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 "Doin'it for the Fame" feat Alexandre Davis

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Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »

Erwin Dorian

| Avatar : Rufus Sewell

"Doin'it for the Fame" feat Alexandre Davis Vba9
- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)

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"Doin'it for the Fame" feat Alexandre Davis Hmch

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"Doin'it for the Fame" feat Alexandre Davis _



________________________________________ 2020-04-20, 23:56 « If the crown should fit, then how can I refuse? »


Doin'it for the FAME

« Alexandre Davis & Erwin Dorian"



Lena Davis, sauf pour livrer malgré elle des informations essentielles qui serviraient contre elle, agglutinait les phrases et informations insipides à chaque fois qu’elle ouvrait la bouche. Ce devait être génétique et peut-être venait-elle d’une famille où l’on vénérait l’insignifiance comme une preuve d’intelligence… Pas étonnants qu’ils soient morts. Il se mis à rire intérieurement à la réaction que provoquerait pour la jeune femmeune phrase de ce genre. Elle aurait détesté. Incroyable comme le bas-peuple pouvait être susceptible de leurs jours et pourtant les progrès sociaux leur avaient été tous effroyablement favorables. Il se souvenait d’avoir été prodigieusement horrifié lorsque la mémoire lui était revenue de sa vie passée de tous les acquis qu’ils avaient obtenu. Le monde avait changé et cela n’était pas pour le mieux.
Il paya le taxi avec une indifférence qui frôlait le mépris et s’extirpa du véhicule sans que l’idée de remercier le conducteur ne lui vienne à l’esprit, après tout, on le payait pour cela non ?
Superbement débarqué sur le trottoir dans un impeccable costume turquoise qui irradiait comme neige au soleil , il abaissa ses lunettes de soleil pour jauger l’édifice qui se tenait devant lui. Oui, des changements avaient été effectués, pour le mieux, il devait l’admettre depuis la dernière fois où il avait contemplé l’immeuble de près. Un vent nouveau soufflait sur Storybrooke. Il songea qu’à présent certaines personnes tressaillaient en pensant cet empire médiatique entre des mains ennemies. L’une d’elle devait aller travailler la peur au ventre et l’autre… Il savait parfaitement ce qu’elle faisait, à tourner inlassablement des théories inopportunes dans son étroit et presque inexistant petit cerveau. Pour lui, cela aurait pu être une simple brise dans son propre paysage, un minuscule grain de sable dans son propre dessein. Mais réflexion faite, dans cette bataille familiale qui ne le concernait pas, n’ayant que peu d’intérêts en présence, il avait soudain vu autre chose : une voie. Preminger ne craignait pas l’adversité, il disposait de pions éparpillés dans chaque gang de la ville, mais il était bien là, invisible et pourtant puissant. Parfois, il lui plaisait de déplacer une pièce, d’en sacrifier une autre, mais il jouait à un échiquier beaucoup plus vaste une partie beaucoup plus longue et ambitieuse. Et l’heure sonnait de se procurer peut-être une pièce maîtresse.

Il se dirigea spontanément vers la réception, sans prendre la peine d’observer les environs, mais en adoptant l’allure de celui qui les connaissait déjà. Feindre permettait d’obtenir beaucoup. Cela fonctionna sur la standardiste qui le considérait déjà avec respect avant même qu’il n’ait ouvert la bouche.

- Je souhaite voir Alexandre Davis. Vous pouvez lui dire que Maitre Erwin Dorian est présent à l’accueil pour le rencontrer dès à présent s’il l’accepte.

Il avait pris soin de retirer ses lunettes de soleil, dans un geste étudié et de ne pas donner du « Monsieur » à l’entretien qu’il avait sollicité. Auprès de la jeune femme celui suffirait à lui laisser penser qu’ils se connaissaient déjà. Erreur mais après tout, c’était tout comme, l’impression de connaître déjà Alexandre Davis ne le quittait pas. Ou du moins, se faisait-il une parfaite idée sur la question. Lena avait aidé, ce faisant. Dans tout ce fatras d’inconsistances qu’elle s’évertuait à lui débiter, elle avait livré parfois plus de renseignements que prévu. En même temps aurait-il fallu qu’elle soit capable de prévoir quelque chose et de taille à lutter contre lui. Il ne pouvait pas lui en vouloir pour le dernier point car personne ne l’était… Mais elle regretterait un jour cette flagrante lisibilité, il se ferait un plaisir de lui faire voir à quel point cela pouvait précipiter sa déchéance… En attendant ce jour béni, il patienta dans l’un des fauteuils confortables qui composaient le hall d’entrée, observant sans le montrer le va-et-viens de l’entreprise et ses visiteurs. Il recueillait parfois quelques visages curieux et faisait jaser deux salariées qui montaient l’escalier qui desservait les étages de la tour. Il sourit sans les regarder, habitué à provoquer l’attention. Il fallait dire qu’il avait choisi explicitement le côté ostentatoire de sa tenue pour motiver ce genre de réactions. Lorsque l’on investissait le temple du paraître, on se devait d’en utiliser les codes et cela n’exigeait pas de sa part une réelle difficulté, bien plus un art inné. En réalité, il se sentait presque renaître. Et lorsque la standardiste vint lui rapporter que « Monsieur Davis allait recevoir », il se leva avec une hâte nouvelle et conquérante chevillée au corps. Cela confirmait plusieurs choses et notamment le fait qu’Alexandre Davis s’était renseigné à son sujet. Sinon pourquoi aurait-il pris la peine de le recevoir inopinément ? Jusqu’à quel point ?
Il hocha la tête et eut un léger geste dispensateur de la main lorsque cette dernière lui précisa que le bureau de Monsieur Davis se trouvait au dernier étage, bien qu’il l’ignora une seconde auparavant, s’étant contenté de le déduire. Tout était dans le paraître. Il pressa le bout de l’ascenseur et y entra au même moment que deux employés qui le dévisagèrent perplexes mais impressionnés. Ils quittèrent l’habitacle cinq étages plus tard non sans lui avoir souhaité une bonne journée, visiblement plus curieux qu’à l’entrée en remarquant qu’il ne descendait pas avec eux. Le reste du trajet se passa seul et il en apprécia la solitude bien que la rapidité de l’élévation ne soit pas une surprise. Un instant passé en sa seule compagnie en valait mille heures entouré d’idiots.
Espérons que celles qui s’écouleraient accompagné d’Alexandre Davis aient au moins le mérite d’être productives.
L’ascenseur s’ouvrit et Erwin remonta l’unique couloir qu’elle desservait pour se trouver bientôt face à une porte de bois. Il frappa. Puis s’étant annoncé, il ouvrit la porte pour pénétrer dans une gigantesque pièce qui aurait fait pâlir à l’envie Lena, sans nul doute.
Pas lui. Il s’était attendu à un étalage ostensible de pouvoir dans un style contemporain et c’était exactement ce qu’il avait. Attendu. Sans être décevant. Au moins, le frère a contrario de la sœur, ne lésinait pas sur les moyens. Il ne pris pas la peine d’observer les lieux comme un enfant affamé découvrant une miche de pain, il possédait sa propre idée du luxe, non contradictoire avec celle des Davis mais divergente et n’éprouvait aucune envie à tout étalement de richesse. Pourquoi l’aurait-il fait ? Ne pouvait-il pas tout posséder pour peu qu’il le désira ?
Aussi traversa-t-il la pièce, posément, prenant la peine d’étudier quelque peu le décor avec pour seule finalité de flatter son hôte, de son habituelle démarche pompeuse et altière puis riva son regard vers ce dernier, et ouvrit les mains dans un geste gracieux comme pris d’un enthousiasme démesuré

- Mon très cher quel exquis plaisir d’être enfin face à vous !

La voix d’Erwin était comme son apparence et sa démarche. Excessive, onctueuse, extravagante. Un mélange de gloussement et de perfidie teintée de minauderie. A jamais un homme du XVIIIème siècle. Un pan de sa personnalité qu’il muselait en public, ne le réservant qu’à quelques rares « privilégiés », souvent d’anciennes connaissances de sa vie passée mais qu’il faisait choix de montrer aujourd'hui. Il espérait néanmoins que faire étalage de sa beauté ne lui desservirait pas et que s’y trouvait confronté ne générerait pas une réaction hostile et envieuse de la part de son interlocuteur mais bel et bien l’admiration. Un homme s’intéressant aux médias ne manquerait pas de le voir. D’admirer sa prestance, son style, son originalité. Il l’aurait fait en toute objectivité, s’il avait été un autre que lui-même.
Se trouvant à présent face au frère aîné de Lena, il lui tendit la main, avec la grâce délicate de celui qui attendait un baise-main, tout en lui dédiant le sourire son sourire le plus éclatant.

- Je suis radieusement ravi de vous rencontrer. Pensez-vous que j’ai appris que vous faisiez projet d’acquisition, qui plus est de ce splendide fonds de commerce, et lorsque j’ai su que la préférence avait été donnée à une étude notariale concurrente, cela m’a causé une fâcheuse déconvenue.

Il rejeta le foulard de soie gris perlé noué autour de son cou dans un geste théâtral par dessus son épaule puis ramena son attention sur le frère Davis :

- Pas contre vous, rassurez-vous. Mais contre le sort qui a étendu de ses caprices le temps de cette rencontre. Qu’importe, le tort est à présent réparé. Ne dit-on pas « qui vient à point à qui sait attendre ? » Et bien convenons que je prends un peu de l’avance sur le Destin, qui ne m’en fera guère reproche, en provoquant cette entrevue. Je vous remercie par ailleurs de bien vouloir me recevoir.


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La famille est un lieu où tout le monde vous aime, peu importe comment vous êtes, ils vous acceptent pour qui vous êtes.

ICI GIT L'ERREUR :
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Alexandre J. Davis
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Alexandre J. Davis

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"Doin'it for the Fame" feat Alexandre Davis Source-1

Allez... arrête d'ignorer la ressemblance avec Luthor. Tu es exactement comme moi, sœurette.

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"Doin'it for the Fame" feat Alexandre Davis _



________________________________________ 2020-04-30, 14:12

Doin'it for the Fame


Pour une ville magique dévoilée à un humain du monde réel, Storybrooke était assez peu surprenante. Oh, elle l'avait été, les premiers jours, lorsque Alexandre a découvert toutes les magies qui existent et sont gardées secrètes à la face du monde. Mais une fois apprivoisée, une petite ville restait une petit ville de bourgade des années 80. Alexandre ne venait pas d'une petite ville, très loin de là. La Silicon Valley était à milles lieues de ce qu'était Storybrooke. Mais si on finissait pas s'y faire aux grands espaces et en à comprendre les rouages en s'y intéressant vraiment - et en étant bien placé économiquement et politiquement -, comprendre un espace plus petit était milles fois plus facile. Tout le monde se connait, ou presque, et l'effet boule de neige, à savoir les conséquences entraînant d'autres conséquences, en chaîne, étaient bien rapides. Tout cela faisait qu'Alexandre avait compris comment fonctionnait les gens ici, d'où le succès déjà de la relance du journal en Weekly Planet, et qu'il 'y avait que très peu de place à la surprise.

La venue d'Erwin Dorian ? Si elle n'était pas pour ce jour là, elle aurait été pour le lendemain, ou une autre semaine.

L'équipe de la mairie, Dyson, Violette, Chris et Hadès, et tous les milieux qu'ils représentaient chacun, toons, super-héros et olympiens, ou encore Regina, investigatrice de cette ville enchantée et les sorciers les plus puissants, Pitch, Bill... Alexandre avait su se renseigner sur les piliers les plus grands jusqu'à aller dans tout leur réseau de pions. Mais le réseau de Lena avait, évidemment, était très vite analysé. Kara Lucy Walters, Honey Lemon... Erwin Dorian. Lena n'était pas en ville depuis une éternité, et son cercle de relations était déjà bien construit, et ne comportait pas que des amis.

Sa soeur, sa très chère soeur... Persuadée qu'elle agissait pour le bien absolu, elle n'acceptait aucunement les divergences d'opinion qu'elle classait directement en tant que mauvaises, d'ennemis, et réduisait le génie de son intellect à un esprit tristement étroit et fermé. Sans connaître tous les détails des rivalités ou des tensions entre Monsieur Dorian et Lena, il en savait assez pour dire qu'ils étaient là le parfait exemple démontrant ce fait.

« Monsieur Davis vous aviez raison, un homme nommé Erwin Dorian a bien fini par venir au Planet. » La voix de la secrétaire se fit entendre sur son bureau, alors que Lex s'amusait avec un jeu de cartes d'une main à l'autre face à sa fenêtre. Il savait que quelque chose allait arriver aujourd'hui, parmi celles qu'il espérait. Erwin marquera le quelque chose de ce jour. Il eut un sourire en coin. « Il a demandé à vous rencontrer, il attend à l'accueil. Dois-je lui dire de monter ? »

Comment est-il ? La question parut surprendre la secrétaire qui s'attendait surtout à une réponse directe à la sienne. Lex demandait ça par simple curiosité, la réponse n'allait pas tant influencer sa décision d'accepter de le voir, puisqu'il l'avait attendu depuis quelques jours maintenant.

« Je dirais... extravagant. Sûr de lui et extravagant. »

Parfait, il ne déçoit pas l'image que j'en avais. Faîtes le monter. Seul, ne l'accompagnez pas, il trouvera tout seul, je pense que Monsieur Dorian est assez grand.

« Très bien monsieur. » Elle raccrocha pour transmettre le message à Dorian, et Alex ne changea pourtant pas son attitude, continuant à jouer, espiègle, avec les cartes qu'il faisait voler par 32 d'une main à l'autre avec une habilité étonnante.

Mon très cher quel exquis plaisir d’être enfin face à vous ! Se fit finalement entendre la voix d'Erwin derrière lui après le son de la porte. Si Alexandre ne répondit pas, ni à ce qu'il dit ensuite, il s'était tout de même retourné, avec son sourire accueillant et rayonnant, faisant tomber les cartes dans sa main gauche où il les garda à présent.

Erwin était coloré. Il était de ceux qui portait un soin important à la délicatesse du corps et de l'apparence, et l'extravagance dont parlait la secrétaire se ressentait dans chaque aspect de sa personne, dans le physique, la parole et l'attitude, et construisait toute la personnalité d'un homme qui ne décevant donc pas Alexandre qui s'attendait bien à recevoir un portrait pareil.

Très souvent, ne pas être surpris n'était pas forcément une mauvaise chose.

Il l'invita à s'asseoir alors qu'il parlait, dans les fauteuils de l'espace central creusé dans le sol de la grande pièce, tandis que lui se dirigeait vers le fond de la pièce où un bar à alcool se trouvait là. Un verre, monsieur Dorian ? Ces rendez-vous professionnels qui doivent respecter des codes juste pour faire "pro", je trouve ça ennuyant. Et j'ai cru comprendre, ce que votre arrivée m'a confirmée d'ailleurs, que vous n'êtes pas une personne ennuyante. Ce fut la première chose qu'il dit enfin depuis qu'il était là.

Il ramena bouteilles et verre en cristal sur la table au milieu des fauteuils, et but une gorgée d'un rhum fruité particulièrement agréable. Qui étiez-vous, dans l'autre monde ? Demanda-t-il finalement, commençant la discussion par un sujet tout autre, surprenamment, que celui qu'avait lancé Erwin. Simple curiosité, bien sûr, je n'ai connu que ce monde, pour ma part, et les mystères qu'on évoque à propos des planètes environnantes. Il tournoya son verre dans sa main en regardant Erwin un instant. Vous deviez être quelqu'un d'important, sans aucun doute. Quel dommage que cette malédiction ait retiré tout titre de royauté et de noblesse à ceux qui en avait, dans les normes de cette pseudo-démocratie que connait ce monde-ci. Mais je pense que vous l'avez vite découvert, dans ce monde, le pouvoir se joue bien ailleurs que dans les titres politiques. Et je suis certain que, au delà de le savoir, vous l'avez déjà mis en pratique. D'où votre venue, n'est-ce pas ? Il but une nouvelle gorgée, en le regardant avec un sourire.

Je suis content de vous rencontrer, monsieur Dorian, dit-il finalement. Ravi que vous n'ayez pas laissé cette rencontre inévitable et évidente tarder davantage. Vous connaissez mon nom, et vous avez quand même décidé de venir ici, et on dirait bien, sans aucune intention hostile. Alors, dîtes moi tout, que représente mon nom pour vous ?

Il posa son verre, pour se remettre à jouer avec ses cartes. Avez des qualifications professionnelles et... disons de la place dans votre agenda ? Une plaque dorée au nom d'Erwin Dorian sur un de mes bureaux aurait sa place dans le décor, je trouve. Oui, il ne perdait pas de temps, Alexandre allait droit au but, ne se perdant pas dans les artifices d'une discussion qui avaient pour unique but la politesse.

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- - what a skeletal wreck of man this is
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Erwin Dorian
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________________________________________ 2020-05-01, 21:10 « If the crown should fit, then how can I refuse? »


Doin'it for the FAME

« Alexandre Davis & Erwin Dorian"



Se savait-il attendu ? Bien évidement. Ou du moins espérait-il que le frère de Lena soit à minima à la hauteur de la réputation qu’elle rendait et qu’il attendait de lui. Alexandre Davi ne pouvait mériter le titre de dangereux s’il n’avait pas pris la peine de se renseigner un peu sur les ténors de Storybrooke et sur le cercle de connaissances de sa sœur. Il songeait qu’il devait être, honteusement, rangé dans la seconde catégorie. Qu’importait puisqu’il valait parfois mieux agir dans l’ombre pour accéder à ses objectifs. De même, Erwin avait placé une sorte d’infime espoir en lui qui nécessitait qu’il soit capable de prévoir un temps soit peu les choses. Nouveau en ville mais aguerri aux affaires et déjà un peu rompu à l’exercice.
Lorsqu’il le salua, tout souriant, Erwin put percevoir pourquoi Lena le craignait autant de son étriqué petit mental. Elle détestait faire face à ceux qui se fondaient aisément d’un décor à l’autre sans soucis, s’adaptant à tant de situations alors qu’elle pédalait depuis des années sur place, coincée entre traumatismes et dévaluations. A son total inverse, Alexandre semblait...détendu et agréable. L’image qu’il voulait donner, ce qu’il pensait ressentir aussi. Une surestime de soi toujours offrait à son ôte l’impression de contrôle mais permettait ainsi de l’acquérir.
En attendant, l’homme d’affaire lui faisait bonne impression, bon point pour lui. Exactement comme il se l’était imaginé, bien évidement, il aurait pu s’enquérir de sa photographie mais avait voulu privilégier la surprise. Erwin appréciait les surprises...ou plutôt il appréciait se rendre compte qu’il voyait toujours juste. Le lot d’une grande intelligence sans doute.
Alexandre n’était pas tombé en sidération extrême devant sa beauté mais ce n’était juste que parce qu’il savait se tenir, comme tout être ayant été doté d’une éducation rigoureuse. Même s’il n’avait pu que faire grande impression sur lui, il le faisait toujours.
Pour consolider cette merveille image, il descendit avec prestige les trois marches de l’espace central pour prendre place devant l’un des fauteuils qui le composaient.

- Curieux agencement...vous prévoyiez une piscine et n’aviez pas obtenu le permis ? Ou peut-être que cela ne suivait pas tellement avec l’idée que les autres se font d’un rendez-vous professionnel ? Caqueta-t-il plus amusé que mesquin en observant la cavité creusée dans la pièce. Personnellement j’abhorre les codes sociaux mais je porte le protocole aux nues, alors apportez-moi donc un verre.

Après cette tirade jouée sur les notes les plus enjouées dont il était capable, il s’assit avec l’aisance d’un roi et observa son ôte apporter boissons et verres, non sans se départir de son sourire aimable et hocha la tête flatté par le compliment qu’il lui adressa. Ennuyant ? Non il ne l’était clairement pas. Pouvait-on attendre d’un Monarque qu’il soit ennuyeux ?

- Cela explique ma propension à trouver que la vie ici reste suprêmement monotone, une fois passée les petits saisissements liés à la magie...sourit-il en désignant en acceptant le verre qu’il lui tendait, vous le verrez vous-même cette constatation ou peut-être êtes-vous déjà parvenu à cette conclusion. Vous plaisez-vous à Storybroole ? Les enjeux immémoriaux demeurent peu importe où l’on se trouve, mon très cher, disons qu’ici ce qui change, c’est l’éclectisme des méthodes.

Il fit un geste évaporé de sa main puis observa finement son interlocuteur lorsqu’il l’interrogea sur son identité secrète, puis laissa échapper un léger rire fluet entre ses dents.

- Oh je pense que vous le savez déjà ou au moins qu’il n’y qu’à me regarder pour le deviner mais comment refuser de vous instruire, lorsque c’est si gentiment demandé ? Souligna-t-il avec une insolente désinvolture, il prit une inspiration puis enchaîna les yeux subitement brillants, voyez-vous tout aussi puissant que je peux être ici ce n’est rien comparé au pouvoir qui était mien autrefois, lorsque j’étais Roi. D’un petit royaume assez satisfaisant, je l’avoue, très montagneux, riche… Très riche, des mines d’or et surtout l’opulence d’une vie, quelque chose de mirifique, luxueux...Prestigieux et fascinant.

Il n’avait pas prêté attention au moment exact où il avait cessé de décrire son passé pour enchaîner sur lui-même mais peu importait. Il avait dit ce qu’Alexandre Davis voulait entendre et ce qu’il savait déjà. En enjolivant quelque peu la réalité. Evidemment, son interlocuteur ne pouvait savoir que ce qu’il lui livrait là était un peu erroné, lui-seul ainsi que Georgia connaissant ce qu’il en était réellement. Nul autre, pas même les archives que Regina, qu’il avait peut-être cryptées comme sa sœur avant lui.

- Mon monde n’était d’ailleurs pas si différent du vôtre, disons que c’est le vôtre à une époque passée, sa meilleure époque. La magie n’y existait pas, pas plus que toutes les autres de ces créatures exotiques qui parcourent nos rues sous une apparence humaine pour tromper jusqu’à leur vraie nature. Des aberrations que toutes celles-ci.

Un jour, peut-être lui livrerait-il les détails scabreux de sa merveilleuse ascension mais pas aujourd'hui. Il doutait qu’Alexandre mente sur la façon dont il envisageait la royauté. Lui-même s’estimait énormément, il reconnaissait les égos prêts à fleurir lorsqu’il en croisait un. Dans un autre monde, oui, cet homme aurait pu acquérir beaucoup de pouvoir. Ou du moins en donnait-il l’illusion, ce qui consistait en un excellent commencement.

- Vous prêchez un converti, l’évolution politique du Tiers Etat me laisse pantois…il grimaça excessivement avec dédain, but une gorgée pour chasser de son esprit cette désagréable pensée avant de reprendre, mais vous vous méprenez, très cher sur ma vision comparative sur mon monde et celui-ci. Jamais ici comme autrefois, je n’ai eu la pensée de considérer qu’un titre faisait le pouvoir, ce n’est rien que la récompense. Un Roi naît comme tel, non par son titre mais parce que telle est sa destinée. Effectivement, ce monde est un défi, mais il faut l’accepter.
Il reposa son verre devant lui puis joua machinalement avec l’écharpe de soie qui seyait son cou. Est-il venu pour l’influence? Bien évidement.
- Je suis venu pour le pouvoir, c’est la raison pour laquelle, aussi, vous m’avez attendu, répliqua-t-il aussi dans un gloussement flegmatique, en haussant un sourcil afin de lui signifier qu'il n'était pas dupe. La patience est une de mes vertus, l’attente peut posséder des attraits plaisants parfois mais j’avoue que l’intérêt de retarder notre entrevue m’échappait et je m’en serait voulu de vous priver du plaisir de cette rencontre.

Comme pour magnifier, la superbe opportunité qui se présentait à Alexandre Davis, Preminger haussa les épaules, croisa les jambes et s’accouda dans le fauteuil majestueusement :

- Jusqu'à peu, je connaissais à peine votre nom...Enfin, Davis est un nom très répandu, je vous l’accorde, dans le top dix des noms américains, je vous mentirais si je vous disais ne l’avoir jamais entendu. Mais dans le monde des affaires internationales, je l’avoue, à peine. N’en prenez pas ombrage ou ne considérez pas cela comme une manière de vous provoquer, je suis persuadé que nous allons réparer cette dommageable erreur. Je vous le dis car « l’enfant recueillie » de votre famille prend un point d’honneur à interpréter ceci comme une attaque personnelle. Alors que dans notre monde, on dirait peut-on attendre d’un roi qu’il connaisse tous ses sujets ?…

Il s’interrompit comme au milieu d’une bonne plaisanterie, juste pour saisir son verre et tremper ses lèvres fines dans le breuvage proposé par Alexandre, du rhum fruité, agréable effectivement.

- Je fais la connaissance de votre personne ..disons d’une manière détournée. Auparavant j’ai eu la déplaisante malchance de faire la rencontre de Lena dans des circonstances tout autant déplaisantes, d'un geste théâtral, il leva soudainement son index: Aparté : Je m’excuse pour le l’image peu flatteuse que sa personne me procure mais je pense que nous nous rejoignons sur ce qu’il faut en penser. Mais je m’égare. Je ne vous apprendrais rien et ne vous surprendrais pas vous disant que Lena et moi avons...des différends quant à la manière de voir le monde. Elle m’a dressé un portrait très peu flatteur de votre personne, par ailleurs. Cependant, étant moi-même à ses yeux un simulacre de ce que je suis, ce serait folie que d’en rester à une telle description pour vous. Alors, je me suis documenté à votre sujet et ai découvert votre projet d’acquisition et d’installation dans ma chère belle ville, que j’ai suivi avec grand intérêt, sans en glisser mot à quiconque.
Ne croyez pas que je prends contact uniquement au regard de votre lien avec votre sœur. Cela m’a juste motivé à tenter d’en savoir plus sur vous. Mais à présent, votre démarche m’intéresse, vos objectifs. Votre quête de la perfection. J’avais envie de vous connaître et de vous entendre me parler de vos ambitions. En d’autres termes, je m’intéresse à vous
.


Il l’avait dit comme si cela consistait en un énorme privilège, une grâce qu’il lui faisait de tourner son regard vers lui et de daigner lui accorder du temps. Mais n’était-ce pas vrai ? Preminger était un personnage suffisamment occupé d’ordinaire.

- J’espère que vos intentions sont également louables à mon égard… Après tout, j’ai déjà subir un léger...désagrément qui aurait pu m’être fatal de votre part, bien qu’involontaire, je veux bien le croire..Il s’arrêta mystérieusement, puis se penchant dans un ton de confidence murmura : La fois où vous avez...cherché à éliminer définitivement la petite adoptée à l’hôtel où se tenait son séminaire à New-York, en novembre dernier, en piégeant son ascenseur il se trouve que je me trouvais en sa compagnie.

Enfin, en sa compagnie...Pas de cette manière, cela allait tellement de soi, qu'il ne jugea pas utile de le préciser. Le hasard avait juste voulu qu’ils se retrouvent tous deux dans la cage d’ascenseur que venait de faire trafiquer Lex, il n’avait pas été pour rien dans la survie de Lena ce jour-là. Mais il ignorait si Alexandre le savait, cela n’avait aucune importance, il offrait cette information comme un cadeau de sa bonne foi.
Il saurait y voir les avantages. Il l’observa se remettre à jouer avec ses cartes, dans une métaphore peu discrète amusé.

- Vous possédez l’adresse d’un prestidigitateur mon cher ! Fit-il remarquer d’un ton enthousiasme, et une grande dextérité…Mes qualifications professionnelles ? Il se désigna lui même d’un geste évident, je suis Notaire, j’ai excellé dans mes années de droit et mon diplôme, dans cette vie...A la Cour, au regard de ma position, j’ai forcément mené la politique de mon royaume, la vie mondaine, les intrigues politiques, sentimentales, amicales et que sais-je, un joli panorama… Je peux cependant libérer quelques heures de mon temps. Que les choses soient claires, je ne viens pas quémander un poste, je dispose d’une place tout à fait enviable dans cette ville, je ne cherche même pas un soutien...Je pense que je veux surtout….m’amuser. Jouer.

Il se leva et se posta devant le jeune journaliste, avec prétention, comme s’apprêtant à se lancer dans une démonstration musicale, mais se contenta de le pointer du doigt :
- Vous arrivez, vous avez besoin de relation. Il se trouve que mon métier me permet de connaître, si ce n’est tout le monde, au moins un grand nombre. Nous avons tous deux un sens du contact et sûrement du sensationnel. Mais quels sont vos objectifs ? Je ne m’engagerai pas sans les connaître… Car voyez-vous...si ceux-ci me conviennent, je ne dénierai pas avoir l’envie de...donner un coup de pouce à votre entreprise. Investir. L’incarner. En quelque sorte, Monsieur Davis, je veux parier sur vous.


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La famille est un lieu où tout le monde vous aime, peu importe comment vous êtes, ils vous acceptent pour qui vous êtes.

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Alexandre J. Davis
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Alexandre J. Davis

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"Doin'it for the Fame" feat Alexandre Davis Source-1

Allez... arrête d'ignorer la ressemblance avec Luthor. Tu es exactement comme moi, sœurette.

"Doin'it for the Fame" feat Alexandre Davis 68747470733a2f2f73332e616d617a6f6e6177732e636f6d2f776174747061642d6d656469612d736572766963652f53746f7279496d6167652f65585733554447727045456d51513d3d2d3530353136363235392e313466653864383339386338633432653737323435343936383834342e676966


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"Doin'it for the Fame" feat Alexandre Davis _



________________________________________ 2020-05-10, 00:00

Doin'it for the Fame


Storybrooke est... Alexandre réfléchit un instant à sa réponse, lorsqu'Erwin lui demanda s'il se plaisait de leur ville pittoresque. Il se tourna à nouveau vers la grande fenêtre de son bureau et l'observa de haut l'espace de quelques secondes. très différente de mon milieu social. Mais elle n'en est que particulièrement interessante. Je pourrais m'y plaire, oui, même si je ne la choisirais pas comme lieu de vie définitif. Il était honnête, mais il n'en était pas dégoutté de la ville, elle avait ses qualités, nombreuses, du moins pour celles qui intéressaient Alexandre, et celui-ci les reconnaissait. Il se retourna vers Erwins. Et bien qu'elle doit être bien loin de ce que vous aviez dans votre ancienne vie, c'est une adorable ville que vous avez là. Il me plaît, en tout cas, de l'observer de sa hauteur et de jouer un si grand rôle dans la diffusion de l'opinion publique.

C'était sa façon à lui dire que Storybrooke était manipulable facilement. C'était pour ça qu'il se trouvait à la tête du Weekly Planet aujourd'hui. L'affreux et ridicule journal de la ville n'utilisait pas tout son potentiel et c'en était aussi triste que frustrant. Tant mieux pour Alexandre qui avait toute l'occasion de la saisir.

Il lui sourit en prenant ses aises face à lui, ravi de voir qu'il prenait les siennes. Un roi, ça se voit et ce n'est gère surprenant. Vous avez l'aura d'un roi, j'aurais été surpris que vous n'en soyez pas un, et je me serais demandé ce qui clochait dans votre monde pour vous placer ailleurs que sur un trône. Bien sûr, Alexandre n'avait personne au-dessus de lui, en politique ou dans n'importe quelle échelle, dans ce monde. Mais les supérieurs politiques n'étaient pas pour autant des vermines à haïr ou manipuler : ils faisaient des alliés et des amis de tailles. C'est là ce qu'il espérait voir chez Erwin. Parmi les qualités de Storybrooke, divertissante manquait à la liste. Alexandre espérait au moins combler cette lacune avec une association avec ce cher Monsieur Dorian.

Son sourire n'en grandit que davantage au mot qu'il utilisa. Aberrations. Lorsque quelqu'un me hôte les mots de la bouche, c'est assez plaisant. Il est agréable de voir que nous ne nous contentons pas d'avoir les mêmes avis, nous en avons le même ressenti et la même vision. Aberrations. Le monde a toujours souffert des aberrations : et pas seulement parce qu'elles ravageaient, mais parce que la stupidité de la race humaine, ou de sa majorité, la laisse grandir en elle avant de réagir, trop tard. Aberrations. Monsieur Dorian, la vision que vous avez de ce monde ne m'étonne guerre en voyant votre personne : une vision juste pour un homme droit.

Il n'était pas avare de compliments, de façon générale, étant souvent hypocrite dans ses propos. Mais il avait de la sincérité dans tous les mots qu'il adressait à Erwin, bien qu'il n'était pas là simplement pour rencontrer un nouvel ami et qu'évidement, ses intentions envers lui servaient à nuire à sa soeur. Mais lorsque dans un plan, les deux partis y trouvaient son compte, ce n'était pas de l'hypocrisie. C'était un arrangement.

Je n'ai pas de raison de prendre mal ce que vous dîtes sur mon nom, je connais ces statistiques. Principalement pour être à la tête de ces statistiques. Je suis donc on ne peut plus ravi que vous les connaissiez, et que Davis n'est pas pour simplement l'amère mélodie qu'est le nom de ma sœur. Lena Davis aurait été bien mieux, mais cette sotte tenait à son nom qu'elle avait perdu à la mort de ses géniteurs. Risible, cette famille lui était misérable. Lena pourrait être bien plus mais s'attarde sur tout ce qui est nocifs pour sa grandeur. Vouée à rester petite à jamais. Quel gâchis.

Il jouait avec ses cartes en énonçant tout ça, distraitement et en même temps concentré. Il écoutait et enregistrait la moindre des paroles d'Erwin : ce n'était pas tous les jours qu'il rencontrait un homme avec une vision aussi agréable des choses. Et il connaissait la relation tempétueuse entre lui et Lena : autrement, il n'aurait pas été aussi curieux de le rencontrer. Les alliés de Lena, il s'en fichait. Alexandre cherchait à rencontrer Kara uniquement pour parler à Lucy. Kara n'avait aucun intéret à ses yeux. Erwin n'en aurait eu aucun également s'il lui était un ami.

Ravi que ma démarche vous intéresse, car je pense que vous y trouverez votre place, et votre rôle, aisément, mon cher Erwin, dit-il alors en prenant son verre, puis en se levant pour aller le remplir à nouveau. Il haussa les sourcils en apprenant pour l’ascenseur. C'était donc vous avec elle ? Je considérais l'inconnu à l'époque comme un simple dommage collatéral. Il se tourna alors vers lui, et pencha la tête en signe d'excuse. Je vous présente mes sincères excuses officielles pour se désagrément. C'était un test, pour ma soeur, qu'elle a passé, d'ailleurs. Il n'était pas question de la tuer, nous n'en seriez pas mort. Mais maintenant que je sais que c'était vous, avec elle, et qu'elle s'en est surement sortie avec votre aide, je me demande si son test était vraiment réussi. Elle ne me déçoit que davantage... Il sourit là-dessus. Alors que mon intérêt pour vous n'en est que grandissant, mon cher.

Il en était presque fier, finalement, d'avoir également piégé Erwin alors qu'il n'en savait rien à l'époque. Les hasards du destin sont souvent faits pour être étudiés et écoutés.

Alexandre rigola au compliment que lui fit Erwin sur son habilité avec les cartes. Un simple passe-temps, dont la danse exprime souvent davantage qu'une gestuelle. Que j'apprécie beaucoup, dit-il en chorégraphiant à nouveau ses cartes entre quelques doigts, alors qu'Erwin répondait aux questions qui lui importaient, sur ses qualifications.

Vous aviez une influence sur pratiquement tout votre royaume, c'est exactement ce que j'espérais entendre. Ne me quémandez pas de poste, vous n'avez pas à le faire, je vous propose de tenir celui de rédacteur en chef, mais la relation que nous tiendrons professionnellement n'a nullement à être celle d'un patron à son employé. Nous serons bien plus que ça.

Il s'installa alors convenablement. Cette ville est un problème. Lena y tient des objectifs ridicules qui sont en accord avec sa vision du monde totalement éronnée. Elle pense pouvoir soigner les maux de cette cité, expliqua-t-il alors, sachant que Erwin savait ce que ces maux pouvaient être. Elle ne fera que causer du tort sans s'en rendre compte, en pensant agir parfaitement pour le bien commun. Je tiens à l'arrêter. Traiter ces maux comme ils doivent être traités. Et s'opposer à Lena requiert un peu d'influence politique que l'opinion du Weekly Planet donne parfaitement à cette ville.

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Erwin Dorian
« If the crown should fit, then how can I refuse? »

Erwin Dorian

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- Pour ma victoire? C'est adorable, trésor... Même si en toute modestie, je dois admettre, qu'au-delà de cela, je suis un prestigieux modèle pour mes concitoyens"
(Alexis pense-t-elle qu'il est parti trop loin? Sûrement! On approuve)

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________________________________________ 2020-05-21, 17:17 « If the crown should fit, then how can I refuse? »


Doin'it for the FAME

« Alexandre Davis & Erwin Dorian"



L’affirmation d’Alexandre trouva un écho dans le notaire. S’il on lui avait donné la possibilité d’habiter n’importe où sur la Terre, aurait-il choisi Storybrooke ? Il n’y avait jamais réfléchi Après tout, il possédait cette possibilité de décision, n’est-ce pas ? Rien ne le liait à cette ville. Il n’y restait pas par obligation mais bien par choix personnel. Mais pour quelle raison exactement ? Au final, cela lui semblait si naturel qu’il n’avait jamais envisagé le départ. Peut-être parce qu’en elle résidait l’épicentre de son royaume et d’un pouvoir démesuré qui dépassait l’imagination du reste du monde…
Il aurait pu faire le choix de demeurer ailleurs, en se contentant de surveiller les informations mais comment mieux en saisir toutes les luttes qu’en y installant sa demeure ? Alexandre n’était pas loin de ce raisonnement, Erwin devinait d’instinct que c’était la raison principale de son arrivée en ville et de son investissement massif.

- « D’une certaine manière, Storybrooke, en elle-même est proche des capitales voisines de mon ancien royaume. Vous ne serez pas sans remarquer à quel point les nouvelles se répandent comme une traînée de poudre dans cette bourgade… D’autant plus lorsque l’on possède les médias. »

Il partagea un regard entendu avec son interlocuteur. Il ne voyait pas l’intérêt de faire mine de ne pas le cerner. S’il voulait être respecté, il fallait étaler, en plus de son charisme, sa clairvoyance. Feindre serait revenu à presque le prendre pour un imbécile, ce qui aurait vexé son interlocuteur.
Baissant les yeux, il glissa son index sur le bord du verre, observant sa couleur. Le reflet de la lumière donnait au breuvage la couleur de l’or, si bien que le contexte ne put l’empêcher de le renvoyer à l’éclat de la couronne qu’il aurait du porter.
Alexandre ignorait ce fait, il n’allait pas lui dire mais la flatterie fonctionna sur lui à merveille, si bien qu’il dodelina de la tête, avec un haut plaisir :

- « Effectivement. Certaines personnes sont destinées à porter le sceptre et l’hermine », claironna-t-il avec délice avant d’ajouter perfidement : « Si le Sort m’avait réservé un sort autre, je peux vous assurer que je me serais empressé de corriger cette lacune »

Il l’avait fait, il le referait. Son regard dériva sur l’immense baie vitrée qui desservait le bureau. De sa place, il apercevait l’ensemble des toitures de la ville et elle semblait si insignifiante vue de si haut. A la différence du bureau de Lena, la tour dominait réellement la ville, siégeant parmi les hauteurs. Positionné ainsi, Alexandre devait avoisiner la sensation des immenses buildings qu’il avait l’habitude de côtoyer à New-York, avec le privilège, ici, d’être le seul à posséder cette vue implacable.
Il aurait pu le jalouser, mais Preminger ne jalousait personne. Il n’éprouvait aucune envie face à ce que possédait Alexandre, sachant pertinemment que s’il lui prenait la folie de posséder pareille tour, il le pouvait. Méprisait-il l’homme ? Non, pas réellement. Il y voyait une cohésion d’esprit proche de la sienne – sans posséder son potentiel à lui, bien entendu – quelque chose qui le faisait apprécier d’être là, en sa compagnie.
Erwin aimait les flatteries de manière dispendieuse, mais au-delà du simple compliment, il sentait la sincérité du propriétaire du Weekly Planet à son égard. Alexandre ne paraissant pas être pourtant aisé à impressionner.
Il lui sourit lorsque ce dernier opina en son sens, approuvant sa vision du monde et le choix de ses mots.

- « Vous savez, très cher, cette époque rend si difficile l’existence de personnes telles que vous, que je dois appeler « privilège » que de découvrir en vous un allié en ce bas monde », minauda-t-il sans se départir de son amusement, « Et vous êtes dans le vrai, ma vision est juste, je dirais même, elle EST. »

Etait-il un homme droit ? Lui ? Sûrement Alexandre posait-il sur lui un regard quelque peu biaisé parce que s’il lui avait fallu se décrire, Erwin aurait pu, sans peine, prédire que ce mot n’aurait jamais franchi ses lèvres. Après tout, n’était-il pas l’exact contraire d’un homme droit ? Il se reconnaissait d’un caractère fourbe, vain, frivole, sans peu de concession, intransigeant aussi, capricieux surtout. Sûrement, cette quête d’absolue poussait l’homme d’affaire à le qualifier d’homme droit. Oh, effectivement, il possédait des idées parfaitement arrêtées sur tout à chacun et ce qui devait advenir.
Il hocha à peine la tête, lorsque le jeune chef d’entreprise lui révéla s’occuper de statistiques, il le savait déjà et à dire vrai, il avait glissé cette petite référence à son intention volontairement. Il ne put s’empêcher en revanche de hausser un sourcil circonspect à l’entente des attentes portées à l’encontre de Lena par son frère adoptif :

- « Oh ! Ciel ! s’exclama-t-il en mimant la surprise, « Vous m’étonnez, Alexandre ! Je trouve bien au contraire que vous devriez vous féliciter que cette grossière gourgandine n’ait pas associé son identité avec la vôtre ! Je n’ose imaginer le heurt que cela du déjà causer à votre précieuse famille lorsqu’elle a… » Il fit une pause et ses yeux scintillèrent férocement « Peut-on appeler ça « gagner une popularité » lorsque les seuls agrégats de sympathie qu’elle suscite viennent de la lie de notre population ? Je vous laisse seul juge quant à son potentiel, j’aurais une difficulté à évaluer ce qui pour moi est inexistant à mon contact. Ne trouvez-vous pas cela désopilant? Tout le ramassis de aficionado qu’elle déclare « amies » ne cessent de chanter son génie et pourtant à chaque fois que je lui parle, elle est incapable de tenir un propos cohérent ou même de finir une phrase.... »

Il ricana méchamment à cette pensée et but une gorgée d’alcool supplémentaire. Lena avait-elle du potentiel ? Sûrement. Il ne l’avait jamais vu, cela ne l’empêchait pas de deviner qu’on ne lui prêtait pas des qualités scientifiques pour son bon plaisir… Au delà de ça, rien de particulièrement intéressant qui mérita la peine d’être souligné. Une fille banale plein de traumatismes. Qu’il détestait.
Il observa son hôte se lever pour remplir son verre à nouveau. Décidément les Davis aimaient ponctuer leur discussion d’alcool et spécifiquement de rhum. Tant qu’il ne lui prenait pas l’envie de lui jeter son verre à la figure. Souriant à sa propre plaisanterie interne, il se cala davantage dans le fauteuil immaculé, jouant machinalement avec son écharpe.

- « Je ne prends pas ombrage de ce terme, « dommage-collatéral » soyez-en rassuré. Il était en l’occurrence tout à fait pertinent et j’avoue être satisfait d’apprendre que je n’étais guère visé par votre petite tentative d’assassinat, bien que cela ne faisait aucun doute à mes yeux… »

Personne ne tentait jamais de l’assassiner, il s’en félicitait, cela aurait lui causé un fort émoi et surtout c’était inutile, vide de sens. Pourquoi donc aurait-il donc été la cible de la famille de Lena ? Il ne l’a connaissait alors que de leur aventure commune dans les locaux d’Amazon et leur retrouvaille dans l’ascenseur n’était que complètement fortuite. De plus, au vu du climat délétère dans lequel évoluait sa relation avec la brune, il aurait été fort peu ingénieux pour un ennemi de cette dernière de s’en prendre à lui. Quoique. Elle en aurait été suffisamment bêtement inquiète pour tenter de le venger.

- « J’accepte pleinement vos sincères excuses, Alexandre. Cependant, je crains que votre test n’ait été, je le déplore, défectueux sur toute la ligne » Il ricana fortement, théâtralement tout en tournant vers son interlocuteur des yeux brillants : « Mais laissez-moi vous le conter ! Tout d’abord parce que les câbles ont complètement cédé, et l’ascenseur s’est écrasé au dernier étage, sans nous à l’intérieur, fort heureusement. Ensuite, tout bonnement parce que, n’en déplaise à l’espoir que vous portez en elle, votre sœur est une idiote finie, sauf votre respect, mon cher Alexandre. Il m’a fallu au moins vingt bonnes minutes pour lui expliquer qu’un ascenseur n’est pas voué à s’effondrer à chaque panne de courant. Elle a remarqué que l’appareillage menaçait de s’effondrer, je peux lui reconnaître ceci, même si cela n’est guère glorieux, cela amène juste à prouver qu’elle est familière des tentatives de meurtre, juste aussi pathétique que cocasse. Pour le reste, de son propre aveu, elle ne s’est sortie de l’habitacle que parce que des années auparavant vous lui aviez appris comment faire. Rien d’inventif. Aucune initiative personnelle, aucun raisonnement, juste du mimétisme purement animal. C’est moi qui ait vu que les câbles avaient été sectionnés… Et elle n’a rien trouvé de mieux à faire que mettre ses empreintes dessus vu que la scie comportait les initiales de votre compagnie. D’ailleurs, toutes mes condoléances pour vos hommes de main tragiquement morts dans cette « merveilleuse simulation ». Le premier de mon fait, le deuxième par accident et le troisième s’est sottement mis une balle dans la tête, seul. Remarquez, on peut le comprendre, elle s’était mise en tête de le faire « subtilement parler » en le menaçant avec un tact qui frôlait la torture. »

La scène lui revenant en mémoire, il se rappelait de l’allure bien cauchemardesque qu’avait pris ce que devait être une tranquille nuit. La seule vision de la jeune femme aurait pourtant du le renseigner à ce sujet. Que n’avait-il écouté son instinct et n’avait-il poussé cette garce lorsque l’ascenseur s’était effondré !
Il reporta son attention sur l’habileté avec laquelle l’homme d’affaires jouait avec ses cartes, tel un prestidigitateur. Un tic dont il devait apprécier la gestuelle et le symbolisme. D’une certaine manière, cela lui donnait une allure de magicien qu’il n’était pas sans démériter. Oui, un petit style original qui ne déplaisait pas au notaire, au moins était-il plus original que plus de la moitié des habitants de Storybrooke. Ils s’entendraient bien ! S’il tiquait sur le terme utilisé, il comprenait dans l’absolu néanmoins que fort heureusement, il n’était pas dans les projets d’Alexandre de considérer souhaiter faire de lui un employé, ce dernier n’ayant pu que constater sa grandeur. Mais il était toujours utile de préciser, alors il le fit :

- « Employé ou patron, très peu pour moi. Je préfère la collaboration. Et je suis favorablement intéressé pour investir au capital de votre société, dans l’avenir, afin de concrétiser mon statut d’associé. » Il le déclarait sans aucune agressivité, rien de moins qu’une requête qu’il entendait se voir accepter. « Mais j’ai toujours adoré la manipulation d’autrui par les moyens détournés que sont l’information et l’audimat ! Alors j’accepte ce poste avec grand plaisir, très cher ! Je suis sûr que nous allons construire de grands progrès pour cette ville, ensemble »

Il lui tendit la main dans un sourire éblouissant et commercial avant de s’esclaffer royalement :

- « Oh Alexandre êtes-vous réellement sérieux ? « S’opposer à Lena nécessite un peu d’influence politique ? » Oh dear…In effetti, j’écrase Lena Davis quand je veux dans un claquement de doigts. Si vous le demandez, je peux la rayer de la surface de la Terre. »

Comme sous couvert d’une excellente plaisanterie, il porta la main à son front, comme frappé d’une hilarité renversante puis se rassit, le visage encore secoué de rire :

- « Croyez-le ou non, mon investissement chez vous ne concerne en rien votre soeur. Elle n’est que la partie amuse-bouche de l’ensemble. Mon but principal est beaucoup plus terre-à-terre. Vous combattez les maux de ce monde et de cette ville, j’en suis le Remède. Vous n’avez aucune prétention mondiale, juste des idéaux, j’incarne ces idéaux. Vous le savez, très cher, vous l’avez dit vous même : « « Une vision juste pour un homme droit ». Si vous croyez en cette vision, croyez-en moi ! Alors, mettez à mon service les moyens me permettant de récupérer le monde qui m’appartient de droit. En parallèle, je vous aiderai à contrer votre sœur, si c’est là votre préoccupation première. »

Il se pencha vers Alexandre sur un ton de confidence :

- « En clair, si vous souhaitez lui réserver un test bien plus instructif, vous pouvez me demander. Elle échoue lamentablement à chaque fois mais n’est pas avare de confidence, c’est très instructif. Je suppose que vous n’êtes pas sans savoir que son amie Kara a quelques « soucis comportementaux » appelés Lucy et se traduisant par des pouvoirs télékinésiques, vous vous êtes sûrement renseigné à son sujet en surveillant votre sœur… Savez-vous comment je l’ai appris ? D’elle-même. En trois secondes montre en main pour une information qu’elle n’a pas su résister à me donner par simple problème de tempérament ! Elle pense d’ailleurs être en phase de dissocier Lucy et Kara, sous peu, avec l’aide de Regina bien entendu. C’est imminent, enfin….Si son retour au bercail auprès de votre mère ne l’en dissuade pas ! »

Il explosa de rire puis ajouta, avec humour les yeux rivés sur les cartes qu’Alexandre tenait en main :

- « Je suis roi, mais je ne joue qu’avec quatre as. Il vous suffit donc de me demander la carte que vous voulez que je mette en jeu. »


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