« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)
« Pour qui sssont ces ssserpents qui sssifflent sssur vos têtes. Un problème de dikssion ? Quel problème de diksssion ? »
Fiche Technique.
Surnom(s) → Son altesssssse ou Suce-boules. Un seul seulement est ironique. Age → 41 ans.
Occupation / Emploi → Conseiller spécial du PDG de Prince, Jean & P. Et pour ceux qui se poseraient la question le "P" n'est pas pour Percy, mais bien pour "Pété de thunes". Ingratitude, ingratitude...
Votre personnage est-il tiré d'un conte ? : Robin des bois Si oui, lequel et qui est-il dedans ? : Le merveilleux Triste Sire.
Vous.
Caractère → Ce qui ressort avant tout autre chose de la personnalité de Percy Flowers, c’est sans conteste son obséquiosité sirupeuse, dégoulinante, son faux-derchisme militant. A tel point d’ailleurs que ses collègues les moins lettrés l’affublent de surnoms tous plus inventifs les uns que les autres : Suce-boules, Per-suce-boules, le Nettoyeur de l’Extrême, ou Ponce-fion, son préféré. Il ne s’en offusque pas, bien au contraire, car s’il a une liste de défauts longue comme un jour sans pain, l’ingratitude n’en fait partie : il sait ce qu’il doit à l’art subtil de la flagornerie. Art auquel il s’applique jour après jour à donner ses lettres de noblesse, avec un succès certain. Pour compléter agréablement le tableau, c’est également une langue-de-pute hors catégorie. En effet, quoi de plus harmonieux qu’une langue de pute pour boulpomper avec la plus grande efficacité ? Moquer, ridiculiser, calomnier, humilier… autant de mots qui sonnent comme un opéra de Wagner à ses oreilles délicates. Les bons sentiments ? Très peu pour lui. L’égalité ? Ça lui file des ulcères. La bienveillance ? Il se torche avec et file le reste aux bousiers. La compassion ? Ça le fait gerber. Abondamment et avec des morceaux. De nature solitaire (en partie parce que pas grand monde ne peut le blairer - allez savoir pourquoi - mais pas seulement), il aime à péripatétisser, ce à quoi il attribue, selon lui, ses plus brillantes idées. Comprenez, ses plus retorses. C’est d’ailleurs un fin stratège, extrêmement rusé, à l’intelligence aiguisée. Et comme il n’y a que peu de choses auxquelles il ne s’abaisserait pas pour arriver à ses fins, cela fait de lui un adversaire à ne surtout pas sous-estimer.
Une Particularité ? → Colérique, il serait Iznogoud. Pédophile, Littlefinger. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour lui ça veut dire beaucoup. Il a également un problème avec l’alcool. Il finit fréquemment bourré sans se souvenir comment il a commencé à boire. A tendance à susseyer une fois fin rond, et n'assume pas du tout. Mais alors pas du tout. Mieux vaut éviter de lui faire remarquer son défaut de prononciation. Suce-ceptible le bonhomme.
Les Pouvoirs → Expert en confusionnisme. Il n'a pas son pareil pour retourner le cerveau de ses interlocuteurs, pour semer le doute jusque dans les esprits les plus solides, les amener à remettre en question leurs convictions les plus intimes. A une autre époque on l'aurait probablement cramé pour sorcellerie.
Votre Vie dans le monde des contes.
Notre histoire se déroule en 1890. Ou bien est-ce en 1891 ? A cette époque, le règne du roi Richard Cœur de Flan, monarque débonnaire jusqu’à la niaiserie à qui son bilan catastrophique a fini d’ôter toute crédibilité, touche à sa fin. Dieu merci. Pour sauver la face, il s’invente une mission divine ; il va partir vers l’Est pour évangéliser du païen à grands coups de tatane dans le beignet. Funeste supercherie vouée à l’échec, l’observateur sagace ne manquant pas de voir l’événement pour ce qu’il est réellement : une scandaleuse démission politique, purement et simplement.
La lourde tâche de redresser le pays est alors confiée à son frère Jean, qui est aussi courageux et visionnaire que son prédécesseur était mou et myope. Et c’est heureux, tant la situation paraît hors de contrôle. L’assistanat n’a jamais atteint pareil niveau, avec des hordes de pouilleux envahissant les rues, la timbale à la main, venant quémander des minimas sociaux pendant que la majorité silencieuse, honnête et travailleuse, peine à joindre les deux bouts. L’ensauvagement de la société est chaque jour davantage perceptible, mettant en péril l’attractivité et la compétitivité de tout un pays. Pire, voilà bientôt que ces rebuts de la société se retranchent dans des ZAD et qu’ils menacent l’ordre royal, créant par là même des zones de non-droit qui devraient faire honte à la nation tout entière.
De tous ces squats répugnants, aucun n’est plus symbolique du laxisme d’État ayant jusqu’ici caractérisé le règne de Richard Cœur de Flan que la forêt de Sherwood. En effet, c’est dans ces bois maudits que vit (et sévit) Adam de la Halle, troubadour sans talent et zadiste pagano-gauchiste, que l’Histoire retiendra très certainement comme l’inventeur de la fake news. De foire en foire, il calomnie, il salit, il attise la haine et la dissension, il crache son venin à qui veut bien se le prendre en pleine tronche. Mais plus répugnant encore, il porte aux nues Robin des bois, l’auto-proclamé leader des tuniques-taupe, un influenceur médiocre incapable de réaliser qu’il n’est qu’un pantin à la solde de puissances étrangères cherchant à déstabiliser ce roi si exceptionnel. Certes, il tire pas trop mal à l’arc, mais là encore, il n’y a pas de quoi non plus fouetter un baudet. C’est pas Sébastien Flute, le mec.
Dans tout ce chaos, le souverain, et avec lui le pays tout entier, ne peut réellement compter que sur une seule personne : son plus fidèle conseiller, le bien mal-nommé Triste Sir. A la fois pierre angulaire et clef de voûte du gouvernement, travailleur infatigable, n’hésitant pas à sacrifier sa postérité sur l’autel de la grandeur de l’Angleterre, il est le serpent qui persifle à l’oreille du roi. La politique de rigueur salvatrice ? C’est lui. La théorie du ruissellement à partir de la personne royale qui finira bien tôt ou tard par inonder le bas-peuple de centimes d’écus d’or ? C’est encore lui. L’instauration de peines haut-de-plancher pour tous les crimes, quels qu’ils soient ? C’est toujours lui. Un serviteur du royaume comme on n’en fait plus, et comme on n’en fera plus jamais, capable de prendre les coups sans broncher et indifférent à la place qui sera la sienne dans les livres d’Histoire. Le meilleur d’entre nous, tout simplement.
Votre Vie à Storybrooke.
Il enfila sa tenue, un pantalon taupe et une chemise kaki avec une tâche de sauce qu’il ne verrait pas. Il n’avait pas dormi depuis plus de quarante-huit heures, ne s’était pas rasé depuis une semaine, et n’avait mangé qu’un hamburger par jour depuis des jours et des jours maintenant. Il était même persuadé qu’il couvait une jaunisse. Mais il aurait le temps de s’en occuper plus tard. Il jette un coup d’œil à son reflet dans le miroir : une gueule d’enterrement assorti à sa tenue d’enterrement, la dignité en moins. Parfait. Une heure plus tard, le voilà qui traîne dans le rayon jardinage comme prévu, attendant son heure. Une porte qui s’ouvre, une braillée tonitruante : « BYERS ! MON BUREAU, MAINTENANT ! » C’est le signal. Ses savates traînent sa misère jusqu’au bureau sus-nommé ; ils sont tous là, sauf la mamma. Le type, l’avocat du type, les gusses de l’assurance et le braillard. Sacré tableau. Les faits sont rappelés par l’avocat du type, sous les assentiments des gonzes de l’assurance. L’achat de la tondeuse, l’absence de la moindre mise en garde, la première tonte, les arpions qui sautent, les cris de goret qu’on égorge, les conséquences dramatiques – pensez donc, pour un antipodiste, c’est vraiment handicapant. Tentative de défense, pour la forme : « Mais le manuel d’util... » Interruption soudaine, avis de tempête salivaire, gaffe aux embruns. « VOUS SAVEZ OU VOUS POUVEZ VOUS LE CARRER VOTRE MANUEL, BYERS ? VOUS CROYEZ QUE C’EST VOTRE MANUEL QUI VA RENDRE SES ORTEILS A CE BRAVE MONSIEUR ? ». Coup d’œil désolé au type, affaissement des épaules. Puis écroulement, sanglots incontrôlables. Le numéro est rodé comme du papier à musique : les dettes, la baraque qui prend l’eau, sa femme qui l’a quitté en lui laissant la garde des mômes, la maladie orpheline du petit dernier, Bernie qu’il s’appelle le petit dernier, il doit bien avoir une photo du petit dernier dans son portefeuille, bougez pas... Circulation de la photo d’un gamin à moitié mort, qu'on le débranche, reniflement dégueulasse, auto-flagellation à outrance, non non ce n’est pas une excuse, proposition de dédommagement et de démission, tout ce qui pourra faire plaisir à l’écourté du sabot. Immense gêne dans la pièce, atmosphère pesante. Résultat des courses : pas de plainte, c’est tout juste si le type ne s’excuse pas du dérangement en sortant. On s’est mis d’accord sur la pose d’une petite affichette dans l’allée des tondeuses. C’est que des orteils après tout. Petites tapes sur l’épaule en sortant de la part du type, de l’avocat du type et des gonzes des assurances, comme on en donnerait à une jument condamnée à l'équarrissage. Tout le monde sort. Grande tape dans le dos du braillard qui n’en revient pas de s’en tirer à si bon compte. Fin du numéro, encaissement des honoraires. Ultime confession, façon biscuit chinois : « Le voilà le véritable pêché de notre civilisation : la compassion. »
Une heure plus tard, dans le restaurant le plus chic de la ville. « Un tournedos Rossini, et vite !, j’ai un emploi du temps chargé. Coiffeur dans une heure, spa dans deux. Et que je ne trouve pas de cheveu dans mon assiette ! C’est que je suis inspecteur du travail, moi. » Et tandis que l’autre s’éloigne en suant à grosses gouttes, petit sourire satisfait. Encore un repas qui n’allait pas lui coûter bien cher.
Votre vie après la malédiction.
Quand il eut recouvré l’intégralité de ses souvenirs, Percy Flowers en ressentit une profonde libération, curieusement mêlée à un non moins profond dégoût de lui-même. Comment avait-il fait pour ne pas réaliser qu’il était destiné à des accomplissements ô combien plus grandioses que ce à quoi il avait consacré les dernières années de sa vie ? Il abandonna donc sur-le-champ son statut d’auto-entrepreneur et se mit en quête d’une activité qui soit davantage en adéquation avec ses nouvelles ambitions. Et c’est ainsi qu’il intégra Prince, Jean & P., gigantesque consortium aux ramifications tentaculaires et aux activités toutes moins jojo les unes que les autres. D’abord simple coffee boy, il gravit les échelons jusqu’à devenir, à force de courbettes mielleuses et de fourbes manigances, le directeur de ce qu’ils appellent, dans le jargon interne, « le service après-vente », et qui en pratique consiste à gérer toute la merde qui ne manque pas de pleuvoir quotidiennement quand on rencontre un tel succès, merde qui menace de ternir l’image d’un des symboles les plus rutilants de l’esprit d’entreprise américain. Du coup, il nettoie, il cache sous le tapis, il désodorise, il désinfecte, il dit que ça sent bon, il désinforme, il joue sur les peurs, il fait chanter, il menace, il embrouille ; bref, il fait à nouveau de la politique. Et tant pis pour les envieux. Il n’a pas de temps à leur consacrer et de toute façon il se moque de leur avis, car il est à nouveau complet. Suce-boules est enfin entré chez Miko.
valtersen
Administration
→ Célébrité de votre Avatar : Bill Hader → Est-ce un poste vacant ? : Non.
→ Multicompte ? : Non plus.
Entre nous
→ Pseudo : Papy. → Votre avis sur le forum : C'est beau chez vous, on s'y sent bien. → Comment l’avez vous découvert : J'ai pisté une renarde.
→ Si vous deviez choisir entre héros, vilain, magique, prince(sse), ancien animal, rebelle ou divin pour votre team vous choisiriez quoi ? : Vilain ascendant vilain.
→ Le mot de la fin : Miam ?
Ali Nacer
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : ❤Deniz Akdeniz❤
| Conte : Aladdin | Dans le monde des contes, je suis : : Le héros au coeur pur
♥°•.¸ Once ☆ Upon ★ a ☆ Time ¸.•*´♥´*•.¸°•.¸ Disney ☆ R ♥ P ☆ G ♥
C'est pitoyable! Le fameux Sauveur d'Agrabah qui se cache . Regarder ce qu'est devenu le grand Aladdin, dire que tu aurais pu échapper a ce destin. C est quand tu es devenu un héros que tu as commencé a décliner. Et c est toujours ce qui arrive au héro . C est le sort qui leur réserver. Tu donnes et donne. Et pourquoi ? Il cueille les fruits, il coupe les branches. Et tout ce qui reste c est cette source tremblante. C est pour ca que l histoire d un héro ne se termine jamais par cette formule. Et ainsi ils vécurent heureux pour toujours , fait attention a toi Aladdin !
Regina Mills
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : lana parrilla
Mirror mirror on the wall, who the baddest of them all ?
| Conte : blanche neige et les sept nains | Dans le monde des contes, je suis : : la méchante reine
Bienvenue sur le forum Si tu as la moindre question, n'hésites pas à la poser
Je vais déjà commencer par jouer les troubles fête Mais malheureusement, David Tennant est déjà pris par l'un de nos membres ! Pour t'aider, tu peux vérifier le bottin des avatars en cliquant ici Cela te permettra de savoir qui est pris ou non et de ne pas te faire de fausse joie
Bon courage pour ta fiche en tout cas
♥°•.¸ Once ☆ Upon ★ a ☆ Time ¸.•*´♥´*•.¸°•.¸ Disney ☆ R ♥ P ☆ G ♥
J'aime beaucoup trop ce personnage! Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche. Par contre, je crois que tu vas devoir changer de vava, celui-là est déjà pris
Woody A. James
« J'ai pas trouvé où on peut demander un rang personnalisé... ! »
| Avatar : David Tennant <3
"Je te promets que tu n'auras jamais à retourner dans la boîte, cow-girl."
"Nous resterons toujours ensemble, partenaire. A l'infini et au-delà!"
| Conte : Toy Story | Dans le monde des contes, je suis : : Le shérif Woody
Oh Triste Sire, c'est énorme de l'avoir !!! L'acteur a l'air fun !
♥°•.¸ Once ☆ Upon ★ a ☆ Time ¸.•*´♥´*•.¸°•.¸ Disney ☆ R ♥ P ☆ G ♥
« L'ivresse des profondeurs », est un phénomène naturel, due à un excès d'azote qui, par conséquent, agit sur le système nerveux et provoque des troubles comportementaux. Tomber amoureux ou mourir noyé, c'est la même chose.