coeur tremble,
Comme le mien!
Le coeur en extase,
L'espace d'une nuit,
Fleur au jardin du paradis.
Êtes vous le prince que j'attendais?
C'est un rêve?
Non, c'est vrai."


Je venais d'entrer dans son jeu de séduction. Ce qui n'était peut être pas la meilleure des idées. Mais impossible de faire taire mon amour pour cette chanson. Même si ça voulait dire que j'allais probablement devoir briser les rêves du bel inconnu.

- Cette façon de draguer m'avait manqué, en fait. Tout passe tellement mieux en musique.

Oh oui. Avec un petit rire, je fis une révérence polie comme toute princesse devait sûrement le faire pour se présenter. Du moins, c'était comme ça que ça se passait à mon époque. Les temps avaient dû changer. Et penser ça me donnait l'impression d'être bien trop vieille.

- Princesse Jasmine, enchantée. Je dois t'appeler Prince ou tu veux bien me chantonner ton nom?

Nous avions chanté ensemble. Il n'allait sûrement pas se vexer si je me mettais à le tutoyer. Surtout qu'il se permettait déjà quelques familiarités.

- James. Mais tu peux m'appeler comme tu veux. Je peux être tout ce que tu veux, même ton Aladdin.

Il voulait sûrement avoir l'air sexy en disant ça, mais il récolta juste un grincement de dents.

- Je préfère que tu sois mon James pour ce soir, et qu'on évite de faire un rêve bleu ensemble, merci bien.

C'était bien moins fun que ça en avait l'air. Pour faire dévier la conversation sur un autre sujet, je passais mes bras autour de son cou et danser langoureusement contre lui. En espérant que la vue de mon décolleté n'allait pas trop lui embrumer l'esprit. Il devait voir que ça.

- Ici, personne n'a de tatouage moche dans le cou. On invite pas les petits gens du peuple aux fêtes? Jamais?

- Ici on est des winners. Et tu sais ce que disait ABBA? The winner takes it all, the losers standing small. Besides the victory, that's our destiny.

Et c'était reparti pour un tour. Heureusement que c'était du ABBA. Il me prenait par les sentiments, là.

- "The winner takes it all
The loser has to fall
It's simple and it's plain
Why should I complain."


Et de nouveau, je ne pouvais pas m'empêcher de chanter en concert. Il était temps de partir, avant de se lancer dans un autre duo. Je me détâchais de James et lui adressais un sourire en coin, en faisant lentement glisser ma main le long de son bras.

- Excuse moi, mais je dois aller parler princesse avec une amie. On se revoit plus tard, d'accord?

Je lui fis un clin d'oeil plein de sous-entendus, avant de tourner les talons le plus vite possible et de rejoindre Anya qui semblait être disponible. Parfait. Je passais mon bras sous le sien pour l'attirer contre moi afin de pouvoir lui parler en toute tranquillité.

- Alors ? Tu as eu des infos intéressantes ? Moi j'ai découvert qu'en chantant je pouvais faire apparaître des boissons à volonté. Et ça, c'est chouette.

Impossible de m'empêcher d'être fière de mon coup. Chanter n'avait jamais été aussi pratique! C'était quelque chose que j'aurai aimé avoir dans notre petit monde à nous. Par exemple pour obliger des animaux des bois à faire le ménage à ma place ou pouvoir faire voler le savon tout seul pendant ma douche.

- Waouh... c'est original. Pratique en cas de sécheresse, je suppose. Tu sais si chanter fait d'autres choses?

- Allegro m'a fait comprendre qu'on peut faire tout ce qu'on veut dès qu'on se met à chanter. On peut même s'en servir pour draguer, ça a l'air de bien marcher.

C'était juste une info comme une autre, bien entendu.

- J'ai tout ce qu'il me faut à la maison de ce côté, mais c'est bon à savoir. Donc j'imagine que c'est pour ça qu'ils ne veulent pas que la masse chante ?

- J'en ai l'impression. Cette histoire de guerre m'intrigue, d'ailleurs. C'est tiré par les cheveux et assez original pour être le synopsie d'une série sur Syfy.

Une série que j'aurai pu regarder, d'ailleurs. Du bling bling, des princesses, du chant et une guerre. On tenait là une idée qui pourrait faire exploser les audiences, j'en étais certaine.

- Je vais en informer Carlisle.

Ah oui. J'avais oublié qu'il était probablement toujours aux prises avec Allegro. Je ne comprenais pas pourquoi toutes les princesses en avaient après lui. Il était en tout cas bon à savoir que si les choses tournaient mal, il suffirait de le balancer à la foule déchaînée pour gagner un peu de temps.


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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 Original

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2017-09-27, 23:10


Sing On


Kida avait eu le temps de voir Malfalia commence à chuter mais au moment où elle avait voulu se précipiter pour l'aider, quelqu'un lui avait attrapé le poignet et elle se rendit compte qu'elle se dirigeait à présent vers une fenêtre. Désemparée et légèrement énervée, elle se mit à regarder autour d'elle. Il n'y avait plus que les princesses avec elle et elles lui souriait. Elle semblait être dans une chambre richement décorée, avec un lit en baldaquin et des ornements qui brillaient de mille feu. Mais plus aucune trace de son groupe...

- On te laisse t'occuper de notre nouvelle amie et vous nous rejoindrez plus tard.


Elle s'était retourner pour voir qu'il ne restait plus qu'une seule fille avec elle. Elle sentait une colère froide monter en elle. Ces filles étaient affreuses, elle comprenait à présnet pourquoi Hazel ne les portaient pas dans son coeur... elles avaient la méchanceté gratuite et avait volontairement porté atteinte à Malfalia, sans aucun doute, uniquement pour s'amuser. Pourtant, sa colère n'était jamais explosive. D'une voix glaciale mais posée, elle lui demanda alors :

- Où est Malfalia ? Qu'est-ce que vous lui avez fait ?
- Faut pas t'inquiéter pour elle, elle va s'en remettre. Les gens de son espèce sont pires que de la vermine. On lui a simplement fait croire qu'elle n'avait plus de muselière donc ça a un peu piqué.
- C'était tout bonnement inutile de lui faire ça...

Le bien et le mal étaient des notions plus que floues pour les Atlantes. Il n'y avait pas vraiment de bien et de mal, il y avait la Nature, les valeurs et l'utilité. Pour le respect de leurs croyance et de leur déesse Mère Nature, ce peuple ne chassait pas pour chasser, ne cultivait pas pour cultiver. Tout était entièrement calculé pour qu'il nourisse un but, afin de toujours former le cycle de la vie. Lorsqu'ils tuaient un jaguar d'eau, c'était pour se nourrir ou se protéger, jamais pour le simple plaisir de faire du mal. L'idée même de voir ces trois princesses faire une chose aussi inutile que de blesser Malfalia relevait d'un crime, d'un geste immonde. Elle ne les avait pas attaquées, bien au contraire, elle s'était montrée charmante et ravie de les voir... tout cela n'avait été qu'ignominie.

- Mais c'est ce qui est bien quand on est une princesse : on fait des trucs inutiles. En parlant princesse, je suis Opal. Et tu es Kida, ta réputation te précède.

Elle avait haussé les épaules pour la première partie de sa phrase avant de se diriger vers une grande malle pour farfouiller dedans à la recherche d'une robe pour elle. Elle lui sorti une robe bleue, aerienne, qui lui rappelait le genre de tissu qu'elle portait dans sa Cité, notamment la nuit avant d'aller se coucher. Le tissus était quelque peu transparent mais un savant assemblement de couche permettrait de garder son corps à l'abri des regards indiscrets. Elle lui posa ensuite des bijoux dorés qui servaient généralement dans son monde à sangler les tissus au niveau des épaules et de la taille. (et pour ceux qui voudraient voir à quoi ressemble ce type de coupe sur Saoirse : click)

- Si ma réputation me précède tu dois savoir que je ne fais rien d'inutile et sûrement pas provoquer la souffrance.

Elle fit un signe de tête en direction de la robe.

- En quel honneur ?
- Bah pour le gala. C'est bien pour ça que t'es venue au Royaume d'Or, non ? Le gala c'est demain, là c'est la répétition générale pour ne pas être ivres mortes le bon jour.

Donc elles se soulaient à l'excès la veille pour être sûr de retenir leurs pulsions... Humpf... ce monde était vraiment abominable... l'excès était une déviance, signe même que l'inutilité était le maître mot.

- J'ignore comment et pourquoi je suis venue... je me suis faite emporter contre ma volonté.

Elle regardait la robe d'un air peu enthousiaste. Elle n'avait clairement pas envie de s'amuser, elle avait juste envie de partir retrouver ses camarades Muselés afin de les aider à en finir avec cette Tyrannie et rentrer à la maison avec ceux qui s'étaient également fait envoyer ici contre leur gré.

- Oh c'est pas grave si t'avais pas prévu de venir, une fête ça reste une fête, c'est cool. Puis tu vas prendre froid avec cette tenue.
- J'ai rarement froid.

Une autre façon de dire "NON" en somme. Tout en disant la vérité. La Surface était parfois si froide qu'on l'on appelait l'air environnant "Hiver" mais cela n'arrivait que quelques mois dans l'année... et dans ce monde, ils n'étaient clairement pas en hiver. L'une des filles qui les avaient abandonnés venait de brusquement passer la tête par la porte de la chambre et tandis que Kida sursautait à cette intrusion, la jeune princesse criait d'un air surexcité :

- Y a princesse Anastasia et princesse Jasmine qui sont venues !!!!!!!!!!!!! C'est pas trop cool ça ???? Je pensais pas que ça viendrait d'aussi loin.

La nouvelle fut comme un électrochoc pour Kida. Elle n'était pas la seule ... "princesse" à être arrivé dans ce monde... il y en avait deux autres... Elle ne pouvait pas les laisser ici. Il fallait qu'elle les retrouve et qu'elle les prenne avec elle... en espérant qu'elles n'étaient pas aussi mauvaise que les autres. Se rappelant de ses talents d'actrices qu'elle avait su utiliser pour mener Egéon à son piège, elle finit par se tournver vers Opal avec un sourire radieux et des yeux qu'elle espérait fortement brillants :

- Mais c'est fabuleux ! Nous sommes toutes réunies !! Tu aurais du le dire plus tôt !! Attends moi deux secondes !!

Elle attrapa la robe et ses attaches et se refugia derrière le paravant à la vitesse de l'éclair. Elle se changea, rangea ses vêtements dans une poche intérieur de sa robe qu'elle avait réussi à faire avec l'un des pans de la robe et cala sa lance au milieu de son dos, sous le tissu de la robe. Elle ressortit de là en tendant une brosse à Opal en lui demandant si elle voulait bien s'occuper de ses cheveux. Ce qu'il ne fallait pas faire de futile pour se faire accepter du groupe ! Une fois que la jeune femme lui eu ramener ses mèches de devant en arrière enroulée et où elle avait planté des fleurs bleues, les deux jeunes filles descendirent enfin dans la salle de bal ou la fête battait son plein.

La musique résonnait dans toute la pièce. Une [urlhttps://www.youtube.com/watch?v=UxxajLWwzqY]musique[/url] rythme, plutôt électropop qui poussait les princes et princesses de la pièce à hurler le refrain en même temps que la musique "I-DON'T-CARE... I LOVE IT !" tout en sautant comme des malades. Kida prit une grande inspiratio avant de se tourner vers Opal qui avait déjà un verre à la main et se trémoussait. Elle l'observa avec une expression surexcitée avant de lui dire :

- Je ne vois pas Anastasia... où est-elle ?

La princesse lui désigna une rousse qui semblait parler avec d'autres personnes.

- Tu m'excuses ?

Sans lui laisser le temps de répondre, Kida la planta là et se dirigea d'un air plus que décidée vers la jeune femme. Elle attendit patiemment qu'elle termine sa conversation pour lui dire :

- Anastasia ? Bonjour, je m'apelle Kida... est-ce que toi aussi tu t'es évanoui à Storybrooke pour te retrouver dans cet endroit ?
- Ca a au moins le mérite d'être direct... Oui, c'est à peu près ça. J'ai mis une couronne et pouf ! Donc... toi aussi ?

Elle avait cligné des yeux sur le coup de la surprise. La jeune atlante se doutait qu'elle avait peut-être était un peu trop abrupte mais elle n'avait pas vraiment le temps de lui expliquer les choses par quatre chemins, assise sur des licornes en buvant du thé.

-Oui... moi aussi... Ce monde est ignoble... il faut qu'on fasse quelque chose et qu'on s'en aille... je ne suis pas seule, deux personnes ont été ramené également, Prince Ali Ababoua et...

Elle se stoppa soudain, et cligna des yeux quelques secondes tandis que les connexions se faisaient dans son cerveau.

- Mais c'est TOI le bébé Anastasia !! Tu dois connaître la seconde personne, je pense que tu as quelques problèmes avec lui quand tu étais un nourrisson, c'est que ce Malfalia tentait d'expliquer... Raspoutine, ça te dit quelque chose ?
- En fait les problèmes on les a eus plus tard mais oui je connais TRES BIEN Raspoutine. Et je vais avoir deux mots à lui dire, il a déjà fait le coup la dernière fois.

D'accord donc c'était officiel, Malfalia allait trop vite ou n'utilisait pas le même language qu'elle puisqu'elle n'avait pas compris cette partie de l'histoire. Elle secoua cependant la tête de gauche à droite pour la détourner de cette idée qui semblait germer dans sa tête :

- Si tu penses qu'il est à l'origine de tout cela tu te trompes... il n'en sait pas plus que nous... Il faut qu'on parte, nous devons aider les Muselés.

Elle avait attrapé la rouquine par le poignet et la tirait à présent hors de la salle. Elle ne savait pas si elle opposait de la résistance, sa force était bien trop présente pour cela. Elle entendait tout de même que la princesse cherchait à argumenter :

- Tu ne le connais pas aussi bien moi, il sait se montrer fourbe. Je le croirai quand je le verrai si tu prétends qu'il n'y est pour rien mais téléporter des gens au hasard dans un monde magique, il sait faire. Mentir aussi.
- D'accord, je te laisserai juge en le voyant mais en attend...

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle percuta quelqu'un violemment. Elle avait tourner seulement deux secondes la tête pour observer sa compagnon de route et cela avait été suffisant. L'homme avait valser sur le coup mais Kida avait su l'attraper au vol et s'était rapidement attelé à le remettre sur pieds.

- Oh pardon... je ne regardais pas où j'allais c'est de ma faute...

Il l'avait fusillé du regard mais il s'était soudain adoucit dans une expression de surprise en voyant que c'était une jeune femme qui l'avait poussé ainsi.

- Ah bah, Carlisle ! Le hasard fait bien les choses!Lui aussi vient de Storybrooke. Y a aussi Thalia quelque part mais je sais pas où... Et Kida était avec deux autres personnes... qui sont passées où d'ailleurs ?
- Ils sont restés avec les muselés... je me suis faite téléportée ici après que les 3 princesses présentes là-bas aient fait du mal à une des muselés ! Elle, elle et elle.

Elle venait de désigner Ambrosia, Opal et Allegro.

- Ah... Ouais ils ont tous l'air un peu spécial ici. Une histoire de Guerre de la Musique et de chansons qui donnent des pouvoirs magiques. Je sais pas ce qu'on doit faire.
- On doit tout arrêter ! Les muselés vivent ici comme des miséreux. Ils sont châtié corporellement à chaque fois qu'ils chantent et personne ne les considère... seuls les sangs royaux vivent bien... c'est une abomination face à Mere Nature... nous sommes tous égaux... je ne peux pas repartir sans m'assurer que Malfalia aille bien et que les Muselés soient mieux traité... il faut qu'on se rassemble et je vous expliquerait tout plus en détail si vous le désirez.. afin d'éviter d'attirer trop l'attention... est ce que tu pourrais aller chercher Thalia, Anastasia ? Nous attendrons ici que vous reveniez...

La princesse hocha la tête d'un air entendu avant de s'éloigner pour partir à la recherche de leur troisième compagnon de route. Une fois qu'ils seraient tous ensemble, Kida leur expliquerait tout... ce qu'elle avait vu et compris, le plan auquel elle commençait à penser pour tout arrêter. Elle voudrait aussi entendre leur version des choses car ils avaient sans aucun doute dû découvrir des choses qu'elle ne connaissait pas et bien sûr... ils ne pourraient attaquer qu'une fois qu'ils sauraient comment rentrer chez eux... c'était donc la première partie de leur plan.

- Combien sommes nous en tout?

Kida sursauta en entendant Carlisle rompre le silence et le fil de ses pensées.

- Je l'ignore... je suis arrivée dans ce monde seule, j'ai trouvé Ali et Raspoutine et à présent vous trois... j'espère que nous ne sommes pas trop nombreux... il est toujours plus difficile de chasser et de mener une offensive quand on est trop nombreux...
-Je vais en votre sens... Plus nous sommes nombreux, plus les façons de nous faire prendre s'élèvent elles aussi.

Il l'avait regardé étrangement avant de répondre mais l'Atlante ne s'en était pas formalisé. Il n'était ni le premier, ni le dernier à la regarder comme si elle sortait de nulle part. Mais la blonde aux cheveux d'argent s'en fichait bien, elle ne voulait pas entrer dans le moule Surfacien, bien trp convaincu que sa culture pouvait être une valeur ajoutée pour tous. Elle tourna la tête vers lui et lui sourit en acquiescant. Cela faisait du bien de voir que quelqu'un était de son avis et la comprenait. Un regard furtif vers son cou lui fit constater qu'une marque grisâtre pouvait se percevoir derrière une épaisse couche de fond de teint. Il avait quelque peu bavé et on devinait à présent la marque maudite...

- Vous aussi vous êtes muselés ?
- Je vous serez gré de garder cela pour vous. Je ne tiens à être plus... Objectivé que je ne le suis déjà...

Il s'était figé avant de remonter le col de son jabot, visiblement craintif à l'idée que l'on découvre une fois de plus son secret. Kida hocha la tête d'un cou sec et d'un air entendu.

- Je garderai le secret, vous pouvez compter sur moi...

Un silence puis...

- Objectivé ? ce qu'ils vous font subir à tous est dégradant...

Elle avait serrés les poings quelques secondes avant de les déserrer, signe de son état de colère. L'homme s'était contenté de l'observé avec une curiosité froide, légèrement surpris de ses manières.

- ... La vie est dégradante.

Elle avait de nouveau dirigé son regard vers lui. Voyant qu'il semblait ailleurs, perdu dans ses pensées, la jeune femme se contenta de reposer son attention sur la foule en tentant de capter Anastasia revenant avec Thalia. Elle préféra garder le silence, par respect pour les pensées de Carlisle.

- Vous avez dit 'vous font subir'... Qu'Est-ce que vous savez exactement de ce que subissent... Les... 'Muselés'?
- Oui. Lorsqu'ils chantent, les Muselés subissent d'atroces douleurs... ils sont considérés comme impur, la jeune fille que j'ai rencontré a pris quelques secondes pour m'expliquer que contrairement à ce qu'on pouvait penser les Muselés n'avaient pas la rage... je pense qu'on les affulble de toutes sortes de mots et qu'on les terrorise dès qu'on peut sous prétexte qu'ils le peuvent justement.

Un tic à la lèvre de l'homme trahit alors le fait qu'il avait visiblement déjà dû subir la torture du champ. Kida ne préféra pas relevé le douleur souvenir et le laissa diriger son regard vers la foule à son tour.

- ... Ce royaume est une dictature. Il va nous falloir redoubler de vigilance je le crains...



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RESET & START AGAIN...
ANAPHORE


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________________________________________ 2017-09-28, 22:35



Too much royal

Parfait, conclut Greg avec hâte, lorsque Ali finit par se joindre à eux. Il ne s'était pas attendu à si peu de maturité venant de sa part. Il se souvenait du petit Alexis Romanov et de sa grandeur d'esprit, alors qu'il n'avait pourtant que 6 ans. En poussant un dernier soupir, il chassa ces idées qui de toutes façons n'étaient plus d'actualité, pour retrouver Malfalia qui s'était retirée dans la maison, Hazel sur les talons.
Il n'avait cependant pas la chance de connaitre la demeure, et, constatant une Hazel silencieuse derrière lui, il se résolut à la retrouver. Lorsqu'il entendit du bruit dans une des chambres, il poussa la porte avant de la fermer aussitôt, rougissant à l'extrême.

Mes excuses, je me suis trompé de chambre, avait-il dit à la Matronne qui, allongée sur son lit, lui avait fait un signe de la main, lui faisant un coucou sensuel qui cachait très peu ses désirs.

Déglutissant, il frappa à la porte d'à côté, espérant qu'Hazel n'ait rien vu de tout ça. Heureusement pour lui, ce fut Malfalia qui lui ouvrit la porte de sa chambre, ce qui permettait de changer de sujet pour un plus important.

Vous êtes celle qui vous y connaissez le mieux dans ce monde. Comment devrons nous nous y prendre, pour ce plan, donc ?
On s'infiltre ! Toute la détermination de son être se concentrait dans son regard. Vous allez être mon prince même si vous ressemblez plus a mon père qu'autre chose !

Greg haussa les épaules, acquiesçant du regard. Ce n'était pas faux, mais cela ne devait pas poser de problèmes. L'écart entre l'époque que Greg avait appris à connaitre, à Storybrooke et celle où l'on avait de telles morales dictatoriales était bien plus grand que l'écart d'âge entre eux deux, après tout.

Que devrons-nous faire dans ce château, quand nous y serons ?
Il est temps de les museler et de leur montrer que tout tourne pas autour de leurs nombril !

Hélas, cela ne répondait pas vraiment à sa...

Libérés, délivrés, on s'ra bientôt plus muselé !
Libérés, délivrés, maintenant j'vais tout péter !


Ce qui était davantage plus clair. Il lui semblait bien avoir entendu cet air quelque part, sans plus. Emporté par son élan, Malfalia fit quelques tours sur elle même, en chantonnant, songeuse, rêveuse, et déterminer à chercher la victoire qu'elle méritait tant. Grigori n'était pas vraiment emporté lui, par les motivations de la guerre. Mais si cela lui permettait de mettre un terme à une dictature et aider quelques personnes, cela apaisera la culpabilité qu'il tient de ce passé trouble qui avait quitté sa mémoire.

Elle s'arrêta tout d'un coup, fixant Greg. Tu sais coudre ? parce qu'il nous faut des costumes.
Il eut un sourire. Mes capacités sont à vos services, eut-il à peine le temps de dire alors qu'il se retrouvait avec tout le matériel nécessaire que Malfalia s'était empressée de lui donner.
Il n'eut pas de difficultés. Il était certes plus doué pour les points de sutures, mais la couture avait finalement, avec la magie du temps, à lui devenir un art presque naturel. Il cousu donc de bon cœur, appréciant chaque moment qui le rapprochait de ce passé qu'il chérissait tant.

Si Greg, une fois qu'il eut finit, n'eut pas d'avis, puisque Malfalia s'était emparée de la tenue avec entousiasme pour l'enfiler de suite, il put comprendre que ça lui convenait lorsqu'elle regarda Hazel et lui même avec un grand sourire, alors que ses mots se muaient en chanson, sur un air qui lui était venu naturellement.

De quoi j'ai l'air ?[/b]
Trop frivole, enchaina Hazel.
[i]Merci ! J'me trouve mignonne.
Et ma coiffure ?

Grotesque.
Merci ! Comme ces princesses.
Un sentiment vachement grisant...
De faire comme mamaaaaaaaaaaaaaan
Comme dans les contes de fées...
Greg, je suis assoiffée...

En disant cela, elle lui avait tendu un verre. Si Greg s'empressa de le remplir aussi vite qu'il put, le silence s'installant tout de même et devenant gênant, placé au milieu de la chanson que personne n'osait interrompre.
Lorsqu'enfin il le lui rapporta, elle finit par le boire, mais la chanson ne reprit pas de suite après, laissant dans l’atmosphère globale de la frustration. Elle avait attiré Hazel et Grigori dans le salon, où se trouvait encore Ali. Elle trouva la couronne que Greg avait posé sur une table en arrivant, pour la mettre sur la tête de celui-ci, avant de chanter de nouveau.

De quoi j'ai l'air ?
Hum... un peu exotique ? Fit Greg, s'y prêtant, amusé.
Merci ! De quoi j'ai l'air ?
Heu... carrément névrotique.
Il faut qu'elles croient que je suis des leurs
De quoi j'ai l'air ?

Tu vas faire un malheur ! Firent Hazel et Greg en coeur, Hazel ironique, et Greg enthousiaste.
Merci ! Oh et j'aurais presque zappé... Vous êtes mes trophéééééééééééééés ! Elle avait ajouté cela en pointant Ali, Hazel et Hobo des mains. Sous les yeux étonnés de Greg, la magie que lui procurait la chanson avait fait apparaître des liens aux trois esclaves assignés pour la couverture.
De l'intérieure on va détruire leur société
Libérés, délivrés, personne sera plus jamais muselé
Enfin on pourra chanteeeeeeeeeeeer, comme j'en revaaaaaaaaaaaaaaaaaais
Ces affreuses princesses n'auront qu'à pleurer !


Greg la regardait, motivé à se plonger dans ce jeu de rôle après cette démonstration fort distrayante. Il enfila sa veste princière, avant de faire une révérence vers Malfalia, en lui tendant la main, un air complice lui traversant le visage.

Bibidi Bobidi Bouh, mélangez tout ça et vous aurez quoi ? Une vraie princesse, à s'y méprendre ! C'est de la magie ou je ne m'y connais pas !

L'air lui était revenu sur le moment, pour l'avoir retenu des quelques fois où le petit d'Anita regardait sur l'écran les ces vidéos chantantes de contes. C'était donc la chanson qui l'avait officiellement introduit dans cette aventure peu commune ?



Anastasia Romanov
« Men are such babies »

Anastasia Romanov

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2017-09-29, 08:43 « Men are such babies »

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Le lendemain matin

La nuit avait été mouvementée pour bien des raisons. Premièrement, les princesses party avaient festoyer jusqu'aux petites heures, ce qui avait rendu la nuit difficile. D'un autre côté, la nuit avait aussi été mouvementée pour une raison beaucoup plus sérieuse : la mise en place d'un plan d'action. Ou son ébauche, tout du moins.
Grâce à l'arrivée inopinée de Kida, Anastsia, Thalia et Carlisle avaient découvert bon nombre d'éléments, tandis que la Guide [t'as vu j'ai exprès pas mis "princesse"] intégrait les autres éléments découverts par le trio. Et chacun était arrivé (plus ou moins) à la même conclusion : il fallait non seulement quitter cet endroit au plus vite mais aussi trouver comment en finir de ce régime totalitaire, bien que de la part de princesses, cela puisse sembler paradoxal, particulièrement quand on connaissait un peu le père d'Anya.
Nicolas II, le dernier tsar de son monde, avait eu des nombres qualités : il avait été un père aimant et attentionné et sa fille survivante ne comptait plus les heureux souvenirs de lui qui lui revenaient parfois, par touches, parfois quand elle s'y attendait le moins. Nicolas avait été un père exceptionnel, peut-être le meilleur [Dimitri, je veux pas dire, mais ça place quand même la barre assez haut] mais il avait aussi été un piètre dirigeant. Il n'avait pas su comprendre son peuple car il ne s'était jamais intéressé à la politique de son royaume, lui préférant sa famille. Sa popularité s'en était terni sans qu'il n'en ait réellement conscience et, en fin de compte, la magie de Raspoutine n'avait eu qu'à attiser un feu qui dormait depuis déjà longtemps - le tout, sans directement se salir les mains.
Tout ce passage fort intéressant pour dire qu'Anya, fille d'un autocrate par facilité qui n'aurait jamais dû régner, en fin de compte, était une républicaine. Elle n'avait jamais souhaité régner et ne le désirerait sans doute jamais.
C'est donc avec la ferme intention d'aider les Muselés qu'elle s'était endormie dans l'une des nombreuses chambres du château enfin silencieux.
Personne n'avait fait attention à la conversation entre Kida, Thalia, Carlisle et Anya. Pour avoir commencé tardivement, elle avait surtout commencé quand la plupart des invités étaient déjà soûls. Il se pouvait même que Thalia ait également eu quelques verres dans le nez mais Anya n'avait pas demandé confirmation.
Le lendemain [nous y venons enfin], le château s'était donc réveillé tardivement et les séquelles de la fête de la veille se lisaient sur les visages des princesses. Ambrosia, Allegro et Opal portaient chacune des lunettes de soleil (alors que tout le monde était réuni dans un salon intérieur où Carlisle était au piano) pour dissimuler leur gueule de bois avec style.
Anastasia, qui n'avait pas bu, était également assise dans ce salon, lançant de temps en temps des regards à ses complices. Le moment n'était pas encore venu de passer à l'action mais il arriverait vite.
- Cocktails, cocktails, amzing little cocktails, save us from this hangover ! chantonna Opal en tendant son verre vide à côté d'elle.
Il ne tarda pas à se remplir d'un liquide turquoise qu'elle but cul sec.
- Drinky, drinky, drinky, driiiiink, renchérit Ambrosia en recevant un cocktail rose dans son verre vide.
Anya ne disait rien mais n'en pensait pas moins. Plus tôt, Opal lui avait fait remarquer que, pour une princesse qui avait le monde à ses pieds, elle n'était pas franchement drôle, sur quoi la rouquine avait insinué qu'elle avait d'autres loisirs qu'elle ne manquerait pas de lui montrer en temps voulu. Opal avait semblé intriguée mais avait préféré boire plutôt que de poser plus de questions. Elle en était au moins à son quatrième verre.
- On s'ennuie ferme, souffla Anya à Kida en vidant son verre de jus de fruits.
Il n'y eut que la Guide pour l'entendre, Ambrosia étant bien trop occupée à se la jouer petit chef.
- PETIT AMIIIIIIIIIIIIIIII ? beugla-t-elle, impatiente.
Le jeune homme qui répondait à ce... prénom ? ne tarda pas à arriver au salon vêtu d'une tenue de tennis et suivi de près par le fan de Queen [le mec à la drôle de tête dans mon 2e post]. Anya écarquilla les yeux : elle l'avait cru mort, happé par la trappe dans on ne sait quel enfer mais il était bien vivant, quoique vite relégué au second plan tandis que le prince charmant commençait à masser les épaules endolories d'Ambrosia.
La féministe en Anastasia trouvait l'image choquante. Elle disait certes que tous les hommes sont des bébés mais ne se serait jamais permis de les traiter de la sorte. Pourtant, elle adressa un sourire hypocrite aux princesses et chantonna pour remplir son verre d'une nouvelle boisson sans alcool - histoire de donner le change et d'être crédible à leurs yeux.
- Tu es vraiment tendue, faisait remarquer le prince. C'est à cause du gala anniversaire ? Ton père n'arrête pas d'appeler à ce propos, il dit que...
- OSEF, soupira Ambrosia. Quand papa n'est pas là C EST MOI QUI COMMANDE ! pesta-t-elle, la voix grimpant dangereusement dans les aigus.
Petit Ami sourit et continua son massage sans plus le moindre commentaire. Mais le silence ne fut que de courte durée car la sonnette d'entrée ne tarda pas à retentir. Or, vu l'heure était (qui semblait quasi quotidien) les princesses n'attendaient sûrement personne aussi "tôt".

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2017-09-29, 15:37


...Je m'étais faite avoir en beauté. Comment avait-je pu être aussi ridicule ? Comment avait-je pu croire que les princesses étaient des êtres doux, sans aucune once d'horreur et de mépris ? Je me sentais bête. Complétement bête. J'avais l'impression qu'on venait de m'arracher la seule chose auquel j'avais toujours cru dans ma vie. Une chose capital, déchiré dans mon cœur et dans mon être entier. Ca faisait mal. Mal de voir la voir partir. S'envoler. Mal de ce prendre cette vérité comme une claque qui laisse une marque de braise sur la joue. Même chanter ne me faisait plus aucun mal face à cette méchanceté qu'on m'avait balancée gratuitement au visage. J'aimais les princesses. Je les avaient toujours aimées. Choyer, chacune leur tour. Et là. Là je n'avais plus aucune croyance envers ses princesses, plus une seule admiration.

Et elles allaient me le payer. Oh que oui. La tristesse qui c'était formée dans mon cœur devenait peu à peu une tempête explosive. Les nuages ce formaient chacun leur tour, jusqu'à ce que l'electricité menace d'exploser. Elles allaient me payer ce qu'elles m'ont fait. Et j'allais récupérer le royaume pour délivrer les muselés de leurs condamnation vocale. Je le jurais. C'est tout naturelle que je faisais les cents pas dans la maison, que j'assenais chacun une tâche ardue. J'étais prêtes à tout pour détruire ses princesses. Et j'allais le prouver. Ma marque ne me faisait plus rien du tout. Comme ci elle était complétement désactivée. J'étais bornée à chanter, à montrer à cette monarchie dictatrice que je ne me laisserais pas faire aussi facilement.

▬ « C'est fou comme c'est moche. Je me sens vraiment comme une nunuche là dedans. » bougonnais-je presque, surprenant un regard moqueur de la part d'Hazel. Même la perruque elle était moche. Cependant, mon pèr...prince avait une belle couronne sur la tête. Parfait, le plan était tout bonnement parfait. Je regardais mes trois esclaves avec une hargne, il ne fallait pas que tout capote ! Je relatais un à un le plan dans ma tête, et je passais devant mes trois petits ouistiti préféré pour voir si rien ne clochait. Je m'approchais de mon prince qui pourrait être mon père. Beuh. Raspoutine. Quel horreur. Je me sens presque horrible de faire ca à Anastasia. Il fallait aussi aller recherher Kida ! Aussi étonnant soit t-il, elle était une gentille princesse. Une vrai. Peu être qu'au final, il en restait des bonnes ?

▬ « En avant ! On va frapper de la princesse ! » tonnais-je d'un mouvement de la mains. Je me sentais impérial. Tant mieux, ca allait divinement bien avec mon accoutrement ! La rage au bord des lèvres, je conduisais mes petits sujets préférés au grilles du château.Je venais souvent ici pour contempler le château au loin. Rêvant de ma balade que j'aurais un jour l'honneur de chanter avec une princesse. Plus jamais. Ce n'était pas des princesses, mais des sorcières ! Mes yeux auraient du s'éblouir de rentrer dans cette endroit qui avait été, à mes yeux, divins. Maintenant, j'avais tout simplement l'impression d'aller au cachots. Je contemplais la grille une nouvelle fois. Bon. C'est pas tout, mais on rentre comment là dedans ? Je regardais de gauche à droite, tenter de tirer sur la cliche de la porte. Mais elle était scellée. Mes yeux ce dirigèrent vers un interphone rose. Hazel posa le doigt pour appuyer sur le bouton.

« Faudrait pas que madame la princesse se fatigue les doigts ! » Dit t-elle sur un ton sarcastique qui m'arracha un sourire.

▬ « C'est aux esclaves de sonner !»
Répondis-je avec un ton égal au sien. Je me mettais déjà dans le rôle et alors ? C'était ma couverture, il serait injuste de griller ma couverture ! Bon d'accord, j'en profitais un peu aussi quand même. Mais juste un petit peu ! Malgrès le regard cinglant d'HAzel, une voix robotique de femme s'échappa de l'interphone. Nos têtes ce tournaient tous ensemble vers l'interphone.

« Vous êtes bien au château du Roi d'Or, veuillez compléter les paroles suivantes : Oh don't you dare to ride, just keep your eyes on me... »
Je lâchais un cris scandalisée. Elle ne la chantait pas bien, mais alors pas bien du tout ! Il est ou le rythme là ? C'est quoi cette voix saccadé ? Ma chanson, elle bousillait ma chanson la greluche ! C'était honteux ! Cependant, un sourire s'élargis autour de mes lèvres. C'ETAIT MA CHANSON !!!! Ouh loulou, ouh loulou !! Mon cœur battit plus rapidement que les bonds que j'effectuais sur place, agitant les mains dans tout les sens, les yeux écarquillées de bonheur.

▬« I SAID YOU HOWLING BACK
SHE SAID SHUT UP AND DANCE WITHHHH MEEEEE
THIS WOMAN IS MY DESTINY
SHE SAID WHOUUUUWHOUUUUU
SHUT UP AND DANCE WITH MEEE !!!

OH COME ON GIIIIIRL !!! »


[coucou ma précieuse Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 675216545 ]

Plus rien ne pouvait m'arrêter. Absolument plus rien. J'effectuais des pas de danse, emmenant Greg dans ma ronde, le lâchant soudainement pour qu'il ce fasse emporté dans l'elan contre le mur. J'ai faillis attraper Hazel qui me montrait les crocs. Du style ''Tu me touche je te bouffe.'' Du coup, ce fut Hobo ma victime. Je tournoyais sur moi même, emporté dans mes paroles. Plus rien existait. Il n'y avait plus de château. Plus de végétation. Juste moi, et cette chanson.

▬ « Deep in her eyes ! I think I see the future, I realize this is my last chanceeeeeeeeeee » Chantonnais-je de plus en plus fort, me déchainant comme une diablesse sur la chanson.

« C'est bon... » fit la voix.
▬ « She took my arm, I don't know how it happened »
« STOP » cria t-elle.
▬ « We took the floor and she saaaaaaaaaaaaaaaaaid !!!! »
« C'EST BON VOUS POUVEZ ENTRER !! » s'enerva t-elle. Oh là là pas la peine de s'énerver hein. Je me relevais en dévisageant l'interphone. Oui ente temps je m'étais écroulée sur le sol comme une dégénérée de guitare électrique et alors ? La grille s'ouvrit dans un petit clic, alors que jignorais les regards posées sur ma pomme. On bien le droit de ce lâcher de temps en temps quand même ?

▬ « Ca va, ca va. Roh cette mysogine je te jure. » commentais-je d'un mouvement de la mains en avançant dans les jardins. Mes yeux ce perdaient dans la splendeur des jardins. Des fleurs partout, des buissons coupés jusqu'à la moindre feuille qui dépassait. Il y avait même des buissons en forme de couronne, de princesse et de licorne. Les chemins qui nous guidait jusqu'à la porte était impeccable. Pas une mauvaise herbe sur le chemin. Arrivée à la porte, je mis mes lunettes sur le nez en prenant un air impérial et classe. Je laissais Hobo sonner à la porte, et relevait la tête d'un air hautain. La porte s'ouvrit sur Ambrosia, au coté d'Allegro et d'Opal. Derrière, je repérais Kida et ...oh bon sang . C'était Anastasia. Oh bon sang, y'avais Jasmine. Oh bon sang oh bon sang on ce calme. SI ca ce trouve elles sont comme ses princesses stupide qui me détaillait des pieds à la tête.

Mais quand même. J'étais légérement un petit peu heureuse de les rencontrer. Mais je ne devais pas. La fissure dans mon cœur était encore irritante.

« Et vous êtes ? » Fit Ambrosia, d'un grand sourire de peste. J'aurais bien grincer des dents. La fissure était une plaie béante soudainement. Tu m'as fait du mal. Et je compte bien te rendre la pareille. Mes yeux avaient une lueur vengeresse, mais forte heureusement mes lunettes de soleil me cachait. Trop bonne, trop conne. J'étais toujours gentille. Et j'étais toujours celle qui ce faisait avoir. On profitait toujours de moi, de ma bonté, de ma naïveté. Mais on me rendait jamais la pareille. Et c'est ça, qui faisait mal. Plus jamais. Plus jamais je ne laisserais qui que ce soit avoir le libre arbitre sur ma gentillesse. Elle m'appartenait à présent. Et plus personne ne pourrait en profiter à mes cotés. Plus personne en avaient le droit. C'était trop douloureux.

«  Funicia. » Lança Hazel. Mais sa voix rencontra celle d'Hobo qui sonnait contradictoire.
«  Buttercup. »

Je regardais Ambrosia avec un sourire forcée. Mais qu'ils sont bête ! Si je n'étais pas occuper à sauver ma couverture, je les auraient regardés avec un air de réprimande.

« Funbutter. » trancha Hazel après s'être regardée gênée avec Hobo. Je levais les yeux au ciel, avant d'agité la tête de haute en bas avec dévotion. Ambrosia ce mit à sourire.

« Et de quel royaume venez vous ? » Demanda t-elle de nouveau. Ouh loulou. J'y avais pas réfléchis moi. Alors une longue minute semblait passer pour une éternité, une armée de petite Mafalia courrait dans ma tête en mode alerte rouge. Après une longue réfléxion, je souriais à mon tour d'un air conquérant.

▬ « Funbutter du royaume d'Otyren. » dis-je avec sérieux, comme ci j'avais fais exprès de prendre mon temps pour tenir mes spectacteurs en haleine. Ambrosia prit un air sceptique. Elle n'avait pas l'air de connaître.

« C'est mon royaume préféré ! » S'exclama petit ami, qui c'était avancée. Il me décerna un clin d'oeil qui me fit sourire malgrès moi. Oh mince, attendez, je vais ramasser mon cœur je crois qu'il est tombé dans sa course. Je crois qu'il m'avait reconnu. Je lançais un regard affirmé et dédaigneux à Ambrosia en retirant mes lunettes avec classe. Ambrosia arqua un sourcil, fixant Greg.

« Et lui c'est qui ? »

Mon grand père. Mon père. Mon arrière arrière grand père. C'était la réponse qui me brûlait les lèvres.

▬ « Lui ? C'est.. » Mon ancêtre. Celui qui date avant de la préhistoire. L'homo très très très vieux dinosaurus. « Mon prince. » Appuyais-je, alors que l'idée d'être sa princesse me mettait quand même en horreur. Anastasia fronça les sourcils. En même temps je la comprend la pauvre. Elle avait surement pas envie de voir sa tronche de roublard. Personne n'avait envie !

« Et les trois autres ignobles ? » Feula presque Ambrosia. Je me tournais vers mes petits esclaves adorée, leurs assenant un sourire amusée.

▬ « Ce sont mes esclaves ! » tonnais d'un ton impérial. Je pouvais presque sentir la foudre dans les yeux d'Hazel me toucher le dos avec véhénence.

« Curieux comme leur tête me rappelle quelqu'un... La tienne aussi d'ailleurs mais je suis pas sûre... Où aurais-je pu tous vous voir ? »
La preuve grande et formel que si t'es pas dans les bonnes papattes d'une princesse, tu peu faire tous ce que tu veux elle te reconnaîtra pas pour un sous. Je me sentais totalement irrité. Je suis la débile qui croyais en toi, et qui t'étais dévouer, pauvre idiote. grognais-je intérieurement.

▬ « A une fête surement ! » Enchéris-je pour effacer toute trace de soupçon. Bon, c'est pas tout, mais c'est très très mal vue de laisser les invités sur le perron.
« Mouais... Depuis quand les Muselés vont aussi en soirée ? De toute façon c'est pas la question : ici les princesses on sait les accueillir... Opal, s'il te plait ? » J'avais presque eu un frisson d'effroie, croyant que le plan était tombée à l'eau lorsqu'elle a émit les muselés. Forte heureusement, elle n'avait pas la lumière à tout les étages et donc, dans sa débilité, elle ne nous reconnu même pas. J'aimais pas comment elle parlait de mon peuple. Décidément pas. Ca me donnait envie de grogner et de montrer les crocs. Même si Hazel et Hobo l'avait déjà fait à l'instant même d'indignation. Opal disparu pendant un petit moment, avant de revenir avec un petit coussin rose sur lequel reposait un micro. Il était beau. La possiblité de chanter me laissait excitée. Ambrosia prit le micro.

« Ici c'est le rituel. Un concours de chant en guise de bienvenue. »
Pas de problème. La chanson vibrait dans mes veine.


Sloan Fyresciell
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Sloan Fyresciell

| Avatar : King Tom Hiddleston

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• Franchement Slo', on a pas besoin de se retrouver dans un parking glauque pour que tu m'annonces que tu me prends comme ton témoin de mariage !
• Ssssssh discrétion Al' discrétion !

♨️

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• Sloan ? Tu m'écoutes ? Lui là ... je peux le tuer quand tu veux !
• Hum oui oui Dew' ... oui oui


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| Dans le monde des contes, je suis : : Smaug le magnifique

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 _



________________________________________ 2017-09-30, 09:36

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Evénement #85 : Sing On: The Musical [Fe] - Page 3 Z
Impossible n'est pas une déclaration; c'est un défi.


Ses doigts caressaient le piano avec grâce, sans rien laisser paraître de l’énervement singulier qu’il ressentait. Pour être tout à fait franc, Carlisle était nerveux. Extrêmement nerveux. Carlisle était le genre d’homme qui contrôlait tout. Toujours et e tout lieu. Qu’il s’agisse de son apparence, de son maintient, de sa diction ou même des actions qu’il entreprenaient, rien n’était laissé au hasard. Tout avait un but, un dessein, une intention propre et rien jamais n’échappait à son esprit de calcul ni à son analyse de la psychologie, parfois traitre, des êtres humains.

Mais là, il devait bien avouer qu’il ne contrôlait plus rien. Non seulement il s’était…Téléporté -songer le mot lui provoqua un rictus crispé, presque dur- dans un nouvel univers -de mieux en mieux- mais en plus, cet univers se révélait être une dictature faîte de rose et de paillettes, basé sur sa sacro-sainte musique qui, ici, était la distinction entre le rang des sujets du royaume.

Et bien sûr, il n’était pas du bon côté.

Avec un claquement de langue amer, Carlisle ne pût s’empêcher de songer à l’humiliation qu’il était en train de subir. Un jouet. Un simple, stupide, ridicule jouet. Voilà tout. Un objet, un être à peine humain, un esclave. Rien de plus.

Oui c’était son idée. Non il ne le vivait pas bien du tout.

Et le pire, cela demeurait que malgré sa présence d’esprit, en décidant de jouer la prudence et de passer pour un va nu pied de bas rang, il n’avait toujours pas la moindre idée de ce qu’il était censé faire. Quelle était les règles de ce royaume ? Qui en étaient les souverains légitimes ? Quel était cette Guerre de la Musique, réellement ? Il avait tenté de parler aux autres esclaves, mais la plupart des femmes s’étaient pâmés à sa simple vue, et les hommes, se comptant sur les doigts d’une main, étaient trop occupés à vaquer à leurs occupations, toutes plus ou moins sexualisante. Quant aux princesses, ce n’était même pas la peine d’y songer. Non seulement parce qu’il n’était qu’un esclave et qu’il n’avait pas ce droit -cela aurait semblé beaucoup trop suspect- mais en plus, il ne pouvait pas même tenté d’orienter la conversation ! Impossible quand visiblement, le but de chaque princesse semblait indéniablement être de le mettre dans son lit à baldaquin…

A nouveau, Carlisle eue un claquement de langue, avant de soupirer. Il y avait une promesse qu’il pouvait faire dès à présent. La prochaine fois qu’Antropy  lui parlerait d’un ‘autre monde’, il ferait l’effort d’écouter. Parce que clairement, cela constituait un épisode traumatique certain !

Surpris de songer en un tel instant critique au roux, se demandant également si Tasha et lui allait bien, Carlisle manqua de manquer une note, ce qui l’irrita prodigieusement. Fort heureusement, les princesses à côté de lui ne s’en rendirent pas compte, au contraire, puisque l’une d’elle se dirigea vers la porte pour ouvrir. Réalisant qu’il n’avait pas même entendu la moindre sonnerie, Carlisle se mit à pester intérieurement, se forçant à se concentrer un minimum.

L’échange sur le pas de la porte ne dura que très peu, mais Carlisle n’en entendit qu’un vague murmure, le piano couvrant les voix, avant que soudain, cette princesse horripilante ne revienne vers lui avant de -comble de la vulgarité- claquer des doigts à son intention.

-Tu sais jouer autre chose que des berceuses toi là-bas ? fit-elle d’une voix traînante, un poil pédante.

La voix d’une souveraine beaucoup trop vulgaire pour mériter son titre.

-Quel genre de musique vous plairait Princesse? demanda-t-il avec le peu de respect qui restait en lui, se doigts s’interrompant sur le clavier.

-J'sais pas. On verra ce que les uns et les autres veulent chanter. Suivez-nous, conclut-elle sans plus de cérémonie, claquant des doigts comme pour souligner l’ordre, avant de tourner les talons.

Carlisle allait sérieusement réviser son attitude en ce qui concernait ses domestiques.

Sans attendre plus, Carlisle se leva, rejoignant le ‘cortège’ que formait l’étrange groupe des convives. De nouveaux visages étaient apparus, et rapidement, Carlisle chercha des yeux la seule personne censée de ce groupe de sauvage. Fort heureusement, Anastasia s’approcha rapidement de lui, lui tendant le bras pour parfaire leur apparence de ‘princesse et son jouet’. Même raide, Carlisle lui prit le bras, l’escortant avec dignité, avant de l’interroger des yeux.

-Elle veut organiser une battle de chant contre eux, chuchota-t-elle à son intention, tout en désignant du menton les nouveaux venus, que Carlisle trouva fort…. Dissonant comparé au reste du groupe.

-En quoi consiste ce genre de... Duel? fit-il sur le même ton.

-Pas la moindre idée, concéda-t-elle. Mais je suppose qu'elle s'attend à ce que vous jouiez seulement. Ce ne sera pas très douloureux si c'est le cas.

Carlisle eue une sorte de moue, sans doute trop explicite. Si l’on pouvait lui éviter l’humiliation de recommencer, il en serait gré envers le monde entier. Devant eux, le groupe ralentit, jusqu’à s’arrêter, face à deux grandes portes grises. Avec un geste ample de la main, Ambrosia toucha le cadran d’appel, avant de se mettre à observer ses ongles.

-Et si ils perdent?

- Ambrosia a dit que c'était un rituel de bienvenue entre princesses donc... ce n'est peut-être pas fondamental de perdre ? Peut-être qu'elle cherche juste à s'affirmer.

Avec un rictus, Carlisle se pencha à l’oreille de la jeune femme, sous prétexte de remettre l’une de ses mèches derrière celle-ci.

-Et vous la croyiez?

Si il était une chose dont Carlisle était certain, c’est que les dictatures se construisaient sur des mensonges.

-Elle croit parler à une princesse alors pourquoi pas ? répondit la jeune femme, toujours dans un souffle.

Cela confirmait ce que Carlisle avait cru comprendre. La dissonance de nouveaux venus ne tenait donc pas seulement à leur… Accoutrement.

-Lui c'est Raspoutine j'en suis quasiment sûre malgré le costume, ajouta Anastasia, en désignant rapidement l’homme le plus âgé, toujours du menton, mais avec une nouvelle forme de subtile raideur. Et lui ça doit être Ali je sais plus quoi dont parlait Kida hier soir. Donc l'une des filles doit être Malfalia et nous avons probablement affaire à une fausse princesse mais tant qu'elle ne se trahit pas j'espère que ça ira.

Pour lui même, Carlisle hocha la tête. Il fallait espérer pour elle que ce soit le cas, en effet…Un léger son métallique se fit entendre, et les grandes portes finirent par s’ouvrir. Aussi surprenant que cela puisse paraître, tous parvinrent à entrer, sans trop se frôler. La même musique qui lui avait vriller les tympans se mit à résonner et la princesse Ambrosia appuya sur la touche « -1 ».

-Seigneur, marmonna Carlisle, sans parvenir à s’en empêcher.

Après un court mais désagréable voyage, les portes s’ouvrirent sur l’enfer personnel de Carlisle, fait de câble et de lampes, et le cortège s’engouffra dans le couloir sans plus de cérémonie. Du coin de l’oeil, Carlisle tenta d’évaluer l’attitude des ‘pions’ face aux princesses qui déambulaient dans leur fange. Le moindre soulèvement était-il à espérer ? Craindre ? Mais rien ne lui parut probant, excepté peut-être, le regard que certains, dont Machine, qui ne lui adressa pas même la moindre oeillade, observait avec surprise et attention la jeune femme nommé Malfalia par Anastasia. Apparemment, cette jeune femme avait quelque chose que les autres princesses n’avaient pas. Mais ce n’était clairement pas l’aisance d’un tel endroit, car elle semblait, bien que princière, légèrement différente. Dans le port de tête peut-être. Ou dans sa façon de marcher. Carlisle n’aurait su dire…

A peine eurent-ils posé un pied chacun sur le plateau de cette immonde humiliation de prolétaire que la princesse Ambrosia se mit à hurler.

-Il nous faut un jury, déclara-t-elle, en fixant les trois fauteuils vides face à eux. Un jury impartial. Or je ne vois pas de jury impartial. OU EST LE JURY IMPARTIAL ??????????

Diable, pouvait-on être plus insupportable encore ! Carlisle du réellement se contenir pour ne pas se démasqué en allant lui faire une leçon de bienséance et de conduite aletière.

Rejetant ses mèches derrière ses épaules, elle se mit soudain à chanter -d’une voix, il fallait l’avouer, plutôt agréable. Juste du moins.

-Come on, come on
Turn a little faster
Come on, come on
The world will follow after
Come on, come on
'Cause everybody's after songs!


Aussitôt le dernier mot chanté, un nuage rose formé de poudre et de paillettes, semblable à celui qui l’avait emporté jusqu’ici, emplit chacun des sièges et trois silhouettes apparurent. Le ‘jury impartial’. Et aussitôt, Carlisle ne put s’empêcher d’avoir une moue des plus pédantes sur le visage, dans un jugement des plus critiques.

Une femme plus tout à fait jeune, un benêt couvert de tatouage, et un homme qui aurait clairement du voir un coiffeur.

Il ne pût s’empêcher de faire claquer sa langue. Mais le pire restait encore à venir.

- Bonsoir à tous ! Bienvenue pour cette nouvelle session de battle ! s’égosilla le présentateur télé qui avait eue l’outrecuidance de le toucher aupravant.

Malgré lui, Carlisle frémit d’horreur.

-On est pas en direct, le coupa aussitôt Ambrosia. Et on est pas le soir.

-Chassez le naturel, il revient au micro ! bafouilla le présentateur, avant de reprendre contenance -si telle chose était possible… Bonjour à tous et bienvenue pour cette nouvelle session de battle privée qui opposera... Euh... Ah, ce sont les aléas du... direct pas retransmis, on me dit dans l'oreillette qu'on ne sait pas qui va affronter qui. Bon.

Cette fois, Carlisle laissa échappa un lourd, très lourd soupir, agacé d’un tel ridicule consommé. A quoi bon pouvait bien servir une telle mascarade, puisque la fosse du public était ridiculement vide ?

-Ah... On m'informe aussi dans l'oreillette que nous n'avons pas de musiciens ! Et mes yeux peuvent le confirmer : je n'en vois pas un.

Devait-il seulement commenter ?

-Toi, fit soudain Ambrosia, claquant des doigts en se tournant vers Carlisle, qui du retenir de justesse une moue des plus désagréable. Tu sais jouer quoi, sexy toy ?

-Tout, répondit-il avec raideur. Tant que l'on me fournit une partition.

-Be my guest, be my guest, put the instrus to the test!

Malgré lui, Carlisle roula des yeux, s’exécutant sans effectuer de courbette cette fois-ci -cela aurait été au-dessus de ses forces. Le fond de la scène était emplit d’un grand nombre d’instrument, mais au vu de son état d’énervement, Carlisle se dirigea directement vers le piano, où il s’assit avec un soupir de frustration. Grand Diable, qu’on l’achève au plus vite…
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