« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

Le Deal du moment : -20%
Sony PULSE Elite – Casque PS5 sans fil (blanc) ...
Voir le deal
119 €

Partagez
 

 Partie 1 : Dimitri & Ali

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
3 participants
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage


Invité
Invité

Anonymous



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-11, 19:08


Retiens cet enseignement :
un coup annule parfois le précédent.


Je crois que j’avais rarement eut autant envie de me débarrasser de quelqu’un. Il m’arrivait parfois de souhaiter l’extinction de certaines parties de l’espèce humaine ou bien de m’isoler suffisamment loin pour ne plus avoir à entendre le brouhaha incessant de la foule urbaine… Mais jusqu’à présent ils n’étaient qu’à un petit niveau en deça de ce qui était jusque là insupportable. Cet homme, cet… idiot bavard et naïf venait de dépasser le seuil limite que j’accordais aux être vivants et je ne pus que le pousser en avant devant son incompréhension totale à la situation. En plus d’être benêt voilà qu’il était sourd et aveugle – et pourtant, c’est lui qui tenait la torche !

Fuyant les araignées à toute allure, nous manquâmes de trébucher sur les marches en pierre et parvinrent jusqu’à une porte… Plantée là. Comme ça. D’accord, nous entrions clairement dans le côté paranormal de la situation – quoiqu’avoir un collègue en pyjama n’était pas non plus digne d’une sainteté d’esprit irréprochable. Je me massai les tempes devant tant d’illogisme, essayant de ne pas me mettre à paniquer sévèrement face à ce remue-méninge qui demandait toute ma concentration.

Evidemment, il abaissa la poignée et, évidemment, ce que nous découvrions derrière n’était en rien… ce qui était attendu. Ou presque. Parce qu’Ali sembla plus que ravi lorsqu’une jeune femme habillée d’une tenue affriolante à demi transparente s’approcha de nous dans un déhanché digne des séries télévisées.

« Oh bonjour, bienvenue à la Maison Rose où tout ce dont vous avez besoin vous est donné. Je suis Kenya, mais vous pouvez m’appeler comme vous voulez. »

Sans. Façon. Merci, au revoir ! Je m’apprêtai à refermer la porte d’un coup sec – au cas où cela annulerait cette vision éhontée et nous conduirait vraiment dans un lieu adéquat, mais Ali m’en empêcha et me poussa même en avant pour que je daigne suivre la jeune femme qui nous faisait signe. Est-ce que je le tuais tout de suite ou bien j’attendais encore un peu qu’il me montre de quoi il était capable ? A le voir sourire d’une manière aussi goguenarde, je sus que les ennuis ne faisaient que commencer : on aurait dit un enfant dans un magasin de jouets.

Je m’abstins de toucher quoique ce soit, y compris le verre qu’elle nous servis nonchalamment en cherchant à savoir qui nous étions. M’abstenant de répondre, fixant ce whisky comme si c’était une véritable plaie vivante, je laissai mon compagnon de route faire la conversation – ou bien essayait-il de draguer ? Je ne comprenais pas bien ce langage digne des années quatre-vingt. J’aurais juste apprécier ne pas sursauter lorsqu’une main se posa sur mon épaule et qu’une autre glissa le long de ma chemise.

« Oh, je vois que tu as amené des jouets… » Roucoula une jeune femme aux traits fins et aux cheveux peroxydés en désignant la hâche dans ma main. « Les trucs de bûcheron ça te branche ? J’adore les chemises à carreaux comme la tienne… »

D’accord. On allait très, très vite s’éloigner d’un ou deux mètres ou j’allais littéralement la jeter par-dessus le bar pour s'être approchée de la sorte. Les filles de nos jours n'avaient vraiment plus aucune manière !


Distance parcourue : 33+18 = 51/100km
Arme & objet - Dimitri : Une hache + une bible
Arme & objet - Ali : Une pelle à tarte + une corde


Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Ali Nacer

| Avatar : ❤Deniz Akdeniz❤




| Conte : Aladdin
| Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur

| Cadavres : 1599



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-12, 00:45


Retiens cet enseignement :
Il faut profiter de ce que la vie nous offre.



« A deux c'est mieux.La Bible y est proscrite.

Inutile de prendre des gants pour entrer»


C'était la devise pour entrer et de découvrir ce qui se cachait derrière la porte. Mais comment on ouvre des passages secrets ? On lève les bras vers le haut et on s'agite les mains en disant '' Sésame Ouvre toi''. Non pas cette fois-ci. On devait répondre a la devise . La réponse était tellement simple.  Il s'agissait de la maison de Rose. Je disais le mot de passe a haute voix. C'était une maison close que je connaissais, mais pas pour que les villageois de Storybrooke croyaient.  Je n'étais pas un client. Je n'avais jamais demander des faveurs de cet endroit. Parce que les rumeurs a mon sujet était fausse. Parce que les gens ne voyaient que l'homme déguisé : Le Prince Ali. 

Mais personne ne connaissait réellement le va-nu-pied.  Je préférais leur montrer ce déguisement parce que je préférais garder mes secrets pour moi et ceux qui sont vraiment intéressé a ma personne. Je venais souvent à cet endroit parce que j'avais une piste sur la mère de mon enfant.  Une piste qui m'avait il a quelque temps mener à venir demander des renseignements.. Parce qu'ici les identités des demoiselles sont protégées. Et c'était un excellent endroit pour se cacher et commencer une double vie.

J'avais abaissé la poignée . J'étais ravis de tombé dans une place que je connaissais. Est-ce que c'était la réalité ou j'étais prisonnier d'un rêve plutot plaisant a imaginer ? La première personne a nous accueillir était Kenya: la Barmaid. Une femme plutot plaisante a regarder . Mais voir des demoiselles en tenues légères n'avaient rien de vulgaire ou hors du commun. Parce que ce genre de lieu était fréquent dans mon vrai chez moi : Agrabah. Kenya était celle avec qui j'avais échangé le plus. C'était elle qui me fournissait des informations pertinentes , que je désirais savoir tout ça autour d'un petit verre d'alcool.  Oui parfois elle m'apportait dans une petite chambre privée mais c'était pas pour prendre du bon temps mais plutot pour être plus discret pour nos conversations.

Dimitri ne semblait pas enthousiasme comme à son habitude. Mais je commençais a m'habituer a son air grognon. Il ne semblait pas vouloir suivre l’hôtesse , je le poussais légèrement avec un coup d'épaule pour l'insister. Et toute facon il n'avait pas le choix c'était soit les demoiselles alléchantes ou on allait adopter le Gorille . Je refermais la porte derrière nous.

- Vous préférez le Gorille a ses demoiselles, si c'est le cas aller rejouer a Jumanji sans moi ,
prenez ça donc relax a la place..Profitez en ça pourrait vous inspirer pour vos ébats dans le lit avec votre femme. 

Je suivais donc l'hôtesse que je connaissais , je prenais le verre qu'elle nous servait jasant avec Kenya. Je buvais mon verre a grosses gorgées. Mais je refusais le deuxième qu'elle me proposait parce que je ne supportais pas l'alcool surtout l'alcool russe. J'en avais fait l'expérience en Russie dans la limousine. Depuis cette expérience chaque fois que je buvais plus qu'un verre de fort , je vomissais. 

Pendant que j'étais occupé a draguer ? Oui et non je lui demandais une faveur, pour prendre ce que je désirais dans la maison . C'est à ce moment , que je ne portais plus aucune attention a mon compagnon de route. Une demoiselle décidait de lui tenir compagnie a ma place ,pendant je disparaissais avec la jolie Barmaid dans une autre pièce cachée derrière un rideau..

Je revenais quelques minutes plus tard vers Dimitri avec une tenue sexy en main. 
L'Hotesse revenait aussi dans le décor, elle était toujours vêtue. Elle s'installait derrière son bar.

- Alors ta fait des connaissances intéressantes pendant ma petite absence?  Puis je lui tendais la lingerie pour qui la prenne. C'était un cadeau pour sa princesse et lui. Une preuve que je l'appréciais même si je lui déplaisais a cause de mon attitude boulet ça paraissait dans son visage. 


- Tient la Barmaid m'a offert ça .. Quand je lui dis que tu étais un peu coincé.. C'est pour ta femme, pour mettre un peu de piquant dans votre nid d'amour.  Tu m'en redonneras des nouvelles. Si ta envie d'autres choses la Barmaid m'a dit de me servir..  Il a des petites huiles a massage aux noix de coco si t'en veut . 




Distance parcourue : 33+18 = 51/100km
Arme & objet - Dimitri : Une hache + une bible
Arme & objet - Ali Une pelle à tarte + une corde


Invité
Invité

Anonymous



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-12, 19:32


Retiens cet enseignement :
un coup annule parfois le précédent.


Lorsque je le vis revenir, je su qu’il venait de faire une bêtise. Une sacrée bêtise… Et l’objet qu’il me tendit me le confirma. Qu’est-ce qu’il voulait que je fasse d’un ensemble en dentelles de couleur criardes ? Il pensait sincèrement que j’allais me promener avec quelque chose d’aussi affriolant comme si de rien était ? Si lui ne semblait pas dérangé, il était hors de question que j’accepte un tel cadeau empoisonné. Et puis, qui savait si ça n’avait pas été déjà porté ? Ou ce qu’on avait seulement pu faire avec ?

De dégoût profond je le lâchai à même le sol. Je poussai du bout des pieds les tissus pour les éloigner de ma vue. Hors de question de ramener ça à Anastasia, je l’aimais un peu trop pour la voir ainsi affublée des affaires d’une autre. Elle était bien assez jolie pour se suffire à elle-même !

Je lançai un regard noir à mon compagnon de route.

« Ne me dites pas que vous voulez rester ici ? » M’insurgeai-je, d’un ton pourtant mesuré. « Au pire, emmenez-en une mais je ne compte pas rester une seconde de plus dans cet établissement ! »

Ce n’était pas franchement le genre d’endroit où je voulais me retrouver enfermé. Si Ali souhaitait y passer un bon moment, qu’il fasse. Moi j’avais d’autres choses de prévues comme de retrouver ma famille ou même sortir de ce rêve étrange et illogique. Je poussai un soupir devant son air désespéré pour moi et le dépassai pour me diriger vers la porte.

C’est alors qu’une main se ficha dans le mur à côté de moi, me barrant le passage. M’apprêtant à injurier poliment Ali pour cette tentative de me retenir, je me retrouvai plutôt nez à nez avec un homme bourru, barbu, puant l’alcool et pourvu d’un chapeau de cowboy comme les vieilles séries des années soixante. Il m’agita une feuille sous le nez.

« C’est toi. » Gromella-t-il. « Ta tête est mise à prix. »

Effectivement, il s’agissait bien de mon portrait sur son bout de papier. Je fronçai les sourcils en reculant d’un pas, n’appréciant pas vraiment la présence de cet homme à une si faible distance. L’envie de brandir ma hache me démangea outre raison.

« Soit tu te livres gentiment, soit je t’embarque par la force. Mais la petite récompense pour ta tête va me faire de jolies bottines en cuir de serpent ! »

Mais d’où il sortait celui-là ?



Distance parcourue : 51+4-10 = 45/100km
Arme & objet - Dimitri : Une hache + une bible
Arme & objet - Ali : Une pelle à tarte + une corde


Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Ali Nacer

| Avatar : ❤Deniz Akdeniz❤




| Conte : Aladdin
| Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur

| Cadavres : 1599



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-12, 23:27


Retiens cet enseignement :
Les idiots peuvent être surprenant parfois..

Plus le temps passait , plus que je commençais a m'ennuyer contrairement a mes amis de toujours , Dimitri était ennuyeux. Il était décidément incapable de s'amuser. C'était un cas desespéré. Il refusait mon petit cadeau . Il croyait sans doute que je l'avais dénicher sur une demoiselle. Mais non cette tenue était propre .. dans l'arrière du rideau il avait une petite boutique d'objets, de jouets et de tenues osés a vendre.  Mais mon compagnon de jeu préférait laisser tomber le morceau de tissus et me lançait un regard noir.  Je restais indifférent a ce regard tout simplement , parce que j'avais l'habitude de tomber sur des gens dans son genre et tout parce qu'il m'en fallait beaucoup plus pour me faire sentir mal a l'aise ou me froisser.  Je prenais le tissus au sol, le redonnait a la Barmaid et je m'excusais de son attitude .  Ensuite il me disait que je pouvais apporter une demoiselle. Il ne pouvait pas me dire la même chose pour l'adorable Gorille ?  J'avais de la place pour lui en plus dans ma cour. Il me disait aussi qu'il ne voulait pas rester non plus. C'était quoi son problème ? Il avait peur d'être tenter ou de se faire prendre dans ce genre d'endroit .  Je lui répondais donc : - Rester ici c'est un endroit plaisant qui me rappel d'ou je viens mais non je ne compte pas rester ici. Je dois retourner chez moi retrouver ma fille.   Donc allons y .. 

Alors que Dimitri faisait le premier pas pour sortir et que je le suivais de près. Un homme baraqué nous bloquait le chemin. Il montrait de portrait-robot de Dimitri . Le dessin était très bien réussit. Le cow-boy parlait de rançons, d'arrestation. Je souriais bêtement en arrière. Pourquoi ? Parce que décidément nous avions des points en commun. Nous étions tous les deux des personnes ''pas net''. Nous avions des crimes a notre actif.  L'homme parlait de bottine en serpent. Je grimaçais parce que je n'appréciais pas particulière cet animal qui me rappelait Jafar. Le type costaud essayait de faire son intimidant, malgré le fait que nous étions plus petit et moins musclé que lui. Même si j'étais quand même une pièce d'homme. Il ne faisait pas peur.Il avait la carrure des gardes du Sultan.  J'ai quand même affronté pire que lui, comme un puissant sorcier qui se transformait en un géant cobra.


- Je vous en débarrasse, vous voulez vous battre ou si vous rendez c'est pas plus grave je viendrais vous faire évader les serrures de cellules sont vraiment facile a ouvrir. Sinon j'ai un contact dans la police.. Je fis un clin d'oeil a Dimitri.  J’arrachais la hache des mains de mon compagnon d'aventures. Avant de donner un coup de hache dans l'épaule de l'homme qui cherchait les problèmes.Je visais très bien,je ne voulais pas le tuer non plus ! L'homme se mettait a crier de douleur et avait une hache planté dans l'épaule. Du sang s'écoulait de sa blessure. Sadique? A mes heures , par contre je n'étais pas un tueur mais j'avais de l'expérience dans le combat et les fuites improvisées. Puis ,je levais une jambe pour donner un coup de pied sur son entre-jambe. Comme tous les hommes s'étaient notre point sensible et celui-ci se pliait en deux.  Il commençait a jurer. -  Tu sais si ta besoin d'argent facile , être voleur c'est facile que chasseur de primes..Donc si j'ai du temps je viendrais te donner quelques conseils ..Je disais au type blessé. Je regardais Dimitri intrigué -   Finalement je crois qu on n'est pas si différent vous et moi.. Je pensais que votre femme aimait les princes charmants, mais décidément elle aime les voyous.. 

 Je me retournais vers Kenya - Bébé tu crois que tu peux t'occuper de lui il aurait besoin de glace, de pansements et d'un peu d'amour.   Je poussais Dimitri vers la sortie, mais avant de partir une demoiselle mettait une main sur mon épaule. C'était la même femme qui avait abordée Dimitri un peu avant. - Je peux venir avec vous ? Je regardais ''mon ami'' un instant. Il m'avait permis d'apporter une demoiselle. Je prenais donc sa main dans la mienne. - Bien sur .. 




Distance parcourue : 51+4-10 = 45/100km
Arme & objet - Dimitri : Une hache + une bible
Arme & objet - Ali Une pelle à tarte + une corde


Invité
Invité

Anonymous



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-13, 22:05


Retiens cet enseignement :
un coup annule parfois le précédent.


Je ne savais pas vraiment si considérer Ali comme quelqu’un qui pouvait me ressembler était une bonne ou une mauvaise chose. Il venait de me tirer d’un faux pas en faisant mine de lire une bible – dit comme ça, rien n’était franchement crédible – mais j’avais du mal à le remercier ou à le considérer comme saint d’esprit. Les aventures précédentes m’avaient appris à me méfier de lui et je marmonnais un remerciement du bout de lèvres et d’un hochement de tête gratifiant. J’espère qu’il ne voulait pas des lauriers ou de ce genre de chose car j’étais la dernière personne à pouvoir les lui proposer ; il ne fallait pas pousser la grand-mère dans les orties.

La blonde peroxydée qui lorgnait sur le manche de ma hache – il n’y avait rien de sous-entendu là-dedans mais, maintenant que vous venez de penser à cette image, je l’imagine aussi – nous tint compagnie pour sortir une fois pour toute de la maison rose. Plus jamais je n’allais mettre les pieds dans cet établissement, c’était certain : les femmes de petite vertue ne m’intéressaient guère et j’osais espérer qu’elles savaient faire autre chose que de s’adonner à cela. La mairie était folle d’avoir toléré un tel endroit, et qu’on ne vienne pas me dire que cela permettait à certaine de vivre autre part que dans la rue ; ce n’était pas une vie, ça. Sûrement pas. Au moyen-âge peut-être mais plus de nos jours.

La jeune femme gloussa en compagnie de mon ami de route et je la vis soudain se claquer le cou de la paume de sa main. Fronçant les sourcils, elle se mit à crier et à sautiller sur place, le visage livide avant de parvenir à rouvrir la bouche pour nous dire quelque chose d’intelligible :

« Moustique un ! »

…. Ou pas. Tandis qu’elle se mettait à trembler comme un animal appeuré en s’agrippant au pyjama d’Ali, une voix résonna au-dessus de nos têtes.

« Pour passer cette étape, vous allez devoir répondre à une vérité posé par votre nouveau partenaire. »

Nouveau partenaire ? Qui donc ? La fille ? Je passai de l’un à l’autre avec la très nette impression que la Maison Rose ne contenait pas que de l’air imbibé de luxure, mais peut-être d’une ou deux autres drogues… Je me pinçai l’arrête du nez à nouveau, un soupir plus tard en essayant de faire comprendre à la demoiselle qu’elle devait poser une question au type à côté d’elle. Incertaine, sans doute pleine de doute et effrayée de ne plus pouvoir parler correctement, elle hésita plusieurs fois avant d’arriver à quelque chose de... potable, dirons nous.

« Femme votre passée est où oui si et marié déjà vous êtes vous ? »

Cela pouvait convenir, sans doute. Espérons. Nous avions visiblement encore du temps à perdre…


PNJ : 15 mots !
Distance parcourue : 45+5 = 50/100km
Arme & objet - Dimitri : Une hache + une bible
Arme & objet - Ali : Une pelle à tarte + une corde


Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Ali Nacer

| Avatar : ❤Deniz Akdeniz❤




| Conte : Aladdin
| Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur

| Cadavres : 1599



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-13, 23:14


Retiens cet enseignement :
Ne jamais parler de Jasmine !

Après l'épisode de chasseur de primes que j'avais mis hors d'état de nuire et qui serait entre de bonnes mains avec Kenya. Et le remerciement de Dimitri avec sa tête.  Je sortais de la maison rose pensant que nos chemins allaient se séparer . Qu'il allait rejoindre sa petite famille et moi mes bébés. En plus de ramener une demoiselle a la maison. A moins qu'elle préférait suivre Dimitri mais elle risquait de mettre la pagaille. Et je n'avais pas envie que ca soit de ma faute parce que j'ai accepté qu'elle suive un de nous. Quand soudainement elle paniquait s'agrippant a mon Pyjama, sans raison. Sa raison s'était un dangereux moustique que je n'avais pas remarqué. Ca y est une autre femme folle ! Pourquoi il fallait que je tombe encore sur une cinglée. Je décidais de l'aider a se relever et essayant de la calmer. Puis il eut soudainement une voix qui sortait de nul part.  Incertain, je croyais un instant qu'on avait mis de la drogue dans mon verre. Et si c'était le cas, j'irais faire une plaide a la Reine. Toute facon , c'était sa faute si j'accumulais des échecs et que le malheur me courrait après. Ça c'était une autre histoire. La demoiselle commençait a parler d'une autre manière..Ces mots étaient dans une des langues que je parlais. Parce qu'elle ne parlait pas arabe. J'essayais de comprendre, elle inversait des mots..

 En ce moment, elle me rappelait la Princesse qui m'avait embrasser au Royaume d'or. Elle avait un trouble du langage mais ses baisers étaient exquis.Elle me demandait si j'étais marié et qu'est-ce que ma fiancée était devenue. Pourquoi elle voulait savoir ça ? Oui je désirais être marier plus que tout. C'était un de mes projets , je voulais un mariage grandiose , spectaculaire que tout le monde va parler. Je veux une cérémonie princière et traditionnelle avec mes origines.  Ma fiancée ça aurait pu être Jasmine mais j'avais eu la trouille de ne pas être a la hauteur de la Princesse exigeante et prendre les responsabilités de son père. Notre histoire était complexe.. Me donnait la migraine. A plusieurs reprises je voulais mettre un terme a mes tourments pour elle mais impossible d'oublier mon premier amour ,malgré tout ce que j'ai essayé. Sa question me rendait mal a l'aise. Je n'aimais pas parler particulièrement  de ma souffrance intérieure. 

- Je ne suis pas marier, ma fiancé et moi sommes en conflit pour le moment.


Ma réponse était courte. Mais elle n'avait pas besoin de nous détaillé tout sur mon coeur blessé.  Je soupirais , et je n'avais qu'une envie que cette aventure se termine parce que parler de mariage .. m'avait chagriner et briser ma petite joie de vivre. 

- On peut y aller la ?  Je m'exclamais avec impatience et froidement.

Elle se retournait vers Dimitri..pour lui poser une question.

-Valentin-St journée la pour épouse votre avec faire vous aimerez cadeau et activité quel ?

Disait-elle a mon compagnon en caressant doucement le bras de celui-ci. Elle se doutait qu'il était marié car sinon pourquoi l'aurait-il repousser ?




PNJ : 15 mots !
Distance parcourue : 45+5 +10= 60/100km
Arme & objet - Dimitri Une hache + une bible
Arme & objet - Ali Une pelle à tarte + une corde


Invité
Invité

Anonymous



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-14, 00:56


Retiens cet enseignement :
un coup annule parfois le précédent.

Cette question avait, semble-t-il, atteint un peu plus mon compagnon de route que ce qu’il voulait faire croire. Lui qui était si guilleret depuis le départ semblait soudain bien pressé d’éviter ces questions indiscrètes sur nos vies privées respectives. Je lui accordai un regard avant de reporter mon attention sur la jeune femme qui venait se s’adresser à moi. Comment avait-elle dit s’appeler déjà ? Je ne me rappelais pas lui avoir demandé son prénom, ni même qu’il m’intéresse à vrai dire, mais cela aurait été un peu plus poli de savoir à qui j’avais affaire. Savait-on jamais qu’elle dévoile des informations ou les utilisent contre moi…

Elle attendait ma réponse, visiblement, et je fini par soupirer avant de lui répondre, me passant une main dans la nuque.

« Je n’aime pas la Saint-Valentin. » Avouai-je. « Donc je pense que nous allons rester chez nous ou… sortir manger dans un… Restaurant ? »

J’avais haché mes mots sous le regard sévère qu’elle m’avait adressé, me demandant bien pourquoi elle prenait si mal le fait que je n’apprécie pas cette fête commerciale. Il ne me semblait pas qu’Anastasia était fleur bleue ou attentive à ce genre de choses, je n’avais pas besoin de raisons particulières pour lui faire plaisir ou lui dire les sentiments que j’avais pour elle… Bien sûr, le kidnapping d’Abigaëlle avait un peu aidé à mettre des choses au clair mais elle le savait désormais, non ? Enfin, m’est d’avis qu’elle le saurait encore plus si on finissait par réellement se marier mais… Nous n’en étions pas à parler de ça. N’est-ce pas ?

La voix résonna de nouveau au-dessus de nos têtes :

« Une vérité répondue et vous pouvez passer à l’étape suivante ! »

Trop aimable. La jeune femme sursauta en entendant le son grave et porta la main à sa gorge.

« Ça comme parler de assez avais j’en ah ! » S’exclama-t-elle, avant de s’interrompre… et de se mettre à couiner en reniflant. « Jamais s’arrêtera ne ça ! »

Elle dissimula son visage derrière ses mains et se mit à sangloter entre nous deux. Je levai le regard vers Ali comme si la solution de cette situation pouvait être écrite sur son front. A son air étonné je désignai la jeune femme du menton ; il devait faire quelque chose peut-être ? Il saurait mieux que moi, je ne savais pas franchement consoler les gens et je préférais les éviter comme la peste. J’avais suffisamment à faire de mon côté pour m’occuper des déboires des autres ; mon travail complétait bien cette part empathique qui me servait à résoudre des crimes au quotidien.

Mais avant que nous puissions tenter quoi que ce soit le sol sembla soudain se liquéfier sous nos pieds et voilà que je m’enfonçai jusqu’aux genoux dans une espèce de… sable mouvant ?! Les bras écartés du corps, la respiration coupée, je toisai des pieds à la tête les deux protagonistes qui restaient penauds en face de moi ; quoiqu’Ali s’enfonçait lui aussi dans le bitume. La jeune femme en revanche restait parfaitement plantée sur un sol dur et releva la tête pour nous regarder l’un, puis l’autre.

« Qu’est-ce que c’est que ça encore ? » M’exclamai-je.

Je tentai de m’extraire sans y parvenir, mes jambes bien trop lourdes s’enfonçant même plus rapidement à mesure que j’essayai de bouger pour me dégager. Je posai une main sur le « sol » où se trouvait la demoiselle et elle recula vivement d’un pas. Aussitôt ma main traversa le sol comme dans du beurre. D’accord. Très bien. Pourquoi est-ce que le goudron se mettait à fondre ? Qui avait osé sous-payer des employés à cet endroit précis ?! La fille ne paru pas étonnée ni même choquée. Au contraire, elle leva la paume et l’agita dans un au revoir accompagné d’un petit sourire sadique sur les lèvres.

Je levai les yeux au ciel en constatant que je glissai de plus en plus vite. Et au moment où ma tête allait y passer elle aussi, je sentis quelque chose vibrer dans ma poche… Mon téléphone ? Quelque chose ?! Impossible de le savoir. Je pris une grande inspiration et le bitume m’engloutis comme si je n’avais jamais existé !



Distance parcourue : 60 + 10km + 5km = 75/100km
Arme & objet - Dimitri : Une hache + une bible
Arme & objet - Ali : Une pelle à tarte + une corde


Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Ali Nacer

| Avatar : ❤Deniz Akdeniz❤




| Conte : Aladdin
| Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur

| Cadavres : 1599



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-15, 02:19


Retiens cet enseignement :
Le sable c'est toute ma vie..

Dimitri répondait a sa question. Il ne semblait pas apprécier les symboles qui représentait l'amour contrairement a moi, mais le chercher un peu trop me faisait détester tout ce qui symbolisait ce sentiment. Il disait qu'il n'aimait pas la St-Valentin. Qu'il allait sans doute se faire un petit restaurant avec sa femme. Moi j'allais sans doute  passer du temps avec ma petite Princesse, bien tranquille ou me laisser influencer par mon ami Jace et le suivre dans ses idées folles pour animer cette journée.  Maintenant qu'on avait accomplit notre petit défi pour la voix mystérieuse, on pouvait partir chacun de nos cotés ? Mais non comme d'habitude il fallait que je gère une crise de femme. Quand la demoiselle essayait de parler, elle parlait toujours inverser. Désespérée, elle se mettait a sangloter. Surpris, je restais de marbre quelques instants , parce que d'habitude c'était moi qui était dans cette position parce que la vie et les femmes étaient dures avec ma petite personne. Dimitri me jetait un regard , qui parlait. Qui signifiait que j'étais la solution miracle a notre souci. C'était vrai, j'étais sans doute le plus empathique de nos deux et celui qui allait devoir la consoler. Je m'approchais donc d'elle, mais à mon premier pas s'enfonçait dans le sol. Qu'est-ce qui se passe encore ? Je tournais la tête pour m’apercevoir que mon compagnon russe s’enfonçait lui aussi ..

Au fond de moi je paniquais parce que ça me rappelait quand Jafar m'avait expédier long dans le désert et que j'avais affronter une tempête de sable. Liberer mes camarades.  Pourtant j'adorais le sable ! Le sable s'était toute ma vie la preuve mon enfant était une descendance d'une puissante sorcière du sable. Devant Dimitri je gardais mon sang froid, je fermais les yeux me laissant glisser vers cet endroit encore inconnu..Ne voyant pas le sourire sadique de la demoiselle et c'était mieux pour moi car j'aurais pu troubler et me faire des scénarios dans ma tête. Parce que les femmes étaient une de mes peurs.. J'avais été quand même traumatiser et souvent fondus en larmes pour elles.

On se retrouvait dans un endroit qui avait une forte odeur familière : Des poubelles ! J'avais l'habitude maintenant des odeurs désagréables. J'avais il a quelques mois disparus dans un nuage puant, j'avais tomber dans l'eau des égouts et j'avais fait connaissance a ma fille parmis mes ordures de Noel.  Je regardais autour de moi, il n'avait pas d'enfants au horizon. On ne sait jamais les bébés ca pousse partout les ordures ! Non il avait juste Dimitri..et cette bible que je tenais. Debout , je décidais d'ouvrir la bible . Elle avait peut etre une utilité magique pour nous sortir de là. Quand je l'ouvrais, on pouvait entendre des anges chanter. Je souriais sous ses chants parce que ça me rappelait mon ami et mon protecteur Jace qui était un demi ange. Puis je refermais la bible..Puis je regardais Dimitri de la même manière qui m'avait regarder j'attendais un miracle de sa part.. Parce que je commençais a m'ennuyer de mon poupon..



Distance parcourue : 60 + 10km + 5km = 75/100km
Arme & objet - Dimitri Une hache + une bible
Arme & objet - Ali Une pelle à tarte + une corde


Invité
Invité

Anonymous



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-15, 11:55


Retiens cet enseignement :
un coup annule parfois le précédent.

Qu’est-ce que c’était encore que ces chants qui s’extirpaient de la bible ? Décidément, rien ne fonctionnait correctement dans toute cette histoire. Je poussai un soupir, haussant les épaules face à sa question silencieuse mais le suppliant du regard de fermer ce fichu livre. Ou de le laisser par-là, cela nous ferait des vacances.

La lumière se coupa nette, nous plongeon dans une obscurité qui ne nous avait pas manquée. Pestant contre l’eau grouillant au fond des ordures, je tentai de grimper un peu pour au moins me redresser. L’odeur était atroce et je risquais de ne pas pouvoir me la retirer de la mémoire avant très longtemps… Cela me rappelai Noël et la disparition des cadeaux pour retrouver tranquillement nos sacs poubelles au chaud sous le sapin. Sacrée découverte, même Abigaëlle n’avait pas apprécié.

Soudain, un énorme bruit sourd résonna dans toute l’enceinte, faisant trembler les murs et vibrer le sol. Je manquai de perdre l’équilibre et glissai de quelques pas mal assurés, essayant de ne pas percuter mon compagnon de route qui ne devait pas en mener plus large que moi. Il me fallu plusieurs secondes pour comprendre ce qu’il se passait et une de plus pour sentir l’adrénaline bouillir dans mes veines : nous étions dans un compacteur ! Fallait-il vraiment que nous reprenions la scène culte de Star Wars à cet instant précis ?!

J’eu envie de pousser un juron mais je me retins en distinguant les tas d’ordures en train de se rapprocher lentement mais sûrement autour de nous. Le roulis mécanique et le vrombissement des moteurs étaient assourdissants et je pouvais à peine parler ou entendre ce qu’Ali voulait bien me dire. Moi qui avait tant demandé à ce qu’il se taise, j’étais servi.

Au fond apparu tout à coup une lumière verdâtre, un petit panneau grésillant avec un pictogramme qui ne signifiait qu’une chose : SORTIE. Aussitôt je saisi le pyjama de mon acolyte et l’attirait dans la direction du panneau. Peut-être y aviat-il une porte ou quelque chose qui nous permettrait de ne pas finir broyés l’un comme l’autre ? Je n’étais pas du genre à garder espoir, mais il était hors de question que je meurs dans une poubelle géante au milieu des ordures ! J’avais un minimum de dignité, quoi qu’on dise.


Objectif : 400 mots.
Distance parcourue : 75/100km
Arme & objet - Dimitri : Une hache + une bible
Arme & objet - Ali : Une pelle à tarte + une corde


Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »

Ali Nacer

| Avatar : ❤Deniz Akdeniz❤




| Conte : Aladdin
| Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur

| Cadavres : 1599



Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________ 2018-01-15, 13:15


Retiens cet enseignement :
On est dans un jeu !


Décidément mon compagnon de route n'était jamais content et satisfait. Durant tout le voyage il n avait aucun sourire et aucune joie de vivre. Je commençais a me demander comment sa femme arrivait a le faire sourire ? Annatasia devait avoir un don magique! Il me regardait d'un air ferme cette foutue bible et balance là. Pas question moi je veux un souvenir ! Je décidais de la fermer et de la garder contre moi. 

C'est a ce moment là qu'il a eut ce bruit horrible qui me faisait mal aux oreilles. C'était insupportable. Les murs se refermaient contre nous. On allait crever..Enfin peut-être Dimitri mais pas moi, moi je devais mourir un jour de tempête et me baigner dans une rivière de sang. Mais j'étais quand même inquièt parce que j'allais me retrouver avec un cadavre et prisonnier de cette place là et plus jamais revoir mon bébé. Ni même mon petit singe. Et le plus triste dans l'histoire c'est que je ne serais jamais marier. 

Avec ses murs qui se refermait sur nous , je n'arrivais a réfléchir . Ni même a prononcer un mot. Puis a un moment Dimitri m'attrapait par le Pyjama pour me ramener vers une porte de sortie, alors qu'on était presque écraser par les murs. Quoi ? Il me sauvait la vie. C'était une preuve qu'il m'appréciait malgré tout ! Que je n'étais pas si insupportable que cela. 
Soudainement le sol s'ouvrait sous nos pieds, les poubelles tombaient comme nous d'ailleurs. On se retrouvait donc a flotter dans l'espace . Au lieu de la terre, on voyait une ile au loin.. 

- Regarde Dimitri on dirait l'ile de Jumanji.. 

C'était dont ça on était prisonnier d'un jeu..

_________________________________________________________________________________________________


               Final pour moi




On s'éloignait de plus en plus de l'ile Jumanji , est-ce que c'était un rêve tout ça ? Une aventure comme la plupart de mes aventures ou l'impossible est possible ! J'avais l'habitude des quêtes étranges qui était tirer par les cheveux après tout je suis le type qui a eu un génie du futur , qui viendrait d'un monde Post Apocalyptique. C'est à ce moment qu'un vaisseau avec un pilote , a l'intérieur on pouvait Stich l' extraterrestre bleu. Je soupirais parce que ce n'était pas la première fois que je le rencontrais. Je l'avais deja croisé lors d'une balade en tapis volant avec Jasmine avant mon mariage. Il avait tenter de draguer ma Princesse. Il nous ouvrait la porte de son vaisseau.. Je regardais Dimitri : - Aller vient c'est notre billet de retour si on veut retrouver nos petites familles attention il a tendance a draguer les femmes des autres.. Ne lui présente pas Annatasia..  Je nageais jusqu'a la navette et j'entrais a l'intérieure ..Direction Storybrooke..  J'aimerais tant pour lui proposer qui me ramène a Agrabah avec Kenza et Amira. Mais c'était impossible malheureusement

________________________________________________________________________________________________
                                                                             




Contenu sponsorisé




Partie 1 : Dimitri & Ali - Page 2 _



________________________________________

 Page 2 sur 2
Aller à la page : Précédent  1, 2

Partie 1 : Dimitri & Ali





Disney Asylum Rpg :: ➸ Les Pépites de Disney RPG :: ⚔ WC Publics :: ➹ Précédemment :: ➹ Archives Rp