Surnom(s) → Aucun, où alors il l'ignore...
Age → 42 ans
Occupation / Emploi → Notaire

Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Oui
Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Cœur de Princesse/Le Prince et le Pauvre, il est le grand Preminger

Caractère → S'il devait se définir, Preminger userait sans peine le terme de génie. Et si sa vanité n'a aucune limite, hélas faut-il reconnaître qu'il est effectivement un génie malveillant comme on en voit peu.
Manipulateur hors pair, capable de raisonner et de manigancer dans l'urgence, il est poli et distingué avec ses concitoyens même si certains ne peuvent s'empêcher de trouver dans son regard une condescendance mesquine. Hautain et vaniteux, il lui arrive de faire à voix haute des remarques méprisantes envers ce qu'il considère comme les « petites gens ».
D'un naturel pompeux, c'est un homme de goût mais d'un raffinement si travaillé qu'il en devient presque excessif, artificiel et pour certains grotesque. C'est l'adoration qu'il porte à son apparence qu'il l'avait poussé à se décolorer les cheveux pour devenir plus parfait qu'une perruque lors de son existence dans le monde des contes et c'est cette même tendance pour le luxe qui le pousse à présent à arborer encore jabots et soie à l'ère contemporaine. Il aime la beauté, les arts et tout ce qui pousse à la perfection. Il est donc collectionneur de toutes babioles pouvant s'apparenter à la richesse mais le bruit court qu'il est cependant incapable de discerner la différence entre le cristal et le diamant. Quelle importance, tant que cela brille, ce qui compte après tout ce sont les apparences, n'est-ce pas ?
Le soin tout particulier qu'il attache à sa personne et son insolent affichage de richesse a créé la rumeur de ses origines nobles même si ses détracteurs y voient beaucoup plus l'incarnation d'un élitisme décadent.
Calculateur et ambitieux, il affiche cependant devant la majorité une hypocrite gentillesse, seul ne compte que l'appât du gain et l'élévation sociale.
Son discours est toujours recherché et fin mais ses manières toujours saupoudrées de minauderie.
Il reste cependant séduisant et charismatique et de conseil avisé pour qui veut bien l'écouter....tant que cela sert ses intérêts. Aussi, il ne fera pas l'effort de la duperie avec tout le monde et pour ceux qui ne valent pas l'effort de le voir se présenter sous son aimable masque, c'est sa méchanceté avide qu'ils connaissent. Même dans ces rares moments, il demeure encore excessivement maniéré, tentant par ce biais d'incarner en permanence sa propre notion de la perfection.
Attention, cependant, son extrême couche d'obséquiosité n'est que le vernis dissimulant un redoutable monstre d'égoïsme à la nature profondément cruelle. Sa langue vipérine va parfois très vite.
Cependant voici l'unique conseil à retenir lorsque vous le rencontrez : ne le sous-estimez pas.
Ne vous laissez pas berner par son apparence qui pourrait vous le faire passer pour un simple pédant à l'égo surdimensionné, Preminger n'est pas que cela… Pire même, il est profondément nuisible et malfaisant lorsque ses intérêts sont en jeu.
Et même dans les mises en difficulté, son intelligence reste très peu affectée.
Attention donc, c'est un redoutable ennemi de l'ombre pour qui l'ignore ou le sous-estime.

Une Particularité ? → Preminger avait la particularité d'avoir les cheveux blancs comme la neige, la malédiction lui a rendu son attrait initial, de petite taille, il continue à adorer les riches habits de soirée et arbore une tenue parfaitement travaillée bien que souvent étrangement datée, ce qui lui vaut la qualification par les habitants de Storybrooke d'un noble sûrement. Il n'hésite pas non plus à arborer bagues ou montres précieuses.

Obscur fils de paysan, Preminger avait toujours été doté d'une beauté flagrante, d'une arrogance sans borne et d'une intelligence bien plus supérieure à la moyenne. On eut pu dire qu'il avait été doté par les Dieux ou qu'une fée bienveillante s'était posée sur son berceau attendrie par ses traits délicats. Sa beauté lui accorda beaucoup, son intelligence énormément et son ambition dévora le reste. Eternellement insatisfait, borné à s'élever jusqu'à la gloire, il s'évertua à l'apprentissage de tous les arts mondains.
Au grand dam de ses honnêtes parents, il piétina tout héritage paysan pour endosser le costume d'un ambitieux bourgeois. Il fallait dire qu'il avait l'art de la dissimulation dans les veines, un côté théâtral qu'il avait développé en voyageant quelques temps avec une troupe de comédiens itinérants. Avec eux, il apprit par cœur quelques vers de grands textes contemporains si bien que ceux à qui il le récitait pensaient sans peine qu'il les avait dévorés enfant.
Cette vie aurait pu le satisfaire, s'il n'avait pas songé à un destin plus glorieux. Et lorsque sa route l'arrêta en chemin aux portes de la connaissance, il s'y engouffra avec plaisir.
Au départ simple serviteur d'un comte, il sut se mettre suffisamment en valeur pour que ce dernier l'embaucha comme conseiller.. Le présenta ensuite à son supérieur qui lui trouva grande valeur et ainsi de suite jusqu'au service royal.
Ce qui constituait déjà un destin peu banal d'une ascension sociale inespérée.
Mais l'histoire ne s'arrêta pas là, la faute à l'ambitieux de ce jeune homme que la vie avait doté de ses bienfaits sans qu'il ne mérita.
Effectivement, s'il fallait reconnaître à notre cher Preminger son talent hors du commun, il serait difficile d'occulter, pour qui l'a un jour appris, à quel point il ne s'arrêtait en rien pour obtenir ce qu'il souhaitait.
Peut-être fallait-il blâmer son grand père, qui avait fini ses jours en prison pour braconnage ?
Peut-être était-ce plus justement sa nature dénuée de moralité ?
Toujours est-il que cela commença par quelques vols de dictionnaires (pour parfaire son vocabulaire), quels habits -car un honnête homme devait toujours être bien mis...jusqu'à l'usurpation d'identité – d'un serviteur qu'on avait recommandé.
Il en faisait peu de cas, et cela suscitait chez lui guère effroi et au fur et à mesure que son emprise s'élargissait, ses moyens s'amplifiaient.
Et il utilisa tout sans vergogne, séduction, intrigues, faisant des complots et trahisons le chemin de son ascension. La fin justifiait les moyens et il n'y avait rien qu'affectionnait plus Preminger que l'or. Et le pouvoir. S'était comme un filtre sans fin, une fois goûté, impossible de s'en trouver désaltéré. Il toisait les riches et les pauvres d'un égal dédain, maquillé d'une politesse excessive. Ses manières faussement respectueuses, sa dévotion feinte lui offrit ses entrées au château lors du veuvage de la Reine et de la jeunesse de la princesse héritière.
Il n'y avait rien d'étonnant à ce que cette jeune étrangère, fraichement veuve et éplorée trouve en lui l'écoute et la modestie qu'elle recherchait tant. Une personne sur qui compter pleinement.
Dix années s'écoulèrent alors, dix années de duperie, de manigances et de puissance. La Reine ne pouvait avoir meilleur conseiller, Preminger était tout : loyal, dévoué, intelligent, respectueux, animé par l'amour du royaume, modeste, humble.
Preminger n'était rien ou plutôt que duperie. Et sous le seul œil lucide du mentor de la princesse, il déambula bientôt progressivement dans les allées du château avec la vanité d'un monarque.
Sous ses airs affables, se cachait une ruse sourde et avide qui ne demandait qu'à croître.
Tout ce qu'il voyait, il le désirait et bientôt il n'y eut rien qu'il ne désirât plus ardemment que la Couronne.
Son avarice l'avait au départ poussé à entreprendre le vol de la mine d'or, principale source de richesse du royaume, il y vu là, l'instrument ultime pour pousser le pays à sa ruine et inciter la Reine à lui accorder à bras ouverts la main de sa fille lorsqu'il feindrait donner de sa richesse personnelle pour le sauvetage de la Nation.
Il se voyait sauveur, le parfait héros et le futur roi...Et las, il fut bien désappointé lorsque rentrant de son faux voyage, il découvrit que la reine, faute de sa présence et de ses précieux conseils, avait eu l'idée saugrenue de proposer sa fille en mariage au roi du pays voisin…
L'échec était impossible, l'enlèvement de la princesse bien plus simple. Il ne suffisait que de prétendre que celle-ci avait fugué, ce qui convaincrait le roi voisin du refus de l'héritière de concrétiser ce mariage et ensuite la « délivrer de ses kidnappeurs ».
Ce plan bien que fin avait une entaille que le ministre ne pouvait prévoir : elle s'appelait Erika et venait de la populace. Une vulgaire couturière qui n'avait pour elle que le fait d'être le sosie de la princesse. Un instrument du tuteur méfiant sur la culpabilité de Preminger qui avait convaincu ladite damoiselle de se faire passer pour la princesse, empêchant ainsi l'annulation du mariage avec le monarque voisin.
Méfiant et troublé par le retour inopportun de celle qui était censée être sa captive, Preminger avait senti cependant que quelque chose n'allait pas… Fort de son intelligence, il ne mit pas longtemps à découvrir le pot aux roses et la vraie princesse, qui ayant réussi à fausser compagnie à ses ravisseurs s'était réfugiée dans l'atelier de couture de son sosie.. Comme le monde pouvait être petit. Et comme leur esprit était faible face à celui du ministre. Il en était presque amusé de devoir improviser des plans cohérents à chaque rebondissement. Et celui qu'il concocta lors de sa découverte était pour le moins le plus habile et le plus radical : enfermer la réelle princesse dans la mine avant de provoquer l'effondrement qui la mènerait à sa perte, démasquer et accuser la couturière de son crime et proposer le mariage à une reine endeuillée… Cette dernière n'avait eu le choix que d'accepter.
Et dire que son plan était infaillible… Il eut la désagréable surprise de se voir confronté à ses méfaits au moment de prendre épouse. A l'instant même où la reine devait prononcer le fameux « je le veux » la voix de la princesse avait retenti figeant sa mère.
« Ce n'est que la couturière »...avait-il objecté avec angoisse. Si son ton était resté assuré, heureusement la reine n'avait pu voir la lueur mal assurée qui avait luit dans son regard. Car il avait su à l'instant précis où elle était arrivée que celle-ci était la vraie.
La robe identique à celle qu'elle portait avant de se trouver enfermée, la poussière qui la maculait, et surtout la présence de Julian son tuteur également au départ son prisonnier…
Son cerveau pourtant preste n'avait pas trouvé de parade et il s'accrochait finalement à l'espoir encore qu'il ne s'agissait que du sosie… Il ne pouvait tout de même pas finir au cachot, LUI… Le grand Preminger…
Alors que la princesse allait parler et causer sa perte, l'ensemble de la réception fut enveloppée dans un halo de fumée de violette...

A son arrivée à Storybrooke Preminger a revêtu l'identité d'Erwin Dorian, pour la majorité des habitants. Fils d'un couturier et d'une mère, il a entrepris très tôt de grandes études et est à présent notaire et gestionnaire en patrimoine. Affable, il semble avoir récupéré massivement une somme d'argent conséquente et l'admiration des personnes dont il sert les intérêts.
Il est associé avec celui qui se rapproche le plus d'un ami pour lui, Jeremy Das, avec qui il a fait ses études. Les deux hommes sont ambitieux et partagent majoritairement tout, même s'il est évident à qui les étudie, que Jérémy éprouve une grande admiration pour son ami de toujours au point de n'être jamais réellement sorti de son ombre. Ce qu'Erwin a toujours vu et su exploiter avec intérêt (après tout Jeremy avait un compte en banque bien plus fourni que lui à l'origine-même si l'autre a toujours cru le contraire).
Homme sans enfants ni famille, il est propriétaire d'une maison située en retrait de la ville.
Il est actuellement l'époux de Georgia McFair, veuve qu'il a rencontré lors du règlement de la succession de son époux, après un coup d'œil rapide au patrimoine de celle-ci. Les avantages d'un métier comme le sien… Et le passif de cette dernière a également aidé : perdre dans un accident de montage sa fille, si jeune, il y avait de quoi en désorienter plus d'une, alors lorsqu'un sourire charmeur s'arrêtait sur vous, comment refuser ?
Malgré tout, son épouse souffre d'une mélancolie tenace et croit parfois reconnaître aux détours des rues, sa fille. Une situation qui agace au plus haut point Erwin, ne comprenant pas pourquoi cette dernière s'acharne à se centrer sur son passé lorsque l'avenir lui offre un époux si parfait que lui.
D'autant qu'il jouit des faveurs plus que raisonnables de la population locale.
En effet, sa position le place cependant en bonne position pour les diners mondains, il est ainsi devenu progressivement une figure choix et de pouvoir dans la ville.
Affable, il faut l'avouer cependant, malgré ses sourires charmeurs qui ne laissent aucune femme indifférente et sa propension à aider la vie de la ville, nulle doute que sa fortune personnelle n'a cessé de croitre quant celle d'une partie de ses clients s'est évaporé dans des placements boursiers dont aucun n'a trouvé de responsable.
Cependant malgré tout, difficile de faire un lien entre cet élégant notable et les escroqueries complexes et importantes qui ont sévi en ville. Bien trop poli et racé pour éveiller les soupçons.
Certaines rumeurs même pensent qu'il est noble...ce qui n'est pas sans lui déplaire.
Malgré tout, sa situation l'agace. L'ennui le guette, ne mérite-t-il pas mieux ?
Il s'est il y a peu lancé dans la politique et a rejoint le groupe majoritaire à la mairie de Storybrooke, non pas qu'il pense la maire compétente, loin de là, mais une manigance est si vite arrivée qu'il pense pouvoir jouer le jeu de celle-ci le temps suffisant pour la discréditer et hériter de sa popularité auprès des habitants. Ou dans un autre cas, l'affabuler.

Le miroir s'est fissuré et derrière lui la vérité, celle qu'il pressentait a alors éclaté. Il ne pouvait pas n'être « que ça » et n'être destiné « qu'à ça ». La mairie, la monotonie d'une vie sotte pour son esprit brillant. Tout ce qui lui avait toujours paru vain, fade, prenait un sens. Il n'était pas Erwin Dorian, mais bien Preminger.
Et étrangement, il était à présent Roi sans l'être.
La fumée violette l'avait emporté dans notre monde sans l'occasion de prononcer les vœux fatidiques qui lui accorderait la couronne et lui avait façonné une réalité où son mariage avait bien eu lieu. Etrange contexte, mais qui servait en partie ses intérêts.
Car à quoi bon ce titre, si on ne disposait pas du pouvoir pour en user ?
Lui dont seule l'hermine suffisait à parer sa beauté et l'or à mettre en valeur la finesse de ses traits, le voilà réduit à tenter de devoir se contenter d'un vulgaire poste de maire. Hors de question. Qui serait bien assez sot de penser ainsi ? De même sauf à pouvoir obtenir un moyen de retourner dans son monde originel et récupérer la couronne, le voilà pourtant forcé de devoir s'accorder avec les exigences démocratiques de ce monde ridicule…
S'il ne peut être Roi, il serait donc maire, puis sénateur jusqu'à la Présidence. Pourquoi refuser ?
Et puis peut-être que cette arrivée dans ce monde était l'occasion d'un accès à tout ce qu'il ne pouvait plus espérer suite au retour de la princesse à son mariage, une opportunité inédite de récupérer le pouvoir, la gloire et la richesse. D'autant qu'il jouit d'une plutôt bonne réputation auprès de la population locale et a appris à la fin du sort qu'aucune de ses anciennes ennemies n'ont été repérées proches de lui…
Il avait pris un instant et avait analysé la personnalité que Regina Mills lui avait accordé pendant 28 ans. Proche de lui, quasi semblable, ambitieuse mais avec une hargne en moins qu'il avait retrouvé à la seconde où il s'était souvenu. En quelques sortes, un Preminger atténué. Amusant comme une amnésie n'enlevait pas la personne que l'on était réellement.
Erwin Dorian n'avait pas de sang sur les mains, n'avait pas été jusqu'à commanditer un meurtre, il était plus policé que lui.
Mais après tout, ce n'était que parce que les circonstances ne l'avaient pas placé dans un tel besoin.
Dans le monde des contes même, Preminger n'avait pas recherché le meurtre, il n'était pas l'un de ses sauvages qui prenaient plaisir à découper, éventrer… Quel écœurant spectacle que c'était là… Bien trop brutal pour ses yeux délicats.
Mais… Il n'éprouvait aucun remords à provoquer la mort de quelqu'un, cela l'amusait parfois. Les autres étaient des pions à déplacer et à sacrifier au besoin. Interchangeables. Et c'était la partie qu'il jouait qui était en revanche jouissive.
Et à présent, elle pouvait recommencer avec finesse.
Etrangement, la fin de la malédiction avait déréglé les règles avec succès et incertitudes.
Il devait notamment avancer avec l'idée que son ancien chien, Midas, était en réalité à présent bien humain : Jérémy Daas, son ami et associé… Et si les choses avaient toujours été plus que fusionnelles dans le monde des contes ou pendant la malédiction...à présent, la situation lui paraissait bien plus instable..
Midas lui avait toujours été dévoué cela dit.
Sa relation avec la reine également avait été bouleversée. De simple confident, il avait endossé le rôle d'époux et si lors de ces 28 années il avait été l'époux idéal pour celle qui était devenue par intérêt son épouse, il allait devoir jouer avec la certitude confirmée de la survie de sa fille. Et de son rôle dans sa disparition…
Empêcher celle-ci d'enquêter et retrouver avant elle, Anneliese et ses idiots d'amis pour les faire taire à jamais.
Le tout à jumeler avec son nouvel objectif la possession du pouvoir. Il n'a aucune inquiétude sur sa capacité à ancrer ses « vérités » dans les esprits, feindre est si facile devant des proies si coopérantes. Cependant, il ne sait vraiment pas où s'arrêteront ses objectifs...La perspective de la magie si proche, lui qui vivait dans un royaume si éloigné des arts occultes… Ou même, la proximité de la divinité…
Malgré tout...nul doute qu'il devra compter avec d'adversaires redoutables. Pour mieux les déjouer Preminger sait qu'il devra compter sur son apparente loyauté pour manipuler les foules.
Ses années privée de lui-même ne font que décupler son avide ambition et aucun moyen n'est trop fort pour lui permettre d'obtenir ce qu'il veut.

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Administration → Célébrité de votre Avatar : Rufus Sewell → Est-ce un poste vacant ? : Nope → Multicompte ? : A votre avis ? Entre nous → Pseudo / Prénom : Esmée → Votre avis sur le forum : Farfelu et plein d'idées → Comment l’avez vous découvert : Je l'ai vu, je l'ai parcouru, il m'a plu, je suis venue → Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), contes de fées, Roi Lion, Ancien animal, rebelle, ou wonderland pour votre team vous choisiriez quoi ? : Un vilain prince animal dans le Roi Lion dont la vie est loin d'être un conte de fée magique depuis l'arrivée du héros rebelle (oui je suis fan de Scar). → Le mot de la fin : the end

Bienveenuuuuue j'ai hâte de voir ce que tu nous réserve, je connais pas du tout ce personnage j'avoue si jamais tu as des questions hésite à nous mp moi ou mes collègues (tu verras on a tous une maaagnifique couleur rose malabar on peu pas nous louper )

(enfin tu risque de louper ceux qui sont cachés sous une couleur verte et mauve comme Didi )

Bienvenuuuuuuue Comme Didi, je connais pas ce personnage ni de nom, de conte ou de réputation hâte de découvrir ce personnage qui a tout l'air d'être très original (je n'ai pas encore lu cette fiche, je me la mets sous le coude, curiosité oblige )

Bienvenue chez les fous et bonne chance pour ta fiche.

RUFUS SEWEEEEEEEEL !! *palpitations cardiaques*

Je ne connais pas du tout ton personnage, en revanche l'acteeeeeur !!! Tu as vu Victoria je présume ????









*range son fangirlage*

J'espère ne pas t'avoir fait peur. Je ne mords pas, si ça peut rassurer !

BIENVENUUUUE A TOI !!

Hey

Pareil que mes camarades je ne connais pas le personnage mais il a l'air vachement intéressant

Bienvenu parmi nous

bienvenue !

Moi j'lai vu j'sais plus ou, mais je crois qu'il jouait un connard dans mon souvenirs...Dark City? Chevalier? Jesaispluuuuus

Bienvenue parmi nous !

Preminger, c'est dans Barbie Cœur de Princesse C'est un sacré manipulateur, mais un peu mégalo dans le dessin animé

:welcome: parmi nous

Moi non plus le personnage me dit rien du tout, je crois que je vais avoir un peu plus de lecture que prévu. J'ai pas le souvenir d'avoir souvent vu cet acteur sur des forums mais bon choix.

Bienvenu sur le forum !