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Adrien Agreste
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28 novembre 2018


Chat Noir passait son temps à faire des rondes la nuit. C'était bien plus simple de fuir les tensions de la maison plutôt que de les affronter. Bien plus simple de passer son temps à courser des voleurs la nuit qu'à faire face à son père. C'était parfois fatiguant de se faire passer pour Adrien Agreste. Il n'était pas vraiment lui même quand il était sous sa vrai forme. Enfin quand il n'était simplement qu'un adolescent sans pouvoir et surtout sans masque. Ramener des bonnes notes, faire le mannequin pour son père ou encore sourire à tout ce qu'on lui disait. Adrien adorait être gentil avec les personnes qui l'entouraient, il tenait ça de sa mère après tout. Mais faire semblant c'était une toute autre histoire. Quand il était Chat Noir, au moins il se sentait vivant, il avait l'impression d'être lui-même. Alors le soir il préférait être lui-même, profiter de la nuit pour se ressourcer. Parfois il n'avait rien à faire la nuit alors il se contentait juste de se promener de toit en toit tout en chantonnant des comptines assez ridicules. En Chat Noir, il n'avait peur de rien. Son père n'était pas là à lui rappeler de faire attention à son image, son garde du corps ne passait pas son temps à lui courir après. Oui, il se reconnaissait plus en Chat Noir que en Adrien Agreste. C'était triste à dire et pourtant c'était la pur vérité.

Son comportement de chat de goutière de plaisait pas à tout le monde malheureusement. Ladybug se fichait de savoir ce que le blond faisait la nuit, elle avait une confiance aveugle en son chat. Il en était fier d'ailleurs. Mais la police c'était une toute autre histoire. Il se faisait souvent réprimander. Apparemment un individu masqué n'avait pas le droit de désobéir aux ordres et n'avait pas le droit de se faire passer pour un justicier. Chat Noir s'était déjà fait arrêté par la police et interrogé par le shérif, Christopher Brooke. Le shérif l'avait souvent réprimander mais sans conséquence alors Chris avait tout simplement décidé de se servir de Chat Noir pour alléger le travail de la police. Dans un sens, la matou faisait partie de la police et il en était plutôt fier. Un petit sourire en coin naquit sur le visage de l'étudiant en costume alors qu'il s'amusait à marcher au bord d'un toit. Rien de suspect ce soir alors il s'amusait avec ce qu'il pouvait.

« Un p'tit chat sur un toit, se languit sans sa Lady. Un p'tit chat sur un toit, se languit sans sa Lady. »

Il fredonna l'air tout en balançant sa tête de droite à gauche tandis qu'il tendait ses bras afin de continuer sa balade sur le bord du toit. Soudainement, son bâton sonna montrant que quelqu'un l'appelait sur son numéro de super-héros. Le chat haussa les sourcils surpris avant de s'asseoir sur le rebord du toit, laissant ses jambes pendre dans le vide. Il vit rapidement le numéro du shérif s'afficher sur son bâton alors il décida de répondre sans trop le faire attendre.

« Voilà mon shérif préféré. Qui puis-je faire pour toi ? Chasser la souris ? Non je sais ! Faire le beaux devant des voleurs, ça c'est pas difficile. »

« La ferme, Chat Noir. Ramène-toi au commissariat et vite. »


Chris raccrocha sous la surprise de ce pauvre Chat Noir. Ce dernier poussa un petit soupir marmonnant que ce shérif n'avait vraiment pas d'humour. Après ça il se rendit rapidement dans le commissariat. Il passa par la porte d'entrée, attirant l'attention de tous les policiers. Chat Noir se contenta de les saluer tout en souriant à pleine dents. Il finit donc par se rendre dans le bureau du concerné et vint directement s'asseoir sur la chaise en face du bureau.

« Promis, j'ai été un gentil chat ! » le héros leva ses mains en l'air en signe d'innocence.

« Quelqu'un est venue porter plainte cette après-midi. »

« Et ? Je ne suis pas encore un Chavocat, je vous signale. »

Le shérif ne faisait plus attention aux jeux de mots du héros, depuis le temps qu'il travaillait avec lui maintenant. Chris se contenta juste de lever les yeux au ciel avant de sortir un dossier pour le poser sur son bureau. Il posa la photo de la personne qui venait de porter plainte, la mettant juste devant les yeux de Chat Noir avant de reprendre la parole.

« Aisha Androuze. Un type la suit depuis la soirée d'Halloween. Il lui envoie des lettres et parfois des colis assez dérangeant. Apparemment, elle a déjà vu cet homme tuer des gens. »

« Wow, un psychopathe ? Un deuxième Michael Myers ? Et la police n'a rien vu de tout ça ? »

« Commence pas. Elle m'a déjà fait la morale, comme quoi la police ne faisait rien. Enfin... Passons. Je veux que tu protèges Aisha et que tu essaye d'en découvrir plus sur cet homme. Ça te va ? »

Chat Noir fixa un moment l'image de la jeune femme tout en affichant une petite moue. Elle devait vivre un enfer actuellement. Sa compagnie ne pourrait pas lui faire de mal enfin si elle en voulait. Le matou verrait bien ce que la femme pense de cette idée. Chat Noir accepta sous le plus grand soulagement de Chris. Le shérif lui conseilla de ne pas y aller ce soir mais quelques jours plus tard. Pour ne pas que le suspect soupçonne quelque chose.

05 décembre 2018


Voilà comment Chat Noir s'était retrouvé juste devant l'habitation de Aisha Androuze. Devait-il se présenter directement ? Ou rester discret et la surveiller sans qu'elle ne le sache. Le blond préféra être sincère. Cette dernière devait déjà se faire pas mal de film à cause de ce fou qui était en train de lui pourrir la vie. Il faisait encore jour alors peut-être que la jeune femme ne prendrait pas peur. Enfin il regarda son reflet dans la vitre d'une maison avant d'afficher un de ses plus beaux sourires. Il était prêt à toquer à la porte mais un facteur en vélo s'arrêta devant la porte d'Aisha. Il descendit de son deux roues prêt à sonner à la porte. Chat Noir haussa les sourcils avant de bondir directement sur le facteur, il donna un coup de bâton dans le colis pour l'éloigner alors qu'il finit par s'asseoir sur le dos du facteur qui était à terre. Le héros plaqua le bâton sur la nuque du livreur.

« Que faisiez-vous la nuit du 31 ocotobre, monsieur ?! »

« Mais quoi?! Vous être malade, lâchez-moi ! Je ne fais que mon travail. »

Le blond haussa les sourcils, commençant à se dire que ce n'était peut-être pas lui le coupable. Il afficha une petite moue avant de se lever du dos du facteur, tendant sa main pour aider ce dernier à se relever mais l'inconnu frappa violemment la main de Chat Noir avant de se relever lui-même. Il se frotta les genoux tout en pestant.

« C'est vraiment une ville de malade ! Un mec/chat qui m'attaque. J'aurai tout vu ! Je vais porter plainte contre vous, imbécile. »

Le facteur monta sur son vélo avant de s'enfuir le plus vite possible. Chat Noir afficha une petite moue. Chris allait encore lui taper sur les doigts, ce n'était pas la première fois qu'un habitant venait se plaindre du comportement de Chat Noir, tant pis. Il était prêt à sonner chez Aisha pour signaler son arriver mais en se tournant, il fût surpris de voir la jeune femme à l'encadrement de sa porte d'entrée. Le blond se frotta nerveusement la nuque, il aurait préféré faire une entrée plus héroïque, tant pis. Le matou afficha un immense sourire avant de prendre délicatement la main de la jeune femme pour embrasser le dos de cette dernière.

« Enchanté mademoiselle. Il fallait que je te sorte des griffes de ce facteur, tu as compris ? Griffes. » Il afficha un petit sourire amusé avant de reprendre. « Oh désolé je ne me suis pas présenté. Je suis Chat Noir. »

Le blond bomba légèrement son torse devant Aisha avant de hausser légèrement son menton pour afficher un air fier.

« Le shérif m'a fait part de ta plainte et à demander mon aide. Il ne peut pas se passer de mot le pauvre. Personne n'est aussi gracieux et vif que moi ! Alors me voilà, prêt à feuler sur le grand méchant qui perturbe tant tes pensées. » Il afficha un grand sourire avant de donner un petit coup dans son grelot histoire de le faire sonner. « Du coup, ça te dit de faire équipe avec moi ? Chat Noir et Aisha contre Michael Myers, ça sonne bien ! »



Aisha d'Andros
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If I could fly across this night
Faster than the speed of light
I would spread this wings of mine
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________________________________________ 2020-01-17, 16:30

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No one trust me, no one help me. I started to think everything is better when you are lonely.

28 novembre 2018

Cela faisait deux jours, déjà, sans que je ne comprenne pourquoi - ni comment - il n'avait pas montré le moindre signe de vie. Il n'était plus là à espionner mes moindres faits et gestes, me faire un signe à l'autre bout de la rue ou encore m'envoyer des colis douteux, des lettres que je ne préférais pas comprendre. Il avait fallu qu'après toutes ces années, cet individu soit le bouquet final de mon séjour à Storybrooke. Il était encore dingue que je puisse voir cette ville comme un simple passage et non une installation définitive. Je ne songeais qu'à retrouver les Winx mais n'étaient-elles pas déjà parties faire leur vie ailleurs ? Peut-être, alors, n'attendais-je que le déclic pour tout quitter aussi ? Le passé était un bien lourd fardeau, qui sait jusqu'à quand je saurais le porter. Il semblait qu'aujourd'hui, encore, je tenais le coup mais ce n'était pas comme si on m'aidait beaucoup. Les gens ici étaient... complètement malades. Rien ne m'attachait à cette ville et chaque jour passé ici m'en dégoûtait un peu plus. C'était dans cet état d'esprit précis que je m'engageais à faire des démarches pour porter plaintes - profitant que Kai ne vienne pas suivre chacun de mes pas de ses airs railleurs. Je l'avais déjà menacé d'aller voir la police mais il n'avait fait que m'encourager et j'en perdis vite goût. Peut-être bluffait-il... Ou peut-être que non mais ce dont j'étais sûr, c'est que ce harcèlement durait depuis un mois et que c'était déjà trop. Ce type allait me faire quitter la ville avant même que je n'eus retrouvé Nabu... Ou Piff.

La police de Storybrooke savait se faire discrète, c'était le cas de le dire. Je l'avais déjà vu faire des rondes, arrêter des gens ou résoudre des problèmes mais c'était souvent au cas par cas. Et des cas, ici... Il y en avait beaucoup. Je maintenais que cette ville n'était pas assez protégée et que quand elle l'était, ce n'était pas souvent par les forces de l'ordre, à moins qu'on ait changé de forces entre temps, allez savoir. Le nombre de plaintes devaient être considérables et plus j'avançais dans ma marche jusqu'au poste, plus je songeais au bout de papier que la mienne allait devenir, enfouie sous une pile d'autres. Il allait falloir faire impression pour qu'on réagisse à mon appel et c'était bien ce que je comptais faire, en commençant par m'adresser à la bonne personne.

"Bonjour, engageais-je poliment au premier policier qui m'accueillait à l'accueil. Je voudrais voir le Shérif Christopher Brooke, s'il vous plait. C'est une urgence..."

S'il n'était pas disponible, alors j'attendrais. Et s'il l'était, alors aucun raison de me refuser. Quand on parle d'urgence, en général, on ne blague pas sur le terme mais je ne doutais pas qu'à Storybrooke urgence prenne une tournure un peu plus banal. C'était après une courte bataille que j'avais vite fait de gagner que le dit policier m'avança jusqu'au bureau du shérif Brooke. Il frappa à la porte pour entrer, seul tout d'abord, et annoncer la venue d'une jeune femme pour une "urgence". On m'invita ensuite à rentrer et je m'assieds face au bureau de l'homme qui m'y invita.

"Shérif Brooke, engageais-je alors d'un sourire, je suis contente d'avoir directement affaire à vous. Je ne vais pas passer par 4 chemins, je vous le promets... Vous devez être au courant de l'événement désastreux d'Halloween qui s'est passé à un bar de la ville. Après que celui-ci ait pris feu en plein milieu de la fête, on a découvert de l'hallucinogène dans les boissons ce qui causa quelques meurtres dus au effets secondaires, je suppose... J'y étais. Une autre personne se trouvait sur les lieux également, il se nomme Malakai, de ce que je sais. J'étais persuadée qu'il se ferait attrapé par la police ce soir-là puisqu'il était également coupable d'un meurtre mais il semble qu'on l'ait pris pour une victime des substances illicites. Aujourd'hui, celui-ci m'harcèle sans arrêt parce que je lui ai simplement renversé mon verre sur son costume... Je marquais une pause de réflexion. Enfin... Je crois... Je ne suis pas sûre mais je sais qu'il n'est pas sous emprise de drogues et puis, même s'il l'était il ne devrait pas rester en liberté ! C'est votre rôle d'arrêter ceux qui n'obéissent pas aux lois, non ? Et corrigez-moi si je me trompe, mais tuer n'est pas censé être légal."

Je m'avançais sur ma chaise, posant les mains à plats sur le bureau du shérif sur qui je plongeais un regard critique.

"Ce type, Shérif Brooke, est le coupable d'une dizaine de meurtres que vous pensez encore accidentels. Il y a de cela trois semaines - accentuais-je d'un signe de main - la salle de sport a été saccagée avec énormément de blessés et quelques morts - ce qui est déjà trop - et vous n'avez pas pu retrouver le coupable tout en sachant qu'il y en avait un car aucune trace d'ADN ni même d'arme du crime n'avait été retrouvée. Je sais que Malakai était avec moi à ce moment-là et... Et je ne sais pas comment il a fait mais il l'a fait ! Il a commis ces meurtres parce que... Mon regard se baissa avec remords. Parce que je pensais avoir la situation en main. Mais visiblement ce n'est pas le cas... Puis je me permis de me retourner vers Christopher Brooke. Comme ce n'est pas le votre. Et je me redressai. Alors notez cette plainte portée par Aisha Androuze et adressée à ce type dont je ne connais que le prénom et aidez-moi à le mettre derrière des barreaux ! Je ne vous demande qu'une seule chose, Shérif Brooke : faites votre boulot !"

5 décembre 2018


J'y resongeais encore avec une pointe de culpabilité. Peut-être y avais-je été trop fort avec le shérif Brooke. Après tout, était-ce sa faute si cette ville n'était pas comme les autres ? Plus un fardeau qu'un cadeau mais surtout la responsabilité de tenir une promesse de paix faite lorsqu'il a été élu. J'aurais peut-être du mieux m'exprimer lorsque j'ai demandé à être aidé... L'avais-je seulement clairement précisé ? À part me plaindre, je n'avais pas vraiment su chercher à être comprise, ce qui pouvait expliquer que j'étais sans nouvelle du poste depuis plus d'une semaine. À chaque coup d'interphone, je sursautais presque à l'idée que cela puisse être ce renfort que je demandais. Mais non... C'était toujours le facteur.

"Un colis, je présume, Mr. Le facteur ? Soupirais-je en appuyant sur le bouton pour lui ouvrir la porte d'entrée.

-Oui, en effet, Mme. Androuze. Vous y êtes habitué."

N'est-ce pas ? Lorsqu'il n'était pas là, la poste se chargeait de me rappeler qu'il existait, quelle belle attention.

"Je vous ouvre -" Avais-je commencé nonchalamment avant qu'une voix externe à travers le microphone se fasse entendre suivi d'un bruit sourd que je ne distinguais que peu.

En silence, je me concentrai sur le son pour être sûre d'y voir un problème. Une personne inconnue mentionna la fête du 31 et le facteur, qui ne semblait pas être en position pour pouvoir se défendre, haussait un ton agité qui me suffit pour me faire descendre à l'entrée du bâtiment à toute vitesse. Je m'étais changée dans les escaliers d'un claquement de doigt en même temps qu'apparut un skate Morphix qui flottait au-dessus des marches. Arrivée au rez-de-chaussée, je sautai de ma planche pour la laisser s'évaporer dans les airs puis ouvrit la porte en verre qui me séparait de l'agresseur et du facteur. Ce dernier venait tout juste de prendre son vélo en laissant le colis par terre et moi, je faisais face à un garçon déguisé en chat.

"Qu'est-ce qu'il vient de se passer... ?" Demandais-je avec méfiance.

Il ne restait devant chez moi qu'une jeune et grand inconnu aux cheveux blonds mais aussi aux oreilles de chat et à la tenue d'un costume de chat remasterisé. Il se présenta sous le nom de Chat Noir, tout en embrassant le dos de ma main que je ne pris pas le temps de retirer tellement ça paraissait invraisemblable. Le reluquant de haut en bas, j'en revins à lui d'un froncement de sourcils.

"Sans blague ?"

Jusque-là, qu'un chat noir se présente sous Chat Noir parait être la seule chose plutôt prévisible et cohérente mais quelque chose me disait que ça n'allait pas le rester longtemps. Ce garçon connaissait visiblement le shérif et expliquait être ce renfort que j'attendais depuis ma plainte. Je ne souhaitais tellement pas y croire que je ne pris même pas la peine de noter ses bêtes jeux de mots et continuais, froidement, de le juger au regard. Son sourire prouvait qu'il n'en démordait pas... S'il n'était pas venu habillé en chat, j'aurais presque pu le prendre au sérieux.

"Il se moque de moi, c'est ça ?
Demandais-je en ignorant sa proposition. Votre shérif se paie clairement ma tête. Je lui fais comprendre par A + B que son équipe rate trop de choses dans cette ville et quand je lui donne le moyen de récupérer un criminel, il m'envoie un type déguisé en chat ! Cette ville n'en a vraiment rien à faire des autres, c'est totalement dingue ! J'y crois pas..."

Mais aidez-moi. Je ne suis pas fichue d'être prise au sérieux dans le pire des moments, il faut vraiment tout faire soi-même. Tournant le dos à l'individu pour venir coller mon front contre le mur froid du bâtiment, je soupirais longuement. Il fallait que je me fasse une raison, on ne pouvait pas être mieux servit que par soi-même, il était ridicule de demander de l'aide dans ce genre de situation. Après un instant de réflexion avec moi-même, je me tournais vers Chat Noir d'une mine lasse.

"Pourquoi il t'a fait venir ? Pourquoi a-t-il pensé que tu serais de taille face à un tueur en série ? Sincèrement, hum... Chat Noir
- grimaçais-je -, je ne pense pas que tu puisses m'aider, j'ai besoin d'une équipe armée et stratégique... Pas des griffes d'un félin, tu vois ? J'esquissais un fin sourire. Je suis désolée, ça ne va pas être possible. Le shérif doit sous-estimer les compétences du type qui me menace parce que dis-toi qu'avec mes pouvoirs de fée, il arrive déjà à prendre le dessus. Si je peux éviter qu'un innocent y fasse face alors qu'il n'est pas entraîné, ça m'arrangerait..."

Difficile de dire à un amateur de super héros qu'il ne peut pas simplement montrer les crocs pour le devenir. Le facteur est un bien mauvais exemple. D'un air quelque peu gêné et déçu, je m'avançais vers le colis aux coins abîmés et le ramassait pour le montrer au garçon.

"Tiens, ça doit être lui. Il s'amuse à m'en envoyer quand il n'est pas là pour se présenter de lui-même. C'est vraiment stupide... Qui fait ça, sérieusement ? Soufflais-je. Je commence vraiment à en avoir marre de cette ville..."
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Il fallait dire que Chat Noir ne s'attendait pas à ce genre d’accueil. D'habitude les gens étaient surpris de voir un homme chat ou encore ils étaient heureux de savoir qu'un héros était venu toquer à leur porte mais Aisha, c'était totalement le contraire. Tellement le contraire que le blond avait presque envie de faire demi-tour pour rentrer chez lui. Ou encore appeler Chris pour lui demander si cette femme était vraiment celle qu'il devait protéger. Le héros cligna plusieurs fois des yeux ne sachant pas vraiment comment réagir face à ce qu'il venait d'entendre. Un silence étrange s'installa entre les deux. Chat Noir avait envie de rebondir sur tellement de chose. Déjà ce n'était pas un déguisement de chat mais son costume de héros. Et dire que ses griffes de félin ne faisait pas l'affaire était une pur insulte pour lui. Il claqua sa langue contre son palais avant de finalement baisser son regard vers le colis que la jeune femme venait de ramasser. Le colis que le facteur venait de déposer. Il espérait d'ailleurs que ce dernier n'allait pas taper un scandale au commissariat, il allait en entendre parler. Chris allait encore lui faire la morale en lui disant que ce n'était pas un jeu et qu'il devait arrêter de penser à sa propre truffe. La routine quoi. Tant pis. Chat Noir était venu pour remplir sa mission alors il allait la remplir, malgré le caractère cochon de sa cliente.

Le matou se pencha vers la boite en carton qui était ''légèrement'' abîmé par sa faute. Il fixa le colis alors que ses oreilles bougeaient légèrement sur le côté. Il était curieux, dans un premier temps il regarda si l'adresse du psychopathe était inscrite. Bien sûr que non, ce serait bien trop facile sinon. Sans attendre, Chat Noir tira le colis des bras de la jeune femme avant de l'inspecter pendant un long moment. Pas de bombe, ce n'était pas assez lourd et il n'entendait pas le décompte. Puis Chat Noir n'était pas sûr que le malade mental avait envie de se débarrasser de Aisha. Il voulait plutôt s'amuser avec. Il attendit plusieurs secondes avant de couper le scotch à l'aide de ses griffes. Rapidement, le blond ouvrit le colis. Rien de dangereux dedans mais plutôt quelque chose de flippant. Une peluche avec un visage complètement recousu et qui était effrayant soit dit en passant et un petit mot à côté de cette peluche. Le psychopathe disait vouloir être ami avec Aisha. Wow, c'était vraiment dérangeant comme histoire. Chat Noir afficha une grimace avant de refermer le colis tout en le redonnant à sa protégé.

« Décidément ce Michael Myers est vraiment fou. On lui a jamais dit de garder ces doudous ? »


Chat Noir fixa la jeune femme pendant un long moment, attendant quand ce dernier réponde quelque chose mais rien ne sortit de la bouche de Aisha, surprenant. Elle n'avait donc aucun sens de l'humour. Un petit soupir sortit de la bouche du héros tandis qu'il passa nerveusement sa main dans ses cheveux blond. Il fallait le dire, cette journée allait être longue. Et dire qu'il n'était pas payé. Du bénévolat avec une fille sans humour cela allait être compliqué pour lui. Il regarda finalement autour de lui avant de renifler discrètement le parfum de la jeune femme.

« Bon c'est pas tout mais je dois te surveiller, que tu le veuilles ou non. On se rejoint chez toi ? »


Il afficha un grand sourire avant de se servir de son bâton pour grimper sur le balcon de la jeune femme. Chat Noir ne s'était pas trompé d'étage grâce à l'odeur que son appartement dégagé, une bonne odeur et heureusement. Le matou rentra tranquillement chez Aisha grâce à la fenêtre qui était encore ouverte. La fée arriva rapidement chez elle. Seulement quelques secondes après Chat Noir, pas mal. Le héros afficha un petit sourire avant d'applaudir la jeune femme. Sans attendre une seconde de plus, il se laissa tomber sur le canapé du salon.

« Ce n'est pas un déguisement ce que je porte tu sais. » Il tourna son visage vers la fée avant de lui faire un petit clin d'oeil. « Si j'ai trouvé ton appartement, ce n'est pas par pur hasard. Et non Chris ne m'a pas donné ton adresse. D'ailleurs, je penses que tu l'as vexé le pauvre. »

Le blond afficha une petite moue compatissante avant de fixer ses griffes afin de voir si ces dernières étaient en bonne état. Après ça, il se leva finalement du canapé avant de s'avancer vers la jeune femme tout en souriant à pleine de dent. Il était prêt à reprendre la parole mais il entendit un bruit. Ses oreilles se penchèrent en arrière et sans attendre, Chat Noir se tourna brusquement vers la provenance du sons. Quelqu'un était en train de les écouter à travers sa porte d'entrée. Chat Noir fit signe à Aisha de ne rien dire et de ne pas bouger. Le chat courût rapidement vers sa porte d'entrée et l'ouvrit rapidement. Personne. Il était pourtant persuadé quelqu'un se trouvait derrière cette porte, il n'était pas fou. Chat Noir fronça les sourcils avant de se tourner vers Aisha. Cette histoire était bien plus sérieuse qui ne le pensait. Il comprenait un peu mieux l'irritation de cette dernière.

Il referma donc la porte et à clé cette fois-ci avant de se tourner doucement vers la fée. Étrangement, il n'avait pas trop envie de blaguer. Puis Chat Noir ne trouva rien à dire sur ce qu'il venait de se passer. Le héros composa un numéro sur son bâton avant de le coller contre son oreille de chat. Il entendit le téléphone sonner une, deux et trois fois avant d'entendre la voix de Chris à l'autre bout du fil.

« Chat Noir, que me vaut le plaisir de cet appel ? » annonça le shérif sur un ton sarcastique.

« Eh bien... Je penses rester avec elle un moment. Cette histoire a l'air plus que sérieuse. Je vous ferais des rapports régulièrement. Mais si je demandes du renfort, il m'en faudra. »

« Comptes sur moi. Et essaye de ne pas trop l'énerver, hum ? Cette femme est plus puissante que toi. »


Chat Noir raccrocha avant d'accrocher son bâton sur son dos, là ou il l'avait toujours mit. Il se racla doucement la gorge avant de finalement s'asseoir gentiment sur une chaise qui se trouvait dans l'appartement de la jeune femme. Il attendit un moment avant de finalement prendre la parole. Cette histoire devenait de plus en plus étrange. C'est vrai que cette ville renfermait énormément d'habitants. Tous venait d'un endroit différent, tous n'étaient pas des héros comme lui ou comme Aisha.

« Bon... Désolé de mon comportement. Je suis un vilain chat. »
Il afficha une petite moue avant de finalement sa main droite à la jeune femme. « Je sais que je ne suis pas l'homme que tu as demandé pour ton problème mais je peux aider. Vraiment. » Il hocha doucement la tête avant d'afficher un petit sourire. « Tu veux bien commencer par me raconter ton histoire ? Enfin comme cela a commencer. Pourquoi cet homme te harcèle de cette façon ? »

Les oreilles de Chat Noir se redressèrent montrant qu'il était prêt à l'écouter avec attention. C'est vrai qu'il passait son temps à faire des blagues, à rire et faire le pitre mais quand il devait se concentrer et passer à l'action. Il le faisait. Le matou savait faire la part des choses avec ses années d'expériences, il avait appris à arrêter de faire le clown quand il le fallait. Et actuellement, Aisha avait vraiment besoin de son aide.

« Je sais que c'est difficile à croire Aisha mais je ne suis pas là pour t'embêter au contraire. Le shérif m'envoie ici pour de bonnes raisons. Je suis capable de voir dans la nuit, j'ai un odorat développé et une ouïe aussi. Je suis très discret enfin je veux t'aider. Je veux vraiment t'aider. C'est mon travail... Dans mon ancien monde je sauvais la ville ou j'habitais avec ma partenaire. Alors tu peux me faire confiance. »



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________________________________________ 2020-05-07, 18:50

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J'en voulais encore plus à la police, désormais, de ne pas faire attention aux habitant de leur ville. Ils ne les prenaient pas au sérieux et le type déguisé en chat en était la preuve formelle. Déçue - pour changer - j'étais prête à le renvoyer chez lui et c'était implicitement ce que je lui faisais déjà comprendre mais il n'écouta rien. Sous ses airs de superhéros, il prit plutôt l'initiative de se rendre chez moi, là où il savait que je le rejoindrais sous peu. C'est vrai, en l'observant s'élever avec son bâton, je paniquai et me ruai à mon tour dans les escaliers là où j'activai mon Morphix magique pour arriver au plus vite à l'entrée et vérifier qu'il ne fasse rien d'illégal. Après tout, le connaissais-je ? Il s'était présenté comme un partenaire de la police mais en rien il ne me l'avait prouvé. Et non, son costume n'aidait en rien.

"Tu entres sans permission chez les gens ! C'est toi que je vais balancer à la police, si tu ne me laisses pas tranquille !
M'agaçais-je en croisant les bras. Enfin, réalisant, l'utilité des forces de l'ordre je ne pouvais que me reprendre. Non, tu sais quoi, c'est moi qui me chargerait de ton cas personnellement. Ça ne m'étonne même plus que les habitants cherchent à faire justice eux-mêmes lorsqu'on voit que certaines responsabilités sont prises un peu trop à la légère."

Ça en devenait chaotique à la fin. Évidemment que tout le monde ne pouvait pas régler ses comptes par soi-même, il fallait une autorité supérieure pour prendre les bonnes décisions et maintenir la paix mais regardez où ils en sont quand on leur dire qu'un psychopathe courent les rues. On me répondrait sûrement que ce n'est pas le seul de Storybrooke et qu'on ne pouvait pas se concentrer que sur lui. Et je serais sûrement d'accord, d'ailleurs... C'est pour ça que je détestais cette ville. Mauvaise jusqu'à la moelle.
Chat Noir prenait ses aises sous mon regard suspicieux. Ce n'était pas par ses paroles qu'il allait faire ses preuves. Pour le moment, je ne voyais que la version humaine de Kot s'étendre sur le canapé comme si tout allait bien dans le meilleur des mondes. Kot, néanmoins, ne mentionnerait pas la police.

"Il l'a mérité." Répondis-je simplement à l'égard du shérif Brooke.

Parfois, il était plus efficace de taper sur les nerfs pour faire réagir. Si l'effet premier était négatif, la prise de recul permettait de revoir certains de ses actes pour devenir une meilleure personne. À supposer, c'était l'idée. Je pouvais y aller fort mais ce n'était pas forcément énerver pour énerver.

Le superhéros chat s'avança alors vers moi et je crus comprendre qu'il souhaitait reprendre des paroles que j'allais rembarrer de toute manière avant que, brusquement, il baissa ses oreilles de félin. Comment faisait-il bouger le cuir de ce costume ? Je m'empêchai de poser la question quand il me demanda d'un geste de ne faire aucun bruit. Mon regard suivit le sien jusqu'à la porte et de là, Chat Noir s'y précipita pour l'ouvrir vivement. Il n'y avait personne derrière mais c'était à croire qu'il le pensait. Sans ne rien comprendre, je me contentai d'observer le garçon blond faire ses propres déductions en silence. Mon cœur commençait vraiment à battre vite à mesure que, lui aussi, sentait la situation plus sérieuse que prévue. C'est une drôle de sensation que de comprendre l'envergure d'un problème quand on se décide enfin à en parler à quelqu'un. J'étais si habituée à voir de tout ici-bas que rien ne prenait vraiment d'ampleur. Harceler, agresser, insulter ou même tuer... Devenait chose courante. Puisque peu de personnes ne s'en souciait, j'avais fini par moi aussi me dire que c'était simplement le mode de fonctionnement d'une ville débridée. Mais en voyant Chat Noir appeler le shérif pour partager son avis sur l'affaire, je réalisais alors que rien de tout ça n'était normal. Peut-être... Avais-je plus peur que je ne le pensais.

Toujours dans un silence tendu, je laissai le garçon s'asseoir pour réfléchir tandis que je restai, pour ma part, debout. Je ne m'autorisais pas à paniquer maintenant, je l'avais déjà fait et de toute manière, ça menait à rien. Devant les autres, on m'avait toujours appris à garder la tête haute et à ne laisser paraître aucune émotion. J'avais sûrement perdu de ces habitudes avec le temps mais elles revenaient toujours au galop dans le pire des cas. Je tentai donc de ne pas stresser quand Chat Noir reprit avec des questions qui nécessitaient, évidemment, que je lui explique la situation dans laquelle je me trouve. Je n'avais rien dit - encore - mais m'étais simplement tournée dans une autre direction qui me permettait de poser un regard absent sur la télé ou encore les meubles. Chat Noir poursuivait sur des compétences qui pourraient nous être utile, répétait qu'il voulait vraiment m'aider et me soutenir dans cette passe pour que je n'ai plus à la supporter chaque jour - seule. Il voulait que je lui fasse confiance. Mais comment était-ce possible de faire confiance à quelqu'un dans une ville pareille ? Je n'étais pas certaine de pouvoir y arriver mais à vrai dire, je ne pensais pas que je perdrais grand chose à lui raconter comment j'en suis arrivée là.

"Ce n'est pas ma faute. Maugréais-je, les bras croisés. Mon doigt tapotait vivement contre le tissu de mon haut. Je m'étais rendue à la soirée d'Halloween qui a viré au fiasco, dans l'espoir d'y voir des amies à moi. À la place, c'est lui que je trouvai. Je lui avais simplement renversé un verre de je-ne-sais-plus-quoi sans faire exprès et alors que je me rendis aux toilettes pour prendre de quoi réparer ma maladresse, il avait déjà tué un invité pour remplacer son costume. J'ai - j'haussai les épaules. Je n'ai rien pu faire. Lorsque je suis allée le voir pour lui demander des explications, il esquivait. Puis tout s'est emballé - des gens se sont mit à agresser les invités, la police est arrivée, je suis partie après avoir secouru ce que j'ai pu et j'ai personnellement demandé à ce qu'il soit arrêté. Mais il ne faisait pas partie des organisateurs de cette fête qui avaient tout mis en scène, alors il est aisément passé entre les mailles du filet. Un ou deux jours a suivi et alors que je tentais simplement de me remettre de cette nuit-là, il est venu me rejoindre à mon travail. C'est alors que je me tournai finalement vers le garçon. Il est venu me voir comme si on était amis, Chat Noir. Il a débarqué dans la salle de danse après mon cours un midi comme si de rien n'était, me parlait naturellement lorsqu'il brandit devant moi un couteau pour m'expliquer que ce serait mon sang qui finirait dessus."

Quel mauvais souvenir. Pourquoi ne l'avais-je pas pris au sérieux plus tôt ? Je ne me souviens pas en avoir parlé à qui que ce soit jusqu'ici. C'était resté intériorisé et j'étais persuadée que ça passerait - qu'il passerait à autre chose. Nous sommes en décembre et je recevais toujours des colis ou des mots étranges que je ne prenais même plus la peine de lire. Je soupirais.

"Il a certains pouvoirs qui m'échappent et qui fait que je n'arrive jamais à l'arrêter. Cette indifférence face aux sorts des autres me perturbent également...
Je marquai une pause. C'est... Ce jour-là qu'il a blessé et tué une bonne partie des clients et employés de la salle de sport... Alors qu'il était devant moi ! Je te le jure, Chat Noir, il était avec moi, j'avais réussi à l'immobiliser et tout d'un coup... Des cris ont retentit dans tout le bâtiment. Quand je suis allée voir... Le massacre était déjà fini. J'ai compris qu'en m'opposant à lui, je m'étais en péril la vie d'autres personne et j'ai arrêté. Tant qu'il se contente d'écrire ou d'envoyer des colis, je n'aurais pas trop à me plaindre pour une cible."

Puis je soupirais, songeuse, remarquant alors qu'entre deux paroles, mes poings s'étaient serrés et que mes ongles s'enfonçaient dans ma peau. Je lâchais prise pour aller m'asseoir à mon tour sur le canapé comme si raconter les derniers événements suffisait à m'épuiser.

"Tu comprends pourquoi je ne suis pas sereine à l'idée que quelqu'un d'autre puisse s'opposer à lui pour me protéger moi ? Je ne veux pas qu'il y ait d'autres victimes... Il y en a déjà assez eu. Enfin...
Soufflais-je. Je suppose que c'est trop tard pour lui cacher ton existence, maintenant. Si tu as entendu du bruit derrière la porte et si c'était bien lui... Il doit avoir compris que j'ai appelé la police et que tu es le représentant envoyé pour m'aider. J'aurais... Peut-être pas du appeler."

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________________________________________ 2020-05-14, 21:08

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Il ne fallait pas être devin pour voir que Aisha n'allait pas bien du tout. Elle pouvait dire le contraire et elle pouvait essayé de le prouver. Chat Noir le voyait bien, elle était dépassé par cette situation. Il ne pouvait que la comprendre. Elle avait à faire à un psychopathe très clairement. Le blond n'avait jamais entendu d'histoire aussi effrayante. Il pouvait déjà dire que ce n'était pas l'oeuvre du Papillon. C'était peut-être son ennemi juré mais le Papillon ne ferait jamais ce genre de chose même aux personnes qu'il akumatisait. Tant mieux, Chat Noir ne voulait pas faire appel à Ladybug. La coccinelle n'avait pas besoin d'être lié à des histoires aussi dérangeante. L'héroïne avait sûrement mieux à gérer. Puis le matou était capable de gérer une mission seul contrairement à ce que tout le monde pensait. C'est vrai qu'il n'était pas le cerveau de l'équipe mais il savait se débrouiller. Une chose était sûr. Chat Noir allait passer du temps avec Aisha. La journée, il irait en cours normalement, après il rentrerait chez lui pour saluer son père et son garde du corps. Il s'enfermerait dans sa chambre et ferait croire à tout le monde qu'il travaille sur ses devoirs. Mais en vérité il se serait échappé par la fenêtre de sa chambre pour rejoindre l’appartement de Aisha. Chat Noir ne savait pas combien de temps ce plan allait marcher, combien de temps ce plan allait tenir mais il allait le faire. Parce que cette jeune femme avait l'air plus qu'épuisé. Parce que Aisha avait besoin d'aide. Et Adrien savait à quel point c'était horrible de se sentir aussi impuissant face à une situation.

Le héros afficha une petite moue quand Aisha termina son histoire. Combien de personne cet homme avait-il tué devant ses yeux ? Et pourquoi tuer autant de personnes devant elle alors qu'elle était clairement la suivante sur la liste de ce psychopathe ? C'était clairement un jeu pour lui. Chat Noir aimerait beaucoup savoir le nom de cette personne mais avant il allait devoir gagner la confiance de Aisha, ce qu'il pouvait totalement comprendre aussi. C'est vrai que son costume de héros n'inspirait pas vraiment la confiance. Dans son monde, si. Avant la malédiction il était très connu à Paris. Il existait des peluches à son effigie. Il avait même eut un mannequin de cire dans le musée Grévin. A Storybrooke, ce n'était plus la même chose. Il existait beaucoup de héros dans la ville, certains plus connus que d'autres. Chat Noir n'était plus la ''célébrité'' qu'il était autre fois. Cela ne le dérangeait pas vraiment, ce qu'il aimait dans son côté super-héros c'était de venir en aide aux autres. Le chat aimait juste voir les personnes lui sourire quand il les sauve. Peut-être qu'un jour, Chat Noir arrivera à faire sourire Aisha. En attendant, la jeune femme avait seulement besoin d'avoir confiance en lui. Le blond allait lui prouver qu'il était quelqu'un de confiance.

« Aisha... Je suis vraiment désolé pour ce qui t'arrive tu sais ? Tu ne devrais pas vivre une chose pareille. Surtout pas seule. Je veux vraiment t'aider. Les risques que je prends ne me font pas peur. C'est mon choix, pas le tiens malheureusement. Tu ne peux pas décider du sort des autres. »

Chat Noir se rapprocha finalement de la fenêtre afin de jeter un coup d'oeil dans la rue. Il avait comme cette impression que quelqu'un les observaient. C'était cet homme. Il ne savait pas encore si ce dernier travaillait seul ou avec une équipe mais il mènerait son enquête sur lui. En attendant, il se contentait de balayer la rue avec ses yeux de lynx. Il ne voyait rien de suspect pour le moment et il espérait que cela allait durer. Le blond se tourna finalement vers Aisha.

« Je comprends que tu ais du mal à me faire confiance. Cette ville enferme toutes sortes de personnes. Des personnes qui parfois ont l'air amical dans un premier temps mais qui finissent par te trahir. Tu penses vraiment que le shérif aurait prit le risque d'envoyer une personne qu'il connaissait à peine ? » demanda Chat Noir avant de se gratter son oreille de chat. « Je sais que tu ne porte pas trop le shérif dans ton cœur, tu as le droit. Mais je sais que moi il fait bien son travail. Moins de crime dans les rues. Et il fait de plus en plus appel à des super-héros pour l'aider parce qu'il se fait déborder par les événements. » il lâcha un petit rire nerveux avant de se montrer du doigt. « Je fais parti de ses héros. D'ailleurs. On se donne souvent rendez-vous dans un bar avec les autres héros. En costume bien-sûr pour discuter de tout ce qu'on a découvert. »

Le chat se mordit l'intérieur de la joue avant de commencer à réfléchir. Peut-être qu'emmener Aisha à cette fameuse réunion serait une bonne idée. De base, il avait annulé son rendez-vous pour elle mais aller avec elle serait sans doute une meilleure idée. Il fixa un moment la jeune femme avant d'afficher un grand sourire charmeur, comme il le faisait souvent.

« Viens, on sort. Il faut que je te montre un truc. Je te jure, ça vaut le coup. Puis si jamais tu trouves que je suis trop louche, tu es une fée non ? Je penses que tu gagnes largement contre moi. »

Un petit rire amusé sortit de sa bouche. Oui, Chat Noir se moquait de ses propres compétences. Il était comme ça, c'était dans nature. Aisha n'avait pas l'air de vouloir mais la matou força la jeune femme à enfilé son manteau. Chat Noir se mit sur le balcon de Aisha et il tendit sa main vers la jeune femme avec toujours ce sourire charmeur dessinait sur son visage. Par je ne sais quel miracle, Aisha ferma la porte fenêtre derrière elle et posa délicatement sa main dans celle de Chat Noir. Sans attendre, le félin se servit de son bâton pour se déplacer de toit en toit avant de finalement se retrouver sur celui d'un bar. Il posa ses yeux vert sur le visage de la fée avant de lâcher un petit rire moqueur tout en recoiffant gentiment les cheveux de Aisha. Ils descendirent du toit et se retrouvèrent devant un bar très peu connu dans les petites ruelles de la ville.

« J'espère que cette réunion va te faire changer d'avis. »


Chat Noir hocha doucement la tête avant de laisser rentrer Aisha en premier. Il regarda rapidement derrière lui afin de vérifier que personne ne les avaient suivis et après ça, il rentra dans le bar à son tour. Au loin, il vit tout ses coéquipiers en train de boire et de discuter. Chat Noir les salua tous avant de venir s'asseoir autour de la table, Aisha à côté de lui bien-sûr. La pauvre, elle devait se sentir de trop pour le moment. Mais Chat Noir savait rassurer les gens quand il le fallait.

« Alors les gars, les filles. Je vous présente Aisha. Une amie à moi. Elle doit écrire un petit truc sur les super-héros du coup elle voulait en savoir un peu plus sur nous. »

Le blond se tourna vers Aisha et il lui afficha un petit clin d'oeil. Ce fût la personne à côté de Chat Noir qui prit la parole en premier tout en tendant sa main vers la jeune femme pour la saluer.

« Oh je vois. C'est gentil de venir nous voir directement. On est content de voir une nouvelle tête parmi nous. » Le garçon afficha un petit sourire. « Moi c'est Phantom. Pas besoin de préciser mes pouvoirs... Je penses que tu as saisie l'idée... »

« Oui, Phantom est un fantôme depuis un moment maintenant ! Il peut se rendre invisible, traverser les murs et les objets. Il tire même des lasers vert ! C'est super classe. Malheureusement il est rarement là à cause … Bah de sa vie personnel. »

« Hum, les joies de la fac. »


Une rousse se leva de sa chaise pour tendre à son tour la main vers Aisha tout en lui souriant.

« Moi c'est Sam, membre des Totally Spies. On est trois normalement avec Clover et Alex mais elles étaient occupées. On aide la police quand on peut et on surveille les alentours, ce qu'il se trame dans les rues sombres de cette ville. On est tous là pour ça d'ailleurs. Cette ville a besoin d'aide. Il y a des personnes innocentes qui se retrouvent face à des tueurs, des narcissiques, des psychopathes. »

« Des montres, des démons, des créatures. » compléta Phantom tout en affichant une petite moue. « C'est pas la joie quoi. Alors on aide, comme on aidait les gens dans notre ancienne vie. »

Chat Noir se tourna finalement vers Aisha tout en affichant un sourire qui se devait rassurant. Il chuchota ces quelques mots à la fée histoire que les autres n'entende pas ce qu'il avait à dire.

« Tu vois, c'est ce que je te dis depuis le début. Tu n'es pas toute seule... Je suis là et d'autres sont là pour toi. »

:copyright:️ Grey WIND.


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________________________________________ 2020-06-24, 23:05

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"Un bar de héros ?" Répétais-je pour moi-même, sourcil arqué dans la direction de Chat Noir.

Je n'en avais pas entendu parlé... Mais ça ne m'étonnait pas, après réflexion. J'oubliais bien trop souvent qu'autrefois, moi aussi, j'étais une héroïne. J'avais mon groupe, mes missions, j'utilisais mes pouvoirs pour défendre le bien et mes propres valeurs de celui-ci. Seulement, avec la malédiction, tout perdit son sens. Le bien et le mal était mélangé, confiné dans un territoire magique, en dehors de tout gouvernement, de toute société dite "normale". Ce n'était pas une ville normale... Et même si de loin, on pouvait y croire, la réalité refaisait bien vite surface. Personne ne pouvait agir normalement. Je n'aurais pas du agir normalement, penser que ma vie redeviendrait celle qu'elle était à Magix. Je ne me battais plus pour les mêmes valeurs ni mêmes contre le même mal. Tout avait changé et je ne faisais que creuser ma tombe à le nier. 

Piquée de curiosité, j'avais laissé le garçon me conduire là où il souhaitait puis, il avait cerné mon ego en supposant que je le battrais si jamais il venait à me jouer un mauvais tour. C'était certain qu'en costume de chat, à part en me griffant, je ne voyais pas trop comment il pouvait me blesser. Par ces préjugés et mon éternelle attirance pour les risques, je choisis de suivre le super-héros jusqu'à ce fameux bar. L'endroit ne me surprit pas... Les gens qui s'y trouvaient par contre -. Des héros et héroïnes venant de tous royaumes, de toutes dimensions. Ils n'étaient pas au complet, c'est une évidence, mais tant diversifiés. Je reconnaissais dans leur regard un éclat que je songeais avoir perdu. Celui de vouloir rendre justice. 

Nous avions passé la soirée en leur compagnie et cela beaucoup plus naturellement que je ne le pensais. J'avais retrouvé en eux quelque chose d'oublié en moi et je n'ai pas réussi à nier que ça me faisait un bien fou. Au fur et à mesure, je souriais, riais à leur côté. Et à la fin de la soirée... Je ne pensais plus que mon sort était condamné ou que je devais m'y fier. C'est moi qui créait ma route. Si on avait réussi à me faire quitter le chemin, ça ne signifiait pas que je ne pouvais pas le retrouver. Pourquoi ne l'avais-je pas compris plus tôt ? Peut-être parce que je n'avais pas de lumière capable de me guider jusqu'ici. Durant la soirée, je m'étais avancé vers Chat Noir alors que l'ambiance se calmait doucement et que peu à peu, le groupe se dissipait. 

"Je voulais te remercier de m'avoir présenté ce bar. Le mal prend tant de place à s'exposer à la lumière qu'on oublie parfois que, dans l'ombre, les héros seront toujours là pour les confronter. J'avais également oublié ce que c'était que de souhaiter une justice meilleure... Que de vouloir changer les choses." 

Jamais je n'aurais cru qu'un habitant de Storybrooke puisse me tendre la main assez loin pour que je l'atteigne plus que pour de la simple politesse. Intérieurement, j'étais reconnaissante au garçon de ne pas m'avoir laissé devant la porte avec mon colis lorsque je lui avais dit qu'il ne pouvait rien faire. Il n'a pas baissé les bras. 

"Je n'avais pas appelé la police pour qu'on vienne m'aider... Confessais-je. Je l'avais fait pour déléguer un problème que je ne pensais pas pouvoir gérer. Mais... Ce n'était pas la bonne solution. Je ne suis pas une victime et je ne dois pas me laisser abattre. J'ai été une héroïne autrefois et je veux en redevenir une. Elles ne baissent pas les bras devant le danger, qu'importe leur importance. Mon regard se baissa. Cependant, être une héroïne ne signifie pas devoir tout affronter seule. L'exemple en était ce bar. Parfois, il se peut qu'on ait besoin d'aide et il faut l'accepter. Ce n'est pas une faute d'avoir un soutien ou une personne sur qui on peut compter. Il m'était difficile d'avouer autant de choses à une personne que je connaissais encore bien peu. Mais j'étais étrangement persuadée que celle-ci n'allait pas me porter préjudices. Je voulais le croire, du moins. C'est pourquoi, assurément, je tendis la main à Chat Noir, affichant un léger sourire d'un regard sincère. Alors... Je te le demande, Chat Noir... Est-ce que tu veux bien m'aider à faire arrêter Kai ou du moins, à l'éloigner de moi et de toute autre victime potentielle ? Je... Je ne crois pas que j'y arriverais seule..." 


4 janvier 2019, 19h00

Un mois s'était écoulé. Que le temps pouvait passer vite lorsqu'on était accompagné. Évidemment, ce n'était pas forcément auprès de Chat Noir que je passais les jours. Il devait venir deux à trois fois par semaine pour vérifier s'il y avait du nouveau mais ces visites servaient surtout à comprendre la cible et à mieux l'appréhender. Je lui avais tout expliqué, donné toutes les informations possibles sur Kai pour qu'il me donne son avis extérieur. Je l'avais décrit par le physique, le comportement, les réparties, les armes, les menaces et je retraçais encore et encore la soirée d'Halloween. Il avait également pu lire les lettres et ouvrir les colis que j'avais reçu et gardé comme preuve d'harcèlement. Kai prenait son temps pour se montrer... Mais lorsque c'était le cas, il était rare que Chat Noir soit dans les parages. Alors... Je lui racontais. Aujourd'hui était de ces jours de débrief, si nous pouvions dire, mais cette fois-ci, il passa par la porte. Je lui avais déjà fait la morale concernant le balcon et comme quoi il n'était pas correct de frapper par cette entrée-là. C'était clairement un champ de vision sur tout mon salon et d'ailleurs, après avoir compris que lui pouvait y grimper, j'avais fait mettre des rideaux pour éviter tout vis à vis désagréable. 

Le schéma était plutôt similaire à nos autres journées : Chat Noir était posé sur le canapé à m'écouter résumer les nouvelles tout en faisant les cents pas devant la télé. 


"Il n'est pas directement venu me voir, mais je l'ai vuuu me suivre ! Il se cachait derrière les maisons, les rues et à peu près tout ce qu'il trouvait ! Alors... Et bien... J'ai essayé de l'esquiver. Je crois que j'ai du réussir puisqu'après - j'haussais les épaules - il n'était plus là. Puis soupirant, je plaquai une main à mon front. Faut vraiment ne pas avoir de vie ! Ça me fait presque pitié ! ARGH !"

Puis, sous mes plaintes, le four vint sonner et me faire respirer. Je changeai de sujet comme de chemise. 

"Le plat ! Désolée, je ne savais pas si tu allais venir aujourd'hui et puisqu'il est 19h et que j'avais faim... Enfin, voilà ! Mes excuses inutiles me firent rire, sur le moment. Oh mais, d'ailleurs... Tu as mangé, toi ? Si tu veux, on peut partager... Poursuivais-je en me rendant dans la cuisine. Je ne pense jamais que toi aussi tu as une vie à côté. Derrière ce masque, tu sembles tout le temps être le super héros qui aide tout le monde mais... Tu restes un être humain. Tu dois bien manger, dormir et tout ça." 

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Pour le meilleur et pour le pire. Voilà à quoi se résumer les vœux d'un mariage. Adrien n'était pas marié, bien au contraire. Mais son père l'était lui. Il avait été marié à une femme et une mère merveilleuse. Et devant tout une foule, devant l'église ils avaient prononcés ces vœux. Pour le meilleur et pour le pire. Maintenant que Adrien pensait à cette phrase, il se demandait si ce n'était pas le même genre de moral pour les amitiés. Pourquoi penser ce genre de chose ? Parce que Adrien sonna une nouvelle fois à la porte de l'appartement de Nino, un sac de sport sur les épaules. Son meilleur ami ouvrit la porte assez rapidement et il afficha une moue en voyant l'air triste sur le visage de Adrien. Ce qu'il aimait chez Nino, c'était sa patiente et sa compréhension. Adrien rentrait dans son appartement et il n'avait pas besoin de donner d'explication pour la raison de sa venue. La plupart du temps parce que Nino connaissait la raison. Son père, la famille. Cela avait toujours été la raison des peines de Adrien. Le jeune Agreste finit par s'asseoir sur le canapé de Nino tout en posant son sac à côté de lui avant de pousser un long soupir tout en se frottant doucement le visage. Nino partit dans la cuisine afin de lui servir quelque chose à boire sûrement tandis que Alya sortit finalement de la chambre. Elle fixa un moment le blond avant de lui sourire tendrement. La jeune femme s'avança doucement vers Adrien avant de s'asseoir sur le canapé juste à côté de lui. Elle ramena ses jambes contre sa poitrine avant de poser délicatement sa main sur la jambe de Adrien tout en soupirant à son tour.

« Restes autant que tu veux, Adrien. Tu as le droit de vouloir t'évader un petit peu, je peux comprendre. » Elle marqua un petit temps de pause avant de reprendre la parole. « Pourquoi tu ne partirais pas de chez ton père ? »

Adrien garda le silence un moment, fixant la télévision éteinte qui se tenait juste devant lui. Il afficha un petit sourire triste avant de poser son regard sur celui de Alya. C'est vrai, il aurait pu. Partir et laisser son père derrière lui. Mais Adrien avait peur, il avait peur qu'en faisant ça la relation avec son père ne meurt. Il tenait énormément à son père, il avait toujours aimé son père. Petit, il l'admirait même et il l'admirait toujours autant. Parfois c'était juste dur de rentrer dans un manoir immense avec personne pour l'accueillir. Nathalie n'était plus là. Les seules conversations qu'il avait c'était avec son garde du corps et ce dernier n'était pas très bavard. Le jeune Agreste finit par hausser les épaules.

« Non, je sais que mon père a besoin de moi et j'ai besoin de lui. Il finira par sortir de sa bulle, je le sais. Je crois en lui. »


« Tu es vraiment admirable, Adrien. Le nombre de fois que tu viens chez nous déprimé et au bord des larmes... Enfin je veux dire tu n'es pas heureux mais tu gardes quand même espoir. Je comprends mieux ce que te trouves Mari... Enfin voilà quoi. »

Alya se gratta nerveusement la nuque tout en lâchant un petit rire nerveux. Adrien fronça les sourcils quelques instant ne comprenant pas vraiment ce qu'elle était en train de lui dire. Enfin, cela n'avait pas d'importance vu que Nino revint avec un plateau de chocolat chaud. Adrien passa la soirée à discuter et rire avec Alya et son meilleur ami. Ils firent même des parties de Mario Kart, autant vous dire que Alya était la meilleure. Et enfin Nino partit à son travail au Fast Food et Alya à une sortie entre fille avec Marinette. Adrien se retrouva seul dans l'appartement mais cela ne le dérange pas vraiment. Il regarda rapidement l'heure et vit qu'il était presque l'heure de son rendez-vous avec Aisha. Il se leva alors rapidement du canapé avant d'ouvrir la fermeture de son sac de sport. Plagg sortit de ce dernier en râlant.

« J'attends depuis un moment de sortir de ce sac, Adrien. Je suis ton kwami, pas une vulgaire chaussette ! »

Le blond lâcha un petit rire avant de finalement se transformer. Il se fera pardonner plus tard. Un bon plateau de fromage, rien de mieux pour mettre Plagg de bonne humeur. Sans attendre une seconde de plus. Il se glissa sur le balcon de l'appartement de Nino et Alya avant de sauter de toit en toit pour rejoindre celui de Aisha. Chat Noir passa bien évidement par la porte d'entrée. La fée lui avait assez fait la leçon sur ça. Il comprenait et respectait totalement la décision de la jeune femme. Aisha lui ouvrit et rapidement elle raconta ses histoires étranges avec Kai. Plus le temps passé et plus le héros était perdu. Il ne comprenait rien au comportement de cet homme. Pourquoi elle ? Pourquoi faire toutes ces choses. Chat Noir voyait bien que la situation rendait dingue Aisha, il voyait bien que tout ça la dépassait. Et cela lui faisait mal de la voir dans cet état là. Cela faisait plus d'un an et demi qu'il s'occupait de son affaire maintenant. Il s'était attaché à elle. Il aimait beaucoup Aisha. Elle était forte et douce à la fois. C'était une bonne personne.

Chat Noir s'apprêtait à prendre la parole mais le four sonna rappelant à la fée qu'elle avait mit son repas à cuire depuis un moment déjà. C'est vrai que ça sentait bon dans son appartement et cela rappelait à Adrien qu'il devait encore manger seul ce soir. C'était devenu une habitude après tout. Il fixa la jeune femme sans dire un mot avant de hausser les sourcils quand elle lui proposa de dîner ensemble. Un petit sourire tendre s'afficha sur son visage alors que ses oreilles de chat se baissaient, elles. C'était peut-être triste à avouer mais cela faisait un moment qu'il n'avait pas sentie cette chaleur dans sa poitrine. Celle de l'amitié et des personnes qui voulaient prendre soin de toi. Pour le meilleur et pour le pire... Cela marchait pour l'amitié aussi. Parce que pour Chat Noir, la relation qu'il avait avec Aisha était plus que professionnel. Ils étaient amis. Le héros était là pour l'aider avec ce psychopathe et elle lui changeait les idées sans vraiment le savoir. Chat Noir hocha alors finalement la tête avant de se lever finalement du canapé tout en se frottant délicatement le costume. Il renifla la bonne odeur de son plat.

« Désolé de te décevoir mais non ! Je ne suis pas ce matou sexy tous les jours. Dommage pour toi et pour les autres. On m'a toujours dit que le noir mettait en valeur mes yeux vert. »


Il cligna plusieurs fois des yeux juste devant le visage de la jeune femme avant de se rapprocher doucement de la cuisine. Son regard se perdit une nouvelle fois dans le plat encore chaud qui se tenait sur le plan de travail. Cela lui rappelait ceux qui lui faisait sa mère. Quand elle forçait son père à sortir de son bureau afin de venir manger. Chat Noir finit alors par aider Aisha à mettre la table avant de finalement s'asseoir gentiment sur sa chaise, les oreilles toujours baissés.

« J'aime aider les autres, ça m'aide aussi dans un sens. Le bonheur des autres fait mon bonheur ? »
lâcha Chat Noir hésitant. « J'ai un côté un peu lâche tu sais, j'aime me cacher derrière ce masque et mes blagues. C'est mieux que d'affronter le quotidiens tous les jours. C'est toi le héros ici. Avec tout ce que tu traverses à cause de Kai, tu gardes la tête haute. C'est impressionnant. » Il prit alors la fourchette dans sa main tout en roulant des yeux. « Et qui a dit que les femmes étaient faibles. C'est des conneries... »

Chat Noir marqua un petit temps de pause, remarquant rapidement qu'il était partie dans un monologue que Aisha ne devait sûrement pas comprendre. Il haussa les sourcils avant de fixer la fée avec un air gêné. Il finit alors par se racler nerveusement la gorge.

« Pardon. Je parles encore beaucoup ce soir. Enfin assez parlé de moi ! Un héros doit garder ses secrets de toute façon ! »
Il commença à couper délicatement des parts dans le plat de lasagnes de la fée. « Tu veux que je restes un moment avec toi pour essayé de coincer le taré ? Où tu veux que Chris poste un flic juste devant chez toi 24 heures sur 24 ? Il me l'a proposé. » Il posa délicatement la part de lasagnes dans l'assiette de la jeune femme. « Chris m'a dit qu'il allait lancer un recrutement pour la police. Il est en manque d'employés et il a trop de travail. »

Le héros finit alors par s'asseoir de nouveau sur sa chaise avant de jouer un court instant avec sa nourriture. Étrangement, il n'avait ni envie de parler de Kai, de la police et de héros. Il voulait juste avoir une discussion basique avec une amie. Être quelqu'un de normal pour une fois. Chat Noir resta un moment silencieux avant de finalement prendre la parole.

« Dis, Aisha. Est-ce qu'on est ami toi et moi ? »

:copyright:️ Grey WIND.


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Pour le meilleur et pour le pire ~
Aisha n'avait jamais entendu cette phrase être prononcée de la bouche de la personne qui auraient fait prononcer les vœux. Ils n'en n'eurent pas le temps, ils n'eurent le temps de rien. C'était comme si Nabu et elle n'avaient fait que s'éviter et se chercher pendant des mois et alors qu'ils se trouvaient tout juste, la vie les séparèrent. La mort. La malédiction. Sur qui mettre la faute ? Aujourd'hui, la fée ne croyait plus vraiment en l'amour, ça ne l'intéressait plus, plus depuis que celui en qui elle avait placé tout son bonheur se dissipa comme la fumé d'une flamme éteinte. Plus rien ne serait jamais comme avant. 

Mais ce n'était pas grave.

L'amitié valait tous les sentiments du monde. L'amitié était une chose puissante, une forme d'amour unique à chaque relation qui se développait sur la confiance, la fidélité, l'humour, l'honnêteté... Tout ce que l'Homme pouvait espérer attendre d'autrui. La véritable amitié était rare mais qu'elle était belle lorsqu'enfin nous pouvions dire la trouver. Il fallait du temps, diverses rencontres, des confessions, des pleurs et des rires pour que se bâtisse les piliers de ce temple. Mais ce n'était pas tout de le construire, encore fallait-il l'entretenir. Les Winx étaient ce qui pouvaient s'approcher le plus d'une amitié solide et sincère qui aurait pu durer des années durant si rien n'avait fait obstacles à leur aventure. Il était difficile de retrouver un chemin commun lorsque les destinations n'étaient plus les mêmes. Vers qui se tourner ? Comment garder contact ? Quand est-ce que le temps a-t-il tourné aussi rapidement, n'était-ce pas encore hier qu'elles combattaient le mal ensemble ? Avec qui Aisha combattait-elle aujourd'hui ? Et contre qui ? Storybrooke tout entier semblait se refermer sur elle comme un piège qu'elle aurait du - oui, elle aurait du - voir venir.

***

"Ce ne sont même pas tes vrais yeux. Soupirais-je d'un fin sourire, levant moi-même mon regard bleuté au ciel avant de le tourner sur le plan de travail et ce qui y était déposé.

J'esquivais le chat et sa curiosité féline pour sortir des assiettes. Le garçon se permit de les prendre avec joie pour dresser deux couverts. J'en compris donc qu'il mangeait avec moi et lui emboîta le pas avec les lasagnes, une baguette de pain et un pichet d'eau. C'est en m'asseyant à table que je réalisai alors à quel point cela faisait longtemps que je n'avais pas eu quelqu'un en face de moi pour manger... À vrai dire, cela faisait des semaines que je n'avais pas pris place ici, toujours avachie devant l'écran de la télé avec ma couverture et mon plat à la main. C'était toujours plus agréable que de fixer un mur assise sur une chaise en plastique, je supposais. Réaliser cet instant me laissa absente sous les paroles de mon partenaire. Je revins à moi au prénom de Kai et fronça deux sourcils agacés - il était évident que je n'avais pas suivi l'amorce.

"Faible ? Qui a osé dire ça ? Grinçais-je des dents tout en haussant d'un ton. Les femmes ne sont pas faibles, elles sont mêmes plus fortes que les garçons, j'ai envie de dire. Ma fourchette pointait le garçon comme une leçon de morale que je donnais à un enfant. Ils n'osent juste pas l'avouer."

Mais finalement, je me restreignis. Chat Noir avait-il été celui qui portait ce genre de jugements ? Je ne le voyais pas ainsi, ce qui me laissait penser que, peut-être, aurais-je pu écouter le début de ses propos avant de monter sur mes grands cheveux. Voyant son regard d'innocent perdu qu'on accusait, je pinçai deux lèvres renfrognées.

"Oh, pardon. Tu disais quoi déjà ? Oh oui, des conneries ! Ouais. Totalement. J'acquiesçais.

Ce n'était plus comme si je me reconnaissais vraiment depuis quelques années. Comment pouvais-je dire si j'étais encore aussi forte qu'autrefois ? Il était si simple de lever le menton, dos aux gens, mais de ne plus savoir quoi dire en face. J'ai été faible... J'ai été faible. Des gens sont morts, j'ai été faible. C'est pitoyable. J'ai été pathétique... J'aurais du les sauver... Je n'ai plus faim, je n'osais même plus manger. Déposant ma fourchette dans mon assiette, je préférais baisser le regard. Et Chat Noir se sentait, je crois, soudainement de trop à parler alors que je n'attendais que ça. Quelqu'un a qui pouvoir me confier sans procès, sans jugements.

"En manque d'employés... Rêvassais-je à répéter les mots du jeune blond. Ah... Et bien... Je plissais les yeux. Comme tu le souhaites. Je comprendrais que tu ne veuilles pas forcément trop t'enfoncer dans tout ça. C'est dangereux et tu n'es pas vraiment formé pour ces situations. Pas que je te dise incompétent ! Mais... Je ne sais pas..."

Il était difficile de donner son avis sur un sujet délicat comme celui-ci. Savoir Chat Noir auprès de moi me réconfortait car je ne me sentais plus seule mais d'un autre côté, comment pouvais-je me permettre de laisser quelqu'un affronter un tel problème avec moi ? Il pouvait être en danger à tout moment. Lui qui, initialement, n'était pas concerné par un tel scénario et se voyait simplement soutenir la police quand nécessaire. Ce n'était pas à lui de gérer tout ça. Je n'osais rien en dire.

"Tu fais comme tu veux..." Boudais-je simplement d'une mine plus fermée, tête baissée sur mon assiette. 

Ce fut le silence, celui qui laissait entendre des doutes et des non-dits. Mais je n'en dis rien. Chat Noir reprit avant moi : 

"Dis Aisha, est-ce qu'on est ami toi et moi ?

-Hein ?" 

La question m'avait surprise. Ce n'était pas celle que l'on me posait le plus souvent et à vrai dire, la réponse ne me semblait pas évidente non plus. C'est pourquoi, bouche entrouverte, je laissais un nouveau blanc de réflexions. 

"Et bien... Attends, pourquoi est-ce que tu me poses cette question ? Je repris sur la défensive. Je... Non, enfin... On est... On est partenaires. Tu aides la police en m'aidant moi. Tu... Tu fais ton boulot, en quelque sorte. Puis j'haussais les épaules d'un sourire. Ne te mets pas plus de poids sur les épaules que tu n'en as déjà, Chat Noir."

Chat Noir. Voilà tout ce que je savais de lui ; son titre. Mon sourire se ternit. 

"Je ne sais pas si on se connait assez pour se dire être... amis... Tu as une vie à côté de ton costume de super-héros, à côté de la police, à côté... de moi." Finis-je simplement.

Je tentai alors de reprendre l'appétit en avalant une bouchée de lasagne bien chaude, ne pouvant m'empêcher d'observer la réaction du garçon avant de dévier les yeux sur le côté, pensive. Je ne savais jamais comment trouver mes mots mais depuis peu, je ne cherchais même plus à faire d'efforts. Pourquoi me sentis-je mal à l'idée d'avoir pu le toucher, pourtant ? Soupir.

"Ça ne sert à rien, les amis... Bredouillais-je à mi-voix. Ils partent tous un jour, de toute manière." 

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________________________________________ 2020-10-05, 14:26

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Chat Noir n'aurait jamais pensé que les tic tac de l'horloge de Aisha le ferait autant stresser. Il avait posé soudainement sa question, une question qu'il aurait préféré ne pas poser à vrai dire. Adrien n'était pas très bien moralement parlant ce soir, il le savait. Mais cela ne méritait pas ce genre de question. Surtout qu'il connaissait la réponse. Elle ne connaissait pas grand chose de lui, pourquoi voudrait t-elle être son amie ? Ce silence lui faisait mal clairement. Tellement mal qu'il avait presque envie de se boucher les oreilles quand Aisha prendra la parole. Ce n'était pas vraiment de sa faute, il avait dépassé les bornes en posant ce genre de question c'est vrai mais ce n'était pas de sa faute. Le blond se sentait affreusement seul. Il avait pourtant un père, des amis et Plagg. C'était un héros, il avait de bonnes notes en cours. Tout allait pourtant pour lui. Enfin c'était ce qu'il se forçait à penser. Pouvait-il vraiment dire qu'il allait bien ? Est-ce que depuis la mort de sa mère, sa vie ne se résumait pas à une seule chose ? Solitude. Adrien avait toujours été très proche de sa mère mais aussi de son père. Sauf que depuis que sa mère était partie, son père avait aussi un petit peu disparu. Il avait des amis et sortait de temps de temps et ça lui arrivait d'oublier ce mal-être. Mais dès qu'il quittait ses amis, il revenait. Puis Adrien était épuisé de devoir cacher sa double identité à ses amis. Il aimerait juste trouver un endroit ou il pouvait se réfugier. Un endroit ou il pouvait être lui-même.

Un petit sourire triste se dessina sur le visage du héros quand il entendit la réponse de Aisha. Son non était sorti avec tellement de facilité. Sa réponse méritait d'être clair au moins. Il savait que son refuge ne se trouvait pas auprès de cette femme qui semblait souffrir autant que lui. Le porteur du miraculous comptait ne rien dire, se contenter simplement de manger et de faire son travail comme il avait l'habitude de la faire mais... Quand Aisha annonça que les amis ne servaient à rien, Chat Noir se sentit obligé de réagir. Il comprit rapidement que Aisha avait vécu un lourd traumatisme. Pas besoin d'être un spécialiste pour le voir. Il décida alors de se lever de sa chaise afin de s'avancer doucement vers celle qu'il était censé protéger. Il croisa ses bras contre son torse avant de pousser un long soupir. Chat Noir resta un moment dans cette positon avant de secouer négativement la tête.

« Je ne suis pas d'accord avec toi. » pesta le félin.

Il fronça les sourcils alors que son nez se plissa sous la frustration. Sans attendre, il décroisa ses bras avant d'attraper délicatement celui de Aisha, la tirant doucement vers sa fenêtre. Chat Noir lâcha finalement le bras de la fée avant de pointer l'immeuble qui se trouvait juste en face d'eux. Une fête se déroulait sur le toit. Une fête d'anniversaire d'un jeune homme qui était entouré de nombreuses personnes qui semblaient tenir à lui. Le matou observa un moment le groupe sur le toit avant de se tourner vers Aisha tout en souriant à pleine dents.

« Les amis, c'est précieux. Les amis sont là pour t'écouter, t'épauler, t'accepter, tes qualités et tes défauts. Les amis c'est ton refuge pendant tes moments sombres. Je suis sûr que cet homme en face est mal dans sa peau pour une raison que j'ignore. Mais ce soir, il croque la vie à pleine dents grâce à ses amis. »

Chat Noir continua de sourire grandement, fixant une dernière fois la fête qui se déroulait en face avant de finalement sauter sur le canapé de Aisha. Il fit signe à la jeune femme de venir s'asseoir à côté de lui. C'est vrai qu'elle ne connaissait rien de sa vie, Chat Noir en connaissait un peu plus sur la tienne, ce n'était pas équitable dans un sens. Mais Aisha connaissait bien Chat Noir ? C'était une partie de lui après tout. Un nouveau soupir sortit alors de sa bouche tandis qu'il se mit à réfléchir un long moment.

« Après, je suis d'accord avec toi. Il y a des personnes qui ne sont pas fait pour être nos amis. Des personnes qui sont naucives pour nous ou simplement de mauvaises personnes. Eux, il faut savoir les laissé partir. Puis il y a aussi ceux qui partent alors qu'on en a pas envie mais ça on y peut rien, c'est la nature. » Il marqua un petit moment de silence. « J'ai ma plus grande amie, ma confidente qui est partie subitement un jour... »

Il parlait bien évidemment de sa mère. Adrien ne le dira pas vraiment à Aisha parce qu'il n'avait pas le droit de parler de ce genre de chose mais il voulait faire comprendre à la fée que c'était normal de souffrir de quelque chose. Et que même si elle avait vécue une mauvaise rencontre, ou qu'elle avait fait la connaissance de la faucheuse... Elle ne devait pas baisser les bras. Chat Noir posa délicatement sa main sur l'épaule de Aisha, qui se tenait juste à côté de lui. Il continua de sourire comme à son habitude.

« Moi j'adore avoir des amis. J'en ai pas énormément mais je sais que je peux compter sur eux. » Il lâcha un petit rire amusé. « Enfin j'en ai plus quand je ne porte pas mon costume de super-héros. »

C'était marrant à avouer mais quand il portait sa tenue de super-héros, il se sentait bien plus lèger. Parler de ses sentiments était moins compliqué et il adorait prendre soins des autres. Il se demandait ce que Maître Fu avait vu en lui le jour ou il l'avait choisi pour être Chat Noir. D'ailleurs il se demandait parfois, si il était vraiment digne de porter ce costume. C'est sûr, il était lui-même dans cette tenue mais en était-il vraiment digne.

« Tu dis que tu ne me connais pas vraiment... Mais tu sais, Aisha. Je suis vraiment moi-même quand je porte ce costume. Le masque je le porte plus quand je suis un simple garçon... C'est triste à dire, tu ne penses pas ? » Un petit rire nerveux sortit de sa bouche alors qu'il jouait nerveusement avec sa queue. « Sache que tu n'es pas un poids pour moi. Je m'amuse vraiment avec toi. Et ma vie à côté de Chat Noir n'est pas vraiment passionnante. Un gamin parmi tant d'autre. Je te jure, j'aimerai retirer mon costume et me présenter à toi, pour de vrai. Mais je n'ai pas le droit. J'ai fais une promesse à Ladybug. Personne ne doit connaître notre identités ! Je ne connais même pas celle de Ladybug alors que ça fait des années que l'on travaille ensemble. Tu imagines ! Je ne connais pas son identité, sa vie et pourtant... Elle est mon amie. Et je suis son ami. »

Il se leva finalement du canapé avant de marcher doucement vers le balcon de son appartement.

« Tu n'as pas besoin de tout connaître pour devenir amie avec la personne qui se trouve en face de toi. C'est à toi de définir si tu fais confiance à la personne, si tu aimes bien ce que tu vois. C'est une question de feeling, je dirais. Je sais que Ladybug est une bonne personne et je lui fais entièrement confiance. Donc elle est mon amie. Le raisonnement est aussi simple, tu ne penses pas ? »



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________________________________________ 2020-10-25, 22:00


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L'amitié était la valeur que mon conte avait prôné pendant toute une décennie. C'est vrai que l'idée était belle - trouver des personnes avec qui rire, se confier, pleurer et vivre vos meilleurs moments. Des individus que vous ne connaissiez ni d'Eve, ni d'Adam, mais qui en quelques secondes pouvaient devenir tout votre monde. Les ami(e)s portaient les charges qui vous empêchaient d'avancer, puis vous faisiez de même dans le besoin. Jamais vous ne laissiez tomber une personne aussi chère à votre cœur, persuadée et vous promettant à chacune que... Ce sera pour toujours. C'est faux, tout le monde le sait. L'univers des Winx est loin d'être celui dans lequel je vis désormais. Les amours sont rarement sincères et les amis partent. Le bonheur est une montagne russe que tu pratiques seul. Il n'y a pas quelqu'un pour te tenir la main et te dire que tout se passera bien. Parce que la vie... Est individuelle. On apprend seul d'elle. Je ne veux plus avoir à me prouver le contraire, le déni est terminé. 

Sans cacher mon opinion à Chat Noir, qui semblait peiné par ma réponse, je tentai à ma façon de réparer les meubles : il valait mieux être seul, parfois. Non ? J'aurais préféré rester la même personne positive qu'il y a 5 ans mais cela fait trop longtemps que je fais semblant. La vie - cette vie - n'est pas la dimension magique. Les gens qui m'entourent non plus. Je ne me ferais plus d'illusions. Le garçon qui se leva face à moi, malgré ma surprise, allait avoir du boulot pour changer ce nouvel état d'esprit. Croisant les bras, il soupira. J'arquai un sourcil. 

"Euh... Oui ?" 

Il n'était pas d'accord avec moi, qu'il pensait à haute voix. Sa réponse - si brève et innocente à la fois - me fit esquisser un sourire et baisser la tête. 

"Tant mieux pour toi, tu as raison... J'aimerais ne pas être d'accord avec moi-même aussi. Mais, c'est just-" 

Avant que je ne pus terminer une phrase que je n'aurais su aborder de la bonne manière, il m'avait doucement pris le bras, me priant de me lever pour le suivre. Je n'entendais pas ce que le chat - et les chats en général - entendait. Je ne savais pas ce qu'il voulait et c'est silencieusement, perplexe, que je lui suivis doucement jusqu'à la fenêtre du salon. Rien de très glorieux aux premiers abords mais en suivant du regard ce que Chat Noir souhaitait me montrer, je discernais alors sur le toit des gens et des projecteurs qui coloraient le ciel. Quelqu'un semblait faire une fête. Quand avait-il remarqué ça ? C'était bien la dernière chose qui me correspondait ces derniers temps. Je n'avais pas la tête à ça. Et si je souhaitais des amis... Ce ne serait pas pour cette raison-là.

Silencieusement, je le laissais observer ce qu'il voulait que j'observe également. Puis il traita de sa vision de l'amitié, du garçon qui devait malgré ses problèmes être heureux de les oublier une soirée. Je ne savais pas si son sourire était pour moi ou pour lui-même mais je ne permis pas de feindre le même, réfléchissant seulement à ses propos, bras croisés contre ma poitrine. J'avais quelque peu froid sous l'inaction. Mon partenaire bondit sur le canapé et m'invita d'un geste de mains à ce que je m'assieds près de lui. Je ne comprenais pas ce qu'il attendait de moi exactement - nous n'avions pas fini de manger - mais de pas lents, je m'approchai pour me poser au bord du mobilier. Chat Noir se confiait à moi et rares étaient les fois où il l'avait vraiment fait. J'avais de plus en plus l'impression de parler à une personne plus qu'au titre de héros. Je le compris lorsqu'en le fixant, soudainement, son masque me dérangea. Je n'y avais jamais prêté attention avant : il était Chat Noir, un super-héros. Je m'entretenais avec lui sur mes problèmes et notre affaire commune, voilà tout. Lorsque je le regardais, je voyais son costume et ce qu'il représentait. Mais lorsqu'il me parlait, ce soir, j'avais l'impression d'écouter quelqu'un de caché... Masqué. Un être humain, tout simplement. Je n'arrivais plus à le regarder dans ses yeux - verts - sans me sentir décontenancée par ce qui le dissimulait. Ma tête se décala vers le télé et je n'écoutai alors plus que sa voix. 

"Une confidente ?" Répétais-je pour moi-même, étonnée. Je ne pus m'empêcher de me demander qui s'était mais ne me permit pas de poser la question indiscrète.

Impossible de ne pas le jauger d'amertume lorsqu'il témoigna avoir plus d'amis sans le masque. N'était-ce pas évident et compatible à ce que je disais plus tôt ? 

"Tu vois ?" Je réprimais alors en campant sur mes positions. 

Mais Chat Noir reprit comme pour me rassurer que j'avais beaucoup plus de chances de le connaître masquer qu'exposé à tous, dans son quotidien des plus banals. Je n'en restais pas certaine au fond de moi mais cela devait sûrement être moi et mes propres idées. Pourquoi est-ce que cela devrait-il même me déranger ? Je m'en fiche... De ne pas avoir d'amis. Puisque ça part de toute évidence. 

J'hochai nonchalamment la tête. Il m'avait déjà parlé d'une Ladybug, sa partenaire d'aventures. Aucun des deux ne connait l'identité de l'autre et se le refusent amèrement, pour ne pas se mettre en danger. J'avais toujours du mal à le comprendre, moi qui avait sauvé le monde le visage découvert, sous mon vrai nom, mon vrai titre. Néanmoins, je comprenais le risque. Les méchants tels que Valtor ou encore les Trix s'en étaient pris à nos familles et à nos royaumes sans demi-mesure pour nous contraindre au pire. Nous avons perdu beaucoup sur la balance... Plus encore aujourd'hui. 

Chat Noir s'avançait vers le balcon d'un sourire rêveur. Je remarquais à son expression qu'il avait les amis qui lui fallait et une vie convenable tant que l'équilibre héros/étudiant se maintenait sur la balance. Après un instant à l'observer, je souris légèrement à mon tour.

"Je comprends... Ne t'en fais pas, je ne compte pas te forcer à me révéler ton identité secrète ! Soupirais-je en m'affalant. Ça ne me regarde pas, donc... Fais comme tu veux. J'haussais les épaules. Je ne m'y connais pas trop en héros masqué car j'ai passé ma vie à me battre à découvert, pour défendre mes valeurs. Mais je vois le danger que vous pourriez affronter, et... Je sais ce qu'est l'importance d'une promesse." 

Nos regards se croisèrent à nouveau. Je me redressais pour le rejoindre sur le balcon avant de poser mes coudes sur la barrière. Nous retombions sur la soirée qui se tenait à quelques étages de plus que nous, au bâtiment d'en face. 

"Place ta main devant toi, paume face au ciel." Demandais-je au jeune blond avant de faire de même.

Puis d'un clignement des yeux, nos assiettes apparurent face à nous, se posant alors dans notre main. J'attrapai ma fourchette et reprenais mon dîner là où il s'était arrêté tout en fixant le ciel. De nouveau pensive, je ne pus m'empêcher de proposer : 


"Tu n'es pas obligé de rester, tu sais... Si tu veux partir... Ce soir ou... Hésitais-je. Plus tard. Je ne t'en voudrais pas." 

Je ne lui en aurais pas voulu qu'il préfère une fête comme on pouvait en voir chez les autres, qu'un plat de pâtes sur un petit balcon d'un appartement menacé par un inconnu. 

30 janvier 2020, ??h??


"Tu es difficile à contacter Chat Noir, tu le sais ça ? Si j'avais ton numéro personnel, je pourrais t'appeler plus facilement, je ris alors. Non, non, ne t'en fais pas, je rigole. Je voulais juste t'appeler pour te dire que je serais absente pour... À vrai dire je ne sais pas exactement combien de temps. J'ai une sorte de mission avec un groupe... Avec... Des amies... Je - Un silence s'installait. Mais je me rappelais qu'il n'était pas là pour le combler, nous étions sur une boîte vocale. Pardon. Ce que je voulais te dire c'est que tu n'as pas à t'en faire ! Je te recontacte dès que je suis de retour et nous reprendrons notre propre mission ! Doooonc... À bientôt." 

En raccrochant, mon regard se posa sur l'écran des horaires d'avion. Je cherchais le mien en me référant à mon billet. Puis je soupirai. Pourquoi lui avais-je envoyé un message vocal ? Il allait sûrement trouver ça étrange, je n'étais pas obligée... Mais, en tant que partenaires, il ne fallait pas qu'il s'inquiète. Ou peut-être en tant qu'amis ? Je ne savais pas vraiment. J'aimais l'idée, néanmoins. 

Pourtant, mon message fut le dernier suite à mon départ. Je ne rappelai pas à mon retour. J'avais beaucoup trop sur le cœur pour faire quoique ce soit. C'est à cette mission que j'eus récupéré la mémoire d'un combat que j'avais perdu il y a de cela 5 ans. Et c'est également suite à cette mission que j'ai compris... Que Nabu ne reviendrait plus jamais. Dévastée, mon retour à Storybrooke se conclut en un enfermement sur moi-même - dans ma chambre, à pleurer le départ de l'amour de ma vie. Celui que je ne pourrais plus jamais serrer à nouveau dans mes bras. Je me détestais. 

Masquée, cela aurait-il été plus simple ? 

(c) princessecapricieuse

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