« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 La Légende de la Pelle à Tarte | Dyson & Amelia

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Dyson R. Parr
« Cours Dydy, cours ! »

Dyson R. Parr

|  Crédits : Eilyam
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|  Métier : Aventurier, super-héros, en contrat de libraire chez Alexis et vendeur de chocolat chez Aster... et surfeur parfois

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|  Dans le monde des contes, je suis : Dashiell Robert "Dash" Parr

La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
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La Légende de la Pelle à Tarte | Dyson & Amelia _



________________________________________ 2021-02-04, 16:18 « Cours Dydy, cours ! »

La Légende de la Pelle à Tarte
Je n'étais pas si malheureux dans le nouveau quotidien de ma vie. Quand j'étais revenu, j'avais tout perdu. Toute ma fortune a été liquidé par un terroriste qui m'avait fait du chantage, le Comics Burger a été vendu durant mon absence parce que je ne payais plus les factures quand j'étais présumé mort, j'ai logiquement été remplacé à la mairie, la Magic League n'existait plus, et je n'avais plus de contrat du côté du cinéma ou de la bande dessinée. Oui, c'était pas ultra fun, dit comme ça. Mais j'avais retrouvé un quotidien normal qui n'était pas si désagréable, avouons-le. J'étais en négociation sur de nouveaux contrats, et en attendant, je m'occupais d'enfants à la maison, tout en étant serveur au Roni's Bar de Regina qui m'avait embauché pour que je retrouve de l'argent. J'aurais certainement pu demander au Comics Burger de me donner du travail, mais ça m'aurait fait bizarre de ne plus le diriger. Mais comme ça me manquait tout de même de servir dans un restaurant, travailler ici était assez cool, en fin de compte. Et concernant l'argent, j'étais peut-être riche avant, mais ne me servait jamais de mon argent personnellement à part pour les besoins primaires, le reste servant pour les fonds de la ligue ou d'œuvres caritatives.

Mais il y a une chose qui me manquait : la vie trépidante que je menais avant, toujours sur une aventure, une quête, ou une mission de la ligue. Depuis mon retour en décembre, tout était si... calme ! Déjà, pour un habitant de Storybrooke c'était très inhabituel, mais pour moi, ça l'était encore plus. C'était la première fois depuis... depuis sans doute la malédiction, que j'avais un quotidien calme. Ceci dit, comme j'étais à charge d'enfants particuliers qui essayaient encore de maîtriser leurs pouvoirs pour la plupart, la menace de voir mon appartement se faire détruire tous les jours pimentaient un peu mes journées.

Oula... quand je venais à avoir ce genre de pensées, c'est que je m'ennuyais VRAIMENT.

Heureusement, aujourd'hui semblait être le jour où les aventures reprenaient. Malheureusement ? Il fallait que ça soit pour me confronter à ma pire phobie, et que j'allais moi-même, volontairement, plonger dedans. Merci Mickey.

J'ai une aventure pour toi ! S'écria Mickey en venant vers moi au bar, mon frère étant parfaitement au fait du léger ennui de ma nouvelle vie.

Je lui souriais, amusé en voyant son dossier à la main. Ouah, on dirait soit un agent Pôle Emploi (quoique, tu es un peu trop investi à côté d'un véritable agent Pôle Emploi), soit le type qui donne des Missions Impossibles.

Il haussa les épaules avec le même regard déterminé. C'est probablement le genre de Missions Impossibles que tu fais, d'habitude. Il ouvrit son dossier pour me montrer son contenu, qui n'avait rien d'autre que la photo d'un vieil homme aux origines latines et un arbre généalogique, mais qui commençait par lui et n'allait pas plus loin dans le temps. Au travail, j'ai parlé à ce type, Angelo Rivera, il est adorable, il raconte souvent l'histoire de ses enfants, et de leurs enfants. Mais il n'a aucun souvenir de ses parents, et ça le rend triste de les avoir oublié. Il répète toujours la même chose, qu'il ne comprend pas comment il les a oublié d'un jour à l'autre. Je dirais que ça arrive, parfois mais...

Mais pas dans nos vies à nous, complétai-je en comprenant où il voulait en venir. Je posais le verre que je nettoyais pour croiser les bras. Dis voir Mickey, tu te souviens, au moins, que l'oubli est notre plus grande peur ? Tu sais, rapport au fait que ça nous emmenait dans un monde où on perdait nos couleurs, tout ça tout ça... Je ne doute pas que tu t'en souvienne, puisque tu as failli détruire ce monde, et ma cousine avec, quand je commençais à en faire une maison.

Ouiii, je sais, vieille histoire tout ça, répondit-il, balayant la remarque nonchalamment. MAIS ! On sait tous les deux que ce monde de l'oubli n'existe plus depuis que tu nous as libéré en 2016. Ce qui veut dire... laissa-t-il sa phrase en suspend pour que je la complète.

Que ces mystérieux parents oubliés sont forcément dans un autre monde, fis-je alors sur le ton de la réflexion, commençant à être pris dans son histoire.

Alors comme on peut maintenant prendre ces pin's pour voyager dans les mondes enchantés, voilà une mission toute trouvée pour toi !

Je le regardais dans les yeux, mais nul besoin de répondre. L'oubli me faisait peur, certes, mais je n'étais plus soumis aux lois des toons depuis que je nous ai libéré du pinceau qui nous avait crée l'été dernier. Donc techniquement, je n'avais plus à avoir peur, mais surtout, l'appel de cette quête grandissait déjà en moi.

Mais d'abord fallait-il trouver un monde qui correspondait à ce qu'on cherchait. On pouvait-on aller quand on était oublié ? Mais dans une ville comme Storybrooke, où nous venions tous de mondes différents, j'avais au moins la chance de trouver facilement : quelqu'un en connaissait forcément un qui était dirigé par les lois de la mémoire et de l'oubli !

Me voilà donc en pleine journée, avec ce genre d'affiche en main pour les coller un peu partout.

A la recherche d'un couple oublié dans un monde inconnu
Quiconque connaîtrait un monde où s'en vont des personnes malheureusement oubliées peut me contacter au numéro suivant.

Un peu d'affiches sur des lampadaires, sur des murs publicitaires, et sur les quelques enseignes qui acceptaient : certaines ne prenaient pas vraiment l'affiche au sérieux, ce qui commençait à me faire croire que ma tactique allait être légèrement... compliquée.

J'arrivais cependant devant la boulangerie d'Amelia. Amelia, je la connaissais principalement par les louanges de Derek et Duncan, et un peu par sa réputation, et ce que je savais d'elle me rendait optimiste quant à mes chances de pouvoir poser mon annonce ici. Elle avait l'air aussi accueillante qu'ouverte, alors ça devrait avancer. Je ne réalisais pas alors à quel point ma quête avancerait bien avec elle.

Bonjour ? M'annonçai-je en poussant la porte. Immédiatement, les odeurs exquises de la pâtisserie m'expliquaient d'elles même pourquoi Derek et Duncan adoraient tant cet endroit. Pas dur de réaliser le succès de l'établissement si ça sentait aussi bon !

J'espère que je ne vous dérange pas, j'aimerais aider quelqu'un et pour ça, je colle mon annonce un peu partout pour avoir une piste à explorer alors je me demandais si je pouvais l'afficher ici ?

Je me tournais vers sa devanture. J'ai même vu une annonce promettant des câlins gratuits, je suis sûr que mon affiche serait parfaitement vue à côté de celle là ! Fis-je en rigolant mais en étant totalement sérieux à la fois.

Avec un sourire, je m'approchais du comptoir pour lui montrer mes affiches au texte curieux. Vous pouvez même choisir celle qui vous plait le mieux. En espérant attirer le plus de regard, j'en ai fait de toutes les couleurs, de toutes les typos et de toutes les formes. On est jamais trop prudent, n'est-ce pas ? Dis-je en la laissant regarder tout ça et lire ce que je cherchais de si spécial, tandis que mon regard se fit de plus en plus distrait en se posant sur les muffins à ma droite, qui firent soudainement gronder mon ventre.

Je... euhm... cherche très beaucoup l'aide pour euhm... Dites, ça coute combien, ça ?
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dyson & amelia
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Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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________________________________________ 2021-02-05, 00:02 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Pour Amelia, cette journée était ordinaire. Pourquoi en aurait-il été autrement, d'ailleurs ? Elle avait ouvert sa pâtisserie à l'heure habituelle et faisait des allers et retours entre l'arrière boutique et l'avant, en fonction de là où on avait besoin d'elle. Bref, elle travaillait. Et quand un jeune homme entra dans la boutique en la saluant, bien qu'il ait une liasse de papiers entre ses mains, la pâtissière songea seulement qu'elle avait un nouveau client, quelqu'un qu'elle n'avait jamais vu dans sa boutique auparavant et qu'elle était absolument ravie d'accueillir pour la première fois. Amelia le salua donc avec un immense sourire et énormément d'enthousiasme :
- Bonjour !
Elle était déjà prête à lui demander ce qui lui ferait plaisir mais le jeune homme la devança, expliquant qu'en fait il était venu chez elle pour sa liasse de papiers et pas pour ses gâteaux. Qu'à cela ne tienne, Amelia n'allait certainement pas le chasser pour si peu ! Elle savait par expérience que les gens lisaient les petites annonces placardées dans les boutiques, ne serait-ce que pour s'occuper quand il y avait la queue et n'avait jamais refusé d'en prendre une. Les seules annonces qu'elle s'imaginait en droit de refuser étaient celles qui vantaient des activités illégales ou en lien avec le sexe - car c'était peut-être légal, mais elle ne voulait pas de ça dans sa petite entreprise aux valeurs familiales et tous publics.
Heureusement, comme elle l'avait pressenti, l'affiche du jeune homme était totalement correcte. C'était pour aider quelqu'un, après tout ! C'était forcément dans un but louable, on n'aidait jamais les gens pour leur faire du mal, ou alors on était très bizarre.
Amelia fit donc le tour de son comptoir en acceptant déjà :
- Y a aucun souci, j'adore aider les gens, ça me fera plaisir et si je peux t'aider à aider ! C'est marrant, on se croirait presque dans Inception, dit comme ça ! commenta-t-elle avec dynamisme car quand elle se faisait une réflexion, qu'elle soit, ou non, en rapport avec la conversation de base, elle se faisait un devoir, dans 99 % des cas, de la partager avec son interlocuteur.
Amelia fut très contente d'apprendre que son nouveau visiteur avait repéré l'annonce pour les câlins gratuits à la demande. C'était une affiche qu'elle avait faite elle-même, quelques années plus tôt, après avoir rencontré une certaine Sadie Ness qui avait manifestement besoin d'affection. Amelia s'était dit que si cette jeune femme absolument charmante mais très triste était en manque de tendresse, il y avait peut-être d'autres personnes dans son cas aussi. Et hop, elle avait créé son affiche ! Jusqu'à présent, elle était utilisée de temps en temps et jamais par des personnes creepys (Velma, sa fille, avait dit à Amelia de faire bien attention et de refuser si jamais elle sentait que la personne demandeuse était louche), ce qui confortait la pâtissière dans l'idée que la ville était essentiellement habitée par des gens bien. Ou que seuls des gens bien venaient s'approvisionner chez elle. Cette hypothèse se valait également, après tout !
- Excellent choix d'emplacement ! le félicita la commerçante. Mettre la demande d'aide à côté des câlins, ça a énormément de sens. Validé, annonça-t-elle en s'approchant des affiches pour sélectionner celle qui irait le mieux avec sa boutique.
C'était pas bête du tout comme initiative, même si ça avait nécessité d'imprimer de nombreuses feuilles et que ce n'était pas très écologique. Si les affiches étaient ensuite réutilisées pour servir de brouillon, ça compenserait sans doute l'impression en masse. En plus, elles étaient toutes très jolies, constata Amelia observant d'abord leur charte graphique (même si elle ne connaissait pas ce terme technique c'était bien ce sur quoi son regard s'attardait en premier).
De son côté, le jeune homme continuait de parler mais ses phrases commençaient à ne plus avoir trop de sens. La main posée sur l'affiche qui lui plaisait le plus, Amelia releva le nez et suivit son regard qui s'était porté sur les muffins. Elle sourit, amusée mais pas étonnée.
- Ah, les muffins font souvent cet effet. J'adore ça aussi. C'est deux dollars cinquante, annonça-t-elle. Est-ce que je considère que tu vas en acheter ? Moi, en tout cas, j'ai choisi mon affiche, annonça la commerçante en montrant celle qui était imprimée sur une feuille jaune pâle.
C'est seulement à cet instant qu'elle décida de lire le contenu de la recherche qui l'interpella étrangement.
- Oh, tu recherches un monde des oubliés, c'est ça ? Comme... un monde des morts où iraient les âmes, les esprits ou les je sais pas quoi des gens qui sont décéder ? C'est intéressant ! Mais je vais pas faire ma curieuse sinon ça va prendre des heures et tu as sans doute mieux à faire, le rassura Amelia. Puis je commencerais à te raconter la fois où je suis morte et ça prendrait encore plus de temps. Non, on va juste coller ton affiche près de celle sur les câlins, comme ça je te libère vite ! le rassura la pâtissière.
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________________________________________ 2021-02-05, 01:03 « Cours Dydy, cours ! »

La Légende de la Pelle à Tarte
Ca ne durait pas longtemps une fois que je sois rentrée pour voir que Derek et Duncan n'exagéraient rien dans leurs compliments envers Amelia. Ce qui était assez choquant (pas la partie sur Amelia, je ne voyais rien qui pouvait me laisser croire qu'ils avaient tort sur elle, mais plutôt la partie où les jumeaux n'avaient rien exagéré, alors que c'étaient les rois en la matière). Elle avait l'air absolument aussi adorable, généreuse et extrêmement gentille que vantée. Et son sourire et sa bonne humeur étaient totalement communicatifs. Ou alors était-ce simplement l'odeur sucrée qui rendait toute la situation bien plus douce, mais à mon avis, c'était les deux.

Je lui offrais un grand sourire à sa première réponse. Inception, hein ? Comment ça se fait que je sois jamais venue dans la pâtisserie gérée par quelqu'un qui fait des références aussi géniales ? Ce qui est marrant avec Inception c'est que le rêve dans le rêve est plus rapide que le rêve initial, parce que comme on rêve normalement à la fin de son sommeil, et bien le temps se rallonge dans... Je m'arrêtais en voyant que je m'étendais sur un sujet qui n'avait rien à voir avec la raison initiale de ma venue. Euh pardon. Parfois je me grille tout seul à être un geek. Dangereux de me lancer sur ce genre de sujet.

J'eus un petit rire amusé quand elle valida l'emplacement souhaité pour l'affiche. J'étais doué en plusieurs choses, et la stratégie était généralement mon truc. Même lorsqu'il s'agissait d'attirer le regard sur une devanture de pâtisserie. Je suis plutôt doué en stratégie et en organisation. Imbattable à Tetris, lançai-je alors que ça n'avait encore aucun rapport avec le sujet initial, et qu'encore une fois, je grillais ma mystérieuse identité de geek. J'y pouvais rien, quand Apollon m'avait lancé sur l'idée d'une ligue de protection mondiale à identité secrète, je m'étais lancé sur des super-héros, c'était bien connu que j'étais un grand geek dans l'âme. Ou pas, puisque c'était à identité secrète, d'ailleurs.

En attendant, alors qu'Amelia choisissait une affiche qui lui plaisait davantage, mon estomac commençait à me diriger, moi. J'avais aussitôt repris cette vieille habitude de louper des repas pour me plonger dans une mission et sa réussite, et du coup, forcément, en présence de muffin, dur dur de répondre de quelque chose.

Très bonne considération, confirmai-je en fouillant dans ma poche pour prendre de la monnaie. Parfait, un muffin aux fruits rouges chocolat blanc s'il... Sauf que le compte n'y était pas. Mince, je n'ai que deux dollars quarante. Est-ce ça va si je complète le prix avec... Je tournais la tête pour trouver inspiration dans mon environnement, et tombais à nouveau sur la devanture. Un câlin ? Fis-je en haussant les épaules. Qui ne tente rien n'a rien, et après tout, rien n'était trop cher pour un muffin.

Merci, en tout cas, pour l'affiche ! Ca me va parfaitement. C'est un peu ça l'idée, c'est comme mon monde à moi, sauf que c'était pas vraiment la mort de mon côté. Mais c'est presque pareil. Je l'accompagnais alors, content et dans mes pensées, pour coller mon affiche, espérant que ça paye, avant qu'enfin l'information percute mon cerveau. Attends ! Mais c'est totalement ce que je recherche ? Morte ? Vous avez VU un monde pareil ? Je m'arrêtais alors dans le mouvement, les yeux brillants d'espoir. Je ne m'étais pas rendu compte que ça irait aussi vite (et que toutes ses affiches soient finalement totalement inutiles, bien que l'initiative d'en coller une m'ait menée jusqu'à elle, après réflexion). Par hasard, avec un des pin's de la mairie, ce serait possible d'y aller ?

Je pris une seconde de plus pour y réfléchir. Et encore mieux ! Si vous connaissez l'endroit, ça vous dirait de venir ? Enfin, j'ai cru comprendre que y avait une partie qui impliquait la mort, mais votre forme olympique me laisse à croire que... ça va ? Une guide qui s'y connait, ça ne serait pas de trop pour aider les personnes que je recherche !

Je pris le dossier dans mon sac à dos (car oui, j'avais un sac à dos, c'est bien plus pratique que les sacs que la société imposait aux adultes juste par notion de maturité imposée) pour lui montrer, espérant être assez clair dans mes explications. Cet homme, Angelo Rivera, a mystérieusement oublié ses parents sans qu'il ne l'explique, du jour au lendemain. J'ai connu un monde ou l'oubli nous y emmenait, mais comme il n'existe plus, je me demandais si c'était possible qu'il y en ait un autre, et votre description irait totalement ! C'est peut-être une fausse piste mais... ce serait dommage de ne pas l'explorer, ne serait-ce que pour l'éliminer de la liste !

Cette journée, je le sentais maintenant, allait être sacrément lucrative.
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Amelia Peters
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________________________________________ 2021-02-05, 22:07 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Les enfants d'Amelia, qui étaient davantage des jeunes adultes que des enfants maintenant, faisaient beaucoup de compliments à leur maman. Elle était gentille et elle cuisinait bien, entre autres, mais ce qu'ils ne disaient jamais c'était qu'elle avait des références géniales car, la plupart du temps, Amelia s'embrouillait toute seule quand elle essayait de parler de quelque chose que les plus jeunes appréciaient. Par exemple, elle ne faisait pas vraiment la différence entre les Avengers, les X-men ou la Ligue de la Justice, si bien qu'il lui arrivait de parler des X-Vengers ou de la Ligne des Men. Globalement, il valait mieux qu'elle parle de ce qu'elle considérait comme des films cultes comme Love Actually et Titanic, là, elle ne se trompait jamais.
Et maintenant, manifestement, Amelia pouvait ajouter Inception à sa liste de films qu'elle avait bien compris et dont elle arrivait à parler en société. C'était presque dingue - pour elle, en tout cas. Amelia se rappelait être allée le voir en famille au moment de sa sortie au cinéma. Declan avait eu peur qu'elle ne comprenne rien au film mais sa mère l'avait agréablement surpris ce jour-là. C'était plus facile de comprendre un film quand on l'aimait, de toute façon.
Mais Amelia craignait que les explications très geek de son client ne la perde définitivement, pourtant, elle l'écouta avec attention, le visage à la fois concentré et radieux - car l'esprit de la pâtissière était encore en train de se ravir d'avoir bien placé sa remarque.
- J'aime bien les geeks, le rassura-t-elle. Et c'est pas souvent que je réussis une référence geek, en fait. Sans doute un coup de chance. Tu m'excuseras de pas embrayer sur le sujet, je risquerais de te décevoir, le prévint-elle ensuite. Mais merci, en tout cas.
Amelia continuait de sourire. C'était étonnant que personne ne lui ait jamais demandé si elle n'avait pas de crampes, à force de sourire autant. Bizarrement, la réponse aurait été non, sans doute parce que le sourire était sincère.
La pâtissière ne fut pas étonnée que le posteur d'affiche se transforme en véritable client et avait déjà le muffin choisi en main quand il s'aperçut qu'il n'avait pas le compte. Amelia se figea dans son action, comme si réfléchir à l'alternative proposée demandait toute son énergie. Finalement, elle posa le muffin près de la caisse et expliqua d'un air sérieux :
- Tu sais, y a beaucoup de gens pour qui dix cents ça fait une énorme différence
Amelia marqua une pause puis ajouta :
- Mais t'as de la chance, pas à moi. Adjugé pour deux dollars quarante et un câlins, déclara-t-elle en tapant sur le comptoir comme si elle animait une vente aux enchères.
Pour elle l'affaire était entendue et la pâtissière concentra toute son attention sur la recherche du jeune homme, observant le collage de l'affiche avec satisfaction. Oui, elle était au bon endroit, ça ne faisait pas un doute. Et le jeune homme était dans son monde, manifestement. Un monde un peu étrange où Amelia n'avait pas l'impression de tout suivre (comment était-il, son monde "à lui", s'il était comme la mort mais pas totalement ?) et dans lequel il lui fallait plusieurs instants pour processer les dernières paroles de la pâtissière. Cette fois, elle ne sourit pas, elle gloussa. Il était marrant, ce garçon (ndlr : félicitations, 3 persos sur 4 qui apprécient ton aspirateur).
- En bien oui... C'était... Attends que je me souvienne... En 2015, je crois, vers Halloween. Oui, ça doit être ça, commenta Amelia qui fixait un point invisible. Dans ces eaux-là, on va dire. Les pin's de la mairie, tu dis ? Attends... Ah oui, Hadès en a parlé au conseil municipal, une fois. Mais j'ai jamais testé, je sais pas concrètement comment ça marche. Cela dit, oui, c'était un monde des contes, tu dois pouvoir y aller !
Amelia se montrait positive. Personne n'avait encore téléphoné pour se plaindre des pin's, y avait de grandes chances, du coup, qu'ils fonctionnent bien - et permettent de rentrer, surtout !
- Et donc je dois pouvoir t'accompagner, reprit la jeune femme après réflexion, plus incertaine cette fois.
En général ce n'était pas à Amelia Peters qu'on pensait quand il s'agissait d'embarquer pour une aventure mortelle. Mais, comme elle se sentait toujours concernée par les problèmes des autres, particulièrement quand on lui demandait de ne pas le faire, la pâtissière s'approcha pour mieux voir le dossier et écouter les explications. Ca avait oas l'air simple, tout ça. Un peu comme les Marvels mais en différent. Amelia fronça les sourcils et demanda :
- Et... est-ce que le problème de mémoire ne pourrait pas être un souci médical ? Alzheimer précoce, AVC, amnésie, ce genre de choses ? Oh bien sûr, je suis pas médecin, mais... ces pistes ont été explorées juste au cas où ? Sinon, je pense que oui, le Monde des Oubliés, c'est marrant, je pensais que je me rappelais pas le nom de l'endroit mais en fait si, commenta Amelia, pas peu fière d'elle-même, pourra peut-être t'aider. C'est le monde des morts mexicain. L'adjectif se rapporte à mort, pas à mexicain, même si je pense que ce sont les Mexicains qui y vont, précisa la pâtissière. Par contre... Tu es vraiment sûre que je suis le genre de personne adéquate pour ta... mission ? Mes souvenirs remontent quand même à plusieurs années, je ne sais pas s'ils sont assez précis pour te guider. Et puis, je suis seulement pâtissière, pas... badass, comme disent les jeunes.
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________________________________________ 2021-02-09, 20:25 « Cours Dydy, cours ! »

La Légende de la Pelle à Tarte
Je souriais, amusé. Amelia était sans doute un drôle de personnage, en plus d’être une crème (elle avait décidément bien choisi sa voix, ou alors était-ce la malédiction qui lui avait donné ce rôle, mais Regina avait un goût curieux pour le malheur des gens si elle avait fait de Miss Peters une pâtissière aussi à l’aise dans son univers. Mais cette parenthèse est trop longue alors qu’à la base c’était un simple jeu de mot entre crème et pâtissière). Je me demandais, puisqu’on parlait de geek et de références appréciées bien que peu certaines, si elle avait des enfants (j’espérais, elle avait le portrait, si elle l’était, d’une mère formidable), et si c’était le cas, s’ils étaient comme moi sur la pop-culture. Dans tous les cas, elle fit bien de me prévenir qu’elle n’embrayerait pas sur Inception, je m’arrêtais alors, par risque de déverser tout un flot de passion, qui pour le coup ferait absolument geek, qui la perdrait peut-être et qui, en tout cas, nous ferait perdre notre temps, sur le sujet principal de ma venue ici.

Un câlin plus tard, me voilà tout content, avec un regard et une attitude juvénile quand je tenais mon muffin. On ne pouvait pas me blâmer : j’étais un esprit de l’enfance, comme aurais-je pu m’en sortir moi-même sans un caractère enfantin quand je n’étais pas occupé à diriger des troupes et arrêter des guerres. Cette dernière fonction n’a été rajoutée à ma vie que par la force des choses, moi, à la base, j’avais été dessiné pour accompagner les petits jusqu’à l’adolescence et les faire rire et rêver. Et soyez-en sûr, un muffin avait le potentiel suffisant pour faire rêver un enfant.

Mmmh, laissai-je échapper à la première bouchée, en faisant presque tomber mes affiches. Vos muffins ont très certainement le potentiel suffisant pour faire rêver n’importe qui, précisai-je même ma pensée, mais à haute voix cette fois.

Heureusement, Inception, monneyage en câlin et muffins mis à part, nous avions réussi à recentrer le sujet sur ce dont j’avais vraiment besoin : mon retour à l’aventure pour aider un pauvre homme qui avait mystérieusement perdu ses parents (dans ses souvenirs, mais quand même, c’était important et j’étais bien placé pour le savoir). Mon regard s’illumina alors que finalement, c’est elle-même, Amelia la gentille pâtissière à qui je demandais à la base un emplacement pour mon annonce et acheté un muffin contre quelques pièces et 10 cents de câlin, me donna la meilleure piste (la seule, certes, mais heureusement assez solide) sur mon affaire de parents oublié. Je n’ai jamais testé les pin’s non plus, répondis-je avec un grand enthousiasme, mais voilà une merveilleuse opportunité de commencer !

Mickey avait eu raison : cette aventure n’avait pas encore commencé que j’étais déjà terriblement motivé, d’un seul coup, dès qu’Amelia ait précisé le chemin et teasé légèrement ce qui m’attendait. J’allais explorer un monde sorti de la mythologie mexicaine, et pour ce que j’en savais, c’était quelque chose à voir !

Et au-delà de ça, Amelia était également une personne satisfaisante quand elle était une personne pertinente, et ses remarques médicales étaient si justes que tout ce qu’elle cherchait à savoir constituait, en fait, la vraie procédure d’enquête d’une affaire de la ligue. C’est qu’elle serait définitivement un bon atout, et c'était une conclusion que je menais avant même que nous partagions une mission ensemble.

Très bonne remarque Amelia ! Il a en effet un suivi médical, de l’hôpital de Storybrooke, et un deuxième par Lisa Queen, ma spécialiste à qui j’ai demandé des analyses. Aucun antécédent médical qui puisse l’expliquer. Et bien sûr, ça aurait pu être un « début » s’il n’y a pas d’antécédent, mais Lisa affirme que ce cas est surnaturel : aucun oubli à part l’identité de ses parents, et oubli survenu étrangement brusquement. Lisa n’arrive pas à l’expliquer, et un « Monde des Oubliés » ne serait certainement pas expliqué par les personnes de sciences donc je pense que nous y aurons une meilleure piste, expliquai-je avec le même enthousiasme. Amelia avait ce point commun avec Derek et Duncan : sa bonne humeur était incroyablement contagieuse.

Je pris cependant un temps pour réaliser que je m’emportais peut-être : elle avait la gentillesse de m’accompagner pour me guider, mais elle me le disait de façon bien plus incertaine que moi je parlais avec entrain. Elle exprima d'ailleurs ses doutes à haute voix, dévoilant sans cache la petite crainte qu'elle avait quant à ses capacités auxquelles j'avais l'air de croire bien davantage qu'elle.

Je ne me fais pas d’inquiétude ! J’ai une certaine… formation pour l’aventure et le danger, si jamais cette mission devient dangereuse, ce que, pour commencer, je ne crois pas ! Nous cherchons deux défunts disparus dans un monde de souvenirs, après tout ! Ma mine bienveillante fut soudainement amusée alors que je pensais à quelque chose. D’ailleurs, j’ai déjà entendu parler d’une guerrière pâtissière à Storybrooke, vous connaissez l’histoire ? Elle se battrait avec une pelle à tartes, et s’en sortirait très très bien ! En tant que pâtissière, je suis sûr que vous pouvez aussi avoir une botte secrète si besoin, lui dis-je amusé, certes, mais en le pensant vraiment. J’ai toujours été le responsable de motiver mes troupes, avant de les guider. Ça valait pour tous ceux qui voulaient bien me rejoindre.

Une étincelle d’envie et de hâte illumina mes yeux, qu’elle n’aurait sans doute pas de mal à voir, d’ailleurs, tant il m’était difficile de cacher quand j’étais animé d’une motivation comparable à l’envie d’un enfant. Vous savez que la mort, selon les mexicains, est une grande fête ? Donc s’il existe un monde des contes dans ces tons là, il est sûrement… je m’arrêtais en me rendant compte qu’elle le savait, puisqu’elle en revenait. Haha, je pense que vous l’avez vu davantage que moi qui n’ait fait que lire ce que je sais, m'arrêtai-je alors.

Je finissais enfin mon muffin (mais soyez sûr que je lui en achèterai au moins une centaine pour le voyage), et eut enfin les mains libres pour reprendre mes affiches. Bon, pour commencer, je crois que je suis bon pour reprendre toutes les affiches et demander à O.M.E.G.A. de les désimprimer.

Je me figeais en me rendant compte que je venais de faire allusion à la super-intelligence artificielle d’une organisation secrète de super-héros. Euhm… O.M.E.G.A. c’est une… invention incroyable qui permet de retirer l’encre du papier, tentai-je de rattraper mon secret, avec un fond de vérité, puisque Lisa lui avait en effet construit un module qui pouvait le faire.

Rangeant mes affaires dans mon sac à dos, je sortais alors, accompagné par ma nouvelle compagnon de route. Je vous laisse vous préparer, si nous sommes d’accord pour partir ! Et quand nous serons prêts (et quand, tout à l’heure, j’aurais acheté autant de muffins que mon sac sera capable de porter), j’aurais nos pin’s ! On est d’accord ?
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Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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________________________________________ 2021-02-09, 23:42 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Même si les muffins qu'elle vendait dans sa pâtisserie ne faisaient sans doute pas littéralement rêver ses clients, Amelia était très contente d'avoir reçu pareil compliment. C'était pas tout le monde qui témoignait autant de sa satisfaction à déguster une pâtisserie ! Mais ce n'était pas non plus tout le monde qui payait en partie la même pâtisserie en faisant un câlin. Dyson, en fin de compte, n'était sûrement pas comme tout le monde, ce qui devait expliquer bien des choses (même si, si on voulait être parfaitement exact, Dyson n'était pas comme tout le monde parce que personne ne pouvait être comme tout le monde et que l'expression devait être comprise au sens métaphorique du terme, celui qui servait à parler de généralités vis-à-vis des particularités des uns ou des autres, ici, en l'occurrence, de celles de Dyson). En tout cas, il plaisait déjà beaucoup à Amelia et c'était sans doute ça qu'il fallait retenir de leur rencontre.
Amelia lui faisait déjà suffisamment confiance pour accepter - sur le papier, du moins - de tester les pin's de la mairie (mairie à laquelle elle appartenait, c'était donc le moment ou jamais pour elle de faire son acte de foi envers son équipe en partant du principe que tout allait bien se passer) en sa compagnie mais ce n'était pas vraiment une victoire particulièrement difficile à avoir sur elle. Il faut dire, en fait, qu'Amelia avait la fâcheuse tendance à faire confiance rapidement. Trop rapidement. Beaucoup trop rapidement, même. Cet excès de confiance et de positivisme lui avait déjà attiré des ennuis car il faisait le bonheur de toutes les personnages mal intentionnées qui avaient le talent d'être incroyablement persuasives dans leur fausse bienveillance. Dyson, bien sûr, et de ça la pâtissière était convaincue, n'était pas une de ces mauvaises personnes. Elle sentait qu'elle ne regretterait pas de lui faire confiance. Et pourtant, Amelia savait aussi que parfois son jugement la desservait.
Mais pas cette fois. Pas envers quelqu'un qui collait des affiches dans le but d'aider un autre quelqu'un sans y trouver la moindre gratification personnelle (ou alors sans en avoir parlé à Amelia). Dans tous les cas, elle se sentait à présent concernée par ce problème et écouta avec attention le résumé des examens médicaux qui avaient été mené sur la victime de l'oubli, parvenant, en fin de compte, à la même conclusion que Dyson. C'était surnaturel et le monde mexicain dans lequel elle avait un jour voyagé constituait effectivement une solide piste. Et elle faisait effectivement office de guide tout désigné - si tant est qu'elle puisse se rappeler davantage de ce monde.
Dyson n'était vraiment pas mauvais pour ce qui était de motiver les gens. Ses nouvelles paroles commençaient déjà à avoir un certain effet dans l'estime de ses compétences qu'Amelia avait quand il fit allusion à une anecdote qui la déstabilisa totalement. La pelle à tartes. La pâtissière sentit ses joues s'empourprer et se mordit la lèvre inférieure, complètement gênée. Et comme ça allait forcément se voir, elle crut bon d'expliquer :
- Eh bien... Oui, oui, j'ai entendu parler de cette histoire parce que... en fait... J'y étais. C'était... moi. C'est... vraiment devenu un genre de légende ? demanda-t-elle abasourdie. Et... on m'appelle la guerrière pâtissière pour du vrai ?... Mince alors. J'aurai jamais cru qu'une idée pareille ferait le tour de la ville. J'ai pas fait exprès en plus. On était attaqués par des méchants mexicains - c'est pas raciste, ils étaient vraiment Mexicains, c'est comme ça, précisa la pâtissière, et j'avais été transportée là-bas alors que je revenais d'être allée voir les enfants malades à l'hôpital. Je leur avais ramené un gâteau et comme c'est plus pratique de couper les gâteaux avec une pelle à tartes j'en avais une sur moi et... Franchement, j'ai pas réfléchi, j'avais que ça sous la main. Je suis même étonnée que ça ait marché, pour te dire, confia Amelia. Mais... Merci. T'es pas mauvais pour motiver des troupes, tu sais ! On dirait le discours de machin dans les Revengers ou je sais plus quoi. Quand il dit aux gens de se rassembler et que c'est super "badass", comme dit mon fils. C'est vrai que c'était assez poignant comme passage. Je me rappelle pas de tout, cela dit. Trop de personnages.
Amelia balaya ce qu'elle venait de dire d'un geste de la main. On se fichait bien de ce que faisait les Revengers. Elle ne savait même pas pourquoi ça lui avait fait penser à tout ça. L'expérience de Dyson, sans doute.
Dans tous les cas, elle lisait clairement son excitation sur son visage et elle lui rappelait celle de ses enfants quand ils avaient très envie de faire quelque chose mais que leur maman n'était pas sûre que ce soit une bonne idée. C'était toujours très difficile de dire "non" à ce genre de bouille innocente et ses enfants le savaient très bien. Dyson l'avait peut-être deviné. En riant, elle confirma ce qu'il ne faisait que supposer :
- Oui, en effet, je l'ai vécu. J'ai pu me voir en version squelette bariolé. C'est... conceptuel mais pas laid. Juste surprenant.
Entre temps, Amelia continuait de s'occuper de sa boutique, sans doute inconsciemment l'idée que la journée allait continuer d'être normale. Elle releva cependant la tête quand Dyson mentionna une machine qui désimprimait les feuilles. Ca c'était vraiment cool.
- Elle a l'air chouette, ta machine ! On dirait un truc que Honey Lemon aurait pu inventer. Elle fait toujours des choses tellement dingues, cette jeune femme. Mais elle m'a jamais parlé de ça donc je pense pas que ce soit d'elle. Tu es un de ses amis inventeurs-scientifiques-geeks, du coup ? demanda-t-elle car elle s'intéressait toujours à la vie des gens (un peu trop, d'ailleurs).
Evidemment, la gêne du jeune homme dans l'évocation de cette machine et la très haute improbabilité qu'elle existe passait bien au-dessus de la tête d'Amelia. Et quand il sortit de La Pelle à tartes, Amelia le suivit par réflexe jusqu'à ce qu'il ne parle de se préparer et ce genre de choses. Elle se sentit prise de cours alors qu'elle n'aurait sans doute pas dû l'être vu tout le début de conversation mais répondit avec bienveillance :
- On est d'accord. Hm... Il faut que je prévienne mon associée que je vais m'absenter... un moment. Pour qu'elle tienne la boutique. Et mes enfants, tiens, au cas où. Pour une fois que j'ai le temps de les prévenir... Bref, tu n'as qu'à repasser d'ici une heure ici, ça devrait être bon ! Ah et... regarde le nom de ma boutique, sourit la pâtissière. Maintenant tu sais de quelle histoire il vient ! ajouta la quadragénaire avec un sourire avant de rentrer pour s'organiser.
Elle allait emmener Charlotte avec elle mais peut-être allait-elle d'abord la dépoussiérer car cette pelle à tartes n'avait plus servi depuis un moment. Puis elle mettait des muffins de côté. Mais d'abord, il fallait vraiment qu'elle prévienne Cassie, Velma et Declan.
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________________________________________ 2021-02-17, 23:40 « Cours Dydy, cours ! »

La Légende de la Pelle à Tarte
Je fis les gros yeux, ou je clignais des yeux, je n'étais plus très sûr de mon état alors que j'étais abasourdi, ou fasciné, ou totalement fan, ou en totale adoration, ou qu'importe, quelque chose du genre, lorsque je me rendis compte que la légende des rues de Storybrooke, c'était elle. Au fil des années, la mythologie de Storybrooke s'était construite avec ses propres légendes, puisque nous étions la preuve que la plupart d'entre elles sont réelles, mais généralement assez différentes que celles qui sont connues dans ce monde. Et la Guerrière Pâtissière faisait parti de cette mythologie. C'était peut-être bête, ou juste marrant, mais je trouvais ça extrêmement cool, ça c'était pour sûr. Mais pour moi, c'était un peu comme les super-héros qui ont sauvé la ville en 2019 : on ne saurait jamais qui c'était et on aurait jamais plus de réponse (hum hum... *sifflote*). Et pourtant, alors que toute cette journée n'était qu'un hasard, du hasard supplémentaire se rajouta alors sur la pile. D'abord, l'aide que je cherchais apparue soudainement pendant que je collais mes avis de recherche, et ensuite, la fameuse légende de la Pelle à Tarte, qui était justement née dans le monde que je cherchais à atteindre, se trouvait justement être l'aide en question. Le destin forgeait beaucoup d'histoires à Storybrooke : après tout, Regina, autrice de la malédiction, avait adopté le fils de la Sauveuse, destinée à casser la malédiction grâce à la connexion avec son fils. Sacré destin ! Le voilà qui s'amusait même dans les petites lignes, comme celles-ci. C'était marrant, et surtout, c'était...

C'est sacrément génial !! M'écriai-je enfin, ayant l'air encore plus enfantin qu'avant (mais je m'en fichais assez, vous l'aurez compris, esprit de l'enfance, tout ça). J'ai une chance incroyable aujourd'hui ! Je suis tellement content de voir que la légende est réelle ! Sauf si c'est un mensonge, mais... Amelia Peters n'a pas le portrait d'une menteuse, je trouve, confiai-je presque en sautillant sur place. Et l'origin-story de la Pelle à Tarte est trop marrante, commentai-je quand elle raconta comment la légende était née. Ca rajoute encore plus de piquant à l'histoire je trouve, c'est juste génial ! Répétai-je alors, simplement parce que c'était tout ce qui me venait : c'était tout simplement génial, rien dire de plus. Faut pas s'étonner que ça soit devenu une légende ! Expliquai-je quand elle s'étonna que son histoire en soit devenue une.

C'était amusant de voir que notre aventure, et donc ma mission de base, n'avait même pas commencé, pour voir que ça prenait déjà un très bon départ, et surtout avec un très bon duo. Une seule rencontre, et on s'entendait déjà super bien, avons déjà décidé de faire équipe pour résoudre mon problème ensemble, et avons déjà de super chances de réussir, ou du moins en étais-je pas mal optimiste.

J'eus un sourire ravi quand elle me fit le compliment sur la motivation des troupes. J'haussais les épaules pour rester humble. Disons que ces super-héros sont... une inspiration, on va dire, pour les discours d'encouragement. Avant même que je découvre les films de super-héros, en plus (ça n'existait pas vraiment dans la Forêt Enchantée), rajoutai-je avec une pointe de fierté. Heureusement pour moi, elle balaya le sujet rapidement, ce qui m'éviterait de m'égarer sur un sujet un peu trop secret pour être raconté davantage.

En revanche, elle mentionna autre chose qui tiqua ma curiosité (ou ma fascination, ou les deux, allez savoir). Tu as été un squelette du monde de la mort mexicaine ? C'est énorme, j'aurais trop voulu voir ça ! M'excitai-je à nouveau. J'imaginais à quoi je pouvais bien ressembler dans cet état. Ou à quoi elle pouvait ressembler. Tout ce que j'imaginais me donnait terriblement envie. Comme mourir n'était pas vraiment le plan, je doute qu'on passe à nouveau par là, mais tout de même, ça donnait vraiment envie. Il fallait voir ça au moins une fois dans une vie ! Ou... dans une mort. Tout ça était assez ironique en fin de compte. Et assez compliqué. Mais très excitant tout de même.

J'eus un sourire amusé quand elle parla de Honey. Sans le savoir, Amelia faisait plein de références extrêmement pertinente. Elle avait un très bon oeil, et certainement de façon totalement inconsciente, ou alors des dons de devin, mais l'un ou l'autre, c'était remarquable, marrant, et assez cool. Honey est l'une de mes meilleurs amis à Storybrooke, et sans la technologie avancée de son monde, je n'aurais jamais eu l'inspiration nécessaire pour construire un tas de choses, dont ça. C'est bien vu, Amelia, commentai-je bien que ce soit Lisa qui s'en soit chargée et pas moi, mais expliquer le fonctionnement de mon ancienne organisation de super-héros qui n'était plus en opération actuellement allait être un peu long, interdit, et pas vraiment pertinent, ou important.

Avant de partir pour préparer notre voyage, je levais les yeux vers le titre de la pâtisserie, auquel je n'avais jamais vraiment fait attention avant ça. "La Pelle à Tarte", lis-je avec un grand sourire amusé. J'adore ! Subtil, drôle, légendaire, pertinent, très bon nom d'enseigne, la félicitai-je en regardant l'enseigne encore quelques instants avant de tourner les talons et me dépêchais préparer mes affaires.

J'occupais donc la prochaine heure avec une excitation certaine. Mickey le vit, d'ailleurs, et dut revoir dans mon regard l'étincelle d'aventure que je n'avais plus depuis longtemps puisqu'il était assez content de lui. Ca s'annonce déjà bien, si j'en crois ton expression, me dit-il alors, assez fier de lui-même, puisque c'était lui qui m'avait mis sur la piste de ce mystère dans ce but précis. Je devais l'avouer, c'était bien vu, et ça marchait !

Oui, j'ai trouvé quelle direction prendre ! Aux côtés de la légendaire guerrière pâtissière, vois-tu ! Je vais explorer un monde des morts colorés comme imaginé au Mexique, aux côtés de celle qui s'est battue avec une pelle à tarte. C'est juste énorme ! Expliquai-je rapidement, dans un rythme de parole qui trahissait toute ma motivation, en préparant mon sac.

Il haussa les sourcils, essayant d'assimiler toutes ces informations. La légende de la guerrière, la légende mexicaine... ouah, je m'attendais pas à ce que tu vive autant de choses légendaires quand je t'ai mis sur cette piste, j'en suis presque jaloux, avoua-t-il avec une pointe d'adoration pour mon histoire.

Je mis enfin mon sac sur mes épaules, une fois prêt, et me précipitai vers lui pour embrasser mon frère sur le front avant de partir. Promis, la prochaine aventure c'est avec toi ! Sauf si l'imprévisible Storybrooke en décide autrement, tu sais comment ça se passe ! Lâchai-je en criant alors que je m'éloignais.

J'occupais donc le reste de l'heure, après avoir réuni mes affaires, à chercher deux pin's à la mairie, avant de revenir, espérant n'avoir rien oublié, à la Pelle à Tarte à l'heure du rendez-vous, avec un grand sourire, ravi de déjà retrouver Amelia, bien que ça ne faisait qu'une heure, plutôt excité de partager cette escapade avec elle.

Avant toute chose, lui dis-je en fouillant dans mon sac à la recherche d'un carnet et d'un stylo. C'est trop demander d'avoir un autographe de la guerrière pâtissière ? Mon frère va me tuer si je ne reviens pas avec (et c'est un peu pour moi aussi, j'avoue). Et il y a plein d'enfants chez moi qui adoreront cette histoire, avec la preuve de l'autographe à l'appui, racontai-je en tendant le carnet et le stylo avec un grand sourire quémandeur.

Je lui laissais alors le carnet, la laissant faire, alors que je cherchait déjà autre chose dans mon sac à dos. Cette fois, je sortais mon porte-monnaie, et un second petit sac plié que j'ouvris pour libérer tout son espace. En reprenant le carnet avec un grand merci, je lui tendis cette fois le sac. J'ai pris un sac vide avant qu'on se mette en route, que j'ai rapporté en plus pour les muffins, comme promis ! J'allais pas oublier ça quand même, rajoutai-je avec un grand appétit qui grandissait avec la vue des muffins en arrière plan que j'avais hâte de manger. Et cette fois, j'ai pris toute la monnaie dont j'aurais besoin, pas besoin de 1000 câlins pour compenser le manque d'argent et manquer de porter ce business à la ruine à force de ne pas tout payer, haha !

Je rigolais, mais j'étais très sérieux sur mon envie de rapporter comme vivre autant de muffins que mon sac sera capable de porter. J'avais peut-être des soucis d'argent, ou du moins, n'était plus aussi confortable avec mon compte en banque que j'étais avant, mais j'aurais toujours de l'argent pour ces muffins là. Et j'étais sûr que j'allais revenir régulièrement faire mes courses sucrées ici.

Une dernière chose, avouai-je un peu gêné cette fois. Avec tout ça, j'ai oublié d'aller aux toilettes avant de partir, sous la précipitation, et je doute que ça ne soit d'usage dans le monde des morts alors... je pointai du doigts l'arrière boutique. C'est possible d'utiliser celles de la Pelle à Tartes ? Demandai-je en grattant l'arrière de mon crâne.

Je m'y dépêchais alors, tandis que le sac se faisait remplir d'autant de muffins que j'avais ramené d'argent pour en acheter. Une fois que tout était prêt et que j'étais assuré d'être serein pour cette expédition, je sortis les deux pin's, et en tendis un à Amelia en échange du sac. Si tout est prêt alors... on a plus qu'à utiliser ça !

L'instant d'après... fut aussi merveilleux que perturbant. Face à moi, une immense ville entourée de noir, qui détachait le décor entièrement coloré et fantasque de la ville en question. Celle-ci était festive, agitée, merveilleuse, aux couleurs lumineuses et même aux odeurs ravissantes. Un immense sourire, à nouveau, se dessina sur mon visage. Ouah... Ouah Amelia c'est juste... ouah !

Je me tournais alors vers elle, et sursauta en la voyant squelettique. Littéralement squelettique : c'était un squelette, en fait, donc le crâne était décoré d'ornements et de fleurs assez jolies. Je me penchais alors vers mes propres doigts pour constater que... j'étais dans le même état. C'est génial ! M'écriai-je, ravi de réaliser ce souhait. Mais comment... fis-je toutefois, perturbé. Nous ne sommes pas arrivés ici en mourrant alors...

Alors vous croyez vraiment pouvoir arriver dans notre monde comme de simples visiteurs ? Retentit une voix derrière nous.

En nous retournant, on eut la surprise de faire face à une créature masculine gigantesque, fantaisiste bien qu'assez sombre pour le reste du décor. Euh... fis-je simplement, sans vraiment savoir comment m'adresser à lui. Etions nous en danger ?

Il regarda Amelia en haussant un sourcil méprisant, mais les yeux pleins de reflexion. Je te connais, non ? Mais sans laisser le temps de répondre, il rigola. Laisse tomber, je m'en fiche !

Il s'approcha de nous, me faisant presque reculer d'un pas, surtout lorsqu'il se pencha à notre hauteur. Vous êtes morts, c'est la condition pour rester ici. Mais ce n'est que temporaire. Voilà le deal : vous avez 24 heures pour trouver ce que vous chercher et sinon... vous serez morts pour l'éternité ! Fier de lui, avec un air diabolique, il disparut aussitôt.

Je clignais des yeux, totalement perturbé par ce qu'il venait de se passer. Je me tournais vers Amelia. Euh... c'était qui lui ? Demandai-je après un instant. C'est un bouffon, non ? Supposai-je assez facilement. J'imagine que s'il nous donne cet ultimatum... c'est qu'on doit s'attendre à ce qu'il nous mette des bâtons dans les roues ?

Après tout, quelle aventure serait-ce là si nous n'avions pas d'obstacles ou d'ennemis à affronter ? Tout ne pouvait pas être aussi simple, n'est-ce pas ? J'haussais les épaules, refusant de me laisser démonter. J'avais hâte de découvrir ce monde, quoiqu'il arrive, et j'étais plutôt confiant sur le fait d'être en vie ou non : nous avions des pin's retour de toutes façons ! Et si nous cherchions la famille Rivera ? J'ai hâte de faire la visite des lieux ! Je m'exclamais alors, totalement optimiste et plein de hâte.
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________________________________________ 2021-02-18, 23:49 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Dyson ne s'était pas trompé : Amelia n'avait rien d'une menteuse. Elle trouvait le mensonge vraiment très répréhensible (au moins autant que de s'approprier le mérite d'autrui ce qui, en fin de compte, revenait un peu au même) et, d'un point de vue purement pratique, extrêmement difficile à mettre en place. En bref, quand Amy mentait, même si c'était pour la bonne cause, on la grillait tout de suite. En l'occurrence, elle avait raconté tout ce dont elle se rappelait de ce petit éclair de génial (qui ne l'avait certes pas empêchée de mourir par la suite et donc de découvrir le Monde des Oubliés) et était à la fois très flattée et très surprise de susciter ce qui avait presque l'air d'une forme de vénération et de compliments.
Ce n'était pas tous les jours qu'on disait des remarques d'Amelia qu'elles étaient "pertinentes". En général on disait surtout qu'elles étaient "nombreuses" pour souligner le fait qu'elle parlait beaucoup. Ou bien on faisait plus ou moins semblant de vanter sa spontanéité pour, en fait, lui faire comprendre qu'elle racontait tout ce qui lui passait par la tête, souvent sans réfléchir, et que c'était agaçant. Mais Dyson était vraiment contente qu'elle ait mentionné l'adorable Honey Lemon. Et ça, ça avait énormément fait plaisir à la pâtissière. Elle se sentait à l'aise avec ce jeune homme, ce qui n'était pas rien au vu de la mission à laquelle elle avait accepté de participer avec lui. Clairement, on n'allait pas dans un monde des morts avec une personne à laquelle on ne faisait pas confiance. Ou alors c'était le signe d'une profonde inconscience - même si on pourrait argumenter qu'aller dans un monde des morts tout court est une preuve sérieuse d'inconscience. A Storybrooke, les choses sont manifestement plus relatives encore qu'ailleurs.
Si étrange que cela puisse paraitre, Amelia n'avait pas peur (pour le moment, en tout cas) de l'aventure qui l'attendait. Elle avait même parlé très calmement à Cassie puis à Velma, en lui demandant de transmettre l'information à son frère et de commander des pizzas le soir venu si elle n'était pas encore rentrée au moment du diner (sauf si Velma préférait cuisiner mais comme elle était étudiante, sa maman préférait qu'elle n'ait pas à se soucier de la cuisine qui entrainait irrémédiablement de la vaisselle et du rangement donc moins de temps pour travailler).
Velma n'avait pas hérité du caractère excité et exubérant de sa mère. C'était une jeune fille introvertie et calme qui donnait parfois l'impression d'être plus mature que ses parents. Elle accueillit donc la nouvelle de l'aventure prévue (à la dernière minute) par sa mère avec scepticisme et lui demande de faire attention. Comme elle ne manquait pas de tact, Velma ne précisa pas explicitement que si sa maman décédait dans le monde des morts, ses deux enfants n'auraient plus de parents du tout, mais s'arrangea (car elle était génialement brillante) pour faire passer le message. Et Amelia le comprit. Elle rassura sa petite fille chérie (en mentionnant notamment qu'elle avait pris un kit de premiers secours) puis raccrocha.
A l'heure dite, Amelia était devant sa pâtisserie, attendant Dyson, qui se montra ponctuel aussi et n'avait rien perdu de son enthousiasme. Bien au contraire. En fait, jamais de sa vie Amelia n'aurait cru qu'on lui demanderait de signer un autographe, en tout cas, pas pour quelque chose qui n'était pas lié à la pâtisserie ou à la cuisine. Et pourtant, c'était bien un carnet d'autographes que Dyson venait de sortir de son sac et c'était bien ce qu'il demandait.
Après avoir papillonné des yeux quelques instants, Amelia eut le réflexe d'apprendre le stylo et le carnet mais au lieu de signer machinalement comme s'il s'agissait d'un bon de livraison, la jeune femme prit le temps de réfléchir à une dédicace personnalisée. Après y avoir réfléchi, Amelia finit par écrire :

Pour mon ami Dyson, son frère et les tout plein d'enfants qui vivent chez eux
En souvenir de notre aventure mortelle
Amelia Peters

A cela, la pâtissière ajouta un rapide croquis d'une pelle à tartes et d'un gâteau puis elle rendit son carnet à Dyson. Lui, pour sa part, déplia un autre sac que celui sur son dos et demanda à ce qu'il soit rempli de muffins. Qu'à cela ne tienne, Amelia n'allait pas dire non à faire quelques affaires ! Elle entraina donc Dyson de nouveau dans la boutique (ils allaient au royaume des morts, après tout, on pouvait donc considérer qu'ils avaient l'éternité pour se mettre en route et qu'ils seraient quand même à l'heure) et remplit le sac des précieux muffins, prenant soin de les emballer pour ne faire faire de miettes dans le contenant (et par mesure d'hygiène).
Après tout ça, ils seraient à partir, ou presque. Apparemment Dyson avait besoin d'utiliser les toilettes et trouver cela gênant de demander. La pâtissière lui sourit, compréhensive, sans le juger. Elle-même avait pris ses précautions cinq minutes auparavant car elle s'était faite la même réflexion au sujet du monde des Oubliés.
- Tu passes derrière le comptoir et c'est au fond à gauche, tu peux pas te tromper, indiqua la commerçante.
Elle ne lui demanda pas de se dépêcher, n'étant pas elle-même pressée, mais eut la sensation que Dyson avait tout fait pour revenir au plus vite et tant qu'il s'était lavé les mains, ça lui convenait. De son côté, Amelia avait fini de remplir le sac de muffins mais n'avait pu s'empêcher de noter que le jeune homme avait l'air plus gêné qu'elle vis-à-vis de ce besoin pourtant des plus naturels. Peut-être ne savait-il pas que les femmes étaient réputées pour avoir souvent besoin d'y aller et qu'elles ne jugeaient en général pas ceux qui partageaient cette envie.
Mais sans revenir sur le sujet, Amelia se contenta de rendre son sac au propriétaire non sans énoncer le total dû et ajouter :
- Comme nous sommes partenaires d'aventure, je t'ai fait dix pour cent de réduction cette fois. T'en fais pas, ça devrait pas me ruiner, annonça Amelia avec un sourire espiègle.
C'était commerçant que de faire des ristournes sur les grosses commandes et la pâtissière vendait rarement autant de muffins d'une seule traite. Elle pouvait bien se le permettre, notamment pour fidéliser Dyson bien qu'il ne donnait pas l'impression d'avoir besoin de plus d'arguments que ce qu'il savait déjà d'Amelia.
Sans épiloguer, cette dernière attrapa le pin's que lui tendait Dyson et leur vraie aventure commença, enfin.

L'instant d'après, en effet, ils s'étaient matérialisés dans le Monde des Oubliés et Amelia, bien qu'appréciant le décor chamarré, songeant que ça n'avait pas tellement changé par rapport aux souvenirs qu'elle en avait. Toutefois, elle ne voulait pas paraitre blasée en disant cela et garda, de fait, ce commentaire silencieux. Ce n'était quand même pas tout le monde qui pouvait assister à un spectacle aussi étonnant et elle comprenait parfaitement l'émerveillement de Dyson pour l'avoir, elle aussi, ressenti quelques années auparavant. Puis vint son étonnement, quand il se vit en squelette, une autre sensation qu'elle avait connue avant lui. D'ailleurs, même si c'était la dernière fois, Amelia était surprise de revenir en squelette au visage (si on pouvait encore appeler ça un visage) décoré de fleurs et autres motifs. Elle n'aurait pas été contre rester en vie (c'était un projet qu'elle comptait mener sur le long terme, à vrai dire, en espérant atteindre le centenaire) mais s'imagina que s'ils étaient partis vivants ils reviendraient probablement vivants aussi ! Il fallait faire confiance aux pin's de la maire. De sa mairie, celle pour laquelle elle travaillait.
Oui, voilà, c'était le secret ! Et c'est avec cette conviction en tête qu'Amelia se tourna vers la voix qui les avait interpellés... avant de se figer, décontenancée. Si elle avait pu, elle aurait sans doute blêmi mais comme elle ne pouvait pas, elle ne blêmit pas et décida de rester bien droite et fière, même si Xilbalba la mettait toujours mal à l'aise.
Qu'il l'ait reconnue, en fin de compte, la mettait même davantage mal à l'aise. Peut-être voudrait-il se venger de ne pas avoir garder son âme la première fois. Le deal qu'il proposait, en fin, n'inspirait pas confiance à Amelia, qui avait pourtant beaucoup de confiance à revendre. Heureusement, Dyson semblait aussi méfiant envers lui. C'était une bonne chose de voir que, même sans se concerter, ils étaient sur la même longueur d'ondes !
- C'est Xilbalba et c'est pas un gentil, expliqua la pâtissière en serrant les dents. Alors oui, il est suffisamment fourbe pour essayer de nous embêter. Je crois que je l'appelais Xilou la pauvre tâche ou quelque chose comme ça la dernière fois. En plus c'est pas évident à dire, Xilbalba. J'avais dû mal. Mais si on prend les noms propres en compte au Scrabble ça peut rapporter beaucoup sur une case mot compte triple. Tu penses que c'est mauvais signe s'il m'a reconnue ?
Amelia ne voulait pas s'en inquiéter de trop mais, quand même, ce n'était pas une information à prendre à la légère ! Il y avait des millions de morts dans ce royaume et Amelia aurait cru qu'elle passait relativement inaperçue - morte comme vivante, d'ailleurs. Pour le coup, elle n'était pas spécialement flattée d'être reconnue.
- Tu as raison, cherchons cette fameuse famille ! reprit-elle plus convaincue. Tu as une idée de par où commencer ? Tu les connais sans doute un peu mieux que moi alors ils ont pu te donner une indication sur... Je sais pas, leur genre de maison ? Je me suis jamais demandée si on mourait comme on avait vécu, en fait. On peut essayer de trouver la mairie locale et consulter les registres. J'imagine qu'ils en ont sinon bonjour le bazar ! commenta la pâtissière qui savait de quoi elle parlait quand elle parlait de bazar : avec Hadès, le maire en fonction, ça partait des fois dans tous les sens et heureusement ils avaient une bonne organisation dans leur mairie pour que la ville reste debout et les décisions relativement cohérentes.
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Dyson R. Parr
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Dyson R. Parr

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La coalition se forme pour trouver à Aster son véritable amour
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________________________________________ 2021-02-24, 22:49 « Cours Dydy, cours ! »

La Légende de la Pelle à Tarte
Dyson sourit, parce qu'il souriait beaucoup, on l'aura compris depuis le début de cette journée et de cette rencontre avec Amelia, et était cette fois, dans son sourire, à la fois ravi, amusé, et incroyablement heureux comme pourrait l'être un gamin. Tant pis s'il passait pour plus petit ou moins mature qu'il n'était vraiment, à quoi bon se cacher alors qu'une des légendes qui faisaient la mythologie des rues de Storybrooke venait de lui signer un carnet, avant, détail non moins important, de partager une aventure (au premier sens du terme, je sens que cette phrase à double sens peut prêter à confusion, mais ce n'était pas l'intention, d'y porter un double sens) avec lui. Et j'en étais amusé, parce qu'en plus d'être une dédicace particulièrement excitante, elle était terriblement adorable et toute gentille, à l'image de celle qui l'avait écrite, avec une pensée non pas que pour lui, mais pour Mickey et les enfants particuliers qui n'attendaient que ça (ou qui n'attendraient, plutôt que de la voir une fois que Dyson leur aurait parlé d'elle). Et le croquis termina la signature de la plus exquise (ici, le double sens, pour provoquer le jeu de mot, est bien voulu, bien que je suis d'accord, la blague sur aventure était plus drôle que ça) des façons.

Merci, c'est parfait ! Je te donnerais bien quelque chose en échange, mais je ne sais pas ce qui peut valoir la même chose, dis-je en reprenant mon carnet que j'échangeais avec le sac prévu pour apporter les muffins achetés pour le voyage, content et à la fois confus de ne pas lui donner de cadeau de la même valeur. J'ai bien été à la mairie mais ce n'est pas un titre qui alimente les grandes légendes. Surtout que tu y es aussi, aujourd'hui alors ça n'aurait pas beaucoup d'intérêt de faire la dédicace d'un ancien adjoint actuellement presque au chômage. J'avais aussi été le leader des toons, mais ça n'allait rien vouloir dire pour elle, et le leader des super-héros mais c'était secret (je n'étais pas certains encore du nombre de gens malfaisants qui en avaient après nous alors je préférais que le côté secret soit gardé, surtout que j'ai failli frôler le sujet un peu plus tôt).

Je salivais d'avance devant tous les muffins qu'elle nous préparait, et, si j'écoutais ma gourmandise et ma physiologie assez chanceuse (parce que j'étais très physique) qui ne me faisait quasiment jamais grossir (en fait, je devais essayer de prendre du poids, parfois), j'aurais pu tout manger ici même, mais cette option m'aurait rempli de regrets une fois en pleine mission dans le monde souterrain du Mexique. Surtout si c'était une fête : il fallait fêter ça comme il se doit, jusque dans les détails. Et les détails, ici, c'était la sucrerie. Mais de toutes façons, quelque chose d'un peu gênant me distrayait trop pour céder à la gourmandise, et me voilà plutôt à demander des toilettes. Si j'avais été omniscient ou capable de casser le quatrième mur, j'aurais pu savoir, grâce au savoir du joueur, que certaines missions ont commencé avec un passage toilette dans une pâtisserie (celle de Robyn, cependant, et pas celle d'Amelia... ou du moins de ce que j'en savais - ou ce que j'en savais pas, justement) et que c'était bon présage puisque la mission s'était bien finie. Ou plutôt mauvais signe puisqu'on ne sortait jamais vraiment indemne d'une mission divine, qu'elle se finisse bien, ou non. Quoiqu'il en soit, le chapitre toilettes en pâtisserie était accompli, parfait pour annoncer une mission formidable, qu'elle soit chaotique ou désastreuses (oui, ces deux options se ressemblaient mais j'ai appris que j'étais trop optimistes sur la vie à Storybrooke, et qu'il fallait que je me pose des limites, j'apprends encore à doser. De toutes façons, je le sentais bien, cet exercice de calmer l'optimisme de fonctionnait absolument pas sur moi).

Oh tu n'aurais pas dû, c'est trop gentil ! Soulignai-je, surpris et touché par la réduction des muffins que j'étais pourtant prêt à payer dans la totalité avec enthousiasme. Je notais toutefois ce geste dans ma tête, reprenant le reste qu'elle me "devait" suite à la ristourne. Je rendais toujours les actes de générosité qu'on me faisait et ne comptait pas laisser passer ça sans qu'on soit quitte. Les vraies personnes gentilles n'étaient pas gentils pour avoir un retour, mais c'est justement ça qui me faisait penser qu'elles en méritaient un, de retour. Ce qui n'allait pas être difficile, parce que dans la vie de tous les jours, lorsqu'elle reprendra après notre escapade mortelle et mexicaine, je comptais bien revenir dans la pâtisserie pour manger. Je savais déjà que ce n'était certainement pas la dernière fois que j'y mettais les pieds !

Dédicace d'une légende de pelle à tartes, muffins, toilettes et réductions terminés, nous n'avions plus rien à faire de plus pour nous préparer. Une fois que nous ayons donc constaté que nous étions prêts pour partir, nous n'attendîmes pas un instant de plus. Littéralement, puisque l'instant suivant s'était passé au monde des morts, nous laissant découvrir un paysage édulcoré, festif, qui me faisait rêver. Amelia à mes côtés semblait presque être chez elle, puisque ce n'était pas de l'émerveillement qui s'affichait sur son visage mais plutôt l'expression ravie et assurée de quelqu'un qui connaissait les lieux. Et il fallait dire que ça aussi, ça faisait rêver. Moi aussi je voulais bien être habitué et connaître les lieux ! Mais maintenant que la mairie a mis en place ces petits bijoux de pin's, qui nous rendaient possible le voyage vers le monde de nos origines et de celles des autres, il était tout à fait possible d'aller et revenir à volonté, plus ou moins, vers ce genre de paysage, et ça me rendait tout à fait heureux de le constater.

Du moins, une joie que j'appris également à calmer, et assez rapidement, en constatant notre état de mort. Plus précisément, ce n'était pas ça exactement qui calmait mon enthousiaste (pour être honnête, ça avait plutôt eu tendance à le booster), mais l'arrivée du type étrange, bien moins coloré mais tout aussi fantasque, qu'Amelia connaissait puisqu'elle me le nomma. Xibalba, ou Xilou la pauvre tâche, un surnom qu'elle lui donna et que je voulais très volontiers adopter pour la pauvre tâche en question, nous donna des conditions et un ultimatum. A vrai dire, il ne nous impressionna pas vraiment, ni Amelia qui le connaissait (et à travers son regard, son supposait facilement que Xilou la pauvre tâche était un gros naze), ni moi qui ne le connaissait même pas mais qui n'en était pas impressionné pour autant.

Si son nom est aussi naze que sa personne (j'adopte le surnom, d'ailleurs, ça semble parfait), je crois bien cerner le personnage, répondis-je à Amelia sur un ton partagé entre une attitude blasée et un air amusé par le Xilou en question. Je ne pense pas que ça soit mauvais signe, cela dit, qu'il t'ait reconnu, la rassurai-je ensuite. Déjà parce qu'il m'a l'air tout à fait débile, et ensuite parce qu'il n'avait pas l'air de se soucier réellement du fait qu'il pense t'avoir déjà vu. Mais restons vigilent, ce genre de serpent peut toujours se montrer sournois quand on ne s'y attend pas, rajoutai-je cependant, même si je ne le connaissais toujours pas, mais surtout par habitude de ce genre d'antagoniste.

Je regardais le paysage coloré du Monde des Morts avec réflexion alors qu'elle me demanda une piste, puisque nous étions d'accord sur la stratégie à adopter, à savoir chercher la famille de notre... euh client ? patient ? victime ? Victime. Malheureusement, c'était peut-être une bonne façon de le nommer. Mais voilà, comment faire ? Et même Amelia qui connaissait déjà ce monde ne pouvait pas m'apporter ses habitants comme ça par la force de la volonté. Mais je relevais un sourcils aux dernières suppositions d'Amelia que je trouvais très pertinentes, même pour une théorie.

Bien sûr, des registres ! M'exclamai-je avec l'enthousiaste de quelqu'un qui tenait une idée, qu'elle soit la sienne ou pas, du moment qu'elle semblait bonne. J'ai son nom, Angel Rivera, et pour des registres, souvent, il ne suffit que de ça ! Si on demande les parents d'Angel Rivera, on devrait avoir au moins une direction. Ca vaut le coup d'essayer, bonne idée ! La félicitai-je alors que nous nous mettions en route, non sans admirer nos corps fleuris et dessinés, pour ma part en tout cas, toujours aussi excité de vivre quelque chose d'aussi cool.

Marcher dans la ville était encore mieux que de la regarder de loin. Il y avait de la musique à chaque recoin, des musiciens à chaque coups d'œil, de l'animation vive et agitée à chaque étage, des couleurs illuminant chaque détail. J'explorais ça vraiment avec les yeux d'un enfant, pour le coup, tournant sur moi même tout en avançant en sautillant presque pour m'assurer de ne louper aucune des merveilles qui se présentaient à nous. Parfois, j'étais bien obligé de m'arrêter dans notre marche puisque j'étais entrainé dans le chant et la danse d'un groupe ou d'un autre, et j'adorais ça. A chaque fois qu'on s'éloignait d'une nouvelle rencontre, on s'assura de lui demanda la direction d'un quelconque registre, et tous nous donnaient le chemin vers le bureau administratif. Amelia avait visé dans le mille.

Après une longue marche mais qui n'était absolument pas désagréable et que j'aurais même souhaité encore plus longue si nous n'avions pas une mission à remplir à la base, nous arrivions dans un bâtiment aussi beau que le reste de son monde. Au milieu, un arrêt de gare pour les transports, et tout autour, des centaines de bureaux administratifs, comme il n'en fallait surement pas moins pour gérer les morts d'un monde entier.

On s'approcha alors d'un bureau d'accueil, où un agent semblait rouspéter sa propre mâchoire qui se détachait quand il voulait manger quelque chose, un spectacle qui manqua de me tirer un sourire que je retins pour ne pas être impoli.

Excusez-moi, m'annonçai-je, le faisant sursauter alors qu'il replaça rapidement sa mâchoire vagabonde. Nous cherchons une famille, du nom de Rivera. Nous ne connaissons le prénom que d'un fils, encore en vie, Angel, expliquai-je alors en restant clair et mesuré, calmant l'excitation qui courrait toujours en moi.

Efficace, et en tout cas bien plus que dans les administrations de chez nous, l'agent se mit directement à pianoter sur un clavier sur son bureau. Bien sûr, un petit instant je vous prie, dit-il en parcourant des yeux ses recherches, un bon petit moment qui ne présageait rien de bon, avant de reprendre pour confirmer mes craintes. Je n'ai personne, malheureusement, annonça-t-il d'un ton triste comme si ça impliquait quelque chose que je n'avais pas en tête.

Ca veut dire que... commençais-je, douteux, espérant qu'il finisse ma phrase.

Qu'ils ont été oubliés, expliqua l'agent sur un ton fataliste. Ils se trouvent désormais dans le sinistre domaine de Xibalba...

Haussant les sourcils, je me tournais vers Amelia. Bin tiens... il n'aura pas mis longtemps avant de réapparaître dans notre mission...
code par drake.
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Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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________________________________________ 2021-02-25, 18:26 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Dyson était marrant à bien des égards. Maintenant qu'il en avait parlé, Amelia se rappelait d'avoir eu vent de sa nomination au poste d'adjoint au maire, quelques années plus tôt. Mais elle ne l'avait pas réellement croisé à cette occasion et le fait lui était donc sorti de la tête. Toutefois, elle ne doutait pas qu'il ait été un adjoint plein d'entrain (notez la rime digne d'un jingle de pub) et ne manquerait pas de se renseigner sur les faits notables auxquels il avait, elle en était certaine, participé. En tout cas, s'il avait fait des discours, il fallait espérer que quelqu'un les ait gardés car il n'était pas mauvais orateur. Ses paroles étaient très encourageantes et toujours gentilles, ce qui avait le don de plaire à Amelia.
Cette dernière n'était pas particulière fière du surnom enfantin qu'elle avait donné à Xilbalba mais pas mécontente, à vrai dire, qu'un garçon deux fois plus jeune qu'elle (environ, à en juger par son apparence) apprécie ce genre d'appellations plutôt que de penser qu'Amelia était passée du côté des boomers. Non pas qu'elle le redoutait. La pâtissière n'avait jamais trop été dans le vent. Mais boomer, quand même, ça sonnait très péjoratif.
- Tu as raison, soyons vigilants, approuva Amelia en sortant sa pelle à tartes de son sac à main, au cas où. Xilbalba je pense que dans le dictionnaire mexicain c'est catégorisé comme un synonyme de sournois.
En fait, c'était sans doute faux car les dictionnaires ne mélangeaient pas les noms propres et les noms communs. Mais l'idée aurait été bonne, Amelia en était persuadée. Quant à la pelle à tartes, puisque c'était cette culture qui l'avait rendue célèbre (bien plus qu'Amelia ne l'aurait imaginé), cette drôle d'arme serait sans doute utile. Ou alors elle rendait Amelia singulièrement ridicule mais, au pire, elle ne connaissait personne dans le coin. Son mari n'était pas mexicain, il menait donc sa vie de mort ailleurs, c'était logique.
La famille Riviera, en revanche, était forcément dans ce monde et Amelia était à présent curieuse de les rencontrer. Mais cette curiosité n'était rien en comparaison avec la joie qu'elle éprouvait dès que quelqu'un approuvait l'un de ses plans. Se sachant assez mauvaise stratège (et encore pire quand il s'agissait de bluffer, d'ailleurs), Amelia partait bien souvent du principe que ses idées, qui étaient rarement le fruit d'une longue réflexion mais plutôt l'expression spontanée de sa pensée, n'avaient pas énormément de valeur. Mais puisqu'un ancien adjoint du maire (quoique ce titre puisse avoir comme valeur vu la ville où ils habitaient) l'approuvait, Amelia se mit en quête du registre des morts avec encore plus d'aplomb.
Et la suite du chemin ne fit que confirmer la théorie spontanée et hasardeuse d'Amelia, le tout, la plupart du temps, en chanson et en danse. Aidée par le fait qu"elle ne connaissait personne dans le Monde des Oubliés, la pâtissière n'avait pas mis longtemps à se laisser porter par la musique, à défaut de connaitre les paroles des chansons. Elle avançait ainsi en dansant plus qu'en ne marchant et veillait bien à garder leur objectif en tête, quand même. Il aurait été dommage que, grisé par l'atmosphère de fête perpétuelle, elle et Dyson oublient leur mission. Qui savait ce qu'il advenait de deux vivants qui restaient trop longtemps au pays des morts ? Ou plutôt : qui avait envie de le savoir ?
Amelia n'aurait pas su dire combien de temps ils avaient marché jusqu'à l'immense bureau qu'on avait eu de cesse de leur indiquer mais ce qu'elle pouvait dire c'est qu'elle ne ressentait pas l'effort ni la fatigue qui accompagnaient en principe ce genre de marche. C'était sans doute l'effet de la mortalité qui agissait sur eux. Leurs corps s'étaient adaptés au monde où ils séjournaient pour un moment. Dans tous les cas, Amelia fut bien contente de découvrir cette immense gare dans laquelle elle n'avait pas mis les pieds lors de sa première visite.
- Je découvre avec toi cette partie ! commenta-t-elle à l'intention de Dyson. Rien à voir avec Grand Central. Ils devraient prendre exemple pour refaire la déco, suggéra-t-elle aussi alors qu'ils se dirigeaient vers un comptoir.
Etrangement, l'agent avait l'air bien plus amusant que les agents vivants qu'on voyait d'habitude dans ce genre d'endroit. Amelia lui adressa ce qu'elle espérait être son plus beau sourire (elle n'avait pas l'habitude sourire en n'étant qu'un sac d'os) et laissa à Dyson le soin d'expliquer leur requête. Tout avait l'air de se passer comme sur des roulettes. L'agent était professionnel et rapide (certains pourraient en prendre de la graine et j'écris ça en étant à bord d'un train - ndlr), malheureusement, son efficacité aboutit sur une mauvaise nouvelle. Pas de Rivera dans les registres. Mince. Si elle avait pu, Amelia se serait mordu la lèvre de déception.
- Excusez moi ? intervint alors la pâtissière. On a pas un très bon sens de l'orientation, vous sauriez nous rappelez comment on va dans le sinistre domaine de Xibalba ? Ca serait pour parler aux Rivera, justement, expliqua poliment la jeune femme.
L'agent la jaugea, sceptique, pendant un moment avant de dire :
- Vous avez pas l'air banal, ma petite dame. En général on me demande plutôt comment on ne va PAS au sinistre domaine de Xilbalba. J'aurais envie de vous dire que le meilleur moyen c'est d'attendre de vous faire oublier, sauf que si vous êtes connu ça peut prendre un peu de temps. Voire ne jamais arriver, comme pour Jésus si Jésus était Mexicain. Heureusement pour vous, un train de fret par pour le sinistre domaine de Xilbalba dans quinze minutes. C'est pas le grand confort mais si ça vous ennuie pas de voyager au milieu des containers, vous pouvez aller voie 0. Dites que Carlos vous envoie, ça devrait être bon.
- Merci ! s'écria Amelia, ravie de la solution efficacement apportée.
Elle s'apprêtait déjà à partir quand elle réalisa qu'ils n'avaient pas payé de ticket :
- Euh... Pardon monsieur, sourit-elle de nouveau, mais c'est combien de billets de train pour partir au sinistre domaine ?
L'agent se gratta la tête, réfléchissant. Il avoua finalement :
- Eh bien en général on n'a que des arrivées, jamais de départ alors... On va dire que c'est la maison qui offre ! Voilà. Bonne journée, messieurs dames.
Avant que Dyson et Amelia n'aient pu protester, l'agent fit signe à la personne suivante qui attendait un renseignement et se désintéressa d'eux. Le duo se mit donc en quête de la voie 0, mentionna Carlos à l'agent qui s'occupait de ce train, et s'installa parmi les containers comme indiqué. A l'heure prévue, le train parti sans annonce particulière. Et comme Amelia ne savait pas combien de temps durerait le voyage (elle regrettait de ne pas avoir demandé, maintenant c'était trop tard surtout dans un train de fret où il n'y avait sans doute pas de contrôleur pour la renseigner), elle décida de faire la conversation à Dyson :
- T'as raison, Xilbalba refait déjà parler de lui. On aurait peut-être dû lui demander directement de nous emmener mais il aurait sans doute marchander encore plus ou essayer de nous rouler, ce qui est un peu pareil, en fin de compte. Au fait, si le chômage te pèse - moi ça me pèserait en tout cas - ça m'arrive de prendre des extras en vente pendant les périodes de rush comme la St Valentin, carnaval et Pâques. Tu peux toujours me laisser ton CV si on ne meurt pas dans cette aventure ! s'enthousiasma Amelia qui se rappelait de ce petit commentaire en passant fait quand ils étaient encore vivants.
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