« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Partagez
 

 Tout ce que tu souhaites et même plus .oOo. Loukas

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage


Invité
Invité

Anonymous



Tout ce que tu souhaites et même plus .oOo. Loukas _



________________________________________ 2020-07-03, 22:59



I can make you famous, I can make you rich, or I can make your death looks like an accident…
Valentino ☆ ★ ☆ Loukas

Le soleil venait tout juste de se coucher sur Storybrooke, mais la chaleur qui étouffait la ville ne semblait pas vouloir diminuer. L’été s’était définitivement installé sur la petite ville du Maine et la chaleur se plaisait à torturer ses habitants. Les climatiseurs du Lussuria fonctionnaient à plein régime, mais le visage de son propriétaire ne dérougissait pas. Par contre, dans le cas de Valentino, ce n’était pas la chaleur qui l’accablait, mais la colère. « Non je ne vais pas vous écouter! VOUS, vous allez m’écouter! », hurlait-il dans son téléphone. « J’ai payé pour cette marchandise! J’ai payer pour cinq hommes et sept femmes VIVANTS et en bonne santé! Non je ne vais pas me calmer! Vous allez me rembourser pour les trois qui sont morts pendant le voyage et… VOUS FERMEZ VOTRE PUTAIN DE GUEULE! Et vous allez les remplacer gratuitement! Je les veux avant la fin du mois, ou je mettrai fin à notre collaboration. J’espère bien! Très mauvaise soirée à vous! », hurla l’homme d’affaire avant de lancer violement son téléphone contre le mur. L’appareil vola en éclat, éparpillant ses morceaux partout dans la pièce. Le démon passa derrière son bureau et s’affala dans la chaise confortable. Comment avait-il pu faire affaire avec ce genre d’incapables qui avaient réussi à abimer sa marchandise?

Soupirant, Valentino se servi un verre de cognac dont la première gorgée passa de travers, sa gorge toujours nouée par la colère. Il appuya sur le bouton de son intercom en soupirant.
« Louisa, envoie l’entretien ménager dans mon bureau pour un dégât mineur. Oh et… J’ai besoin d’un nouveau téléphone. » « Tout de suite, M. Mezzano. », chantonna la voix de sa secrétaire. Quelque minutes plus tard, un agent d’entretien entra dans le grand bureau pour nettoyer les dégâts faits par le téléphone explosé, et Louisa déposa sur le grand bureau de son patron un nouvel appareil déjà connecté et synchronisé. C’est fou ce que le démon pouvait apprécier ces petites merveilles de technologie. Contrairement à son homologue, Alastor, il avait appris à évoluer avec son époque. Ce fut donc tout naturellement, pour se calmer, que l’homme d’affaire commença à parcourir sa galerie de photos. Elle contenait presque exclusivement des photos de ses employés, ses petits protégés toujours nus et dans des positions suggestives. En parcourant la galerie, le pauvre homme se rendit compte que certaines photos commençaient à dater et que certains de ses modèles n’étaient même plus à son service. Évidemment, il était plus courtois de le dire de cette façon, que de tout simplement avouer qu’il étaient morts. C’est qu’on ne quitte pas la compagnie de M. Mezzano comme ça, sans problème.

Son verre terminé, Valentino se perdit un moment à en observer les glaçons qui fondaient. Sa marchandise venant d’Europe allait arriver vers la fin du mois, et la semaine précédente, il avait du remercier deux de ses charmantes employées qui avaient voulu le doubler en faisant des heures supplémentaires à leur compte. Il allait bientôt manquer de produit frais à offrir à ses clients réguliers. Certes, il allait augmenter les heures de travail d’Angel, mais à lui seul, il ne pouvait pas palier au manque de personnel. Le démon dû se rendre à l’évidence. Il allait devoir se renflouer en recrutant lui-même, en attendant que sa commande lui soit livrée. Il se rendit à la fenêtre de son bureau pour observer la vie qui grouillait à l’extérieur. Il avait une vue imprenable sur le quartier des affaires louches. C’est là qu’il recruterait.

Valentino appela son chauffeur et il fit préparer sa limousine. Lorsqu’on veut appâter des prostitués, il faut montrer le luxe et l’argent. C’est en le brandissant sous leur nez qu’ils se laisse facilement manipuler. L’homme d’affaire prit place à l’arrière de sa limousine noire aux vitre teintées. À l’intérieur, la climatisation rendait le voyage plus qu’agréable. Il n’y avait plus de risque de voir la sueur nous coller aux sièges de cuir noir. On pouvait, en toute aisance, déguster un verre sous la lumière violette des néons. Dans son complet élégant surmonté d’un sourire carnassier, Valentino sillonnait le quartier malfamé à la recherche de sa proie. C’est alors qu’il le repéra. Les cheveux blond, les yeux bleu comme le ciel, le visage des plus sexy des démons des Enfers. Il avait sa proie.

La limousine s’arrêta tout juste devant le garçon qui faisait le trottoir. Giussepe, son chauffeur, ouvrit la fenêtre du côté passager, laissant sortir une bouffée d’air frais dans la nuit humide et chaude. Instinctivement, le jeune homme s’approcha de son potentiel client.
« Monte à l’arrière, p’tite pute! », cracha le chauffeur avant de refermer la fenêtre. Valentino, qui s’était glissé du côté chauffeur de la banquette, regardait par la fenêtre, ne tournant pas la tête pour accueillir son invité. Il savait que Loukas était un ami d’Angel et, par conséquent, il devait lui avoir parlé de son patron. Il attendit donc que Giussepe démarre avant de se tourner pour montrer son visage. « Bonsoir, Loukas… Valentino Mezzano, mais j’imagine que tu as déjà compris qui je suis. », dit le boss avec un sourire. Il vint délicatement poser sa main sur le genou du jeune blondinet, remontant lentement le long de sa cuisse. « Je suis là pour t’offrir la chance d’une vie. » Valentino retira sa main du jeune homme au moment où il frôlait le précieux fruit défendu. Un sourire étira ses lèvres alors qu’il le détaillait de haut en bas. Puis, l’homme d’affaire sortit de son veston une pince à billets avec reliure de cuir. L’épaisseur laissait imaginer le montant d’argent impressionnant qu’il avait entre les mains. Sans regarder le jeune homme, Valentino commença à compter les billets qu’il dépliait sous ses yeux. « Dis-moi, joli démon, combien demande-tu pour une simple fellation? »

⇜ code by bat'phanie ⇝
 Page 1 sur 1

Tout ce que tu souhaites et même plus .oOo. Loukas





Disney Asylum Rpg :: ➸ Le petit monde de Storybrooke :: ✐ Les Habitations :: ➹ Les docks :: ➹ Hazbin Street