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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 Pour être, cessez de vouloir paraître } Deborah & Carlisle

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Sloan Fyresciell
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Sloan Fyresciell

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• Franchement Slo', on a pas besoin de se retrouver dans un parking glauque pour que tu m'annonces que tu me prends comme ton témoin de mariage !
• Ssssssh discrétion Al' discrétion !

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• Sloan ? Tu m'écoutes ? Lui là ... je peux le tuer quand tu veux !
• Hum oui oui Dew' ... oui oui


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________________________________________ 2017-09-22, 13:18

Pour être, cessez de vouloir paraître } Deborah & Carlisle - Page 2 Tumblr_mqxcjlNHUx1qm1x8bo3_250Pour être, cessez de vouloir paraître } Deborah & Carlisle - Page 2 Tumblr_n4aiugfUkE1ra8x1ao3_250
But above all, in order to be, never try to seem.

Le regard du roux passa de Carlisle à la femme leur faisant face, avant de revenir sur Carlisle, en battant fébrilement des yeux.

-Ben quoi ? Lâcha-t-il, comprenant soudain que les deux paires d’yeux qui le fixaient… Etaient plein de reproches.

-Pardonnez moi chère Deborah, soupira-t-il, s’approchant pour déposer deux bises distinguées contre ses joues. Je crains en effet que ce que j’avais prédit ne soit en train d’arriver sous nos yeux.

Il eue une moue assez pédante, presque mesquine et Antropy se renfrogna dans son siège, se dandinant pour s’y enfoncer plus encore si telle chose était possible.

-Eh, je t’entend… 

-Le ciel soit loué. Avez vous les tenues dont nous avions parler?

Aussitôt, le roux se redressa, fixant Carlisle avec de grands yeux, emplis de surprise… Et d’une certaine crainte.

-Hein ? De quoi tu parles ?

-De tenues ! Mademoiselle Deborah, comme je te l’ai déjà expliqué, travaille pour moi. Elle est en charge de ma garde-robe et je lui ai demandé de te trouver une tenue, disons plus appropriée pour pratiquer l’équitation.

Peut-être eut-il du lui demandé de refaire entièrement sa garde-robe, après avoir brûler avec joie et délectation l’ensemble de  es chemises informes et de ses pulls aux couleurs criardes. Diable, que Carlisle pouvait haïr ces vêtements sans forme dans lesquels il se complaisait à nager… Carlisle le savait, Antropy était bien plus maigre que ce que ces vêtements laissaient croire… Pas qu’il ai vérifier, mais lorsque le pianiste passait sa main le long de sa colonne pour le forcer à jouer en gardant le dos aussi droit que possible, il ne pouvait que constater la différence flagrante qu’il existait entre la taille du tissus et les muscles de son dos.

Brusquement, le rouquin perdit toutes expressions, se redressant en manquant de renverser la moitié de son chocolat chaud -avait-on idée de demander pareille boisson à ses domestiques,….

-Quoi ?! Non mais…. Non ! Hors de question ! Carlisle j’ai peur de ces bestioles !

Avec un soupir, Carlisle leva les yeux au ciel.

-Ne sois pas ridicule. C’est un sport noble, et si tu souhaites arpenter le domaine, il te faudra apprendre à monter.

-Mais j’en ai pas besoin ! Je cours plus vite que tes chevaux j’en suis sûr ! Vous savez ce que c’est vous, ses chevaux ? Demanda-t-il, en fixant Deborah avec un certain empressement. Ils sont immenses et mesquins, et tout noir en plus ! Pire que ses costumes, d’ailleurs vous devriez lui mettre un peu de couleur dans ses habits, genre du violet ou du bleu. C’est sa couleur préférée.

Malgré lui, Carlisle fit claquer sa langue. Ce jeune rouquin pouvait parfois être très futé, mais d’une indiscipline totale qui l’exaspérait.

-Le noir ira très bien. En revanche, il se peut, très chère, que je vous sollicite pour trouver à ce jeune homme un costume plus digne de représentations musicales que ce type de… comment appelles-tu cela?

-Des sweat-shirts, et tu le sais très bien, ronchonna Antropy, qui commençait vraiment être s’ennuyer de l’attitude de son professeur.

N’était-il pas beaucoup plus avenant lorsqu’ils étaient seuls ?

-Pensez-vous pouvoir faire quelque chose?

-Et si j’ai pas envie de m’habiller comme toi ?

-Si tu comptes venir jouer de l’Orgue vêtu de la sorte, tu n’en approcheras pas même la moindre touche.

-Tu m’en as pas empêcher la dernière fois pourtant !

Avec exaspération, Carlisle se tourna vers la jeune femme qui semblait absolument outrée de la manière dont parlait le plus jeune. Carlisle ne put qu’acquiescer à sa moue, avant de soupirer, se pinçant l’arrête du nez.

-Les obligations du titre. Parfois, la patience est une denrée trop peu estimée., glissa-t-il à son attention, avant de se tourner à nouveau vers Antropy.

-Lève toi, je te prie. Mademoiselle Deborah va te donner une tenue et je te prierais de bien vouloir l’essayer afin d’être sûr de tes mensurations.

Il eue une moue, boudeuse, avant de se relever, commençant déjà à tirer sur le bas de son pull de sa main à peine remise, dont l’atèle était fort habilement cachée dans sa manche, comme pour le retirer. Il était vrai que ce jeune homme souffrait d’une absence de pudeur… Extrême. S’approchant rapidement, Carlisle le toisa, constatant avec énervement qu’il jouait totalement de la situation. Visiblement très heureux de la soudain proximité de son professeur.

-Il y a un cabinet derrière cette porte. Je te demanderais de bien vouloir t’y rendre avant de retirer tes vêtements. Mademoiselle Deborah, puis-je vous demander de sortir sa tenue ?
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Deborah Gust
« Sarcasm: punching people with words. »

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- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

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________________________________________ 2017-09-23, 00:00 « Sarcasm: punching people with words. »

Je partageai les craintes de Carlisle et n'en serrait que plus les lèvres, désabusée, songeant que j'aurais peut-être dû prendre un doliprane préventif afin de ménager ma précieuse tête bien faite. Tant pis. Je serai force. Je l'étais toujours. Et je voyais à la maitriser impeccable de mon ami qu'il en était de même pour lui. Nous avions été taillés dans le même bois, en dépit de nos différences sidérantes.
- Vous êtes tout excusé, susurrai-je après nos embrassades.
Après tout, ce n'était pas lui qui ne savait ni se tenir, ni s'habiller. Ni se coiffer, ni un tas de choses que j'imaginais seulement et préférais ne pas découvrir.
Nous passions aux choses importantes - mes tenues - quand le rouquin défroqué interrompit la conversation des adultes de la plus "charmante" des manières. L'éloquence, un art qui n'est pas à la portée de tous. Je posai un regard méprisant sur lui et croisai les bras. Apparemment, il avait besoin de davantage d'explications avant que nous ne puissions commencer. Soit.
J'écoutai en silence, désespérant mentalement quant à l'état mental (et physique, même si j'avais déjà commencé à le déplorer depuis un moment certain).
Nous en étions à l'équitation (et à la peur que les chevaux lui inspiraient quand, clairement, c'est son propre reflet qui aurait dû l'effrayer s'il avait été un tant soit peu doué de bon sens) quand il tourna sa tête trop pleine de cheveux (qui avaient cependant le bon goût d'être roux) vers moi pour m'apostropher.
Tiens, étrange. J'aurais juré qu'il ne me parlerait pas.
- J'ai une excellente idée des chevaux de Carlisle, répliquai-je froidement. Des "bestioles" (je mimai ostensiblement les guillemets pour signifier que ce terme était uniquement destiné à m'abaisser à son niveau de vocabulaire) assurément plus nobles que vous ne le serez jamais. Je vous conseille vivement de profiter de cette main tendue depuis le haut du panier. Ce n'est pas tous les jours qu'on y accède.
Je lui souris, de ce sourire condescendant et satisfait dont j'avais le secret avant de me désintéresser totalement de lui (ce qui n'était pas compliqué) pour me tourner vers Carlisle et acquiescer. Des tenues de concert. Une évidence. Les tee-shirts n'étaient assurément pas adaptés aux sorties culturelles du clan Evil. Et si ce palefrenier devait s'y greffer, il devrait se fondre dans le moule - non l'inverse.
- C'est comme si c'était fait, affirmai-je en griffonnant quelques notes sur mon carnet.
Je n'écoutais pas le reste - qui ne me regardait pas et m'intéressait encore moins - et fermai mon carnet d'un geste sec, patientant, le temps que les enfantillages de Monsieur ne cesse. Même Connor aurait été moins désagréable.
Par chance, Carlisle reportait son attention sur moi. Enfin quelque chose d'intéressant à gérer. J'hochai la tête d'un air entendu, sans desserrer mes lèvres pincées. Contre toute attente, cependant, le rouquin s'était levé... et commençait à tirer ses vêtements ?! Ici ? J'écarquillai les yeux. Tout ceci n'était clairement pas un spectacle que je souhaitais apercevoir. Ni aujourd'hui, ni demain, ni jamais. Eut-il été séduisant, j'aurais fait un effort et oublier la bienséance. 
- Je vous demanderai de bien vouloir obéir à Carlisle et aller dans ce cabinet. Tout le monde n'a pas forcément envie de vous observer, fis-je remarquer avant de pouvoir - le ciel m'en soit loué - tourner mon attention vers Carlisle. Je vais préparer les tenues de ce pas, confirmai-je en me dirigeant d'un pas élégant vers les valises. Vous ne serez pas déçu, je pense, continuai-je humblement en ouvrant la première pour en sortir l'ensemble d'équitation demandé et le disposer joliment sur l'un des canapés.
Il y a tout un art dans la disposition des vêtements. Elle se fait avec doigté et précision pour sublimer le tissu. Par la suite, le tissu vient sublimer la personne, témoigner de son aura, de son influence, de sa caste et de tout un tas d'autres choses que les novices ne perçoivent jamais. Carlisle, dieu nous garde, n'était pas de ces êtres fades. Il comprenait la précision de la moindre de mes actions et la considérer avec toute l'attention qui lui était due.
Une fois les vêtements disposés sous son œil expert, je me tournai vers lui, mains jointes sur le bas de mon ventre.
- Si Monsieur votre ami a un temps soit peu de jugeote il saura apprécier les matières et les formes que j'ai choisies selon vos désirs. S'il n'en a pas... 
Je suspendis un moment ma pensée avant de reprendre :
- S'il n'en a pas j'aime à croire que nous aurons assez de force de persuasion pour le faire changer d'avis. Je pense avoir eu raison de personnes plus coriaces que votre ami - sans vouloir vous offenser.
Je souris, confiante.
- Je pensais à quelque chose de discret, dans vos tons habituels quoique légèrement plus colorés pour les concerts auxquels vous prévoyez d'emmener votre ami. Pas trop clair pour éviter que les tâches éventuelles ne se voient s'il lui prenait l'envie soudain de boire ou manger comme un ours avant, pendant, après... On ne sait plus avec ces gens-là. Sait-on jamais, une maladresse est si vite arrivée pour certains d'entre nous. Je me dois d'être prévoyante et prudente pour vos sorties en ville.
Mon regard en direction du mug de chocolat valait bien mille discours. Ce n'était pas parce que je n'avais pas ostensiblement mentionné son manque de coordination que je ne l'avais pas remarqué. 


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We at a party we don't wanna be at.
Tryna talk, but we can't hear ourselves.
Read your lips, I'd rather kiss 'em right back...


YOU KNOW WHAT ?

It's kinda crazy 'cause I really don't mind
And you make it better like that


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________________________________________ 2017-10-03, 19:51


Je comprend pas c'est quoi le problème ?


Pourquoi elle s’était mise à me parler de panier la rouquine ? Elle voulait qu’on aille cueillir des fruits tous ensemble dans le verger ? C’était une bonne idée mais très peu pour moi, je n’avais aucune envie de sortir pour faire ça. J’étais trop bien installé dans le grand lit de Carlisle pour ça ! En tout cas j’essayai de comprendre ce qu’elle était au juste, parce qu’il la présentait comme quoi elle faisait des vêtements mais en fait elle avait plutôt l’air d’une jardinière quand elle ouvrait la bouche… Il n’était pas assez bête pour confondre son emploi alors peut-être qu’elle avait un job à côté de son vrai travail ? Un passe-temps comme… Essayer de rendre les tenues de Carlisle toutes plus monotones les unes que les autres ? Il faudrait qu’elle revoit un peu son choix de couleur. Le bleu lui irait si bien en plus !

Je me dépêtrai de mon pull en essayant de ne pas y coincer mon attelle, les laissant retourner à leurs conversations ô combien philosophiques… En vrai, ils étaient en train de parler friperie comme des petits vieux hein, mais ça avait l’air d’être un état major autour de la troisième guerre mondiale donc je me contentai de pencher la tête sur le côté. Est-ce qu’ils prenaient vraiment le temps d’étudier tout ces trucs autour d’une bête chemise et d’un pantalon ? Ca avait l’air rudement compliqué de s’habiller en fin de compte… Pourtant qu’y avait-il de difficile à choisir un tee-shirt et un jeans pour aller avec ? Non pas que Carlisle ne soit pas sexy dans ses costumes, mais un peu de détente ne lui ferait pas de mal.

De même que pour la grande rousse pas commode. Elle avait oublié son sourire à la maison ? Ou bien avait-elle avalée un dictionnaire avant de venir car elle parlait avec tant de syllabes que ça pouvait donner mal au crâne à force. Je n’avais pas entendu beaucoup de personnes dialoguer de la sorte et les dernières se trouvaient être les deux harpies qui servaient de sœurs à Carlisle. Ô joie immense que de me dire que cette femme était peut-être leur copie conforme. La jeunesse en moins. Mais je n’allais pas lui demander son âge, ça pourrait la vexer et je n’avais pas vraiment envie qu’elle s’en prenne à moi ; à défaut d’être une alliée autant tenter de rester neutre. Ou presque.

« Je vous entend, je vous signale. » Fis-je remarquer tandis qu’ils faisaient comme si je n’existai pas. « C’est ça que tu veux me faire essayer ? »

Je désignai les étoffes et les vêtements disposés comme s’il avait s’agit du Graal. Mon regard passa d’un tissu à l’autre, d’une couleur morne à l’autre, d’un truc serré à l’autre… Il n’y avait absolument rien qui ressemblait à des carreaux et encore moins de jeans. Soit il l’avait super mal renseigné sur mes goûts soit elle s’était carrément plantée. Dans tous les cas…

« Je n’essayerai pas ça. » Les prévins-je. « Je veux bien faire l’effort d’une chemise pourquoi pas, mais ça, non. On peut pas respirer là-dedans et ce truc à l’air hyper serré. Comment je fais pour bondir et courir avec un truc pareil sur les jambes ? Je l’aurais déchiré avant même d’avoir fait dix mètres, alors monter à cheval… » Je retins une grimace à la simple idée d’approcher un de ces suppôt de Satan. « … Je crois que vous vous êtes un peu planté. »

Je tapotai mes index l’un contre l’autre d’un air un peu désolé. Ce n’était pas de sa faute, elle ne pouvait pas vraiment savoir que pour se dépenser il fallait des vêtements amples ou tout du moins élastiques, pas du tout les fanfreluches qu’elle voulait que je porte. C’était étonnant que mon professeur préféré ne lui ai pas donné ces indices… Je m’apprêtai à lui expliquer un peu mieux les attentes quand je vis Carlisle se pincer l’arrête du nez et claquer sa langue contre son palais. Oh oh, ça, c’était pas bon signe du tout ! Je pris un air innocent en serrant ma main blessée contre moi – j’avais remarqué que ça avait tendance à l’empêcher de m’attraper. Et puis il avait un invité, il ne tenterait rien de déplacé… Dommage.

« Mais c’est pas grave, ça arrive à tout le monde de se tromper ! De toute façon je préfère les couleurs, comme mes tatouages, vous voulez les voir ? J'en ai plein et je compte en rajouter encore, de toute façon vu la place que j'ai sur le corps y'a de quoi faire ! Carlisle les aime bien en plus, il ne vous l'a pas dit ? Quel cachotier celui-là ! En tout cas si vous en voulez un j'ai pleins d'adresses et je pourrais même vous le faire moi-même ! Enfin... Dès que ma main sera remise. »

Je commençai déjà à retirer mon tee-shirt pour lui montrer les lignes et dessins qui recouvraient mes bras déjà suffisamment visibles. Avec ça au moins elle comprendrait sûrement ce que j’attendais et pourquoi son choix n’était pas du tout le bon ! Ou alors pour un moine, peut-être… Quoique, lui aussi tenait à pouvoir marcher sans être gêné. C’était pas elle qui allait porter ces trucs, ça se voyait !

je soutins le regard noir que m'adressa Carlisle.

« Quoi ? Si je lui dis pas, comment elle va savoir où elle s'est trompée ? Soit un peu indulgent, c'est pas facile la première fois ! »

Il fallait bien qu'elle apprenne, ça lui servirait pour les prochaines fois où elle aurait à jouer les stylistes Pour être, cessez de vouloir paraître } Deborah & Carlisle - Page 2 2727069659
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________________________________________ 2017-10-14, 09:41

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But above all, in order to be, never try to seem.

Dès la seconde où Antropy se mit à émettre des doutes quant à la perfection du travail de Deborah, Carlisle se mit à pâlir. Un tel manque de respect envers le travail d’une orfèvre ! C’était d’un irrespect !

-Chère Deborah, je m’excuse de sa nonchalance!, s’exclama-t-il en se tournant vers elle, hésitant même à lui prendre les mains. Antropy…. N’a pas le goût des belles choses en matière de textile...

Rapidement, il s’approcha, venant le prendre par le coude pour l’emmener un peu plus loin, hors de portée de voix, comme pour épargner à Deborah le futile de ces pourparlés.

-Si tu comptes rejouer avec moi, je te conseilles d’essayer cette tenue d’équitation...

Ne voyait-il pas ? Ne comprenait-il pas ? Les efforts qu’il faisait, les aveux qu’il faisait ?! Il tentait de l’élever à son rang, il tentait de le rendre plus nobles qu’il ne l’était ! Il tentait de faire de lui un Homme de Bonne Société. Il tentait de partager avec lui une autre de ses passions… Il tentait, bien malgré lui, de l’inclure dans sa vie au Manoir…

Et ce manant se permettait de refuse son cadeau ?!
 
-Je paie les services de Mademoiselle Deborah à leur juste valeur et cette tenue est spéciialement conçus pour que tu puisses t’y mouvoir en toute liberté. Crois tu seulement que l’on puisse chevaucher habillé de la sorte?

Le regard du jeune roux le parcourut de haut en bas et Carlisle ne put s’aveugler au point de ne pas voir l’éclat de luxure qui fit briller un instant ses pupilles. Ainsi, le jeune homme était encore… Transis, si il put dire, de désir à son égard ? Au fond, Carlisle ne pouvait l’ignorer. Combien de fois depuis leur retour de Berlin ce jeune effronté l’avait-il défier d’un baiser furtif à même ses lèvres ? Sans doute aurait-il du dès leur retour à Storybrooke le laisser pour mort au fond de la fange qu’était son appartement deux pièces, plus usé qu’usuel et aussi sécurisé que si il l’eut été d’un cadenas fait de ficelle ! La porte de la chambre en moins….

Mais il avait une dette. Une dette d’honneur comme une dette envers la Musique. Carlisle avait toujours eue en très haute estime l’honneur, étant pour lui la seule valeur que possédait un homme. Ces paroles, les seules qu’il gardait de son père, comme un souvenir évanescent, étaient inscrites dans sa chaire, dans son âme. Et la perte de la main d’Antropy impactait son honneur. C’était à lui de lui rendre l’usage et la maîtrise de sa main, coûte que coûte. Alors il s’était lancé corps et âme, envers et contre Antropy lui même parfois, dans cette quête qui, aujourd’hui, portait ses premiers fruits.

Il n’y avait pas moins de trois jours, Antropy était parvenu à jouer « La Jeune fille aux cheveux de l’un », en entier et sans heurt. Certes, la grimace qui avait tordu ses traits durant l’exercice avait presque fendu le coeur de Carlisle, qui n’avait pu empêcher sa main de venir se poser sur son omoplate, en un geste de soutient. Rien de plus. Pourtant l’instant qui avait suivit avait été des plus… Informels.

-Le Professeur Taddeus lui même t’a dit de pratiquer une activité sportive autre que la pratique musicale, siffla-t-il à l’intention du roux, l’encadrant fermement du regard. Je pratiquais l’escrime et l’équitation lors de ma propre rééducation, et je t’adjoins à faire de même!

Antropy eue une moue, peu convaincue, et clairement pas réjouis d’un tel discours, sa main ‘valide’ allant cependant saisir le poignet de la suivante. La blessure était encore là et psychologiquement, le serait toujours.

-Essaie la au moins, finit-il par céder, pinçant l’arrête de son nez. Sois un minimum poli. Je ne te forcerais pas à monter quoi que ce soit si tu ne le souhaites pas.

-J'ai quoi en échange?

Le ton d’Antropy était à la fois insolent et joueur, curieux. Inlassablement. Lassé, et commençant à saisir comment l’énergumène fonctionnait, il haussa un sourcil, attendant le couperet de ses exigences. Il ne fut guère déçu.

-Je veux t’entendre jouer une des chansons que tu avais avec ton groupe, plus jeune.

L’exigence était donc sur la table, et Carlisle ne put que lever les yeux au ciel. Depuis qu’il avait découvert cette photographie de lui jeune, Antropy avait développé une sorte de fascination pour cette facette plus ‘rock’ que classique de son répertoire musicale.

-Soit, finit-il par soupirer, claquant sa langue contre son palet, avant de le fixer d’un regard sévère. Maintenant enfile cette tenue et reste courtois avec Mademoiselle Deborah, je te prie.

Antropy eue une sorte de gloussement, trop heureux d’avoir obtenu ce qu’il désirait, avant de grimacer face à la tenue que Carlisle lui tendit. Eut-elle été en peau de tigre qu’il en aurait été moins dégoutté. Rapidement, il lui indiqua le ‘cabinet’ où lui même essayait ses tenues, Avec force bougonnerie, il finit par s’y rendre, le pas traînant, et Carlisle se retourna vers Deborah.

-Toutes mes excuses très chère. Ce jeune homme est… Très réfractaire à l’idée d’étiquette. C’est un problème générationnel, sans nul doute. Lorsque j’eus son âge, que n’aurais-je donné pour un peu de ce prestige ? Celui d’être vêtue par vous, précisa-t-il, charmeur, lorsqu’elle fit une moue face à son imprécision.

De nouveau, il soupira, fixant le cabinet un instant avant de se tourner vers elle.

-Les préparatifs de vos vacances avancent-ils à votre convenance ? Ma pilote, Clarice, est pressée de faire votre rencontre. Quant à Louis, il s’excuse de ne point être présent aujourd’hui mais vos chemises lui vont à merveille.

Il eue un sourire, avant de se diriger vers la table où reposait flûtes et vin blanc.

-Un Cianti vous sierra-t-il? demanda-t-il, attendant son approbation pour servir le vin. Avie vous fait savoir que l’hermine que vous lui avez trouvé était la plus pure qu’elle ai jamais porté ! Elle en est absolument ravie et conquise, fit-il avec un sourire, lui tendant une flûte.
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Deborah Gust
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- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
- C'est bon, je démissionne, j'en ai marre des débiles.

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________________________________________ 2017-10-15, 00:22 « Sarcasm: punching people with words. »

Carlisle m'avait prévenue mais j'avais osé croire qu'il exagérait. Il s'avérait que... non. Monsieur voulait bondir. Monsieur voulait courir. Mais surtout monsieur pensait que JE m'étais trompée. Laissez. Moi. Rire.
Deborah Gust ne se trompe jamais. Deborah Gust et le concept d'échec ou d'erreur ne sont pas compatibles. J'arquai un sourcil dubitatif, retenant un pouffement qui aurait presque été grossier en plus d'être particulièrement méprisant, mais ne l'interrompis pas. Son erreur était si profonde qu'elle en était presque divertissante. Lui voulait m'apprendre mon essence. C'était peut-être la meilleure blague de l'année.
- Sachez monsieur que je ne me trompe jamais et que j'ai suivi les désirs de notre ami commun à la lettre. Il n'est nul besoin de "bondir" et "sauter" pour aller faire de l'équitation et si vous aviez ne serait ce que le quart de l'intelligence de Carlisle, vous le sauriez, expliquai-je calme mais ferme. Néanmoins, je pense pouvoir vous remercier de vous montrer aussi cocasse dans votre ignorance et incompréhension de mes talents. Carlisle saura sans doute vous éclairer plus en détails.
Malheureusement, les blagues les meilleures sont les plus courtes et monsieur le freluquet avait décidé de me montrer les immondices qui recouvraient ses bras. Je levai les yeux à dix centimètres de sa tête afin de ne rien voir car il eut été gênant de perdre la vue face à tant d'horreurs à la fois.
Carlisle, heureusement, prit la relève. Mais le rouquin - et dire que nous partagions le point commun délicat d'une chevelure de feu - ne voulait pas comprendre, peut-être parce que l'encre de ses tatouages avaient corrompu ses neurones. Allez donc savoir.
Je reportai mon attention sur mon ami, me délectant de son bon goût. Monsieur le freluquet - Antropy, apparemment, car en plus de ne pas le gâter génétiquement ses géniteurs lui avaient refilé un autre handicap : ce prénom - devrait avoir honte de le mettre aussi mal à l'aise. Alors qu'il s'éloignait avec Carlisle, je lui jetai un regard noir. Il n'avait aucune idée des conséquences de ses actes ! J'imaginais sans peine à quel point Carlisle devait être mortifié. Je l'aurais également été s'il avait rencontré la morveuse Tristesse ou le trouillard Peur. Et que dire de l'enragé Colère ?
Je m'assis, secouant la tête de désespoir mais ne doutant pas que Carlisle allait faire le nécessaire. Je restai seule quelques instants, savourant le gout général de la pièce avant qu'il ne revienne, seul. J'en déduisis qu'il avait obtenu gain de cause et mon sourire s'étira. Je chassai ses excuses d'un geste gracieux mais affirmé de la main.
- Si je puis me permettre, ce jeune homme porte déjà une étiquette mais celle-ci est de moindre qualité. Un jour, peut-être, saura-t-il l'arracher pour s'élever à votre hauteur. Cela me parait difficile mais je ne doute pas que vous soyez un professeur patient et talentueux qui saura dompter les bondissements d'Antropy. Un jour il comprendra la chance que vous lui offrez, affirmai-je, car je ne doutais pas de ses talents. Et je mettrai tout mon talent et ma patience mais aussi mon exigence à votre disposition, poursuivis-je en lui indiquant que, oui, il pouvait me servir un verre de ce chianti que j'imaginais déjà délicieux sous mes papilles aiguisées. Mes préparatifs avancent à la perfection et je voudrais à ce propos réitérer ma gratitude pour ce cadeau. Je ne doute pas que Clarice soit une femme exceptionnelle. Je me félicite d'avoir su satisfaire Louis et Avie.
Je fis tinter mon verre contre le sien et bus une gorgée qui s'avéra à la hauteur de mes espérances.
- Je gage que vous connaissez mieux ma destination de vacances que moi... Auriez-vous des conseils à me prodiguer pendant que votre ami se change ? Je suggère que nous utilisions ce temps au mieux, repris-je, une lueur sérieuse dans le regard.
Des préparatifs, quels qu'ils soient, nécessitaient une attention toute particulière. J'avais évidemment fait mes recherches (mais lui passai les détails ennuyeux pour ne pas abuser de son temps, de même qu'il n'abusait pas du mien) et n'étais pas du genre à me laisser "conseiller" par des personnes inférieures à moi. Par chance, Carlisle ne faisait pas partie de cette catégorie.
J'écoutais attentivement ses remarques et en pris scrupuleusement note mentalement. Puis je remarquai que l'heure passait et que notre ami bondissant n'était toujours pas paru.
- Pensez-vous qu'Antropy ait fini de s'habiller ? Ou a-t-il besoin d'aide ? Je ne voudrais pas sous-estimer ses compétences, mais il me semble que nous avons attendu un temps plus que décent.


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________________________________________ 2017-11-20, 09:48

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But above all, in order to be, never try to seem.

Avec élégance, Carlisle revint s’asseoir prêt d’elle, passant son index sur ses lèvres, faisant mine de réfléchir.

-Eh bien, je me permettrais de vous conseillez de vous fournir en protection solaire, fit-il, avec une lueur amusée dans le regard. Votre peau doit être aussi délicate que celles de mes sœurs, alors je ne saurais que trop vous recommandez d’en faire grand usage si vous ne désirez pas souffrir de quelques rougeurs inopportunes.

Elle eue un sourire, qui fit froncer son nez délicat et Carlisle ne put s’empêcher de le lui rendre.

-Pour ce qui est du reste, cela dépend bien sûr des priorités qui sont les vôtres. Notre villa vous fournira tout le confort nécessaire, vous permettant si vous le souhaitez de ne jamais avoir besoin d’en sortir. Une piscine intérieur vous permettra de vous dissimulez aux yeux du monde tout comme la plage privatisée vous permettra de découvrir un peu de cette flore et faune des plus colorées!

La lueur qui illumina son regard fit sourire Carlisle, qui portant sa flûte à ses lèvres.

-Pour ce qui est de l’île en elle même, le majordome, Monsieur Kensley, vous renseignera sur tout ce que vous désirez savoir. Il y est né et en retire un certain orgueil, voyez-vous ? Que vous vous intéressiez au patrimoine ou la faune locale, il saura combler vos désirs.

Comme pour lui même, il hocha la tête, buvant une court gorgée.

-Je vous conseille de lui demander des informations sur la gastronomie locale. Ce fût pour moi l’une des plus étonnantes et savoureuses découvertes.

De nouveau, elle eue le regard brillant, et Carlisle ne put s’empêcher de se sentir soudain si prestigieux, à pouvoir ainsi donner des conseils de grands luxes. C’était si agréable de pouvoir enfin parler avec une personne qui comprenait ce que luxe et élégance signifiait vraiment.

-Je pense en effet qu’un temps plus que généreux s’est écoulé, acquiesça-t-il, se levant avant de reposer sa flûte. Veuillez m’excuser.

Elle acquiesça à son tour, portant sa flûte à sa bouche, avant de boire une gorgée avec une élégance qui ne pouvait être qu’innée. D’un pas vif, Carlisle se rendit à la porte du cabinet, y toquant rapidement.

-Antropy, as-tu finis ? Peux-tu sortir afin que Mademoiselle Deborah puisse jauger des modifications qui pourraient être nécessaires?

De l’autre côté du cadran de bois, un marmonnement peu amène lui répondit, et Carlisle fit claquer sa langue contre son palet.

-Parles distinctement, je te prie.

Il y eue du mouvement, un peu de bruit, avant que soudain, la porte ne s’ouvre sur un Antropy vêtu de pieds en cape pour l’équitation, mais surtout, pourvu d’une moue très, très boudeuse.

-Je disais que c'était pas très beau.

Malgré lui, Carlisle eue un sourire. C’était en réalité tout le contraire. La tenue lui conférait un aura noble et fier, si ce n’était la courbure de son dos, voûté de désapprobation. La couleur brune soulignait délicatement la pâleur de sa carnation, tandis que le col haut lui donnait un certain port de tête. L’apparition de ses chaussettes pourvue de pop-corn entachait un peu le prestige d’une telle tenue, mais tout de même, quel changement ! Quelque chose dans son regard ou son sourire du alerter Antropy car soudain, il se mit à se mordiller la lèvre, comme à chaque fois qu’une pensée… Peu conventionnelle lui traversait l’esprit, et Carlisle du très rapidement s’écarter de lui pour ne pas s’en sentir… Gêné.

Ou du moins, pour résister à la tentation de passer sa main le long de son échine pour le forcer à se redresser, ce qui, au vu de sa moue, n’aurait pas été convenable.

Du tout.

-Mademoiselle Deborah c’est une pure merveille! s’exclama-t-il, en menant Antropy vers le centre du petit salon. La coupe est parfaite, de même que la taille, c’est bien la première fois que je puis constater de ses mensurations réelles tant son penchant pour les vêtements trop larges est prononcé!

Professionnelle, Deborah se releva, venant se placer près du roux, pour en étudier le profil. S’assurant sans doute de la perfection de son œuvre.

-Redresse toi, je te prie.

-C’est trop serré pour moi.

-C’est une tenue d’équitation, ce n’est pas censé être lâche.

-C’est quand même trop serré, bougonna-t-il, croisant les bras sur sa poitrine.

-Je trouve pourtant que tu le portes fort bien.

Le regard que lui adressa le roux fut des plus surpris, ne s’attendant visiblement pas à ce que son professeur ne le complimente de quelques façons que cela soit. Il eue même à nouveau ce tic, mordillant sa lèvre, et Carlisle se surprit à vouloir s’approcher à nouveau, juste pour le forcer à se redresser cependant. Au lieu de quoi, il se pencha pour servir un verre à Antropy, qu’il lui tendit avant de prendre le sien. Attendant le verdict implacable de Deborah sur son propre travail… Ou peut-être sur son mannequin du jour...
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- Youhou Deborah, regarde ce que je sais faire !
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________________________________________ 2017-11-20, 20:01 « Sarcasm: punching people with words. »

L'espace d'un instant infime, l'évocation d'éventuellement rougeurs sur ma peau séraphine me firent grimacer de dégoût. Quelle vision d'horreur que voilà ! songeai-je avant de me rappeler que j'avais fait le plein en faisant importer la meilleure marque qui soit. Alors mon visage se détendit, satisfait et se fendit d'un sourire détendu et confiant. J'hochai de la tête pour signifier que c'était entendu. Car j'étais évidemment trop géniale pour ne pas déjà avoir tout le matériel.
La conversation reprit, Carlisle détailla chaque agrément de sa villa et, croyez-moi, je m'y imaginais déjà amplement. Moi, un maillot de bain dernier cri, ma classe et personne d'autre, dans cette piscine turquoise ni trop chaude ni trop froide. Le sable fin et chaud sous mes pieds parfaitement manucurés. Une voiture, que dis-je un carrosse, mis à ma disposition avec chauffeur (et guide) intégré si je décidais de faire don à la populace locale de ma présence ou simplement d'explorer les alentours. La délicatesse de la cuisine traditionnelle pour caresser mes prestigieuses papilles. Et aussi, la tranquillité de la villa, par opposition au désordre et ses allures de chaos du manoir d'Aryana. Le paradis sur Terre, en quelque sorte.
J'avais assurément très bien choisi mon ami mais cela ne m'étonnait pas de moi. J'avais bu ses paroles et du champagne tout en l'écoutant dépeindre mes vacances de rêves amplement méritées - même si rares étaient ceux qui comprenaient mes talents et ma nécessité. Ce n'étai pas faute d'essayer de les expliquer à ces esprits étriqués qui nous entouraient.
- Il a de grandes chances pour que j'apprécie particulièrement cette villa et que mes vacances s'avèrent fort plaisantes, commentai-je avant d'avaler une gorgée de champagne à mon tour, accompagnant Carlisle qui venait de faire de même. 
C'était ben sûr une évidence. Mais une dame n'est pas censée s'enjailler comme une démente à la moindre bonne nouvelle. Je me devais de rester sobre dans l'expression de mes sentiments. Qu'il était bon d'être en gens de la même caste.
Mais cela ne pouvait guère durer pour toujours et Carlisle s'excusa pour récupérer notre freluquet. Pour m'occuper, je portai à nouveau la flûte à mes lèvres écarlates, laissant mon regard vagabonder sur la salle en attendant qu'il ne doive à nouveau se poser sur Antropy.
Non ne parlerons pas de son prénom car nous n'avons pas ses parents sous la main pour leur signifier leur mauvais goût. Même s'il eut été possible à môsieur de se rendre à la mairie et faire une demande de changement de nom. Dans des cas de force majeure pareille, la demande ne peut être rejetée. Mais nous n'en parlerons pas et nous contenterons de juger son allure déplorable en espérant qu'il sache mettre en avant la qualité des vêtements soigneusement choisis pour lui.
En attendant de nous y mettre, mon regard s'abreuvait de beautés, passant d'un chandelier aux finitions des lampes raffinement des bibelots et du reste du mobilier.
Puis ils revinrent, l'un élégant dans sa démarche, l'autre voûté comme un bossu. Nous laisserons le soin au lecteur d'apprécier lequel est qui.
Je me levai, reposant la flûte sur la table basse et joignis les mains en m'approchant d'Antropy pour l'étudier. Une fois de plus, mon travail était excellent. La coupe, la couleur, tout s'harmonisait parfaitement avec le teint, les yeux et la morphologie d'Antropy. Malheureusement, l'intéressé n'en avait absolument pas conscience.
Le plus dur restait à faire.
J'avais d'abord laissé le soin à Carlisle de faire part de son avis, demeurant muette mais l'oreille à l'affût. Et quand je fus certaine d'avoir l'entière attention des deux hommes, même s'il était certain que le plus jeune d'entre eux ne mettait pas toute la bonne volonté du monde à défiler pour moi (alors que non parlons bien de défiler pour MOI, Deborah, le dégoût mais surtout le bon goût personnifié), je repris la parole, plantant mes yeux assurés dans ceux bougons du rouquin :
- Votre ami a raison. Force est de constater une fois de plus que mon travail est excellent, pour ne pas dire parfait. Maintenant, repris-je en me tournant, l'air sérieux et grave vers Carlisle, que diriez-vous d'enseigner les notions de tenue et port de tête à votre ami ? Il me semble en effet que la tenue ne fasse pas tout et que la prestance manque cruellement à votre ami - sans vouloir vous offenser, il n'y a que la vérité qui blesse, ajoutai-je, nonchalante, à l'attention d'Antropy.
Carlisle approuva l'idée (ce qui n'a rien d'étonnant). Je fis alors un tour supplémentaire du jeune homme, notant cette fois ses défauts de prestance, faisant fi de l'incroyabilité de mon travail.
- Vous n'êtes pas Quasimodo que je sache alors tenez vous droit. Le menton haut et fier, pas replié sur votre gorge, cette expression vous donne l'impression d'avoir dix kilos en plus. Le regard confiant et assuré, comme si le monde était à vos pieds. Ce n'est manifestement pas le cas mais ça, personne n'a besoin de le savoir. Faites honneur à cette tenue ! Au genre d'hommes qui la porte et devenez ce genre d'homme. Carlisle le vaut bien. Vous ne pouvez décemment pas monter à cheval en sa compagnie en ayant l'air de chevaucher une mule.


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________________________________________ 2018-01-05, 20:44

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But above all, in order to be, never try to seem.

Rien qu’à voir la façon dont Antropy triturait le verre qu’il lui avait tendu, Carlisle pu deviner quelle pensée lui traversa l’esprit dès qu’elle se mit à scruter son travail. Le fait qu’il la singe dès qu’elle passait dans son dos aida fortement au demeurant, et Carlisle lui adressa un regard sévère. Aussitôt, le roux eue une moue, nez froncé, à deux doigts de tirer sa langue, ce dont il se retint apparemment quand Mademoiselle Deborah repassa dans son champs de vision.

-Mademoiselle Deborah a raison, souligna-t-il doucement, venant se placer dans son dos, posant une main à plat sur son dos courbé. Redresse-toi un peu….

Doucement, suivant l’arrondi de sa paume, il sentit les muscles de son dos se contracter et obéirent, non sans en ressentir une certaine satisfaction. Carlisle savait que ce genre de geste pouvait sembler totalement déplacé en dehors de ce type de contexte, et il remerciait Mademoiselle Deborah de lui avoir permit de l’exiger de la sorte. Le seul autre moment où il pouvait se le permettre, c’était lorsqu’ils jouaient tout deux, et que Carlisle enrageait de le voir ainsi ployé comme un miséreux que parfois, Carlisle le soupçonnait d’être.

Sa main passa lentement, allant de ses reins à sa nuque, assez rapidement pour ne pas être inconvenant, mais assez appuyé pour… Il ignorait pourquoi. C’était juste… Une volonté propre. Le rendre…. Un peu plus digne. De lui ? Ridicule. Pourtant c’était un peu ce qu’esquissait Mademoiselle Deborah et Carlisle ne l’avait pas reprit. Pourtant, il savait qu’il ne devait jamais laissé ce genre de phrase en liberté dans l’esprit du roux. Ce dernier avait…. Une imagination débordante concernant son professeur. Bien trop débordante.

-Ainsi, tu as l’air enfin fier d’être celui que tu es.

Le roux eue une moue, l’air de dire que cela ne lui plaisait pas, ou qu’il n’avait que faire de ce genre de considération, mais Carlisle ne put s’empêcher d’acquiescer, observant Mademoiselle Deborah dont l’oeil critique ne cessait d’évaluer les différents défauts du roux. Nombreux, au demeurant. Surtout lorsqu’il s’agissait de ses… Penchants concernant son professeur.

-Je suis tout à fait fier de ce que je suis, dans mes pulls. C’est quand même plus confortable que ça, marmonna-t-il, désignant sa tenue, mais sans se rabougrir, ce dont Carlisle lui fut gré.

-Il s’agit d’une tenue appropriée pour une activité désigné. Mademoiselle Deborah, je ne puis que vous remercier pour vos efforts et votre travail, vraiment.

Elle eue une sorte de moue, ravie, et Carlisle finit par revenir vers elle.

-Le paiement sera effectué dans l’heure bien entendu, précisa-t-il, avec suffisamment de nonchalance pour laisser sous-entendre le montant pharamineux dudit paiement, avant de porter son verre à ses lèvres.

-Je peux l’enlever maintenant. Je me sens pas bien...

Carlisle ne put s’empêcher de lever les yeux au ciel, avant d’acquiescer, ce qui fit bondir littéralement le roux vers le cabinet, plus que pressé de retirer tout cela dans les plus brefs délais. Malgré lui, Carlisle eue un soupire, avant de se tourner vers Mademoiselle Deborah.

-Je vous prie de m’excuser, malheureusement, nous ne venons pas tous du même monde, fit-il, avec une moue pincée. Si j’osais… Non, cela ne serait guère raisonnable.

Il prit une moue de doute, suffisante il le savait pour attiser la curiosité de la rousse, qui ne tarda pas à faire une moue insistante.

-Non, vraiment, cela ne serait guère raisonnable, après tout, il n’est pas votre client. Oh, eh bien soit, finit-il par minauder, se tournant pour lui faire face. Pensez-vous qu’il serait possible de lui trouver un costume, simple et sobre, comme vous savez en trouver de si parfait pour moi ? Je vous l’ai dit, cela ne serait guère raisonnable, laissez, affirma-t-il aussitôt, devant sa moue quelque peu surprise.

C’était là l’art de Carlisle, parvenir à manier le verbe au point d’en obtenir ce qu’il désirait. Deborah eue une sorte de moue indignée, avant de brusquement changé, son regard devenant presque acéré. C’était là l’une des grandes qualités de la rousse, cette capacité à toujours relever les défis. Tous les défis. Même les plus exigeants. Surtout les plus exigeants.
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________________________________________ 2018-01-05, 23:46 « Sarcasm: punching people with words. »

Des efforts et du travail. Il fallait au moins cela pour accepter de revêtir cet énergumène sans tenue ni considération. Par bonheur, j'étais mandatée par Carlisle et n'avais, de fait, pas de réelles obligation d'interagir avec l'autre qui gaspillait mon temps. D'ailleurs, je ne lui accordai plus un seul regard depuis que j'avais repris mes distances, à la place que j'occupais toujours lors de nos sessions. Toute mon attention était dirigée vers Carlisle que je gratifiai d'un sourire entendu. Son intelligence ainsi que son sens du style et des priorités étaient une bénédiction dont je remerciais le ciel chaque jour.
A présent, tout travail méritait salaire. Et ça, Carlisle ne l'oubliait jamais. Je n'avais même pas eu à ciller pour en avoir la confirmation. Tant de perfection au mètre carré, ça le donnait presque le vertige.
- J'en suis fort aise, annonçai-je dans une nonchalance partagée en levant mon verre, prête à le faire tinter contre le sien.
C'était, bien sûr, sans compter que sur l'autre et ses marmonnements intempestifs. L'agacement se peignit sur mes traits l'espace d'un instant. Les gens comme nous ne pouvaient manifestement jamais être tranquille 5 minutes. Et dire que j'avais les mêmes en triple à la maison... A cette pensée, je retins un soupir, m'agaçant d'autant plus que je les aimais, au fond, ces trois boulets qui drainaient mes forces et ma patience.
L'autre, en revanche, je n'avais aucun scrupule à le mépriser. Les amis de Carlisle peuvent certes être les miens mais j'ai mes limites. Et je ne suis pas aveugle, oh que non. Ses bondissements ? Je n'en avais pas perdu une miette, serrant les dents pour éviter à ma mâchoire d'atterrir sur le tapis. A son âge, on avait pas idée de se comporter de la sorte. Croyez bien que ce qui était mignon sur Riley quand elle avait 5 ans ne l'est guère sur un jeune homme de 25.
- C'est là une bien triste nouvelle, répondis-je au commentaire de Carlisle. Mais je vous en prie, osez donc, l'invitai-je à poursuivre, soudain intriguée.
Et soulagée d'avoir vu, du coin de l'œil, son ami nous laisser enfin seuls.
Pas trop tôt. L'air était tout de suite plus supportable.
Je ne manquai rien des minauderies aguicheuses de Carlisle qui lui conféraient un charme indéniable. Puis ce fut mon tour. A moi de lui rendre la pareille. Sourire confiant et tout aussi aguicheur aux lèvres, je m'avançai nonchalamment vers lui et posai une main amicale sur son bras.
- ... Faire la pro, je crois que c'est là la suite logique de votre pensée. Laissez faire la pro. Nous nous reverrons bientôt, très cher. Et votre ami est naturellement convié à ce nouvel essayage. Je vous appelle quand j'ai ce qu'il nous faut.
Le revoir - l'ami, pas Carlisle, pour ceux du fond qui dorment - ne m'enchantait guère. Mais j'aimais les défis et il en constituait un de taille. Carlisle l'avait compris, si bien qu'en fin de compte, tout le monde s'y retrouverait. Sauf peut-être Antropy mais ce n'était pas réellement mon problème. En fait, ça ne l'était pas du tout.
Nous nous embrassâmes à mon initiative puis je pris la direction de la sortie.
- Ne vous embêtez pas, je connais le chemin depuis le temps.
Sans me retourner je quittai la belle demeure Evil.

Fin


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