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Ensuite, réveillez-vous calmement et allez jusqu'au bout de votre rêve
sans jamais vous laisser décourager. » (Walt Disney)

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 [Fe] The Day of the Dead - Événement #45

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Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

| Avatar : Alyssa Milano

Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !

[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 Sans_t21


| Conte : Le Roi Lion
| Dans le monde des contes, je suis : : Diku

| Cadavres : 3376



[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 _



________________________________________ 2015-10-26, 20:35 « La vie c'est pas de la tarte ! »

- Tu peux m'appeler Amelia, Madame ça fait trop solennel et c'est pour les vieilles, avait sourit l'ancienne lionne.
Dans l'absolu, elle avait pourtant droit à ce "Madame" qu'elle trouvait si pompeux. En effet, elle était mariée et ce depuis de nombreuses années. Mais Amelia était restée jeune - un peu trop, potentiellement - dans sa tête et se sentait toujours l'âme d'une femme de 25 ans. Alors fatalement, elle ne se percevait pas comme une dame. D'ailleurs, ses clients l'appelaient généralement par son prénom voire son diminutif, qu'elle n'avait pas manqué de signaler lors des présentations. Bien sûr, personne n'avait semblé noter mais n'avaient-ils pas plus urgent à faire ? Vu l'était des lieux, il était clair que oui.
Reira avait d'ailleurs eu raison de lui suggérer de s'armer. Avisant un chandelier, Amelia ne se l'était pas fait dire deux fois et l'avait empoigné, gardant tout de même sa pelle à tarte dans l'autre main, des fois que et ce même si dans l'absolu cet ustensile ne pouvait pas faire beaucoup de dégâts. Le chandelier en fonte si, en revanche. Et c'était bel et bien le but, pour une fois, de cette ancienne lionne à présent si pacifiste. Face aux Oubliés, elle s'était vite fait une raison : il fallait frapper et frapper fort.
Pour le moment, cependant, aucun visage sinistre ne s'était fait connaitre depuis un bon bout de temps. C'était calme, trop calme. Plus que jamais, Amelia marchait avec précaution, testant chaque dalle du pied avant d'y appuyer tout son poids. Elle avait bien vu ce que cela faisait quand on ne fait pas attention puisque Diane et Maria étaient tombées dans un trou juste avant que le groupe ne se séparent. De quoi réfléchir à deux fois où on met les pieds, non ? Pour une fois en tout cas, Amelia ne souhaitait pas les mettre dans le plat ! Ou dans le piège, plutôt.
Reira également. Elle avait approuvé et suivit l'idée d'y aller doucement... Mais Xi-machin-chose était un être retors et vil et ce qui devait arriver arriva : Reira effleura la mauvaise dalle et le sol s'ouvrit également sous les pieds des deux femmes.
Amelia retomba lourdement sur le sol et eut à peine le temps de se relever que déjà trois Oubliés fonçaient sur eux. Sans attendre son reste, Reira se lança dans la bataille, bientôt imitée par l'ancienne lionne et en tuant deux, efficacement et proprement.
- Beau boulot, commenta t-elle aussi fièrement que s'il s'agissait d'un de ses enfants.
Mais comme elle jouissait d'une chance particulièrement retorse, il se trouva qu'Amelia n'avait même pas fini ces quelques mots que Reira prenait un coup. Finalement j'aurais du me taire, bougonna la jeune femme en prenant le relais, le chandelier brandit au dessus de sa tête prête à courir vers le dernier Oublié et venger son acolyte d'un jour.
- Yaaaaaah ! s'écria t-elle en le chargeant comme un pachyderme.
Amelia allait l'atteindre quand la pièce commença à tourner, d'abord lentement puis de plus en plus vite. L'Oublié s'envola, comme soufflé par une bourrasque invisible tandis qu'Amelia tombait au sol, désorientée par ce tour de manège imprévu.
Quand elle reprit ses esprits et que sa tête eut cessé de tourner, la jeune femme constata qu'elles avaient encore changé de pièce. Mais par bonheur, aucun Oublié n'y avait élu domicile. Seul un tas d'objets hétéroclites jonchaient le sol. Il y en avait vraiment pour tous les goûts, à cela prêt qu'Amelia n'aperçut aucun ustensile de cuisine local. En revanche, une magnifique guitare attira son attention. Comme attirée irrésistiblement, la jeune femme s'en approcha et la saisit. Aussitôt, une sonnerie strident retentit et Amelia songea que tout le monde allait une fois de plus savoir qu'elle avait fait une connerie. Su-per, vraiment.
- Oops, commenta t-elle avec un sourire désolé. Bon, au point où on en est, on la prend ? Y a écrit "Joue toujours avec ton coeur, Maria" dessus, donc je suppose qu'elle appartient à celle qui est tombée dans le trou avec Diane, non ? Ce serait bête de pas la lui rapporter, je pense.

Amelia : 90 %
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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 _



________________________________________ 2015-10-27, 00:01



Tu sais qu'on peut totalement me faire confiance?

Je n'arrivais pas à chasser de mon esprit les visions sombres qui m'étaient apparues lorsque j'avais touché à la machette. MA machette. L'était-elle toujours ? Cette petite garce de Maria lui avait fait quelque chose. Elle abîmait mes affaires. Et après elle se plaignait que je la faisais souffrir alors qu'elle n'était même pas capable de prendre soin de mon arme ? On récolte ce que l'on sème, après tout.

Un frisson me parcouru au souvenir d'un des cauchemars éveillés que j'avais aperçu. Tant d'horreur, tant de douleur... C'était mon péché mignon, pourtant. M'amuser et torturer des êtres inférieurs, c'est mon dada. Mais j'avais été visé. Je m'étais vu. Du moins c'était l'impression que j'avais eu. J'étais seul. Je souffrais. Et je voyais... Un autre frisson remonta le long de mon dos, et je serrais les poings à ce souvenir. Non. Ça n'arriverait pas. Je n'étais pas si idiot. Ma puissance me protégeait de tout ça. Ce n'était pas une minuscule femme un peu trop grande gueule et qui mord trop facilement qui m'arrêterait. Le temps où le sexe féminin était plus doux me manque. Ma Muerte était à peu près la seule, il y a quelques siècles, à avoir autant de caractères et être aussi flamboyante. À croire qu'une mode était lancée.

Le son de la guitare de Manola m'arracha un sourire mauvais. J'étais à la fois ravie qu'ils la trouvent, mais aussi agacé. Ils étaient arrivés à mon palais un peu trop rapidement à mon goût. D'un côté, pourquoi est-ce que j'étais étonné ? Une grande partie du groupe était particulièrement agaçante. Ils devaient bien l'être jusqu'au bout.

Poussant un soupir, je me téléportais jusqu'à une pièce dans mon château et claquais des doigts, avant de croiser les bras et lever un sourcil alors que le groupe apparaissait devant moi. Je me mis à tapoter du pieds, tandis que certains avaient l'air plutôt perdus. C'est vrai que cette pièce était l'un des cachots. Ou du moins ce qui s'en rapprochait. C'est vrai que la plupart des pièces sont dans le même style. Quand on vit dans un endroit aussi déprimant, malheureusement, on ne peut pas se permettre d'avoir des chambres décorées dans des tons chauds et chatoyants. Non, ici c'est plutôt goudron, charbon et produits toxiques. Cette pièce là avait les murs qui semblaient dégouliner. Du goudron coulait de fissures dans un gargouillis pas forcément ragoutant. Il ne faisait pas chaud, d'ailleurs. Je n'ai jamais eu accès à cette joyeuse invention qu'est le feu. On ne peut pas tout s'offrir quand on est coincé dans un endroit lugubre que personne n'aime visiter.

- Soit vous êtes idiots, soit vous êtes très idiots. Je pencherais même pour la troisième théories, enfaîte. Que vous êtes nés sans cerveau. Ça ne m'étonnerait pas. Si je tape sur votre front, ça donne quoi ?

J'apparru devant Amélia, qui avait eu l'excellente idée de faire joue-joue avec mon système d'alarme. Je tapotais mon doigt recourbé contre son front, et tendis l'oreille, avant de prendre l'air outragé.

- Mais c'est que j'ai raison ! C'est tout creux là dedans ! Tu es comme une noix pourrie, ça ne m'étonne même pas.

- J'en ai marre de ce petit jeu, retire moi cette médaille !

Je me tournais vers Jezabel, qui n'avait pas l'air contente du tout. Ah mais qu'elle était séduisante, même énervée. Pourtant ça lui faisait ressortir une veine au niveau des tempes et ses sourcils se fronçaient de manières assez amusantes, mais quand même. Un jour, elle sera mienne. Oh oui, elle sera mienne.

- Mais, mi amor, pourquoi veux-tu l'enlever, personnellement je trouve qu'elle te va très bien au teint.

- Tu as fais exprès de la trafiquer, parce qu'elle bloquerait mes pouvoirs et que j'aurais pas d'autre choix que de rester avec toi ! Mais pas de chance, je ne suis pas seule.

Je pris un air étonné, en penchant la tête et en tournant vers la gauche puis la droit, en ouvrant grands les yeux tandis que je voyais les autres se tenant près d'elle.

- Ah bon, tu n'es pas seule ? Je ne savais pas que tu avais emmené tes petits chiens avec toi, c'est fou dit donc !

C'est vrai qu'ils n'étaient pas du tout voyant, ses petits animaux de compagnie. Pourquoi elle avait dû embarquer avec elle tout ces singes ?

- Ah oui c'est fou ! Mais dis moi, comment tu as fait pour faire revivre Chacal ? Sans mon pouvoir de résurrection et celui du Chandeleur tu en es incapable ! On doit être trois pour ressusciter quelqu'un !

Oh ! Une question intéressante, enfin ! Un grand sourire étira mes lèvres, et je m'approchais d'elle, sans me soucier des armes pointées sur moi et des regards noirs. Un tout petit geste de leur part, et je les enverrais se noyer dans du goudron. On peut être civilisés, parfois.

- Disons, ma douce, qu'être trois c'était trop compliqué. J'en ai profité pour voler tes pouvoirs et forcer cet idiot de Chandeleur de me donner un petit coup de pouce. Non, enfaîte je l'ai exploité. Il a toujours été insupportable de toute façon, ça a été très drôle de le voir dans tout ses états. Très plaisant...

Il était trop jaune. C'est insupportable cette couleur, mes yeux saignaient à chaque fois. Et puis son horrible accent là... Il ne servait vraiment à rien.

- Qu'as tu fais de lui ?

Je posais mon index sur mes lèvres et me mis à tapoter, en levant les yeux vers le plafond légèrement éclairé de vert.

- Bonne question. Mais tu en as assez posé, on arrête le quiz maintenant et on passe aux choses sérieuses, veux-tu ?

Autant passer à autre chose. Je ne savais pas où était passé cet imbécile. Mais ce n'était pas ma priorité. Il allait bien finir par pointer le bout de son énorme nez bientôt.

- Très bonne idée. Un petit pari de tenterait, Mi amor ?

Je sentie mes yeux s'écarquiller en l'entendant m’appeler comme ça. Ouh... ça faisait quelque chose, quand même. Je n'avais absolument pas confiance en son petit sourire, mais quand même!Elle pouvait me donner du « mi amor » quand elle voulait, ça me faisait plus d'effet que ça n'aurait dû.

- Un pari ? Quel genre de pari ? Tu sais bien que je n'ai jamais pu résister, vilaine.

C'était ma faiblesse. Les paris avec elle permettaient d'égayer notre relation de couple et de nous amuser un peu. Sans oublier certains détails moins reluisants... Mais dans l'ensemble, malgré mes échecs cuisants, je ne pouvais jamais refuser.

- C'est pour ça que tu as toujours triché ! Si je gagne le parie, tu me retire cette médaille et on la détruit !

Aucune surprise. C'était trop facile. Elle n'avait aucune originalité. Je levais les yeux au ciel, avant de lui sourire et de hocher la tête.

- D'accord, mi amor. Nous allons jouer à ce petit jeu. Mais je choisi ce que tu... non, vous... allez devoir affronter.

Je claquais des doigts et le décor changea. Nous étions dans une arène immense, entourée de gradins où étaient assis des morts qui pour la plupart, poussaient des gémissements. Enfin ils étaient dans l'arène. Moi, j'étais tranquillement assis sur un fauteuil, dominant tout le monde du haut de mon balcon.

- Alors c'est simple. Donc si tu gagnes, je détruis la médaille et je te laisse partir sans chercher à te revoir et j'accepte de signer les papiers du divorce. Mais si tu perds ce pari, tu devras rester ici, avec moi, pour toujours. Et surtout, être et rester ma femme. Interdiction d'avoir des amants, tout ça. En plus de ça, je pourrais faire ce que je veux de ton charmant petit groupe !

Je ne demandais pas grand chose, finalement. Je voulais récupérer ma femme. Était-ce un crime ? Les mortels allaient voir des psychologues, moi je préférais l'acquérir.

- C'est d'accord. Si je perds, je serais entièrement à toi. Tu pourra faire ce que tu veux de moi. je chercherais plus à fuir, et resterais avec toi pour toujours. Seulement, tu relâchera mes amis et tu les renverra à Storybrooke !Tu n'a pas besoin d'eux, c'est seulement moi qui t’intéresse.

Je poussais un soupire exaspéré. Pourquoi s'était-elle sociabilisée ? Avoir des amis la rendait bien plus faible. C'était un concept sans intérêt. Mais je hochais la tête.

- J'accepte ! Prépare toi à dire adieu à tes... amis, alors. Car le défi que tu dois réussir est... Ah attendez, juste avant qu'on commence, j'ai oublié quelque chose !

Je fis un geste de la main et à côté de mon fauteuil apparu une cage. À l'intérieur de cette cage, le si gentil Manolo. J'entendis avec satisfaction Maria crier son nom. Je tapotais une griffe qui venait d'apparaître au bout de mon petit doigt contre l'un des barreaux et fit un grand sourire à mon prisonnier.

- Regarde qui voilà, ta jolie femme ! Comme ça doit être frustrant de ne pas pouvoir lui parler, s'en approcher, l'embrasser, la prendre dans ses bras... Profite donc du spectacle.

Je tapais dans mes mains et juste devant le groupe, dans l'arène, un taureau géant se matérialisa, d'apparence si monstrueuse qu'il n'avait plus tellement de ressemblance avec un vrai taureau.

- Ah oui, j'avais oublié ! Mi amor, il te faut combattre et gagner contre ce taureau. Bonne chance !

Je lui lançais un baiser et me calais contre le dos de mon siège, en tendant les jambes devant moi. Un verre de cockail apparu dans ma main, et je le portais à mes lèvres pour en boire une gorgée. J'avais hâte de lever mon verre à ma victoire. Ça doit avoir un goût si différent.


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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 _



________________________________________ 2015-10-27, 13:56



The day of
the Dead

Belle journée pour une fin !
.




Activer la plate forme. Ce n'était pas de mon ressort. D'habitude c'était Chandeleur qui l'activais et qui la faisait grimper dans la salle des bougies. Je vous dis pas à quel point j'étais stressée, en train de plaquer mes mains partout sur la tablette alors que des oubliés nous envahissait. D'une manière trop rapide, mon cœur placardait ma poitrine dans d'affreux boum boum. Jusqu'a ce que d'eux de nous ne pousse des cris étouffer. Je redresse le regard, interdite, inquiète. Callio venait de virer au gris et au vert, comme Pitch. Une bouffer de rage s'empara de moi, alors que je regardais impuissante mon ami devenir triste, dépressive. De la part de quelqu'un que l'on connait très bien, cela faisait bizarre. Mais j'aimais pas qu'on touche à ceux que j'aime. Je fixais Diane, qui semblait aussi en colère que moi de voir son compagnon dans cette état.  Jezabel,  Toi, et moi, on va s'associer, et on va donné à ton ex la raclée de sa vie Les paroles de Diane raisonnait dans ma tête, alors que mon regard était concentrer sur Callio. Un sourire cynique sempara de mes lèvres, tout à fait d'accord avec elle. Je levais la mains dans sa direction, qu'elle vint taper avec entente. Je ne laisserais plus Xibalba réduire en néant les choses qu'il aimait juste pour moi. Je lui en interdisait. Personne ne devrait avoir à souffrir à cause des autres, personne.

▬ « Faisons lui mordre la poussière ! » Lachais-je d'une voix déterminée. Puis, je retournais à la plate forme, tapotant de nouveau mes doigts sur la surface lisse, pressée par le temps. Mais mince, il l'actionne comment ce machin ? Il pourrait pas avoir une clé comme tout le monde et la glisser pour démarrer ? Ah le changement d'époque c'était vraiment pas drôle ! Enfin, une lumière s'empara de mes doigts posés sur une forme crânienne. Une lumière aveuglante sortit de la plate forme, si bien que mes yeux ce fermèrent automatiquement. Je me sentis transportée, pousser vers le haut alors que le sol disparaissait sous nos pieds. On entrait dans la pièce remplit de bougie allumés. Elle était grande, mais sans le chandeleur pour faire son cinema avec les bougies qui tournait autour de toi, ca n'en valait pas vraiment la peine. Je sentis une présence dans mon dos, alors que mes yeux c'étaient posée sur sept bougies éteinte. Mon cœur ce serra, alors que je regardais nos vies soufflés, balayer en quelque seconde. Tout ca pour une histoire de médaille. Moi je savais que Chacal n'aurait jamais tenu face à tout nos pouvoirs. Mais voir les bougies éteinte baissais incroyablement le morale quand même. Les designais du doigt, les observant d'un air vide. Après tout, la mienne n'a jamais été vraiment allumée....

▬ « Ca, c'est nous. Nos vies. Eteintes. » Lacher comme une pierre au fond d'un trou. Boum. Une mains ce plaqua sur mon epaule, alors que je tournais ma tête vers le visage de Maria. « Je suis sur qu'on trouvera un moyen de revenir, et de te retirer ça. » Fis t-elle en pointant la médaile verte du doigt.Oh, si seulement ! Si Xibalba avait jeter un sors sur cette médaille, il valait de soit que seule lui pouvait me la retirer. Sauf que voir son nouveau visage machiavélique et ces gestes violent envers nous, prouvait qu'il allait s'agir d'un combat acharnée pour me la retirer. Mais j'étais déçu de ce qu'il était devenu. Du moins, de ce qu'il a toujours été. Il venait juste de le révélé comme il l'avait encore jamais fait. La tricherie au grand jeux, au grand jour. Un sourire tournée vers Maria, avant de me tourner vers la cascade. Oui. Il allait le payer. Un sourire conquérant au visage, je fis signe au autres de me suivre, passant à travers la cascade d'eau. Le paysage qui s'ouvrait à moi me fit baisser aussi sec mon sourire. Comment il fait pour vivre dans cette poubelle ambulante ? Non mais parfois je me pose encore des questions. C'est moche ici, clairement. Je ne sais moi même pas comment que j'ai fais pour y vivre. Je me revoyais déjà encore au milieu de son château, en train de regarder les oubliés qui s'effaçait au grès du vent. Un vent surnaturel, parce qu'ici il n'y avait pas de météo. ▬ « Tous ceux qui ne demeure plus dans le souvenir de leur proche finisse comme ça ? »

▬ « Oui. J'y es vécu un petit moment ici, et je suis pas prête de recommencer. » Lachais-je en jetant un coup d'oeil méfiant et mauvais au château en forme de serpent. A comme je l'aimais pas, ce château. Un frisson parcourue ma colonne vertébrale alors que je revoyais encore chaque pièce, maudite pièce. J'ouvrais la voie, bien que je savais que tout le monde ce posais des questions à présent, ce qui était juste en sois. Je marchais avec beaucoup de méfiance sur le chemin. Mes yeux ce posèrent sans cesses sur la lave en ébullition. Puis, la grande structure en forme de serpent ce dressa dans toute sa splendeur. Je me souvenais aussi de Manolo qui avait parcouru tout ça pour me retrouver. Je me disais qu'après tout, j'avais quand même une dette envers Maria. On entrait dans la pièce, mes lèvres ce retroussèrent sur les murs en goudron, sur la saleté qui y régnait. Rappelant vraiment de mauvais souvenir qui me restait en travers de la gorge. Bon. Calme Jez. L'idée était de trouver quelque chose qui allait l'affaiblir. Mais comment dans cette énorme château ? Si j'avais eu ma super vitesse, je l'aurais déjà fais en quelque seconde.

▬ « Eparpiller vous, Xibalba ne viendra pas avant un bout de temps et le château est immense. Faites juste attention, il a tendance à jouer avec nous par moment. » Aurais-je du mentionner que je parlais du château ? Je savais que ce monument n'était pas comme les autres. Il pouvait ce montrer capricieux et nous ejecter dans n'importe qu'elle pièce. C'est pour cela que quand j'y était, j'étais restée dans la pièce principale pour pas que je me face avoir. Xibalba était très ingénieux par moment, je me devais de le reconnaître malgrès moi.Un bruit de dalle retentit dans mon dos. Je tournais la tête pour voir Maria cramponner au bord de la dalle qui c'était ouverte dans un trou sans fond. Diane vint à son aide en tenant fermement sa mains, alors que je me précipitais vers elle pour aller l'aider. Mais je dérapais sur la dalle et alors que mes doigts allait ce refermer sur ceux de Diane, c'était trop tard.

▬ « Mariiiia Diannne ! » Criais-je en regardant leur silhouette s'assombrir dans le noir béant qui les avalais. Et quand je me retournais, il n'y avait plus que Callio, Pitch et moi. Les autres aussi avaient disparu, ou alors ils c'était séparer. Je reviens vers mon amie, alors que je sentais très clairement la dalle s'enfoncer sous mes pieds également. « Oh nooon. » Lachais-je d'un ton blasée. Ooooh si ! Le sol s'ouvrit sous nos pied, un cris de surprise s'échappa de ma gorge alors que je voyais défiler les ténèbres autour de moi. Et enfin, je fus plaquer contre quelque chose de dur. Une douleur ce répandit dans ma corps, alors que je portais une mains sur ma tête douloureuse alors qu'un gémissement rauque parcouru ma gorge. Je levais les yeux pour voir une pièce, avec trois yeux qui nous observait dans l'ombre. Oh punaise, on ce croirait dans un film d'horreur ! Je me relevais pour secouer Callio et Pitch, portant un regard méfiant sur les oubliés qui sortirent de l'ombre, poussant des cris à la zombie de The Walking Dead. Je n'avais pas de machette comme Maria, moi … Ma tête ce mit à réfléchir à toute vitesse, alors que ma mains ce referma sur ce qui ressemblait à une pierre. Je la levais dans la direction des oubliés, et leur en jetais une dans la tête. L'un tomba à la renverse, l'autre l'evita soigneusement. Je cherchais le fleuret dans mon dos à taton, avant de le dégainer et de le plonger dans le ventre de l'oubliée. Le fleuret prit une teinte sombre, je le retirais aussitôt pour poser des yeux choquée sur la lame devenu d'un noir presque ténébreux. Trop prise par la couleur de l'arme, je sentais une mains ce poser sur mon dos, me faisant sursauter au contacte froid de celle ci. Et je le sentis. La tristesse qui me gagna peu à peu, rabaissant mon air choquée en un air vide, déprimant. Je me tournais pour découvrir l'oubliée qui venait de me toucher. De toute manière, qu'es ce que ca peu faire qu'il soit là ou pas ? On allait perdre, voilà. Je ressemblais à Pitch et Callio maintenant, le trio déprimant et triste. Mais alors que j'allais faire un pas dans leur direction, une espèce d'alarme retentit dans le château, glaçant mon sang dans mes veines.

▬ « Oh non ! Qu'es qu'ils ont fait ? » M'exclamais-je, alors que je vis soudainement la pièce ou l'on ce trouvais basculer et changer en un espèce de donjon goudronneux. Des liquides noirs s'échappait du murs, et mes yeux ce posaient de nouveau sur les autres qui venait de réapparaître. - Soit vous êtes idiots, soit vous êtes très idiots. Je pencherais même pour la troisième théories, enfaîte. Que vous êtes nés sans cerveau. Ça ne m'étonnerait pas. Si je tape sur votre front, ça donne quoi ? Je me sentis d'humeur irriter. Je tournais un regard meurtrier vers Xibalba qui ce tenait ici. J'avais un cerveau moi ! C'est pas moi qui faisait n'importe quoi d'abord ! Serrant les dents, il entreprit de toucher le front d'Amelia, comme ci tout n'était qu'un jeux pour lui.- Mais c'est que j'ai raison ! C'est tout creux là dedans ! Tu es comme une noix pourrie, ça ne m'étonne même pas. Garder son calme. Non sa n'existe pas. Je sentais mon sang ne faire qu'un tour, alors que je me déplaçais vers lui et que je le repoussais d'un coup sec sur son torse, pointant un doigt rageur vers lui. Les traits dur et sévère, en colère, j'arrivais plus à contenir la colère qui bouillonnait comme un volcan en fumée. Quand je demande le divorce, je le demande vraiment !

▬ «  J'en ai marre de ce petit jeu, retire moi cette médaille ! » Ordonnais-je, prête à lui sauter dessus tellement mes mains tremblais de rage. J'en avais ma claque. Ca suffit les petits jeux maintenant. Ou on passe à la confrontation, ou je l'enclenche moi même. Tourner autour du pot, non mais sérieusement ? Je savais qu'en plus, quand j'étais vraiment énervée, j'avais la veine qui ressortais au niveau de mon front, menaçant de s'exploser. - Mais, mi amor, pourquoi veux-tu l'enlever, personnellement je trouve qu'elle te va très bien au teint Je mâchais son mi amor. Je l'avalais, je le déchiquetais et le recrachais. Je sentais ma patience s'en aller, alors que ma mains menaçais de s'étendre à nouveau sur sa joue. Qu'elle dommage que je ne pouvais plus mettre de baffe enflammer, j'aurais tellement voulu qu'il garde une trace de mes doigts sur sa joue. Un petit souvenir de sa précieuse Muerte.

▬ « Tu as fais exprès de la trafiquer, parce qu'elle bloquerait mes pouvoirs et que j'aurais pas d'autre choix que de rester avec toi ! Mais pas de chance, je ne suis pas seule. » Cela valais de soit. Il savait que face à mes pouvoirs qui était devenu un peu plus grand aujourd'hui, il allait morfler. Mais non. Tricheur jusqu'au bout. Au lieu de s'expliquer, il préférait jouer double jeux et retirer mes pouvoirs au cas ou ca ce passerait mal. Et vous savez quoi ? Il a raison ! Je ne sais pas ce que j'aurais fais, mais il aurait tellement eu mal que son cris aurait retentit dans tout les mondes des contes. Je le froudroyais du regard, alors qu'il prit un air étonnée en faisant encore une fois son interessant. Comment j'ai pu sortir avec un être pareil ? - Ah bon, tu n'es pas seule ? Je ne savais pas que tu avais emmené tes petits chiens avec toi, c'est fou dit donc ! Je sentais l'affreux goût de son cynisme dans la bouche. Cette phrase prouvrait bien qu'il n'avait pas d'ami, qu'il resterait seule à jamais.

▬ « - Ah oui c'est fou ! Mais dis moi, comment tu as fait pour faire revivre Chacal ? Sans mon pouvoir de résurrection et celui du Chandeleur tu en es incapable ! On doit être trois pour ressusciter quelqu'un ! » C'était la question qui me brûlait un peu trop les lèvres. Je ne comprenais pas comment il avait bien pu faire. Ce pouvoir était le mien, et Chandeleur n'aurait jamais accepter ça. Je sentais encore le grand complot venir, alors que j'exigeais des explications maintenant. - Disons, ma douce, qu'être trois c'était trop compliqué. J'en ai profité pour voler tes pouvoirs et forcer cet idiot de Chandeleur de me donner un petit coup de pouce. Non, enfaîte je l'ai exploité. Il a toujours été insupportable de toute façon, ça a été très drôle de le voir dans tout ses états. Très plaisant... Me voler mon pouvoir ? C'est pour ça que je ne l'avais plus à Storybrooke ! Parce qu'il me l'avait volée ! Je pris un air choquée, il avait même forcée le Chandeleur. Si il lui avait fait du mal … Je grinçais des dents, alors que je sentais traits pour traits mon fleuret demandée à lui arracher un membre tout de suite et maintenant. Je respirais un grand coup, prenant mon mal en patience pour ne pas le frapper. Je voulais des réponses avant. Qu'avait-ils fait au chandeleur, hein ?

▬ « - Qu'as tu fais de lui ? » Voulu-je savoir, alors que mon regard de braise ce posaient sur lui. Il posa un index sur ses lèvres, tapotant frénétiquement avant de poser ces yeux sur le plafond. Je le fixais d'un air incrédule, tel un chien enragé prête à mordre sa proie. - Bonne question. Mais tu en as assez posé, on arrête le quiz maintenant et on passe aux choses sérieuses, veux-tu ? Oh que oui ! Je dégaignais mon fleuret et le portais à sa gorge, un air satisfait au visage. Si on voulait coincer Xibalba, il fallait utiliser une manière simple, qui l'a toujours interessée. Qui nous as toujours interessée. Tout était toujours question de ça. De parie. C'était un tricheur, mais cette fois ci si il tentait quoi que se soit, je serais là. Un sourire des plus farouche au visage, je rabaissais mon fleuret que je bloquais dans son fourreau. J'ecartais les bras d'un air presque commerciale. Comme une entreprise qui proposerait un nouveau plan à son boss.

▬ « Très bonne idée. Un petit pari de tenterait, Mi amor ? » Je m'appliquais sur le surnom, que j'aurais presque eu envie de cracher. Rien que de l'appeler comme ça me ramollissait le cerveau. Ses yeux s'écarquillèrent de surprise, alors qu'un sourire grandit sur ses lèvres. L'effet escomptée. Dans le passée ont s'amusaient souvent avec des parie pour faire passer le temps. J'avais même l'impression qu'a chaque fois, tout naissait à partir de parie. Un pari ? Quel genre de pari ? Tu sais bien que je n'ai jamais pu résister, vilaine. Vilaine ? Recevant très mal ce mot, je me contentais de grimacer, bien que j'essayais de nouveau de contenir cette rage. Ce mot passait très mal, et dans sa bouche encore plus. Mais je le connaissais et je savais que ca ferait son petit effet, cette histoire de parie. Il ne fallait juste pas qui triche. Mais ca, c'était comme demander à un chat de ne pas manger une souris.

▬ « C'est pour ça que tu as toujours triché ! Si je gagne le parie, tu me retire cette médaille et on la détruit ! » Crachais-je d'un ton de colère. Je voulais qu'il comprenne qu'ils n'y avait pas de retour en arrière possible. Il leva les yeux au ciel, bien que c'était évident que ce que je voulais c'était que la médaille parte, non ? - D'accord, mi amor. Nous allons jouer à ce petit jeu. Mais je choisi ce que tu... non, vous... allez devoir affronter. En disant ces mots, le décors changea. Je reconnu la corrida de mon royaume, avec les habitants des Âmes chéries postés sur les gradins et nous acclamant. Oh non. Et en plus il faisait pas preuve d'originalité ! Sérieusement, l'epreuve du taureau ? L'epreuve qu'ils avaient déjà donnée à Manolo ? Bien que cette fois ci sans pouvoirs, sans chanteur, ca allait être difficile. Je raclais ma gorge, alors que je savais clairement à quoi ressemblais ce taureau. Gros, trop gros. Grand. Immense. Et hargneux surtout, oh que oui hargneux ! - Alors c'est simple. Donc si tu gagnes, je détruis la médaille et je te laisse partir sans chercher à te revoir et j'accepte de signer les papiers du divorce. Mais si tu perds ce pari, tu devras rester ici, avec moi, pour toujours. Et surtout, être et rester ma femme. Interdiction d'avoir des amants, tout ça. En plus de ça, je pourrais faire ce que je veux de ton charmant petit groupe ! Un rire nerveux s'echappa de mes lèvres. Non. Je n'accepterais pas ça. Ils étaient là par ma faute. A moi de réparer les erreurs.

▬ « Tu pourrais au moins renouvelés ta garde robe. » Rétorquais-je en faisant référence au taureau qui n'allait pas tarder à apparaître. « C'est d'accord. Si je perds, je serais entièrement à toi. Tu pourra faire ce que tu veux de moi. je chercherais plus à fuir, et resterais avec toi pour toujours. Seulement, tu relâchera mes amis et tu les renverra à Storybrooke !Tu n'a pas besoin d'eux, c'est seulement moi qui t’intéresse. » Déclarais-je la mine sombre. Je serais prête à me sacrifier si il le fallait, mais il ne touchera pas à un seul de leur cheveux. Il m'aurait moi, ce serait déjà pas mal non ? C'était tout ce qui l'interessait après tout. Je le fixais, le défiant du regard. Rester pour l'éternité avec lui et cette médaille. Sans pouvoir. Sans plus personne. Juste lui. Voilà une existence bien fade et triste qui m'attendais. Non. Je ne devais pas me laisser décourager par cette oubliée qui m'avait touchée. Je vaincrais ce taureau. Je vaincrais Xibalba et tout le monde repartira chez lui ! - J'accepte ! Prépare toi à dire adieu à tes... amis, alors. Car le défi que tu dois réussir est... Ah attendez, juste avant qu'on commence, j'ai oublié quelque chose ! J'haussais les sourcils, avant qu'une cage n'apparaisse au coté de lui. Je lachais un cris étouffer en reconnaissant Manolo, celle ci cria d'ailleurs son nom. Je lui jetais un regard, il avait l'air d'avoir subit pas mal de chose. Maria semblait instable, je voyais très clairement sa machette ressortir de son fourereau. Je posais ma mains dessus pour la remettre mais quand mes doigts entrèrent en contacte avec le metal, je sentis une décharge electrique envahir mon corps. Couverte de spasme, je voyais des choses sombres ce dispercer dans ma vision. Me voyant sombre, seule, et violente. Je lachais la machette avec surprise, alors qu'un horrible mal de tête s'empara de mes neuronnes et que la douleur fulgurante qui m'avait clouée sur place et fais crier tout mes muscles à l'agonie ce disperçais peu à peu. La respiration rauque, je tournais un visage choquée vers elle. Comment pouvait-elle tenir cette machette sans rien ressentir ?

« Je suis désolé ! Ca va ? » Fis t-elle inquiète. Je chassais les idées noirs qui m'était apparu, la souffrance et la violence pour revoir l'arène, Xibalba et les autres. Avalant ma salive, j'hochais la tête.  Regarde qui voilà, ta jolie femme ! Comme ça doit être frustrant de ne pas pouvoir lui parler, s'en approcher, l'embrasser, la prendre dans ses bras... Profite donc du spectacle. Je chopais le bras de Maria qui allait ce diriger vers lui. Son expression sombre et fermée trahissais ses intentions meurtrière.

▬ « Nous allons le récupérer, mais avant nous avons une épreuve à passer ! Maria ! Tu m'écoute ? » Fis-je en la tirant en arrière. Son regard plaquer dans celui de Xibalba, elle finit par hocher la tête, avant de ce détourner le cœur lourd. Je soupirais, et une brouillard de cendre apparu en tourbillions, avant que les cendres ne ce réunissent pour former un énorme taureau géant. Il avait des motifs sur les cornes et son corps étaient fait uniquement d'os. Ces yeux d'un rouge vif menaçant, il ce mit à hurler méchamment, avant de foncer vers nous toute cornes dehors.Ah oui, j'avais oublié ! Mi amor, il te faut combattre et gagner contre ce taureau. Bonne chance  je tournais la tête avec mépris vers lui, alors qu'il m'offrit un baiser imaginaire avec son coktail dans les mains. Grinçant des dents, je me jetais sur le coté quand le taureau passa. Il cria de nouveau, des flammes incendières partout sur son corps. Comment allons nous faire ? J'aperçus dans les mains de Maria une guitare. La guitare. Celle de Manolo ! Je me précipitais vers elle, la prenant entre mes mains, posant mon regard dessus. Mais bien sur ! Nous allions le distraire avec les notes de musiques, pour mieux le frapper ! Un sourire illumina mes traits alors que je fis un petit salut à Xibalba. Je lançais dans la guitare dans les mains de Diane avant de courir pour contourner le gros taureau.

▬ « Joue ! Diane, joue ! » Hurlais-je les mains sur la bouche pour essayer de porter mon cris dans sa direction.

Jez : 80%
Taureau : 100%


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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 Dmia

“I love you to the moon and back”


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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 _



________________________________________ 2015-10-28, 01:17

The Day Of The Dead
Je peux avancer, mais je ne peux pas pardonner


La plate forme s'activa finalement, grâce à Jezabel. Le plafond s'ouvrit d'un coup, tandis-que nous arrivâmes dans une grotte remplie de bougie. Je restais un instant à les contempler, avant que Jezabel, n'en montre sept, disant qu'il s'agissait des nôtres. Immédiatement, ma gorge se serra. Doucement, je m'approchais d'une, avant de regarder mon bracelet à breloque, et d'y enlever, le croissant de lune et la branche de laurier pour les y déposer juste à côté :

- Je vais revenir Apo' murmurais-je doucement, alors s'il te plaît, attends moi et ne fait pas de bêtises en mon absence. Doucement, je portais le plat, de mon indexe et mon annulaire au devant de ma bouche, avant de les déposer sur nos deux symboles. Je venais de faire une promesse, un accord tacite entre mon frère et moi, et je ferais tout, pour l’honorer. Il, était temps que tout cela cesse. Me retournant, je pu voir, Jezabel, traverser, l'une des cascades, suivit de Maria. Lançant un regard aux autres. J'inspirais un grand coup, avant de m'élancer à mon tour. De toute façon, je ne risquais rien avec l'eau, nous étions dans un autre monde, inutile donc de me préoccuper de Posédion. En réalité, je ne fut même pas mouiller. Mais l'endroit dans lequel nous étions, n'avait strictement rien d’accueillant :

- Dit moi Jezabel, il a déjà songé à changé de décorateur le Judah au rabais ?
Demandais-je

Masque condescendant, pour cacher mes sentiments. Quel horrible destin, pour les personnes oubliées, par leurs proches. Finir dans un endroit pareil, sans aucune joie, où tout n'était que grisaille. D'un côté, avec « Xilou la pauvre tâche » pour régner, on ne pouvait pas s'étonner, qu'ils finissent comme ça. J'essayais, au maximum de laisser mes sentiments personnels de côté. Je ne voulais pas, ressasser le passé, ni même me prendre la tête, pas maintenant en tout cas. Je ne devais pas perdre mon objectif de vu. Je savais, que je devais canaliser cette colère, qui grondait au fond de moi, je ne pouvais pas me permettre, de refaire les mêmes erreurs, qu'il y a quatre cents ans. J'étais quelqu'un d'autres. J'étais bien, plus mature à présent :

« Eparpiller vous, Xibalba ne viendra pas avant un bout de temps et le château est immense. Faites juste attention, il a tendance à jouer avec nous par moment. »

Je me contentais, d'un hochement de tête. Bientôt, Artémis, bientôt il allait comprendre, qu'il ne fallait pas s'attaquer à plus fort que soit, tout comme il ne fallait pas jouer avec des choses qu'il ne comprenait pas. J'étais clémente, et patiente. Mais, comme pour tout, ma patience avait des limites. Hors, il venait de les franchir, et les gens, qui me connaissaient, savaient parfaitement, que ce n'était ce qu'il ne fallait pas faire. Sous aucun prétexte.

Au même moment, Maria marcha sur une dalle qui s'enfonça : un piège, immédiatement, je me précipitais pour la rattraper. Le problème, restait encore et toujours, ma force amoindrit. Je tentais tant bien que mal, de la ramener vers la surface, et j'y étais presque arrivé, lorsque je me sentis, soudainement, basculer en avant. Foutu médaille, c'était vraiment, quand ça l'arrangeait, qu'elle nous rendait nos pouvoirs. Je me rattrapais tant bien que mal, mais non sans douleur, lorsque je heurtais le sol. Me relevant, tant bien que mal, m'époussetant par la même occasion, je me tournais, vers Maria, qui venait de me poser une question :

- A première vu on dirait un long couloir dis-je je me repris néanmoins en grimaçant. je sais, brillante déduction de ce qui saute aux yeux.

Fort heureusement, Maria, trouva la chose drôle, m'arrachant par la même occasion un sourire. Au moins, étions nous deux, dans cette galère. Mais, un bruit me figea sur place, tandis-que la mexicaine, me fit signe de se cacher, dans un renfoncement. Je la suivit, sans faire d'histoire. S'il y avait quoi que ce soit d'autres que nous ici, mieux valait ne pas trop se faire remarquer. Quoi qu'il en soit, mes instincts de chasses, étaient au plus haut. Généralement, c'était ce genre de choses qui mettaient tous mes sens en alerte. Mais ce fut avec soulagement, que nous pouvions constater, qu'il ne s'agissait que d'oublié. J'accordais, un sourire à Maria, tout en regardant l'endroit où nous étions. Le chemin continuait, mieux valait y jeter un coup d'oeil :

- Tu préfère passer en première ou bien j'ouvre la voix ?


Je l'avais manifestement, arrêté dans ses réflexions, puisqu'elle mit plusieurs secondes à me répondre :

- Tu veux dire qu'on pourrait trouver quelque chose d’intéressant ?

Exactement, je voyais que nous étions sur la même longueur d'onde toutes les deux. C'était bien la première fois, que cela m'arrivait lorsque je me trouvais dans un endroit totalement coupé, d'Apollon. Je savais, que j'avais l'air de trop compter sur lui, mais c’était beaucoup plus complexe que ça. Il est l'autre moitié de mon âme, nous sommes venu au monde, quasiment en même temps. Et, je ne m'étais réellement, sentie complète que lorsque j'avais sentis notre lien se former. C'était, en partis pour lui, que je me battais. Et, on s'était fait, une promesse. Je, ne pouvais pas le laisser tout seule je n'en avais pas le droit :

- S'il y a bien une chose que la chasse m'a apprise, c'est qu'il ne faut négliger aucun détail répondis-je

Un sourire illumina les traits de Maria, tandis-qu'elle annonça qu'elle passait la première. Le problème avec ce genre de couloirs, c'était que ça devenait de plus en plus étroit. Ramper, sur le sol, ça ne me dérangeait pas outre mesure. J'avais déjà dût le faire, lors de chasses. En revanche, ce que la jeune femme me racontait, était très intéressant :

- Dit moi, la machette de Xibalba, est-ce qu'elle a quelque chose de spéciale ? Je t'explique. Mon arc, que je fais apparaître, si quelqu'un tentait de me l'arracher des mains, pendant qu'il est sortie, il n'arrivait, même pas à le soulever. Pour lui, il semblerait peser extrêmement lourd, impossible à soulever. Il, est fait de tel sorte, que je sois la seule à pouvoir le magner. C'est pour ça, que je me pose cette question.

Je la laissais méditer à mes paroles, tandis-que l'on continuait à s'enfoncer dans l'étroit couloir. Nous, arrivâmes, finalement, dans une salle sombre, avec une cage dans laquelle était enfermé un jeune homme. Le fameux Manolo d'après Maria.

Tout le monde semblait réunit, y compris notre cher ami Xibalba. Je le laissais, discuter avec Jezabel. Restant toujours stoïque. Avec ce genre de type, le mieux c'était de les laisser dire, et au bon moment, leur lancer la réplique qui fera mouche. Des siècles de pratique avec Hadès. Et vu qu'ils étaient basé sur le même modèle, je me comportais avec lui, comme je me comporterais avec mon frère.

Nous, avions donc, à affronter un gigantesque taureau squelettique, c'était tout ce qu'il avait en stock ? Il, n'avait pas plus gros, plus impressionnant ? Je ne sais pas moi, comme un minotaure par exemple. Jezabel me lança une guitare me disant d'en jouer. Immédiatement, mes doigts se crispèrent, autour de l'instrument. Tandis-que mon visage, perdait de ses couleurs, et que mes dents se serrèrent. Non, je ne pouvais pas, pas depuis cette fois là :

Versailles Septembre 1684


Je soupirais d’ennuis, sur mon cheval. Apollon, avait insisté, pour que nous l'accompagnions, avec mes filles. Une partie de chasse, avait-il dit, rien de mieux pour tous les sept. Sauf que cette « partie de chasse » s’avérait être d'un ennuie mortel. Ce n'était qu'une mise en scène, une comédie rien de plus. Tout à coup le cor de chasse, retentit, levant ma tête, je pu apercevoir, au loin la créature, qui avait su tiré grâce à leurs yeux. Un cerf, un de la plus belle espèce, avec une ramure telle que je n'en avais jamais vu. Immédiatement, mes doigts se crispèrent sur mes rennes :

- Arté...Commença Apollon

Sans lui laisser le temps de continuer, je défis d'un geste habile cette encombrante selle amazone :

- Tiens garde la dis-je en la lui lançant, je n'en ai plus besoin.

A nouveau, je ne lui laissais pas le temps de répliquer, que je m'élançais à cru, droit en direction de l'animal, il n'était pas question, que je les laisse, s'en prendre à lui. Quand l'on chasse il y avait des règles à respecter, et eux, n'en respectaient aucune. S'attaquer ainsi devant moi, à mon animal favoris, alors que le chasser équivalait à s'attirer mon courous, et de cette manière ça ne passait pas. Je me moquais bien que ma coiffure soit défaite, je me moquais bien de l'avis des autres. Seule comptait, pour moi, la survie de cette créature. Laissant, ma monture galopé à sa guise, je fis en sorte de m'approcher juste assez pour l'effrayer. Farouche comme il était l'animal, eu tôt fait, de repartir s'enfoncer dans le bois, à l’abri des regards :

- Peut-on savoir madame ce qui vous a prit ?
Demanda une voix derrière mon dos

Me retournant j’aperçus le roi en personne, comme si cela pouvait m'effrayer :

- Vous apprendrez sir, que lorsque l'on chasse il y a des règles à respecter rétorquais-je sèchement

Peu m'importait les propos choqués des courtisans, ils n'étaient bon qu'à ramper aux pieds, d'un homme qui avait décrété qu'il détenait son pouvoir de droit divin. Si seulement, il savait....

Nous restâmes, un long moment à nous défier mutuellement du regard avant qu'il ne se mette à nourrir :

- Diane de Blonay C'est bien cela ? Vous portez bien votre nom

Nous, en étions resté là, du moins pour cette fois ci. Mais, ignorant comme à mon habitude, les commérages, et les ragots de cours, je ne me doutais pas un seule instant, de ce qui suivrait. Il, se trouvait, que j'avais bien malgré moi, fait forte impression au roi. Malheureusement, l'impression n'était pas partagé, ou tout du moins, pas dans le sens. Lui, m'avait fait fort mauvaise impression. Il, avait touché à l'une de mes attributions. Détournant, toute la noblesse de la chasse, en une sortie pour épater la galerie.

Versailles Mars 1685

Il y a certains moments, que l'on apprécie plus que d'autres, les miens consistaient en ceux passé avec mon frère, et de ses « amis », tous ayant un avenir prometteur, dans l'art. Nous étions, réunit, dans l'un des salons, du palais. Pendant que certains jouaient, ou comméraient, nous, nous préférions autre chose. Voyant mon frère me faire signe, tandis qu'il s'asseyait au clavecin. Je rassemblais, pour ma part les pan de ma robe afin de m'asseoir sur le tabouret juste à côté de mon propre instrument : la harpe. C'est Apollon, qui me l'avait fait découvrir, il disait que c'était l'instrument, qui me convenait le mieux, et il avait raison. Alors, d'un simple regard, je le laissais débuter, pour ensuite, l'accompagner, de temps en temps cela lui arrivait de chanter, et il m'arrivait parfois de le suivre. Nous avions une connexion parfaite, nos deux esprits étaient liés, et nous étions transportés dans un autre monde littéralement. Aussi fus-je désagréablement surprise lorsque j'entendis des applaudissement qui n'avaient pas lieux d'êtres à la fin de notre duo. Le Roi encore et toujours :

- Je savais déjà que votre frère avait un don mais j'ignorais qu'il était partagé dit-il en s'avançant

- Oh, mais je suis bien loin d'égaler Phoebus dis-je c'est lui de nous deux le véritable virtuose.

Je restais courtoise en apparence. Pensant, naïvement, qu'il se lasserait me voyant ainsi peu réceptive à ses avances. J'avais tort. Durant toute l'année, elles se firent plus pressente, et arrivé en été, il commit l'irréparable...

Versailles Août 1685

Paniquée, je courrais à travers les couloirs de Versailles, pour arriver le plus vite possible, Cassiopée sur mes talons, elle était allé me prévenir, que Calypso, s'était enfermée, dans sa chambre, et refusait d'en sortir. Rongée par l’inquiétude, j'avais laissée Apollon, avec ses amis, et m'étais dirigé aussi vite que possible, vers nos appartements, plus particulièrement, devant la chambre de ma chasseresse :

- Calypso dis-je en frappant à la porte. Calypso, je t'en prie ouvre, tes sœurs et moi sommes très inquiètes

Pas de réponse, je jetais un regard inquiet à Silena, l’aînée, et ma lieutenante, avant de frapper à nouveau. J'entendis le bruit d'une clés que l'on tournait et devant nous apparu, Calypso, ses boucles rousses emmêles, dans sa robe de nuit, et les yeux humides :

- Ô mère, je suis tellement désolée dit-elle dans un sanglot

Il était rare, qu'elles m'appellent mère. Sans doute, parce que Silena ne le faisait jamais :

- Allons, allons mon enfant dis-je doucement, en l'attirant contre moi et en lui caressant doucement, les cheveux, pourquoi donc es-tu désolée ?

- J'ai été faible, tellement faible, je l'ai cru, je pensais qu'il s’intéressait réellement à moi, mais c'était faux.

Cette révélation me fit l'effet d'une décharge électrique. Je n'interdisais en rien à mes filles, d'éprouver des sentiments, envers le sexe opposé. C'était mon choix, pas le leur. Et de savoir, qu'un homme avait eu l'audace, de briser le cœur de l'une d'elle, qu'en réalité, il n'avait fait que jouer, avec, me menait tout doucement, vers la colère :

- Qui Calypso ? Qui a fait ça ?

S'éloignant de moi, elle retourna dans sa chambre, afin d'ouvrir son secrétaire, et d'en ressortir une lettre qu'elle me tendit tremblante. L'ouvrant promptement, je la parcouru, entièrement. Mes mains, se crispant, de plus en plus, sur le papier, tandis que je sentais une rage sourde monter en moi :

- Je vois dis-je d'une voix blanche. Calypso, tu n'es pas faible, le seul faible ici, c'est ce petit roitelet, qui se prend pour un grand monarque.

Froissant, le papier avec rage, je m'empressais, de m’emparer d'une plume et d'un encrier, avant d'écrire un billet à l'intention de sa très gracieuse majesté. L'invitant à une rencontre dans les jardins, le lendemain, au clair de lune.

Je, n'avais pas choisit, le soir par hasard. C'était la pleine lune, et je comptais, bien lui montrer qui j'étais réellement, et l'ampleur de sa bêtises. Je, ne le laisserais pas s'en sortir aussi facilement. Personne, ne faisait du mal aux gens que j'aimais, certainement pas à mes chasseresses, mes créations, mes filles. J'avais prévus de passer, mes doigts autour de sa nuque, et de la serrer, qu'il se rende compte de la force d'une déesse, pour finalement le relâcher. Je ne le tuerais pas, c'était totalement, contraire à mes principes, et il ne méritait pas de mourir de ma main, il méritait mille mort, mais pas celle-ci ce serait lui accorder bien trop d'importance.

Palais de Xibalba, Aujourd'hui

Je revins doucement à la réalité, je fixais mes yeux brillant de colère, la misérable guitare. J'avais tout bonnement, refusé de toucher encore ma harpe après ce jour là, j'avais refusé de jouer à nouveau. Louis XIV, n'avait jamais eu la punition que je souhaitais lui infliger, parce qu'Apollon, m'en avait empêché. Silena et Calypso l'avaient prévenus, et il s'y était rendu seule, expliquant très clairement, que nous partions, et que cela ne servait à rien de nous en empêcher. Le lendemain matin, à la première heure, nous étions, en direction vers « le nouveau monde », dans l'une des colonies établis en Amérique.

Non, je ne pouvais pas jouer, parce que depuis ce jour, je faisais un véritable « blocage » là dessus. Alors, je me mit à courir, lançant la guitare à la première personne, qui était à côté de moi. Le taureau, me poursuivait, cela lui laissait assez de temps pour tenter de l'amadouer. Je, ne pu malheureusement, pas éviter, le coup de corne, enflammée. Sans doute, que si j'étais vivante, il m'aurait entaillé, le flan gauche. Mais, je n'étais pas vivante, j'étais morte. Par la faute d'un Judah au rabais. Et ça tôt ou tard, il allait le sentir passé.



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Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !

[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 Sans_t21


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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 _



________________________________________ 2015-10-28, 17:29 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Xi-machin-chose décida finalement qu'il n'était plus temps de jouer à cache cache dans le château mais de réunir tout le monde au même endroit - en les insultant copieusement, évidemment. Manifestement, sa mère ne lui avait jamais savonné la bouche dès qu'il disait des méchancetés. De toute façon, il faudrait bien plus que du savon dans son cas.
Des griffes de lionne, par exemple, ce serait vraiment utile, fulmina Amelia quand il tapota l'avant de son crâne avant de décider qu'il était aussi rempli qu'une noix pourrie. C'était blessant, évidemment, et Amy était blessée mais choisit de ne rien lui en montrer en gardant la tête haute et en le défiant du regard. Son heure viendrait, elle en était persuadée, griffes ou non. Pour le moment il pensait avoir le dessus, grand bien lui fasse. Mais l'ancienne lionne et ses amis allaient très certainement lui montrer que l'union fait la force, contrairement à ce qu'il avait l'air de penser, et cette perspective permit à Amelia de canaliser sa rage naissante.
Xi-machin-chose la délaissa sans trop de dommages pour se tournée vers la Muerte, sa préférée, son "amor". Ouais. De l'avis d'Amelia il avait une bien étrange façon d'aimer, mais soit. Il en vint à parler de résurrection et la jeune femme oublia quelques instants sa rancoeur pour écouter, sait-on jamais. Car après tout, pour ne pas rester mort ad vitam aeternam, une résurrection ne serait pas de trop, non ? L'heure était donc à la négociation et aux paris, avec leur liberté pour enjeu. Jezabel était cependant fine négociante et réussit à obtenir le salut du reste de la troupe quoiqu'il arrive. Cette femme mérite vraiment son poids en cookie, songea Amelia, admirative. Aurait-elle été capable d'une telle abnégation ? Amelia l'espérait de tout coeur mais elle se savait également moins forte mentalement que ses soeurs et que probablement la plupart des gens de cette drôle et funeste aventure. L'un dans l'autre, Jezabel l'avait bien joué et, au final, il n'y avait plus qu'à tuer le taureau en cendres qui venait d'apparaitre à l'autre bout de l'arène où ils se trouvaient à présent. Facile, non ?
Amelia déglutit avec difficulté en réalisant l'ampleur de la tâche et l'ampleur du taureau, surtout. Et comme si la situation n'était pas suffisamment dramatique - et probablement digne du dernier quart d'heure de Gladiator - Xi-machin-chose ne tarda pas à faire apparaitre Manolo - le fameux dont on ne cessait de parler alors qu'Amelia ne savait pas qui c'était - sous les yeux de sa belle, une Maria au bord de l'apoplexie.
- On va pas se laisser faire ce Xibalba de malheur, lui chuchoter rageusement Amelia en réalisant que finalement elle arrivait à retenir ce prénom aussi bizarre qu'horripilant. D'ailleurs, elle est à vous, je crois, ajouta t-elle en lui remettant la guitare* qu'elle avait trouvé un peu plus tôt.
Amelia n'était pas une voleuse, juste une femme un peu trop curieuse et la jolie guitare avait attiré son attention avant d'attirer les foudres de tout le monde puisque quand elle l'avait touchée, une sonnerie assourdissante s'était déclenchée comme pour rendre tous les occupants du château sourds plutôt que de les laisser entendre les douces notes de la guitare. Si c'était une idée de Xibalba, ça avait probablement du sens dans son esprit tordu. En attendant, le taureau crachait des flammes et Amelia ne voyait pas tellement comment son chandelier en fonte allait l'en dissuader.
C'est alors que la Muerte eut une idée : le distraire avec ladite guitare, qu'elle ne tarda d'ailleurs pas à reprendre des mains de sa propriétaire. Ce serait pour plus tard, les retrouvailles touchantes entre la musicienne et son instrument, apparemment. Pour l'heure, Diane avait pour consigne de jouer et les autres de taper. En soi c'était une bonne chose, sauf que les doigts crispés de la déesse ne semblaient pas prêts à sortir une note et ça, c'était une moins bonne chose. Diane semblait loin, très loin, plongée au coeur de souvenirs qui ne dataient pas d'hier. Dans l'absolu ce n'était pas réellement le moment pour une introspection mais qui était Amelia pour juger une déesse ? D'autant que cette dernière lança finalement la guitare en direction de la personne la plus proche pour mieux se changer en proie - un sacré paradoxe pour la déesse de la chasse qu'Amy avait reconnu en elle.
Et tandis qu'elle courrait, une personne se mit à jouer un air entrainant qui ne parvint cependant pas à distraire suffisamment le taureau pour que sa corne de feu épargne la déesse. L'animal avait probablement besoin de plusieurs accords avant de se rappeler qu'il était mélomane et que c'était précisément sa faiblesse dans ce combat. Amelia en profita donc pour se lancer dans la bataille - quitte à être morte, de toute façon elle n'avait plus rien à perdre - et lança son chandelier de toutes ses forces en direction de la tête de l'animal...
Contre toute attente, la chandelier atteignit sa cible, déroutant d'avantage le taureau de cendres.

*J'ai lu dans ton dernier post Jez qu'Amelia n'était plus en possession de la guitare qu'elle a trouvé mais c'était pas expliqué donc j'espère que ça colle à peu près :)

Amelia : 90 %
Taureau : 90 %
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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 _



________________________________________ 2015-10-29, 00:02

The day of the dead× ft. PLEINS DE MONDE & REIRA
Amelia m'avait porté main forte, je lui en était fortement reconnaissante. Je lui fit un sourire alors, choses rare venant de moi dans ce genre de situation. Ma compagne d'aventure trouva ensuite un guitare alors je lui répondis.
❝ Oui elle doit appartenir à cette Maria.❞
Par la suite, nous nous retrouvions face à l'autre babouin, et encore c'est une insulte pour le singe. Enfin passons, je crois que mon agacement grandissais de minute en minute. Le dit babouin, sucement nommé Xibalba nous envoya dans la tronche un taureau mécanique. Je vis du coin de l’œil l'aversion de la blonde, Diane, envers la guitare qu'Amelia avait trouvé, par la suite elle semblait furieuse. Puis justement, Amelia tenta sa chance contre l'animal de malheur, alors que je m'approchais de Diane, pour m'assurer qu'elle allait bien. Pas un mot ne sortit de ma bouche, mais je lui fit comprendre mon soutient par le regard, enfin j'espère en tout cas qu'elle avait compris.
J'avais toujours mon gourdin de bois à la main, et alors qu'Amelia avait atteint l'animal qui avait diminué de taillececi dit. Je me mis face à lui mais il décida de ma charger directement, je me mis à courrir mais pasassez vite. Une de ses cornes enflamée me toucha. Je serrai lesdents, il se détourna de moi, accapparé par un de mes compagnon d'aventure au pays des morts.
Je regardais alors ma chair calcinée. Je retirai ma veste, pour ne pas laisser les fibres du tissus contaminer la brûlure. Une larme de douleur perla lors de cette action. Depuis combien d'année n'avaisje pas vue mes propres larmes?
Je lançais un regard furieux, quasiment haineux au fautif et je grognait, les dentsserrées, enlevant les derniers morceaux de fibres de la plaie.
❝ Ca commence vraiment à me courir sur le haricot!❞
Valait mieux me laisser me calmer, ou me défouler, avant de me parler...
code by lizzou × gifs by tumblr


Reira : 75%
Taureau : 90% [Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 4226291177


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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 _



________________________________________ 2015-10-29, 17:02


The day of
the Dead
Lights will guide you home And ignite your bones And I will try to fix you
.



Tout le monde semblait ce poser des questions à propos de cette machette. Des questions auquel je ne pouvais répondre. Même Xibalba ne semblait plus avoir le contrôle sur elle. Seule moi la détenait, et elle commençait sérieusement à eveiller ma curiosité ainsi que celle qui l'entourait.Mais maintenant que Diane semblait vouloir connaître également sa specialité, je souhaitais par dessus tout comprendre moi aussi. C'est pour cela qu'en quelque seconde, alors que j'avais les yeux rivés sur mon mari, je me surpris à baisser l'arme pour l'observer à mon tour, d'un air songeuse. Je passais un doigt sur la lame, la fine lame coupante. Tous ce que j'y voyais, c'était une crâne mexicain, avec des motifs circulaire qui décorait la lame. Qu'es ce qu'elle avait ? Pourquoi j'avais l'affreuse sensation de passer à coté de quelque chose ? Elle avait blessée Xibalba. Elle pouvait détruire les oubliers et personne ne pouvait la toucher. C'était des indices suffisant pour comprendre la significations, non ? Pourtant je n'arrivais pas à mettre la mains dessus. Je sentais l'horrible évidence planer autour de nous, sans que je puisse la toucher, ou même la comprendre. Même Jezabel ne semblait pas connaître son existence, ce qui en soit voulait dire que seule Xibalba savait de quoi elle était faite, ce qu'elle était. Mais l'idée que cela puisse l'énerver que je la possède et lui non était savourant. Il a voulu essayer de faire du mal à tout le monde, à son tour d'avoir quelque chose d'on il tient sous les mains d'une autre personne. Diane m'expliqua pour son arc, qui ne pouvait être soulevé par quiconque qu'elle même. J'aimais bien cette idée, au moins on était sur que personne ne pouvait toucher à vos affaires.

▬ « Je ne sais pas. J'ai l'impression qu'on passe à coté de quelque chose, qui pourtant ce trouve sous notre nez depuis le début. » déclarais-je, tout en continuant d'evoquer la machette.

« Maria ! » S'ecria alors la voix à travers la cage. Je soulevais les yeux dans sa direction, ma méfiance toujours ici au fond de moi. Xibalba ne serait pas assez bête pour refaire son coup, si ? J'hésitais, je savais pas quoi faire, tiraillé entre courir et le libérer, et rester ici à le fixer d'un air méfiant. Mais avant que je ne puisse faire quoi que se soit, la pièce changea de nouveau. Il ce tenait debout, nous regardant. L'amusement et la sournoiserie qui brillait dans son regard attisait la foudre au coin de mon esprit. Les autres étaient de retour, on était tous rapatriés dans une salle ou du goudron dégoulinait des murs. Assez fouineuse et observatrice, je reconnais là les indices d'un cachots. Alors … Si Xibalba avait été ici, sa voulait dire que c'était vraiment Manolo dans la cage ? Un choc s'empara d mon visage, comme ci un mur de pierre venait de s'ecrouler sur moi même. C'était lui ! C'était vraiment lui ! Et je ne l'avais pas libérer. Je venais de détruire une chance que j'aurais pu saisir. La rage qui bouillonnait dans mes tempes ce lisait à présent sur mon visage, grimaçant et fusillant d'un regard meurtrier Xibalba parler avec La Muerte. C'est fou quand on laisse un rustre faire son spectacle, on apprend des choses interessantes. Il ne savait pas ou était Chandeleur. Mais en revanche, pour l'obliger à récussiter Chacal avec les pouvoirs de la morte mexicaine, ca il était là. Je les ecoutais parler, mon esprit divaguait peu à peu. Mon regards s'attarda sur une chose qui me fit tressaillir, oubliant la scène qui ce présentait sous mes yeux. La guitare. Je m'approchais d'Amelia, mes yeux posée dessus et ronds comme des billes.

▬ « La guitare de Manolo... » Je la prit entre mes mains, caressant du bout des doigts l'intrument. Je la retournais, un sourire fendit le coins de mes lèvres à l'ecriture toujours là. Joue toujours avec ton cœur, Maria. Elle était là. Toujours. Elle avait toujours été ici, en fin de compte. Je l'avais chercher partout après la disparition de Manolo. Persuader qu'elle était quelque part dans la ville. Mais non. En fin de compte, Xibalba l'avait récupérer avec son propriétaire. Et la voir dans mes mains déclenchait une vague d'émotion que je retins, une boule dans la gorge. La douce voix et musique de mon mari me revenant en mémoire. Je lui avais offert cette guitare quand nous étions enfant. Parce que ma faute, l'autre avait été cassée. Je la gardais dans mes mains, faisait disparaître mon sourire à la réalité qui revenait subitement. Jezabel proposait un Parie à son ex mari. Qui eu pour effet un petit chien qui s'agitait devant sa balle. Je me sentais amèrement mauvaise, à ce moment là. Des paries, encore des paries. Je rangeais la guitare dans mon dos, passant le file sur mon épaule. Le parie était lourd. Si Jezabel gagnait, il retirait la médaille et la détruisait. A ce moment précis, mes pensés ne firent qu'un tour. Et Manolo ? Pourquoi elle n'évoque pas Manolo dans le parie ? Encore une fois, je sentais du feu attiser ma colère, comme un grand feu de camps qu'on s'efforçait de faire grandir. Je levais les yeux au ciel, comprenant une chose : Si Manolo était pas prévu dans le parie, soit sa voulait dire qu'il était évident qu'il allait devoir nous le rendre, soit sa présence avait été oublier au point que ca n'avait aucune importance. Je ne comprenais que ce que je voyais, et j'espérais sincèrement que Jezabel n'avait pas oublier Manolo.

« C'est d'accord. Si je perds, je serais entièrement à toi. Tu pourra faire ce que tu veux de moi. je chercherais plus à fuir, et resterais avec toi pour toujours. Seulement, tu relâchera mes amis et tu les renverra à Storybrooke !Tu n'a pas besoin d'eux, c'est seulement moi qui t’intéresse. »  Oubliant mes foudres, j'eu de la compassion pour elle. Elle ce sacrifait, si on y voyait bien les choses. Je ne souhaitais à personne de devoir passer l'éternité avec cette énergumène. En revanche ma pensée fit un blocage sur le mot Storybrooke. Qu'était-ce que cela ? L'endroit ou La Muerte avait disparu et ou venait ces gens ? Xibalba disparu pour s'installer sur son fauteuil, un peu plus haut. Il semblait heureux de sa situation, il semblait même persuader de gagner. Alors que je continuais de le fixer d'un œil mauvais, ecoutant encore et toujours sa voix qui me donnait envie de lui lancer ma machette entre les deux yeux, il n'avait pas pu faire pire que ce qu'il venait de faire. - J'accepte ! Prépare toi à dire adieu à tes... amis, alors. Car le défi que tu dois réussir est... Ah attendez, juste avant qu'on commence, j'ai oublié quelque chose !  Sous mes yeux ecarquiller de rage, je voyais Manolo à ses cotés, dans la cage qui me lança un regard désespérée. Tout venait de s'arrêter autour de moi. Seule le volcan en ebullition dans ma tête sonnait comme musique, alors que le prénom de mon mari s'éloigna de ma gorge.

▬ « Tu vas me le payer. » Grognais-je, mon poignet ce refermant sur le pommeau de la machette qui sortait de son fourreau, je me dirigeais vers lui, avant qu'une présence ne bloque mon passage. Je baissais les yeux alimenter par la colère vers Jezabel, qui m'empêcha de passer et posa sa mains sur l'arme pour la rentrer dans son fourreau. Mais au contacte de celle ci, elle fut prit de spasme avec les yeux légérement vague, vide. Elle prit une expression d'horreur, suffisamment pour que je perde mes moyens en quelque seconde. Je reculais d'un pas, la mine en choc avant qu'elle ne finisse par reprendre ses esprits. Je lachais moi même l'arme, aussi surprise qu'elle. Je croyais que seule Xibalba ne pouvait pas la toucher … Pourquoi Jezabel venait de subir le même courrou que lui ? Pourquoi elle ne me faisait rien à moi ? Elle semblait prise d'une soudaine fatigue, comme si elle avait courru pendant des jours sans jamais s'arrêter. Culpabilisant, je la fixais désolée. « Je suis désolé ! Ca va ? » demandais-je en posant une mains sur ses epaules dans l'attention de l'aider à ce redresser. Elle hocha la tête en silence, comme ci elle était encore en proie à ce qu'elle venait de voir. Je me mordais la lèvre, je ne savais pas du tout ce que subissait les personnes qui touchait cette arme, mais c'était quelque chose de suffisamment horrible pour que Xibalba lui même la possède. Regarde qui voilà, ta jolie femme ! Comme ça doit être frustrant de ne pas pouvoir lui parler, s'en approcher, l'embrasser, la prendre dans ses bras... Profite donc du spectacle. Piquer au vif, je me tournais brutalement vers Xibalba. Il essayait de me provoquer. Bien. Sa suffit. J'allais mettre moi même un terme à toute cette vilaine blague. J'allais me diriger vers lui, mais quelque chose au bras me bloqua de mon mouvement. Je me tournais pour voir Jezabel. Une expression sombre s'en suivit sur mon visage, les yeux flamboyant de colère et la défiant de m'arrêter dans mon geste. ▬ « Nous allons le récupérer, mais avant nous avons une épreuve à passer ! Maria ! Tu m'écoute ? » Sa voix sonnait parfaitement dans ma tête, alors que je tournais un nouveau regard vers Manolo dans sa cage. La raison qui me revint était trop vif, assez pour que je ne finisse par reculer, peinée. Suivant des yeux Jezabel qui vint ce tenir au centre de l'arène. Les gens nous fixait, mais mon regard était toujours fixer vers la seule et unique personne qui me regardait. Il designa son doigt vers son dos, en hochant frenetiquement la tête. Je fronçais les sourcils, en essayant de comprendre ce qu'il essayait de me dire. Puis, il ce mit à imiter une guitare dans ses mains. Je sortais alors sa guitare, sans comprendre ce qu'il me disait. Mais en quelque seconde, elle disparu de mes paumes, et je me suis mise à regarder Jezabel sans comprendre, alors que celle ci la lança vers la déesse.

▬ « Qu'es ce que tu fabrique ? » Demandais-je, voyant malgrés moi la guitare crispés entre les doigts de la déesse. Son regard vide,trahissais son expression. Jezabel me tira d'un coup sec vers moi quand la guitare vola dans les mains de quelqu'un d'autre et que Diane ce prit un coup. Je tombais sur le sol à ses cotés.

« Manolo c'était servis de la guitare pour apaiser le taureau ! » Me dit-elle, avant de ce relever. Je fis de même, sans comprendre grand chose. Enfin, le souvenir me frappa. Son épreuve contre la vie. Apaiser un taureau en colère avec sa musique. Mais oui ! Jezabel voulait essayer de refaire la même chose avec cette guitare. Je venais de comprendre. C'était malin, très malin. Mais alors que je me rendais compte que le taureau venait de mettre Reira à terre alors qu'Amelia l'avait touchée, il ce tourna brutalement vers moi. Je sortais la machette de mon dos en reculant doucement, priant pour que quelqu'un joue de la guitare et que je puisse l'atteindre. Mais non. Le taureau ce mit à hurler, ces pas lourd retentit au plus profond du sol, créant un léger tremblement qui me faisait sauter du sol. Une chose que j'avais également remarquer, c'est que quand on le touche, il raptissie. Ce détail ne m'avait pas échapper. Et je ne comptais pas fuir. Un crie de rage retentit dans ma gorge alors que je courrais vers lui en levant la machette. Ce fut la corne qui vint me toucher en plein dans les cotes, le sol s'éloignant de mes pieds. Je retombais un peu plus loin, complétement sonnée. Un affreux son cristallin perçait le silence de mon esprit. Trop appuyer par la douleur au ventre et à ma tête, je voyais un voile noir remplir ma vision. J'ouvris les yeux devant une vision flou et tacheté. Un bruit rauque partie de ma gorge, avant que je ne cherche de ma mains l'endroit qui me lançait affreusement sur les côtes. Je me relevais alors que je voyais une nouvelle corne ce diriger dangereusement vers moi. La douleur me fit serrer les dents, m'élançant sur le coté, evitant une corne de justesse. Mais en revanche, je ne vis pas la seconde arriver et c'est un coup pointu dans la tête que je reçu.

La respiration rapide, je tombais une nouvelle fois sur le sol, une douleur et des lumières m'avait explosé en plein visage. Allonger, je sentais mes muscles hurler, mes membres embrasser le sol, ne réagissant plus à mes ordres. Un mal de tête claquait mes tempes comme un tambour qui me frappait chaque recoin. Des mains ce posèrent sur mon bras, me tirant vers le haut. Un liquide chaud me coulait sur tout le visage, alors que le goût metallique entrait en contacte avec mes lèvres.

« Maria, debout !» Me secoua Jezabel. Je me relevais, la vision me revient nettement. Le taureau courrait après quelqu'un d'autre. Je regardais, alors que ma paume vint immédiatement touchée mon front ensanglantée. Un gémissement s'échappa de mes lèvres, alors que je regardais avec horreur mes doigts rouges. Le taureau était fait d'os. Il y avait toujours un moyen de venir à bout de quelque chose. Il suffisait de trouver quoi. Mais il pouvait devenir tout feu et tout flamme comme il en avait envie. Mais mon regard ne quitta pas son immense ventre vide. Jezabel regarda à coté de moi, cherchant aussi une solution. Soudain, une idée jaillie de mes pensés.

▬ « Et si on ce faufilait à l'intérieur pour mieux l'atteindre ? » Hasardais-je. Elle ce tourna vers moi, un regard illuminer face à cette brilliante idée. Dommage que plus personne n'avaient ses pouvoirs, quelque chose me disait que ce taureau serait mort depuis un moment déjà. Face à la douleur qui me vrillait la tête, Jezabel ce mit à appeler Diane. Elle fit venir la déesse qui echappa à un coup de nouveau.

« Nous allons nous glisser à l'intérieur du taureau ! Mais pour ça il faudrait une diversion … » Réfléchis Jezabel. Comment divertir un animal aussi grand qu'une maison ? Le regard de Jezabel ce tourna vers Amelia et Calliope. Un sourire illumina ses lèvres, alors qu'elle rapatriais celles ci. Quelque chose me disait qu'elle avait une idée derrière la tête. Elle sortie un petit objet en feraille, que je ne connaissais pas. Calliope et Amelia venait de nous rejoindre, ce demandant surement ce qu'il ce passait. Elle fit signe à Reira de venir également, pendant que les autres ce démenait pour attirer le taureau.

« Alors voilà le plan ! On va faire diversion pendant que Maria et Diane et Reira ce faufile à l'intérieur du taureau ! » Puis, son visage ce remplit de malice, son expression rencontrant celui de sa meilleure amie. « Le taureau aime la musique ? Xilbalba veut du show ? Il va être servit ! » Elle brandit alors le petit objet, qui mit en route une musique. Je fixais l'engin, me demandant comment un tout petit carré pouvait contenir de la musique. C'était très bizarre, c'était un instrument ? D'habitude c'est les instruments qui font de la musique … Elle glissa le portable dans sa poche et ce releva pendant que les autres firent de même. Je me plaçais à coté de Diane et Reira, alors que Jezabel ordonna à Calliope de ce mette à gauche, Amelia à droite et elle, ce plaçant devant l'animal. Elle mit également Krystal avec Calliope, et Pitch avec Amelia. L'idée était de l'attirer, c'est ça ? Je fixais la scène nerveuse alors que la musique retentissait. Et en quelque seconde, Jezabel fit de grand signe à l'animal, dansant sur ces pieds. Je fis des yeux ronds, tiraillés entre le choc et l'amusement. Elle était sérieusement en train d'essayer de faire danser le taureau ? L'animal sembla captivée, et Jezabel ce mit à courir poursuivis par l'animal. Calliope appela l'animal, qui tourna dans sa direction.

▬ « Maintenant ! » M'ecriais-je en voyant la possibilité de rentrer dans son immense ventre. Pendant que certains dansait, hurlait, pour attirer le taureau, je sautais à l'intérieur de celui ci, roulant dans un tas d'os. Prise un peu de vertige, je pris un moment avant de me frotter la tête et de voir l'arène défiler sous nos yeux. On était à l'intérieur de l'animal. « Et maintenant, comment on fait ? » Demandais-je, fixant tour à tour Diane et Reira.

Maria : 85%
Taureau : 90%


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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 _



________________________________________ 2015-10-29, 23:20



Moove your bodyyyy!

Je me sentais aussi déprimée qu'une adolescente qui ne pourrait pas aller au bal de fin d'année. J'avais perdu mes joyeuses couleurs, et ce n'était vraiment pas beau. Si je devais avoir l'air d'une sorte de squelette peint, autant que ça soit joyeux.

Le retour de Super-Connard n'aidait pas, d'un côté. Il se prenait vraiment pour Mister tout puissant, c'était dingue ça ! Comment Jez pouvait avoir été mariée avec un type aussi arrogant ? Son sourire me donnait envie de lui coller mon poing dans sa tronche satisfaite. En même temps... Quand même. Il avait un côté charismatique. Non ? Je suis la seule à trouver ça pas trop mal les espèces de bad-boys ? ? Enfin ça dépend, là j'ai clairement pas envie de me le faire, parce que quand même. C'est le mari de ma meilleure amie, et puis il m'a quand même bien griffé le visage ce connard. Mais bon. Pas ma faute si je fantasme sur les bruns depuis toujours.

- Oulala. Gros taureau. Ça change des vachettes d'Interville.

Je me fis toute petite dans un coin de l'arène, alors que le monstre rugissait. Parce qu'il ne meuglait pas, non non. Il faisait un bruit ressemblant plutôt au hurlement d'un yéti. Ou d'un ours. On croise quand même bien plus souvent des ours que des yétis. Ce sera plus facile à s'imaginer avec cette référence.

Tout le monde se battait avec férocité, mais j'avais beau sautiller sur place et faire de grands gestes pour qu'on me passe la guitare, ils avaient l'air de m'oublier. Même le taureau ne portait aucune attention à ma petite personne. Ce qui m'allait plutôt bien, enfaîte. J'étais toujours d'humeur maussade. Ça me faisait un peu le même effet que quand je regardais Braveheart et que je pouvais pas m'empêcher de renifler de tristesse. Mais pourquoi ça finissait comme ça, d'un côté ? C'était horrible, moi je pensais que tout allait finir bien, qu'il allait... Voilà, maintenant je déprime encore plus.

Je me rapprochais de Jez, qui semblait avoir un plan. Je levais un sourcil quand je l'entendis parler de se faufiler dans un taureau. Euh... C'était pas un peu dégoûtant, quand même ? Je veux dire, déjà que je supporte pas les scarabées qui se faufilent dans les gens, dans « La Momie », alors que nous on joue le rôle de ces horribles insectes... Beurk mais non merci, ça sera sans moi. Qu'elle lance la musique changea tout mon point de vue sur son plan.

- Oh yeaaahhh ! J'adore j'adore j'adooore !

Je lui fis un grand sourire et allait en sautillant presque me mettre là où on m'avait dit. Cette musique était énorme. Et ce dessin-animé aussi. On l'avait vu plusieurs fois avec ma meilleure amie, et on connaissait les chansons par cœur, à force. Jamie avait toujours envie de nous tuer à chaque fois qu'on improvisait un karaoké. Pourquoi il détestait tellement Spirit ?

- Je suis là mon mignon, par là !

Je fis de grands signes vers le taureau, qui posa son regard flamboyant sur moi. Il fonça sur moi, faisant trembler le sol, mais je ne pouvais pas m'empêcher de secouer la tête au rythme de la musique, mes cheveux fouettant l'air et mon visage.

- Get off of my way...

Je chantonnais doucement, pour moi même, mais avec énergie, alors que je continuais à courir. Prise d'une idée soudaine, je retirais d'un geste rapide mon pull plus si propre que ça, me retrouvant en débardeur quasiment transparent. Je me fichais de ma tenue, déjà que j'étais avec une seule chaussure... ce n'était pas le ridicule qui me tuerait. J'attrapais le pull au niveau des épaules et le mis sur ma droite, en le secouant pour attirer l'attention de la bestiole monstrueuse. Je sais jamais comment ça s'appelle ce truc rouge... Un drap ? Une nappe?

- Olé olé ! Taureau taureau !

Certes, l'accent ce n'était pas encore trop ça. Mais je me tenais droite, les pieds solidement encrés au sol. Il frappa le sol de son sabot énorme, et un souffle épais jaillit de ses naseaux. C'était possible, même si il ne respirait pas ? Vu qu'il était fait d'os, il ne pouvait pas avoir de poumons, non ?

Il fonça à toute allure vers moi, et je fis un grand pas sur le côté. Il me frôla avec une telle puissance que je failli tomber à terre. Mais je réussi à tenir bon. Eh ! Mais peut être que j'étais naturellement faîte pour combattre des taureaux monstrueux ? Le dit taureau se retourna d'ailleurs et se dirigea de nouveau vers moi. Je me rendis compte à ce moment là que mon pull était accroché à une de ses cornes. Ouch. Je posais le regard sur mes mains désormais vide. Plan d'urgence... Il me fallait un plan d'urgence !

- Je voudrais un bonhomme de neeiiiigeee, oh viens jouer avec moooiiii ! Tu te caches je ne te vois plus, dis que fais tu, tu n'es plus vraiment toooooiiii ! Nous étions sœurs et amiiiiieees, mais c'est finiiii, j'aimerais savoir pourqu... AILLLEEE !

J'étais entrain de m'improviser un solo, tandis que je faisais quelques pas de danse. Enfin danse... disons que j'ondulais mon corps de manière un peu trop sensuelle pour une telle chanson. Et encore, je ne m'étais pas lancée dans le pole-dance. Quoi que j'avais bien pensé à utiliser la blonde mordante comme barre.

Sauf que le taureau n'avait pas aimé. Pourtant, il s'était arrêté, et il m'avait écouté chanter tranquillement. J'ai une jolie voix, je pensais que ça lui faisait de l'effet. Ce traître s'était finalement jeté sur moi et m'avait décoché un joli coup de corne en plein dans l'épaule. La brûlure fit immédiatement son effet, et je me jetai au sol en serrant les dents pour éviter de me faire transpercer. Je chante donc si mal que ça ?

- Je vais bien !

J'étais toujours au sol, sur le ventre, mais j'avais levé mon pouce en l'air. Si ça intéressait quelqu'un, du moins. Mon épaule me lançait, d'une manière désagréable qui rappelait une piqûre bien sadique d'insecte. Je jetai un coup d'oeil, et déglutit en voyant la chair à vif et boursouflée. Ça avait pas intérêt à faire une cicatrice. J'ai déjà dis combien je peux détester les cicatrices ?



Callio: 80% de non-vie [Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 2731903649
Vilain taureau: 90% [Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 2724229657


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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 Dmia

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[Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 _



________________________________________ 2015-10-30, 17:47

The Day Of The Dead
Je peux avancer, mais je ne peux pas pardonner


Calme toi, calme toi, calme toi

Je me répétais ces mots, telle une litanie, en boucle dans mon esprit. Je devais me contenir, je devais me calmer, je devais me servir de ma colère comme arme. Mais, justement, de voir, celle qui m'avait donné ce conseil, parterre à cause du taureau, me fit voir, rouge. Sans mauvais jeux de mots. Je commençais à en avoir plus qu'assez. Ma patience, était déjà bien trop éprouvé, et pourtant Gaïa sait à quel point, je suis dure à énerver. Mais, je devais me recentrer, je devais surtout rester calme. Ce, que j'étais en train de faire, ce n'était pas du tout la bonne tactique, et ce n'était sûrement, pas digne de ce que je représentais. J'étais la chasse, un vulgaire taureau ne devrait pas me faire autant d'effet.

Ce n'est que maintenant, que je m'accordais un instant pour regarder ma plaie, elle n'était pas très profonde, en tout cas moins, que Maria. Mais, je ne pouvais compter que sur moi même cette fois-ci, pas de régénération. Je n'avais pas de bandages dans mon sac, mais j'avais des bouts de tissus, c'était très utile, pour les pièges. Je m'occuperais de ça, et de celle de Maria en priorité plus tard. Jezabel, venait d'avoir une idée, et elle était plutôt bonne : entrer à l'intérieur du taureau. Un large sourire étira mes lèvres, pendant qu'elle parlait :

- L'idée est excellente Jezabel


En deux groupes, on aurait peut-être plus de chances qu'en un seule. Je jetais un coup d'oeil vers Maria, qui fixait le portable de Jez se demandant sans doute ce que c'était. C'est vrai qu'à force de vivre dans le « monde moderne » j'en venais parfois à un peu oublié tous les siècles que nous avions traversé, et à l'époque de Maria, forcément, ce genre de choses n'existait pas. Je lui aurais bien expliqué, ce que c'était exactement, mais je sentais qu'il allait me falloir un certain temps. Je ne doutais pas, de l'intelligence de la Mexicaine, bien au contraire. Elle avait plus d'une fois, démontré son ingéniosité. En fait, c'était plutôt de mes explications dont je doutais. Certaines choses, vous paraissent, parfois tellement logique, qu'il est extrêmement, difficile de clairement les expliquer à ceux qui ne le comprenne pas. Apollon, en était d'ailleurs l'exemple le plus flagrant. Combien de fois, est-ce que j'avais pris sur moi, pour ne pas m'énerver, afin de lui montrer le fonctionnement, de la télé ou même du grille pain. Sans succès, hélas, l'éléctro ménager, ne faisait jamais très long feu chez nous. A chaque passage de mon frère à la maison, les grille pains, et autres machine à lavé trépassaient. Je passais donc mon tour, pour cette fois-ci. Mon frère était déjà un boulet irrécupérable, mieux valait, que ce soit quelqu'un de plus compétent qui explique tout cela à Maria.

Je jetais un regard amusée à Jez, qui se mit en posture, pour danser avec le taureau. Elle, ne faisait vraiment, jamais les choses comme tout le monde. C'était un trait de caractère particulièrement, attachant chez elle. Ce qui, me renforçait encore dans l'idée, que le Judah au rabais ne la méritait absolument pas. Ce qu'il n'avait pas l'air de comprendre, semblait que ça ne servait à rien de la forcer. Si elle avait décidé, que c'était finit, c'est que c'était finit. A continuer comme ça, il ne retrouverait pas, celle qu'elle était, non, il aurait une pâle copie, elle ne serait que l'ombre d'elle même. Un oiseau en cage, tout simplement. Et un oiseau, en cage, qui aurait perdu toute sa gaieté, et son entrain. Quand est-ce que les hommes comprendraient que si l'on disait non, c'était pour une bonne raison ?

Je laissais de côté, mes pensées, préférant me concentrer, pour quand le top départ serait annoncé. Prête à courir immédiatement, et à me jeter à l'intérieur du Taureau. D'ailleurs, cela ne tarda nullement, à arriver. Maria le donna très rapidement. Et immédiatement, je donnais à mes jambes l'impulsion nécessaire, pour pouvoir allé le plus vite possible. Ce fut d'un même mouvement, que nous atterrissions, toutes les trois à l'intérieur de l'immense animal/squelette :

« Et maintenant, comment on fait ? »

Je pris quelques instants pour méditer à ses paroles. Il, nous fallait un minimum de stratégie, on ne pouvait pas se jeter comme ça à l'aveuglette dans le combat. On, avait bien vu ce que ça donnait. Je laissais mes yeux dériver, sur l'intérieur de l'animal, analysant, décryptant chaque choses :

- Et maintenant, on vise une partie qu'il nous est impossible à atteindre de l'extérieur. Sa tête
dis-je en montrant ce qui se trouvait en haut de l'imposante encolure de l'animal. D'ici, il ne peu pas nous donner de coups de cornes. Avec un peu de chance, je peux tenter d'atteindre un de ses os et de m'y agripper, pour l'escalader et atteindre sa tête. Maria est-ce que tu peux me faire la courte échelle ?

C'est avec son aide, que je réussis à attraper l'un des os de son encolure. Après, avoir levé, le pouce en l'air pour lui signifier que c'était bon, je m'attelais, à la tâche de l'escalader. La chose bien dans toute cette histoire, c'est que cinq millions d'années de chasses, m'avait donné une silhouette athlétique, me permettant de développer mes muscles et mon agilité par la même occasion. Pour une fois, je ne comptais réellement que sur mes propres capacités physique et non sur mes pouvoirs. C'était une sensation nouvelle, et elle était loin de me déplaire.

J'étais quasiment arrivé à l'endroit que je voulais, néanmoins, me restait une chose à faire. Trouver comment me stabiliser. Ce, n'était pas, avec mon simple poing, que j'allais faire des dégâts. Il, me fallait une flèche.

Doucement, avec le talon, de ma botte, je testais la solidité des os. Si j'arrivais, à « coincer » au moins l'un de mes pieds dedans, ça m'aiderait au niveau de la stabilité, et je pourrais ainsi décocher une flèche. J'étais suffisamment adroite, pour qu'elle atteigne, pile poile, l'os à la place de l'oeil, et ce serait également suffisant, pour lui provoquer une douleur suffisante, afin de le ralentir un peu.

Bingo, c'était suffisamment solide, pour faire ce que je voulais. Doucement, une main toujours accroché, je plaçais mon pied de manière à ce qu'il ne puisse plus bouger, et attrapait, mon arc dans mon dos, ainsi qu'une flèche, je bandais mon arc, le dirigeant, très exactement, dans la trajectoire, que je voulais, et tirais. Le flèche atteint sa cible, ce qui ne plus pas à la bestiole, qui commença légèrement, à remuer. Mieux valait, dire aux deux autres de biens s'accrocher le temps que ça passe, je n'étais pas sure que la séance de rodéo leur plaise :

- Maria, Reira accrochez vous, ça risque de secouer un peu !


Pour ma part, j'utilisais ma main gauche, pour m’agripper le plus solidement possible. Comme je m'y attendais, l'animal cessa de remuer au bout d'un certain moment, il sembla plutôt se mettre à charger, j'espérais qu'il n'atteigne personne cette fois, on s'était déjà tous prit trop de coup de corne.



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Taux de colère : Houlà Oo
Taureau : 80% [Fe] The Day of the Dead - Événement #45 - Page 7 4253929155
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Amelia Peters
« La vie c'est pas de la tarte ! »

Amelia Peters

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Propriétaire de La Pelle à Tartes : La vie, c'est pas du gâteau mais la pâtisserie, si !

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________________________________________ 2015-10-30, 19:37 « La vie c'est pas de la tarte ! »

Reira puis Maria furent touchées par le taureau. A ce rythme là ce serait bientôt l'hécatombe. Et bien qu'elle ne lui accordait pas le moindre regard, Amelia se doutait que Xibalba jubilait, assis tranquillement sur son trône, bien loin de toute cette agitation. Il ne paierait rien pour attendre, décidément. Certes, le petit groupe était plutôt mal parti - en dépit du coup de chandelier qu'Amelia venait de lui donner - mais l'ancienne lionne était persuadée qu'ils allaient y arriver. D'ailleurs, elle avait réussi à récupérer son chandelier sans se faire toucher, ce qui était plutôt un bon signe, non ?
Voyant cependant que le moment de gloire se faisait attendre, Jezabel sonna le rappel pour leur faire par d'un plan : diviser pour mieux régner. Une tactique vieille comme le monde qui avait largement fait ses preuves et qu'Amelia approuva d'un hochement de tête entendu, même si le plan prévoyait que Diane, Reira et Maria iraient dans le taureau - ce que Krystal risquait fortement de ne pas comprendre - pendant que les autres serviraient d'appât. Un comble pour deux anciennes lionnes mais elles allaient tout faire pour supprimer ce sourire suffisant qui ornait les lèvres détestables de Xilou la pauvre tâche, parole de félin !
En attendant, Amelia et les autres allaient faire front ensemble et divertir suffisamment le taureau pour perdre à leur cheval de Troie local de faire son petit effet. D'ailleurs, Diane, Maria et Reira venaient de disparaitre dans la cendre sans que le taureau n'ait eu l'air d'y faire attention. C'était toujours ça de pris. L'assaut pouvait commencer.
Pendant que Pitch s'emparait de la guitare, Jezabel et son mp3 s'étaient élancés dans une danse digne des plus belles corridas espagnoles, une idée qui sembla séduire Calliopa... et coûta la vie à sa veste. Cela ne l'avait pourtant pas empêché d'avoir une putain de classe. Amelia n'avait d'ailleurs pas pu la quitter des yeux, songeant qu'elle n'était plus la seule à chanter des chansons stupides dans les moments désespérés et que cette satanée histoire de bonhomme de neige allait probablement lui rester en tête pour les 6 prochaines heures ! Mais si cela leur permettrait de venir à bout d'un taureau maléfique, c'était sûrement un prix raisonnable. Et c'était surtout le moment de s'élancer dans la bataille et de montrer à ce taureau de quel bois les lionnes se chauffaient d'autant que le croque mitaine musicien d'un jour semblait avoir la situation bien en mains de ce côté là. Quant à Krystal, elle esquivait pour le moment les coups avec une agilité bien à elle, regrettant sûrement que le taureau ne soit pas fait de chair.
Sans hésiter et brandissant ce chandelier qui avait déjà fait ses preuves, Amelia s'élança vers le taureau au moment où celui-ci allait plonger sur Krystal et capta sans peine son attention.
- I AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM GONNA THROW YOU MY CHANDELIER, YOU MY CHANDELIER ! avait-elle commencé à chanter - hurler serait peut-être un verbe plus approprié car Amelia s'époumonait littéralement pour attirer l'attention de l'animal ailleurs que sur Krystal - prise par l'ambiance et les idées de chansons des uns et des autres.
Le chandelier vola et tournoya pour finalement frapper l'animal à l'épaule, juste au dessus de l'omoplate.
- J'aime bien mon remake, commenta la jeune femme avec satisfaction qui avait suffisamment entendu la fameuse chanson de Sia pour en arranger les paroles sans y passer des heures. Et j'espère que ça fait TRES mal.
Amelia s'élança alors pour espérer récupérer son fidèle chandelier et le relancer en priant pour qu'il fasse encore plus de dégâts. Au pire il lui resterait encore la pelle à tartes mais elle doutait que cette dernière, quoique très fidèle aussi, puisse faire beaucoup de dégâts.

Amelia : 90 %
Taureau : 70 %
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