« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
Je faillit rouler des yeux, lorsqu’Hermès me demanda ce qui me prouvait qu’il n’était pas Dolos. Eh bien cela pour commencer. Dolos ne se serait pas amusé à se trahir lui même. De plus, il excellait dans l’art de la manipulation. S’il avait réellement souhaité me duper, il aurait sans aucun doute possible prit l’apparence d’une personne que je connaissais. Prendre celle d’Hermès, ne lui aurait servit à rien. Nous, étions au fond presque des étrangers. A la fois semblable mais différent, de ce que nous avions connus. Pour autant, je ne fit pas de commentaire, le laissant sortir ses ailes, afin de bien me prouver son identité. S’il y tenait, je n’allais pas le rabrouer. De toute façon, je me serais sentie coupable à la minute où je l’aurais fait. Même Apollon, alors qu’il pouvait par moment être absolument insupportable arrivait à me faire culpabiliser lorsque j’étais trop brusque avec lui.
- Je crains de ne pas avoir son appétit malheureusement. Mais, étant donné qu’il y a un menu végétarien, je vais l’honorer. Et la vue de la viande ne me dégoutte pas. Ce serait un compliqué si c’était le cas, étant donné que je suis la déesse de la chasse. Simplement, c’est plus...écologique dirons nous d’être végétarien, et c’est aussi une question d’éthique envers les animaux. La chasse et l’abatage sont deux choses différentes.
Tout comme je faisais attention, aux produits de la maison, m’assurant qu’ils ne soient pas testé sur des animaux. Je n’utilisais que des choses cent pourcent naturelle. Quant à la question de l’appétit, nous ne le ressentions pas vraiment. Apollon, en profitait donc, afin de se goinfrer le plus possible. J’étais plus modérée. Mais, cela avait toujours été ainsi, dans tout ce que nous faisions. Apollon, adorait les excès alors que pour ma part, j’étais constamment dans la modération. Tout, était une question de personnalité au fond.
En revanche, je haussais un sourcil à la question d’Hermès. C’était...très personnel. Je, n’avais parlé de Pitch à personne encore. Enfin...Apollon, savait qu’il était de retour en ville, et que nous, nous étions revu. Il, ignorait simplement que les choses avaient évolués, depuis la dernière fois où je lui en avait parlé. J’avais envisagé de mentionner le gêne encore en place à l’époque, lorsque j’avais passé la journée avec Aphrodite. Mais, au final je ne l’avais pas fait. Préférant, garder cela pour moi. Elle était blessé par le silence d’Héphaïstos, et apparemment en pleine désillusion amoureuse. Quoi qu’il en soit, ce n’était pas le bon moment pour lui parler de mon ex, et de la situation dans laquelle nous étions.
J’admettais également être assez étonné par ce « les ». Apparemment, cette Artémis la était extrêmement différente de moi. Je me demandais, comment le Apollon de là-bas le prenait. Peut-être était-il moins possessif que le mien ? Ici, ne serait-ce qu’une misérable représentation artistique de ma personne, avait tendance à le faire monter sur ses grands chevaux. Je me souviendrais toujours, de l’histoire de « La Diane de Versailles ». Le Louvre, avait été extrêmement fière de pouvoir récupérer cette pièce de la collection personnel du château de Versailles. Lorsque Apollon avait appris, que cette statue était nommé ainsi, parce qu’elle avait été demandé par Louis XIV pour être exposé à Versailles, j’avais cru avoir droit à un scandale publique. J’avais fort heureusement, réussit à détourner son attention, sur un tableau le représentant, évitant ainsi le dit scandale. Si supporter son narcissisme, était le prix à payer pour ne pas se faire remarquer et jeter dehors alors ma foi, ce n’était trop cher payé.
Néanmoins, depuis ce jour, je bénissais le fait qu’Apollon n’ai pas de collectionneur d’art dans ses relations. Si par malheur, une statue, un buste, un tableau ou je ne sais quoi d’autre m’avait pour thème, cela ne lui plairait pas du tout.
- J’ai quelqu’un effectivement, là aussi c’est une longue histoire. Disons que cela fera cinq ans que nous avons fait connaissance prochainement. Nous avons été ensemble pendant deux ans, puis nous nous sommes séparé pendant un an, avant de nous retrouver en début d’année. Nous, sommes de nouveau ensemble depuis peu.
Ou plutôt, nous avions avoué avoir toujours des sentiments l’un pour l’autre et convenu de faire les choses autrement cette fois-ci. Et, ce n’était pas une liaison. Je n’appréciais pas ce mot. Tout comme je n’appréciais pas le mot « amant ». Je leur trouvais une connotation péjorative. Pitch, était l’homme que j’aimais, le père de mon fils et mon compagnon. Il était le seul que j’avais un jour aimé, et très certainement le seul que j’aimerais fin de l’histoire.
- Hadès te dirait sûrement que ton Artémis, était moins « coincée ». Il n’y a rien de palpitant à dire de mon côté. J’ai refusé de m’attacher à un homme, par crainte de souffrir pendant des siècles et la condition sine qua non, pour un jour espérer envisager quoi que ce soit avec moi, était de ne pas être divin d’une quelconque manière que ce soit. Et si par dangereux, on considère qu’Apollon risque de nous faire une rupture d’anévrisme lorsqu’il sera au courant, alors oui. On peu qualifier ma relation de « liaison dangereuse » conclus-je en mimant des guillemets avec mes doigts.
Ce devait bien être la seule chose de potentiellement dangereuse là-dedans. Enfin, cela et la possibilité qu’ils décident à nouveau de se battre comme des chiffonniers, afin de rendre hommage à la dernière fois. Là-dessus j’étais ferme. Ils se débrouilleraient sans moi s’ils décidaient de recommencer. Je voulais bien intervenir dans leur bagarre une fois mais pas deux. Je comptais, de toute façon sur Pitch pour se comporter en adulte raisonnable, là où mon jumeau ne le serait certainement pas.
A bien y réfléchir, notre première rencontre pouvait également, avoir ce qualificatif. Mais, il y avait eu erreur sur la personne, et il s’était excusé...Après avoir tenté de me tuer, et également tenté de rentrer dans mon esprit afin d’en ressortir ma plus grande peur certes. Mais, il y avait prescription. Cela remontait bientôt à 5 ans. Mais refusant de passer pour une inadapté sociale, barbante je m’empressais d’ajouter des précisions :
- J’ai des amis, enfin un ami. Ou plutôt, je le considère comme mon ami, mais je ne suis pas très douée pour l’exprimer. Donc en définitif je crois qu’il est plus celui d’Apollon que le mien.
Qu’était Jules sinon un ami à ses yeux ? Leur espèce de pseudo rivalité, et sa manière de se plaindre constamment de lui, qu’avait mon frère, ne laissait pas de doute quant au fait, qu’en dépit de sa jalousie maladive, il le considérait tout de même comme tel.
- En somme, ma vie personnelle n’a rien d’extraordinaire. Mais, si tu souhaite poser d’autres questions dessus ma foi, c’est selon ta convenance dis-je avec un haussement d’épaules.
J’avais après tout commencé à lui dire, qu’il pouvait le faire. Je n’avais qu’une parole, alors s’il souhaitait continuer d’en savoir plus là-dessus, je n’allais pas revenir sur ce que j’avais dit. J’estimais simplement que ce n’était pas très palpitant. Celle d’Aphrodite devait être bien plus intéressante à raconter.
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Regardant son plat arrivé, il écouta Diane presque à moitié. Il avait cette faculté là. Au départ, on pensait qu’il faisait exprès de ne rien entendre. Il était volatile. Certains sujets l’intéressaient bien plus que d’autres. Et là, en l’occurrence, bien qu’il tenait de plus en plus en cette Artémis là, le plat qui venait d’arriver était une priorité. Il était resté très longtemps sans rien manger dans l’autre monde, et la séquelle qui en était ressorti était que depuis qu’il était ici, il dévorait chaque aliment. Viande ou pas viande. Mais comme son cerveau était bien constitué, les paroles du premier sujet revenaient toujours comme un écho dans son esprit. Aussi, après plusieurs bouchés et quand tout redevint normal dans sa tête, il déclara : « Cha a l’air tréch compliché toucha... »
Finalement, Hermès passa sa serviette sur sa bouche, et reprenant son calme et son sérieux, il déclara à voix basse, dés fois qu’Apollon puisse les entendre : « Ca a l’air très compliqué tout ça. Mais crois moi. Le secret est bien gardé. Je préserverai la santé d’Apollon, même s’il est immortel. On sait jamais… Peut être que ça le tuerait véritablement s’il l’apprenait. »
Pensif, Hermès laissa sa fourchette en suspens. Ca c’était une vraie question. Est-ce qu’ils pouvaient vraiment mourir de chagrin ? Il n’avait jamais été vraiment malheureux au point d’en arriver là, mais maintenant que la question était dans son esprit, il n’arrivait pas à la chasser. Finalement, il revint sur terre lorsque son cinquième plat arriva devant lui. Oui, il mangeait beaucoup. « Je pense que tu devrais rien lui dire. Il l’apprendra tôt ou tard. Quand ca sera le cas, je viendrai. Déjà, pour garder ça en mémoire, parce que ça risque d’être intensif, et aussi pour essayer de le rassurer… Enfin si j’y arrive, et si j’ai ma place dans la conversation. Sinon, je m’en tiendrai au plan. Immortalisé sa tête le moment venu dans mon esprit... »
Et il ricana d’un air machiavélique. Hermès adorait embêter Apollon, et lui faire des blagues. C’était son passe-temps favori. Et entendre l’annonce d’une relation de sa sœur avec quelqu’un, ça serait certainement Noël avant l’heure pour lui. Aussi, il changea de sujet, car il savait que la patience de Diane était légendaire, mais pouvait être limité sur certains sujets. Enfin, si c’était bien la même que celle de son monde… « Moi non plus, j’ai pas beaucoup d’ami. Je n’en avais pas beaucoup non plus. J’étais même, de mémoire, celui qui en avait le moins… Hormis... »
Ses baguettes tombèrent légèrement dans son assiette et ses yeux devinrent étrangement un peu plus humide. Il allait dire, hormis Pégase. La perte de sa créature avait été très douloureuse, et la blessure n’était pas refermée. « Hormis Pégase. »
Reprenant ses baguettes, Wallace mangea un peu moins vite qu’avant. Les aliments étaient moins bons depuis qu’il avait l’image de son cheval ailé à l’esprit. Préférant encore changer de sujet pour sa sécurité affective cette fois-ci, il poursuivit : « Mais avoir beaucoup d’amis, n’est pas la même chose qu’avoir les bons. C’est ça, le plus important. »
Et pour appuyer ses propos, il la pointa avec sagesse à l’aide de ses deux baguettes. Quand le sixième plat arriva, il le renvoya en cuisine. La perte de Pégase lui avait coupé l’appétit.
« Ta vie personnelle est bien plus palpitante que la mienne. Et tu sais comme moi que chaque chose est extraordinaire, même celles qui te semblent en générale les plus insignifiantes. C’est d’ailleurs souvent les plus intéressante… Donc, si on passe du coq à l’âne, Aphrodite est bel et bien maman. Cet enfant est bien le sien, ce n’est pas une légende... »
Regardant à l’extérieur, certains souvenirs lui revinrent en mémoire. Il aurait du se douter que cela arriverait un jour. « Ce que je ne comprends pas, c’est que nous sommes sensé être stérile. C’est très étrange. Je commence déjà à comprendre ce que tu voulais dire quand tu parlais de notre vie comme un mensonge ambulant… Tu sais, parfois, je me demande même si je suis bien réel. Si mon monde n’est pas qu’un simple reflet du votre, et qu’à terme je ne sois pas voué à disparaître. »
C’était vrai, cette pensée lui avait traversé l’esprit. Et il avait besoin de la partager avec quelqu’un. Et puis, Artémis inspirait la confiance. Ici, ou même n’importe où ailleurs, il était bien, du moment qu’il soit avec elle.
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Bien sur que c’était compliqué. Tout était compliqué quand cela concernait de près ou de loin notre famille de toute façon. En revanche, je grimaçais franchement au conseil d’Hermès de ne rien dire à Apollon. C’était positivement hors de question. D’accord, le « zero secrets entre nous », n’était plus aussi bien respecté qu’auparavant. Je savais qu’il y avait certaines choses ne dépendant pas uniquement de lui, dont je n’étais pas au courant et vraiment, je ne lui en voulait pas. S’il pouvait faire autrement je savais pertinemment, qu’il choisirait de les partager avec moi. Néanmoins, je n’avais nullement l’intention de laisser Apollon apprendre de lui même notre remise en couple avec Pitch. Si nous avions tous les deux convenus de ne pas faire comme la dernière fois, cela impliquait également la manière d’aborder les choses avec mon frère jumeau :
- Oh non, pas cette fois-ci. J’aimerais éviter une nouvelle bagarre entre eux. De plus, j’ai déjà prévus la manière de le lui annoncer. J’ai trois billets pour un festival de musique à Paris. Je vais les y emmener tous les deux. Et puis Apollon n’a pas grand-chose à dire de toute façon. Ce n’est pas moi qui vais me marier.
Et afin de ponctuer, ma phrase j’attrapais violemment un ravioli aux légumes avec mes baguettes, avant de le tremper légèrement dans la sauce et d’en prendre une bouchée. Signifiant par là, que je ne souhaitais nullement m’étendre sur ce sujet. Apollon s’était suffisamment prit de « occupe toi de ton mariage » en pleine figure au cours de ces derniers mois, inutile de remuer le couteau dans la plaie. Dire, que si c’était moi à sa place, il n’aurait manqué aucune occasion de me faire une scène. Rien qu’a cette idée, je roulais des yeux exaspérée par son comportement de gamin.
- Il n’empêche dis-je légèrement frustrée, que par moment j’aimerais aussi en avoir, et pas des amies dis-je en insistant sur le « e ». Les gens me voient comme une personne refusant absolument la présence des hommes. C’est faux. D’accord, je fais souvent des remarques sur le comportement masculin. Et oui, je suis une féministe je ne m’en cache pas. Mais féministe ne veut pas dire sexiste pour autant. Des fois, je me dit que j’aimerais bien, simplement être ami avec un individu masculin hors de cette famille. Juste ami, sans ambiguïté et de manière totalement désintéressé. Mais là, en toute franchise je pense que c’est l’équivalent de croire encore au père noël.
Techniquement, il existait. De même pour le lapin de pâques, et tous les autres. Je connaissais vaguement le marchand de Sable -nous n’avions pas plus de lien que cela. Et, j’en savais suffisamment de Pitch pour savoir que ce n’était non seulement pas le grand amour entre eux, mais qu’ils étaient tous en ville. Pour l’heure, ce n’était pas le sujet, la conversation s’orientait sur Peggy :
- Ce n’était pas non plus facile pour elle, lorsque le Hermès d’ici est mort. Heureusement, elle habitait avec nous à l’époque. Alors, je me suis occupée d’elle, j’ai essayé de l’aider. Sa peine ne partirait jamais complètement, mais avec le temps elle s’atténuerait. C’était ce que j’essayais de lui faire comprendre. Peggy, est adorable. C’est l’une des personnes les plus gentille que je connaisse. Elle est incapable de faire du mal à qui que ce soit.
Les seules autres personne comme elle, étaient Lily et Apple. Mais Apple, n’était plus là. Elle était à New York avec aucun souvenirs de sa vie passé avec nous. Et même si c’était mieux ainsi, je ne pouvais par moment m’empêcher d’être triste. Elle me manquait, ce n’était pas un secret après tout, que je l’avais toujours adoré.
Ce qui attira mon attention, en revanche ce fût la question d’Hermès au sujet d’Elliot. S’il était né là-bas, c’est bien que les choses devaient s’être passé de la même manière que chez nous non ? A moins qu’ils n’aient aucune idée de pourquoi ils se battaient ou bien que Zeus, se soit chargé de régler l’histoire avant que cela n’aboutisse à la bataille qu’il y eu chez nous. Je n’en savais rien. Ici, ce n’était un secret pour personne, comment cet enfant était venu au monde. Y compris, cette histoire de stérilité finalement très facilement contournable. Enfin, il subsistait toujours des zones d’ombres mais je n’étais pas certaine que nous soyons en possession de toute la vérité un jour :
- Elliot est tout ce qu’il y a de plus vivant et si jamais tu as encore des doutes, je t’encourage vivement à sentir son aura. Il a celle de ses parents. Comme n’importe quel enfant divin. Nous y compris. Par exemple, l’aura de Mnémosyne est très similaire à celle d’Apollon et à la mienne. Tout comme mon aura est quasiment la même que la sienne. Après pour la version officielle des faits : Hadès ou Aphrodite aurait croqué dans une pomme d’or du Jardin des Hespérides. Permettant ainsi de concevoir un enfant. Mais bien sur si tu demande à Hadès ce n’est pas lui et si tu demande à Aphrodite ce n’est pas elle. Selon Hadès, il n’a pas croqué dans une pomme d’or, c’était un accident, tout comme Autumn apparemment. Il n’est pas « accroc aux bébés » selon ses propres termes.
En somme, nous n’étions pas plus avancé. De toute façon, je pense sincèrement que jamais nous ne saurons ce qu’il s’était exactement passé cette fois là. Était-ce dût au fait qu’Hadès était différent de nous tous, parce que Thémis n’avait pas accomplit de rituel avec une nymphe ? C’était une théorie plausible mais nous n’avions pas suffisamment d’élément pour l’étayer. Alors en attendant. Je mettais la naissance de mon neveu sur le compte de 99 % de mauvaises fois commune de la part de ses parents. De toute façon, cela ne changerait pas grand-chose, de savoir comment il est venu au monde. Aujourd’hui le jardin des Hespérides n’existe plus, pas plus que les pommes d’or d’ailleurs. Et c’était bien mieux ainsi. Quand, je voyais tout le mal que cela avait causé.
- Aphrodite a développé une carpophobie suite à cette histoire de pomme d’or. Ne t’avise pas de lui mettre des fruits sous le nez et je suis sérieuse. Elle en a une peur bleu. Tout a été détruit pendant la guerre. Zeus a envoyé Arès s’en occuper. Il n’y a plus ni arbre, ni Hespérides, ni Pomme d’or.
Plus aucun moyen de créer un bébé à cent pourcent divin. Les choses avaient été suffisamment compliqué avec les demi dieux à l’époque.
- Tu verras que nôtre monde, a une histoire encore plus compliqué et tordus que le tiens.
C’était peu dire. Entre les cavaliers, les demi dieux, les déesses magiques, les racines et j’en passe. Il nous était arrivé pas mal de choses ces dernières années. Certaines moins réjouissantes que d’autres.
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Par mesure de sécurité, Hermès avait posé ses baguettes et avait placé ses mains devant lui. Quelque soit le monde, les déesses ses sœurs avaient vraisemblablement le même caractère. Et on n’était pas à l’abri d’une furie, jamais. Voyant que le sujet commençait un peu à la mettre en pétard, il reprit, lentement, très lentement ses baguettes et continua à manger tout en surveillant Artémis d’un œil. Il fallait tout de même rester prudent. Terrain glissant. « Je vois que les choses ne changent pas trop d’un monde à l’autre sur… Certains sujets. »
Par sujets, il voulait bien entendu parler de la relation fusionnel et parfois chaotique que pouvait avoir Artémis et Apollon. D’ailleurs, il en aurait presque pleurer de joie s’il n’avait pas eu à manger sa crevette. Ce genre de chose lui avait cruellement manqué. Aussi, il hésita à la relancer sur le sujet. Juste pour la voir en parler. Encore, et encore… Il ne s’en lasserait de toute manière jamais. Là Bas, ils étaient morts. Mais ici, ils étaient bien vivants, et avec tout ce que cela entraîné. « Je vois que le mariage de ton frère te rend plus joyeuse que jamais » dit-il avec une pointe d’ironie non-feinte. « Il m’en a vaguement parlé. Surtout avec qui. Personnellement, je trouve ça dégueulasse de se marier avec la petite fille de sa sœur. Enfin… Pas l’même monde, pas l’même vécu… Je suppose que vous ne vous considérez plus comme des frères et sœurs hormis quelques exceptions depuis que vous avez appris votre ascendance. C’est très nouveau pour moi. Mais visiblement, Apollon s’est bien adapté ! »
Il avait dit ça avec une pointe d’amusement dans le regard. Quand on y regardait de plus prêt, au final, c’était pas sa petite nièce, Cassandre. Mais ça y ressemblait quand même beaucoup si on prenait en compte la variable du Temps où ils s’étaient tous considérés comme des frères… Après, Zeus et Héra avaient aussi eu une idylle. Finalement, peut être qu’ils étaient tous destinés à s’aimer entre frère. C’était relatif… A cette pensée, d’ailleurs, Hermès dut passé pour un imbécile, car il eut une expression de stupidité marquée sur le visage en mangeant sa énième crevette. « Désolé. Je m’adapte lentement… Euh… Ben tu vois... » dit-il en posant ses baguettes calmement. « Si on peut considérer qu’on peut épouser un membre de sa famille, on peut aussi considérer qu’on peut devenir aussi un ami avec lui. Je pense que ça peut marcher pareil. Moi, de toute façon, je te vois comme une sœur, et surtout une amie. Ca s’explique pas ce genre de chose de toute façon. C’est instinctif. Et pour l’instant, on se débrouille pas mal... »
Il en était à son énième nouveau plat. La nourriture lui avait cruellement manqué. Aussi, il fit une pause, car aucun homme de son physique n’aurait pu manger une quantité aussi astronomique de nourriture sans éveiller les soupçons. Le personnel du restaurant l’observait déjà d’un œil suspicieux. Aussi, malgré la faim qui était toujours présente, il se tint le ventre comme s’il avait du mal à digérer cette grande quantité de nourriture. « Tu sais, le féminisme n’existe pas, dans la mesure où l’on considère les femmes comme l’équivalent des hommes. Le féminisme, c’est le truc le plus sexiste du monde. Pour celui qui les considère à égalité des hommes… Mais je suis bien d’accord avec toi ! »
Puis elle parla d’Aphrodite, d’Elliot, de Peggy. Il voyait bien que pour elle, c’était du quotidien. Elle faisait parti de ce monde, elle les avait vu évolué. Mais pour lui, dans son esprit, il y a maintenant quelques mois, ils étaient soient morts, soient disparus… Il avait vraiment du mal avec cette nouvelle façon de penser. C’était très étrange, surtout quand cela vous semblez, si familier. Buvant un peu d’eau, ses yeux s’humidifièrent discrètement, pour reprendre leur teinte habituelle. Non. Il n’avait plus le droit à quelconque faiblesse. Surtout dans ce monde qui semblait, finalement, aussi impitoyable que le sien. « On va dire que je t’ai bien compris pour les fruits. C’est quand même bizarre ça. Ca doit être elle qui a croqué dedans. De toute façon Hadès est un menteur. Donc s’il dit qu’il n’a pas non plus croqué dedans, c’est qu’à mon avis, il l’a fait quand même. Peut être qu’ils ont croqué à deux dedans. Une pomme pour deux, ça se fait largement. »
D’ailleurs, c’était précisément le fruit qu’il avait dans les mains. Avec un regard rieur et un air de malice sur le visage, il l’a tendit à Artémis en ricanant :
« Si tu veux, on peut partager celle là. Promis, t’auras pas de bébé avec des petites ailes. Elle est tout ce qui a de plus normal. Ton monde est bien différent du miens. Ce qui est étrange, c’est qu’il semble en avance sur le miens. Comme si nous ne venions pas en réalité de la même chronologie en même temps que du même monde. Pourquoi notre Hypérion n’est jamais apparu. Si tu veux mon avis, c’est Cassandre, la clef de l’histoire. Car sans elle, chez moi, Hypérion n’est pas apparu pour nous révéler tout cela. »
C’était pas très stupide. C’était même mathématiques. Il avait manqué quelque chose à son monde pour qu’il soit semblable à celui là. Quelque chose d’important, il en était convaincu, et il était bien décidé à savoir quoi.
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J’émis un léger reniflement condescendant à la remarque d’Hermès sur le mariage d’Apollon. Me retenant de faire un commentaire en attrapant délicatement les nouilles de mon bol avec mes baguettes. En soit, le problème n’était pas vraiment Cassandre. Mais les choses seraient sans doute mieux passé, si je ne lui avait pas donné le biberon et changé les couches alors qu’elle n’était qu’un bébé. Évidemment, qu’elle n’avait aucun souvenir de cette période. Mais moi, malheureusement si. Et l’image d’une mini Cassandre en train de baver sur mon chemisier, avait un peu trop tendance à s’imposer à moi, renvoyant tout un tas de frisson désagréables le long de ma colonne vertébrale, et à me donner la nausée.
- Le féminisme existe corrigeais-je et continuera d’exister tant qu’il y aura des inégalités entre homme et femme. De plus, cela n’a strictement rien de sexiste. Le féminisme c’est avant tout un mouvement, donc des idées. Qu’elles soient littéraires, politiques, philosophiques et j’en passe. Dire qu’aujourd’hui il y a une égalité totale des sexes c’est être encore bien loin de la réalité, repris-je posément. De nombreux progrès ont été fait, je ne le conteste pas. Mais, l’égalité est très loin d’être acquise. Ce n’est pas parce qu’à la maison un homme cuisine et fait le linge qu’il y a égalité. Une femme, reste moins payé qu’un homme exerçant pourtant le même poste qu’elle et ayant les même compétences. Dans certains pays, la femme n’a quasiment même pas de droit. Tiens, cet été en Argentine, le sénat local après des heures de débat a refusé le projet de loi sur l’avortement. Et puis, il y a pas que des femmes qui sont féministes. Des hommes, également se définissent comme tel, donc ce n’est en rien sexiste.
Au contraire, si certains hommes considérait les femmes comme étant leur égale, c’était bien que cela servait à quelque chose. Sans le féminisme, on en serait pas là. J’étais très à cheval là dessus. Certainement, parce que c’était moi l’origine de tout ceci. Des siècles, à subtilement faire comprendre aux femmes, qu’elles n’étaient pas réduites au statu d’objet. Car, si c’était le cas c’était que quelque part elles étaient craintes. Pourquoi, vouloir à tout prix enfermer quelqu’un dans un statu inférieur si ce n’est par crainte. Leur refuser l’éducation, les conditionner au rôle de poule pondeuse et mère au foyer. Par moment, aujourd’hui même il m’arrivait encore de grincer des dents. En particulier lorsque j’avais l’impression que l’humanité ne retenait strictement rien de l’histoire.
- Ce n’est pas la même chose, dis-je lorsque le sujet amitié/relation familiale fût de nouveau abordé. J’aimerais par moment des liens un peu extérieur à tout ce qui est divin. Le seul homme que je connaisse vraiment en dehors de tout ceci, est hors catégorie étant donné que j’en suis amoureuse. J’aime ma famille, mais justement c’est ma famille. Prenons un exemple. En laissant, Apollon et Hadès de côté, car ce sont des cas à part. Partons sur Hépha. Je l’adore, mais ce que je ressens à son égard ce n’est pas vraiment de l’amitié. C’est plus l’affection d’une petite sœur à son grand frère. Tu vois où je veux en venir ?
Était-ce réellement une bonne idée de partir sur les liens ô combien compliqués m’unissant aux autres dieux ? Hadès et moi avions passé des siècles à nous envoyer des piques et des vacheries à la figure, pour finalement trouver ce qui à mon sens ressemblait à un cessé le feu l’an dernier. Néanmoins, ces derniers j’avais l’impression que les choses avaient de nouveau régressé. Et, j’étais profondément déçus. Sauf que je m’imaginais mal, aller trouver Hadès et le lui expliquer. A savoir, que j’avais enfin l’impression d’avoir trouvé un frère en lui, et à présent il semblait vouloir redevenir l’espèce d’enquiquineur tête à claque d’avant. Et ne parlons, même pas de Zeus, Poséidon et Dolos. Eux, ils n’étaient pas très haut dans mon estime. Et puisqu’on parlais de déception. Peut-être craignais-je qu’il n’arrive avec Hadès, ce qu’il était arrivé avec Poséidon. Pendant longtemps, j’avais cru avoir trouvé un frère et au final il s’était bien payé ma tête.
Secouant la tête, je repris tranquillement une bouchée de ravioli, roulant simplement des yeux, lorsqu’il proposa de partager une pomme m’assurant qu’il n’y avait aucun risque pour moi d’avoir un enfant. Néanmoins, je ne pu empêcher mon estomac de se contracter légèrement. Je, n’aimais pas franchement aborder ce sujet. A la longue, j’avais finit par simplement me dire que je portais malheur. Soyons réaliste. Mes créatures étaient mortes, et mon fils avait subit le même sort. Autant dire, que le désire d’enfanter n’était plus franchement d’actualité :
- Évidemment, qu’il n’y a aucun risque, je pense ne pas avoir besoin de t’expliquer comment on fait les bébés rétorquais-je moqueuse.Et si tu veux mon avis, la clé de l’histoire c’est Elliot. Cassandre reste un élément important qu’il ne faut pas négliger. Mais si le Hypérion de chez toi, n’est jamais apparu, cela à tout a voir avec Elliot. Voilà ce que nous savons : Cassandre, viens du futur. Elle est venu à notre époque afin d’empêcher le Ragnarök. Pendant un temps, dans ce futur, elle est arrivé à l’époque des titans. C’est à ce moment là, qu’ils ont noués avec Hypérion. Pendant cette même époque, Elliot est devenu Surt. Et crois-moi tu n’as pas envie de te retrouver face à lui, à ce moment là. Le fait qu’Hypérion, Cassandre et maintenant Thémis soient aujourd’hui à notre époque ne peut pas être une coïncidence. Et si, le véritable but n’était non pas d’empêcher le Ragnarök mais d’empêcher Elliot de devenir Surt ? Pour moi, la clé de voûte c’est notre neveu.
Ce n’était qu’une théorie. Je n’en avais pas discuté avec Apollon, et cela assombrit mon humeur. En fait, nous parlions rarement de ce genre de choses avec mon frère. Pourtant, autrefois nous l’aurions fait sans aucune hésitation. Alors qu’est qui bloquait aujourd’hui ? Qu’est qui m’empêchait de lui parler de tout cela ? La question demeurait sans réponse.
- Beaucoup de choses gravitent autour d’Elliot ici. Tu pourras rapidement t’en rendre compte. Sans sa présence, dans ton monde, certaines choses ne se sont jamais produite.
Il n’y avait par exemple, jamais eu d’Hippolyte, pas plus que d’Apple ou de Phobos.
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Quand elle parla de l’Argentine, Wallace haussa un peu les sourcils et se posa un peu plus sur son fauteuil. Faisant tourner mécaniquement ses baguettes, il fixa Diane avec intensité. Quelque chose n’allait pas. Visiblement, dans ce monde, Olympe était caché, et n’intervenait pas. C’était différent de chez eux. Olympe était sur Terre. Ils étaient visibles de tous. Fronçant les sourcils, il déclara simplement :
« C’est odieux. Pourquoi n’intervenez vous pas ? Et ne me sortez pas le grand discours comme quoi les hommes n’ont pas besoin de nous pour courir à leur perte. J’ai rapidement vu le monde dans lequel nous vivons. Cette nourriture, elle est très bonne. Mais j’ai vu comment, ici, les animaux sont traités. Comme les hommes traitent la Nature. Et vous n’avez rien fait. Ce n’est pas une accusation, mais simplement une question : Pourquoi ? »
C’était vrai. Il avait voyagé, et le monde était libre. Les femmes et les hommes avaient leur libre arbitre, bien loin des problèmes des dieux. Pourtant, ils faisaient n’importe quoi, et personne n’intervenaient. Ca continuait, encore et encore. Finalement, songea-t-il, si le Nuage ne s’en chargeaient pas, les Hommes étaient capable de détruire leur propre monde par eux même.
Faisant toujours tourner ses baguettes, il l’écouta parler avec attention sur les hommes qu’elles voulaient rencontrés. Un peu vexé, il décida de riposter avec humour. Mimant quasiment trait pour trait et ton pou ton Apollon, il déclara simplement. « Il paraît qu’il existe à Storybrooke, un mec qui s’appelle Michel-Ange. Et il est super cool. Tu devrais commencer par lui. »
Ricanant en se moquant un peu de sa sœur qui était vraiment à cheval sur les relations, il termina en silence le reste de son dernier plat. Finalement, il s’était resservi. Encore une fois. Oubliant bonnes manières et soupçons de la part de la clientèle. Cette cuisine était divinement bonne, et il fallait l’honorer en tout point. « Hadès, tu devrais le mettre un peu de côté. Je connaissais un peu l’autre. Faut toujours que le monde tourne autour de lui. Et Apollon aussi tu me diras. Finalement c’est peut être ça qui te plaît. Faut que ça gravite autour de quelqu’un d’autre que toi… Mais Hadès, faut s’en méfier. Surtout quand il est gentil. Y’a toujours un truc derrière sa tête, un objectif, un coup d’avance. Et crois moi, si tu vois pas son objectif, c’est que son objectif… C’est toi ! »
C’était vrai. Son Hadès Inférieur lui avait fait le coup plusieurs fois, et il avait fini par comprendre ça. D’ailleurs, il se dit intérieurement qu’il venait de juger deux de ses frères, dont son jumeau devant elle de manière un peu sec. Il recula un peu, de façon à être assez loin d’une claque éventuelle. Ca aussi, il l’avait compris avec le Temps. Toujours à plus d’une distance d’un bras d’Artémis et d’Aphrodite. Ecoutant la suite en détail, et n’en ratant aucun, il se permit de boire un petit verre d’eau, pour faire passer la quantité de nourriture qu’il venait de s’empiffrer. Ce qu’elle lui expliqua semblait clair, précis, et logique. C’était mathématiques. Tout partait d’Elliot, évidemment. Zeus et Dolos II avaient juste compris les choses à moitié. Comme les imbéciles qu’ils étaient. Celui qui devait savoir, c’était Hadès. Mais il ne fallait pas lui poser la question, parce qu’il n’y aurait pas répondu. Même avec son look de drag-queen. Finalement, les serveurs enlevèrent les plats, et Wallace fixa sa sœur avec intensité. Il avait un élément de réponse.
« Très bien. Pour Surt, j’ai déjà une petite idée. Du moins, des démons qui peuvent l’habiter. Ce que j’ai vu à la fin de mon monde avait l’air d’y ressembler. Effectivement, c’est la clef. Mais tout le monde se concentre sur la clef, alors qu’en fait, tu vois, l’élément principal, c’est toujours la porte qu’elle ouvre… Le problème, c’est pas lui, mais les conséquences et les causes. Tu l’as vu. Dans mon monde, il n’était que l’ombre de lui même, et le Ragnarök n’était même pas une idée. Cet événement vient avec les Titans. Nous le protégeons, car je pense qu’il referme en lui une puissance dont beaucoup rêve. C’est peut être juste un… Vecteur énergétique pour le déclencher. Il est lié au Temps. La réponse est là, sous nos yeux. Tu contrôles Elliot, tu contrôles le Temps. »
C’était un peu brouillon, mais il réfléchissait toujours comme ça. Dans ce qu’il disait, il y avait toujours du vrai, du faux, des choses justes et des erreurs. Mais quand il réfléchissait à plusieurs, c’était toujours une bonne source d’inspiration. « Dans mon monde, Zeus pensait que le Nuage venait pour lui. Il savait également que c’était lui, le seul capable de l’anéantir. Dolos a des éléments que nous n’avons pas. Et lui, contrairement aux Titans, est largement à notre portée pour lui soutirer des informations. C’est pour ça qu’il faut que nous le trouvions avant les autres, afin de lui proposer un marché. De ce que tu m’en dis, ici, les Titans ou leurs volontés ont toujours fait en sorte d’éliminer les informations avant qu’elles n’atteignent nos oreilles. Et cette fois-ci, il faut l’éviter. »
Ca par contre, c’était certain. Il en était même persuadé.
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La question était plutôt « que pourrions nous bien faire pour changer les choses » ? Les droits des femmes, et la manière dont les mortels se préoccupaient si peu de la nature était deux gros sujets de débats avec moi. Mais toute déesse que j’étais, qu’est que je pouvais bien faire contre cela ? J’essayais désespérément de sensibiliser les gens. Mais, tant que les mentalités ne changeront pas, on pourrait essayer de tout faire cela ne changerait rien.
- Que veux-tu que l’on fasse ? Leur mettre un couteau sous la gorge en leur ordonnant de mettre les femmes au même niveau que les hommes et d’arrêter de polluer et détruire leur environnement ? Demandais-je un brin sarcastique. Même nous, on ne peu rien faire contre cela, c’est un radicale changement de mentalité qu’il faudrait. Hors ces derniers temps, lorsque j’allume ma télévision pour regarder les informations j’ai l’impression que l’humanité est en train de régresser. A croire que leur propre histoire ne leur a strictement rien appris ! Tout comme on ne peu pas sauver quelqu’un qui ne souhaite pas être sauvé, on ne peu pas forcer une personne à faire quelque chose qu’elle ne souhaite pas. C’est malheureux mais c’est comme cela que les choses fonctionnent. Je me suis suffisamment mêlée aux mortels durant des siècles pour savoir comment ils marchent
Et là, j’étais doucement en train de perdre patience. Pourtant, il était rare de me mettre dans des états pareils. Et, je savais qu’il s’agissait là de deux points de vus différents car deux vécus différents. Me massant, légèrement les tempes, je choisis simplement de continuer à manger. Au moins, ainsi je ne pourrais pas ouvrir la bouche pour parler. Trop occuper à consciencieusement mastiquer ma nourriture, tout en réfléchissant au nom qu’il m’avait donné. Étant donné son interprétation d’Apollon, je supposais qu’il le tenait de lui. Néanmoins, cela ne me disait rien. Enfin, le nom en lui même me disait bien quelque chose. J’avais connus un Michel-Ange. L’un des nombreux protégés de mon frère dans le domaine artistique. On lui devait d’ailleurs la fresque sur le plafond de la chapelle Sixtine entre autre. Mais, ce Michel-Ange là avait quitté ce monde, il y a bien longtemps déjà.
- Connaît pas, dis-je après avoir avalé ma bouchée. Le seul Michel-Ange que je connaisse était un peintre et sculpteur florentin. Il serait flatté de savoir que quelqu’un porte le même nom que lui. Enfin s’il s’agit d’une connaissance d’Apollon, mieux vaut m’en abstenir.
Des fois, il nous arrivait de trouver, des personnes pouvant aussi bien s’adapter à la personnalité de l’un que de l’autre. Mais, le plus souvent ce n’était pas vraiment le cas. Et, j’évitais de rencontrer les connaissances d’Apollon justement, parce qu’elles me trouveraient très certainement mortellement ennuyeuses.
- Elliot, n’est pas une arme ! M’insurgeais-je, ni même un pion. Tu ne l’as pas vu, à ce moment là, et tu n’as pas conversé avec lui, en tant que Surt. Moi, je l’ai fait. Et tout porte à croire qu’il s’est passé quelque chose de grave. Quelque chose, le poussant à se détourner de tout le monde même de sa propre fille. Mais, inutile de poser la question à Hypérion ou à Cassandre. Ils ne diront rien.
Peut-être était-ce cet élément là précisément qu’ils souhaitaient empêcher. Eux devaient forcément le savoir. Moi, je n’en avais aucune idée, alors je n’émettais que des hypothèses. Si cela se trouvait, je me trompais complètement et ils étaient là pour une toute autre raison qu’Elliot. Ce, n’était pas évident lorsque la moitié des informations manquaient. Pourquoi, ne pas tout nous dire je n’en savais strictement rien.
- Non ! Dis-je subitement lorsqu’il parla à nouveau de Dolos. Peu importe les informations qu’il possède. J’ai encore moins confiance en lui, qu’en les titans. Tu en as d’autres des idées de ce genre ? Faire un marché avec lui, c’est le meilleur moyen de se faire poignarder dans le dos ! Alors vous étiez peut-être très proche avant qu’il ne vire cinglé dans votre monde. Mais ici, Dolos et moi on ne s’est jamais apprécié, et j’apprécie cette version encore moins que la nôtre.
Et voilà, dès qu’il s’agissait de Dolos je m’énervais. Mais c’était tout autant compliqué pour moi que pour lui. Je comprenais, son point de vu et j’aurais aimé le partager sincèrement. Mais, je ne pouvais pas. Je n’y arrivais pas. Même avec toute la bonne volonté du monde. Ce serait comme pardonner à Poséidon, d’avoir essayé de tuer Apollon et Arès. J’aurais pu pardonner qu’il essaye de me tuer moi. Mais pas mes deux frères. Et, ce qu’avait fait Dolos notre version comme sa version c’était du niveau de Poséidon et Zeus. Je n’avais pas confiance en Dolos, et je ne pourrais jamais lui faire confiance. Surtout pas après, ce qu’Apollon m’avait dit. De plus, nous avions fait une promesse à Evelyn, et je souhaitais la tenir. Hermès, devrait faire avec. Tant pis si cela envenimait nos relations. Je, n’étais pas son Artémis. Peut-être aurait-elle agit différemment. Mais, il fallait faire avec celle que j’étais et ma personnalité actuelle.
- Désolée, dis-je en me levant, désolée repris-je cette fois-ci en mandarin à l’adresse des gérants et du restaurant entier, qui nous regardait comme si nous débarquions d’une autre planète. Désolée, répétais-je encore une à Hermès. Je vais prendre l’air.
Sans un mot de plus, je laissais de l’argent pour payer le repas, et partis rapidement du restaurant. Sans chercher à regarder s’il me suivait ou non. De toute façon, j’avais besoin d’un peu de solitude pour l’instant. Profitant du peu de passage dans la rue où je me trouvais, je décidais de me téléporter, un peu plus loin, en direction du palais d’été. Ignorant, la foule de touriste s’y mêlant, je fit discrètement apparaître un billet d’entrée, le tendant au gardien. Après inspection, il me laissa passer. Pour un peu, j’aurais ricané devant l’ironie de la situation. Je lui avais dit plus tôt d’arrêter de fuir, et au final c’était moi qui m’en allait presque sans rien dire. Au final, il n’avait peut-être pas tort sur un point. Si j’aimais à ce point m’entourer d’égocentrique c’était probablement afin de ne pas attirer l’attention. Dès que je commençais à un peu trop l’attirer comme aujourd’hui je choisissais de partir.
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Quand Diane commença à élever la voix, Hermès baissa un peu les yeux. Pas par crainte, mais par honte. Il arrivait, dans ce monde, et commençait à proposer des choses pour éviter le plus vite possible que tout recommence. Pour lui, tout était dans le domaine du possible. Du moment que l’on ne régresse pas jusqu’à la venue du nuage. Quand Diane avait levé la voix en parlant de Dolos, puis de Surt, Hermès n’avait pas bougé d’un pouce. Quand elle s’était levé, pour lui dire qu’elle était désolée, il n’avait même pas bouger. Le dieu avait simplement levé les yeux dans sa direction, sans jamais la quitter. Finalement, Hermès la regarda partir. Réfléchissant beaucoup. Finalement, il se précipita dehors pour la rattraper. Passant la porte à toute vitesse, ses cheveux se mirent à battre en arrière comme une furie. « Diane, attends ! » cria-t-il.
Il était désolé. Vraiment désolé. Il ne voulait que le mieux pour tout le monde. Il ne voulait que la paix. Longtemps il était resté seul, en se disant que l’équilibre de ce monde là était en réalité fragile. Et arriver avec des idéaux bien encrés, n’était jamais la meilleure façon d’y arriver. « Fais chier. »
Frappant le mur du restaurant, Hermès tourna la tête rapidement et vérifia qu’elle avait payé. Tant mieux, il n’aurait pas pu s’en sortir sinon. Suivant son aura en plissant des yeux, Hermès resta planté devant ce lieu. Quelques chinois l’observèrent étrangement. Quelque soit votre rang, quelque soit votre origine, et aussi visiblement quelque soit votre monde, en Chine, les disputes de familles étaient toujours aussi mal vu. Fuyant les regards de reproche que les gens commençaient à lui faire, il préféra disparaître dans la foule, pour dans un premier temps se diriger vers l’endroit où l’aura de Diane était. Fixant l’entrée du cirque sans rien dire, il mit les mains dans ses poches. Finalement, le dieu soupira et marmonna : « Toujours aussi délicat, Hermès... »
Puis il tourna les talons. Chacun avait besoin de réfléchir dans son coin selon lui. Ce n’était facile pour personne, sa venue dans ce monde là. Il avait raté tellement. Il en comprenait si peu. Tournant à l’angle d’une ruelle, il disparut en se téléportant. Réapparaissant bien plus haut dans le ciel, ses ailes sortirent dans un flottement lourd et puissant. S’étirant, Hermès fixa le sol. Regardant l’endroit où Diane était, il resta un petit moment, puis disparut à nouveau, cette fois-ci en volant à vive allure. Le vent sur son visage lui faisait du bien. En l’air, il pensait moins. Sous le vent, il était libre. Il était, Hermès. Doublant une nuée d’oiseau sans les perturber, il sentit son estomac se nouer. Finalement, il n’aurait jamais du réapparaître au grand jour. C’était inutile. Chacun était en stase, attendant fatidiquement que le Destin frappe encore. Et encore. Mais ce n’était pas le plus dur à encaisser. Le plus dur était ailleurs. Le plus difficile, c’était qu’au final, personne ne l’avait accepté. Chacun de ses sœurs et frères avaient essayé à leurs manières. Mais Artémis était ce qu’il y avait de plus naturel. Il avait vu dans les yeux d’Apollon, le doute. Il avait également vu dans ceux d’Athéna la réticence, même si ses émotions avaient masquées l’inverse quelques heures plus tard. Et dans les yeux d’Artémis, il avait clairement compris qu’il n’était pas d’ici. Qu’il venait d’ailleurs. Que ça n’était pas sa famille. Elle ne lui avait pas clairement dit, mais il le savait. Il était Wallace, l’inconnu. L’étranger. C’était ce que signifiait son prénom. Le coeur lourd et l’estomac noué, ses ailes se mirent à voler de plus en plus vite. Finalement, remontant en flèche vers le soleil, il passa à travers les nuages, et dans une dernière téléportation, il rentra directement à Storybrooke. Fonçant vers le sol, Hermès rentra dans la petite cabane qui était désormais son foyer. Et, sans plus attendre, il alluma rapidement un feu. Sortant un vieux canif, il se saisit d’un vieux morceau de bout de bois à tailler. Et tout en regardant les flammes dans l’âtre, il commença à broyer du noir. Finalement, il existait des sorts pires que la Mort.
Fin.
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