« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Surnom(s) → Sissi, Oiseau de Feu. Age → Trentenaire, je ne vous dirais pas l'âge exact, vous pouvez toujours courir. Occupation / Emploi → Ancienne vie de débauche, je viens de me reconvertir dans le droit et je suis désormais avocate. Et je tiens une maison de poker illégale au dessus de mon bureau
Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Ouais, il paraît Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : La Famille Pirate, j'y suis Lucile MacBernik.
Vous.
Caractère → Depuis que je suis enfant, j’ai toujours été décrite comme une gamine impulsive. J’ai toujours été très courageuse et intelligente, j’étais la première de ma classe. Cependant, je n’étais pas du genre à parler à tord et à travers, je portais un lourd secret sur mes frêles épaules, je ne pouvais pas en parler, à personne. Dès mon plus jeune âge, il s’avère que je ne parlais que très peu, je n’ai jamais été très bavarde, préférant les gestes à la parole. Cependant, je n’ai jamais caché le fait que j’ai toujours été une gamine et donc une jeune femme très curieuse qui a toujours détesté perdre aux jeux, que ce soit de société ou n’importe quel autre. Vous noterez que je suis tout de même drôle, enfin il m’est facile de l’être, bon je ne peux cacher que depuis toujours, j’ai aimé me moquer des gens qui m’entourent, mais c’est de la moquerie qui n’a jamais été méchante, juste…moquée en fait. Il faut également que vous sachiez que je suis très téméraire, ma mère, si elle était encore en vie vous direz que je l’étais d’ailleurs trop mais surtout très maligne pour me sortir des situations compliquées. Mon perfectionnisme risquera de me perdre dans le restant de ma vie. Je pourrais encore vous écrire mille et une ligne sur quel est mon caractère et qui je suis vraiment mais serait-ce amusant ? N’est-il pas plus judicieux de me découvrir à travers mes lignes ?
Une Particularité ? → Depuis que je suis toute petite, j'ai de magnifiques cheveux roux. Ils m'ont valut le surnom Oiseau de Feu. Et j'ai une cicatrice au niveau du bas ventre, suite à une opération de l'appendicite.
Votre Vie dans le monde des contes.
Je suis née dans la forêt enchantée, je ne vous dirais pas quand parce que je n’en ai tout simplement aucune envie et puis que cette partie là, ne vous regarde pas. Je vous dirais simplement l’essentiel que vous avez à savoir et ça ira très bien et de toute façon, si vous êtes pas contents, c’est pareil hein. Je suis donc née dans la forêt enchantée, dans un petit village dans le royaume de Regina. J’y ai vécue pendant deux ans avant que mes parents, pirates bien avant ma naissance décide de reprendre le chemin des flots marins. C’est ainsi que nous embarquons sur un navire qui nous conduit jusqu’à l’île de la Tortue. Cependant, ce que j’ignorais et que ne m’avait jamais dit Mamie LaPoudre avant que je ne lui demande, c’est que mon père est mort lors de ce voyage, notre bateau a fait naufrage et par chance, nous avons pu être sauves ma mère et moi. Elle m’a simplement dit que mon père a choisie de nous sauver nous plutôt que de sauver sa vie.
C’est pour cela que je lui en serais éternellement reconnaissante. Nous avons donc pris pied sur l’île de la Tortue. J’ai grandie sur cette île et ma mère m’a très vite donnée le goût de la piraterie. Je suis fille de pirate, j’ai toujours eu ça dans le sang. J’y ai eu une enfance heureuse malgré le côté complètement cinglée de ma mère. Je me suis très vite bien entendue avec trois filles qui étaient à l’école avec moi. Nous avons fait les 400 coups ensembles et nous nous sommes suivies jusqu’à la fin de notre scolarité, c’est d’ailleurs à cette même période que je suis tombée amoureuse de Victor. J’ai même choisie de tout abandonné pour lui. J’ai pris un sac, j’y ai mis toutes mes affaires et je suis partie de chez ma mère, bien contre son avis mais je venais d’atteindre ma majorité et je n’avais rien à lui devoir.
Nous nous sommes donc installés avec Victor dans une petite maison au bord de l’océan avec un ponton où se trouvait au bout l’Os a Moelle. Son navire. Son navire sur lequel je suis montée tellement de fois pour qu’il me montre l’horizon. Il m’avait même permis plus d’une fois de le naviguer. Oh bien sûr, il n’était jamais bien loin. C’est le jour de mes vingt cinq ans qu’il me demande en mariage et que j’accepte. Deux ans après, je tombe enceinte de ma fille. Scampi. Très vite, je privilégie le bien être de ma fille et la bonne tenue de la maison mais gardant à l’esprit que je veux moi aussi parcourir les océans. Deux ans plus tard, Bigorneau vient au monde. Deux enfants merveilleux. Tout pourrait se finir sur cette petite touche de fantaisie mais il s’avère que mon mari était un pirate raté et qui avait très souvent de mauvaises idées.
Cependant, je n’imaginais pas un jour le suivre dans l’une de ses idées. Il voulait se rendre dans la forêt enchantée car il était certain d’y trouver un mage capable de nous permettre d’avoir un trésor, enfin qu’il puisse surtout remettre la main sur son trésor oublié. Cependant, quand nous sommes arrivés sur les terres de la Forêt Enchantée, nous avons rencontrés ce fameux mage et Victor pour trouver son trésor a fait quelque chose dont je ne l’aurais jamais cru capable, il a échangé son Os a Moelle contre cette possibilité de pouvoir nous offrir une meilleure vie. Il venait d’offrir à ce sorcier notre seul moyen de rentrer chez nous. Par moment, je ne comprenais pas mon mari. Le sorcier venait de disparaître et avait donné à Victor une carte illisible sur laquelle devait se trouver l’emplacement du trésor.
En voulant énormément à Victor, je vins à partir de mon côté, me rendant compte que nous n’allions pas pouvoir rentrer si facilement chez nous et en plus, il avait eu don d’une vieille carte illisible. Nous n’avions plus de bateau, plus rien. Quelle plaie de porter le nom de MacBernik. Je fut très rapidement rejointe par Scampi et Bigorneau qui étaient très furieux contre leur père et qui souhaitait qu’on parte de notre côté et qu’on le laisse seul avec sa carte. C’était peut être l’idée la plus stupide mais comme une imbécile, je l’ai suivie. Nous sommes partis dans un petit village pas loin et nous avons laissé Victor seul et il n’est jamais revenu. Quand nous sommes retournés sur la plage, il ne restait que son tricorne. L’instant d’après, je m’en suis énormément voulue, surtout que je venais de découvrir une nouvelle fois que j’étais enceinte.
Sept mois. Nous avons vécus sept mois dans une petite maison dans un village, contraint de vivre sous le règne de Regina. Je faisais tout pour protéger mes enfants et surtout pour trouver un moyen de leur offrir de quoi manger et surtout de quoi vivre. Victor était porté disparu depuis sept mois, j’ignorais où il se trouvait et ma grossesse prenait de l’ampleur mais je ne m’inquiétais pas, il reviendrait…enfin je l’espérais.
Cependant, je ne m’attendais pas à être frappée par ce nuage violet au loin. La malédiction de Regina, elle était en train de s’abattre sur nous tous. Attrapant mes enfants, je vins à les serrer fort contre moi, espérant ne pas les perdre mais c’était eux mon bonheur et elle l’avait dit…elle voulait nous priver de notre bonheur.
Votre Vie à Storybrooke.
Je m’appelle Lucy Wright, mon nom apparaît plusieurs fois dans de nombreuses affaires dans les fichiers du FBI. Que voulez-vous, j’ai la débauche dans le sang. Je suis la fille d’une prostituée et d’un homme d’affaires qui seigneur ne doit jamais faire savoir qu’il a eu une batarde avec une catin. C’est en plein coeur de Los Angeles que j’ai été conçue et mon « père » a donné énormément d’argent à ma mère pour qu’elle taise mon existence. Malgré ma naissance et mon enfance, ma mère a continué son « métier » et moi j’ai grandie dans un monde entourée de catins très gentilles, de monsieur très étranges et surtout d’illégalité à n’en plus finir.
J’ai pu aller à l’école mais je n’ai jamais aimé ça. Tout le monde me regardait de travers parce que j’étais la fille d’une femme du trottoir et oh seigneur, comme c’était mal vu. Le soir, je rentrais et je pleurais mais ma mère m’a appris à ne pas tenir compte de ce que pouvais me dire tous ces p’tits cons et j’ai fini par prendre sur moi et me rendre à l’école pour le plaisir. Il s’est avérée que j’étais la meilleure élève de la classe. J’ai eu tous mes examens les doigts dans le nez (ouais, c’est une façon de parler hein.) et j’ai donc fini mes études avec deux ans d’avance. Cependant, à ma majorité, j’ai rencontrais un homme, adorable, très gentil mais qui s’avérait être un enfoiré notoire qui a fait naître des paillettes dans mes yeux.
C’est à lui que je dois ma popularité au sein des bureaux multiples du FBI, c’est grâce à lui que tous les illégaux d’Amérique me connaisse. C’est cet homme un soir qui a accepté de « prendre son dû. » après que j’ai monté des parties de poker illégales. D’après lui, je n’étais qu’une femme avec aucun avenir sans lui. J’ai accepté. Je suis tombée enceinte. Apprenant cette grossesse non souhaitée, je me suis réfugiée dans un de mes hôtels particuliers où j’avais une chambre. Oui car voyez-vous en dix ans, j’étais devenue la reine dans le domaine du poker, j’avais pas mal de tune mais à quel prix ?
Sept mois. Sept mois de tranquillité avant le pire. Le FBI serait très rapidement à ma porte d’après ce que venais de me dire Sonny par sms, tous mes « collaborateurs » avaient été arrêtés. C’est ainsi que je me suis retrouvée à fuir de cet hôtel, un sac rempli de tout mon argent et un autre de mes vêtements. Enceinte de sept mois, j’ai pris l’avion et je me suis rendue dans le Maine et je me suis retrouvée à Storybrooke. Je ne savais pourquoi mais je me sentais chez moi ici et j’espérais y être en sécurité. J’ignore depuis combien de temps je me trouve ici mais ma grossesse prends de l’ampleur depuis l’arrivée d’Emma Swan a Storybrooke. J’ai comme l’impression que quelque chose se passe et ça n’a pas l’air de plaire à Madame le Maire. Comme si le temps reprenait son cours…
Votre vie après la malédiction.
BAM ! Comme un electrochoc. Comme quand tu te prends un coup en pleine tête. La malédiction. Elle était brisée. Mes souvenirs étaient revenus. Lucile, Lucy, a présent, j’étais ses deux personnes. Mais étrangement, je prenais plaisir à être Lucy. Mais étais-je un jour sortie de Storybrooke ou tout ça faisait partie de mes souvenirs maudits ? Je n’en savais trop rien mais j’espérais que mon nom n’apparaissait pas sur les tableaux du FBI parce que c’était pas super cool. Et je me rendis rapidement compte que j’étais toujours enceinte. Depuis vingt huit ans ? Eh bah, le bébé, j’espère qu’il va être normal.
Après la rupture de la malédiction, j’ai essayé de vivre mes deux vies, j’ai essayé de retrouver ma fille et mon fils et surtout essayer d’accepter le fait d’être celle que j’étais aujourd’hui. Apparemment, Lucy était devenue avocate après avoir repris des études, enfin dans mes souvenirs en tout cas, c’était sans doute ce que j’étais alors. Cependant, j’avais connaissance de la salle de poker dans l’étage au dessus de son bureau. Une salle de poker remplie chaque mercredi soir et vendredi soir.
De l’argent ? Oui je m’en faisais beaucoup entre mon job d’avocate et ce petit plus qui ne devait pas être connue des services de police sinon je risquais gros alors je faisais tout pour que ça reste secret.
Trois mois plus tard…
Des contractions. Mon bébé allait arriver et je n’étais pas prête à l’accueillir. Comment le pourrais-je ? Comment être apte à l’élever toute seule ? Je devais réussir, pour le bien de cette enfant. Par chance, je trouva un soutien en la personne d’Eliza Wild qui devint ma meilleure amie et qui vint avec moi à la maternité. Lily vit le jour à 23H58. Lorsque le médecin la déposa sur ma poitrine, toute ma crainte disparue et j’étais la plus heureuse au monde.
Aujourd’hui, Lily a quatre ans. Quatre ans qu’elle remplie ma vie de bonheur et que je l’aime à en mourir. Mais son père va t’il me revenir ? Seul le temps me le dira…Cependant, aujourd’hui, ce que je veux avant tout, c’est protéger Lily de tout ça, lui permettre de vivre un maximum dans son univers bien à elle, coûte que coûte car je sais que la vie réelle est bien plus difficile et sombre que son monde à elle.
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Bouille d'ange, coeur de pirate.
Sourire bienveillant, ingéniosité pure.
✘❍✘
| Conte : la famille pirate | Dans le monde des contes, je suis : : lucile macbernik
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On pourra d'ailleurs le modifier 
