« Pour réaliser une chose extraordinaire, commencez par la rêver.
Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 [Fe] The Day of the Dead - Événement #45

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*Pitch Black
Calliope Lloyd-Webber
Diane Moon
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Anonymous



[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 _



________________________________________ 2015-10-17, 01:22



The day of
the Dead

Belle journée pour une fin !
.




C'est partit. Je ressentais une légère inquitude, ce qui m'était bizarre. J'allais revoir Xibalba, pas l'embrassée. J'allais faire comme au bond vieux temps, l'engueuler et récupérer ce qui me revenais de droit ! Je fixais Callio ce taper une danse avec les zombies, déclenchant un rire tordu de ma part. Non sérieux, je me serais bien prêter au show moi aussi, mais la voir la faire toute seule était trop fort ! - Stop ! Arrête la déprime, et moove your body, allez ! "Oh don't you dare look back. Just keep your eyes on me." I said, "You're holding back, " She said, "Shut up and dance with me!" This woman is my destiny. She said, "Ooh-ooh-hoo, Shut up and dance with me." Oh oh elle faisait le MJ ! Un nouveau rire s'échappa de moi, alors que j'applaudissais pour l'accompagner. Remarquant les visages des autres, je cessais de frapper mes paumes pour me concentrer sur la situation. Bon. Comment combattre ce que l'on ne pouvait toucher ? Si seulement mes pouvoirs remarchais, j'aurais pu balancer une boule de feu ! Ah, comme ça me manquait, mais tellement. Prenant un profond soupire, je fus surprise de découvrir Amelia sur un char qui fonça à toute allure dans les portes de mon château. Un cris s'echappa de mes lèvres alors que je voyais ma pauvre porte tomber au sol. Mon château ! Elle venait de tuer mes portes ! Mes belles portes !

▬ « Noon non non ! Mes portes ! » Plaquant mes mains sur mes joues, je les laissais retomber doucement, fixant les dégats avec une moue. Bon. C'est pas grave sa ce répare ! Et puis j'en referais des plus belles, voilà tout ! Oui, ca c'est bien ça ! Toujours voir le cotés positif des choses : Si tu tombe dans les escaliers, dit toi que t'es déjà arrivée en bas ! Cela me fit décrocher un sourire à ses pensés de courte passage, alors que je me depêchais de rejoindre les autres sur le char. N'empêche Amelia, elle était terriblement badass sur le char. C'était trop classe ce qu'elle venait de faire ! Pourquoi j'y avais pas pensée plus tôt moi ? Je m'arrêtais soudainement, en remarquant une personne en plus. Tiens, j'avais pas le souvenir de l'avoir vue dans le lot celle là ... Tous dans le château ! Allez ! Eh mais c'est qui cette passagère clandestine ? Ah mais oui carrément ! Mais c'est pas grave, ca fait de la mains d'oeuvre en plus ! Je grimaçais au choix de la chanson d'Amelia. Barbie girl ? Vraiment ? Oui bon, après chacun ces gouts hein, mais vraiment … Oui non en fait, cette chanson me vrillait les tympans et j'étais pas interéssée par les barbies. Si ils voulaient des filles en plastique, ils n'avaient qu'a choisir les pimbêches de la télé réalité ! Je fis quelque pas vers les commandes, poussant un levier pour changer de chanson.

▬ « Désolée Amelia, mais Barbie Girl c'était vraiment pas possible quand même ! Regarde celle là, elle est plus fun ! » Déclarais-je en tournant une manivelle d'un air theatrale. Aussitôt, Aqua ce transforma en Brunos Mars. Et c'est partit pour Uptown Funk ! Oh qu'es ce qu'elle donne la pêche celle là. Le char ce mit en route, et on poussait une seconde fois des portes pour mon plus grand malheur. Mon pauvre château. Détruire celui de Xibalba d'accord. Mais pas le mien ! Il était chouette le mien. Je l'aimais bien moi. C'est pas pour rien que c'était mon château quand même. Il était grand, colorés, joyeux tout comme moi ! Ca me faisait du bien de le revoir, ca me renvoyais des souvenirs nostalgique. L'appartement me semblait bien petit après tout ça. Alors que j'avais la tête plongé en dessous du tableau de bord, je sentais quelqu'un m'appeler. - Euh... Jez... Je relevais soudainement la tête pour voir celle de Callio qui semblait totalement morbide. Oui bon avec son nouveau visage aussi, ça avais un coté très dramatique assez marrant. On dirait qu'ils ne s'y faisais vraiment pas au visage colorés. Moi j'aimais bien.

▬ « Ouep ? » Je la regardais elle, alors que je sentais très bien ces doigts ce glisser sur mon menton pour me tourner la tête dans le sens de la route. Ah. Ca. Je sentais mon humeur baisser d'un long et immense cran en découvrant la nouvelle déco de mon mari. Noir. Gris. Lumiosité verte. C'était moche. J'aimais pas. Un haut le cœur me prit alors que je me contentais de grimacer, horriblement choquée et désespérée. Non vraiment, mon pauvre château en prenait des bonnes. Vous avez vue cette déco morbide ? Même Cristina Cordula partirais en courant. Je soupirais, ca me déprimait de voir ça. « Mais non ! Non non ! C'est quoi ça ? Elles sont ou mes belles couleurs chaudes ? Ah ce rustre va me le payer ! » Lachais-je amèrement en serrant les poings. Mais faut me comprendre aussi ! C'était horriblement moche, ca déprimait ça. Ca conduisait les gens au suicide quoi. Cependant, je remarquais qu'il n'avait pas pris la peine de bouger les meubles. Ils étaient toujours là. Je les couvrais d'un regard doux, proie au souvenir une nouvelle fois. Le fauteuil étaient retournée par contre, comme ...SURPRIIIIIISE ! Ah d'accord. Il avait carrément sortit les feux d'artifice, les flammes vertes et tout le tralala. Je le fixais d'un air blasée. Il avait prit sa forme humaine. Il venait de ce présenter à nous dans son fauteuil avec son air theatral habituelle. J'avais déjà envie de lui mettre des claques. Et le Star Wars quoi … Sérieux ? - T'es sûre que t'en veux plus ?

▬ « Calliope Lloyd Webber ! » M'offusquais-je en lui donnant une boutade à l'epaule. « Ni pense même pas une seule seconde ! » La menaçais-je. Teeeeemps moooort ! Ma meilleure amie venait vraiment de pensée à ce faire mon ex ? Mais non ! Une meilleure amie ca respecte les règles, ca ce fait pas les exs ! Cepandant, je me reconcentrais aussitôt sur mon ''mari'' si on pouvait l'appeler comme ça. Mais mince quoi, il venait de me supprimer mes pouvoirs, de me voler mon royaume ! C'était pas la première fois, il cherchait toujours à me le prendre ! Ah oui, monsieur était visiblement très affecté par ma disparition. Crispée, je sortis le fleuret de Melody et sautait directement à sa gorge. Assez. Il était temps de réparer toute ces conneries. Je tombais à la renverse avec lui, à cali fourchon sur son torse et mon épée parfaitement plaquer contre son cou. « Chéri, je suis rentrée ! » Ironisais-je, mauvaise. Non en fait j'étais pas rentrée du tout. Je voulais juste réglée mes affaires avec lui, retrouver Manolo et rentrer. Et retrouver mes pouvoirs surtout. - Ma chérie ! Je sais que tu es dans tout tes états de me revoir, mais tu n'es pas obligée de déformer ma chemise ! Je l'ai repassé ce matin pour l'occasion. Pardon ? PARDON ? Je le fusillais du regard. Ah comme je détestais qu'il face sa tête à claque ! Là, il faisait son Xibalba Show, claire et net qu'il allait nous donner du spectacle. Spectacle que j'allais lui faire ravaler. Monsieur chopa mon poignet et m'ecarta directement d'un coup. Je poussais un hurlement de frustration. D'accord. Tu veux la guerre ? Je levais mon épée pour l'abattre directement en plein dans sa sale face de guignol, mais j'avais oubliée un sale point essentiel : Il avait les mêmes pouvoirs que moi. Ainsi, je regardais mon précieux mari s'echapper pour aller ce terrer derrière Diane.Le regard meurtrier qui traduisait parfaitement mes intentions fut un message parfaitement passée à Xibalba.  Mi amor, pourquoi être si en colère ? Tu devrais plutôt être heureuse de voir ton mari adoré !

Bon d'accord, là je me sentais clairement énervée. Je m'approchais de Diane, qui pris un malin plaisir à s'ecarter pour que je salut comme il ce devait mon mari. Une femme devait toujours saluer son mari, non ? Je m'approchais de Xibalba, les yeux en feux. Il allait comprendre sa douleur. Ma mains me démangeais affreusement, et d'un claquement sec mais puissant, ma mains voltigea dans les airs pour venir terminer sa trajectoire sans la joue de monsieur parfait. Sa tête ce tourna d'un coup sec, et je fixais ma mains rouge, la paume chauffer à bloc. Je sentais une légère vibration et une petite douleur s'insinuer. Mais je m'en fichais. Je venais de le frapper avec toute ma rage, avec tous ce qu'il méritait et ca faisait clairement du bien. Alors chéri, content de me revoir ? Une bière ou du champagne pour le diner ? Es ce que le petit match de foot te convient ? Il ce frotta la joue, alors que je le fusillais du regard. Il me fixa sans rien dire, sachant pertinemment que quoi qu'il ce passe, j'avais toujours le dessus sur lui. Toujours. Je détestais sa taille, plus grande que la mienne, on dirait à chaque fois un grand frère et sa petite sœur. Serrant les poings, je n'arrivais plus à calmer les courses hystérique de mon cœur fou de rage. Et qui dégageais une certaine passion aussi, fallait l'avouer. Sans crier gare, je lui chopais le cole en l'abaissant à ma taille, son visage proche du mien.

▬ «  En colère ? Tu M'A pris MON royaume ! Tu m'a privé de MES pouvoirs, tu ME ramène comme bon TE semble ici, et tu ose me demander POURQUOI JE SUIS EN COLERE ? » Oups, une nouvelle claque surprise venait de voler dans les airs et je le secouais tellement fort que j'ai cru que mes mains allait arracher sa chemise parfaitement repasser. Oh. Elle est froissée. Comme c'est dommage. Compte pas sur moi pour la repasser, mon choupinet. Je sentis quelque chose de familier ce passer. Quelque chose que je n'avais pas ressentis depuis mon aventure avec Melody, Diane, Glène, Louise, Aaron. Mes yeux s'emflamèrent. Et dire que ce pouvoir agissait celons mes émotions. La médaille semblait s'amuser avec chacun de nous. Tantot nous arrachant nos pouvoirs, tantot nous les rendant. Je détestais cette sensation. J'aimais mes pouvoirs plus que tout au monde, les sentir disparaître était comme sentir son âme quitter son corps. Et aller savoir pourquoi, ces derniers temps je savais clairement ce que cela voulait dire. Je relachais ce pauvre imbécile brutalement, me retenant de le frapper de nouveau.  Je trouve que tu es un peu trop dans l'excès, ma chérie. Même si cette petite claque m'a remis les idées en place. Si je t'ai ramené, c'est parce que ta place est à mes côtés, mi amor. Je ne voyais pas pourquoi tu devrais t'amuser seule dans cet autre endroit, sans moi. Je me suis dis que, étant ma douce et flamboyante épouse, tu serais mieux avec moi dans ton royaume. 

Que... quoi ? Je le fixais d'un air décontenancé. Comment osais t-il ? Il n'avait pas à décidé là ou je devais être ! J'étais enfin libérée de lui, de ces sales fourberies et il m'a ramenée ? Mais c'est quoi ça, une blague ? Personne ne décidais de ce ma vie. Je dis bien personne. Il avait osé le faire un jour, mais il recommencera pas, oh ça non ! - Et puis tu m'as manqué, Amor. je crispais la machoire, qu'il arrête ses sales compliments remplis de poison. Rejetant toute forme d'amour de sa part, je m'apprêtais à lui répondre d'une bonne tirade qui lui remettre vraiment la cervelle en place. Ces yeux parfaitement encrée dans les miens, j'allais utiliser l'atout d'on je m'étais toujours servis avec lui : la séduction. Sauf que trop tard. Il ce pencha trop prêt, beaucoup trop prêt et c'est ses lèvres qui touchèrent les miennes. Un mauvais goût de cette expérience, je mordais sa lèvre infiérieur jusqu'à sentir un liquide métallique dans ma bouche. Quand il recula pour aller ce caler à toute vitesse que ma table, je me ressuyais la bouche pour dégager son propre sang de mes lèvres.

▬ « Tu n'a pas à décidé de quoi que se soit ! J'étais enfin libérée de toi, et tu m'a ramenée ? Ta oser me ramenée ? Mais pour qui te prend tu ! Je veux pas de toi, ca te rentrera quand dans ta sale tête de pioche ? Tu vas me retirer cette médaille immédiatement ! Et me dire comment ta ramenée l'autre cinglée à la vie ! » Je hurlais, hors de moi, proche de l'hystérisme tellement il me rendait dingue. - Par contre tu n'étais pas obligée d'emmener avec toi tout tes petits animaux de compagnie... Ah, comme c'est bête que je pouvais pas lancer de boule de feu. Ah, comme c'est bête que je pouvais pas suivre sa vitesse. Je pouvais plus me contrôler. Il me rendait cinglée. J'allais me le faire. Je sortais mon fleuret, quand il s'en prit à Pitch. Mauvaise idée. C'est le sorcier le plus puissant de Storybrooke. Il allait comprendre sa douleur si il s'amusait à le toucher. Mais apparement, Pitch sortait de ses activités puisque sa prochaine victime fut Maria. Maria. Aussitôt cela me fit tilt dans la tête. Elle m'en voulait parce que c'était toujours sur elle que nos problèmes retombait. Je comprenais. La voir tomber au sol, s'effondrer comme elle le faisait me froissa le cœur. Je la fixais d'un air peinée. Non. Je ne le laisserais pas s'en prendre à Maria, ni à Diane, ni au autres. Et encore moins à Callio. Pas les personnes que j'aime. Cepandant, Maria restait une fille forte et elle ce montra particulièrement poignante avec lui. Qui récolte le vent sème la tempête.

▬ « Tu ne t'arrêtera jamais ? Combien de temps encore tu vas tricher comme tu l'a toujours fait ? Tu vas me retirer cette médaille ! Immédiatement ou je risque de faire quelque chose que tu vas regretter. » Le menaçais-je, alors qu'il tenta de reprendre la machette de Maria. Mais elle ne lui obeissait pas. Il perdait le contrôle de la situation et commençait à ce révélé menaçant.  Non. Je suis Xibalba. Je suis la mort suprême. La Muerte sera mienne. Es ce qu'on pourrait lui expliquer s'il vous plait, et dans toute les langues possible, même en langage des signes que je ne voulais pas de lui ? Je commençais à désespérée. Il était trop butée et persuader que je lui appartenais. Je n'appartenais à personne. J'avais trop souffert de l'agente masculine, je ne voulais vraiment plus personne dans mon colimateur de couple. Je ne pouvais plus voir d'homme me draguant en peinture. Ce qui déclenhais les nerfs et les leçon de morale de Callio à chaque fois. Elle m'engueulait de pas me mettre en couple ou de profiter de mes atouts féminins. Le cours de mes pensés furent interrompue par Xibalba qui fonça dans Diane. La déesse s'ecrasa contre le mur avant de tomber sur le sol. « Non ! » Hurlais-je d'un ton désespérée. Pas ceux que j'aimais. Je ne pouvais même pas les defendres comme j'avais l'habitude de le faire … Je me sentais légérement inférieur, priant la médaille pour qu'elle me rende juste une seconde mes pouvoirs, juste pour mettre Xibalba à terre … Mais c'est Pitch qui prit les devants. Il ce lança dans un combats impressionnant avec Xibalba. Je n'arrivais pas trop à suivre, je fis quelque pas en direction de Callio, vérifiant qu'elle allait bien. Aucun des deux n'arrivait à prendre l'avantage. Ils étaient pareil, au même niveau. Cepandant, Pitch réussit à avoir le dessus et Xibalba tomba à terre. Diane en profita pour lui donner des coups également. Puis, Xibalba ce releva et passa à travers Pitch. Je sais pas ce qui c'est passée pendant ce petit cours de temps, mais Pitch semblait songueur, pensif. Comme si il voyait quelque chose … "Alors comme ça tu as condamné l'ancienne Mort pour Jezabel? C'est touchant, surtout lorsqu'elle t'as supplié de l'épargnait et que tu n'as rien fait. Oh... Et il y a Perfide aussi..."

▬ « L'ancienne Muerte ? » répétais-je, choquée.

Flash bac.

« Jezabel ! Prépare le cheval, on monte au royaume. » Papa me disait que je devais préparer le cheval. On avait des objets de valeurs à vendre pour avoir des sous. Le mois était dur, et les miches de pains ce faisait rare. Je ne pouvais pas lui désobeir, il comptait sur moi. On devait survivre pour l'hiver, et c'est pas avec ce que nous donnait le roi que l'un de nous deux allait rester en vie. Maman était morte à ma naissance, je ne l'avais jamais connu. Papa ce faisait vieux, il devenait un vieille homme et je l'aidais du mieux que je pouvais à m'occuper de la ferme et de la marchandise. Je me dirigeais vers lui avec un petit sourire pour déposer un baiser sur son front. J'étais tous ce qu'il lui restait de maman. Il disait toujours que j'étais son portrait crachée. Il me sourit, passant sa mains dans la mienne avant de me donner un vieux manteau cousus avec le peu de fourrure et de couture qu'on avait. L'hiver était froid. Si je m'habillais mal, je risquais d'attraper une maladie et dans ces cas là, nous avons pas assez d'argent pour nous soigner papa et moi.

▬ « J'y vais père ! » Répondit-je, avant de le lacher et je me diriger en sautilliant sur mes pieds vers la sortie. Je refermais la porte derrière moi, frisonnant à cause du froid qui me mordait le visage. Je passais mes mains sur mes épaules pour tenter de me réchauffer. Frottant frénétiquement mes bras. Dans l'etable, j'entendais le hennissement d'Opium. Le cheval à la robe noir me remarqua, et ce calma. Je passais une mains sur son museau et lui glissais les rennes pour le conduire hors de l'etable. Sortant dehors, je glissais une espèce de selle sur son dos, et grimpais pour m'assoir sur son dos. Je donnais un coup sec de talons pour le faire avancer, je pense que papa serait content que je lui prépare la charrette, il a de plus en plus de mal à la montée avec son dos qui lui faisait mal. Je dirigeais Opium vers celle ci, mais l'animal ce mit à pousser des cris. Il ce cabra, effectuant des bons, effrayée. « Opium ? Qu'es ce que tu fais ? » Demandais-je, tirant sur les rennes alors que je volais de gauche à droite avec brutalité. Il me secoua dans tout les sens alors que je tenais bon, j'avais l'impression que mon cœur remontait dans ma gorge et que mon cerveau effectuait des bonds. L'animal ce leva et rua, avant d'effectuer un bon qui me fit passer hors de sa tête. Je tombais sur le sol, une explosion de douleur ce répandit dans ma tête suite au choc, voyant flou autour de moi. Une pression s'ajouta dans ma tête, alors que je n'arrivais pas à bouger ma jambe. Elle me faisait mal, trop mal. Elle m'arracha un crit de douleur. Je vis Opium ce dressée sur ses pattes arrièrs une nouvelle fois, avant d'abattre ces sabots avant dans mon visage. Et puis le noir complet.

Quand j'ouvris les yeux, je me trouvais dans un endroit bizarre. Mon cœur battait à mes tempes, alors que je fixais l'énorme ville colorés d'un œil terrifier. Les gens riait, chantait, dansaient. Il y avait des drôles de couleurs dans le ciel. Et il était là. Un homme jeune, beau, au doux sourire. Je le fixais, alors qu'il me tandis une mains pour me relever. J'hésitais une seconde, méfiante. Mais je finis par l'accepter et il me releva en me prenant par la taille. Je le fixais, choquée. Je comprenais pas ce qui ce passait. Ou était-je ?

« Jezabel ? Une merveilleuse destinée s'offre à toi,mi amor. » Me glissa t-il à l'oreille.

Fin du flash bac.


Je revenais brusquement à la réalité, fixant chaque visage autour de moi. Il l'avait tuée … L'ancienne Muerte. Tout comme il m'avait tuée juste pour m'avoir. Depuis le début il me tenait sous sa coupe, ne désirait que moi. Je fus soudainement écoeurée par tout ça, décidant que sa ce termine. Je vint me positonner devant Pitch et pointais mon fleuret sur la gorge. Je ne connaissais pas cette partie de l'histoire. Je ne l'avais jamais connu. Il m'a toujours dis que j'étais morte d'un accident,et que comme il n'y avait plus de Muerte il m'avait choisit pour être sa descendante. Mais il ne m'avait jamais dit qu'il m'avait tuée, qu'il l'avait tuée elle aussi pour me remplacer. La nouvelle passa mal, très mal. Je fixais un regard sombre à son attention, passant devant Pitch le regard perdu dans le vague. Il m'avait tuée. Il l'avait tuée. Je ne l'avais jamais connu. Je pointais le fleuret contre sa gorge.

▬ « Tu m'a mentis depuis le début ? Tu l'a tuée, tu m'a tuée, juste pour la remplacer ? » J'appuyais la lame un peu plus, un filet de sang roula sur la lame. Une larme s'echappa de mon œil. « Tu m'avais dis qu'on était morte toutes les deux accidentellements et que tu m'avais choisis comme descendante ! » ma voix sonna, s'ecria, monta dans les aigus avec rage. « Tu n'es qu'un tricheur. Tu 'la toujours été. Jamais, je t'aimerais. C'est du passée, et à mes yeux, t'es mort avec se passée ! » Je tentais de garder mon calme. Mais j'arrivais toujours pas à croire que c'était à cause de lui que j'étais morte. Que c'était à cause de lui que mon ancien père avait du avoir un chagrin fou. « Tu vas me retirer cette médaille, maintenant. » Murmurais-je d'une voix grave, sérieuse et sombre. Je voulais rentrer chez moi et retrouver mes pouvoirs. Bordel, il m'avait tuée ….

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Diane Moon
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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 Dmia

“I love you to the moon and back”


| Conte : Hercule
| Dans le monde des contes, je suis : : Artémis la déesse de la chasse et de la lune herself (même si je viens du monde réel)

| Cadavres : 9254



[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 _



________________________________________ 2015-10-18, 00:04

The Day Of The Dead
You're Nothing just a poor selfish guy


La technique d'Amélia, n'avait rien de commun, mais au moins, elle avait eu l'effet de nous débarrasser, des oubliés, et de...Défoncer les portes de Jezabel par la même occasion. On, lui donnera de quoi payer les réparations, à la fin de toute cette histoire. Pour ma part, je me contentais, de laisser notre nouvelle arrivante -Krystal apparemment- avec la pâtissière, puisqu'elle semblait bien la connaître. Je préférais, rester le plus possible, concentrer. J'avais un mauvais sentiment, et je n'aimais pas ça. Un coup d'oeil du côté, de Pitch, m'assura, qu'il pensait également la même chose. Rien qu'à sa tête ça se voyait. Pour quelqu'un, qui avait refusé de s'attacher, toute sa vie, voilà, que je me mettais à le connaître un peu trop bien. On verra mes problèmes, d'attachement et de couple plus tard, pour l'instant, on venait d'arriver dans une grande salle, et l'investigateur de tout ça, se tourna vers nous :

SUPRIIIIIISE


Je levais, un sourcil dubitatif. C'était ça qu'on devait affronter, un Judah au rabais, qui tentait de se la jouer jolie cœur ? Non, parce que vu la tête de Jezabel, elle n'avait pas l'air très emballée. Et d'un côté, je pouvais la comprendre. Vous pensez, qu'il mettait combien de tonne de gel dans ses cheveux, pour les faire tenir comme ça ?

Xibalba, se déplaça, vitesse grand v, derrière moi, sans doute pour échapper à la colère de Jezabel. Je levais les yeux au ciel. Les hommes vraiment.... J'avais l'impression de voir Apollon, lorsqu'il se réfugiait derrière moi pour que je le « protège » -alors que mon frère avait au moins trois bonnes tête de plus que moi- en revanche, ce que je n'aimais pas, fut qu'il pose, ses mains sur mes épaules. Immédiatement, comme à chaque fois que quelqu'un que je ne connaissais pas le faisait, un frisson désagréable me parcourut, suivit par l'impression, d'être électrocutée, entraînant, la crispation. Je, me dégageais, bien vite, de son emprise, pour laisser, Jezabel régler ses problèmes de couple. S'il devait, se prendre une baffe, c'était qu'il l'avait forcément mérité. Et effectivement, elle ne tarda pas à arriver. J'allais rester à bonne distance de ces deux là, particulièrement, quand Jez se mit à lui hurler dessus. Aucun doute, mieux valait ne pas trop la mettre en colère. Je, ne dirais rien sur ce sujet, quand je l'étais, Apo' me laissait casser son affreux vase grecque, pour passer mes nerfs. Ce, n'était donc clairement pas moi, qui ferait la leçon.

En revanche, provoquer Pitch, c'était stupide. Je le connaissais, suffisamment bien, pour savoir, qu'il se contenait, du mieux qu'il pouvait. S'en prendre à Maria, montrait sa bassesses, en revanche, s'en prendre, à Pitch. C'était du suicide.

Sans, que je ne comprenne ce qui m'arrive, je fut littéralement, projeté contre le mur, la surprise, m'empêcha, d'amortir, la chute, aussi, me retrouvais-je au sol, tel une poupée désarticulée. Ça, ne faisait pas du bien, mon dos, allait sûrement en pâtir. Mais, j'avais vécus, pire. J'accueillis, cependant, l'aide de Maria avec gratitude :

- Une pichenette me contentais-je de répondre à l'intention de la jeune femme, lorsqu'elle me demanda si ça allait.

Ce, n'était pas totalement vrai, mais ce n'était pas totalement faux non plus. Comparé au trident de Poséidon, ce n'était effectivement rien. Mais, j'avais tenu tête au dieu des océans lui même, alors que je l'avais toujours considéré comme un héros. Ce, n'était pas l'ex époux de l'amie de sa fille, qui réussirait à m'effrayer. Non, en revanche, je ne pu empêcher, un léger frisson, lorsque Pitch, décida clairement qu'il en avait assez. Encore une fois, je savais, qu'il n'avait rien d'un enfant de choeur, et encore une fois, j'avais accepté de l'aimer avec cet aspect de sa personnalité. Je lui faisais, confiance, tout simplement. Et c'est en réalisant cela, que je me décidais moi aussi à entrer dans le combat. Faisant habilement, apparaître mon arc, je pris deux flèches dans mon carquois, que je tirais, droit en direction du croque mitaine. Vu de l'extérieur, on aurait pu penser, que je l'attaquais. En, réalité, je me contentais, de faire diversion. Elles devaient occuper, son adversaire, juste le temps de le déstabiliser une micro seconde, et laisser Pitch s'en occuper.

C'est pourquoi, il ne cilla pas, lorsqu'elles le frôlèrent. Lui aussi, me faisait confiance. J'ignorais, les battements de mon cœur, qui s'étaient légèrement, accéléré à cette constatation. Parce que, je n'avais pas l'intention de fuir. Pour la première fois de ma vie. J'acceptais, de faire pleinement, confiance, et que cela soit rendu, à un autre homme qu'Apollon. Je supposais, que c'était ce que l'on appelait « évoluer »

Je le laissais terminer se téléporter à mes côtés, ainsi que de taper dans sa main, quand il la tendit, le tout avec un léger sourire amusée aux lèvres. Il, n'y avait que dans ce genre de situations que ce genre de choses pouvaient arriver. J'avais moi aussi, des comptes à régler avec Xibalba, mais je laissais d'abord Pitch, terminer de régler les siens. Les révélations qu'il fit me firent froncer les sourcils. Il, avait condamné l'ancienne Muerte, pour avoir Jezabel ? Il avait tué Jezabel pour l'avoir à ses côtés ? Quel genre de monstre était-ce ?

Je, n'osais pas regarder du côté de la brune, mais quelque chose me disait, qu'à mon avis, elle n'appréciait pas du tout. Et effectivement. Elle pointa son fleuret sous la gorge, de son ex amant, lui ordonnant de lui retirer la médaille et de lui rendre ses pouvoirs.

A nouveau je décochais une flèche dans la direction, de Xibalba, mais cette fois-ci, c'est lui qu'elle frola, avant de se planter juste à quelque centimètres de lui. Il, se contenta de passer sa main sur sa joue en riant, comme si la situation l'amusait. Comme si le fait, que nous le menacions, ne l'atteignait pas. Très calmement, je m'avançais vers Pitch et Jezabel :

- La prochaine fois, je ne te raterais pas, je l'ai faites s'arrêter exprès, à quelque centimètres. C'est pourquoi, je te conseil, vivement, d'écouter Jezabel, et de lui rendre ses pouvoirs. Parce que si ce n'est pas elle. C'est moi, qui m'occuperait de ton cas.

Mon regard, prit une autre teinte, mes yeux brillaient à présent de colère, tandis-que j'armais mon poing pour le lui lancer, en pleine figure. Je, venais de retrouver un semblant de force. Il, était temps qu'il voit ce que ça faisait, de mettre une déesse en colère :

- Ce que tu as fait, ce n'était pas de l'amour. C'était de l'égoïsme. On ne tue pas une personne, pour l'avoir à ses côtés, l'on ne décide pas à sa place du moment où elle doit quitter le monde des vivants ! Tu es un être abjecte Xibalba, et je rejoins Maria sur ce point, tu finiras tout seule !

Les cheveux défaits, les yeux brillants de rage, la respiration haletante à la fin de mon discours. Plus que jamais, j'incarnais les surnoms que l'on m'avait donné au fil des âges. L'indomptable, La sauvage...Les mortels, avaient une imagination, débordante pour décrire le côté farouche de ma personnalité :

- Jezabel, je te le laisse
achevais-je

C'était à elle, et elle seule de décider quoi faire avec lui. C'était sa vie qu'il avait gâché. Rejetant, mes boucles blondes en arrière, je me dirigeais vers Pitch plantant mon regard dans le sien :

- J'ai confiance en toi, autant que j'ai confiance en Apollon alors ne t'avise jamais, de commettre un acte d'une telle sorte

A nouveau, je me protégeais. Je voulais, être sure, avant de pousser notre relation plus loin. Un tel degrés de confiance, accordé à un homme. Ne m'étais encore jamais, arrivé en dehors de mon âme sœur, c'est pourquoi je préférais, m'assurer que les choses étaient clairs entre nous. Détournant, le regard, je continuais mon chemin pour arriver à hauteur d'Amélia. Je ne sentais, plus ma force, mais l'empathie elle était toujours là :

- Comment vous sentez vous ? Demandais-je doucement

Je préférais, m'assurer qu'elle allait bien, je ne savais pas trop, comment elle avait vécus, le fait d'avoir un serpent autour du cou. Il, y avait apparemment, en ce moment, une promotion spéciale sur les blaireaux. Deux pour le prix d'un en l'espace d'un mois, quelle chance.



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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 _



________________________________________ 2015-10-18, 00:56

The day of the dead× ft. PLEINS DE MONDE & REIRA
Je les écoutes parler, laver leur linge sale en public. Ah ces Yankees je vous jure. Je les regardent blasé, la blonde, Diane je crois, j'ai rien à lui envié sur le regard condescendant. Mais moi je m'en fiche royalement en fait de tout ça. Je connais aucune de ces personnes, alors je reste dans mon coin, me faisant oublier. Ils se mettent à se battre et je soupire. Tout ça me fatigue, mais alors que Pitch tue le serpent, je vois la bestiole apparaître devant moi menaçante. Je la regarde détachée, froide. S'énerver ne sert à rien de tout manière.
Je m'approche de lui alors qu'il se jette sur moi, ces ondes, je lui retourne ses propores ondes contre lui, ça devrait l'annéantir. J'aime pas ça, mais j'ai pas le choix, avec ces deus têtes, il est plus que menaçant. Il s'approche de moi et je lâche d'une voix d'outre tombe.
❝ Couché le chienchien à son maître moche! ❞
Mon pouvoir sur les ondes ne fonctionne pas correctement dans ce monde, je m'en rends compte quand je resssens la morsure de la bestion. Je rétrécie les yeux sous la douleurs, ça fait mal ce truc. Mais je ne montre rien, je n'ai pas l'habitude de me montrer faibles devant des inconnus. La douleurs est une chose que je ne partage pas, jamais...
Je m'en vais pour recommencer à me défendre mais il retourne près de son maître. Je regarde autour de moi, et tenant mon bras je rejoins les Storybrookien...
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Reira : 95%


Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

| Avatar : Alyssa Milano

Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !

[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 Sans_t21


| Conte : Le Roi Lion
| Dans le monde des contes, je suis : : Diku

| Cadavres : 3376



[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 _



________________________________________ 2015-10-18, 17:30 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Une voix familière me ramena brutalement à la réalité des choses, à savoir que je venais de défoncer une porte à coup de char. Une première pour moi. Je n'avais même pas prévu que mon plan allait marcher puisque mes idées ont tendance à foirer quand elles dépassent le cadre de la cuisine et des réunions de famille. Mais pas cette fois. J'eus même la surprise, pour la première fois depuis ce qui me semblait une éternité, d'entendre une voix bien familière, une voix de chez moi. Celle de...
- Tama ?! m'écriai-je en sautant du char pour aller l'enlacer. Mais qu'est ce que tu fais là ? Toi aussi tu es morte ?
J'étais à vrai dire un peu inquiète de la voir dans pareil endroit. Qu'allait dire April si on lui apprenait que sa soeur et l'une de ses protégées étaient mortes de même jour ? Et d'ailleurs, comment Krystal était-elle morte ? Amelia espérait qu'elle n'avait pas trop souffert pour atterrir au royaume des âmes chéries car, même si Tama n'avait aucun lien de parenté avec elle, Amy s'était beaucoup prise d'affection pour cette drôle de carnivore qui avait du mal à assimiler sa vie humaine et qu'elle avait essayé d'aider, certes à moindre mesure qu'April. Mais bon, initier un ancien lion à l'art délicat de la cuisine, c'est important, non ?
De toute façon, ce n'était pas le moment de se poser trop de questions, qu'il s'agisse de l'arrivée de Tama ou de sa condition d'humaine. En revanche, tandis que le petit groupe entrait dans le palais à présent ouvert, Amelia s'approcha de la Muerte et souffla :
- Vraiment désolée pour votre jolie porte, sur le coup je n'ai pas trouvé meilleure idée pour l'ouvrir tout en dégommant des Oubliés. Mais si nous rentrons à Storybrooke je trouverais de quoi vous aider à la réparer et je vous ferais même mes meilleurs cookies pour me faire pardonner ! Et pour Barbie Girl... c'est la faute de votre char, mais au moins c'était festif comme démolition conclut l'ancienne lionne tandis que le petit groupe arrivait dans une pièce immense et aussi haute qu'une cathédrale.
Bizarrement, j'aurais pas imaginé l'intérieur comme ça, songea Amelia en scrutant plafond et murs.
Il est vrai que la déco était pour le moins surprenante, indigne de l'extérieur, en quelque sorte. Mais apparemment, ce n'était pas du fait de la Muerte, comme Amy put rapidement le comprendre en ramenant son esprit au présent, loin de ses considérations esthétiques dignes d'une visite touristique.
Parce qu'elle avait un peu trainé pour observer l'environnement, Amelia se retrouvait à présent quelques mètres derrière tout le monde. Ceci étant dit, et bien que sa taille humaine soit assez ridicule, la jeune femme n'eut aucun mal à apercevoir Xi-machin-chose, perché sur le trône à l'autre bout de la pièce.
Donc c'est lui, songea la jeune femme tout en observant la scène qui se jouait devant elle. Lui non plus je l'aurais pas imaginé comme ça. D'après ce qu'elle avait déjà pu entendre sur lui, Amelia l'avait effectivement imaginé plus vieux et plus laid mais également plus terrifiant que ce séduisant jeune homme apparemment arrogant... et très puissant. Bon, ça au moins c'est fidèle à ce que j'avais en tête, nota Amelia tandis que les paroles pleines de colère avaient fait place à un nouveau combat magique qui envoya bientôt la belle Diane contre le mur.
Mais quel connard ! s'indigna mentalement l'ancienne lionne en se dirigeant vers la déesse pour voir si elle allait bien - ce qu'elle espérait bien puisqu'il s'agissait d'une déesse. Ca ne meurt pas au moindre choc, une déesse, non ?
Amelia n'eut cependant pas le temps d'atteindre Diane qu'un énorme serpent surgit de nulle part pour s'enrouler autour de sa gorge. Elle choisit donc de s'immobiliser afin de ne pas tenter le diable oui qui que ce soit d'autre, d'autant que le sorcier en était à les menacer de prendre leur âme s'ils osaient encore bouger. Que tout le monde reste calme, sinon... Les instructions étaient suffisamment claires pour la jeune femme qui, en dépit du serpent dont elle suivait chacun des mouvements, crut bon de chuchoter :
- Gentil serpent, tout doux le serpent...
Puis elle eut une idée, qui, sur le coup, lui sembla lumineuse. Amelia commença alors à murmurer des mots qui n'existaient pas et dont la sonorité ressemblait vaguement au sifflement d'un serpent. Dans son esprit, il s'agissait de Fourchelang, la langue des serpents dont parlait JK Rowling dans les Harry Potter qu'elle se souvenait avoir lu à ses enfants au moment du coucher quand ils étaient petits. Elle s'était donc dit que plutôt que de rester les bras ballants à attendre la mort, il valait mieux tenter quelque chose, quitte à ce que cela foire.
Ce qui fut en l'occurrence le cas, puisque le serpent ne s'en alla pas, en dépit des pensées d'Amelia qui lui intimaient de le faire. N'est manifestement pas Harry Potter qui veut. Heureusement que les autres n'avaient pas entendu, trop occupés à lutter contre Xi-machin-chose.
Pitch était clairement de taille à l'affronter, ce qu'il ne tarda pas à démontrer avec une autre coulée de sable noire ou peu importe. Amelia était à la fois fascinée et terrifiée de voir à quel point certains pouvaient être puissants. Et pour avoir eu en sa possession les facultés de Pitch, elle savait, littéralement, combien il était puissant.
Lui c'est clair, j'irai jamais lui chercher des noises, songea la jeune femme en attendant patiemment, faute de pouvoir faire mieux vu l'énorme boa qu'elle portait au cou.
Quel ne fut pas son soulagement quand celui-ci alla voir ailleurs si elle y était ! Amelia avala une grand goulée d'air, comme pour réaffirmer qu'elle avait repris tous les droits sur sa gorge. La jeune femme prit un moment pour se remettre de ses émotions puis rejoignit le petit groupe. Apparemment, Xi-machin-chose avait sévèrement douiller mais Diane laissait le soin à la Muerte de l'achever, ce qu'Amelia ne pouvait qu'approuver. Ce goujat ne méritait pas mieux ! Amelia avait certes une fois de plus pris l'histoire en cours mais les faits étaient là et suffisamment limpides pour qu'elles les comprennent : cet homme - si tant est qu'il méritait le titre d'homme - avait tué la nouvelle Muerte pour qu'elle remplace l'ancienne Muerte. Bon, dit comme ça c'était un peu compliqué mais le fait est qu'une innocente qu'il avait le culot d'appeler mon amour était morte par sa faute. A cet instant, Amelia regretta vivement de ne pas avoir retrouvé ses griffes de lionne pour les aiguiser sur sa jolie frimousse, même si ce n'était clairement pas à elle de décider du sort de cet odieux personnage. Une chose était néanmoins sûre, la Muerte avait son approbation totale si elle souhaitait le faire souffrir. Amelia avait beau être une incorrigible romantique, il avait des limites que même elle n'auraient pas franchies pour se voir aimer de Wimbo.
Tandis qu'elle se faisait cette réflexion, Diane s'éloigna de ses amis - parce qu'ils étaient clairs qu'elle était amie avec la Muerte et encore plus intime avec Pitch - pour s'approcher d'elle et demander doucement comment elle allait, ce qui toucha Amelia plus que nécessaire.
A part ses soeurs et ses enfants, peu de personnes se souciaient réellement de comment elle allait, au final. Amelia ne parlait pas de ses problèmes avec ses clients, préférant parler des leurs ou parler de nourriture. Quant à ces gens tous plus puissants qu'elle, elle ne les connaissait pas. Pourquoi aurait-elle imaginé que son sort les importe ? Et pourtant Diane était là, sincère et empathique.
Amelia cligna plusieurs fois des yeux sous la surprise avant de sourire doucement :
- Ca va, merci. Par chance, j'étais - croyez le ou non - une lionne dans mon ancienne vie, alors je n'ai jamais eu peur des serpents. Fut un temps c'était eux qui avaient peur de moi... Bon, je n'étais quand même pas rassurée, mais apparemment il n'a pas mordu. Mais vous savez, du moment que c'est moi qui prend et non mes enfants, ça me va, ajouta Amelia. Désolée, je parle trop, grimaça t-elle en constatant que sa fâcheuse habitude de se transformer en moulin à paroles était de retour.
Comme pour se faire pardonner, Amelia sourit de plus belle. Puis elle se dirigea vers Reira, la petite solitaire qui ne parlait à personne et dont elle avait décidé de prendre des nouvelles - car la demoiselle avait réellement bien géré la situation, pour le coup, quand un gros cochon avec un collier lui coupa la route, semblant sortir de nulle part. Il fonçait sur le méchant séduisant que Callio avait bien envie de mettre dans son lit tandis que Maria s'écriait "Chuy", mot qu'Amelia ne comprit.
- Vous avez vu ça ? demanda la lionne pour s'assurer qu'elle ne rêvait pas.
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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 _



________________________________________ 2015-10-19, 02:31



Bon retour... Mi amor

J'étais là, au sol, mis hors d'état de nuire à cause d'un stupide cochon dont les grognements rappelaient plus les bêlements d'une chèvre folle. Ils me regardaient tous de haut, prêts à se battre, prêts à me vaincre. Oh que c'était dur. Dur de ne jamais gagner. De toujours perdre. Ils m'avaient eu. Je ne pouvais rien contre eux. Rien contre Diane et son arc. Rien contre Pitch dont le pouvoir surpassait le mien. Rien contre Jézabel... Rien du tout. Pauvre petit Xibalba.

Je me retournais lentement sur le dos, m'appuyant sur mes coudes pour me relever. Des larmes noirâtres coulaient le long de mes joues. Je les regardais un par un, chose misérable. Tremblotante.

- S'il vous plaît... ne me faîtes pas de mal... Je ne voulais pas... C'est juste que... Je suis tellement désolé... Vous avez raison Pitch, je suis terrorisé, je...

Un nouveau regard miséreux vers eux... et je ne pu me retenir. Tout à coup, un rire rauque jaillait de ma gorge, avant de s’amplifier jusqu'à ce qu'il résonne dans toute la pièce. Je ne pouvais pas m'empêcher de rire comme un cinglé, mon poing frappant le sol au rythme de mon hilarité. Je vis leurs sourcils se froncer. Ils étaient si drôles ! Je me relevais d'un bond, et essuyais d'un doigt une traînée sombre de goudron qui dégoulinait de mon œil droit illuminé d'une lueur verte.

- Rassurez moi, vous n'avez pas cru à tout ça, n'est-ce pas ? Que je me rendais ? Que Pitchounet ici présent pouvait vraiment me battre ? Que j'avais vraiment peur de cette machette ? Non mais allô !

Je levais les yeux au ciel, et pris un air exaspéré. Franchement. Moi, avoir peur de ma propre arme ? J'étais juste très énervé de voir qu'elle préférait obéir à Maria. Mais je n'avais pas peur. La seule chose qui pouvait me faire peur, c'était de voir que ma Muerte continuait à essayer de me résister. Non, plutôt ça m'énervait. Ça m'énervait terriblement.

- Tu apprendras, Pitch, que tu ne peux pas me battre.

Je lui adressais un sourire narquois, et claquais des doigts. Le serpent qu'il avait changé en cendres réapparu, et siffla jusqu'à mes pieds, avant de se changer en bâton mortel, comme à son habitude. Je me téléportais jusqu'à lui, mon visage tout prêt du sien, mon nez frôlant le sien, mes yeux dans les siens. Je n'avais pas besoin de me redresser pour le regarder.

- Et surtout, que ma chère médaille vient tout juste... de neutraliser tes pouvoirs.

Je sentie qu'il essayait d'activer sa puissance, mais absolument rien ne se produisit. D'une pichenette, je le projetais sur la table, le faisant glisser tout le long. Il se prit plusieurs plats en pleine figure. Je ne regardais pas la fin et préférais me tourner les autres. Je vis Diane qui semblait sur le point de se battre, mais je claquais des doigts et je me retrouvais juste derrière Calliope. L'amie de ma femme. Depuis quand avait-elle des amies mortelles ? C'était d'un pathétique.

- Vous m'agacez tous. Je voulais juste retrouver ma femme. Ça aurait pu être simple...

J'allongeais mes ongles pour qu'ils se recourbent tels des griffes et je les fis passer sur la joue de la brune, en appuyant pour laisser de longue traîner ensanglantée. Elle poussa un petit cri.

- Mais il faut toujours que tout soit compliqué, n'est-ce pas, mi amor ?

- Vous êtes peut être super beau gosse, mais vous êtes vraiment un connard première !

Je me mis à rire alors que Calliope me lançait un regard sombre. Je me penchais vers elle et lui embrassait la joue, à l'endroit où je l'avais griffé.

- C'est bien vrai. Mais tous les hommes peuvent être des... connards quand ils aiment.

Je fixais ma Muerte, et je réapparu tout à coup de devant elle. Avant qu'elle ne puisse faire un geste, j'enserrais son visage entre mes grandes mains et posais mes lèvres sur les siennes en un baiser fougueux. Je la sentais se débattre, mais je ne lâchais pas prise. Quand je m'écartais, je vis avec satisfaction que des lèvres étaient colorées de rouges, par le sang de son amie. J'échappais à son courroux en me rendant à tout vitesse jusqu'à mon fauteuil, où je me rassis.

- Maintenant, je ne veux plus vous voir. Je suis très heureux de te retrouver mi amor, mais disons que là, tu m'agaces fortement. Allez vous-en. On se reverra.

Je claquais des doigts, et une force invisible les entraîna lentement en arrière, jusqu'à la sortie. Mais songeur, je claquais des doigts. Ils étaient coincés et ne pouvaient plus bouger, mais ils étaient arrêtés. Je m'approchais de Pitch, et tournais la tête sur le côté, en posant l'index sur mes lèvres.

- Tu sais, je ne t'aime vraiment pas. Tu es très arrogant, je me demande même comment tu arrives à marcher avec de telles chevilles. Je pense qu'il faudrait que tu dégonfles un peu.

J'attrapais tout à coup son bras droit et le fracassais montre mon genou, tel une branche que j'aurais voulu briser. Sauf que c'était l'os. Là, je l'avais réduis en plusieurs morceaux. Ou miettes, même. Je le vis se plier en deux, et je me penchais pour qu'il puisse voir mon sourire. Quand on est énervé, ça fait du bien de se défouler.

- Ne t'inquiètes pas. Ça guérira... d'ici une heure ou deux. Je suis gentil, j'aurais pu t'arracher la tête et garder le reste de ton corps avec moi tandis que ta jolie Bondie aurait dû trimballer ton agaçante petite tête. Allez va.

Je tapotais sa joue et d'un geste de la main, ils furent projeter jusqu'à la sortie. Je refermais les lourdes portes dès qu'ils furent hors de mon nouveau palais, avant de pousser un soupire. Ça allait être plus dur que je ne le pensais. Elle n'aurait pas dû savoir pour l'autre Muerte. C'est qu'elle peut être blessante quand elle le veut ! Mais bientôt, elle ne résisterait plus. J'allais m'en assurer. Une lueur noirâtre m'enveloppa et je disparu. J'avais perdu l'envie de faire la fête.




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________________________________________ 2015-10-19, 18:01



The day of
the Dead

Belle journée pour une fin !
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J'étais morte. Par sa faute. Juste pour une femme qu'il détestait. Il m'avait tuée juste pour m'avoir moi. Je sentais une boule dans ma gorge. J'étais plus d'humeur à rien. Je voulais juste en finir avec cette histoire. Elle me restait coincée dans le ventre comme une indigestion. Peinée, trop peinée. Mais comment ai-je fais pour aimée un être pareil ? Comment ? Une disparition, juste une et il est devenu un être abject. Il aurait juste fallu que je disparaisse pour qu'il révèle sa vrai nature. J'avais beau le regarder, je ne voyais qu'une chose. De la haine pur. Je le détestais à ce moment précis. La rage bouillonnait le long de mes doigts, coagulant avec mon sang dans un mélange amer et acide. Finalement, il était possible de détester quelqu'un au point de vouloir le tuer. Je n'avais jamais vraiment voulu croire ça. Tu tue pas quelqu'un comme ça. Même un meurtrier, tu l'enferme et puis c'est tout. Mais finalement, quand le meurtrier ce révélait être quelqu'un proche de vous et qui vous causait du propre tord ...Il était compliquer de garder son calme. De pardonner. Pardonner. Ce mot me semblait étrange à présent dans ma tête. Je le chassais. Je le rédusait en cendre. Pardonner n'existe plus dans mon langage. Etait-je capable de donner la mort à quelqu'un ? Je ne pensais jamais devoir y songer. J'avais toujours respectée la nature humaine, d'une quelconque manière. Mais ils n'étaient pas d'une nature humaine. Toute trace d'humanité dans son esprit était bannie. Xibalba ne possédait pas d'âme. Je savais même pas si il ce rendait compte de compte de ce que ce mot voulait dire. Je regardais le poing de Diane s'ecraser contre le visage de Xibalba. Une satisfaction délicieuse d'on je me delectais. - Ce que tu as fait, ce n'était pas de l'amour. C'était de l'égoïsme. On ne tue pas une personne, pour l'avoir à ses côtés, l'on ne décide pas à sa place du moment où elle doit quitter le monde des vivants ! Tu es un être abjecte Xibalba, et je rejoins Maria sur ce point, tu finiras tout seule ! Le silence. J'étais trop silencieuse. Je cogitais dans ma tête, alors que j'ecoutais les paroles de Diane.

▬ « Il a déjà commencée à finir seul. » Lachais-je d'une voix sombre. Jezabel, je te le laisse. Acheva Diane dans son discours, reportant son attention sur Pitch. Mon cœur battait à mes tempes, analysant chaque battement. C'était entre lui et moi, à présent. Je le fixais, le regard fusilleur, prête à craquer et enfoncer le fleuret de Melody dans son corps. Mais en était-je capable ? J'étais capable de donner à la mort à ceux qui le méritait et qui m'attaquait. Mais était-je capable de la donner à une personne qui m'a été une fois chère dans ma propre vie ? Je me sentais idiote. Idiote d'avoir pu boire ces paroles. Idiote d'avoir appris avec lui à devenur La Muerte, celle d'on tout le monde m'identifie. Mais eux, savait-il que leur vrai Muerte avait été tuer par lui ? Finalement,il n'avait pas restée longtemps gentil. A partir du moment ou tout les habitants des Âmes Chéries l'on ejecter parce qu'il me préférais moi comme dirigeante, il a commencée à devenir mauvais. Ainsi que l'ancien paris, d'on j'avais gagner. Il avait tricher, encore tricher et trichais encore. Ca ce lisait sur son visage malicieux. Je détestais cette air mutin, enfantin, ce jeux qu'il prenait à présent. C'était agaçant, enervant et dans un sens il le voulait. Il avait tout prévu depuis le début, non ? Je fus cependant je fus prise de surprise quand une boule rose arrivant en trombe et fonça sur Xibalba, l'ejectant au sol. Je clignais des yeux, avant d'entendre le prénom de l'animal de la bouche de Maria. Chuy ce retourna, le visage colorés comme nous et fonça dans les bras de sa propriétaire qui lui donna des caresse, heureuse de revoir son animal de compagnie. Je me souvenais de lui … C'était un cadeau de Manolo pour elle. Il ne l'avait jamais quitté, ce cochon. J'arrivais pas à croire qu'il était ici. Etait-ils mort ? S'il vous plaît... ne me faîtes pas de mal... Je ne voulais pas... C'est juste que... Je suis tellement désolé... Vous avez raison Pitch, je suis terrorisé, je...

▬ « Arrête ton cinema ! » Hurlais-je en me retournant vers lui. Il jouait encore et encore. Oh oui. C'était tellement facile de jouer les malins quand nos pouvoirs était affaiblis. « Tu peu jouer les malins autant que tu veux, tu reste un tricheur. » Je m'approchais de lui et glissais la pointe de mon épée sur son menton pour le relever avec un mauvais rictus. « Tu as trafiquer la médaille exprès. Parce que tu savais qu'avec nos pouvoirs et notamment ceux de Diane et Pitch on aurait pu te terrasser comme pour rire. Mais comme la médaille les bloques, tu peu faire de nous ce que tu veux . Tu joue avec nous comme un marionnettiste. Mais dis moi, que serait un marionnettiste sans sa marionnette ? » J'appuyais un peu plus la lame avec un air de dégout, ne pouvant plus encadrer son visage. « Tu triche, et c'est tout. Bloquer des pouvoirs magiques pour être le plus puissant, c'est trop facile. Et c'est de la lacheté. » Je le reconnaissais bien là. Xibalba, lache, tricheur. C'était exactement tout ces traits de caractère et notamment les plus dominant. Il nous lança un regard miséreux, un regard qui me fit soupirer. Mais le rire qui s'engagea par la suite me surpris. Il raisonna dans toute la pièce, donnant un air sinistre et sadique à la scène qui venait de prendre forme. Je le détestais. Il ce releva d'un bond, et je reculais de quelque pas pour l'observer d'un mauvais œil, alerte. A quoi jouait t-il ? - Rassurez moi, vous n'avez pas cru à tout ça, n'est-ce pas ? Que je me rendais ? Que Pitchounet ici présent pouvait vraiment me battre ? Que j'avais vraiment peur de cette machette ? Non mais allô !

Bien sur que non. Moi je me doutais que c'était de la comédie, à vrai dire j'avais l'impression d'avoir un déjà vue horrible. Je faisais ce que je pouvais pour garder mon calme, alors que mon poing ce serra si fort que mes ongles rentrèrent dans ma peau, réveillant une douleur affreuse dans mes mains. La respiration forte, je commençais légèrement à craquer, j'avais l'impression qu'on serrait mon cœur dans un étaut, et qu'il criait la fin de cette scène horripilante. Long cris d'agonie qui transformait le moindre de mes mouvements en désinvolture. J'avalais ma salive qui passa difficilement dans ma gorge. Je me reveillais de mes pensés par surprise en observant Pitch glisser sur la table, ce prenant chaque plat dans le visage. Je donnait un regard noir à Xibalba, me dirigeant vers lui avec un air furibond au visage. Stop. J'allais mettre fin à tout ça. Il était hors de question que les gens que j'aime n'en patisse à cause de ses bêtises. De ma bêtises. C'était encore de ma faute, si Pitch ce prenait de la sauce et des rotis en pleine tête. C'était de ma faute si Diane ce prenait un mur qui lui décollait presque les omoplates. Et surtout, oh oui surtout, c'était de ma faute si Maria souffrait. Ma faute. Sa faute. Notre faute.

▬ « Je vais te régler ton compte une bonne fois pour tou... » Je m'arrêtais soudainement. Figé. Prise au piège. Mon regard ce dévia sur le visage de la personne qui m'était le plus cher au monde. Ma meilleure amie. Calliope. Il venait d'atteindre l'une de mes faiblesses colossales. Celle qu'il ne fallait jamais, ô grand jamais touché. Touché Calliope, c'était me toucher. Il me tenait juste en joute. Le regard soudainement inquiet, je regardais la scène les mains légérement tremblante. Je voulais pas lui implorer de la pitié. Il ne le méritait pas et je ne me soumettrais jamais. Mais attaquer Calliope avait une très grande différence. Pour atteindre Diane, il fallait atteindre Pitch. Pour atteindre Melody, il fallait atteindre Egeons. Pour atteindre Jezabel, il fallait atteindre Calliope. - Vous m'agacez tous. Je voulais juste retrouver ma femme. Ça aurait pu être simple... Mais rien de l'était. J'implorais dans ma tête n'importe qui, pour pas qu'il touche Calliope. Il laissa ces longues mains ce transformer en griffe, avant de les poser sur le visage de Callio et de laisser une longue trainer ensanglantée lui déchirer la joue. Un cris s'echappa de ma gorge alors que je positionnais ma mains devant ma bouche. Je pouvais plus parler. Je pouvais plus bouger. La faiblesse était atteinte. Le cris de Callio brisait mon cœur en mille morceaux. - Mais il faut toujours que tout soit compliqué, n'est-ce pas, mi amor ? Je serrais les dents, machant ces mots avec dégout alors que je sentais mes heux s'humidifer.

▬ « Tu vas le regretter, tu as dépassée les limites que tu n'aurais jamais du atteindre. » Amère, tranchante. Vous êtes peut être super beau gosse, mais vous êtes vraiment un connard première ! Respiration forte, rympthe cardiaque qui carbure, je regardais impuissante mon amie ce faire embrasser sur la joue par mon ex. Et dire qu'on était toujours mariée. J'avais envie de m'arracher la tête, de dégager ces visions d'horreur. Il me lança un regard que je défiais, avant de sentir sa présence prêt de moi. Ces mains prirent en otage mon visage et ces lèvres forçèrent les miennes. Un cris d'horreur s'echappa de ma gorge alors que je me débattais. Je lui frappais le torse, donnait des coups de pied dans ces jambes. Non il pouvait pas ! Il avait pas le droit … le goût metallique du sang dégoulina le long de mes lèvres, alors que mes larmes ruisselais sur mon visage. Il me lacha, le choc me remplit de partout, alors que je me suis mise à paniquer. Trop choquée, la respiration me manquait. J'avais le sang de ma meilleure amie sur mes lèvres. D'un geste paniquée je dégageais le liquide de ma bouche, en larme, en hurlant. Tremblante, j'avais l'impression de vivre un cauchemars. Pour la première fois de ma vie, j'avais peur de lui. J'étais dans une troisième dimension. Plus rien n'avait d'importance autour de moi. Je ne voyais que la désolation et la douleur s'installer en moi. Il m'avait tuée. Il s'en était pris à Callio. Il s'en était prit à moi. Je venais de comprendre. Une force invisible me projeta sur le sol, et avant que je ne comprenne quoi que se soit, je vis mon château à toute allure devant moi. La seule chose que je revoyais, c'était les portes de mon château ce refermer juste devant moi.

▬ « Non ! » Hurlais-je en pleurant, me jetant contre les portes. « C'est pas finis ! Ta pas le droit de faire ça ! Après tout ce que j'ai fais tu me traite comme ça ? Qu'es ce que j'ai mérité ? » Je frappais les portes, mes mains me firent mal, une douleur vive m'arracha un hurlement, mais l'adrénaline dans mon corps était trop forte pour que je ressente quoi que se soit. J'hurlais, je frappais de rage les portes qui ne s'ouvrais pas. Les larmes ce déversèrent comme un torrent sur mes joues. Je criais désespérément, à m'en froisser les tympans. Je frappais encore et encore. « Ta pas le droit ! Je croyais en toi ! Je déteste tu entend ? Je te déteste ! » Je pleurais de nouveau, avant de m'abattre sur la porte. Une douleur mentale recouvrait toute mes émotions. Mes doigts serrèrent la porte avec tenacité, sentant un liquide rouge me couler le long des jointures. Je plaquais ma tête contre la porte, à bout. Il venait de me bannir de mon propre royaume. J'étais faible. J'étais qu'une mauvaise personne qui en faisait souffrir d'autre. Je ne servais pas à grand chose, mise à part à être coincée sous les coups de fouet d'un gourru. La douleur me traversais le ventre, alors que pour la première fois j'abandonnais. C'était clair et net, j'abandonnais. Je ne voulais plus rester ici. Je veux plus rien avoir à faire avec qui que se soit. Je me retournais, les yeux bouffis et rouge, et me laissais tomber dos à la porte avant de replier les genoux et d'enfoncer mon visage dans mes bras, pleurant à chaude larme. Je voulais juste retrouver mon chez moi, qu'es ce que j'avais fais de mal ?

▬ « C'est ma faute, tout est ma faute. » Lachais-je entre deux pleure, la voix rauque et le timbre de voix triste. Si je serais pas partis, il serait pas comme ça et tout le monde se serait bien porter. Serrant les dents à la douleur physique, serrant les dents à la douleur mentale. J'avais juste envie de m'enfermer, de ne plus voir personne.J'étais terriblement choquée par ce qui venait de ce passer. Le sang de la personne que j'aimais le plus au monde sur mes lèvres m'avait casser quelque chose qui m'avait rendu faible. Un choc me fit deviner que quelqu'un venait de balancer son poing dans la porte. J'étais bannis de chez moi. De mon propre chez moi. C'était finis, voilà.

« Arrête, tu n'es pas responsable de l'obsession morbide de cette abrutis. » Les paroles brutale de Diane raisonnait dans ma tête. J'étais qu'une obsession, c'est tout.Je ne mouftais pas. Je restais comme j'étais, la tête dans mes bras, refusant de voir le visage de qui que se soit. Me sentant coupable et honteuse.Je sentais une fissure au plus profond de moi, quelque chose de froisser qui risquais de rester là pendant un bon moment. Je sentais une mains ce poser sur mon epaule, alors que quelqu'un venait de s'accroupir à mes cotés. Je tournais la tête, révélant mon visage pour découvrir Maria. Je tournais le regard vers Diane qui souffla exaspérée. Oui je sais, exaspérante voilà ce que j'étais.Le visage glaciale de Maria c'était transformer en quelque chose de doux. Et un sourire compréhensif ornait ses lèvres.

« Il nous as fait du tord à tous. Vous n'êtes plus seule, ça nous touche tous à présent. Nous avons tous quelque chose à régler avec lui. Ne le laisser pas gagner. Ne lui donner pas cette satisfaction de vous voir ainsi. » Déclara t-elle. Et comment sans pouvoir magique ? Diane hocha la tête à son tour, alors que je regardais leur visage tour à tour.

« Le problème c'est qu'avec la médaille on ne peu rien pour le moment. Il va falloir trouver un moyen de l'affronter sans nos pouvoirs. » Déclara t-elle. Elles avaient raison. Je ne devais pas rester abattu alors que j'étais en train de me faire virer de mon chez moi. Je me relevais, la mine sombre. Finis la gaieté. J'allais le tuer. C'était décidé, tanpis si on me prenait pour une meurtrière. Je détestais ce qu'il venait de faire. Je détestais tout en cette instant. Je me tournais vers Callio, le visage griffer et la pris dans mes bras.

▬ « Je suis désolée ...C'est ma faute si Xibalba à trouvée ma faiblesse. » Je retirais ma tête de son epaule pour prendre ses mains et regarder son visage avec un sourire faible, n'aimant pas cette vilaine blessure sur son sublime visage. « Je te promet que tu vas pouvoir te venger comme il te convient, et vous tous aussi. » Dis-je en me tournant vers eux. Ils avaient droit de lui rendre la monnaie de sa pièce. Je lachais Callio pour me rendre sur le pont, quittant le château. Je me retournais en suite vers eux. « Je sais comment trouver un moyen de l'affronter. » Déclarais-je, tournant en suite les yeux droit devant moi. Il y avait un chemin qui menait dans un désert, en suite dans la grotte de vie et ...dans son château. « Nous allons l'atteindre droit au cœur. » Ajoutais-je. Un sourire cynique au lèvres. Oh oui, nous allons l'avoir. Je me sentais mieux, décidé qu'on ne toucherait plus jamais ceux que j'aime. Maria ce mit à sourire, d'un air déterminée et brilliant. Elle venait de comprendre.

« Son château ! » Devina t-elle.

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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 _



________________________________________ 2015-10-19, 22:18


The day of
the Dead
Lights will guide you home And ignite your bones And I will try to fix you
.



Qu'avait-elle de si particulier, ma machette ? Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi cela préoccupait temps Xibalba. Mais une chose est sur : Elle n'aurait jamais du tomber entre mes mains, à en voir son visage effrayée. Et c'est en cette instant, que je me posais des questions. Avais-je bien fais de la prendre avec moi ? Après tout je m'étais levée tout les jours avec, sans me préoccuper de l'importance qu'elle pourrait importer pour qui que se soit. Cette dernière à la mains, j'aidais Diane à ce relever qui me répondit que ce n'était qu'une pichenette comparée à ce qu'elle avait déjà du vivre. J'hochais la tête, alors que mes yeux observait le combats faire rage. Voir Xibalba nous implorer de ne pas le tuer me donnais certaine pulsion meurtrière. Mais je me rongeais les ongles quand je vis La Muerte plaquer son arme contre lui. Si elle le tuait, je ne pourrais plus jamais savoir ou est Manolo ! Ce que je leur avais crier, mais ils semblaient pas s'en préoccuper, ce qui humectais et entretenais ma colère. Un coup d'oeil sur ma droite pour voir que Reira ce battait contre le serpent. Mais l'animal revins très vite dans les bras de son maître, redevenant un simptueux sceptre. Et le voilà. Le vrai Xibalba. Celui qui causait du tord à tout le monde. Une pichenette envers Pitch, et je fus prise d'un sursaut en le voyant s'abattre sur la table avec violence. Le coups de point donner Diane avait du du encore plus l'enever. Je regardais la scène impuissante, ne sachant que faire fasse à cette force puissante qu'il représentait à cette instant. Mais je su que si je voulais retrouver Manolo, je n'allais pas pouvoir compter sur lui. Il allait jamais me le dire. L'attraper et essayer de l'atteindre serait du masochisme en cette instant.

Je regardais ce sale rustre s'en prendre à Calliope, alors que La Muerte n'agissait plus, mortifié face à la vision d'horreur qu'elle regardait. Je ne comprenais pas tellement pourquoi elle ne bougeait pas pour aider son amie. Elle semblait prise en joute, comme si ce qu'elle regardait l'affectait réellement. Au point que son cris déchirait l'air et qu'elle tremblait. Cette scène m'alourdissait durement le cœur, surtout quand Xibalba captura ses lèvres ensanglantée pour les déposer le liquide rouge sur ceux de son amante. Sa sois disant amante. Si il l'aimait vraiment, il ne créerait pas autant d'ennuie. Il ne souhaitait que le pouvoirs, c'est tout. J'avalais durement ma salive, me mettant à la place de Jezabel qui fut prise pas une crise de panique, elle respirait bruyamment, comme si elle était en manque d'air. Je m'approchais d'elle, en la fixant et en posant mes mains sur ses epaules. Je connaissais ce genre de reaction. Je les avais vécu. Quand on avait tuée mon père et que je n'avais absolument personne en qui me raccrocher. Je voyais encore le poignard s'abattre dans sa poitrine sous mes yeux. Je revoyais le visage du nouveau maire me regarder avec beaucoup de sadisme et me menacer de me tuer si je révélais quoi que se soit. Les larmes de sang coulant le long de arme tranchante, qui aurait pu s'abattre dans ma gorge à un quelconque moment. Meurtrier, meurtrier. Sentant les tremblement de la jeune femme entre mes mains, j'entrepris d'essayer de la calmer.

▬ « Ecoutez moi ! Jezabel ! Respirer calmement ! » Je lui hurlais dessus pour qu'elle m'ecoute, mais elle semblant loin, très loin. Dans un endroit que je ne pourrais surement pas atteindre. Une force invisible me poussa contre le sol, alors que je me couvrais le visage pour me protéger, me cognant la tête dans un grognement de douleur. Je voyais les couloirs du château défiler à toute allure devant mes yeux alors que la silhouette de Xibalba s'effaça de ma vision. Mais ils nous retenu d'un coup sec, et c'est dans un cris de frayeur que j'entendais le craquement de l'os de Pitch. Un frisson d'effroie me prit, et il nous ejecta hors du château. Je retombais de nouveau lourdement au sol. Il venait de s'amuser avec nous. Comme de vulgaire pantin. Il venait de ce delecter de la scène, tel un spectacle qu'on lui offrait. Je sentais mon sang s'echauffer dans mes veines, me relevant avec rage pour aller frapper la porte, les mains à plat. Il ne m'avait pas donnée ce que je voulais. Je ne savais pas ou était Manolo, et ca, ca me m'était clairement hors de moi. Je relevais mes cheveux en me tenant la tête d'une mains et en positionnant l'autre sur ma hanche. Le souffle saccader, je fermais les yeux un moment. J'allais le retrouver. C'était une promesse. Mais les cris implorant et désespérée de la Muerte me sortit de la noirceur de mes yeux clos. Je me tournais vers elle. Elle frappait la porte, pleurait, hurlait. Ces cris me déchirait le cœur, et je me surpris à éprouver de la compassion pour elle. Elle n'y était pour rien dans tout ça. Elle subissait, comme nous. Je finis par comprendre que finalement, c'était cruelle de lui en vouloirs pour une chose passer. On était à présent aujourd'hui, et aujourd'hui elle ce prenait autant ses propres erreurs dans la tête que nous. Après avoir assister à ce spectacle des plus tristes, elle ce laissa tomber dos au murs de ses portes. Rejeté de son propre chez soi. C'était une situation qui m'était cruellement similaire, ressassant des brides du passée. Moi aussi, j'avais été mise à la porte de chez moi. Un coup dans ma jambe me fis baisser la tête.

▬ « Oh, Chuy ! » Je m'abaissais, lui donnant une caresse sur la tête. J'étais tellement heureuse de le revoir ! Le voir foncer dans Xibalba avait été une des plus grosses surprise. Mais ce cochon était plus qu'un simple animal de compagnie. Il symbolisait ma relation avec Manolo, c'était son cadeau qu'il m'avait offert quand on était enfant. Je l'avais sauvée du bouchée. C'était mon Chuy, mon animal de compagnie. Le voir ici voulait aussi dire qu'il avait été tuée par l'un de ces sauvages de Chacal. Mais tanpis. Il serait bien mieux avec moi qu'avec les autres là haut. L'animal me donna un coup de groin affectif, avant que je ne me relève pour me tourner vers Jezabel, que Diane essayait en vint de la consoler. La gorge serrer, j'ecoutais ses paroles lourdes de sens avoir plus d'impact sur elle que sur nous. Un soupire hors de ma poitrine, je fis les quelque pas pour la rejoindre et poser ma mains sur son épaule. Finis les rancoeurs. Il était temps d'aller de l'avant. Je lui adressais un sourire, quand elle releva le visage bouffis et rouge à cause des larmes. Je pris sur moi pour ne me pas grimacer à cette vision atroce. L'envie de la consoler, de lui donner le sourire ce disputait dans le file de mes pensés. Ce qu'il fallait pour consoler quelqu'un, c'était trouver les mots exacts pour la rebooster. L'enfoncer ne servirait à rien. Elle ce sentirait encore plus coupable et dans ses cas là le nombre elever de bêtises était dangereuses.

▬ « Il nous as fait du tord à tous. Vous n'êtes plus seule, ça nous touche tous à présent. Nous avons tous quelque chose à régler avec lui. Ne le laisser pas gagner. Ne lui donner pas cette satisfaction de vous voir ainsi. » J'essayais de la consoler, et comme je l'espérais mes mots avait un impacte. Je finissais par apprendre à la connaître, cette Muerte. Ca nouvelle personnalité était quand même des plus touchantes, rien à voir avec l'ancienne. Et c'était vrai. Xibalba avait fait du tord à chacun de nous, ce n'était plus une guerre personnelle, mais un obstacle à arrêter avant que d'autre innocent ne subisse la même choses. Crier, pleurer, abandonner était une des satisfactions des plus alléchantes pour lui. C'était ce qu'il voulait, voir des âmes en perdition. Donner cette satisfaction et il ce croirait puissant pour de bon.« Le problème c'est qu'avec la médaille on ne peu rien pour le moment. Il va falloir trouver un moyen de l'affronter sans nos pouvoirs. » Il devait être difficile pour eux de redevenir ...mortel. Humain. Je ne pouvais pas dire qu'elle sensation c'était d'avoir des pouvoirs, mais quand ca fait partie de ton quotidien, ce changement doit être brutale. Moi même je me lançais dans une quête folle, armée d'une machette mystérieuse. « Je sais comment trouver un moyen de l'affronter.  Nous allons l'atteindre droit au cœur. » Fis Jezabel qui ce tenait à présent au début du pont. Je plissais les yeux, alors que mon cerveau révélait tout naturellement le lieux auquel elle faisait référence.

▬ « Son château ! » devinais-je, dans un souffle. La Muerte hocha la tête avec un sourire, et nous fis signe de partir. Un regard entendu avec Chuy à présent à mes cotés, je rangeais la machette dans son fourreau sur mon dos et suivait les autres. Les immeubles colorés laissèrent place à un immense désert orangée, avec quelque objets colorés abandonnée sur la route. Ce qui m'était assez drôle, c'est qu'on ne ressentait aucune température dans ce lieux. La mort était une chose des plus surprenante. Le silence lourd qui s'installait en chacun de nous révélait à quel point les événements nous avait tous touchés dans exception. Jezabel avait prit la tête de la marche mais son regard était plongés dans ses pensés et elle était silencieuse. Moi même je ne prit pas la parole. Je cherchais un moyen de comprendre ou Xibalba avait bien pu mettre mon mari. Son manque m'asséchait le cœur de jours en jour, et je peinais à le retrouver vivant. Ces pensés sombre traversais mon esprit aussi tranchant qu'un couteau. Je relevais la tête face à un canyon qui indiquait plusieurs chemin. Je m'arrêtais, me demandant lequel était le bon. Et si en s'approchant de l'endroit le plus dangereux au monde, on allait rester en vie. Plus on s'approchait de Xibalba, plus les pièges risquaient d'être mortel et dangereux. Une force inconnu secoua la sol, me faisant perdre l'equilibre et me sentis projecter dans l'un des chemins. Je tombais lourdement au sol, alors que je sentais mon front crier douleur. Je relevais la tête, la vision obscurcit et le paysage flou.

Un gémissement de bête féroce sortait de ma gorge, alors que je me relevais avec un horrible mal de tête qui me lançais. Quelque chose de tiède tombait de mon front, et c'est avec horreur que ma paume ce recouvris de sang au touchée. Grimaçant, je remarquais quelque chose des plus perturbant encore. J'étais seule. Abandonnée dans un chemin du canyon. Je regardais autour de moi perdu, mon cœur s'affolant dans ma poitrine, allant tantôt à gauche, tantôt à droite en hurlant leur prénom. Pas de réponse. Un silence de mort pesant. Rien d'autre. Effrayée, je pris une grande inspiration alors un bêlement me rejoignit en quelque pas. Chuy était avec moi, ce qui me rassura un temps sois peu mais pas assez pour taire mes inquiétude. Posant une mains sur le front de l'animal, il ne me restait plus qu'une chose à faire. Encadrée par des parois rocheuses tel de grand murs, je ne pouvais qu'avancer tout en jetant des regards alerter de toute pars. Le ciel était sombre et la lumiosité des parois brillaient un peu trop d'un eclats lumineux à mon goût. Je n'avais pas encore sortis ma machette, j'attendais de voir que quelque chose ce manifeste au lieu de foncer à l'aveugle. Un bruit dans mon dos me figea sur place. Je fermais les yeux tout en me mordant les lèvres. Le cœur trop accélérés, je fis un tour sur moi même pour faire face la personne qui ce tenait devant moi. Le choc me prit de court, j'arrivais pas à bouger face la présence qui m'observais.

▬ « Ma...Manolo ?  Bégayais-je, mes paroles tremblantes. Ca ne pouvait pas être lui … Le canyon ce jouait de moi. Je ne pouvais pas le retrouver aussi facilement après ses durs epreuves. Je reculais, effrayer, le cœur debordant dans ma poitrine. J'étais confuse, les questions ce rentrant les unes dans les autres dans ma tête. Le visage choquée, j'osais pas l'approcher. Il étai décoiffée, avec des traces de luttes et de blessures sur son visage. Son haut était déchiré, pendant dans tout les sens avec de la poussières sur sa peau. Il me regarda, aussi choquée que moi de me retrouver. Je fis un pas hésitant, comme pour m'assurer que ce n'était pas un mirage. Je ne voulais pas y croire. Je ne voulais pas être déçu. Je ne voulais pas avoir le cœur qui saigne à nouveau. J'avais besoin de sa présence contre la mienne. De ses bras qui m'entoure la taille et de ses mots rassurant pour me dire que tout allait bien. Non. Je ne pourrais pas survivre à un deuxième déchirement si c'était qu'une vision. Il semblait hésité a venir me voir lui aussi. Je crois que me voir ici, dans ce monde, devait le secouer. Il ne s'attendait surement pas à ce que je meurs. Surtout pas pour lui. Il m'aurait engueuler si il aurait encore été vivant, avec moi. Mais je peinais à y croire. Je voulais lever une mains, toucher, m'approcher. Un délice et un supplice en même temps qui m'envahissais.

« Maria ? Que ce que tu fais là ? Oh mon amour je t'en supplie dit moi que tu n'es pas morte, pas pour de bon. » Sa voix. Je ne l'avais pas entendu depuis si longtemps. Une douce mélodie réanimant des souvenirs des plus douloureux. Il semblait perturber de me voir ici. Et cette apparence ? Qu'es ce qu'on lui avait fait ?

▬ « Je t'en pris me dis pas que tu es un mirage …. » Soufflais-je, secouer, confuse. Pas lui. Je restais ou j'étais, toujours aussi figé par cette découverte perturbante. Xibalba l'avait relacher ? Ou était-ce un piège de sa part pour m'attirer ? Non, sinon Manolo m'aurait prévenu, il aurait préféré donner sa vie que de me faire subir quoi que se soit.

« Non, je suis là, je suis vraiment là... Je suis coincé dans cet endroit depuis si longtemps, l'idée de te revoir était la seule chose qui m'aidait à tenir... Et te voilà » déclara t-il, son timbre de voix enchantée. Il s'approcha de moi, à partir de cette instant tout s'arrêtait de tourner. Je ne voyais que sa présence ce rapprocher de la mienne, gouttant au désirs d'y croire. Je me risquais à faire un pas, un maigre pas. Ma mains ce tandant pour venir entrer en contacte avec son torse. De la matière. Ce n'était pas une illusion.

« Tu n'arrives pas totalement à croire que c'est moi, n'Est-ce pas? C'est normal, tu as toujours été intelligente toi la petite fille qui un jour m'a dit... » Il était en face de moi. Je buvais ses paroles, ma mains ne quittait pas son torse. Tout s'entremêlait dans ma tête. Méfiance. Confusion. Il ce pencha à mon oreille, son souffle chaud provoquant un frisson. « De toujours jouer avec le cœur. » Ces mots ce gravait dans mon esprit. Arrêtant le temps, arrêtant le monde de tourner pendant un cours instant. Et mon cœur me fit souffrir la poitrine alors que mes bras ce refermait subitement autour de sa nuque et que ma tête ce posais dans son epaule.

▬ « Manolo ! C'est toi ? C'est vraiment toi ? Je t'ai cherchée partout ! J'ai cru que j'allais jamais te revoir, j'ai cru ... » La respiration saccader par cette joie qui explosais en moi, je n'arrêtais pas de toucher son visage, de mieux le contempler. Il était là, je voulais pas qu'il m'echappe à nouveau. Des larmes de joie s'ecoulait de mon visage et un sourire illuminait mes lèvres. Il était là. De nouveau. Je l'avais retrouver. Le contacte de sa peau contre la mienne recousus les trous béant dans mon cœurs. Tout allait allée pour le mieux.

« Chut mon amour... Ne te mets pas dans un tel état, ce n'est que ton stupide mari... » Je cru recevoir un seau de glace en pleine tête. Il me sourit, un sourire qui soudainement ne me faisait pas plaisir du tout. Stupide mari... ? «  Oh Maria, si tu savais combien je suis heureux de te revoir ! Mais pourquoi Est-ce que tu es là, ma chérie ? Pourquoi Est-ce que tu es morte ? » Un mur de glace en pleine tête. Une boule dans ma gorge qui me serrais jusqu'à m'en etouffer. Je le relachais brutalement, un air assombris et le doigt pointée dans sa direction. Je me doutais que c'était trop beau. Pourquoi es ce que sa faisait toujours aussi mal ? Folle de rage. Utiliser Manolo pour m'atteindre.

▬ « Tu n'est pas Manolo ! » Tonnais-je la voix remplis de rage. Mes mains tremblèrent, alors que la douleur s'insinuait de nouveau en moi. Tranchante, violente. Comment avait-je pu être aussi stupide ? Aveugler par cette violente envie de le retrouver... Je m'étais laisser amadouer.

« Euh... Maria, que ce qui te fais croire ça ? » Fit-il, soudainement surpris de mon comportement. Je le regardais, bouche bée. Il était douée. Trop douée. J'avalais très mal cette entrevue. Je ne pu m'empêcher de laisser échapper un rire amer dans ma bouche. Je le regardais. Il jouait avec moi. Depuis le début. Les reactions de Jezabel me revient en mémoire. Je le détestais autant qu'elle le détestait. Je sentais la frayeur me prendre, mais je gardais un visage impassible et déterminée. Je ne devais pas me laisser amadouer. Je savais qu'il n'en avait pas finit avec nous, qu'il reviendrait pour terminer le travaille. Ca lui avait plus de voir sa pseudo femme triste et désolé ? Ce ne l'avait suffisamment pas assez stoppé comme ça ? Non, il revenait encore et toujours, avare. Voulant plus, toujours plus. Cette être me dégoutait. Le voir avec le physique de Manolo était comme recevoir un coup en plein dans le ventre. Ca faisait mal, je le voyais parler, faire comme Manolo. Et c'était douloureux. Parce qu'il réanimait des cicatrices que je pensais fermés, en suspend, mal recousus. Des souvenirs temps désirés, ce transformant en cauchemars par sa faute. Il venait me montrer à quel point il sa l'amusait de me voir souffrir. Et il continuait. Toujours et encore. En ajoutant une des seules armes qui pouvait me stopper dans mon elan. Mon mari.

▬ « Stupide mari, hein ? Bien essayée. » Et le pire, c'est qu'il ce vendait tout seul. Mais tant mieux. Parce que grâce à ça, je l'avais reconnu. Qui sait ce qu'il aurait fait de moi ?

« Ma chérie, je sais que tu es stressée, que tu es morte, et que tu es dans tout tes états de me retrouver, mais je ne vois pas pourquoi tu m'accuses de ne pas être moi. Tu dois bien admettre que parfois, je peux être totalement stupide. » Ces mots étaient tout simplement du pur Xibalba. Manolo n'aurait jamais dit ça. Je reconnaissais bien là se trait de caractère manipulateur. Il ce vendait encore plus.

▬ « Éloquente parole, Xibalba. Mais il ne dirait jamais ça. » Crachais-je mauvaise. Voir le physique de mon mari utiliser par lui … Ca me répugnait.

« Pourtant ma chérie, tu as quand même épousé un homme dont l'intelligence laisse clairement à douter. » Le '' Ma chérie'' passa très mal. Vraiment très mal. Je lui lançais un regard noir, alors que ma mains ce positionna aussitôt dans mon dos pour tater mon arme. Manolo était intélligent. Il avait été jusqu'à mourir pour venir me chercher. Et je demandais à voir qui que se soit qui serait capable de faire un acte pareil en dehors de lui. J'en avais assez de parler. D'être manipuler et frapper. Je voulais mettre fin à tout ça. Pour de bon.

▬ « Dis moi ou il est ! » M'ecriais-je en sortant ma machette du fourreau, la plaçant devant moi avec méfiance. Si il fallait que je frappe, je le ferais. Si il fallait que je meurs sous sa mains, et bien soit. Chuy tenta une attaque, mais il le projeta contre un rocher. L'animal tomba sur le sol inconscient, alors que j'hurlais son prénom.

« Mais pourquoi il faut que tu sortes toujours une machette ? Tu ne sais pas parler calmement ? Tu es pire qu'un chameau acariatre ! Franchement, de quoi tu te plains, je te laisse le voir, ton charmant mari. Peut être que tu préfères que je retire le haut, non ? » Et il s'exécuta sous mes yeux. Le haut déchirée vola par dessus sa tête. Révélant un torse musclé que je connaissais que trop bien. « Allez détend toi ! » Ajouta t-il. Je voulais retirer ce sourire misérable de son visage. Je ne sais pas ce qu'il essayait de faire.

▬ « Cette machette, je te remercie d'ailleurs, de me l'avoir laissée. » Déclarais-je. Parce que sans elle, je n'aurais pas d'autre arme pour me battre. Je n'aurais pas de force pour me lever le matin et me dire que j'allais le retrouver. Mais mon sang ne fit qu'un tour alors que je ne ressentais plus que de la haine envers son egards. Ce n'était que le bouton poussée pour m'enclencher. Un cris de rage tonna dans ma gorge et je me jetais sur lui. Je fis voler machette vers lui et elle percuta son ventre. Une entaille centrais à présent son ventre, un liquide noir poisseux s'echappa de la blessure. Je le fixais d'un œil mauvais. « Tu n'es pas Manolo. Dis moi ou il est ! Tout de suite ! » Cela me rendait folle. Folle de savoir que lui connaissait l'endroit exact ou il l'avait cachée. Et que je cherchais désespérément à l'atteindre. Ces yeux prirent une forme de crâne rouge, centrer à la place de ses pupilles. Je le fixais en reculant, méfiante, attiser par la peur et par la fougue.

« Tu sais, j'aurais pu bien t'aimer. Mais il faut toujours que tu te mêles de ce qui ne te regarde pas. Tant pis pour toi. » Il disparu soudainement, alarmant mon inquiétude. Je regardais autour de moi, la machette dans mes mains. Il n'était pas loin. Il ne partirait sans doute pas comme ça. J'exécutais une ronde sur moi même pour regarder autour de moi. Et puis les paroles de la mélodie résonnèrent dans le canyon.

I love you too much ...

Une force me poussa dans le dos. Je tombais à terre, la machette m'avait glissé des mains. Ignorant la douleur qui me prenant de partout, j'attrapais ma machette et me relevais. Je frappais dans le vide, paniquée, en colère.

▬ « Montre toi ! » Je détestais ça. Je détestais entendre les paroles de la chanson qui continuait de passer. Les souvenirs douloureux qui m'ecorchait, les coups de machette qui volait dans le vide. Je voulais juste que sa s'arrête. Qu'il arrête. 

To live without you loving me back 

Une nouvelle force me poussa en plein dans le ventre et je tombais sur le dos. Je serrais les dents face à la douleur qui me broyais la colonne vertébrale. Je retenais mes larmes qui menaçait de m'engloutir. Assez... j'en ai assez de la douleur...Je me relevais difficilement, essouffler, la machette tranchant le vent dans un unique geste désespérée. Le force invisible me projeta violemment contre un mur, qui me sonna. Je tombais sur le sol. Une violente douleur à la tête, les muscles en feu et les poumons broyer et saccader par mon souffle.

I love you too much 
Heaven's my witness and this is a fact 


▬ « Non … Arrête ... » Je murmurais, presque inaudible alors que je ne trouvais pas la force de me relever, mes jambes n'arrivais plus à me porter. La vision finit par me revenir. Il était juste en face de moi. Son visage mesquin, amusée et cynique. Je détestais cette situation de force. Je n'aimais pas qu'on me mette hors d'etats de nuir. Je détestais qu'on pense que les femmes sont soumises par rapport au hommes. Et cette musique qui m'avait séduite par le passer sonnait avec un goût amer dans sa bouche. Il me releva avec force et me plaqua contre le mur en immobilisant mes poignets. Son corps et contre le miens et je sentais souffle à quelque centimètre de mon visage. La panique me gagnait, alors que mes yeux finirent par s’humidifier pour de bon. Le ricanement dans sa bouche fut comme une nouvelle blessure, alors que je voyais le corps de mon mari avec l'esprit de Xibalba. C'était malsain, trop malsain. La douleur de mon dos contre le mur s'augmenta en m'arrachant un gémissement. La mains de Xibalba s'aventura vers ma hanche, me rapprochant encore plus de lui. Je détournais la tête , une larme ce déversant sur mon visage. Si je devais mourir, alors que ce soit rapide. Il stoppa la larme dans sa descente à l'aide de son doigt devenu fourchu tel une aiguille, et l'enfonça dans ma pommette en créant une légère entaille qui m'arracha un cris de douleur. Je tentais de me débattre, trop prise entre la rage qui manipulait mes gestes et la tristesses. Mes mains portait des coups dans son ventre alors qu'il essayait de me choper de nouveau les poignets. Une douleur vif me fit hurler de douleur, lorsque je tournais la tête pour voir l'un de ses doigts aiguillé ce planté dans mon poignet. Ses mains s'aventuraient, baladeuse, ce delectant de pouvoir ressentir la chaleur de ma peau contre la sienne. Mon cœur saignait, je tremblais, alors qu'il continuait de me toucher tout en créant une douleur à chaque passage de sa mains. Sur mon ventre. Sur mes hanches. Sur ma gorge, sur ma taille. Manolo...pourquoi avec son visage à lui ? Je tremblais comme une feuille, mise à nue mentalement. Il ce delectait de me voir aussi faible soudainement. C'est ce qu'il voulait. Et c'est ses lèvres qui entrait en contacte avec les miennes. La surprise et le choc me figea sur place, alors que j'essayais de le repousser. Je le repoussais d'un coup sec, cherchant ma respiration.

▬ « Tu es immonde ! Je t'interdis de me toucher ! » Hurlais-je, essayant de me ressaisir. Je levais ma machette dans sa direction, mais sa mains l'arrêta, entrant en contacte avec celle ci. Il ce mit à avoir des tremblement alors qu'il hurlait clairement à m'en briser les tympans. Il lacha l'arme, que je regardais avec surprise. Je n'avais rien sentit. Il l'avait juste toucher... Comment ?

« Que ce que tu as fais à ma machette ? Comment Est-ce que c'est possible ? » Brailla t-il. Hors de lui, il s’évapora pour de bon. Je restais contre le mur, trop choquée à cause des événements. J'arrivais pas à contrôler la panique qui venait de me gagner. Mon souffle saccader me laissais le mauvais souvenir de sa présence contre la mienne. Je portais mes doigts à mes lèvres douloureuses, caressant l'idée que de me taire. Un bruit pas loin de moi me fit sursauter. Je fixais Chuy qui commençait à reprendre conscience. Je me relevais en titubant, tremblante, et marchais jusqu'à lui avant de poser une mains sur sa grosse tête. Personne ne devait savoir. Le sol trembla, me forçant à me tenir au mur pour garder mon equilibre. Quoi encore ? Une énorme boule, encore plus haute que le canyon arriva à toute vitesse dans ma direction. Reculant de quelque pas, je tournais le dos à la boule géante et me mis à courir pour lui echapper, pour ne pas ce faire ecraser. Le jeux sadique continuait. Encore et toujours.

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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 _



________________________________________ 2015-10-19, 23:06

Je devais l'admettre... J'avais peut-être vendu la peau de l'ours avant de l'avoir tuer, comme toujours, j'avais commis la même erreur avec les gardiens à l'époque. Hum... peut-être que ce petit incident allait enfin me servir à retenir mes erreurs, une bonne fois pour toute. Enfin c'est ce que je me disais alors que cette enflure m'envoya voler à travers toute la salle, me faisant goûter à tous les plats du repas, et je devais admettre que sa soupe manquait de sel.
Sel que j'allais rajouter sur ses blessures quand je lui mettrais la main dessus, vous voyez, je pouvais subir une humiliation, j'en avais déjà subit plusieurs à cause des gardiens, il pouvait me priver de mes pouvoirs, donné moi une arme aiguisée et je pouvais surement rivaliser avec bien des guerriers, pas lui pour l'instant. Mais le temps viendra, oh il viendra, j'étais un homme de patience, l'immortalité était mon fardeau comme ma bénédiction, et qu'importe si cela devait prendre plusieurs milliers d'années, un jour, un jour il en regardera pas sous son lit, un jour il oubliera de fermer les portes de son château, et ce jour là serait son dernier.
Le fossoyeur se releva dignement, ce n'était pas quelques taches qui allait le faire tomber, il retira un morceau de poulet qui s'était coincé dans ses cheveux en soupirant avant de commencer à nettoyer méthodiquement sa tenue, c'était un cadeau de Diane après tout. Mais passons, ce n'est pas ce léger désagrément qui m'agaçait sur son compte, ce qui m'énervait vraiment, c'était... C'était que j'aurais put devenir comme lui, que j'avais été comme lui il y a bien longtemps de cela, en plus de son comportement envers Jez qui s'approchait plus du viol qu'autre chose, et j'étais absolument certain qu'il était capable d'en venir jusqu'à ce point car pour lui cela était normal. Il me répugnait, plus qu'il ne pouvait l'imaginer, mais j'avais perdu mes pouvoirs et pour l'instant ma seule option était d'attendre, et de transformer ma colère qui se cumulait en une arme plus aiguisée que jamais. J'allais le faire payer, lentement, surement, et j'allais profiter de chacun de ses cris.
Oh, ce que j'allais en profiter.

Puis, il figea tout le monde avant de nous diriger vers la sortie pour nous arrêtez juste avant, et de me regarder droit dans les yeux. Pitch sourit, il était moins idiot qu'il ne paraissait. Bien sûr que je savais ce qu'il allait faire, j'aurais fait la même chose dans son cas, cependant cela prouvait bien une chose. C'est qu'il me considérait encore comme une menace même sans mes pouvoirs, il voulait me briser pour que je ne revienne pas, et c'est ce qu'il fit, littéralement. Attrapant mon bras et le réduisant en miette d'un seul coup, Pitch ne lui offrit pas la joie de le voir crier, la douleur physique n'était rien. Absolument rien comparée à la rage chauffée à blanc qui brûlait mon crâne, le Roi Cauchemar serra les dents, ne lâchant pas une seule fois le regard de son ennemi alors que son bras était réduit en miette. Cet idiot venait de provoquer sa mort, provoquant deux immortels en un seul geste, il n'allait connaitre que souffrance et mort, et Pitch le jura sur son âme alors qu'il se mordit les joues pour oublier la douleur. Rien ne l'empêcherait, rien ne se mettrait en travers de son chemin.
Il allait tuer Xil.
Et c'est ce serment qui l'empêcha de crier et d'hurler, une haine plus pure que celle qui avait ressentie pour les gardiens lui brûlait le cœur, une haine qu'il n'avait jamais plus de limite. Il avait fait souffrir la femme qu'il aimait, il avait fait souffrir l'une de ses amies, et il pensait pouvoir me briser. Et cette haine, cette soif de sang réveillait quelque chose en Pitch, un monstre oublié depuis longtemps qui souleva des paupières lourdes de sommeil au plus profond de son âme.

La porte se referma derrière eux, et Pitch laissa apparaître une grimace de douleur sur son visage avant de regarder sa blessure. Multiples fractures, impossible de réparer ça sans magie où à la main, deux heures qu'il disait? Bien, il venait de gagner un peu de temps, rien de plus. Car j'allais jouer avec lui, tout faire pour provoquer sa chute, et je n'allais pas avoir de répit avant de le voir mort à mes pieds. Alors Pitch redressa sa posture, noble malgré l'angle malsain que son bras avait en ce moment même, il n'allait pas se laisser abattre pour si peu. Pitch regarda Diane réconforter Jez avec l'aide de Maria, et Pitch soupira, restant éloigné de ses autres compagnons, et grognant alors que son bras le lançait, ça n'allait pas être un moment plaisant lorsque les os allaient se ressouder. Mais qu'importe, j'allais avoir besoin de mes deux mains pour étrangler ce fils de chien.

« Je te promet que tu vas pouvoir te venger comme il te convient, et vous tous aussi. »

Pitch s'approcha de nouveau du groupe, bien, tout le monde voulait sa mort, alors il n'y aura pas d'était d'âme comme pour le manoir, il allait parfaitement pouvoir s'amuser un peu lui aussi lorsque le moment sera venu, mais pour l'instant, le fossoyeur ne tenait qu'uniquement grâce à sa rage et son envie d'enfoncer sa faux dans le cou de cette nuisance.
Le fossoyeur se tourna vers Diane, la regardant droit dans les yeux, elle aussi était enragée, sa colère était comme une tempête que l'on pensait suffisamment éloignée pour mieux être surpris au dernier moment, elle allait tout ravager sur son chemin, et là où cela m'aurait effrayé de la voir dans cet état auparavant, maintenant j'étais heureux qu'elle soit avec moi pour cette vengeance. Comme toujours, nous étions deux et unis, sauf que cette fois...

"La chasse est ouverte."

Pitch s'était adressé à tout le monde, mais il était clair que le message était plus pour la déesse de la chasse que pour le reste de ses compagnons.
Et la proie se terrait dans ce château, il fallait la débusquer. Et nous allions trouver le moyen de la faire sortir, c'était une promesse, une promesse de mort, une promesse de douleur faites entre deux âmes qui s'aimaient plus que tout au monde. Mais aujourd'hui, cet amour allait être la source d'un océan de douleur et de vengeance, cet amour allait être une arme sans pitié.
Diane et Pitch allait chasser, et tout n'était qu'une question de temps avant que la flèche ne touche sa cible.
Le fossoyeur n'eut pas le temps d'ajouter autre chose qu'il fut téléporté, seul, loin de son âme sœur chasseuse, loin du groupe. Il entendit des cris dans la nuit, déchirant, ceux de Maria surement, et ses dents se serrèrent plus encore alors que le fossoyeur savait qu'il se jouait de nous. la colère s'accumula une nouvelle fois, mais Pitch mit sa main valide et commença à avancer tout droit, dans la même direction, sans se presser. Il avait tout son temps devant lui avant sa vengeance, alors il n'allait pas se presser, il devinait que les murs de ce labyrinthe, car s'en était un, étaient piégés. Il savait que son moindre pas pouvait activer un piège, mais Pitch n'en n'avait cure, son corps n'était plus qu'un vaisseau pour sa vengeance, la douleur de son bras n'était qu'une réminiscence de sa raison d'être devenu aussi haineux. Alors Pitch avança, chaque pas le rapprochant de l'instant où ces mêmes pieds baigneront dans son sang.
Et Pitch continua d'avancer, impossible à arrêter, faisant preuve d'une détermination et d'une soif de sang qui lui était inconnu. Il allait le tuer, il allait le tuer, j'allais le tuer.

"As i walk through the valley of the shadow of death..."

Pitch ne cilla pas lorsqu'une boule de feu vola jusqu'à lui, se décalant en faisant un simple pas de côté pour éviter le projectile. Le fossoyeur serra les dents alors qu'il sentit une cuisante douleur lui atteindre l'épaule, là où une flèche venait de le transpercer, il sentit ces muscles se figer sous l'effet d'un poison quelconque, et ses jambes faillirent céder sous son poids. Mais Pitch n'allait pas poser le genou au sol, il n'allait pas perdre une seconde, rien n'allait le stopper dans sa soif de sang, rien ne pouvait mettre fin à sa colère. La douleur n'était qu'une misérable information que le fossoyeur ignora. Il n'y avait pas de place à la douleur, pas de place pour la pitié, pas de place pour le pardon, juste la mort que j'allais lui apporter.

"I fear no evil for i am the baddest..."

Alors Pitch continua d'avancer, le sang gouttant de ses blessures traçant un long sillage rouge derrière lui.
Et au plus profond de son âme, la Chose se réveilla lentement en souriant. Lui donnant un petit coup de main pour avancer. Bientôt... Bientôt...



Diane Moon
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“I love you to the moon and back”


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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 5 _



________________________________________ 2015-10-20, 21:11

The Day Of The Dead
And i don't really care if nobody else believes. Cause' i still got a lot of fight left in me


Bien sur, que non, je me doutais bien qu'il n'était pas en train de se rendre. J'étais plus âgée, que toutes les personnes réunis, plus âgée que lui également. J'avais vécus, et j'avais vu. Des lâches dans son espèce, il en a existé de tout temps. Et, j'étais trop expérimenté, et surtout, trop méfiante, pour me laisser berner. Mais, ce qui suivit...Il, n'aurait jamais dût le faire. Très, certainement, que s'il n'y avait pas eu ce masque coloré, qui me servait à présent de visage, l'on aurait pu me voir pâlir. Il, venait de pratiquement, broyer les os du bras de Pitch. Toute, mon attention, était braqué, sur ça. Et, au fond de moi, au plus profond de mon être, une tempête se préparait. Petit à petit, une rage indescriptible me gagna. De la rage mêlée, à de la culpabilité. Si, je n'étais même pas, capable, de protéger l'homme que j'aimais, d'un avorton comme ce Xibalba, comment pourrais-je protéger l'humanité entière, contre Chronos.

Ejecté, du Palais, comme si nous n'étions fait que de papiers. Nous, nous retrouvions, à présent devant les portes, et ma colère, elle ne faisait que grandir. Dans un cri rageur, je lançais, mon poing droit dans l'une des portes, qui se fissura légèrement, sous l'impacte. Ça, il allait le payer. Ce qu'il avait, fait, ça ne passerait pas aussi facilement. S'il y avait bien une chose à ne surtout jamais faire, c'était s'en prendre aux personnes auxquelles je tenais. La dernière fois, que c'était arrivé remontait à environ quatre siècles. Et il avait fallut, Apollon, pour m'empêcher, de montrer à ce petit roitelet, à qui il avait osé s'en prendre. Mais, là Xibalba avait un énorme désavantage, par rapport au monarque : Apollon, n'était pas présent.

Relevant, mon regard, flamboyant de colère, je ne pu que constater, l'état dans lequel était Jezabel. Cela, ne fit qu'attiser ma rage. Non content, d'avoir gâcher sa vie. Il, s'en était prit à sa meilleure amie. Il, avait commit des actes d'une bassesses inégalable.

Si mes attributions, étaient la lune et la chasse, j'avais également, comme rôle, d'être la protectrice des femmes. De part mon statu de déesse vierge, je n'avais pu que constater, tout au fil des millénaires, à quel point les hommes se croyaient supérieurs. Ça avait, prit du temps. Mais, petit à petit, j'avais aidé les femmes, à sortir de leur statu, de femmes soumises à leur mari. Nous étions encore loin de l'égalité tant souhaité. Mais, je ne perdais pas espoir. Œuvrant dans l'ombre. Laissant, les grandes figures du féminisme sur le devant de la scène. Moi, j'observais de loin. N'intervenant, que pour aider une idée à germer. C'est pour cela, que de voir ce qu'il avait fait, aujourd'hui me révoltait, et me mettait dans une colère noir. Il, venait de réveiller l'impitoyable guerrière que je savais être. Il, allait rencontrer la déesse de la chasse, parce que dès à présent, il était ma nouvelle proie, et une proie à abattre.

Jezabel, finit finalement, par totalement, arrêter de luter, arrêter de frapper les portes, arrêter de hurler sur Xibalba, et lâcha que tout était de sa faute. Cétait la chose à ne pas dire :

- Arrête, tu n'es pas responsable de l’obsession morbide de cet abruti
dis-je sèchement

Mes paroles semblèrent, la ramener quelque peu sur terre, tandis-que Maria, se chargeait, d'achever le travail. Elle, était plus douce, à présent. C'était dans ce genre de situation, qu'on arrivait plus ou moins à mettre ses vieilles rancunes de côté :

- Le problème c'est qu'avec la médaille on ne peu rien pour l'instant. Il va falloir trouver un moyen de l'affronter sans nos pouvoirs dis-je

D'une manière générale, bien que j'en fasse peu étalage, je me rendais compte, que je comptais bien trop sur ma nature divine. Il, fallait dire, que tout ce que j'avais affronté en un an, était essentiellement divin. Je m'étais concentré du mieux que je pouvais sur ma tâche de second, même si ça ne fut pas une franche réussite. Officiellement, d'ailleurs, je l'étais toujours. Ou tout du moins, dans l'esprit de ceux qui le savaient. Apo', n'avait rien exprimé de la sorte à voix haute, néanmoins, nous le savions tout les deux. J'étais la personne en qui il avait le plus confiance, et inversement.

J'hochais simplement, la tête, lorsque Jez et Maria, se comprirent immédiatement. Pour tenter, d'atteindre Xibalba, il fallait aller dans son propre royaume. Un, instant mon regard croisa celui de Pitch, avant de m'en détourner rapidement. Je, ne voulais, pas, je ne pouvais pas, le regarder en face. Pas après, ce qu'il avait subit. Je, ne m'étais jamais sentie aussi faible et inutile, que la fois, où j'avais cru perdre Apollon pour de bon à Téménos. Mon poing, se serra de rage, tandis que, je retenais, à grand peine, des larmes de colère et de culpabilité. Oh oui, la chasse était ouverte, et Xibalba, était ma nouvelle proie. Il, avait très vite comprendre, que l'on n'échappe pas à la chasse personnifié :

- C'est notre problème à tous, dis-je que l'on ne sache pas dans quoi l'on a mit les pieds, mon regard se porta sur Amélia, et sa jeune protégée blonde, que l'on choisisse de rester à l'écart, cette fois-ci il se porta sur Reira. Xibalba, a décider que nous étions tous, ses marionnettes, mais il est temps, de lui faire clairement, comprendre, qu'il ne peu pas nous manipuler à sa guise, et qu'il ne gagnera jamais.

C'est sur ces paroles, que le groupe se mit en route, dépassant les maisons colorés du Royaume de la Muerte, pour se retrouver, dans un désert, orangé. Je restais plongé dans mes pensées. Mon, attitude externe était glaciale, mais c'était pour mieux protéger les autres. Non, je ne tuerais pas Xibalba, même s'il le méritait pour toute la souffrance qu'il avait fait endurer à Jez, Maria ainsi que tous les autres et pour avoir, osé ne serait-ce que poser ses sales pattes sur l'homme que j'aimais. Mais, cela ne signifiait pas, que j'allais rester sans rien faire. La prochaine fois, mes flèches ne feraient pas que le frôler, bien au contraire. Je les planterais, dans son épaule, une par une.

Je relevais, la tête pour tenter de voir où nous, en étions, sauf, que je me rendit compte, bien trop tard, que j'étais toute seule, face à une statue qui s'anima subitement :

Affrontez le labyrinthe et montrez vous digne de passer

Un grondement sourd se fit entendre, alors qu'une énorme boule de feu, arriva droit sur moi, et évidemment, impossible de me téléporter. Heureusement, que je restais tout de même bien plus rapide, qu'un mortel. Immédiatement, tous mes muscles s'activèrent, et je me mit à courir, la boule toujours à mes trousses.

J'ignorais depuis combien de temps, ma course durait, mais mes pieds se retrouvèrent, soudainement, enlisé dans le goudron. Et à peine le temps d'un coup d’œil, que je vie -et surtout sentie- la boule de feu arriver droit sur moi. Il, me fallut un certain temps, avant de reprendre mes esprits. Néanmoins, il était hors de question de flancher. Ma colère, me donnait suffisamment, de force pour rester debout. J'étais déterminée, et j'irais jusqu'au bout.



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________________________________________ 2015-10-21, 01:59

The day of the dead× ft. PLEINS DE MONDE & REIRA
J'avais observé assez longtemps et écouté tout ce que c'est personne disaient pour comprendre qu'on était vraiment mal barré. Et voilà que nous nous apprêtions à faire face à une nouvelle situation perilleuse. Je n'avais jamais eu à vivre ce genre de chose. Ma vie était calme, que ça soit dans mon monde ou à Storybrook. Je voulais simplement faire la fête au Mexique moi à la base. Les paroles de la blonde me ramena à ce que nous vivions. Je la regardait toujours aussi distante, que voulez vous, quand je ne connais pas les gens...
❝ J'y peux rien moi si je connais personne. Vous les Yankees vous semblez croire que tout le monde est à l'aise avec les étrangers. Bah navrée, c'est pas le cas. Le seul que je connaissais, il a disparu. Et je pesnse que ma patronne va pas être contente que je lui ramène pas son fiancé et père de son enfant. Alors je fais ce que je peux en fonction de qui je suis, et si ça vous plait pas c'est pareil. ❞
J'avais pris la mauvaise habitude de dire ce que je pensais d'un ton détaché. Pas que je veuille être arrogante, mais ainsi on pouvait croire que ce que les gens disais ne m'atteignait pas. La blonde qui avait voulu me remettre en place fut blessée. Je lui demandais quand même si ça allait. Oui j'étais pas forcément la compagne d'aventure idéale, mais j'avais quand même un bon fond, enfin, sauf quand on fait du mal à Tohru ou à Uo, mais ça c'est hors contexte là.
Ce labyrinthe allait nous rendre dingue. Nous étions presque sorti de ce fichu coup gorge quend je me pris une flèche. Sous la douleur, je me pliais en deux. Je serrai les dents, ne jamais montrer sa faiblesse à ses bourreaux. Pas une larme ne perla, par contre on pouvait compter à l'interrieur de mes paumes le nombre exact de mes ongles. Ca faisait un mal de chien cette flèche. Celui qui nous infligez ça allait payer, d'une manière ou d'une autre...
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