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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
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 Le Piège à poulpe | Stefan

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Honey Lemon
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Le Piège à poulpe | Stefan _



________________________________________ 2020-11-28, 20:54 « Science is magic that works. »

Honey Lemon avait refusé, lorsqu'elle avait obtenu son poste à l'univers, qu'on lui attribue un bureau dans les locaux. Ce n'était pas là-bas qu'elle passait le plus clair de son temps et la jeune femme ne comptait pas modifier l'habitude chère à son cœur de passer le plus clair de son temps au laboratoire de la ville dans lequel, pour le coup, elle avait un bureau.
La porte de son bureau indiquait clairement à qui il appartenait (Dr Honey Lemon) ainsi que ses spécialités (l'astrophysique et la chimie) grâce à une plaque fixée à hauteur d'yeux pour qui n'était pas en fauteuil roulant. Cette même porte s'ouvrait sur une vaste pièce au centre de laquelle trônait un bureau parfaitement rangé. Derrière lui se trouvait une immense étagère remplie de livres et de dossiers, tous en rapport avec les domaines de compétences de la jeune femme. Quelques bibelots aussi ornaient l'imposant meuble.
Il n'y avait plus de chaise derrière le bureau depuis que son occupante n'avait plus l'utilité des chaises. En revanche, un confortable fauteuil se trouvait de l'autre côté, pour permettre à ses collègues, tous valides, et autres confrères susceptibles de lui rendre visite de s'installer à leur aise.
Evidemment, bien qu'il y avait une cafétéria plus que satisfaisante dans le bâtiment, Honey possédait sa propre bouilloire et tout une sélection de thé, sur un petit meuble près de la fenêtre. Si on ouvrait le tiroir de ce même meuble, on trouvait notamment quelques biscuits ainsi que les mugs nécessaires à la consommation du thé.
Quant aux murs, ils étaient ornés pour commencer les deux doctorats que la jeune femme avait obtenu à la San Fransokyo Instute of Technology, l'équivalent du MIT sur Terre-2. Ils étaient tous les deux encadrés dans deux cadres noirs et si on faisait attention aux dates qu'ils indiquaient (les diplômes indiquant, en plus de la date d'obtention, la date de naissance de la personne diplômée) on s'apercevait que Honey avait obtenu son doctorat en astrophysique à 18 ans (en 2011) et son doctorat de chimie à 23 ans (en 2016). Le même mur accueillait aussi, dans un cadre similaire, une belle noire de corbeau, offerte par Raven un ancien corbeau qui avait pris l'habitude de questionner Honey à propos de tout et de rien, à toute heure. Elle avait aussi accroché une photo prise à la réception de son premier master, sur laquelle on la voyait à dix-huit ans, entourée de son père, fier comme un paon, et de sa mère au sourire bienveillant. Honey n'avait pas accroché ses diplômes en français, allemand et japonais car ils étaient assez éloignés de sa spécialité. De la même façon, elle s'était contentée d'une seule photo afin de rester dans un contexte professionnel.
Et professionnelle, Honey l'était. Tout comme elle était passionnée. On était samedi après-midi et il faisait beau, même si les températures de fin novembre étaient fraiches. La jeune femme aurait pu sortir avec ses amis, prendre du bon temps pour elle mais n'en avait rien fait. Elle était assise à son bureau, le nez plongée dans ses calculs lorsque son téléphone fixe, qui sonnait rarement, sonna.
La jeune femme sursauta, déconcentrée et décrocha machinalement le combiné.
- Docteur Lemon à l'appareil, j'écoute, dit-elle en essayant de passer du mode "ultra sérieux parce que je fais une équation à quatre inconnues" au mode "je suis une personne avenante".

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________________________________________ 2020-11-28, 22:34

C’était une très belle journée à Storybrook. La neige était tombée depuis quelques semaines et l’air était froid, mais pas humide. Ainsi, il était agréable de sortir et le soleil faisait briller le tapis blanc, rendant la ville enchanteresse. Stefan appréciait l’hiver parce que le soleil tapait moins fort que durant l’été. Sa peau était moins douloureuse et il pouvait sortir sans se mettre d’écran total. C’est quand même assez décourageant lorsque tu risques un coup de soleil même de l’intérieur d’un bâtiment. C’était ça la vie de vampire et la crème solaire était toujours mieux que de finir en poussière au moindre rayon sur lui.

L’homme portait un manteau gris avec une écharpe, voulant passer inaperçu en marchant dans la rue. Ce serait un peu suspect de montrer qu’il ne sentait pas le froid, donc il faisait l’effort de s’adapter aux habitudes humaines. Les mains dans ses poches, il regardait autour de lui. Il se dirigeait vers l’hôpital et ses laboratoires. Il devait justement passer un appel avant d’y mettre les pieds. Qu’il ait ou non l’autorisation d’y aller, il irait, mais il voulait au moins être sûr qu’il ne se déplaçait pas pour rien. Rapidement, continuant à marcher, le vampire prit son portable et trouva le contact qu’avait rentré miss Parr. Heureusement qu’elle avait donné son numéro, cela lui faisait gagner du temps fou à chercher dans l’annuaire! Enfin, les gens utilisaient toujours ça maintenant? Il ne savait pas trop. Avant, il ne savait même pas ce qu’était un téléphone, alors…

- Ah, miss Lemon! Heureux de tomber sur vous plutôt que sur la messagerie. Vous vous souvenez de la dernière fois que l’on s’est vu que je vous ai dit que j’allais vous rappeler éventuellement? Et bien c’est maintenant, j’ai besoin de votre aide. Je suis en route vers votre bureau. Si vous êtes bel et bien là, rester sur place, je suis sur le point d’arriver. Je vous explique tout là-bas. Vous me devez bien ça pour savoir ce que je suis, miss…

Le reste du chemin se fait sous vitesse vampirique et à peine 1 minute après son appel, il se trouve devant le bureau de la jeune Lemon et il prit l’initiative d’entrer sans frapper. Il avait plus important que les politesses. Il referme la porte derrière lui et il va s’asseoir sur le fauteuil en face du bureau.

- Miss Lemon, je sais que vous savez. Je suis un vampire, pourtant je ne sais rien de ce qui se passe dans mon corps. Il n’y a pas eu la moindre esquisse de dissection de vampire, évidemment. Alors, j’aimerais que vous m’aidiez à découvrir comment fonctionne mon corps. J’imagine que vous devez avoir des machines pour ce faire. Si jamais vous avez besoin d’une prise de sang, dites-moi. Les aiguilles ne traverseraient pas ma chaire. Je devrais moi-même me percer une veine pour vous offrir le nectar de la vie.

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________________________________________ 2020-11-29, 00:33 « Science is magic that works. »

En reconnaissant la voix au bout du fil, Honey se figea. Elle avait fini par oublier que le professeur Vulpesco avait en quelque sorte promis de l'appeler "bientôt" mais la jeune femme avait préféré y voir une formule toute faite et partir du principe que ça n'arriverait pas. Leur seconde rencontre s'était mis passée que la première, en dépit de son commentaire sur les cheveux de la jeune femme, s'était mieux passée. Stefan Vulpesco s'était montré plutôt charmant, tel un gentleman des siècles passés. Néanmoins, la jeune femme restait sur ses gardes. C'était sans doute la raison pour laquelle son cœur s'était emballé quand elle avait reconnu sa voix à l'autre bout du fil.
Mordillant sa lèvre inférieure, Honey écouta l'homme qui avait tellement d'assurance émettre sa requête comme si l'affaire était déjà entendue. Il venait. Elle devait attendre. Fin de l'histoire. La scientifique n'était pas très contente de la façon dont il annonçait les choses, même s'il le faisait en promettant de révéler qui il était pour l'appâter, vraisemblablement. Mais pourquoi cela l'aurait-elle appâter ? Honey avait une théorie très solide concernant l'identité véritable de son collègue, attendant seulement son heure pour le confronter et lui montrer qu'elle n'avait pas peur. Il pouvait la mettre mal à l'aise, elle n'allait certainement pas le nier. Mais lui faire peur, c'était une autre affaire.
Il la prenait totalement au dépourvu et ne laissa pas à Honey le loisir de décliner une invitation qui n'en était pas une. Enfin... Stefan Vulpesco s'invitait clairement dans sa vie, sans chercher à savoir s'il était désiré, mais elle ne l'y avait pas invité.
Honey tenait encore le combiné entre ses mains quand il ouvrit la porte de son bureau. Alors seulement elle le laissa retomber pour raccrocher, joignant ses mains devant elle, Honey s'intima de rester calme, prête, toutefois, à signifier à son collègue que frapper à la porte et attendre d'être invité aurait été une bonne idée.
Néanmoins, après l'avoir écouté et eu confirmation non seulement qu'elle avait raison mais aussi qu'il se doutait qu'elle avait compris ce qu'il était, l'envie lui passa de le lui signifier. A la vérité, Honey était même un peu déçue de ne pas pouvoir amener le sujet comme elle l'aurait souhaité. Ce n'était pas suffisant cependant pour la contrarier. Au moins le professeur était-il honnête et quelque chose soufflait à l'oreille de la scientifique que ça n'arrivait pas forcément tous les deux matins. Il était tout de même curieux que Stefan Vulpesco ne lui demande pas à quel moment elle avait compris. Comment elle avait fait les connexions. Vu les aspects de sa personnalité que Honey avait cerné, elle était à peu près certaine qu'il aimerait obtenir ses informations.
La jeune femme opina pour lui signifier qu'elle avait compris sa requête.
- Je comprends votre requête. Mais pourquoi maintenant et pourquoi moi ?
D'autres questions dansaient dans l'esprit de Honey mais elle préféra ne pas les poser maintenant ou inférer de leur réponse à partir des informations et des faits déjà en sa connaissance. S'il avait voulu la tuer, il aurait déjà pu le faire. Il n'avait aucun intérêt à la tuer si elle refusait de l'aider, d'autant que son dernier appel pourrait être tracé - fait dont il n'était peut-être pas conscient au vu de ses lacunes en technologie.
Sans être experte en comportement, Honey avait décelé un certain empressement chez son confrère. Comprendre ce qu'il était vraisemblablement depuis des années devait le tarauder depuis déjà un petit moment. Peut-être que sa proie - Honey estimait très probable les chances qu'elle en soit une, d'une façon ou d'une autre - présentait l'opportunité rêvée d'assouvir sa soif de connaissance.
Elle-même ne s'était pas montrée particulièrement curieuse en comprenant ce qu'il était. Force était de constater que son incursion dans un livre de conte à l'été avait aidé Honey à mieux accepter la nouvelle que cela n'aurait pu être le cas à son arrivée en ville.
- Vous êtes arrivé un peu vite alors peut-être que vous n'avez pas lu ce qui était inscrit sur la porte. Je suis docteur, c'est vrai, parce que j'ai deux doctorats. Mais pas en médecine. Vous êtes sûr que je suis la personne la mieux à même de... vous aider à vous comprendre ?

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________________________________________ 2020-11-29, 02:34

C’était enfin le moment de vérité. Il venait de le dire. Il venait d’avouer à la première personne hors de la criminalité ce qu’il était : un vampire. Pour la première fois depuis longtemps, il eut l’impression de sentir son cœur battra la chamade, ce qui était impossible puisqu’il avait cessé de battre depuis des siècles. C’était là un vieux souvenir de son humanité. Le vampire était nerveux. Rare que cela lui arrivait. Lui, si confiant, si sûr de lui. Il se liquéfiait devant une simple humaine? Non, pas seulement une simple humaine. C’était un génie, comme lui. Si elle avait prouvé son inintérêt pour chasser les « monstres », rien ne lui garantissait qu’elle n’aille pas demander à quelqu’un de le faire ou du moins révéler ce qu’il était à de potentiels tueurs. Il ne devait pas rater son coup. Il devait la convaincre et pour y arriver, il devait avoir sa confiance et cela ne se ferait pas seulement par une rencontre de temps en temps entre deux couloirs de l’université. Il devait s’immiscer dans sa vie et lui montrer ce qu’elle voulait voir. Une relation de confiance, cela ne se nouait pas en une après-midi. Ainsi, il avait trouvé la solution parfaite pour la voir souvent…

- Désolé de mon empressement et de mon manque de politesse flagrante. De toute façon, je pense que vous commencez à vous y faire, je ne suis pas toujours des plus respectueux. Bref, je sais bien sûr que vous n’êtes pas médecin. Ce ne sont pas vos qualifications qui sont la raison de ma présence ici.


Il se releva de sa chaise et il se mit à faire les cent pas dans la pièce, les mains dans le dos.


- Vous vous souvenez de notre dernière rencontre? Je vous disais vouloir changer. C’est aujourd’hui que cela commence. Je sais ce que vous devez vous demander : « Qu’est-ce que cela peut bien à voir de comprendre sa biologie et changer son comportement? » Et bien, tout. Cela a tout à voir. Si je comprendre ce QUE je suis, je peux aussi comprendre COMMENT contrôler mes besoins physiologiques et les conséquences que cela peut avoir sur les gens autour de moi. Je peux aussi comprendre les limites de mon corps, comprendre ce qui m’empêche de faire certaines choses et ainsi de suite. Les humains ont toujours voulu comprendre le fonctionnement de leur corps… Pour se soigner, entre autres. Je ne vois pas pourquoi un vampire n’aurait pas ce même désir? J’ai ce désir, miss Lemon, mais… Je ne peux pas demander de l’aide à n’importe qui…

Heureusement qu’il était bon menteur, mais au fond de lui… Au plus profond de lui, il y avait une part de vérité dans ce discours. Probablement que s’il avait pu se suicider, il n’aurait pas fait tant de carnages. Il s’en serait allé, rejoignant son épouse et laissant l’humanité en paix. Peut-être était-ce sa manière de se venger, de manière égoïste, de ne pas pouvoir avoir accès à cette fin facile et « digne » qu’avaient les humains.

- Il n’y a qu’à vous que je peux demander un tel service, Miss Lemon. Soyons honnêtes l’un envers l’autre. J’aurais pu vous tuer depuis longtemps si je l’avais voulu. Je ne l’ai pas fait et je ne compte pas le faire. L’inverse est aussi vrai. Je ne sais pas comment vous avez compris, je compte bien vous le demander plus tard, mais vous le saviez depuis quelque temps. Pourtant, je n’ai pas vu de pieu sur vous ou dans votre sac. Je n’ai pas non plus reçu la visite d’hommes en noirs prêts à me tuer. Vous auriez pu ébruiter ma condition. Pourtant, non… Vous ne l’avez pas fait. Vous avez gardé cela pour vous. Ainsi, cela fait de vous une alliée importante. Vous savez. Vous ne tremblez pas de peur en me voyant rentrer dans votre bureau. Vous êtes droite et digne. J’ai besoin de vous pour passer ces tests. Je ne peux pas avoir confiance en quelqu’un d’autre. Ce serait trop dangereux. Je n’aime pas dire cela, mais… s’il vous plaît, aidez-moi (world est un petit coquin à vouloir corriger par aimez-moi). Je ferais ce que vous voulez en échange. De l’argent? J’en ai en trop. Une nouvelle garde-robe? Vous aurez accès aux plus grands magasins. Vous voulez manger dans un restaurant de luxe? Je vous mènerais à New York pour découvrir la gastronomie qu’ils peuvent proposer. Il vous suffit d’un seul mot et je m’exécute.

Il se retourne vers elle pour la regarder avant de se rapprocher, arrivant derrière elle pour se pencher et approcher ses lèvres de son oreille.

- Je sais que c’est hors sujet, mais j’adore vos cheveux au naturel et cette éternelle couette me donne envie de la défaire.

Se redressant, il retourna s’asseoir dans la chaise devant le bureau de sa collègue et il croisa ses jambes, adressant un sourire amusé à la jeune femme.

- Alors? Acceptez-vous mon offre, mademoiselle?


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________________________________________ 2020-11-29, 19:14 « Science is magic that works. »

Odieux, impoli... Stefan Vulpesco collectionnait ce qui était au mieux de flagrantes impertinences et au pire une nonchalance déstabilisante. Ses excuses ne donnaient pas réellement l'impression d'en être mais bizarrement Honey ne s'en souciait pas tellement, intriguée, elle devait bien l'admettre par les raisons qui poussaient son collègue à l'avoir désignée, elle, parmi toutes les autres personnes plus qualifiées, pour étudier le mystère scientifique qu'il estimait vraisemblablement être, sachant que parmi les personnes plus qualifiées pour cette mission, au vu de la réputation du professeur Vulpesco, il y avait forcément avec lesquelles il entretenait une liaison plus ou moins durable, ce que la chimiste voyait comme un argument de plus pour l'obtenir de cette faveur. (ndlr : désolée, Honey fait toujours des longues phrases proustiennes)
La scientifique balaya les excuses du professeur d'un geste presque las de la main. En effet, il n'avait pas tort. Ses attitudes commençaient à constituer une sorte d'habitude - pas de celle qu'elle avait souhaité prendre mais qu'elle avait prise quand même, malgré elle. Et sentant que ce nouvel entretien risquait de durer, la jeune femme rangea silencieusement ses diverses équations, tout en écoutant le raisonnement, au demeurant tout à fait cohérent, de son confrère. Honey devait bien admettre que sa demande était, en outre, très intéressante. Ce qu'il lui offrait était, qu'elle le veuille ou non, une occasion unique, qui ne serait sans doute pas amenée à se représenter de si tôt pour n'importe quel scientifique. Il y avait, de plus, un certain respect, peut-être même de la reconnaissance voire de la confiance dans la demande qu'il était en train de formuler. Naturellement, le fait que Honey n'ait pas cherché à tuer le vampire du campus n'avait rien à voir avec la volonté de s'allier avec lui (cette pensée, à la vérité, était plutôt du genre à révulser la jeune femme) mais avec ses convictions. Comme Honey l'avait expliqué lors de leur précédent face à face, ce n'était pas parce qu'elle possédait de connaissances pour faire le mal qu'elle le faisait.
Et comme elle pensait, manifestement à tort, l'avoir fait comprendre, Honey n'appréciait pas la désinvolture avec laquelle Stefan Vulpesco s'approchait toujours si près d'elle, comme pour la prendre par surprise et lui rappeler, des fois qu'elle oublie, qu'elle était la proie et lui le chasseur.
Honey frissonna et serra les dents. Le souffle de Stefan Vulpesco était aussi froid que le toucher de ses mains (ndlr : et probablement aussi froid que son âme), ce qui était loin d'être agréable à la fin du moins de novembre.
La scientifique résista à l'irrépressible envie de resserrer sa queue de cheval, comme pour défier le vampire d'y toucher et attendit qu'il ait contourné le bureau, quoique le meuble, si imposant soit-il, ne puisse guère la protéger d'un vampire, pour répondre, toujours droite et sérieuse et bien décidée à le rester.
- C'est vrai, j'ai deviné dès le mois d'août, lors de notre première rencontre. Mais ne prenez pas ça pour un coup de génie, professeur. Vous aviez l'air plutôt satisfait de laisser filtrer des informations et de voir ce que j'allais en faire. C'est votre petit mensonge - bien trouvé, au demeurant - quant à cette maladie aussi rare qu'imaginaire, qui a été la clé de ma déduction. Vous savez pourquoi ? demanda Honey de façon purement rhétorique avant de poursuivre : Parce que pour qu'un mensonge soit bon, il doit s'approcher au plus près de la vérité. En fin de compte, vous ne faites que déplacez le cœur du souci avec cette petite histoire qui, j'imagine, sait attendrir qui de droit et m'a, je dirais, attendrie, de prime abord. C'est une bonne couverture, je dois bien l'admettre. Je sais aussi que vous auriez pu me tuer mais je ne suis pas certaine de croire que vous ne le ferez jamais. Quant à la raison de mon silence... Vous n'êtes pas le centre de mon univers, professeur, reprit la jeune femme après un instant de réflexion. Je ne suis pas chasseuse de vampires et je ne vais pas le deviner simplement pour vous donner le plaisir de croire vos choix de vie m'intéressent. Vous êtes aussi suffisamment intelligent pour ne pas commettre de meurtres de masse qui me donneraient un cas de conscience et m'obligerait à vous dénoncer.
Honey était, après tout, une héroïne. En cela, jamais elle ne serait dans le même camp que son invité. Elle n'aurait pas détourné le regard si elle avait eu les preuves que Stefan Vulpesco commettait des assassinats en masse pour assouvir sa soif de sang à Storybrooke.
Après un autre instant de silence la scientifique reprit la parole :
- Je ne veux pas de votre argent. J'en ai assez et je ne suis pas une prostituée. Vous ne m'achèterez pas avec vos belles promesses, vos vêtements et vos restaurants. Merci, mais non merci. Je vais vous aider parce que je veux croire que, peut-être, il ressortira de tout ceci quelque chose de positif. Pour... votre conscience ou quelque chose comme ça. Mais je ne peux pas commencer à vous faire passer une batterie de tests comme ça, en claquant des doigts. Il faut que vous commenciez par le début. Par me dire tout ce que vous savez déjà sur vous. Toutes les différences que vous avez déjà découvert entre votre espèce et la mienne.

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________________________________________ 2020-12-03, 22:52

Le vampire souleva un sourcil à la réponse de la jeune femme face à lui. Comparer sa proposition de paiement à de la prostitution, il n’y aurait clairement pas pensé. En général, les gens voulaient travailler pour une récompense et elle se contentait d’espérer… du positif. L’humanité allait toujours le surprendre.

- Oh… De la prostitution? Je devrais arrêter de payer les caissières dans les boutiques avant qu’elles se fassent de fausses idées, dans ce cas! Je ne voudrais pas devenir un maquereau…, dit-il avec un sourire en coin, amusé. J’imagine que je dois… vous remercier d’accepter? Merci…

Le sujet n’était pas simple et Dracula n’était pas réellement sûr par où commencer entre la biologie, la transformation, la soif de sang. Il fallait qu’il soit concis, mais assez explicatif afin que la blonde comprenne ce qu’il voulait lui expliquer. Elle était un esprit cartésien et il fallait qu’il lui explique en restant un minimum scientifique. Après tout, elle risquait mal d’accepter comme réponse : « C’est magique ». De plus, il n’était pas sûr lui-même si le vampirisme était une cause magique ou scientifique. Peut-être un mélange de deux. Qu’est-ce que la magie qu’une science méconnue, une force invisible tels les champs magnétiques et la force d’attraction?

- Pour répondre à votre question, je vais commencer par la transformation. Pour qu’un humain devienne l’un d’entre nous, le vampire qui va l’engendrer doit le vider de son sang au point de laisser sa victime aux portes de la mort sans le tuer complètement. Ainsi, il devra lui faire boire son propre sang pour entamer la transformation. Le corps de l’humain tombe dans une sorte de comas jusqu'à se réveiller plusieurs jours plus tard, en pleine nuit.

Pendant qu’il parlait, l’ancien roi retirait à veste afin de rester en chemise blanche. Il replia la manche d’un de ses bras afin de lui montrer sa peau pâle comme la mort dont les veines bleues étaient quelque peu visibles. Il prit un papier mouchoir dans sa poche.

- Comme je vous disais précédemment, notre peau est trop solide pour les aiguilles. La seule manière d’ouvrir notre épiderme est avec nos ongles pointus. Comme ceci…

Tout en parlant, il fit le geste, enfonçant le bout pointu dans son bras et lançant le sang d’un rouge plus foncé qu’à l’ordinaire couler sur son avant-bras. Quand il fut sûr qu’elle avait vu, il passa le papier sur son bras pour enlever le sang et il se détourna d’elle pour lui éviter de le voir refermer le trou qu’il avait fait d’une simple pression de ces doigts. Quand il se retourna vers elle, il mit le mouchoir à la poubelle et elle pouvait constater qu’il n’y avait plus aucune trace de coupure sur le bras du vampire avant qu’il replace sa manche.

- Vous avez remarqué que le sang du vampire est plus sombre que le sang humain, plus proche du sang d’un cadavre. Pour déjà avoir fait des tests, je peux vous assurer que la transformation vampirique ne se fait que si la personne est mourante. La morsure n’entraîne pas la transformation, ce qui est aussi le cas de la consommation de sang si la personne ne se meurt pas. Au plus, le sang du vampire peut redonner de la force à une personne malade si cette dernière a plusieurs jours devant elle. À Storybrook, il semblerait que mon sang n’ait plus aucun effet. La malédiction a, pour ainsi dire, exterminé la moindre possibilité pour les vampires de prospérer. Pour ce qui en est des fonctions vitales du corps, voici tout ce que je sais… Le cœur du vampire ne bat plus et il n’a plus besoin d’oxygène. Mon souffle est frais puisque la température interne de mon corps est celle d’un cadavre. La seule raison qui m’emmène à respirer est de pouvoir communiquer puisque les cordes vocales ont besoin d’expirer pour propulser un son et aussi pour ne pas sembler suspect, entre autres. Je pense que vous devez vous en douter, mais les vampires ont des crocs rétractables afin de consommer du sang. Nous ne vieillissons plus. J’ai plus de 500 ans aujourd’hui. Je sais, pour un vieillard qui suis assez rapide. Plaisanterie à part, nous ne vieillissons plus, nous ne pouvons mourir ni de vieillesse ni de maladies que nous n’attrapons pas, mais il est possible de nous tuer. Le pieu dans le cœur ou la tête. Souvenez-vous-en. Nous pouvons aussi mourir d’une autre façon…

Le vampire se leva se son fauteuil pour s’approcher des fenêtres. Il exposa sa main au soleil tout en gardant le reste de son corps dans l’ombre. Son regard de posa sur la blonde à qui il sourit avant d’enlever sa chevalière. Au début, rien ne semblait se produire, mais sa peau commença à produire de la fumée. Le professeur grimaça quelque peu et, lorsqu’une flamme apparut au bout de son doigt, il souffla dessus avant de remettre le bijou magique.

- Je l’ai acheté à une sorcière. Fort utile pour sortir de jour, sinon vous vous doutez ce qui se passerait si je sortais sans. Durant l’été, je suis plus porté aux coups de soleil si je ne mets pas de crème solaire. Nous avons une force et une rapidité surhumaines… Tout le reste, ce sont plus des pouvoirs qu’autre chose. Ai-je répondu à votre question, miss Lemon?

Il reprit sa place assise avant de croiser ses doigts ensemble.

- Je pense qu’il est temps de me présenter de manière plus officielle. Mon vrai nom est Vlad Teapes, plus connu sous le surnom de Dracula et anciennement roi de Transylvanie. Je ne suis pas seulement un vampire, je suis le plus âgé toujours en vie.

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________________________________________ 2020-12-04, 00:26 « Science is magic that works. »

Honey gloussa, malgré elle. Vu sous cet angle, en effet, sa réaction était idiote. Machinalement elle passa ses doigts dans sa queue de cheval, se sentant rosir. Manifestement elle avait mal interprété la proposition de son collègue. Typique. Ce n'était ni la première ni la dernière fois.
- Un point pour vous, admit-elle volontiers. Je me suis peut-être fait des idées.
Honey n'avait pas peur de le reconnaitre, d'autant qu'elle avait fini par se forger, malgré elle aussi, une réputation de femme un peu décalée socialement parlant. La jeune femme était prompte aux mauvaises interprétations lorsque les données n'étaient pas scientifiques. Elle devinait parfois mal les intentions des gens, même lorsque celles-ci étaient criantes. Celles de Stefan Vulpesco ne l'étaient pas - pas en comparaison avec d'autres dont elle avait le souvenir, néanmoins, il était probable que la scientifique ait analysé les faits de manière biaisée, sans doute par les récents échanges entre les deux enseignants.
Honey secoua la tête et attrapa bloc notes et stylo. Même dotée d'une mémoire eidétique, la jeune femme préférait noter les informations importantes et schématiser les choses lorsque cela était approprié. Ceci étant dit, bien malin était celui qui parviendrait à les déchiffrer, la scientifique ayant établi, des années auparavant, un système d'encodage qu'elle seule connaissait. Considérant au vu de la demande de Stefan Vulpesco qu'il s'agissait là d'un travail, certes inhabituel, la jeune femme ne jugea pas utile de lui demander la permission de prendre des notes. Mais tandis qu'il allait aborder le sujet de sa transformation, elle agita le bloc notes et précisa :
- Ca ne sortira pas d'ici et de toute façon personne ne sait décoder mes notes.
Si elle espérait obtenir de la sincérité de la part du vampire, elle estimait devoir commencer par en donner. Puis d'un signe de la main elle l'invita à poursuivre, le stylo suspendu au dessus du calepin.
"Engendrer". Ce fut le premier mot qu'elle nota. C'était intéressant de comparer la transformation d'une personne à la procréation plus habituelle. Mais, supposa la scientifique, le but des transformations était sans doute similaire à celui de l'accouplement : faire perdurer l'espèce, une conclusion qu'elle transcrivit également. A cela elle ajouta un rapide calcul de la quantité de sang approximative qu'il fallait laisser dans le corps d'une victime pour l'amener aux "portes de la mort" comme l'avait dit le professeur. Une question poppa alors dans son esprit mais Honey la mit de côté, attendant son heure.
Honey nota ensuite la nécessité de faire boire à sa victime le sang de son agresseur ainsi que ce qu'elle savait de la composition du sang humain plus quelques suppositions qu'elle pouvait dès à présent faire quant à la composition du sang d'un vampire - liquide dont elle n'aurait pas cru un tel être pourvu.
La nuit aussi l'interpella, ce qu'elle nota à la suite de ses autres questions, présupposant déjà que c'était un élément clé de la transformation, de même que le coma.
Honey savait qu'un coma humain se composait de quatre stades, du plus léger durant lequel le patient pouvait encore faiblement communiquer avec la réalité alentours au plus profond dont on revenait rarement, qu'elle coucha sur le papier, pour rappel, tâchant de comprendre si ces stades étaient appliquables, ou non, à la transformation.
Sentant alors son collègue se levait, Honey releva les yeux pour l'observer se défaire de sa veste et relever une manche de sa chemise. Elle se rappelait parfaitement de la précision quant à la peau - très pâle mais ce n'était pas surprenant - des vampires et le signifia d'un hochement de tête. Et quand il révéla la manière dont on pouvait l'ouvrir, Honey se mordit la lèvre inférieure, rendue soudain très mal à l'aise.
Plus que tout, elle aurait espéré ne jamais revoir ces ongles pointus qui la dérangeait prodigieusement au point de rêver de lui tendre un coupe ongles pour s'en débarrasser. Pour la science, la jeune femme observa cependant l'opération tout en récitant une suite de Fibonacci dans sa tête pour s'apaiser. Ses yeux verts notèrent toutefois la couleur anormalement foncée du liquide qui perla sur le bras diaphane et sa main en fit une nouvelle annotation quelque part sur la page du bloc notes, bientôt rejointe par une note concernant la cicatrisation extrêmement rapide du vampire.
Honey n'avait plus vu son bras pendant quelques instants et ne voulait pas savoir ce qu'elle avait manqué. Pas du tout. Mais elle nota le mouchoir ensanglanté à présent dans sa poubelle et songea qu'elle n'aurait qu'à le récupérer plus tard pour analyses.
Pour le moment, Honey se concentrait sur ce que Stefan avait encore à dire à son propre sujet. Elle se demanda si elle devait ou non demander davantage de précisions sur la nature des tests qu'il avait entrepris et songea que là aussi il était possible qu'elle n'ait pas envie de réellement le savoir. Sans doute des transformations ratées ou avortées qui avaient coûté des vies innocentes. Cependant, la science humaine n'avait pas toujours fait beaucoup mieux et Pasteur lui-même avait testé son vaccin contre la rage de façon peu louable. Pouvait-elle, de fait, le lui reprocher ? On testait bien les médicaments sur des singes. Qu'étaient les humains pour les vampires sinon une espèce suffisamment similaire sur laquelle pratiquer quelques expériences plus ou moins couronnées de succès ?
Honey mit bientôt fin à ses tergiversations intérieures quand le professeur poursuivit dans ses explications et notamment au regard de son arrivée à Storybrooke. D'une certaine façon, et elle ne manqua pas d'en prendre note, il était stérile. Condamné à l'extinction. Du moins si quelqu'un s'arrangeait pour éteindre définitivement sa flamme. Et ce quelqu'un, la jeune femme n'avait pas envie de l'être. Pas si les vampires et les humains parvenaient à cohabiter.
Elle chassa donc cette autre pensée et continua sa prise de notes. Le cœur, le souffle, la température... Stefan Vulpesco répondait déjà à de nombreuses questions qu'elle avait imaginé lorsqu'il avait demandé son aide. Il savait manifestement déjà beaucoup de choses sur son espèce.
Honey en était à noter l'âge du vampire, calculant approximativement sa date de naissance, quand la référence à ce qu'elle lui avait dit lors de leur première rencontre, avant qu'elle ne puisse se douter de qui il était, la stoppa quelques instants. La jeune femme se prit à esquisser un sourire.
- C'est vrai que vous ne faites pas votre âge, commenta-t-elle, reprenant la parole pour la première fois avant de se replonger dans ses notes, cette fois pour récapituler les manières de tuer un vampire et quelques hypothèses, plus ou moins farfelues, à ce propos.
Evidemment, Honey tiqua quand il fit allusion à une "autre façon" pour les vampires de mourir et releva les yeux pour suivre du regard le professeur jusqu'à la fenêtre et observer sa main au soleil. Honey ne savait pas exactement à quoi elle s'attendait. Certainement pas à voir son collègue à l'agonie, songeant que le professeur Vulpesco était trop intelligent pour se suicider dans son bureau. C'est pourtant seulement lorsqu'il retira sa chevalière qu'elle comprit, avant d'en avoir la confirmation de sa bouche, qu'elle agissait comme un talisman ou un contre maléfice. Par empathie et mimétisme, elle grimaça lorsqu'il grimaça de douleur, s'en voulant quelque peu, et fut bien contente qu'il mette fin à la démonstration en expliquant rapidement ses aptitudes surhumaines dont elle fit une nouvelle note.
Stefan Vulpesco était, semble-t-il, en train de conclure son exposé. Bientôt ce serait à Honey de prendre la parole, de poser ses questions voire de proposer quelques analyses. Pourtant, elle attendit qu'il se rassoit à son bureau, sentant qu'il réservait un dernier effet, telle une apothéose dans sa dissertation.
Et, en effet, Honey ne fut pas déçue. Son cerveau créatif et son cerveau rationnel ne parvinrent pas à trouver quoi faire de cette nouvelle et colossale donnée, si bien que Honey se mit à rire nerveusement. Elle se mordit alors la lèvre inférieure pour se forcer à retrouver contenance et, posant sa tête dans la paume d'une de ses mains, s'expliqua - ou plutôt, s'excusa :
- Pardon, c'est nerveux. Je ne moque pas de vous. C'est juste... Vous pouviez pas être... je sais pas... le Monsieur Tout-le-monde des vampires au lieu de Dracula sur lequel il y y avoir une douzaine de films, des pages et des pages de littérature et dieu sait quoi encore ? demanda-t-elle avec une sincérité désarmante. C'est beaucoup. A avaler. Vraiment. Surtout pour moi. Mais oui, c'était un exposé très complet qui répond déjà à quelques unes de mes questions et en soulève de nouvelles, reprit la scientifique d'un ton plus professionnel. En tout cas... enchantée... Monsieur Teapes. Je suis toujours Honey Lemon, crut-elle utile de préciser.
Honey compulsa rapidement ses notes puis reprit son analyse sans relever le nez de son bloc :
- A première vue, des analyses plus poussées de votre sang pourrait permettre de chercher pourquoi son absorption est capitale dans la transformation. Si nous voulions exhaustif, il aurait fallu pouvoir étudier ce "coma" dont vous parliez mais... ça me va très bien que ça ne soit pas possible, avoua la scientifique. Je doute aussi que nous puissions clairement analyser le... rôle de la nuit dans... tout ça. Autrement, des recherches plus poussées sur la composition du sort de Regina Mills pourrait peut-être nous éclairer sur la raison de la disparition de certaines de vos facultés. Ca c'est sans doute possible, à terme, précisa la jeune femme.
Elle avait, après tout, rencontré Regina et a priori elle s'entendait bien avec elle, sans doute parce que Honey n'avait pas subi le sort noir et n'avait, de fait, aucune raison de lui en vouloir de quoi que ce soit.
- Peut-être qu'elle saurait vous dire pourquoi cette bague vous protège et pourquoi le soleil vous nuit. Ca je ne peux pas l'analyser, s'excusa Honey. Je ne sais pas si j'ai les outils ou les connaissances pour étudier vos capacités surhumaines mais... je dirais pas non à une démonstration et votre force et votre rapidité.

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________________________________________ 2020-12-04, 16:52

Le vampire était amusé par la réaction de la jeune blonde semblant gênée par son interprétation. Il pouvait comprendre qu’elle ait pu comparer cela à de la prostitution vu la réputation de l’homme et les derniers échanges qu’ils avaient eux.

- Pas peut-être. Vous vous êtes fait des idées, mais ce n’est pas bien grave. Nous n’avons jamais ce que nous réservent les gens comme surprise. Est-ce que vous offrir une tasse de thé une prochaine fois vous semblerait être un remerciement moins ambigu pour vous?

Par la suite, il se mit à raconter ce qu’il savait sur le vampirisme. Elle l’arrêta quelques secondes pour lui spécifier que les notes qu’elle prenait seraient confidentielles et indéchiffrables. Il hocha la tête, curieux quand même de savoir quelle était cette écriture avec un encodage si particulier pour que personne, encore à ce jour, n’ait réussi à comprendre ce qu’elle avait écrit.

- Sans problème, alors, je disais…

Il continua ainsi sur un long monologue sur sa condition, glissant une petite référence bien placée à ce qu’elle avait déjà dit auparavant lors d’une de leur ancienne rencontre. Il fut satisfait de la voir sourire. L’humour n’était-il pas ce qui était le plus utile pour abaisser les barrières, gagner la confiance de quelqu’un? Dans tous les cas, il conclut bien vite avec un dernier effet et non des moindres. Dracula. Le vampire le plus populaire de la littérature, celui qui hantait vos téléviseurs de diverses manières et envahissant les rues lors de l’Halloween. Cela le surprenait toujours de voir des costumes de lui. Don interlocutrice eu un rire nerveux et Stefan eut un sourire amusé à sa réaction. Il était loin d’être insulté, comprenant même comment elle pouvait se sentir.

- Ne vous inquiétez pas. Cela m’amuse. Si on m’avait dit 10 ans avant que je me transforme que je serais, un jour, le plus grand vampire de tous les temps, j’aurais ri au nez de la personne qui me l’aurait prédit. Alors vous… Je comprends que cela semble vraiment impressionnant et presque irréaliste. Et bien… Je suis heureux de savoir que vous êtes toujours Honey Lemon… Parce que si vous vous appeliez Honey Moon en réalité, je n’aurais pas eu le choix de vous charrier gentiment, dit-il en croisant ses doigts ensemble en regardant la blonde. Dans tous les cas, vos propositions me vont parfaitement. Je n’ai pas encore eu la chance de rencontrer Regina Mills. Effectivement, j’aurais deux-trois questions à lui poser. Pour ce que vous voudriez étudier, je peux parfaitement vous offrir une fiole de sang pour vous laisser l’étudier et vous faire une démonstration de ma force et ma vitesse. Ce sera plus facile à faire dehors, par contre, si cela ne vous embête pas. Votre bureau est clairement trop petit pour ce genre d’expérimentations. En forêt, cela devrait faciliter les tests. La nature nous offre les plus grands champs d’obstacle possible, autant en profiter. Pour finir, je serais bien curieux de voir les effets du vampirisme sur les organes internes. Je ne sais pas pour vous… Disons que je n’ai jamais eu la folie de vouloir m’ouvrir, ce sera plus simple avec les rayons X. Quelle invention pratique… Merci Mary Curie de laisser votre vie pour que je puisse étudier ma mort.

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________________________________________ 2020-12-04, 21:03 « Science is magic that works. »

Honey ne pouvait pas démentir. En termes de renommée mondiale, Dracula était sans doute "le plus grand vampire de tous les temps" ainsi qu'il l'avait dit. Mais elle ne pouvait s'empêcher de trouver cette périphrase prétentieuse et de se demander si cette célébrité internationale n'était pas néfaste pour son orgueil - et la jeune femme ne doutait pas qu'il en ait beaucoup à revendre.
Cette pensée fut cependant occultée par la réflexion quant au nom de Honey. Il était particulier, c'était bien vrai et, quand elle était plus jeune, ses camarades de classe n'avaient pas manqué de le lui signifier. On lui avait dit qu'elle avait un nom de dessert, de pastille pour la gorge ou de tisane. Mais personne n'avait jamais songé à modifier son patronyme pour lui parler de mariage. Honey Moon. Dans l'absolu, c'était un joli nom. Extrêmement dur à porter mais joli, néanmoins.
Sentant ses joues rosir de nouveau, Honey déglutit et répondit :
- Honey Lemon c'est très bien mais... oui, je ne doute pas que vous l'auriez fait.
Et à nouveau, pour conclure cette réponse, la jeune femme passa ses doigts dans sa queue de cheval. Elle fut bien contente que le professeur Vulpesco poursuivre la conversation de lui-même et ravie, d'une certaine façon, de noter que ses pistes de réflexion lui convenaient. Honey n'avait clairement pas pour but de décevoir le roi des vampires en personne, se doutant bien que le courroux de Dracula pouvait se faire sentir douloureusement, pacte de non agression ou pas. Il avait certes, pour le moment besoin de son aide, de ses connaissances, mais rien ne garantissait ce qu'il adviendrait de leur relation par la suite.
Par chance, la scientifique était de ceux qui considéraient avant tout le moment présent. "Hier n'est plus et demain n'est pas encore : commençons." Cette situation résumait plutôt bien sa façon d'appréhender la réalité. En l'occurrence, Stefan Vulpesco était, pour le moment, tout à fait charmant et coopératif. Les inquiétudes viendraient peut-être, mais plus tard.
La jeune femme opina, d'accord d'assister à ses démonstrations surnaturelles en forêt. C'était plus prudent pour son mobilier qu'elle ne souhaitait pas remplacer de si tôt et plus discret, aussi. Honey devait bien admettre qu'elle ne savait pas à quoi s'attendre exactement et était, de fait, disposée à suivre les recommandations de l'expert.
- Entendu pour la forêt, je vous fais confiance pour réunir les conditions les plus propices à décrypter vos capacités. Mais comme pour le moment nous sommes au laboratoire, je suggère, pour gérer au mieux votre temps et le mien, de s'en occuper dans un deuxième temps. Vous voulez faire des examens et il se trouve que nous avons des chercheurs en médecine au laboratoire - donc du matériel, précisa Honey.
Ce qu'elle ne précisa pas, en revanche, c'était qu'elle avait été agréablement surprise par la mention, très juste, de Marie Curie, une femme que la jeune scientifique admirait naturellement. Stefan Vulpesco était un homme, enfin un vampire, cultivé et sa collègue ne pouvait que le reconnaitre. Elle n'avait donc pas pu s'empêcher de se fendre d'un sourire appréciateur à cette mention. Même si elle n'envisageait pas de faire passer de radios à Stefan. Il découvrirait en temps et en heure quels tests l'esprit de la chimiste avait déjà envisagés pour son sujet d'étude.
Honey recula son fauteuil et contourna son propre bureau en direction de la porte, invitant Stefan à la suivre.
Ils s'engagèrent dans un couloir rendu désert par le weekend qui avait commencé. Le bureau de la jeune femme n'était pas particulièrement proche de la partie réservée à la médecine et c'était tout à fait normal puisqu'elle n'étudiait pas cette discipline. Honey ne doutait pas que son vampire d'acolyte aurait pu se rendre là-bas en un battement de cils, au sens littéralement de l'expression et songea que cela lui aurait évité de rouler à côté de lui sans avoir rien à dire. Peut-être aurait-elle dû garder quelques unes des informations qu'elle souhaitait lui partager pour la route, afin de ne pas être aussi gênée. Malheureusement, c'était trop tard pour ce faire.
Ils étaient presque arrivés quand, au détour d'un couloir, ils tombèrent nez à nez avec une silhouette que Honey aurait reconnu entre mille - celle de Wasabi, Wallace de son vrai prénom. La jeune femme manqua de se figer sur place mais y renonça. Tâchant de paraitre aussi nonchalante que possible, elle indiqua à Stefan :
- Vous prenez la prochaine à droite et on y sera, j'arrive tout de suite.
Sans attendre son reste ni l'approbation de son collègue, Honey roula à l'écart avec Wasabi, ayant remarqué immédiatement son air méfiant en la croisant avec cet inconnu dans un laboratoire déserté à cause du weekend.
- Mais qu'est-ce que tu fiches ici avec ce type ? Il bosse pas ici. Toi toute seule dans ton bureau avec tes calculs, OK, c'est pas suspect. Ca c'est suspect. T'es même pas médecin, qu'est-ce que tu viens faire avec lui ici ? Me dis pas que c'est une visite guidée parce que tu lui causes pas beaucoup si c'en est soi-disant une.
La seule perspective l'angoissait manifestement. Et il avait raison. Honey était bavarde, mais pas avec Stefan. En soi c'était assez surprenant quand on la connaissait. Pourtant, la jeune femme ne se démonta pas, ayant l'habitude que Wallace se fasse des films dans lesquels le pire arrivait.
- Je rends un service à un collègue. Il est prof à la fac au département littérature. Il est pas humain alors techniquement je ne vais pas faire de médecine.
- Comment ça il est "pas humain" ? manqua de s'écrier Wallace en blêmissant.
- Bah... comme Hadès, par exemple. Le maire il est pas humain. C'est un divin. Mon collègue c'est pas un humain non plus. C'est tout. Je crains rien, vraiment. On va faire un EEG, un ECG, ce genre de trucs. Il n'est pas malade, il veut juste comprendre sa... hm... non humanité.
C'était la première fois que Honey était aussi contente de pouvoir mentionner un dieu sans une conversation. Il ne lui serait jamais venu à l'esprit de révéler la véritable nature de Dracula car elle souhaitait protéger Wallace par dessus tout. S'il ne savait rien, peut-être qu'il ne risquait rien. Pour Honey c'était tout ce qui important.
- Mouais, répliqua Wasabi, sceptique. Tu m'appelles si jamais. Je le sens pas ce mec.
Honey acquiesça. Ils se séparèrent et elle rejoignit Stefan dans ce qui ressemblait à un cabinet médical amélioré.
- Désolée, s'excusa la jeune femme. Vous parliez d'analyser votre sang mais puisque je ne peux pas faire de prélèvement moi-même vous voudriez bien me remplir ce tube ? demanda-t-elle sans transition dès qu'elle eut attraper l'objet. Et... ensuite ouvrez votre chemise et installez vous sur le fauteuil, juste là. Je vais me préparer pendant ce temps.
Honey s'éloigna en effet, ravie d'échapper à ces ongles immondes qui déchiraient la chair.

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________________________________________ 2020-12-04, 22:47

Dracula remarquait la moindre fois où elle rougissait, adorant avoir ce genre d’effet sur elle. À défaut d’en sortir plus concluant, c’était déjà quelque chose d’intéressant. Que réussirait-il à faire de plus éventuellement? Il était bien curieux de le découvrir. Le sujet change rapidement. Il faut commencer par le test en labo et justement, ils sont au bon endroit. Ainsi, ils sortent du bureau de la blonde en direction de l’Espace dédié à la médecine. Les mains dans le dos, il suit sa collègue dans le couloir, la suivant à son rythme. C’était silencieux, personne ne disait un mont. Le vampire de contentait de regarder et analyser ce qu’il constatait dans ces lieux. Il ne s’attendait clairement pas tomber sur un nouveau venu. Un certain jeune homme venait d’arriver, semblant pas mal tendu en le voyant. Comme la demoiselle lui indiqua où il devait se rendre, il ne dit rien et s’y rendit, mais il ne manqua pas à écouter après avoir refermé la porte. Entre autres, il ne semblait pas lui faire confiance et il n’aimait pas le savoir là. Cette méfiance était partagée. Stefan n’aimait clairement pas cette personne qui semblait connaître Honey et il ne manqua pas de marmonner un « Imbécile » à voix basse, pour lui-même.

La conversation est terminée et la scientifique arrive. Dracula croise les bras sur son torse et hausse un sourcil.

- Votre ami, cela devrait le rassurer de savoir que je ne l’aime pas non plus. Je vous ai effectivement entendu. J’ai dû oublier de préciser que j’ai aussi une ouïe fine. Par contre, la prochaine fois, évitez de dire à des gens que je ne connais pas que je ne suis pas humain. Si cela se répand, les gens vont savoir que je leur mens et cela ferait très louche. J’aimerais éviter de fuir des chasseurs de vampire une fois de plus. Si certains ont un peu de jugeote et peuvent comprendre qu’un vampire, ça peut se nourrir autrement aussi, certains sont persuadés que la monstruosité, c’est commun a chacun d’entre nous. Cela se voit qu’ils ne savent rien de nous… Bref, je vais vous donner ce que vous voulez…

Le vampire attrape la fiole et il s’empresse de faire une entaille dans son poignet, laissant le sang couler doucement dans le récipient avant de le tendre à la demoiselle après avoir refermé sa plaie. Ses doigts s’activèrent sur les boutons de sa chemise comme elle lui demandait de la retirer et il eut un sourire amusé en y songeant. Il avait retiré le vêtement quand il reprit la parole.

- C’est bien la première fois que l’on me demande de retirer ma chemise. Si je ne savais pas que c’était dans le but de faire des tests, j’aurais cru que vous vouliez vous rincer l’œil… Je vous taquine… Bref! Pas quoi commençons-nous? Quelle sera la machine avancée que je vais découvrir aujourd’hui? Je n’ai jamais vu des engins médicaux avant. C’est très intrigant tout ça!, dit-il en s’approcha de la demoiselle, les mains dans les poches de son pantalon.

Il était clairement à l’aise devant elle. Après tout, il était bien capable d’apparaître nu devant des nones pour les effrayer, alors enlever une chemise, ce n’était rien pour lui! Effectivement, il avait d’étrange façon de s’amuser, mais bon. Essayer de vous distrait au moyen-âge, vous! Il se souvint qu’elle avait dit de s’asseoir sur la chaise et c’est ce qu’il fit, gardant son sourire sur ses lèvres.

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