Barbara s'était bel et bien désinhibée par la pratique qu'elle apporta à son cher et tendre . Si l'on voulait faire une sorte de jeu de mot ou de clin d’œil, nous pourrions dire qu'après toutes les gourmandises que Charlie avait pu faire goûter à l’élue de son cœur, celle-ci était en quelque sorte une espèce de suite plus ou moins logique. Elle était presque certaine de ne pas se tromper et qu'il adorerait ça . Et elle put le constater.

Après cela, elle écarta ses cuisses pour lui indiquer qu'il pouvait élire corporellement domicile en elle. Le jeune homme assura toutes les protections nécessaires. Ensuite, ils s'embrassèrent et il lui fit comprendre qu'il démarrerait en douceur. Ce n'était pas utile parce qu'elle s'en doutait, elle le savait très bien mais c'était lui , ça lui ressemblait.

Et enfin, ils y étaient. L'acte commença. Ils se regardèrent dans les yeux. C'était une première pour tous les deux alors bien sûr il ne semblait pas toujours certain de bien faire , c'était normal, quand on commence on tâtonne toujours; et pourtant il faisait très bien , la jeune et jolie Marteau ne tarda certes pas à le prouver en commençant à pousser quelques gémissements et à se cambrer...

L'apprenti et sa muse

Charlie se faisait doux, maladroit dans le sens où il n'osait pas être trop violent alors il se faisait prudent. Pourtant, alors qu'il regardait toujours Barbara dans les yeux, il sut qu'elle prenait un certain plaisir qui se prouva par ses petits sons qu'il trouvait adorable et son geste. Alors prit du'ne certaine confiance, mais toujours en essayant de faire attention au plaisir de la jeune femme, il accéléra le mouvement, se tenant pour ne pas trop l'écraser et pour lui permettre un meilleur appuie pour ses mouvements.

Il ferma las yeux un instant, il aimait bien, s'était un peu étrange mais plus le temps passait et plus il se laissait aller, sans trop se laisser aller, voulant toujours veiller sur sa brunette. Il s'en voudrait sinon si il lui faisait mal, il culpabiliserait.

Il ouvrit de nouveau les yeux, avant de venir l'embrasser, toujours en appuie. Il ne put retenir des petits gémissements. Son corps semblait très réactif à son touché ou à ses poussés, il la trouvait magnifique et ne put détacher son regard d'elle, lorsqu'il s'était arrêté de l'embrasser pour juste l'observer. Si il était la cause de son désir, plaisir sur ce moment si intime, il se sentait heureux.

Progressivement, il se sentait défaillir, il avait chaud, et donnait plus, sans trop vouloir être brusque, il imaginait bien que les premières fois, étaient ainsi, il avait peur que ça soit pas bien, pourtant, il essayait de faire abstraction de ses pensées négatives, ce n'était pas le moment. Il continua, jusqu'à se sentir plus fiévreux, plus collant, un sentiment de pur bien être, il ne savait pas trop ce que s'était, mais une chose était sur, il allait aller au septième ciel et il espérait que Barbara aussi, il y veillerait.

Il se savait prévenant, elle le savait aussi, qu'il l'était. Elle lui fit un grand sourire . Charlie prenait son temps et elle adorait ça... Évidemment, ça voulait dire que ça allait durer plus longtemps, enfin ça c'était ce qu'elle se disait, et elle n'avait pas complétement tort ..Il se décida néanmoins au bout d'un moment d'aller un peu plus vite , et ce n'était pas pour lui déplaire non plus bien au contraire. Elle ne sut s'empêcher de gémir .Et pourquoi s'en empêcher d'ailleurs ? Ma foi, c'est la nature, et puis ils s'en moquaient, ils étaient seuls ...

Lorsqu'il ferma les yeux , elle en fit autant. Puis répondit tendrement à son baiser, avant de lui en rendre un qui lui se fit un peu plus sauvage. Ils rouvrent les yeux , pour s'admirer, puis Barbara les referma, ce qui lui semblait accentuer davantage son plaisir.Si elle savait ce qui se passait, ne pas voir pouvait lui permettre de ne pas se retenir et de prouver par les cris et gémissements qu'elle prenait vraiment son pied .

Ayant les yeux fermés elle ne voyait pas que son amoureux et premier amant qu'il devenait là se sentait défaillir, en revanche elle finit par le saisir en remarquant qu'il allait de plus en plus vite et de plus en plus sèchement..Elle se dit ma cocotte c'est déjà bientôt la fin ...

Notre Barbara n'en restait pas moins maligne , elle se cambra et rouvrit les yeux pour le regarder..Oui, c'était clairement ça... même si c'était leur première fois, ça se comprenait.

Que réservait donc Barbara à Charlie ? Il s'était arrêté en le voyant le regarder ainsi..Tant mieux,c'était son but..Elle en profita pour changer de place et prendre les devants en se mettant à son tour sur lui et en se cambrant et faisant des mouvements de bassin , qui seraient sans doute les derniers ...